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  • Exposition du Coreen HONG SUNG CHUL (GALERIE OREM)

    Exposition du Coreen HONG SUNG CHUL (GALERIE OREM)

     

    Exposition du Coreen HONG SUNG CHUL (GALERIE OREM)

    Exposition du Coreen HONG SUNG CHUL

    la date de l’expo : 22 octobre au 4 decembre

    GALERIE OREM

    16 rue de poitou 75003 Paris

    Qui est- il ?
    - Hong, Sung Chul (1969)
    - Born in 1969, Seoul, South Korea Education
    - 2001 California Institute of the Arts, Master of Fine Art, Integrated Media
    - 1996 Hong-IkUniversity,MasterofFineArt,Sculpture,Seoul,Korea
    - 1994 Hong-IkUniversity,BachelorofFineArt,Sculpture,Seoul,Korea Solo Exhibitions
    - 2010 Solid but Fluid / YHD projects , Seoul
    - 2008 Anxiety and dynamics of incompleteness / Kring , Seoul
    - 2007 Perceptual Mirror / gallery IHN , Seoul
    - 2007 Young-eun Artist Relay / Young-eun Museum , Kwangju
    - 2002 RGB_SHOW / KumhoMuseum , Seoul
    - 2001 String Tongue / CalArts, LosAngeles
    - 2000 White Cube / CalArts, LosAngeles

    GALERIE OREM

    16 rue de poitou 75003 Paris

    www.galerieorem.com

    Jean-Marie VANDENHENDE

    06 18 33 19 44

  • Rock en chine, Michel RECULLET

    Rock en chine, Michel RECULLET

    Rock en Chine par Michel RECULLET

     Happy génération

     

    VOYAGE EN CHINE ( carnet de bord )

    Vendredi 3 septembre

    Le départ a été perturbé car Lionel a été refoulé à l’enregistrement, son numéro de passeport étant erroné.

    Nous avons effectué un voyage tout confort à bord d’un airbus A 340 de la compagnie AIR CHINA.

    A l’arrivée à PEKIN, les contrôles se multiplient : passeports, visa, sécurité. Ensuite nous embarquons pour SHANGAI, un vol reposant dans un avion à moitié vide, comme cela chacun a profité des nombreux sièges pour se constituer un lit.

    Samedi 4 septembre

    A l’aéroport de SHANGAI, les contrôles sont encore nombreux. Nous partons pour GUILIN par une petite ligne intérieure avec animation à bord.

    Nous arrivons tard à GUILIN ; bonne surprise : l’hôtel vient d’être refait à neuf pour notre confort.

    Dimanche 5 septembre

    Réunion à 11 heures avec madame Aiming qui nous annonce que notre programme d’animation est annulé, le festival n’ayant plus lieu faute de spectateurs.

    L’après-midi, nous décidons entre musiciens d’aller répéter dans un parc voisin avec une belle végétation autour d’un lac inspirant la sérénité. Nous avons à peine joué quelques notes, que nous voilà entourés de spectateurs chinois curieux et ravis.

    En soirée se tient une première réunion générale en vue du festival de SHANGAI.

    Lundi 6 septembre

    Nous partons de bonne heure visiter la grotte du dragon, nous prenons une barque qui nous transporte dans un décor mystérieux et hors du monde : les stalactites sont éclairées par des projecteurs multicolores et « flashy » sans doute pour donner du relief au relief . Puis nous embarquerons sur un bateau sur la rivière LI , une belle escapade au milieu des pains de sucre dont les formes suggèrent une tête de cheval ou un dragon…selon son imagination.

    Beaucoup de peintres chinois sont venus ici puiser l’inspiration et ce paysage enchanteur se retrouve sur un billet de banque. Mardi 7 septembre

    Visite du parc de la colline en trompe d’éléphant, site très apprécié qui évoque avec son trou dans la roche, l’oeil d’un éléphant se désaltérant dans la rivière. L’après-midi, les musiciens se retrouvent dans leur espace de répétition favori et même ambiance !

    Mercredi 8 septembre

    Départ en excursion pour une région habitée par des minorités, avec leurs coutumes, leurs habits et leurs dialectes appropriés.Les femmes ont des coiffures bien curieuses et compliquées (tresses multiples relevées sur le dessus de la tête).Les maisons en bois s’intègrent bien dans le décor montagneux.

    Nous partons maintenant en altitude pour admirer les rizières. Nous grimpons longtemps un escalier interminable sous un soleil écrasant. La récompense au sommet est à la mesure de nos efforts : un panorama sublime avec des ondulations multiples de rizières.

    Le retour du car fut plus que rapide…les voyageurs endormis ne se rendirent compte de rien.

    Jeudi 9 septembre

    Visite de la cité avec de nombreuses batisses disséminées dans un parc. C’est ici que se trouve l’école des beaux arts et nous pouvons admirer la maestria des élèves dans leurs oeuvres qui y sont exposées.

