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  • Polygamie d’asie!

    Polygamie d’asie!

    Carnets de voyage en asie, mariage à Bali ou la polygamie aux yeux bridés !

    – Carnets de voyage en asie

    Voyage à Bali / Marina

    Traditions Hindouistes et Mariage Balinais ou Polygamie s’Asie.

    On ne revient jamais indemne d’un voyage, surtout quand l’on revient d’Indonésie. Chaque culture, chaque rencontre nous enrichit et élargit notre ouverture d’esprit. Lors de mon premier séjour à Bali, je suis rentrée en France avec la nostalgie d’un paradis perdu, d’une île sereine ou les gens souriants semblaient en harmonie avec la nature.

    Je m’y suis sentie si bien que j’ai décidé d’y revenir trois semaines, en Mars 2008, pour y découvrir d’autres îles et surtout revenir à Bali.

    J’ai préparé mon voyage en étudiant des guides. Je souhaitais faire les volcans de Java le Bromo et le Kawah Ijen, puis Lombok et les îles Gili pour découvrir les fonds marins, faire de la plongée et enfin Bali pour aller à la rencontre de ses habitants. Ce fut avec l’aide d’un guide local francophone : Gusde que j’ai pu organiser ce voyage en communiquant avec lui par internet.

    Il s’est occupé de la logistique du voyage : réservations d’hôtels , de train et de voitures pour effectuer mes excursions à Java et Lombok.

    Grâce à lui j’ai pu rencontrer à Bali sa famille, un grand prêtre du nord de l’île, et assister à un magnifique « mariage traditionnel Balinais ».

    J’ai également profité de la région d’Ubud connue pour son artisanat et ses nombreux artistes. Je suis allée dessiner avec Dolit un célèbre peintre miniaturiste du style « Keliki » un art ancestral qu’il transmet en l’enseignant aux enfants de son village.

    Il y a beaucoup à dire sur la culture hindouiste dont j’ai perçu une facette surtout à la fin de mon voyage au contact des locaux dans le nord de l’île et dans la région d’Ubud.

    J’ai passé une journée chez un grand prêtre très respecté des balinais. Et tandis qu’il recevait la visite de ses concitoyens venus de très loin pour le consulter, j’ai observé avec émerveillement ses deux femmes qui façonnaient avec agilité de magnifiques offrandes. Elles les préparent ainsi à longueur de journée avec de la pâte de riz, des fruits et des feuilles de palmes tressées. Celles-ci sont ensuite présentées aux dieux puis après la cérémonie et les prières elles seront mangées par la famille. Seules les femmes issues de la caste des prêtres peuvent réaliser les offrandes les plus élaborées dont elles connaissent les secrets de fabrication.

    Ce jour là, le prêtre à également reçu la visite d’un confrère venu d’un autre temple pour l’interroger. Son savoir est grand et reconnu par tous les prêtres qui n’hésitent pas à venir le consulter. On l’appelle le « Pedanda » du nord de Bali. Dans sa famille issue de la caste des prêtres, le grand père et l’arrière grand père l’étaient également. Il utilise encore des manuscrits en sanskrit qui datent du XVIII siècle et autres objets précieux qui se transmettent de génération en génération. Chaque personne venant le voir doit faire des offrandes aux dieux, poser ses questions (jour du futur mariage, astrologie, problèmes à résoudre etc.…), assimiler la réponse, échanger avec lui, puis à la fin de la consultation, offrir un don au prêtre en remerciement. C’est ainsi qu’il a reçu en cadeau plusieurs pierres étonnantes offertes par ses fidèles.

    Avant de décider de les monter en bagues, il a longuement médité sur chacune des gemmes.

    Chaque pierre représente un dieu hindouiste, une énergie, une fonction. Ces bagues sont devenues des amulettes protectrices.

    La pierre rouge est une racine de rubis en forme de cabochon et représente Brama et protège sa famille.

    Une pierre cabochon noire aux reflets verts représente Shiva, elle est protectrice.

    La dernière pierre, la plus étrange un cabochon noir avec des effets moirés comme des nuages, qu’il nomme « akik », peut s’apparenter à une obsidienne noire, une pierre volcanique.

    Celle-ci aurait plus de pouvoir que toutes les autres car elle représente Vishnu et le protège de la magie noire. Il la porte donc à chaque fois qu’il doit partir de chez lui pour se protéger.

    Le lendemain, j’ai assisté au mariage de Sofi et Komang.

    Le mariage Balinais se déroule en deux jours et j’ai assisté à la deuxième journée. Le matin, tous les invités arrivent chez le marié vers dix heures du matin. Au bout de quelques heures toutes les offrandes sont apportées sur l’autel qui a été dressé dehors sous un auvent. Les mariés, après avoir médité et prieé avec le prêtre du village, partent vers le village de l’épouse et sont suivis de toute la famille et de leurs amis.

    Cette dernière peut habiter très loin de la maison de son mari. En effet, ce jour là, nous sommes montés très haut dans la montagne au cœur d’une forêt tropicale rafraîchissante. Au cours de notre ascension, je me suis demandée comment ces deux personnes avaient pu se rencontrer. Leur histoire est à l’image d’un conte pour enfant : la jeune fille soufrait d’une maladie incurable et c’est en allant voir un guérisseur réputé, très loin de chez elle, qu’elle a rencontré son futur mari. Celui-ci faisait partie de la famille de ce guérisseur. Et depuis ils ne se sont plus quittés.

    Mais ce beau mariage n’aurait pas pu voir le jour sans la tolérance légendaire des Indonésiennes. En effet, la encore, les différences culturelles sont étonnantes entre les Occidentaux et les Hindouistes. Tandis que les Musulmans et Hindouistes partagent un point commun : celui de pouvoir épouser plusieurs femmes, les Hindouistes ont eux, encore l’avantage de pouvoir avoir des « maîtresses officielles ». Le marié faisait peur aux balinaises car il entretenait depuis 5 ans des relations avec une jeune femme allemande. Celle-ci ne souhaitait pas vivre à Bali et venait souvent en vacances revoir son amoureux. Bien qu’elle ait décidé de vivre en Allemagne, elle a accepté par la suite de devenir sa maîtresse officielle. Aujourd’hui sa photo trône sur un mur parmi d’autres membres de la famille de Sofi.

    Bien que les Balinais soient fiers d’avoir une femme ou une maîtresse étrangère à la peau blanche, tous ne peuvent pas s’offrir ce luxe ! Certain Balinais dont la caste est élevée comme celle des Prêtres située au dessus ce celle des Rois ne pourront jamais se marier avec une étrangère sans que cela ternisse leur image.

    Arrivés dans le village de la mariée, de nouveau le rituel des prières reprend dans tous les autels de la famille situés sur le toit de la maison et sur la montagne embrumée. Pendant ce temps les invités patientent et discutent les femmes d’un côté et les hommes de l’autre. Ce jour la pour respecter leur tradition je m’étais habillée en sarong traditionnel avec la ceinture et une chemise. Quand on est enveloppé dans le sarong, il est difficile pour une femme d’être dans une autre position qu’assise ou debout. Les gestes sont assez limités. Les hommes eux nouent leur sarong en éventail ce qui selon eux permet de différencier la silhouette de l’homme et de la femme. Les hommes se sont donc regroupés autour d’une bouteille d’Arak et l’alcool aidant, ils plaisantent, chantent, et dansent entre eux. En tant qu’invitée et photographe improvisée, j’ai eu le privilège de goûter cet alcool assez fade, ce qui les rendait hilares. Enfin vers 16h de l’après midi, la famille transporte toutes les affaires personnelles de la Mariée jusqu’à son oreiller préféré dans sa future maison. De retour dans la maison de son époux, la cérémonie finale peut commencer. Elle est célébrée par le plus grand prêtre du nord de l’île, celui que j’avais rencontré le jour précédent.

