boeuf aux piments et basilic au wok (cuisine thaïlandaise)
boeuf aux piments et basilic au wok
pour 4 bons mangeurs
Ingrédients 800g de viande de boeuf (rumsteak) découpée en lamelles 3 belles branches de basilic frais dont la moitié coupée finement 5 cuillères à soupe de sauce de poisson 1 et 1/2 piments rouges frais découpés en fines rondelles 7 gousses d’ail hachées 3 cuillères à café de gingembre frais haché 20 petites cuillères à soupe d’huile d’arachide 1 cuillère à soupe de sucre brun 1cuillère à soupe jus de citron frais sel et poivre
Préparation tremper la viande pedant 1h dans une marinade ( la sauce de poisson+ le sucre) faire revenir les feuilles de basilic non découpées dans de l’huile pas plus de 1mn, retirer les et les déposer sur du papier sopalin afin d’absorber l’huile. retirer l’huile en n’en laissant qu’un fond et y faire revenir piment+ ail+ gingembre ajouter ensuite la viande marinée et la basilic émincé ; laisser cuire environ 5mns puis mouiller avec le jus de citron enfin saler et poivrer déposer le tout dans un plat et enjoliver le tout en entourant de feuilles de basilic entières (celles du début)
Recette d’un internaute
Ingrédients asiatiques
La cuisine asiatique est facile
Avec asietralala vous saurez tout sur LA CUISINE ASIATIQUE
Si vous avez une recette asiatique facile et délicieuse, n’hésitez pas à nous la faire connaître et nous nous ferons un plaisir de la mettre illico presto en ligne. Merci
Petite incursion à la cour royale au XVIII ème siècle
BANQUET ROYAL A LA COUR DE CORÉE : petite incursion à la cour royale au XVIII ème siècle, le temps de fêter les soixante ans de la reine- mère …
Le vent souffle en rafale. Des tourbillons de feuilles vont et viennent ; le ciel est bas, plombé, gris.
Ambiance complètement différente dans la salle de spectacle du musée ; Un décor chatoyant, festif, floral ; c’est la reconstitution sur scène de la salle de réception à la cour. En arrière- plan, tâche lumineuse rouge hibiscus, les musiciens jouent un air lancinant qui contribue à nous faire lâcher prise avec le temps.
Le spectacle se déroule comme un tableau animé. Sur un écran, discret, des informations en français défilent pour présenter les différentes étapes solennelles du banquet.
On assiste alors à tout le déroulement de la cérémonie, très codifié et cérémonial, et entrecoupé de moments plus dynamiques, où la musique s’anime sur un trois temps et permet aux danseuses d’évoluer gracieusement sur la scène. En final, la danse de la grue et du lotus clôture de façon un peu plus active le déroulement de la cérémonie.
Un peu déroutée au départ, je me suis finalement laissée emporter dans cette frise très esthétique. Les costumes sont superbes, les déplacements élégants et raffinés, le temps s’efface devant la tranquillité des rituels qui se succèdent ; on flotte alors comme ces danseuses qui donnent l’impression de marcher sur un tapis de nuages …
Pour les curieux, un petit prospectus distribué avant le spectacle donne quelques informations supplémentaires sur la culture artistique traditionnelle en Corée ; musique et danse y sont à l’honneur.
Ce soir- là, en sortant, les couleurs ont perduré dans la nuit, sensation très agréable et que j’ai prolongée autour, non pas d’un banquet royal, mais d’un dîner fort sympathique avec mon rédacteur en chef, en toute simplicité !
est un fruit exotique qui peut se déguster en dessert ( au sirop) ou en salade (la fameuse salade de papayes) . Fruit saisonnier il n’est pas toujours bon…affaire à suivre. Dans les sorbets il prend toute sa splendeur gustative. Avant la papaye était rare et chère, aujourd’hui ce fruit est accessible à toutes les bourses. On trouve aussi de la papaye sous forme de fruits confits.
Travers de porc au caramel (cuisine chinoise, recette chinoise)
Recette chinoise/ cuisine chinoise
Travers de porc au caramel
Pour 4 personnes
Photo Photo Marie- Claire et Frédéric, non contractuelle
Ingrédients
1,500 kg de travers de porc découpés en petites portions Du laurier 2 c à soupe de vinaigre de vin( blanc) 2 gousses d’ail haché 1 et demi ou 2 c à soupe de miel 3 c à soupe de sauce de soja light 20 dl de bouillon de volaille 2 C à café de sucre
Préparation
Mettre le laurier dans de l’eau jusqu’à ébullition Puis y faire blanchir les travers de porc et les déposer dans un sopalin Faire une marinade vinaigre + miel + l’ail + sucre bien enrober la viande de cette marinade Déposer les travers dans un plat et y rajouter la sauce de soja +le bouillon + sel Déposer dans un four très chaud et attendre que le porc se caramélise et que le dessus se mette à frétiller terminer en rajoutant du avant de servir
La cuisine asiatique est facile
LA CUISINE ASIATIQUE
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Porc au caramel (cuisine vietnamienne, recette vietnamienne)
Recette vietnamienne/ Cuisine vietnamienne
Recette du Porc au caramel
Les ingrédients :
3 gousses d’ail
500g d’échine
5 cuillérées à soupe de sauce de poisson (Nuoc mam)
5 cuillérées à soupe de caramel
1 cuillérée à soupe de sucre
La préparation :
D’abord faire chauffer à feu moyen une poêle avec de l’huile et l’ail, dès que ce dernier commence à roussir mettre le porc coupé soit en lamelles, soit en petits cubes …C’est selon votre désir personnel .