    Le soir, la troupe va à nouveau répéter en vue du spectacle de SHANGAI la mise en scène semble bien fonctionner.

    Vendredi 10 septembre

    C’est le départ pour SHANGAI et le voyage ne durera pas moins de 23 heures, plus le retard.

    Nous garderons un souvenir inoubliable : L’anniversaire d’ Eva ! Les musiciens s’en sont donné à coeur joie, entraînant dans l’ambiance festive les voyageurs chinois des compartiments voisins ! Le Saké aidant, Jacques ne sait même plus jouer  » frère Jacques ».

    Samedi 11 septembre

    Diner rapide puis départ costumé à la répétition sur la scène où se déroulera le spectacle télévisé du festival de SHANGAI.

    Retour à l’hôtel.

    Dimanche 12 septembre

    Ce dimanche, nous aurons une journée bien remplie : les répétitions seront parfois interrompues par des pluies passagères. Le cadre est magnifique avec une machinerie imposante : son,éclairage,animations et écran géant diffusant le spectacle TV.

    Cela fait plaisir de se produire dans pareil décor !

    Voici le grand soir : après les danseurs de hip hop, au coup de sifflet précis de Dominique, notre ingénieur du son, nous bondissons sur la scène. Le public a apprécié notre show, but atteint : le spectacle s’étant bien déroulé, nous repartons enchantés mais un peu fourbus à notre hôtel.

    Lundi 13 septembre

    Nous nous rendons à la tour de la télévision. Pour commencer nous faisons un spectacle  » à l’arrache « .qui se déroule assez bien. Ensuite nous prenons l’ascenceur pour la visite. A 250 mètres de haut, nous admirons le panorama sur SHANGAI. La brume se dissipe progressivement, laissant apparaitre ces tours audacieuses et argentées. Le décapsuleur est également bien dégagé. Puis on marche sur un sol transparent au dessus du vide ou plutôt de SHANGAI. Gare à ceux qui ont le vertige !

    Après un déjeuner dans un bon restaurant, nous visitons une soierie et l’on nous explique le ver à soie et les secrets de la fabrication de la soie, puis on nous déverse en toute logique touristico-commerciale dans un magasin où sont vendus des produits de qualité, bien qu’un peu chers. Les femmes surtout font leurs emplettes !

    Le soir, Christophe a oublié son appareil-photo argentique dans un restaurant( l’étourdi !).Le lendemain Je l’accompagne à ce restaurant jaune et l’on le lui restitue. Ainsi, Christophe retrouve le sourire et sa pellicule.

    Après un dîner dans un restaurant thaïlandais, nous gagnons la parade. Les danseurs nous précèdent. La troupe est plus tonique que jamais, les musiciens jouent avec ardeur. Nous finissons sur scène où nous recevons un accueil chaleureux. Le public est étonné par nos frasques et nos costumes pas vraiment discrets et si peu colorés ! Ensuite nous nous prêtons à la rituelle cérémonie des photos . Mardi 14 septembre

    Nous découvrons l’exposition INTERNATIONALE, le pavillon chinois y trône dans toute sa splendeur et symbolise une pagode dans une mouture modernisée. Nous le visiterons sur invitation de Monsieur le Maire, quel privilège !

    Le film expliquant le formidable bond en avant de la Chine est certes propagandiste mais révèle bien cette mutation économique exponentielle et l’esprit d’entreprise du pays.

    Le pavillon regorge d’animations, de fresques et décors qui en disent long sur la créativité chinoise.

    Le pavillon français à l’inverse est plus traditionnel , sans ostentation, à l’image de notre art et de notre culture.

    La journée a été harassante mais inoubliable surtout pour mon pied gauche.

    Mercredi 15 septembre

    Nous prenons un train moderne et rapide qui dépassera parfois les 200 km/h. Nous arrivons en gare de ZHENG ZHOU puis direction LUO YANG en autocar où nous poserons nos valises.

    Jeudi 16 septembre

    Nous allons à CHONG DUG et participons à un spectacle à l’entrée du site : la gorge du dragon.

    Après nous être produits dignement, nous sommes sollicités par de nombreux photographes chinois.

    Nous partons ensuite pour l’aventure : une longue marche à travers le défilé du Dragon : cascades, parois abruptes et blocs de pierre se succèdent. Nous franchissons un gué instable, l’appareil photo de Chantal prend un bain inopiné. J’aperçois un serpent dans la rivière puis un autre plus petit sur le chemin. Après trois heures de marche, c’est la délivrance : nous sommes enfin arrivés ! La descente par voiturettes est plus que rapide.

    Vendredi 17 septembre

    Nous nous rendons au célèbre monastère de SHAO LIN. Le spectacle aura lieu tout proche. On assistera à une démonstration millimétrée de KUNG FU, il faut dire qu’ on est ici à la Mecque de cette discipline inculquée dès le plus jeune âge à la jeunesse chinoise.