    Dans les vapeurs d’encens, les rituels de prières et les offrandes dressées sur l’autel rouge et or, la cérémonie se déroule entrecoupée par les mélopées du prêtre et du son hypnotique d’une cloche. Une de ses deux femmes prêtresse l’assiste tout au long de la cérémonie. Les époux échangent enfin l’eau et la nourriture symbolique en croisant leurs mains en signe de partage durant toute leur vie. C’est sur ces belles images d’amour que s’achève cette belle journée partagée avec les balinais. La mariée et le marié parés comme des dieux vivants, commenceront des le lendemain leur première journée de mari et femme. Je suis restée longtemps émerveillée par la magie des rituels et des décorations très colorées façonnées par les femmes et prêtresses pour séduire les dieux et ainsi attirer le bonheur et la félicité propre à l’Asie. C’est pour cette raison d’ordre religieux que les Balinais ont particulièrement développé les arts décoratifs. Et pour l’artiste que je suis, cette île possède un trésor de talents ! Avant de repartir en France, faites un tour sur le marché d’Ubud ou vous trouverez un éventail de tout ce qui se fait en Indonésie au meilleur prix. Et laissez vous séduire par les danses balinaises traditionnelles rythmées au son du gamelan. Bon Voyage !

    Marina

    Contacts utiles :

    Guide francophone Gusde en contact avec d’autres agences de voyage à Bali et Lombok propose un voyage sur mesure : 08 12 39 45 513 gusde_ibg@hotmail.com

    Artiste Dolit, organise des excursions autour de son village, vers Ubud et découverte de son art traditionnel : 08 15 57 91 433

    Agence Bali passion, tenue par des français pour créer un voyage à la carte

    Motorcycle Diaries in asia, marriage or polygamy in Bali with slanted eyes!

    – Motorcycle Diaries in asia

    Bali trip / Marina

    Traditions and Hindu Balinese Marriage or Polygamy is Asia.

    You never unscathed back from a trip, especially when we go back to Indonesia. Every culture, every encounter enriches us and expands our openness. On my first trip to Bali, I went to France with the nostalgia of a lost paradise, a serene island or the smiling people seemed in harmony with nature.

    I felt so good that I decided to come back three weeks in March 2008, to discover other islands and especially back to Bali.

    I prepared my trip by studying books. I wanted to do the volcanoes of Java Bromo Kawah Ijen and then Lombok and the Gili Islands to explore the seabed, scuba dive and finally to Bali to meet its inhabitants. It was with the help of a local guide: Gusde I could organize this trip by contacting him via the Internet.

    He took care of the logistics of travel: hotel reservations, train and car to make my trips to Java and Lombok.

    Thanks to him I got to meet his family in Bali, a high priest of the north of the island and watch a beautiful ‘traditional Balinese wedding.  »

    I also enjoyed the Ubud area known for its handicrafts and its many artists. I went to draw with a famous miniaturist painter Dolit like « Keliki » an ancestral art that transmits the teacher to the children of his village.

    There is much to say about the Hindu culture of which I perceived a facet especially at the end of my trip in contact with the premises in the north of the island and the Ubud area.

    I spent a day in a large well respected Balinese priest. And while he was visited by his fellow citizens from far and wide to visit, I observed with amazement that shaped his two wives with agility beautiful offerings. They prepare well all day long with rice paste, fruit and leaves of woven palms. These are then presented to the gods and then after the ceremony and prayers they will be eaten by the family. Only women from the caste of priests can perform the most elaborate offerings they know the secrets.

    That day, the priest also received a visit from a colleague came to another temple for questioning. His knowledge is great and recognized by all priests who do not hesitate to come and visit. It’s called the « Pedanda » of northern Bali. In his family after the caste of priests, grandfather and great grandfather were also the. He still uses Sanskrit manuscripts dating from the eighteenth century, and other precious objects that are transmitted from generation to generation. Each person must see coming to make offerings to the gods, ask questions (future wedding day, astrology, etc. to solve problems …), understand the answer, talk with him, then at the end of the consultation, make a donation the priest in thanks. Thus he was presented with several amazing stones offered by the faithful.

    Before deciding to mount the rings, he has long meditated on each of the gems.

    Each stone represents a Hindu god, an energy, a function. These rings have become protective amulets.

    The red stone is a ruby cabochon root and Brama represents and protects his family.

    A black stone cabochon with green highlights represents Shiva, it is protective.

    The last stone, the strangest black cabochon with moiré effects like clouds, which he calls « akik » can be likened to a black obsidian, a volcanic stone.

    This would have more power than all the others because it represents Vishnu and protects the black magic. So he carries each time he has to leave his home for protection.

    The next day, I attended the wedding Sofi and Komang.

    Balinese wedding is in two days and I attended the second day. In the morning, all guests arriving at the bridegroom’s about ten in the morning. After a few hours all the offerings are made on the altar that was erected outside under an awning. Married, after meditating and prayed with the village priest, go to the village of the bride and are followed by all the family and friends.

    The latter can live very far from the house of her husband. In fact, that day, we climbed high into the mountains in the heart of a refreshing rainforest. During our ascent, I wondered how these two people had been able to meet. Their story is like a children’s story: the girl was suffering from an incurable disease and that is by going to a famous healer, very far from home, she met her future husband. It was part of the family of the healer. And since they have more left.

    But this beautiful marriage would not have been possible without the legendary tolerance of Indonesians. Indeed, again, the cultural differences are striking between Hindus and Westerners. While Hindus and Muslims share a common point: to be able to marry several wives, Hindus have them, yet the advantage of having « official mistresses. » The groom frightened the Balinese because it kept for 5 years with a young German woman. It did not wish to live in Bali and often came on vacation to see his lover. Although she has decided to live in Germany, she agreed later to become his official mistress. Today his picture on a wall throne among other family members Sofi.

    Although the Balinese are proud to have a woman or a foreign lady with white skin, not everyone can afford this luxury! Some Balinese caste whose high priests like this one located above the Kings could never marry a foreigner without this tarnish their image.

    Arrived in the village of the bride, again the ritual prayers up in all the altars of the family on the roof of the house and on the misty mountains. Meanwhile the guests waiting patiently and discuss the women on one side and men on the other. That day to respect their tradition myself I was dressed in traditional sarong with belt and a shirt. When one is wrapped in sarong, it is difficult for a woman to be in a position other than sitting or standing. Gestures are rather limited. The men themselves forge their sarong fan which they believe helps differentiate the silhouette of man and woman. The men are grouped around a bottle of Arak and the alcohol, they joke, sing and dance together. As a guest and improvised photographer, I had the privilege to try this rather bland alcohol, which made them hilarious. Finally around 16h in the afternoon, the family carries all the belongings of the Bride to his favorite pillow in her future home. Back in the house of her husband, the final ceremony can begin. It is celebrated by the largest North Island priest, whom I had met the previous day.

