Étiquette : chine

  • ZHANG Hongyu

    ZHANG Hongyu

    ZHANG Hongyu, artiste chinois expose

    « ELLE »

    ZHANG Hongyu, artiste chinois

    Zhang Hongyu ou « Celui qui voyage sous le signe de l’eau. »

    Cet artiste contemporain dont l’approche figurative rejoint la grande tradition des expressionnistes occidentaux, n’en demeure pas moins un puriste de l’art extrême oriental où le dépouillement des formes et des couleurs satisfait à l’essentiel. Zhang Hongyu présente une œuvre marquée par une « mise en relief du sujet traité ».

    Cette approche peut-être considérée par certain comme désuette et pour d’autres elle touche au sublime ; il en est ainsi des goût et des couleurs. A l’heure ou l’on confond vitesse et précipitation, art et Pan Art.

    Retourner à l’essentiel, c’est cela être efficace ! Comme l’eau qui invariablement retourne à la source.

    JPB

  • Cauchemar pékinois (histoire vraie)

    Cauchemar pékinois (histoire vraie)

    Tribulations pékinoises ou le cauchemar de l’estomac !

    Tribulations pékinoises ou le cauchemar de l’estomac ! Tribulations pékinoises.

    Voilà comment a commencé le cauchemar pékinois. Banlieue de Pékin, 30° à l’ombre, mon amie la climatisation diffuse ses bienfaits . Il est 22H32 dans ce bel hôtel 4 étoiles où de riches chinois au fort pouvoir d’achat s’ébrouent dans l’immense hall richement décoré. De profonds fauteuils me tiennent tendrement prisonnier, une musique délicate, un rien soporifique, vampirise mon esprit vagabond, je suis tout à mon affaire : je ne fais absolument rien. Soudain j’entends mon nom éclater comme une bombe, traverser mon cerveau alangui et me cisailler les tympans. Je vois brusquement s’éloigner à tire d’ailes les instants de calme et de quiétude : on a besoin de mes services.

    Audi A6 et son chauffeur, l’homme d’affaires chinois , 2 chinoises et la route qui se dessine devant moi dans un cauchemar nocturne, 120kms/h, 140, 160, 180 sur la nationale. Rien ne nous arrête ni les lignes jaunes continues que nous chevauchons sans vergogne, allant même pendant plusieurs minutes rouler à contre courant pour ne nous rabattre qu’au dernier moment sous la mitraille des feux des véhicules venant en sens contraire, ni la circulation grouillante des véhicules bigarrés. Bientôt sur l’autoroute, l’Audi prend de la vitesse, s’envole à plus de 200kms/h avant de se déporter sur la bande d’arrêt d’urgence où elle se faufile entre les voitures sans jamais ralentir.

    Dans l’automobile, tout paraît normal, les occupants, indifférents à cette chevauchée fantastique, bavardent tranquillement. Je sue à grosses gouttes, l’estomac et les jambes serrées, les fesses aussi d’ailleurs, l’œil aux aguets et vraiment pas fier.

    Soudain l’auto freine dans un crissement de pneus et s’immobilise. Incroyable juste à l’intersection d’une bretelle de sortie d’autoroute. Les voitures défilent sur notre droite, sur notre gauche telles des balles de « Kalashnikof » nous rasant comme des lames affûtées…Notre dernier jour est venu, je me vois emporté par la cohorte hurlante et vrombissante de la circulation haineuse, adieu vaches, veaux, cochons. Sans un regard, l’une des passagère ouvre la portière, descend du véhicule, nous fait un coucou joyeux et disparaît comme emportées par la nuit ! Après cet arrêt inopiné, la puissante Audi dans un démarrage viril, s’élance de nouveau dans une terrifiante et effrayante course contre la montre.

    Deuxième partie du cauchemar pékinois

    Pékin et ses rues grouillantes nous accueillent enfin. La berline se faufile féline au cœur de cette foule indisciplinée. Après des négociations difficiles, nous déposons l’autre personne près de la place « Tien An Men ».