    Les troupes venant de tous les pays du monde se succèdent avec cette féérie de costumes et de danses qui nous enchantent.

    Après notre prestation qui s’est bien déroulée, nous quittons les lieux. Mais nous avons perdu Henri…Hélas on l’a retrouvé un peu plus tard au restaurant.

    Ce fut alors la visite enchanteresse du monastère, un bel endroit pour la prière et la méditation !

    Samedi 18 septembre

    Le matin, nous répétons dans le grand théâtre de LUO YANG. Il est vraiment gigantesque et doté de moyens techniques impressionants. Il faudra être « à la hauteur ».

    L’après- midi nous répétons au stade pour le spectacle du lendemain. Le soir nous retournons au grand théâtre, nous nous préparons dans des loges de « diva ». Après des discours interminables, c’est notre tour d’entrer en scène et de nous révéler face aux caméras de la télévision.

    Notre prestation est sans faute et très applaudie, ce qui va nous mettre du baume au coeur et porte au zénith le moral des troupes , surtout celui de notre metteur en scène !

    Dimanche 19 septembre

    Nous nous levons tôt pour regagner le grand stade pour le grand show du festival où nous attendrons longtemps avant de nous exhiber. Qu’importe, cela permettra de faire connaissance avec toutes ces troupes venues des quatre coins du monde et d’admirer leurs costumes chatoyants et de se comprendre par une mimique ou un sourire qui en dit parfois plus que la parole.

    Ce fut aussi pour moi un plaisir d’accompagner une troupe de jeunes filles russes qui chantaient fort joliment.

    Voici le moment de nous produire, nous sommes motivés et joyeux, cela donnera un spectacle pleinement réussi. Hélas Teddy est tombé parce qu’il y avait un pan incliné pour accéder au plateau et que son mono- cycle a été surpris.

    Il nous faut maintenant prendre rang à la grande parade de LUO YANG. Les musiciens sont devant et jouent  » live », les clowns font leurs facéties et Henri vient encore de frapper avec son marteau en mousse un policier qui finit par rire.

    De chaque côté de la rue, la foule est en liesse.

    Nous enchaînons 4 podiums sans la moindre hésitation, décidément notre spectacle est vraiment bien rodé.Tout le monde est ravi et c’est à nouveau le rituel des photos des photos et encore des photos.

    L’après-midi nous visiterons les grottes de LONG MEN, un site troglodyte exceptionnel classé au patrimoine mondial par l’UNESCO. Nous admirons le travail d’orfèvre exécuté par les sculpteurs et surtout les statues géantes de Boudha taillées à même la roche.

    Nous verrons également un temple où se trouve le tombeau de l’illustre général GUAN.

    Mardi 21 sptembre

    Après un voyage en train qui durera seulement 10 heures, pendant lesquelles nous avons bien dormi, nous atteignons PEKIN la capitale, dans une ambiance glauque : il pleut, il fait froid et nous nous entassons avec nos bagages dans un bus pour l’aéroport de SHANGAI.

    Nous embarquons dans un léger cafouillage mais finissons par nous retrouver à la porte 52. L’avion est  » grâce à nous » légèrement retardé. Merci à toi , Dominique, pour le verre de whisky qui réchauffa le coeur des passagers !

    Dernière destination : PARIS.

    Ainsi s’achève notre périple en CHINE, bien fourni en souvenirs et en émotions. Nous sommes contents de rentrer mais quel beau voyage ! Pour conclure, nous avons reçu chacun un diplôme de bon festivalier et le groupe s’est vu remettre une coupe, un AWARD nous récompensant pour l’ensemble de nos prestations et qui de surcroît nous donnera droit l’an prochain à un hébergement 4 étoiles !

    Michel RECULLET

    Expérience incroyable qui, au retour, nous a tous transformé. L’idée de vivre autrement de faire des choses pour les autres avec les autres nous a fait entrevoir que la vie peut- être tout autre, l’existence peut dépendre de notre volonté, de nos décisions. Refuser une telle aventure par peur, par ignorance ou pour des causes inavouables aurait été un gâchis pour chacun de nous.

    Pour la plupart des participants cette « parenthèse » leur a permis de repartir par la suite vers de nouvelles aventures au Vietnam, au Cambodge, en Thaïlande…. Une énergie nouvelle s’est installée, une fenêtre s’est brusquement ouverte donnant à la vie une saveur toute différente à la fois pleine d’imprévus et de rencontres incroyables et enrichissantes.

    La Happy génération est en route et rien ne l’arrêtera. Changer sa vie, changer de vie est son leitmotiv.

    Nous contacter

  • Coco Lacroix de Paris, une découverte

    Coco Lacroix de Paris, une découverte

    Coco Lacroix de Paris, une découverte

    Coco Lacroix de Paris à Shanghaï

    J’étais à Shanghaï pour l’exposition universelle et ce soir alors que je m’étais perdu dans de cette mégalopole chinoise, j’entendis une voix à la fois gracieuse et émouvante.

