Elisabeth de Laigue est une artiste peintre française, née en 1953 à Lagny-sur-Marne (en Seine et Marne) et travaillant sur la région parisienne. Elle produit des acryliques sur toile s’inspirant de ce qu’elle aime, ce qui l’entoure ou la fascine. Souvent rappelant les cabinets de curiosités du XIX siècle, elle traite autant des sujets figuratifs qu’animalier. Baignée depuis son enfance dans le dessin, Elisabeth de Laigue a longtemps travaillé en tant que restauratrice de peinture pour le compte d’un antiquaire, puis en tant qu’enseignante de dessin et d’histoire de l’art ou elle a su susciter son intérêt pour les belles choses.
Le Festival du Merveilleux 2021 aura bien lieu. Du 26 décembre au 2 janvier, insouciance et légèreté seront les maîtres mots aux Pavillons de Bercy. Venez vibrer au son des Années Folles ou apprendre à danser le charleston comme Joséphine Baker. N’hésitez plus et réserver votre place sur notre billetterie en ligne. En savoir plus
NOTRE CALENDRIER DE l’AVANT
Pour patienter jusqu’au Festival, nous vous proposons d’en découvrir plus sur la période des Années Folles.
Pour cela, nous vous avons concocté un calendrier de l’avent un peu particulier, notre calendrier de « l’Avant » Festival à suivre sur Facebook et Instagram. En savoir plus
JOSÉPHINE BAKER A L’HONNEUR
Joséphine Baker est entrée au Panthéon fin novembre. Icône des Années Folles, artiste de music-hall, militante antiraciste, et résistante pendant la guerre, elle a marqué son époque et les générations qui ont suivi. Les Pavillons de Bercy possèdent une exceptionnelle coiffe portée par Joséphine Baker à New York en 1973 et une collection de photos inédites qui seront à découvrir pendant le Festival du Merveilleux. En savoir plus
VISITES GUIDÉES TOUTE L’ANNÉE
Hors Festival du Merveilleux, les Pavillons de Bercy vous accueillent toute l’année, sur réservation, au travers de visites guidées effectuées par des guides-comédiens. Cependant, l’évènementiel étant notre activité principale, nos salles sont grandement plébiscitées pour des événements professionnels. Aussi les lieux ne seront pas accessibles au public certains jours. Les dates sont toutes énoncées sur notre site. En savoir plus
Et dans cet article un clin d’œil pour une petite admiratrice de 13 ans de Joséphine Baker, Gersende chante Joséphine Baker. Après avoir lu « Culottées » Gersende est devenue une « Fan » de Joséphine Baker ». Elle a désiré pour lui rendre hommage chanter « j’ai 2 amours ».
Et oui une émission de 40 mn « Vous êtes formidable » dont Gersende notre chanteuse Vierzonnaise sera le fil rouge. On parle des attraits de sa ville qu’elle adore car comme elle le dit toujours: » ici tout est possible , on peut pratiquer même des sports impossibles dans les grandes villes, et aussi la forêt est là en Sologne aux portes de Vierzon ». France 3 nous emmène découvrir certains attraits touristiques de la ville et en particulier le jardin de l’Abbaye un style « Art déco » inimitable. Gersende invite aussi sa maman hypnothérapeute, sophrologue certifiée et enseignante en PNL (Programmation Neuro- Linguistique) qui coache sa fille depuis sa plus tendre enfance et elle interprète à la demande des sympathiques animateurs en direct une chanson de Daniel Balavoine « Le sos d’un terrien en détresse ». . Assez de blablas jetez un œil à la vidéo et aussi si vous le désirez la version complète sur les replays de France 3.
Gersende chante « L’auvergnat de Georges Brassens »
Gersende et sa coach, sa maman hypnothérapeute et sophrologue.