    In the fumes of incense, ritual prayers and offerings on the altar erected red and gold, the ceremony is interrupted by the chants of the priest and the hypnotic sound of a bell. One of his two women priestess assists throughout the ceremony. The couple finally exchanged water and food symbolic crossing their hands in a sign of sharing all their lives. It is on these beautiful images of love that ends this beautiful shared day with the Balinese. The bride and groom dressed as living gods, to begin the next day their first day of husband and wife. I stayed long amazed by the magic of colorful rituals and decorations shaped by women priestesses and gods to seduce and attract happiness and bliss own to Asia. This is why religious order that the Balinese have particularly developed the decorative arts. And for the artist that I am, this island has a wealth of talent! Before returning to France, try the Ubud Market where you will find a range of all that is done in Indonesia at the best prices. And let yourself be seduced by traditional Balinese dances punctuated the sound of gamelan. Have a good trip !

    Marina

    Useful contacts:

    Gusde speaking guide in contact with other travel agents in Bali and Lombok offers a customized trip: 08 12 39 45 513 gusde_ibg@hotmail.com

    Artist Dolit, organizes excursions around his village to Ubud and discover its traditional art: 08 15 57 91 433

    Bali Agency passion, held by the French to create a trip to the map

  • Cauchemar pékinois (histoire vraie)

    Cauchemar pékinois (histoire vraie)

    Tribulations pékinoises ou le cauchemar de l’estomac !

    Tribulations pékinoises ou le cauchemar de l’estomac ! Tribulations pékinoises.

    Voilà comment a commencé le cauchemar pékinois. Banlieue de Pékin, 30° à l’ombre, mon amie la climatisation diffuse ses bienfaits . Il est 22H32 dans ce bel hôtel 4 étoiles où de riches chinois au fort pouvoir d’achat s’ébrouent dans l’immense hall richement décoré. De profonds fauteuils me tiennent tendrement prisonnier, une musique délicate, un rien soporifique, vampirise mon esprit vagabond, je suis tout à mon affaire : je ne fais absolument rien. Soudain j’entends mon nom éclater comme une bombe, traverser mon cerveau alangui et me cisailler les tympans. Je vois brusquement s’éloigner à tire d’ailes les instants de calme et de quiétude : on a besoin de mes services.

    Audi A6 et son chauffeur, l’homme d’affaires chinois , 2 chinoises et la route qui se dessine devant moi dans un cauchemar nocturne, 120kms/h, 140, 160, 180 sur la nationale. Rien ne nous arrête ni les lignes jaunes continues que nous chevauchons sans vergogne, allant même pendant plusieurs minutes rouler à contre courant pour ne nous rabattre qu’au dernier moment sous la mitraille des feux des véhicules venant en sens contraire, ni la circulation grouillante des véhicules bigarrés. Bientôt sur l’autoroute, l’Audi prend de la vitesse, s’envole à plus de 200kms/h avant de se déporter sur la bande d’arrêt d’urgence où elle se faufile entre les voitures sans jamais ralentir.

    Dans l’automobile, tout paraît normal, les occupants, indifférents à cette chevauchée fantastique, bavardent tranquillement. Je sue à grosses gouttes, l’estomac et les jambes serrées, les fesses aussi d’ailleurs, l’œil aux aguets et vraiment pas fier.

    Soudain l’auto freine dans un crissement de pneus et s’immobilise. Incroyable juste à l’intersection d’une bretelle de sortie d’autoroute. Les voitures défilent sur notre droite, sur notre gauche telles des balles de « Kalashnikof » nous rasant comme des lames affûtées…Notre dernier jour est venu, je me vois emporté par la cohorte hurlante et vrombissante de la circulation haineuse, adieu vaches, veaux, cochons. Sans un regard, l’une des passagère ouvre la portière, descend du véhicule, nous fait un coucou joyeux et disparaît comme emportées par la nuit ! Après cet arrêt inopiné, la puissante Audi dans un démarrage viril, s’élance de nouveau dans une terrifiante et effrayante course contre la montre.

    Deuxième partie du cauchemar pékinois

    Pékin et ses rues grouillantes nous accueillent enfin. La berline se faufile féline au cœur de cette foule indisciplinée. Après des négociations difficiles, nous déposons l’autre personne près de la place « Tien An Men ».

    L’Audi rageuse se jette hors de la ville et file à travers la nuit comme une bête fauve dans la jungle des voitures. De nouveau nous frôlons les glissières de sécurité à plus de 200. Le big boss ne parle ni anglais, ni français et m’adresse des regards courtois auquels je réponds par un sourire crispé et plein de dents. Le chauffeur, un bras à la portière, me jette parfois dans le rétroviseur un regard bovin et méfiant.

    Bientôt nous nous arrêtons et le boss me fait signe qu’il désire m’inviter à déguster un repas pour fêter la réussite de la négociation. A ce moment précis, le ciel me tombe sur la tête et le sol se dérobe sous les pieds. Dans l’hôtel je m’étais déjà servi un dîner gargantuesque et celui ci ne laissait à mon estomac pas la moindre place, même pour une cacahuète naine.

    Impossible de refuser au risque de vexer mon hôte. Me voilà plongé dans le pire des cauchemars, celui de l’oie du Périgord que l’on s‘apprête à gaver, pour en extraire le foie. D’habitude, entrer dans un restaurant m’aurait comblé, mais ce soir , j’ai l’étrange l’impression d’entrer dans un abattoir.

    Mon convive affublé de son chauffeur, sbire, homme de main ou serviteur, commande illico presto une multitude de plats aux noms imprononçables. Soudain sur la table se bousculent des côtes de moutons, des soupes, des viandes en sauce, du riz cuisiné…J’ai bien envie de fuir cette bouffe si peu conviviale, à l’odeur cauchemardesque qui colonise mes narines jusqu’au vomissement : je suis pris au piège de la bienséance.Des côtelettes de 30cms à faire semblant de manger avec appétit, des lamelles de soja à grignoter dans un rictus, du bœuf à déguster avec dégoût, une soupe à gerber en souriant, le purgatoire sur terre est chinois. Dès que mon opiniâtreté à manger se met à faiblir, mon hôte me fixe avec un regard rempli de reproches et insuffle, par un grognement significatif à mon esprit vaincu, une nouvelle force pour paraître satisfait et heureux.

    Troisième partie du cauchemar pékinois

    Mon seul désir, fuir loin de cette auberge espagnole, au pardon chinoise, vers un pays où l’on mourrait de faim seul, à l’ombre d’un arbre effeuillé et sans fruits.

    J’utilise alors toutes les ruses pour sourire de contentement, masquer mon dégoût. Je jette dès lors de la viande sous la table, je creuse sournoisement mon bol de riz avec mes doigts, je rogne les côtelettes d’un seul côté feignant ainsi, par la mise en scène, apprécier ce terrible repas. Le chauffeur, les yeux baissés, boulotte des montagnes de nourriture et me sert des rasades de coca non-stop. Entre 2 rots satisfaits, « big boss » fort sympathique de surcroît, engouffre un nombre incalculable de mets exotiques en jetant sur la table tous les os, les peaux, les restes et bientôt celle ci ne ressemble plus guère qu’à un cimetière à ciel ouvert. Pas un seul mot ne sera échangé du fait de la frontière des langues, des bruits de bouche à concurrencer les les décibels des concerts de hard-rock, rien que de la convivialité à l’état pur. Je redoutais particulièrement le dessert asiatique non adapté aux palais des européens. Mon estomac dans un dernier hoquet d’agonie, brandit naturellement le drapeau blanc, incapable de supporter les prochains assauts de la gastronomie chinoise.