                                                            Coco Lacroix chante « la vie en rose » à Shanghai pendant l’Exposition Universelle de 2010

    Coco Lacroix chante « da haï »  à Shanghai pendant l’Exposition Universelle de 2010

    Coco Lacroix chante « la vie en rose » et « da haï » à Chengdu en 2013  (Chine)

    Des chinois les yeux rivés vers des écrans géants, hypnoptisés ne pouvaient plus détacher leur regard de cette apparition. Qui était donc cette chanteuse qui n’avait pas les yeux bridés et qui pouvait ainsi avoir un tel succés auprès d’un public chinois si difficile.

    La garde rapprochée de Coco avant le concert

    Je me pressais bousculant tout le monde sur mon passage et découvris une grande place pleine à craquer où une foule conquise écoutait religieusement cette star venue de l’ouest. Les cliquetis , les flashs des appareils photos donnaient à cette attroupement un air irréel où se mêlaient à la fois joie, gaïté et ferveur.

    Un honneur de poser avec Coco

    Mais qui était-elle et que chantait- elle pour cette auditoire qui applaudissait et exprimait un bonheur sans borne.

    Coco remercie le public (festival international de Shanghaï)

    J’appris par la suite qu’elle interprétait, en chinois, l’une des chansons les plus appréciée de l’empire du milieu : « Da haï » (la mer).

    Les enfants aussi adorent Coco Lacroix !!!

    Un tonnerre d’applaudissement vint me tirer de mes rêves. Sur le visage du public je vis comme une fierté, fierté d’entendre leur chanson favorite interprétée par une européenne et de surcroît en chinois.

    Coco Lacroix de Paris, tel est son nom, est, je n’en doute pas une vraie star en Chine. Chanter au coeur de Shanghaï en 2010 pendant l’expo universelle n’est pas chose anodine. Shanghaï- TV était présente et distillait pour ses 70 millions de télespectateurs l’image souriante d’une chanteuse talentueuse, heureuse de pouvoir exprimer son art en chinois.

    Nous ici chez asietralala.com on adore !

    Si vous désirez contacter Coco Lacroix de Paris, n’hésitez pas à envoyer un mail via asietralala. On peut aussi rejoindre la communauté des fans de coco sur facebook.

    coco Lacroix de Paris est notamment habillée par une marque belge :

  • Les clowns internationaux de Paris en Chine

    Les clowns internationaux de Paris en Chine (saison 2010)

    mercredi 29 septembre 2010 par Asietralala

    Les clowns internationaux de Paris en Chine (saison 2010)

    Ils sont repartis en Chine pour une nouvelle aventure. Au sud à guillin à 400 kms du Vietnam, à Shanghaï pour l’exposition universelle et enfin à Luoyang au centre, la ville de Shao ling.

    Des images sont restées dans notre mémoire, imprégnant tout notre être de souvenirs aussi vivaces qu’irréels.

    Voici donc leur histoire…

    Bonjour la Chine

    L’heure du « mange », en chine la nourriture est une « grande affaire ».

    Baie d’Along chinoise à guillin

    L’équipe des clowns : le calme avant la tempête

    Départ en train de nuit pour Shanghaï : 24h de train , une belle promenade pleine de superbes rencontres

    Je vous l’avais dit, des couleurs, de la vraie couleur.

    Répétitions pour l’ouverture en direct à la télé du festival international du tourisme de Shanghaï.

    L’émission sur tv Shanghaï (70 millions de télespectateurs) VOIR LA VIDEO (Cliquer ICI)

    On se prépare, on se fait peur, on repère les lieux.

    Les loges pleines de vie, la ruche s’active

    Demain les clowns de Paris vont faire un show dans la tour de la télévision de Shanghaï (la perle d’orient)

    Les voilà, ils sont tous là, les clowns internationaux de Paris, ils sont prêts à partir vers l’Empire du milieu.

    Ils démarrent sur les chapeaux de roues pour des parades dans les rues.

    Des chevaliers aux couleurs chatoyantes, armés de parapluies vont conquérir la Chine

    Le monastère de shao ling accueille avec respect notre éclaireur solitaire

    Face à face des plus conviviaux

    Toute l’armée des clowns internationaux est prête à remplir son destin

    Notre « générale en chef » des clowns

    Les moines guerriers nous envoient leurs messagers, une cohorte bienveillante de photographes

    Seul contre tous, l’un de nos clowns intrépide s’élance, incapable de réaliser la faiblesse de son geste inutile

    Les clowns ont vaincu la rigueur des moines shao ling

    Des échassiers shao ling sur ressorts, incroyables avec des saltos avant, arrière, de vrais cabris et on en a pris pour notre grade.