Joséphine Baker est l’une des 6 femmes a être au Panthéon et la première femme noire. Aujourd’hui est un très grand jour en l’honneur de cette icone à la vie exceptionnelle. Gersende: » J’ai découvert Joséphine Baker quand j’ai lu le célèbre livre « Culottées » qui raconte la vie de femmes très inspirantes. Du haut de mes 13ans j’ai invité « j’ai deux amours » dans mon univers et je vous offre cette première version. J’espère que vous prendrez autant de plaisir à écouter cette chanson que moi et mes parents à la travailler « . Dessin (source)
« Ce temps qui me sépare de Biskra » aux éditions d’écarts.
Un récit dans lequel je reviens sur mon adolescence à Biskra
jusqu’en 62.
J’y évoque ma mère, mon premier amour, alors que nous n’avions que 14/15 ans et bien évidemment Biskra, ma ville de naissance.
J’en parle avec nostalgie et une joie douloureuse.
je reviens aussi sur certains évènements heureux ou malheureux qui se sont déroulés
pendant cette période.
j’évoque la brutalité du départ, de l’exil, certes programmé mais qui fut difficile à vivre
en cette fin du mois de juin.
Ce livre/catharsis m’aura servi de psychanalyse pour tenter d’évacuer le traumatisme de l’arrachement.. Après la publication du livre je suis retourné à Biskra ,53 ans après le départ.
« Seule,Biskra » aux éditions Unicité
Dans ce récit je parle de mon retour à Biskra, de ce que j’y trouvé, retrouvé.
La rue, la maison où je suis né; L’école élémentaire, le collège et les classes qui m’ont semblé si petites 53 ans après…
Certains camarades de classe toujours là malgré les années..
Mes promenades dans la ville, certes changée, transformée étendue au-delà de ce que nous avions connu mais pas complètement oubliée dans mes souvenirs..
J’ai retrouvé mon quartier quasiment inchangé.
J’ai voulu tout revoir, même la maison de Lola, mon premier amour.
Je n’ai pu retenir mes larmes.
OpenMag: pourquoi cette chanson « j’ai 2 amours »?
Gersende: tout simplement parce que ma maman m’a fait lire « Culottées » et j’ai tout de suite été en admiration pour cette grande dame, elle était une femme exceptionnelle et aussi une artiste de talent.
OpenMag: chanter une si ancienne chanson cela a été difficile?
Gersende: non pas vraiment, juste qu’il fallait trouver une façon d’interpréter autrement que Joséphine Baker, et moi je voyais plus « romantique ». Papa qui est toujours à mes côtés me laisse « carte blanche » et je m’approprie la chanson; et par la suite il me donne quelques conseils bien utiles, il est un coach efficace et discret.
OpenMag: et Joséphine au Panthéon?
Gersende: je trouve ça formidable et mérité car elle a su à la fois divertir et aider la résistance française pendant la seconde guerre mondiale. Je crois d’ailleurs qu’elle a été décorée de la légion d’honneur. Je connais bien cette décoration car j’ai appris dernièrement que nous avions 3 légions d’honneur dans la famille mais tout cela c’est du passé.
OpenMag: tes rêves?
Gersende: mon premier rêve c’était comme tous les enfants être sélectionné et chanter dans l’émission de TF1 « The Voice Kids » et j’ai pu le réaliser parce que j’ai participé à la saison 7. Et puis aussi de pouvoir rencontrer Cock Robin (Peter Kingsbery) car j’avais « flashé » sur la chanson qu’il interprétait « Only the very best ». Je voulais absolument la chanter mais c’était de l’anglais et à l’époque je ne parlais pas la langue de Shakespeare (comme dit papa) et j’ai su par la suite que c’était une chanson de Starmania que chantait Daniel Balavoine en Français: « sos d’un terrien en détresse ». Aujourd’hui c’est ma chanson fétiche. Mon 3ème rêve serait de pouvoir interpréter « j’ai 2 amours » au Panthéon » pour Joséphine Baker… J’aime rêver tout simplement!
La rentrée des classes est une habitude mais qui garde toujours cette part d’incertitude: les nouveaux copains ou copines, avec quels profs seront nous mangés etc… C’est ce qui attend tous les enfants après les vacances. Mais voilà Gersende (13 ans) a 2 rentrées, scolaire et artistique qu’elle doit affronter de front et plus est, l’agenda est des plus fourni car 3 événements importants attendent notre collégienne.