    L’Audi rageuse se jette hors de la ville et file à travers la nuit comme une bête fauve dans la jungle des voitures. De nouveau nous frôlons les glissières de sécurité à plus de 200. Le big boss ne parle ni anglais, ni français et m’adresse des regards courtois auquels je réponds par un sourire crispé et plein de dents. Le chauffeur, un bras à la portière, me jette parfois dans le rétroviseur un regard bovin et méfiant.

    Bientôt nous nous arrêtons et le boss me fait signe qu’il désire m’inviter à déguster un repas pour fêter la réussite de la négociation. A ce moment précis, le ciel me tombe sur la tête et le sol se dérobe sous les pieds. Dans l’hôtel je m’étais déjà servi un dîner gargantuesque et celui ci ne laissait à mon estomac pas la moindre place, même pour une cacahuète naine.

    Impossible de refuser au risque de vexer mon hôte. Me voilà plongé dans le pire des cauchemars, celui de l’oie du Périgord que l’on s‘apprête à gaver, pour en extraire le foie. D’habitude, entrer dans un restaurant m’aurait comblé, mais ce soir , j’ai l’étrange l’impression d’entrer dans un abattoir.

    Mon convive affublé de son chauffeur, sbire, homme de main ou serviteur, commande illico presto une multitude de plats aux noms imprononçables. Soudain sur la table se bousculent des côtes de moutons, des soupes, des viandes en sauce, du riz cuisiné…J’ai bien envie de fuir cette bouffe si peu conviviale, à l’odeur cauchemardesque qui colonise mes narines jusqu’au vomissement : je suis pris au piège de la bienséance.Des côtelettes de 30cms à faire semblant de manger avec appétit, des lamelles de soja à grignoter dans un rictus, du bœuf à déguster avec dégoût, une soupe à gerber en souriant, le purgatoire sur terre est chinois. Dès que mon opiniâtreté à manger se met à faiblir, mon hôte me fixe avec un regard rempli de reproches et insuffle, par un grognement significatif à mon esprit vaincu, une nouvelle force pour paraître satisfait et heureux.

    Troisième partie du cauchemar pékinois

    Mon seul désir, fuir loin de cette auberge espagnole, au pardon chinoise, vers un pays où l’on mourrait de faim seul, à l’ombre d’un arbre effeuillé et sans fruits.

    J’utilise alors toutes les ruses pour sourire de contentement, masquer mon dégoût. Je jette dès lors de la viande sous la table, je creuse sournoisement mon bol de riz avec mes doigts, je rogne les côtelettes d’un seul côté feignant ainsi, par la mise en scène, apprécier ce terrible repas. Le chauffeur, les yeux baissés, boulotte des montagnes de nourriture et me sert des rasades de coca non-stop. Entre 2 rots satisfaits, « big boss » fort sympathique de surcroît, engouffre un nombre incalculable de mets exotiques en jetant sur la table tous les os, les peaux, les restes et bientôt celle ci ne ressemble plus guère qu’à un cimetière à ciel ouvert. Pas un seul mot ne sera échangé du fait de la frontière des langues, des bruits de bouche à concurrencer les les décibels des concerts de hard-rock, rien que de la convivialité à l’état pur. Je redoutais particulièrement le dessert asiatique non adapté aux palais des européens. Mon estomac dans un dernier hoquet d’agonie, brandit naturellement le drapeau blanc, incapable de supporter les prochains assauts de la gastronomie chinoise.

    Sauvé, pas de sucreries exotiques, big boss se lève soudain et je le suis hors du restaurant. Une poignée de main franche et amicale et mes 2 amis disparaissent dans la nuit noire comme ils étaient venus.

    Mon estomac, encore tout ébranlé par la peur de la vitesse et un trop plein de nourriture, se met à entonner goûluement un chapelet de rototos libérateurs et joyeux.