    Accueil chaleureux des danseuses coréennes

    Des japonaises…

    Des « Jackie Chan » sont devenus nos amis

    La fierté des moines, leurs postures inimitables infaisables pour nous les clowns

    Des rencontres chaleureuses

    Le théâtre de nos prochaines tribulations chinoises. ça fait peur, j’ai les jambes en coton. La France, oui, c’est vraiment petit, mais tout petit. La Chine, ben, c’est vraiment grand, vraiment grand, tout est démesuré

    Répétition dans un immense, immense théâtre pour un show spectaculaire

    Séance de maquillage

    Solitude de l’artiste avant le show

    Les clowns internationaux de Paris enfin sur scène. C’est dur de passer juste après des numéros chinois réglés comme du papier à musique. Heureusement notre désordre est considéré par le public chinois comme un travail de longue haleine !

    Visite de l’exposition universelle de Shanghaï. Devant le pavillon de Chine… Saviez vous qu’il a fallu une invitation personnelle juste pour avoir le droit de faire la queue (4h d’attente)

    File d’attente pour le pavillon de Chine. Heureusement pour nous grâce à des amis, seulement 1h d’attente…ouf

    La fatigue se fait sentir, 15h d’avion Shanghaï- Canton, attente, 4h d’avion pour guillin, 24h de train de nouveau vers Shanghaï, 7h de tgv chinois vers luoyang (shao ling), 4h de bus , puis train de nuit soit 12h vers pékin et 11h d’avion vers Paris…

    Des amis pour la vie

    Du trekking à travers un paysage féérique pour nos clowns

    Des rencontres avec la Chine ancestrale…

    Voilà l’impératrice douarière… la mère de l’empereur

    Des festivités, et les troupes du monde entier vont faire leur show

    D’autres pays, d’autres costumes !

    Jeu : qui est l’intrus dans cette photo ?

    Un flic français met des pv à des tambours, c’est le top gag.. !!!

    Des spectacles pontués par des visites

    Des visites fort intéressantes

    On en a plein la vue !!!

    Je vois une fourmilière humaine…

    Un peu d’exercice…

    Une aventure hors du commun se termine doucement comme un rêve qui laisse une douceur lancinante. Bientôt la France et comme une tristesse car ici en Chine la vie est trépidante 24h sur 24h.

    Si vous désirez participer l’année prochaine à une autre aventure aussi folle, contactez nous dès

  • Centre culturel de Chine inaugure une expo photo sur Shanghaï

    Centre culturel de Chine inaugure une expo photo sur Shanghaï

    Les carnets de Lila Pik, le centre culturel de Chine inaugure une expo photo sur Shanghaï

    Les carnets de Lila Pik

    Centre Culturel de Chine à Paris. 61 photos de Shanghaï pour célébrer les 61 années de la République populaire de Chine.

    23 septembre, 19h, le centre culturel de Chine inaugure une expo photo sur Shanghaï, en l’honneur des 61 bougies de la république populaire de Chine.

    L’expo est en mezzanine et montre Shanghaï, ville phare de Chine, sous ses meilleurs aspects. Plus instructives qu’artistiques, ces photos présentent bien évidemment l’exposition universelle , mais aussi les différents projets d’urbanisme, la vie des quartiers, le célèbre bund, les manifestations culturelles, les installations portuaires, …

    Personnellement, et parce que je reviens tout juste de Shanghaï, je trouve que, oui, c’est ça, mais c’est tellement mieux en vrai … Du coup, je suis restée un peu sur ma faim, mais pas très longtemps (ouf !) car je suis passée dans l’autre bâtiment où j’ai découvert une exposition de porcelaine chinoise contemporaine, tout à fait intéressante. L’artiste, Bai Ming, crée des motifs pour le moins originaux, stylés, poétiques. et ce, dans une osmose parfaite avec le support.

    Peu de couleurs ; bleu, rouge, sur fond blanc pur. C’est harmonieux, esthétique, raffiné.

    Même les titres des œuvres prolongent le plaisir des yeux : « le un du ciel engendre l’eau, souffles du vent, choses, formes, processus, au plus profond du paysage, de fil éternel, méandres ».

    Au cours de la visite, je suis tombée sur une grande assiette « vent, neige » qui m’a fait un effet terrible ! j’avais l’impression, à chaque fois que je baissais les yeux, d’être dans une boule magique qu’on remuait et je voyais danser autour de moi les flocons de neige artificielle. Alors, en sortant, j’ai trouvé que l’automne était fort doux à Paris et calme, calme, calme !

    Le Centre culturel de Chine à Paris est heureux de vous informer des dates des prochaines manifestations tenues dans le cadre de sa mission de promotion des échanges culturels entre la Chine et la France. Vous êtes cordialement invités à nous visiter, accompagnés de vos amis sinophiles.