Et puis ce soir d vendredi un concert dans un lieu fort sympathique, un lieu de rencontre où se croisent jeunes et moins jeunes pour des moment chaleureux pleins d’échange et de convivialité. La café O’berry accueille des artistes, des conférences… Ce soir du 3 Septembre 2021, Gersende est invitée pour un concert, oui mais pas tout à fait comme les autres car celui- ci est très importante, Gersende chante un répertoire à la fois de chansons françaises (Brel, Brassens, lama, Piaf…) mais aussi du « Starmania », bésame mucho ou même du David Guetta et des titres d’aujourd’hui comme Uncover, Dance monkees..
Un répertoire qui semble bien trop différent pour notre chanteuse qui a déjà fait un petit bout de chemin en se révélant dans à de nombreuses occasions (The Voice kids, Visite officielle de la Chine en France…). Un challenge de plus qu’elle affronter face à un public de connaisseurs: pari tenu c’est un vrai succès, bien mérité car la passion l’a amenée à chanter 2h de suite et rien ne pouvais d’ailleurs l’arrêter. L’heureuse elle l’était!
Samedi 4, la voici entonnant l’Auvergnat de Georges Brassens pour l’inauguration officielle de la foire de Vierzon. Et Gersende malgré les nombreuses personnalités présentes ( député, préfet, maire…) avec émotion va délivrer le message de Brassens sur notre humanité. Une belle prestation qui enchante chacun de nous.
Pour Gersende ce Samedi pas de relâche, la voilà prête pour ouvrir le concert d’une star mondialement connue: Cock Robin qui a sorti un nouvel Album (Chinese driver) . La fan très à l’aise avec le chanteur, commence une conversation à bâton rompu avec Peter Kingsbery , un vrai moment d’émotion pour Gersende qui n’en croit avoir fait un rêve éveillé. Elle a pris beaucoup de plaisir à la fois d’avoir rencontré l’un de ses chanteurs préféré et aussi d’avoir pu partager la même scène que lui.
Cock Robin en pleine action
Gersende pendant la balance
Peter Kingsbery pendant la balance
Un bon petit restaurant et puis bientôt d’autres nouvelles aventures plus extraordinaires les unes que les autres car l’avenir est plein de belles perspectives et de projets mais ceci est une autre histoire, il est temps d’aller retrouver son lit.
Quand Max nous a proposé, très gentiment, de venir photographier notre petite chanteuse, nous pensions qu’il allait venir avec son appareil et commencer la séance au bout de 5 minutes. Non, non, non les amis…. Max est venu pour nous expliquer sa démarche artistique et esthétique. Max nous a présenté des livres de photos d’art pour nous initier aux différentes tendances illustrées par les plus grands photographes contemporains. Nous découvrons grâce à lui un nouvel univers où technique, créativité et souci du détail sont “maître mot”.
Petit à petit, en écoutant Max et en feuilletant ces albums, nous comprenons qu’une nouvelle aventure commence. Nous décidons ensemble du style, de l’ambiance de chaque cliché. Un repérage est organisé, rien n’est laissé au hasard. Le rendez-vous est pris pour la semaine suivante.
Ce jour-là, Max arrive avec Emmanuel, son précieux assistant. Nous sommes impressionnés par tout le matériel professionnel déployé: des fonds noirs, des réflecteurs etc… Max est aux commandes. Comme un ballet mille fois joué, c’est presque une histoire sans parole entre ce père et son fils…quelle belle collaboration.
Nous sommes immédiatement bluffés par la technique sans faille, le professionnalisme est au rendez-vous. Max sait ce qu’il cherche chez son modèle: un regard particulier, la fameuse étincelle qui garantie le cliché idéal…nous sommes spectateurs de cette démarche artistique.
Loin des photos aux ambiances redondantes, aux décorations pléthoriques, Max donne aux différents clichés épurés ce supplément d’âme qu’on nomme “Talent”.