    HV

    Tribulations Pekinese or the nightmare of the stomach!

    Tribulations Pekinese or the nightmare of the stomach! Tribulations Pekinese.

    Beijing suburb, 30 ° in the shade, my friend conditioning diffuse its benefits. It is 10:32 p.m. in this beautiful 4 star hotel where wealthy Chinese with high purchasing power snort in the huge ornate lobby. Deep armchairs tenderly hold me prisoner, a delicate music, a soporific nothing vampirizes my wandering mind, I’m in my case: I absolutely do nothing. Suddenly I hear my name burst like a bomb through my brain languid and shear my eardrums. I see suddenly pulls away to wing the moments of peace and quiet: you need my services.

    Audi A6 and his driver, the Chinese businessman, two Chinese and the road looming before me in a nocturnal nightmare, 120kms / h, 140, 160, 180 on the national. Nothing stops us or continuous yellow lines as we ride shamelessly, even going for several minutes ride against the tide for us not fall back at the last moment under fire for fire vehicles coming in the opposite direction, or the teeming traffic colorful vehicles. Soon on the highway, the Audi takes speed, flies to over 200kms / h before being deported on the emergency lane where she weaves between cars without ever slowing down.

    In the car, everything seems normal, occupants, indifferent to this fantastic ride, chatting quietly. I sweat profusely, stomach and legs together, buttocks as elsewhere, the eyes alert and really not proud.

    Suddenly the car brakes in a squeal of tires and stopped. Unbelievable just the intersection of a highway exit ramp. The cars parading on our right, on our left like bullets « Kalashnikof » skimming us as sharp blades … Our last day came, I see carried away by the howling and roaring cohort traffic hateful, farewell cows, calves, pigs. Without a glance, one of the passenger opened the door, out of the car, we made a cheerful hello and disappears as blown away by night! After this unexpected stop, the powerful Audi in a manly start, rushed back into a terrifying and frightening race against time.

    Beijing and its teeming streets we finally welcome. The sedan feline sneaks in the heart of this unruly crowd. After difficult negotiations, we place the other person near the square « Tiananmen ».

    The Audi raging flows out of town and took it through the night like a wild beast in the jungle of cars. Again we frôlons guardrails to over 200. The big boss speaks neither English nor French and courteous looks of the seminar I address myself answer with a tight smile and full of teeth. The driver, an arm of the window, sometimes throws me in the rearview mirror cattle and suspicious look.

    Soon we stop and the boss made me sign that he wants to invite me to enjoy a meal to celebrate the success of the negotiations. At that moment, the sky fell on my head and the ground from under the feet. In the hotel I was already served me a gargantuan dinner and this one did not let my stomach any place, even for a dwarf peanut.

    Unable to deny the risk to offend my host. Here I am plunged into the worst nightmare, that of the Périgord goose that one is about to gorge, to extract the liver. Usually walk into a restaurant would have favored me, but tonight I feel strange to go into a slaughterhouse.

    My guest tricked his driver, minion, henchman or servant, illico presto control a multitude of dishes with unpronounceable names. Suddenly on the table are scrambling sheep ribs, soups, meat sauce, cooked rice … I really want to run away this food so uninviting, the nightmarish smell that colonizes my nostrils until vomiting: I’m trapped in bienséance.Des chops 30cms pretend to eat with relish, soy slices snack in a grin, beef to enjoy with disgust, soup gerber smiling, purgatory on earth is Chinese. As soon as my obstinacy room starts to falter, my host fixed me with a look filled with reproaches and breathes through a significant grunt to overcome my mind, a new force to appear satisfied and happy.

    My only desire, run away from this Spanish inn in Chinese pardon, to a country where they would die of hunger alone in the shade of a leafless tree without fruit.