    Sauvé, pas de sucreries exotiques, big boss se lève soudain et je le suis hors du restaurant. Une poignée de main franche et amicale et mes 2 amis disparaissent dans la nuit noire comme ils étaient venus.

    Mon estomac, encore tout ébranlé par la peur de la vitesse et un trop plein de nourriture, se met à entonner goûluement un chapelet de rototos libérateurs et joyeux.

    HV

    Tribulations Pekinese or the nightmare of the stomach!

    Tribulations Pekinese or the nightmare of the stomach! Tribulations Pekinese.

    Beijing suburb, 30 ° in the shade, my friend conditioning diffuse its benefits. It is 10:32 p.m. in this beautiful 4 star hotel where wealthy Chinese with high purchasing power snort in the huge ornate lobby. Deep armchairs tenderly hold me prisoner, a delicate music, a soporific nothing vampirizes my wandering mind, I’m in my case: I absolutely do nothing. Suddenly I hear my name burst like a bomb through my brain languid and shear my eardrums. I see suddenly pulls away to wing the moments of peace and quiet: you need my services.

    Audi A6 and his driver, the Chinese businessman, two Chinese and the road looming before me in a nocturnal nightmare, 120kms / h, 140, 160, 180 on the national. Nothing stops us or continuous yellow lines as we ride shamelessly, even going for several minutes ride against the tide for us not fall back at the last moment under fire for fire vehicles coming in the opposite direction, or the teeming traffic colorful vehicles. Soon on the highway, the Audi takes speed, flies to over 200kms / h before being deported on the emergency lane where she weaves between cars without ever slowing down.

    In the car, everything seems normal, occupants, indifferent to this fantastic ride, chatting quietly. I sweat profusely, stomach and legs together, buttocks as elsewhere, the eyes alert and really not proud.

    Suddenly the car brakes in a squeal of tires and stopped. Unbelievable just the intersection of a highway exit ramp. The cars parading on our right, on our left like bullets « Kalashnikof » skimming us as sharp blades … Our last day came, I see carried away by the howling and roaring cohort traffic hateful, farewell cows, calves, pigs. Without a glance, one of the passenger opened the door, out of the car, we made a cheerful hello and disappears as blown away by night! After this unexpected stop, the powerful Audi in a manly start, rushed back into a terrifying and frightening race against time.

    Beijing and its teeming streets we finally welcome. The sedan feline sneaks in the heart of this unruly crowd. After difficult negotiations, we place the other person near the square « Tiananmen ».

    The Audi raging flows out of town and took it through the night like a wild beast in the jungle of cars. Again we frôlons guardrails to over 200. The big boss speaks neither English nor French and courteous looks of the seminar I address myself answer with a tight smile and full of teeth. The driver, an arm of the window, sometimes throws me in the rearview mirror cattle and suspicious look.

    Soon we stop and the boss made me sign that he wants to invite me to enjoy a meal to celebrate the success of the negotiations. At that moment, the sky fell on my head and the ground from under the feet. In the hotel I was already served me a gargantuan dinner and this one did not let my stomach any place, even for a dwarf peanut.

    Unable to deny the risk to offend my host. Here I am plunged into the worst nightmare, that of the Périgord goose that one is about to gorge, to extract the liver. Usually walk into a restaurant would have favored me, but tonight I feel strange to go into a slaughterhouse.

    My guest tricked his driver, minion, henchman or servant, illico presto control a multitude of dishes with unpronounceable names. Suddenly on the table are scrambling sheep ribs, soups, meat sauce, cooked rice … I really want to run away this food so uninviting, the nightmarish smell that colonizes my nostrils until vomiting: I’m trapped in bienséance.Des chops 30cms pretend to eat with relish, soy slices snack in a grin, beef to enjoy with disgust, soup gerber smiling, purgatory on earth is Chinese. As soon as my obstinacy room starts to falter, my host fixed me with a look filled with reproaches and breathes through a significant grunt to overcome my mind, a new force to appear satisfied and happy.

    My only desire, run away from this Spanish inn in Chinese pardon, to a country where they would die of hunger alone in the shade of a leafless tree without fruit.

    I then use all the tricks for contented smile, hide my disgust. Therefore I throw meat under the table, I dig slyly my bowl of rice with my fingers, I trim the chops on one side and pretending, for the staging, enjoy this terrible meal. The driver, looking down, dumpy food mountains and serves me non-stop coca bumpers. Between 2 satisfied burps, « big boss » very nice moreover, engulfs countless exotic dishes by throwing on the table all the bones, skins, the remains and soon this one hardly looks at a sky Cemetery opened. Not one word will be exchanged because of the language border, mouth noises to compete with the decibels of hard rock concerts, nothing but pure friendliness. I feared particularly the Asian dessert not suitable for European palace. My stomach in a last gasp of agony, naturally waved the white flag, unable to withstand the coming onslaught of Chinese gastronomy.

    Sauvé, no exotic sweets, big boss suddenly I’m up and out of the restaurant. A handful of frank and friendly hand and my 2 friends disappear into the night as they came.

    My stomach, still shaken by fear of speed and too full of food, begins to intone a string of greedily rototos liberating and joyful.

  • Chinoises souriantes

    Chinoises souriantes

    Carnets de voyage en Asie, des chinoises souriantes et modernes !

    – Carnets de voyage en Asie

    Des chinoises souriantes et vraiment sympas

    L’on m’avait fait savoir que les chinoises étaient des filles très discrètes et peu souriantes. A ma grande stupéfaction, elles sont adorables et je dirais plutôt extraverties.

    Eh oui mon bon monsieur le monde change et les mentalités aussi. Admirons donc leurs sourires taquins, leur bonne humeur et parfois aussi leur allure altière pleine de classe.

    Un sourire enigmatique !

     

    ©Reportages d’asie et asie reportages

  • Histoire d’amour en asie

    Histoire d’amour en asie

    Rencontres coloniales ou les histoires vraies d’Asie.

    Au commencement cette histoire en asie

    L’amour en asie ou les élans exotiques ; Vietnam juillet 1947, le Nord s’embrase, le Sud s’amuse. Hanoï ne veut plus d’un passé de soumission et lève l’étendard d’une liberté si longtemps enfouie. Des idées nouvelles, un désir d’indépendance, un vent nouveau souffle sur le Tonkin et l’ombre d’un avenir sombre embrase la quiétude tranquille des rizières.

    Saigon, l’insouciante, se perd dans les jeux, s’enivre de fêtes lascives, s’oublie dans la lumière des néons chatoyants. Elle a beau s’étourdir, elle sait que le destin d’un pays la rattrapera bientôt, alors elle exulte dans des frasques démesurées et se laisse mourir de plaisir.