32 rue de Penthièvre, 75008 Paris – www.galerieguillaume.com
QUE TON REGNE VIENNE
Du 7 avril au 29 mai 2021
Œuvres de François-Xavier de Boissoudy
Ce titre qui claque dans l’époque traversée n’a pourtant pas sa source dans la crise générale actuelle.
François-Xavier de Boissoudy s’est interrogé sur ce que pouvait signifier cette célèbre phrase répétée
d’innombrables fois dans la prière des Chrétiens. Le résultat de son questionnement se traduit par une trentaine
d’œuvres, notamment des portraits à l’huile ou à l’encre.
Après Résurrection en 2015, Miséricorde en 2016, Marie la vie d’une femme en
2017, Paternité en 2018, Béatitude en 2019, la Galerie Guillaume accueille la
nouvelle exposition de François-Xavier de Boissoudy : Que ton règne vienne.
Guetter – 2021-100×125 cm
Les portraits d’adultes, d’enfants, de famille,
de couple, du duo mère/enfant, père/enfant,
laissent deviner le fil rouge de l’exposition :
celui du regard. Regard d’attente vers l’extérieur, regard de contemplation porté vers le ciel,
regard amoureux yeux dans les yeux, regard
introspectif, et même regard caché, de dos, que
l’on devine à travers un tendre enlacement. Ces
regards révèlent l’intériorité de l’être, sa soif d’essentiel, mais donnent avant tout, à voir. A voir des
scènes du quotidien : « Est-ce que le Royaume
est un lieu ici-même ? Est-ce que ça dépend
de nous ? Est-ce que le règne commence là où
on ne peut plus rien, est-ce un laisser faire quelque
chose en nous qui n’est pas exactement nous ?
Est-ce la place que nous laissons à l’autre dans nos
vies qui permet en nous l’existence du Royaume ? »
interroge François-Xavier de Boissoudy.
Ces œuvres ramènent, pas à pas, à l’enfance, à la
fragilité, à la quête d’amour comme si, pour que le
règne vienne, il fallait se dépouiller de postures de
façade, pour accepter que, finalement plus léger,
quelque chose puisse alors advenir.
Jamais l’art du clair-obscur que le peintre sait si bien
apprivoiser, n’a autant servi sa recherche inépuisable
d’un mystère voilé mais pourtant présent dans le
concret de chaque vie : les jeux de lumière, caractéristiques de sa création, se manifestent aussi bien
au milieu des ombres de ses encres que des couleurs
organiques – ocres, végétales – de ses huiles. La peinture prend tout son sens : elle indique une direction
qui échappe aux mots.
Défi du mot pourtant que le galeriste Guillaume
Sébastien a confié à Thibault de Montaigu, écrivain journaliste et éditeur, récemment lauréat du
Prix de Flore pour son roman « La grâce » (Plon) pour
proposer sa lecture de ces nouveaux tableaux pour
le catalogue de l’exposition (Editions Conférence).
Celle-ci promet, outre de renouer avec le bonheur
de pouvoir toucher (du regard) directement (sans
écran !) une œuvre artistique, d’y trouver un havre de
paix au sein des turbulences actuelles
Joséphine Baker est l’une des 6 femmes a être au Panthéon et la première femme noire. Aujourd’hui est un très grand jour en l’honneur de cette icone à la vie exceptionnelle. Gersende: » J’ai découvert Joséphine Baker quand j’ai lu le célèbre livre « Culottées » qui raconte la vie de femmes très inspirantes. Du haut de mes 13ans j’ai invité « j’ai deux amours » dans mon univers et je vous offre cette première version. J’espère que vous prendrez autant de plaisir à écouter cette chanson que moi et mes parents à la travailler « . 
« Ce temps qui me sépare de Biskra » aux éditions d’écarts.
La rentrée des classes est une habitude mais qui garde toujours cette part d’incertitude: les nouveaux copains ou copines, avec quels profs seront nous mangés etc… C’est ce qui attend tous les enfants après les vacances. Mais voilà Gersende (13 ans) a 2 rentrées, scolaire et artistique qu’elle doit affronter de front et plus est, l’agenda est des plus fourni car 3 événements importants attendent notre collégienne.