    I then use all the tricks for contented smile, hide my disgust. Therefore I throw meat under the table, I dig slyly my bowl of rice with my fingers, I trim the chops on one side and pretending, for the staging, enjoy this terrible meal. The driver, looking down, dumpy food mountains and serves me non-stop coca bumpers. Between 2 satisfied burps, « big boss » very nice moreover, engulfs countless exotic dishes by throwing on the table all the bones, skins, the remains and soon this one hardly looks at a sky Cemetery opened. Not one word will be exchanged because of the language border, mouth noises to compete with the decibels of hard rock concerts, nothing but pure friendliness. I feared particularly the Asian dessert not suitable for European palace. My stomach in a last gasp of agony, naturally waved the white flag, unable to withstand the coming onslaught of Chinese gastronomy.

    Sauvé, no exotic sweets, big boss suddenly I’m up and out of the restaurant. A handful of frank and friendly hand and my 2 friends disappear into the night as they came.

    My stomach, still shaken by fear of speed and too full of food, begins to intone a string of greedily rototos liberating and joyful.

  • Dentier chinois ( Histoire vraie).

    Dentier chinois ( Histoire vraie).

    Le vol plané du dentier ( Histoire vraie et humour).

    Le vol du dentier chinois

    Avec une bande de copains nous étions partis en Chine pour un séjour touristique en 2000. Très désireux de connaître le Pékin grouillant de vie , nous avions hélé de vrais pousse- pousses Avant toute virée dans cette ville aux « mille surprises » nous nous étions convenu d’un prix global raisonnable.

    original

    Après une promenade des plus périlleuses nous atteignîmes le but de notre escapade : le marché des perles, la Mecque des achats touristiques. Les tireurs de pousse- pousses nous demandèrent le double de la somme convenue pendant la négociation. Le ton monta très vite, nous en français et eux en chinois. Evidemment personne ne se comprenait. En Chine quand l’on parle de chiffres il est facile de s’exprimer en anglais, mais au delà chacun emploie sa langue maternelle.

    Un chinois plus énervé que les autres, clapissait tel un pitbull en colère, crachant des postillons comme un volcan en irruption. Quand soudain son dentier comme une fusée s’arrachant de sa bouche vint atterrir sur le trottoir. A cet instant un silence lourd, au milieu du vacarme de la ville, se fit entendre. Tous nous nous regardâmes… Le propriétaire du dentier se précipita sur son bien et plus rapide que son ombre « l ‘enfourna » dans la bouche …La trêve terminée la négociation reprit de plus belle.

    Dentier chinois voyageur!!!

    _ HV

    Copyright © 2006-2009 – Tous droits réservés

    Hover denture (True story and humor).

    The flight of dentures Chinese

    With a group of friends we had left China for tourism in 2000. Anxious to know the Beijing teeming with life, we hailed real pusher shoots Before any trip in this city of « a thousand surprises » we had agreed Overall a reasonable price.

    original

    After a walk of the most dangerous we reached the goal of our trip: the pearl market, the Mecca of tourist purchases. Shooters shoots pusher asked us double the agreed amount during negotiation. The tone went very quickly, we French and them in Chinese. Obviously nobody understood. In China when we talk about numbers it is easy to speak English, but beyond everyone uses his mother tongue.

    Chinese edgier than others, such clapissait pitbull angry, spitting postillions like a volcano eruption. Suddenly his dentures like a rocket tearing his mouth came to land on the pavement. At that moment a heavy silence, amid the din of the city, was heard. All we looked … The owner of the denture rushed to her well and faster than his shadow « the stuffed » in the mouth … The truce ended negotiations resumed more belle.é

  • Chinoises souriantes

    Chinoises souriantes

    Carnets de voyage en Asie, des chinoises souriantes et modernes !

    – Carnets de voyage en Asie

    Des chinoises souriantes et vraiment sympas

    L’on m’avait fait savoir que les chinoises étaient des filles très discrètes et peu souriantes. A ma grande stupéfaction, elles sont adorables et je dirais plutôt extraverties.

    Eh oui mon bon monsieur le monde change et les mentalités aussi. Admirons donc leurs sourires taquins, leur bonne humeur et parfois aussi leur allure altière pleine de classe.