    - Conférence : Le charme culturel de l’opéra chinois Kunqu et sa généralisation contemporaine (le 14 septembre 2010, 19h, entrée libre) ;
    - Exposition : Langage céramique de l’Orient – Art de la céramique chinoise de BAI Ming (du 14 au 30 septembre 2010, entrée libre) ;
    - Conférence : Langage céramique de l’Orient (le 21 septembre 2010, 19h, entrée libre) ;
    - Exposition de photographies – Le tourisme en Chine (du 16 au 22 septembre 2010, entrée libre) ;
    - Exposition de photographies – Rencontrer Shanghai, embrasser le monde (du 23 septembre au 9 octobre 2010, entrée libre)

    Plus d’informations : http://www.cccparis.org/

    Centre culturel de Chine à Paris

    1, boulevard de la Tour-Maubourg

    75007 Paris

    01 53 59 59 20

  • Banquet royal à la Cour de Corée

    Banquet royal à la Cour de Corée

    Banquet royal à la Cour de Corée

    SÉLECTION WORLD MUSIC

    Festival d’Ile de France

    Banquet royal à la Cour de Corée

    > Centre National des Arts Traditionnels Coréens

    > dimanche 26 septembre 2010 à 20h30 , Musée du quai Branly, Paris (75) Présentation

    Sous la dynastie Joseon qui régna sur le pays du matin calme durant 700 ans, les rites et la musique tiennent une importance toute particulière. Les banquets sont des moments précieux, empreints d’un incomparable raffinement où la beauté et la majesté des gestes, des chants et des danses concourent à l’harmonie et à la sérénité.

    Les archives royales ont conservé trace des plus fastueuses de ces cérémonies. La prestigieuse compagnie du National Gugak Center de Séoul nous invite ici à revivre celle offerte en 1795 par le roi Jeong-Jo en l’honneur de l’anniversaire de la reine mère. Vêtus du hanbok d’apparat, amples vêtements de soie de couleur vive, les musiciens de l’orchestre accompagnent les danses, les offrandes ainsi que la présentation des plats et du vin, point culminant de la cérémonie.

    Cithares et percussions rythment les mouvements jusqu’à l’épure dans une coordination proche de la perfection. Dans ce rituel codifié, fortement marqué par le confucianisme, le banquet est l’occasion de célébrer la concorde entre les sujets et l’allégeance au souverain.

    En ouverture de ce concert vous accueilleront la danse populaire et théâtrale du Pangut, interprétée au son des tambours, et le chant hypnotique du Pansori, forme épique et dramatique. Cet avant-goût musical unique vous donnera également l’opportunité de déguster des trésors de la gastronomie coréenne, réputée l’une des meilleures au monde.

    SÉLECTION WORLD MUSIC

    Festival d’Ile de France

    Banquet royal à la Cour de Corée

    > Centre National des Arts Traditionnels Coréens

    > dimanche 26 septembre 2010 à 20h30 , Musée du quai Branly, Paris (75) Programme

    Malgré les influences des puissants voisins chinois et japonais, la culture coréenne a su développer des singularités exceptionnelles s’appuyant sur des musiques millénaires et des traditions raffinées qui mêlent danse, théâtre, calligraphie et festin. Les deux soirées proposées offrent au spectacteur l’occasion d’un voyage dans le temps et de revivre la cérémonie offerte par le roi Jeong-Jo pour le soixantième anniversaire de sa mère, la reine Heongyeong. Banquet mêlant faste et finesse, spectacle mariant les cithares et les percussions, les chants et les danses traditionnels, le repas et la cérémonie du thé, elles présentent et préservent un art complexe influencé par la doctrine du confucianisme.

    Outre la cérémonie très codifiée où les hangboks royaux, larges vêtements de soie, défilent délicatement, l’ensemble du National Gugak Center présente d’autres formes d’art extrêmement importantes pour leur culture. La première est le Pangut, dérivé du pungmulgu, une pratique musicale dans laquelle le danseur et sa percussion ne font qu’un, virevoltant dans un ballet enivrant. La seconde est le Pansori, un chant épique précis et exigeant prenant toute son ampleur grâce au dialogue s’installant entre le chanteur et le percussionniste. Le National Gugak Center travaille depuis plus de soixante ans à la recherche, la transmission et la préservation de la culture musicale coréenne. Il a formé plusieurs générations de musiciens qui donnent aujourd’hui des représentations et mènent des ateliers à travers le monde. Lieu

    > Musée du quai Branly En collaboration

  • Art Canton

    Art Canton

    Art Canton, un RV Bayoo.asia

    Art Canton, un RV Bayoo.asia

    En 2010, Art Canton se tiendra au Centre des expositions Jin Han de Guangzhou, du 10 au 13 octobre 2010.

    Un stand représentera les artistes français dans le cadre de cette manifestation majeure de l’art contemporain en Asie. Bayoo est le représentant exclusif en France Art Canton.