    En ce 14 juillet 1947 alors que les évènements se précisent dans le Nord, dans le Sud un grand bal des débutantes se prépare au le palais présidentiel. Le chef de l’état a invité de très nombreux convives à participer à cette soirée de prestige qui fait rêver toutes les jeunes filles du Vietnam. Elles sont là les sœurs Hô , elle font partie de la fête, ébahies d’être ici dans cette magnifique résidence. Le monde entier leur tend les bras, la terre entière est à genoux devant leurs délicates silhouettes à peine sorties de l’adolescence, elles sont les reines d’un monde qui va s’enfoncer dans une tragédie interminable et douloureuse. Au diable la guerre, rien ne compte plus pour elles que les paillettes et le strass des robes qui scintillent sous la lumière indiscrète des projecteurs.

    Le coup de foudre de l’histoire d’amour en asie  

    Ils sont tous là, généraux aux uniformes rutilants, coloniaux aux costumes impeccables, diplomates à l’allure empruntée, jeunes hommes au regard de braise, belles plantes exotiques prêtes à dévorer les mâles trop peu méfiants, ce sont les derniers représentants d’un monde déjà oublié, un monde en sursis.

    Leur père les présente à son ami, un certain Monsieur Messmer et, manu militari, les invite à aller s’amuser car des affaires fort importantes l’attendent.

    Elle s’appelle Simone et ses sœurs ont pour nom Yvonne, Marguerite et Cécile et viennent du Nord. Elles sont vietnamiennes mais de nationalité française, cette particularité les sauvera plus tard d’une lente descente aux enfers.

    Happées par la musique langoureuse distillée par un orchestre en smoking blanc, elles s’égaient toutes comme des moineaux affolés, éperdues de bonheur, émerveillées, gargarisées par ce luxe exacerbé offert sans pudeur par cette immense salle de réception.

    Le service de sécurité est là tendu, à fleur de peau, l’oeil aux aguets, prêt à intervenir au moindre mouvement de foule, au simple battement de cils, suspectant même leurs propres collègues car aujourd’hui les frontières sont floues, le futur incertain et les amis peu sûrs.

    Paul est le responsable de cette garde rapprochée, il observe les aller- venues de chaque convive, son œil aguerri plonge dans le regard des invités pour en extirper l’essence et ainsi anticiper tout danger. Soudain ce professionnel aux yeux bridés, cet Elliot Ness au cœur de pierre, reste figé devant ce tableau si fragile d’une jeune fille timide et maladroite. Il est là comme tétanisé, seul enfermé dans un silence de glace parmi tous ces gens qui tournoient, s’esclaffent, mangent et boivent.

    Alors Paul, il faut te réveiller, tu n’as pas le droit de rêver, retombe sur terre, ici tous comptent sur toi. Rien n’y fait, subjugué par la belle Simone, il oublie tous ses devoirs, confie à son adjoint la bonne marche des opérations, se défait de ses habits de fonction et revêt un costume valorisant, car monsieur veut plaire, séduire, jouer les fanfarons et assiéger le cœur de la jeune fille drapée dans un magnifique Ao-Aï bordeaux. Il sait à cet instant précis qu’elle sera la femme, la femme de sa vie.

    Histoire d’amour en asie, le stratagème pour conquérir la belle 

    Paul, fin stratège, invite tantôt Yvonne, tantôt Marguerite à des danses endiablées et ne jette aucun regard à Simone qui de surcroît n’en a cure…. D’ailleurs elle n’a même pas remarqué ce garçon follement amoureux qui virevolte avec ses sœurs. Le voilà faisant le beau, il parle haut et fort, se trémousse comme un gardon pris à l’hameçon, le ridicule ne peut rien contre l’amour.

    Paul est fort courtisé par la gente féminine, son charme a déjà fait de nombreux ravages et dévasté de nombreux cœurs de Saïgonnaises. Son père est un homme que tous connaissent, respectent et il est d’ailleurs extrêmement fortuné, puissant et de surcroît un bienfaiteur de l’église.

    Le papa de Simone connaît d’ailleurs bien celui de Paul, ils se fréquentent et s’apprécient.

    Paul, le tombeur de ces dames, a sorti les grands moyens et rien ne pourra arrêter cette machine à broyer le cœur de Simone, ni l’indifférence, ni l’échec et encore moins le ridicule. L’affaire s’annonce difficile car les prétendants sont nombreux et la victoire difficile. Le regard de velours ne suffira pas à capturer, à ensorceler cette jeune fille qui ne pense aujourd’hui qu’à s’amuser au rythme des danses et des rires.

    Paul ne veut pas laisser partir son amour d’asie 

    Pas de répit pour Paul car le lendemain il part à la recherche de sa belle et trouve l’adresse où celle- ci habite. Il passe et repasse devant cette maison aux couleurs de l’amour ; il n’ose pas s’arrêter, hésite, se tâte… Yvonne et Marguerite ont remarqué son manège et l’invite à venir prendre une petite collation que ce dernier accepte avec empressement. Enfin la première défense est franchie et Paul rêve déjà d’une victoire totale où Simone béate tomberait dans ses bras comme un fruit mûr prêt à être cueilli.

    Il pavoise dans cet aéropage de la gente féminine et ne veux plus partir, il s’incruste et même s’invite à dîner. L’on envoie un « boy » à Cholon, le quartier chinois de Saigon, afin de commander un canard laqué, plat uniquement réservé aux convives de choix. Paul tel un pacha en « Pachaterie » se félicite de cette si « inattendue » invitation mais malheureusement une épreuve des plus épouvantables l’attend. Notre séducteur déteste le canard et ce met si délicat le dégoûte au plus haut point, ingérer cette volaille palmée est une torture à sacrifier sur l’autel de l’amour. Paul ne cède pas et prenant son courage à 2 mains avale courageusement le canard qui lui est présenté et dans un rictus des plus hypocrite, remercie la maîtresse de maison d’une si délicate attention.

    Les heures passent, et l’encombrant convive ne se décide toujours pas à regagner ses pénates, il s’évertue à camper près de sa belle qui le trouve aussi collant que du riz gluant.

    Comment se débarrasser de cet amoureux transit qui, de peur de se faire coiffer au poteau par un autre prétendant, ne veut plus quitter des yeux sa « future épouse non consentante ».

    Il est fort tard et voilà qu’il virevolte, fait de l’esprit ne remarquant aucunement les baillements à peine dissimulés de toute la maisonnée. Une telle opiniâtreté amuse et même séduit les sœurs qui ne savent toujours pas pour laquelle cet « ‘énergumène » s’évertue à stationner, sans la moindre gêne chez elles. Etant donné l’heure tardive, la maman propose à Paul de dormir sur place dans la seule pièce disponible celle où réside leur animal de compagnie le « cochon ». N’écoutant que son courage Paul n’hésite pas un instant à accepter de partager son sommeil avec cet animal réputé pour sa propreté légendaire et son ronflement peu délicat.

    Les jours passent et Paul reste sur place, aveugle à la gêne occasionnée, planté tel un chêne indéracinable aux racines tentaculaires ; le cochon est devenu un ami intime, un vrai pote de chambrée à qui il confie son espoir de conquérir le cœur de Simone.

    Comprenant qu’il est impossible de se débarrasser d’un tel phénomène, la famille entière déstabilisée, dérangée mais aussi intriguée attend avec impatience le dénouement, le départ de cette bernique, non bretonne, aux yeux bridés.

    Une vraie histoire sans lendemain dont l’héroïne, l’exotique Simone, en voiture Simone, ne semble pas encore remarquer le manège de Paul dont l’incroyable audace a déjà « tsunamisé » une famille entière.