    Un sourire enigmatique !

     

    ©Reportages d’asie et asie reportages

  • Recette du poulet blanc à la chinoise et son bouillon

    Recette du poulet blanc à la chinoise et son bouillon

    drapeau chinoisRecette du poulet blanc à la chinoise et son bouillon

    Recette chinoise/ cuisine chinoisepoulet-coq-volaille-crête-images-gratuites1-1560x1037

    Recettes asiatiques « light »et « diététiques » faciles

    Recette du poulet blanc à la chinoise et son bouillon

    Ingrédients
    - 1 poulet (fermier de préférence)
    - sauce de soja
    - purée de piments
    - 1 à 3 c à soupe de sauce de poissons selon la quantité d’eau de cuisson
    - coriandre finement haché
    Préparation
    - cuire le poulet dans de l’eau salée
    - dès qu’il est cuit le sortir et le laisser refroidir
    - ensuite découper le poulet en petits morceaux (ex un haut de cuisse en 4).
    - bouillon= eau de cuisson du poulet+ un peu de sauce de poissons+coriandre+poivre
    - déguster le poulet en le trempant dans la sauce de soja+purée de piments et du riz parfumé
    - conseil manger le poulet en alternance avec le bouillon car les goûts sont complémentaires.

    La cuisine asiatique est facile

    Si vous avez une recette light, diététique et facile n’hésitez pas à nous la faire connaître et nous nous ferons un plaisir de la mettre illico presto en ligne. Merci

    SRecette white Chinese chicken and broth

    Chinese Recipes / Cooking chinoisepoulet barnyard poultry peak-image gratuites1-1560×1037

    Asian recipes « light » and « diet » easy

    White chicken recipe with Chinese and broth

    ingredients
    – 1 chicken (preferably farmer)
    – Soy sauce
    – Mashed peppers
    – 1 to 3 tablespoons fish sauce according to the amount of cooking water
    – Finely chopped cilantro
    preparation
    – Cook chicken in salted water
    – As soon as it is cooked take it out and let it cool
    – Then cut the chicken into small pieces (eg a thigh 4).
    – = Broth chicken cooking water + a little fish sauce + pepper + cilantro
    – Chicken taste by soaking it in soy sauce + mashed chillies and fragrant rice
    – Council eat chicken alternately with broth because tastes are complementary.

     

  • Salade chinoise aux crevettes

    Salade chinoise aux crevettes

    drapeau chinoisSalade chinoise aux crevettes

    (cuisine chinoise/recette chinoise)

    Recettes asiatiques « light »et « diététiques » faciles

    photo sans carottes

    Recette chinoise

    cuisine chinoise

    Salade chinoise aux crevettes

    Ingrédients
    500 gr d’échine de porc découennée et bouillie
    500 gr de grosses crevettes surgelées sans la tête
    3 grosses carottes rappées grossièrement
    20 cm de navet chinois (ou radis noir) découpé en filaments
    feuilles de menthe ( selon votre goût).
    coriandre frais ( selon votre goût)
    2 oignons nouveaux

    Préparation
    Raper les carottes
    raper à la main le radis chinois (au couteau et non avec une rape
    trancher la poitrine froide bouillie et découennée (profiter pour enlever du gras)
    cuire les crevettes et sitôt cuites, les refroidir en les arrosant abondamment d’eau froide puis les couper en deux dans le sens de la longueur.
    Mélanger en rajoutant menthe, oignons et coriandre.

    la sauce : une goutte de sauce de poisson + une goutte de sauce de soja light

    L’idéal c’est de mettre la sauce au dernier moment

    ***

    ENGLISH

    Chinese Shrimp Salad (Chinese cuisine / Chinese recipe)