    Art Canton est uen occasion unique pour les artistes français de rencontrer le public et les collectionneurs chinois.

    Pour tout renseignement, merci de vous adresser à Zhang Fang

    Art Canton en chiffres

    - Surface d’exposition : 8,000 m2
    - Stands prévus : 300 unités (approximativement 80-90 exposants)
    - Visiteurs attendus : 50 000 au moins
    - Style : exclusivement des oeuvres d’art modernes et contemporaines (peinture, sculpture, photo, installation, vidéo, Mixed Media, céramiques, oeuvre sur papier, gravure .)
    - Programme de conférences :

    Art Canton 2010 présente des événements spéciaux et des conférences animées par des experts renommés. L’exposition propose également des visites guidées des lieux culturels et historiques de Canton.

    Bayoo est le représentant exclusif en France d’ Art canton qui se tiendra au Centre des expositions Jin Han de Guangzhou, du 10 au 13 octobre 2010.

    Art Canton s’impose comme un centre nouveau et dynamique du monde de l’art en Chine et à l’international.

    Ce rendez-vous annuel présente les galeries et les artistes locaux et internationaux les plus actifs du mode de l’art contemporain, de l’art moderne et des collections d’art.

    Le salon expose des œuvres d’art de haute qualité à destination des marchands d’art, agents d’artistes, collectionneurs, prescripteurs (architectes, décorateurs d’intérieur, développeurs, promoteurs, éditeurs, com- missions d’achats des musées et des centres d’art, fabricants…), amateurs d’art à très fort pouvoir d’achat, directeurs de musée, directeurs de centre d’art, galeries d’état, galeries privées, centres culturels, et résidents chinois et étrangers.

    L’objectif d’Art Canton est de renforcer sa position d’événement annuel de l’art en Asie.

    Pöur tout renseignement, ou si vosu souhaitez exposer, merci de vous adresser àZhang Fang

    ZHANG Fang

     : 24 passage thiéré 75011 PARIS

    +331 49 23 50 01

    +336 62 29 39 21

    Skype : fangzhangparis

  • Centre Culturel de Chine, exposition Art de la Calligraphie

    Centre Culturel de Chine, exposition Art de la Calligraphie

    Centre Culturel de Chine, exposition Art de la Calligraphie

    lundi 28 juin 2010 par Asietralala

    Exposition

    Art de la Calligraphie

    Exposition du 5 au 10 Juillet 2010

    Lundi au samedi : 10h à 12h30 ; 14h à 18h Entrée libre

    Brève présentation de l’exposition

    Liu Zuoxiu, calligraphe chinois, expose au Centre culturel de Chine de Paris du 5 au 10 juillet 2010 parmi les plus belles de ses œuvres réalisées au cours des dix dernières années.

    Il s’agit d’une quarantaine de calligraphies qui témoignent surtout de deux styles : le style des scribes (lishu) et le style semi cursif (xingshu). Le lishu est le style pratiqué principalement par l’artiste. Au terme de d¡x années de travail et d’étude des œuvres et documents anciens, il a constitué un style calligraphique personnel caractérisé par puissance, vigueur des traits et élégance raffinée.

    Les compositions présentées se distinguent selon trois ensembles : des extraits d’œuvres philosophiques et littéraires traditionnelles chinoises, des réflexions faisant l’éloge de la renaissance de la Chine, et enfin des pensées personnelles sur l’existence.

    Notice Biographique

    Liu Zuoxiu, né en 1934 dans la province de Shanxi, est professeur de philosophie et a été Président d’une Université chinoise avant sa retraite en 1995.

    Son talent pour l’art de la calligraphie s’est révélé lorsqu’il était encore à l’école primaire, il calligraphiait des duilian pour tout le village. La calligraphie est progressivement devenue la passion de sa vie, et depuis sa retraite, il peut enfin y consacrer tout son temps et toute son énergie.

    Il a eu comme maître notamment Huang Qi, l’un des plus célèbres calligraphes chinois, et outre sa pratique quotidienne, il a participé à de nombreux séminaires organisés par l’Association nationale chinoise des calligraphes. Erudit dans la discipline, il a pu s’inspirer de différentes écoles et ainsi développer son propre style lishu (l’une des quatre formes de l’écriture calligraphique chinoise) en traduisant surtout puissance et impétuosité.

    Depuis quelques années, ses œuvres ont fait l’objet de nombreuses expositions aux niveaux national et régional et ont été¦ récompensées de prix. Une grande partie a fait l’objet de publications : citons les recueils de calligraphie « Anthologie des Meilleures Œuvres Calligraphiques depuis 100 Ans » et « Anthologie des plus célèbres Calligraphies Chinoises du XXème siècle ». Certaines œuvres ont été acquises par des musées. En 2003, Liu Zuoxiu a été nommé « artiste calligraphe lettré ».