    Les jours passent et « Mister glue » ne trépasse toujours pas. Vous vous demandez comment cette abracadabrante histoire peut se terminer ?! Et bien rassurez vous car l’étalon italien, oh pardon, vietnamien, se maria avec Simone dans la cathédrale de Saigon soulageant sa future belle- famille d’un si long siège dont l’issue paraissait vraiment improbable.

    Amour quand tu nous tiens

    Qu’est devenu le cochon, fut-il invité à la cérémonie, se laissa t-il glisser vers une dépression d’avoir perdu son co- locataire ? Mais ceci est une autre histoire que je vous conterai plus tard , bien plus tard !

    Amour en asie et me voilà!!!!

    Henri (l’un des enfants du couple)

    Colonial encounters or true stories from Asia.

    Love story in Asia or exotic impulses; Vietnam in July 1947, the North blazes, the South has fun. Hanoi does not want a past submission and raised the standard of freedom so long buried. New ideas, a desire for independence, a new wind is blowing and the Tonkin shadow of a bleak future ablaze the quiet tranquility of the rice fields.

    Saigon, carefree, is lost in games, gets drunk lascivious parties, is forgotten in the light of shimmering neon lights. It was nice to stun, she knows that the fate of the country will catch up soon, so she exults in the exaggerated antics and left to die of pleasure.

    In July 14, 1947 when the events become clearer in the North, in the South a big debutante ball is preparing for the presidential palace. The head of state has invited many guests to attend this prestigious evening that dream all young girls in Vietnam. They are the Ho sisters, she is part of the festival, dumbfounded to be here in this beautiful residence. The world tends their arms, the whole earth is kneeling before their delicate silhouettes barely out of adolescence, they are the queens of a world that will sink into a long and painful tragedy. Damn the war, nothing is more important for them than the glitter and rhinestone dresses that sparkle under the spotlights indiscreet.

    They are all there, the general gleaming uniforms, impeccable colonial costumes, diplomats borrowed allure, young men fiery eyes, beautiful exotic plants ready to devour unsuspecting males too, are the last representatives of a world already forgotten, a world suspended.

    Their father presents his friend, a Mr. Messmer and forcibly, invites them to go have fun, because of very important business ahead.

    Her name is Simone and her sisters are named Yvonne, Cecile and Margarita and go North. They are Vietnamese but of French nationality, this feature will save later a slow descent into hell.

    Caught up in the languorous music distilled by an orchestra in white tuxedo, they brighten all as frightened sparrows, distraught happiness, amazed, gargarisées offered by this shameless luxury exacerbated by the huge reception room.

    The security service is tense, on edge, the eye on the watch, ready to intervene at the slightest movement of crowds, the simple blink of an eye, even suspecting their own colleagues because today the borders are blurred, the future uncertain and insecure friends.

    Paul is responsible for the bodyguards, he observes the allergen came from each guest, his trained eye plunges into the eyes of guests to extirpate the essence and thus anticipate danger. Suddenly this professional slant-eyed, this Elliot Ness in the heart of stone, remains frozen so fragile before this picture of a girl shy and awkward. It is there like paralyzed, only enclosed in a glass of silence among all these people circling, guffaw, eat and drink.

    Then Paul, we must wake up, you do not have the right to dream, falls back to earth, here all counting on you. Nothing will work, captivated by the lovely Simone, he forgets all his duties, his deputy entrusts the smooth running of operations, takes off his clothes and clothes feature a costume rewarding because Mr. wants to please, seduce, play boasters and besiege the heart of the girl draped in a beautiful Ao-Ai burgundy. He knew at that moment that she will be the woman, the woman of his life.

    Paul, strategist, sometimes invites Yvonne, sometimes Marguerite in wild dances and throws no say in addition to Simone who does not care …. Besides, she did not even notice the boy spins madly in love with her sisters. Here he is doing fine, he speaks loud and wiggles like a roach took the bait, ridicule can do nothing against love.

    Paul is very courted by the female, its charm has already made many ravages and devastated many hearts of Saigon. His father is a man that everyone knows, respects and it is also extremely wealthy, powerful and moreover a church benefactor.

    Simone’s father also knows well that of Paul, they attend and enjoy.

    Paul, the heartthrob of the ladies, pulled out all the stops and nothing can stop the machine to crush the heart of Simone nor indifference or failure much less the ridiculous. The case will be difficult because the contenders are numerous and difficult victory. The velvet look is not enough to capture, to bewitch the girl who now think that fun to the rhythm of dancing and laughter.

    No rest for Paul because the next day he goes in search of his sister and finds the address where the latter lives. It comes and goes in front of the house with the colors of love; he does not dare to stop, hesitates, fumbles … Yvonne and Margaret noticed her game and invite him to take a small snack that he accepts with alacrity. Finally the first defense is crossed and Paul already dreaming of total victory where Simone smug fall into his arms like a ripe fruit ready to be picked.

    He decked in this Areopagus of the fairer sex and do not want to leave, he became entrenched and even invite to dinner. One sends a « boy » in Cholon, Saigon’s Chinatown, to order a duck dish only available to guests of choice. Paul like a Pasha « Pachaterie » welcomes this if « unexpected » invitation but unfortunately one of the most horrific ordeal awaits. Our seducer hates ducks and puts delicate disgusted at the highest point, palmate poultry ingest this is torture to sacrifice on the altar of love. Paul did not give in and taking her courage in two hands bravely swallows duck and presented to him in a rictus of more hypocritical, thanked the hostess of a delicate attention.

    The hours pass, and always cumbersome guest not decided to return to his household, he strives to camp near his sister who also found that the sticky glutinous rice.

    How to get rid of this transit lovers who, for fear of being pipped at the post by another suitor, does not want his eyes off his « future wife unwilling. »

    It is very late and now he spins, makes the mind does not noticing the barely concealed yawns of the entire household. Such obstinacy amused and even attracted the sisters who still do not know why this’ ‘rowdy’ strives to park, without the slightest embarrassment at home. Given the late hour, the mother offers Paul to sleep on site in the only room available that in which lies their pet « pig ». Listening only to his courage Paul does not hesitate a moment to agree to share sleeping with that animal known for its legendary cleanliness and little tricky snoring.

    The days pass and Paul remains in place, blind to the inconvenience, such ineradicable oak planted with sprawling roots; the pig has become a close friend, a true friend of barracks to whom he confided his hope to win the heart of Simone.

    Understanding that it is impossible to get rid of such a phenomenon, destabilized the whole family, but also disturbed puzzled looks forward to the outcome, the start of this limpet, not Breton, with slanted eyes.

    True story without a future in which the heroine, the exotic Simone, Simone drive, does not seem to notice the ride of Paul whose incredible audacity has already « tsunamisé » an entire family.

    The days pass and « Mister glue » does not always passes away. Wondering how this bullshit story may end! Well rest assured you as the Italian Stallion, oh sorry, Vietnamese, married Simone in the Cathedral of Saigon relieving his future in-laws for a long siege, the outcome seemed really unlikely.

    What happened to the pig, he was invited to the ceremony, if he slipped into a depression at losing his co-tenant? But this is another story that I will tell you later, much later!