    Asian recipes « light » and « diet » easy

    Photo without carrots

    Chinese Recipes

    Chinese cuisine

    Chinese salad with prawns

    Ingredients
    – 500 gr loin pork rind boiled
    – 500g large frozen shrimp without head
    – 3 large carrots coarsely rapped
    – 20 cm in Chinese turnip (or horseradish) cut into filaments
    – Mint leaves (to taste).
    – Fresh coriander (to taste)
    – 2 spring onions

    Preparation
    – Grate the carrots
    – Hand raper Chinese radish (knife and not with rape
    – Decide chest cold and boiled rind (benefit for removing fat)
    – Cook the shrimp and soon cooked, cool by spraying with plenty of cold water and cut them in half lengthwise.
    – Mix by adding mint, onions and cilantro.

    sauce: a fish sauce + a drop of soy sauce drop light

    The ideal is to put the sauce at the last minute

  • Salade de poulet à la vietnamienne

    Salade de poulet à la vietnamienne

    Recette vietnamienne/ Cuisine vietnamienne

    Recettes asiatiques « light »et « diététiques » faciles

    Salade de poulet à la vietnamienne

    Temps de préparation : 1h sans compter la cuisson du poulet

    Pour 4 personnes :

    Ingrédients:

    • 1 poulet fermier
    • ¼ de choux blanc finement coupé
    • Une petite poignée de champignons noirs
    • 3 belles carottes râpées assez gros
    • Germes de soja ébouillantées au préalable (facultatif). L’idéal pour ce plat c’est de trouver une herbe très rare en France le Jao Jam et en mettre seulement quelques feuilles finement ciselées.
    • Assaisonnement  : Le goût doit être à votre convenance, alors allez-y molo en incorporant l’assaisonnement. Pour un bol
    • Échalotes finement hachées
    • 2 cuillère à soupe de vinaigre
    • ½ bol de Nuoc Mam préparé (en aucun cas pur)
    • ½ bol de jus de poulet

    Préparation

    La veille c’est plus facile, cuire dans de l’eau le poulet dans la cocotte ou bien à la vapeur. Attention bien garder le bouillon ! Le lendemain « l’émietter » en ne gardant ni la peau (ou très peu), ni les os. Mélanger : carottes râpées, oignons, choux, poulet, (germes de soja et jao jam.. facultatif)+ les champignons noirs au préalable réhydratés puis étreints et enfin finement ciselés.

    La cuisine asiatique est facile

    Avec asietralala vous saurez tout sur LA CUISINE ASIATIQUE

    Si vous avez une recette light, diététique et facile n’hésitez pas à nous la faire connaître et nous nous ferons un plaisir de la mettre illico presto en ligne. Merci

     

  • Soja au gingembre au wok (Recette chinoise)

    Soja au gingembre au wok (Recette chinoise)

    Soja au gingembre au wok (Recette chinoise/ cuisine chinoise)

    Recette chinoise/ cuisine chinoise

    soja sauté au gimgembre au wok

    Recettes asiatiques « light »et « diététiques » faciles

    Ingrédients

    - 1kg de soja
    - 1 petit bout de gingembre frais ecrasé (3cms environ)
    - 4 gousses d’ail écrasées
    - sauce d’huitre et sauce de soja
    - Persil chinois émincé

    Préparation

    - mettre une goutte d’huile dans un wok
    - faire revenir l’ail et le gingembre
    - puis jeter le soja, pas trop cuit afin qu’il reste croquant
    - à la fin mettre une c à soupe de sauce d’huitre, une de sauce de soja et une pincée de sel
    - présenter dans une assiette
    - rajouter le persil chinois

    La cuisine asiatique est facile

    Si vous avez une recette light, diététique et facile n’hésitez pas à nous la faire connaître et nous nous ferons un plaisir de la mettre illico presto en ligne. Merci

     

  • Tofu au porc et champignons parfumés

    Tofu au porc et champignons parfumés

    Recette du Tofu au porc et champignons parfumés (Recette chinoise/ cuisine chinoise)