    Actuellement, il est vice-président de l’Institut des recherches calligraphiques des retraites de la province du Hebei, membre de l’Association des calligraphes du Hebei et membre de l’Association chinoise de calligraphie à la plume.

    Deux albums ont présenté ses œuvres, publiés en mai 2008 et en avril 2009.

    Depuis une dizaine d’années, il passe ses vacances estivales en France. Il a pu constater que la calligraphie chinoise, millénaire et très populaire en Chine, demeure peu connue à l’étranger. Dés lors, son plus grand désir s’est porté vers l’introduction à ce grand art auprès du public français. En juillet 2008, il a exposé à la Tour-Saint-Aubin à Angers. Le succés de cette manifestation l’a incité à poursuivre sa démarche. Il expose désormais au Centre culturel de Chine à Paris lieu idéal pour un artiste chinois qui aspire à présenter un aspect fondamental de la culture de son pays.

    Contact

    Centre Culturel de Chine de Paris

    1, boulevard de la Tour-Maubourg

    75007 Paris

    Tel : 01 53 59 59 20

    Fax : 01 53 59 59 29

    cccparisinfo@gmail.com

    www.cccparis.org

  • Zhang Hongyu au grand marché d’art contemporain

    Zhang Hongyu au grand marché d’art contemporain

    L74xH102_jpg_lila-_pik-3-6f800Zhang Hongyu au grand marché d’art contemporain (les carnets de Lila Pik)

    Zhang Hongyu au grand marché d’art contemporain, place de la Bastille à Paris

    18h à Bastille.

    Les voitures s’entassent sur la place, les vélos zigzaguent, les piétons piétonnent et moi je rentre dans ce grand chapiteau qui regroupe pléthore d’exposants ….

    Zhang Hongyu peint toujours des têtes. Il expose à la fois ses anciens travaux et peu de ses nouveaux ; Dommage ! L’ensemble est, du coup, un peu chaotique. Technique mixte : encre de chine, acrylique, Zhang Hongyu a choisi de peindre sur des fonds blancs ; c’est bien car sa peinture respire à travers le contraste entre les traits tourmentés des personnages et la luminosité de l’arrière- plan . On retrouve toujours cette espèce d’énergie qui circule, peut- être un peu plus canalisée, et surtout, l’intégration de personnages secondaires apporte richesse et profondeur.

    Bon, ce ne sont certainement pas les conditions optimales pour apprécier le travail prometteur de Zhang Hongyu et je recommande donc d’aller le voir dans son atelier, au hasard d’une ballade dans le 14ème arrondissement.

  • médecine chinoise traditionnelle

    médecine chinoise traditionnelle

    Conférences 27/28 avril sur la médecine chinoise traditionnelle au Centre Culturel de Chine à Paris (les carnets de Lila Pik)

    Conférences 27/28 avril sur la médecine chinoise traditionnelle au Centre Culturel de Chine à Paris. ALLEZ- Y ! GO !

    27 avril, 19h30, boulevard de la tour Maubourg, 7 ème arrondissement, toujours sous les platanes en fleurs…

    Épisode 2

    Je suis allée à la conférence et je n’ai qu’un seul regret : ne pas assister à celle de ce soir (28 avril).

    Après un début un peu difficile, l’exposé sur la médecine chinoise traditionnelle fut comme une porte ouverte sur une culture, une vision de l’existence et un rapport au monde relativement différents de notre sensibilité occidentale. Certes, on y retrouve du bon sens, de la tradition, des remèdes ancestraux qui ont fait leurs preuves, mais il y a plus : cette vision du « tout », cette coexistence du yin et du yang, cette harmonie entre le corps et le sheng (l’esprit)…. C’est intéressant de voir comment la perception de l’être humain peut être élargie selon les règles que l’on fixe. Et ces règles, en Chine, existent depuis des milliers d’années. Elles reposent à la fois sur une construction mentale, un savoir et un empirisme qui se perpétuent dans le temps. Pourquoi pas ? tous les chemins sont bons pour vivre au mieux notre passage terrestre … La prochaine conférence met en pratique la théorie présentée. Les experts chinois seront à votre écoute et ont bien l’intention de pratiquer d’après ce que j’ai compris !! Donc, je retire ce que j’ai dit dans l’épisode 1 : si vous avez une tendinite à l’épaule coriace, allez donc demander conseil … qui sait ?

    A la fin de la conférence, il y a eu un cas pratique sur un spectateur ! grattage cutané, ventouses, ça n’a pas eu l’air de lui déplaire !

    Les intervenants :`

    - M. YAN Shujiang, Bureau national d’administration de médecine traditionnelle chinoise et de pharmacopées chinoises.
    - Mme. WANG Xiaopin du Bureau national d’administration de médecine traditionnelle chinoise et de pharmacopées chinoises. – Des experts de l’Académie des Sciences de médecine traditionnelle chinoise, M. HUANG Longxiang, M. YANG Jinsheng et M. WU Zhongchao.