    Henri (one of the couple’s children)

  • Recette du poulet blanc à la chinoise et son bouillon

    Recette du poulet blanc à la chinoise et son bouillon

    drapeau chinoisRecette du poulet blanc à la chinoise et son bouillon

    Recette chinoise/ cuisine chinoisepoulet-coq-volaille-crête-images-gratuites1-1560x1037

    Recettes asiatiques « light »et « diététiques » faciles

    Recette du poulet blanc à la chinoise et son bouillon

    Ingrédients
    - 1 poulet (fermier de préférence)
    - sauce de soja
    - purée de piments
    - 1 à 3 c à soupe de sauce de poissons selon la quantité d’eau de cuisson
    - coriandre finement haché
    Préparation
    - cuire le poulet dans de l’eau salée
    - dès qu’il est cuit le sortir et le laisser refroidir
    - ensuite découper le poulet en petits morceaux (ex un haut de cuisse en 4).
    - bouillon= eau de cuisson du poulet+ un peu de sauce de poissons+coriandre+poivre
    - déguster le poulet en le trempant dans la sauce de soja+purée de piments et du riz parfumé
    - conseil manger le poulet en alternance avec le bouillon car les goûts sont complémentaires.

    La cuisine asiatique est facile

    Si vous avez une recette light, diététique et facile n’hésitez pas à nous la faire connaître et nous nous ferons un plaisir de la mettre illico presto en ligne. Merci

    SRecette white Chinese chicken and broth

    Chinese Recipes / Cooking chinoisepoulet barnyard poultry peak-image gratuites1-1560×1037

    Asian recipes « light » and « diet » easy

    White chicken recipe with Chinese and broth

    ingredients
    – 1 chicken (preferably farmer)
    – Soy sauce
    – Mashed peppers
    – 1 to 3 tablespoons fish sauce according to the amount of cooking water
    – Finely chopped cilantro
    preparation
    – Cook chicken in salted water
    – As soon as it is cooked take it out and let it cool
    – Then cut the chicken into small pieces (eg a thigh 4).
    – = Broth chicken cooking water + a little fish sauce + pepper + cilantro
    – Chicken taste by soaking it in soy sauce + mashed chillies and fragrant rice
    – Council eat chicken alternately with broth because tastes are complementary.

     

  • Salade chinoise aux crevettes

    Salade chinoise aux crevettes

    drapeau chinoisSalade chinoise aux crevettes

    (cuisine chinoise/recette chinoise)

    Recettes asiatiques « light »et « diététiques » faciles

    photo sans carottes

    Recette chinoise

    cuisine chinoise

    Salade chinoise aux crevettes

    Ingrédients
    500 gr d’échine de porc découennée et bouillie
    500 gr de grosses crevettes surgelées sans la tête
    3 grosses carottes rappées grossièrement
    20 cm de navet chinois (ou radis noir) découpé en filaments
    feuilles de menthe ( selon votre goût).
    coriandre frais ( selon votre goût)
    2 oignons nouveaux

    Préparation
    Raper les carottes
    raper à la main le radis chinois (au couteau et non avec une rape
    trancher la poitrine froide bouillie et découennée (profiter pour enlever du gras)
    cuire les crevettes et sitôt cuites, les refroidir en les arrosant abondamment d’eau froide puis les couper en deux dans le sens de la longueur.
    Mélanger en rajoutant menthe, oignons et coriandre.

    la sauce : une goutte de sauce de poisson + une goutte de sauce de soja light

    L’idéal c’est de mettre la sauce au dernier moment

    ***

    ENGLISH

    Chinese Shrimp Salad (Chinese cuisine / Chinese recipe)

    Asian recipes « light » and « diet » easy

    Photo without carrots

    Chinese Recipes

    Chinese cuisine

    Chinese salad with prawns

    Ingredients
    – 500 gr loin pork rind boiled
    – 500g large frozen shrimp without head
    – 3 large carrots coarsely rapped
    – 20 cm in Chinese turnip (or horseradish) cut into filaments
    – Mint leaves (to taste).
    – Fresh coriander (to taste)
    – 2 spring onions

    Preparation
    – Grate the carrots
    – Hand raper Chinese radish (knife and not with rape
    – Decide chest cold and boiled rind (benefit for removing fat)
    – Cook the shrimp and soon cooked, cool by spraying with plenty of cold water and cut them in half lengthwise.
    – Mix by adding mint, onions and cilantro.

    sauce: a fish sauce + a drop of soy sauce drop light

    The ideal is to put the sauce at the last minute

  • Salade de poulet à la vietnamienne

    Salade de poulet à la vietnamienne

    Recette vietnamienne/ Cuisine vietnamienne

    Recettes asiatiques « light »et « diététiques » faciles

    Salade de poulet à la vietnamienne

    Temps de préparation : 1h sans compter la cuisson du poulet

    Pour 4 personnes :

    Ingrédients:

    • 1 poulet fermier
    • ¼ de choux blanc finement coupé
    • Une petite poignée de champignons noirs
    • 3 belles carottes râpées assez gros
    • Germes de soja ébouillantées au préalable (facultatif). L’idéal pour ce plat c’est de trouver une herbe très rare en France le Jao Jam et en mettre seulement quelques feuilles finement ciselées.
    • Assaisonnement  : Le goût doit être à votre convenance, alors allez-y molo en incorporant l’assaisonnement. Pour un bol
    • Échalotes finement hachées
    • 2 cuillère à soupe de vinaigre
    • ½ bol de Nuoc Mam préparé (en aucun cas pur)
    • ½ bol de jus de poulet

    Préparation

    La veille c’est plus facile, cuire dans de l’eau le poulet dans la cocotte ou bien à la vapeur. Attention bien garder le bouillon ! Le lendemain « l’émietter » en ne gardant ni la peau (ou très peu), ni les os. Mélanger : carottes râpées, oignons, choux, poulet, (germes de soja et jao jam.. facultatif)+ les champignons noirs au préalable réhydratés puis étreints et enfin finement ciselés.

    La cuisine asiatique est facile

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  • Soja au gingembre au wok (Recette chinoise)

    Soja au gingembre au wok (Recette chinoise)

    Soja au gingembre au wok (Recette chinoise/ cuisine chinoise)

    Recette chinoise/ cuisine chinoise

    soja sauté au gimgembre au wok

    Recettes asiatiques « light »et « diététiques » faciles

    Ingrédients

    - 1kg de soja
    - 1 petit bout de gingembre frais ecrasé (3cms environ)
    - 4 gousses d’ail écrasées
    - sauce d’huitre et sauce de soja
    - Persil chinois émincé

    Préparation

    - mettre une goutte d’huile dans un wok
    - faire revenir l’ail et le gingembre
    - puis jeter le soja, pas trop cuit afin qu’il reste croquant
    - à la fin mettre une c à soupe de sauce d’huitre, une de sauce de soja et une pincée de sel
    - présenter dans une assiette
    - rajouter le persil chinois

    La cuisine asiatique est facile

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  • Tofu au porc et champignons parfumés

    Tofu au porc et champignons parfumés

    Recette du Tofu au porc et champignons parfumés (Recette chinoise/ cuisine chinoise)

    Recette du Tofu au porc et champignons parfumés

    Recettes asiatiques « light »et « diététiques » faciles

    Recette chinoise/ cuisine chinoise

    Recette du Tofu au porc et champignons parfumés

    Pour 4 personnes
    Préparation 30 mn
    Ingrédients
    - 1 pain de tofu
    - 1 kg de palette de porc hachée
    - 3 oignons émincés
    - 7/8 champignons parfumés
    - sauce d’huitres (3 cs)
    - purée de piment (2cc)
    - 2 gousses d’ail

    Dans un premier temps, faire tremper les champignons parfumés dans de l’eau chaude afin qu’ils se réhydratent, puis les étreindre pour les faire dégorger au maximum. Les émincer en éliminant la queue.