    Recette du Tofu au porc et champignons parfumés

    Recettes asiatiques « light »et « diététiques » faciles

    Recette chinoise/ cuisine chinoise

    Recette du Tofu au porc et champignons parfumés

    Pour 4 personnes
    Préparation 30 mn
    Ingrédients
    - 1 pain de tofu
    - 1 kg de palette de porc hachée
    - 3 oignons émincés
    - 7/8 champignons parfumés
    - sauce d’huitres (3 cs)
    - purée de piment (2cc)
    - 2 gousses d’ail

    Dans un premier temps, faire tremper les champignons parfumés dans de l’eau chaude afin qu’ils se réhydratent, puis les étreindre pour les faire dégorger au maximum. Les émincer en éliminant la queue.

    Dans un second temps, dans une poëlle faire revenir les oignons, l’ail et les champignons. Quand les oignons sont bien dorés, rajouter le porc. Remuer. Lorsque la viande est pour ainsi dire cuite, ajouter la sauce d’huître et le piment.

    Remuer puis réserver. Dans une grosse casserole, mettre à bouillir de l’eau, poser un bol dans la casserole dans lequel vous disposerez les tranches de tofu. Une fois chaude, les tranches sont à disposer dans les assiettes puis recouverte de la préparation au porc.

    Éventuellement ajouter un peu de sauce de poisson diluée et préparée. En tout cas ne pas oublier au moment de servir un sérieux tour de moulin à poivre.

    recette de Miss Louloute

    La cuisine asiatique est facile

    Si vous avez une recette light, diététique et facile n’hésitez pas à nous la faire connaître et nous nous ferons un plaisir de la mettre illico presto en ligne. Merci

     

  • HANGZHOU

    HANGZHOU

     

    HANGZHOU ( Conseils pratiques et bons plans pour votre voyage en Chine)

    HANGZHOU

    Hangzhou est reconnue en tant que ville touristique paradisiaque. Un proverbe chinois va jusqu’à dire : il y a le paradis au ciel, et sur terre il y a Suzhou et Hangzhou. Hangzhou est une ville dont l’histoire remonte à 2200 ans, et c’est aussi l’une des sept ancienne capitale de la Chine. Les alentours de Hangzhou proposent deux stations balnéaires de réputation nationale et de nombreux sites historiques, deux réserves naturelles nationales, cinq parcs nationaux de forêts comme celui du lac des mille îles et de nombreuses villes de provinces pittoresques. La plupart des sites comme le très touristique « Lac de l’Ouest », sont proches du centre ville. Cela met en lumière l’interaction entre l’homme et la nature qui existe à Hangzhou.

    - “Géographie” : 
Hangzhou est la capitale de la province du Zhejiang et se trouve à l’extrémité sud du Grand Canal qui relie la ville de Pékin à Hangzhou. Elle est située à moins de 200km de Shanghai, au centre de la région du delta du fleuve Yangtze, une des six zones métropolitaines les plus importantes du monde.

    - “Population” : 
Hangzhou a une superficie de 16 596 km² et sa population compte plus de 2 millions d’âmes pour la ville elle-même et près de 7 millions dans le canton.

    - “Climat” : 
La ville compte quatre saisons distinctes grâce à son climat subtropical de mousson. Les températures moyennes annuelles sont de l’ordre de 16.2°C avec un minimum entre 1 et 7° en Janvier et un maximum pour le mois de Juin autour de 35°C. Les précipitations annuelles sont d’environ 1500 millimètres. Le printemps (de mars à mai) et l’automne (de septembre à novembre) sont les périodes les plus agréable pour le tourisme.

    - “Transport” : 
L’aéroport principal de Hangzhou est l’aéroport international de Xiaoshan. Les aéroports de Shanghai (l’aéroport international de Pudong et l’aéroport de Honqiao) sont assez proches. Le bus de Shanghai à Hangzhou met environ 2 heures de trajet et les voyageurs peuvent également atteindre Hangzhou en train à partir de Shanghai en 1heure. 
De nombreuses lignes de bus permettent de se déplacer facilement dans Hangzhou. La ville s’est même illustrée avec son service de taxi Mercedes de luxe lancé en 2005. Un métro devrait voir le jour dans la ville mais pas avant fin 2008. De nombreuses lignes sont d’ailleurs prévues.