    Dans un second temps, dans une poëlle faire revenir les oignons, l’ail et les champignons. Quand les oignons sont bien dorés, rajouter le porc. Remuer. Lorsque la viande est pour ainsi dire cuite, ajouter la sauce d’huître et le piment.

    Remuer puis réserver. Dans une grosse casserole, mettre à bouillir de l’eau, poser un bol dans la casserole dans lequel vous disposerez les tranches de tofu. Une fois chaude, les tranches sont à disposer dans les assiettes puis recouverte de la préparation au porc.

    Éventuellement ajouter un peu de sauce de poisson diluée et préparée. En tout cas ne pas oublier au moment de servir un sérieux tour de moulin à poivre.

    recette de Miss Louloute

    La cuisine asiatique est facile

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  • HANGZHOU

    HANGZHOU

     

    HANGZHOU ( Conseils pratiques et bons plans pour votre voyage en Chine)

    HANGZHOU

    Hangzhou est reconnue en tant que ville touristique paradisiaque. Un proverbe chinois va jusqu’à dire : il y a le paradis au ciel, et sur terre il y a Suzhou et Hangzhou. Hangzhou est une ville dont l’histoire remonte à 2200 ans, et c’est aussi l’une des sept ancienne capitale de la Chine. Les alentours de Hangzhou proposent deux stations balnéaires de réputation nationale et de nombreux sites historiques, deux réserves naturelles nationales, cinq parcs nationaux de forêts comme celui du lac des mille îles et de nombreuses villes de provinces pittoresques. La plupart des sites comme le très touristique « Lac de l’Ouest », sont proches du centre ville. Cela met en lumière l’interaction entre l’homme et la nature qui existe à Hangzhou.

    - “Géographie” : 
Hangzhou est la capitale de la province du Zhejiang et se trouve à l’extrémité sud du Grand Canal qui relie la ville de Pékin à Hangzhou. Elle est située à moins de 200km de Shanghai, au centre de la région du delta du fleuve Yangtze, une des six zones métropolitaines les plus importantes du monde.

    - “Population” : 
Hangzhou a une superficie de 16 596 km² et sa population compte plus de 2 millions d’âmes pour la ville elle-même et près de 7 millions dans le canton.

    - “Climat” : 
La ville compte quatre saisons distinctes grâce à son climat subtropical de mousson. Les températures moyennes annuelles sont de l’ordre de 16.2°C avec un minimum entre 1 et 7° en Janvier et un maximum pour le mois de Juin autour de 35°C. Les précipitations annuelles sont d’environ 1500 millimètres. Le printemps (de mars à mai) et l’automne (de septembre à novembre) sont les périodes les plus agréable pour le tourisme.

    - “Transport” : 
L’aéroport principal de Hangzhou est l’aéroport international de Xiaoshan. Les aéroports de Shanghai (l’aéroport international de Pudong et l’aéroport de Honqiao) sont assez proches. Le bus de Shanghai à Hangzhou met environ 2 heures de trajet et les voyageurs peuvent également atteindre Hangzhou en train à partir de Shanghai en 1heure. 
De nombreuses lignes de bus permettent de se déplacer facilement dans Hangzhou. La ville s’est même illustrée avec son service de taxi Mercedes de luxe lancé en 2005. Un métro devrait voir le jour dans la ville mais pas avant fin 2008. De nombreuses lignes sont d’ailleurs prévues.

    SITES TOURISTIQUES

    - Fei Lai Feng Selon la légende, un moine indien de haut rang, du nom de Hui Li arriva à Hangzhou. Il s’apercut que le paysage de cette montagne ressemblait beaucoup à une petite colline du pays du Bouddha, il crut alors que le maître fondateur du Bouddhisme, Sakyamuni, avait fait déplacer cette colline de L’Inde à Hangzhou. Il la nomma donc le pic de Fei Lai (arrivé en volant).

    - La pagode des 6 harmonies Située au Sud de la ville de Hangzhou, dans la Province du Zhejiang, la pagode des 6 harmonies fait environ 60 mètres de haut, pour 13 étages àl’extérieur mais seulement sept à l’intérieur. Elle se dresse sur une colline qui se nomme « Colline au Croissant de Lune » et surplombe la rivière Qian Tang Jiang.

    - La rue de Hefang La rue de Hefang est une rue d’architecture traditionnelle rénovée, où de nombreux stands d’objets artisanaux et de décoration se sont installés. La rues’étend de la place Wushan jusqu’à la rue Zhonghe.

    - La source des tigres qui courent Une légende raconte qu’en 819 aprés Jésus-Christ, un grand maîtrebouddhiste Xing Kong visita Hangzhou et s’y installa pour une courte période. Malheureusement pour lui, aucune source d’eau fraîche ne se trouvait à proximité de son lieu d’habitation. Il décida alors de quitter la ville.

    - Le grand canal Le canal reliant Pékin à Hangzhou est connu sous le nom de Grand Canal et fut un des grands projets fluviaux de la Chine ancienne. Débutant au Sud à Hangzhou dans la province du Zhejiang il remonte vers le Nord traversant les provinces du Jiangsu, du Shandong, du Hebei, et Tianjin pour finalement se terminer dans le canton de Tongxian au Nord de Pékin.

    - Le lac de l’Ouest A Hangzhou, le Lac de l’Ouest fait la fierté de ses habitants. C’est un lieu unique où les Hangzhounais ainsi que les touristes de Chine et du reste du monde viennent se promener au milieu de paysages magnifiques et dans une ambiance de romance et de plaisir.

    - Le mausolée de Yue Fei Yue Fei était un grand général de la dynastie Song qui repoussa l’invasion des Jin du Nord pendant le 12ème siècle. Mais, trahi par deux hauts officiers impériaux, Qin Hui et Zhang Jun, le Général Yue Fei fut envoyé en prison. Avant son exécution il déclara : Le ciel sait ce que j’ai fait pour mon pays, et les preuves d’une telle injustice seront éclaircies dans le futur !.

    - La société de sceaux de Xiling La société de sceaux de Xiling (lac de l’Ouest) fut fondée en 1904 par un maître de Hangzhou, spécialisé dans la réalisation de sceaux et de cachets. Le principe actuel de fabrication se veut en phase avec les méthodes passées.L’entreprise souhaite effectivement préserver les travaux des anciens et rechercher les techniques d’élaboration du sceau, de la calligraphie et de la peinture.

    - Le musée du thé Fondé en 1991, le musée du thé de Chine, est le seul musée national en Chine qui traite du thème du thé. Les locaux de ce musée se situent dans le paradisiaque village du thé de Longjing, au coeur de la région touristique du lac de l’Ouest à Hangzhou.

    - Le musée provincial du Zhejiang

    Le musée provincial du Zhejiang est, comme son nom l’indique, un musée régional. Situé au Sud de l’île de la colline solitaire, il fut construit en 1929 dans un style propre à l’architecture traditionnelle du Sud du Yangtze. En 1993, il fut rénové.