    SITES TOURISTIQUES

    - Fei Lai Feng Selon la légende, un moine indien de haut rang, du nom de Hui Li arriva à Hangzhou. Il s’apercut que le paysage de cette montagne ressemblait beaucoup à une petite colline du pays du Bouddha, il crut alors que le maître fondateur du Bouddhisme, Sakyamuni, avait fait déplacer cette colline de L’Inde à Hangzhou. Il la nomma donc le pic de Fei Lai (arrivé en volant).

    - La pagode des 6 harmonies Située au Sud de la ville de Hangzhou, dans la Province du Zhejiang, la pagode des 6 harmonies fait environ 60 mètres de haut, pour 13 étages àl’extérieur mais seulement sept à l’intérieur. Elle se dresse sur une colline qui se nomme « Colline au Croissant de Lune » et surplombe la rivière Qian Tang Jiang.

    - La rue de Hefang La rue de Hefang est une rue d’architecture traditionnelle rénovée, où de nombreux stands d’objets artisanaux et de décoration se sont installés. La rues’étend de la place Wushan jusqu’à la rue Zhonghe.

    - La source des tigres qui courent Une légende raconte qu’en 819 aprés Jésus-Christ, un grand maîtrebouddhiste Xing Kong visita Hangzhou et s’y installa pour une courte période. Malheureusement pour lui, aucune source d’eau fraîche ne se trouvait à proximité de son lieu d’habitation. Il décida alors de quitter la ville.

    - Le grand canal Le canal reliant Pékin à Hangzhou est connu sous le nom de Grand Canal et fut un des grands projets fluviaux de la Chine ancienne. Débutant au Sud à Hangzhou dans la province du Zhejiang il remonte vers le Nord traversant les provinces du Jiangsu, du Shandong, du Hebei, et Tianjin pour finalement se terminer dans le canton de Tongxian au Nord de Pékin.

    - Le lac de l’Ouest A Hangzhou, le Lac de l’Ouest fait la fierté de ses habitants. C’est un lieu unique où les Hangzhounais ainsi que les touristes de Chine et du reste du monde viennent se promener au milieu de paysages magnifiques et dans une ambiance de romance et de plaisir.

    - Le mausolée de Yue Fei Yue Fei était un grand général de la dynastie Song qui repoussa l’invasion des Jin du Nord pendant le 12ème siècle. Mais, trahi par deux hauts officiers impériaux, Qin Hui et Zhang Jun, le Général Yue Fei fut envoyé en prison. Avant son exécution il déclara : Le ciel sait ce que j’ai fait pour mon pays, et les preuves d’une telle injustice seront éclaircies dans le futur !.

    - La société de sceaux de Xiling La société de sceaux de Xiling (lac de l’Ouest) fut fondée en 1904 par un maître de Hangzhou, spécialisé dans la réalisation de sceaux et de cachets. Le principe actuel de fabrication se veut en phase avec les méthodes passées.L’entreprise souhaite effectivement préserver les travaux des anciens et rechercher les techniques d’élaboration du sceau, de la calligraphie et de la peinture.

    - Le musée du thé Fondé en 1991, le musée du thé de Chine, est le seul musée national en Chine qui traite du thème du thé. Les locaux de ce musée se situent dans le paradisiaque village du thé de Longjing, au coeur de la région touristique du lac de l’Ouest à Hangzhou.

    - Le musée provincial du Zhejiang

    Le musée provincial du Zhejiang est, comme son nom l’indique, un musée régional. Situé au Sud de l’île de la colline solitaire, il fut construit en 1929 dans un style propre à l’architecture traditionnelle du Sud du Yangtze. En 1993, il fut rénové.