Quand la viande est à moitié cuite vous ajoutez le caramel, la sauce de poisson et le sucre.
A ce moment précis le tout forme un amas pas très ragoûtant comme de la lave en ébulition.
Vous laissez à feu doux en remuant régulièrement…le tout va réduire et la viande prendra une belle couleur dorée à souhait. N’hésitez pas à goûter et rajouter une cuillérée de ….ou de … selon votre goût.
Si la sauce finale vous semble trop épaisse, à vous de rajouter une larme d’eau.
Quand Max nous a proposé, très gentiment, de venir photographier notre petite chanteuse, nous pensions qu’il allait venir avec son appareil et commencer la séance au bout de 5 minutes. Non, non, non les amis…. Max est venu pour nous expliquer sa démarche artistique et esthétique. Max nous a présenté des livres de photos d’art pour nous initier aux différentes tendances illustrées par les plus grands photographes contemporains. Nous découvrons grâce à lui un nouvel univers où technique, créativité et souci du détail sont “maître mot”.
Petit à petit, en écoutant Max et en feuilletant ces albums, nous comprenons qu’une nouvelle aventure commence. Nous décidons ensemble du style, de l’ambiance de chaque cliché. Un repérage est organisé, rien n’est laissé au hasard. Le rendez-vous est pris pour la semaine suivante.
Ce jour-là, Max arrive avec Emmanuel, son précieux assistant. Nous sommes impressionnés par tout le matériel professionnel déployé: des fonds noirs, des réflecteurs etc… Max est aux commandes. Comme un ballet mille fois joué, c’est presque une histoire sans parole entre ce père et son fils…quelle belle collaboration.
Nous sommes immédiatement bluffés par la technique sans faille, le professionnalisme est au rendez-vous. Max sait ce qu’il cherche chez son modèle: un regard particulier, la fameuse étincelle qui garantie le cliché idéal…nous sommes spectateurs de cette démarche artistique.
Loin des photos aux ambiances redondantes, aux décorations pléthoriques, Max donne aux différents clichés épurés ce supplément d’âme qu’on nomme “Talent”.
Les Enfants du Mékong, une association qui donnent aux enfants des perspectives d’avenir, un futur des plus clair, et aussi une vraie enfance. Le premier droit des enfants c’est d’avoir des droits et particulièrement pouvoir accéder à la culture et à l’éducation.
Nous sommes allés les voir à Asnières: ambiance décontractée, conviviale. Autour d’un déjeuner nous pûmes parler des différentes actions des Enfants du Mékong. Puis ce fut la visite des locaux. Nous avons ressenti à l’association les Enfants du Mékong ce désir de bien faire, d’aller de l’avant, d’aider, de soutenir et surtout essayer d’améliorer la condition des enfants d’Asie.
Oui à souligner aussi que les Enfants du Mékong ont une gestion très rigoureuse et que les frais de fonctionnement sont réduits au minimum; c’est effectivement un point important à noter!
RENÉ PÉCHARD, LE FONDATEUR
L’histoire d’Enfants du Mékong commence comme un conte de fées. « Il était une fois … » un dentiste de Vientiane recueille sur le pas de sa porte deux enfants qui vivent dans la rue. Ils ont faim et ne peuvent pas aller à l’école. Convaincu « qu’il y a plus de joie à voir un enfant à l’école que dans la rue », René Péchard décide d’accueillir ces enfants et les place dans un internat à Xiang Khouang : le pensionnat Saint-Joseph. Peu après, approchent la fin de l’année et la fête de Noël. Voulant venir en aide au foyer de ses pupilles, René Péchard lance un appel aux fabricants français de couvertures. Dans un élan de générosité, ceux-ci décident de faire un don de 100 francs en plus des couvertures envoyées à monsieur Péchard. L’association des amis du pensionnat de Saint-Joseph naît de la nécessité de créer une structure pour encaisser ce don. Après plusieurs étapes, l’association deviendra « Enfants du Mékong » en 1977.
On nous demande souvent quelle est notre ambition ? Notre conviction, c’est que les enfants pauvres et souffrants qui nous appellent à l’aide peuvent être des modèles exemplaires pour leur pays. C’est pourquoi il faut les accompagner à se construire intellectuellement mais aussi affectivement et moralement afin de devenir des adultes responsables et soucieux du bien commun.
Guillaume d’Aboville, directeur général
« Enfants du Mékong est une association de parrainage, qui permet à 23 000 enfants pauvres d’Asie du Sud-Est d’aller à l’école. Les enfants parrainés vivent dans 6 pays : Vietnam, Birmanie, Cambodge, Thaïlande, Philippines et Laos.
Le parrainage est un soutien concret et efficace pour un enfant.
-C’est un soutien financier : pour 28€ par mois (déductibles à 75%, soient 7€ par mois après déduction fiscale), vous permettez à votre filleul d’acheter son matériel scolaire, ses livres, de payer le bus ou un vélo pour aller à l’école. Un petit complément va également à sa famille pour lui permettre de compenser le fait que son enfant ne travaille plus.
-C’est un soutien moral : en envoyant des lettres à votre filleul, vous l’encouragez à poursuivre sa scolarité, lui permettez de s’ouvrir au monde et de reprendre confiance en lui.
Sur place, nos bénévoles locaux sont épaulés par des volontaires français. Ils s’assurent ensemble que l’argent est bien utilisé, et suivent votre filleul au mieux pour l’aider à grandir. L’association Enfants du Mékong est labellisée Idéas, un organisme indépendant qui s’assure de la bonne gestion, la bonne utilisation des fonds et de l’efficacité de l’action.
Plusieurs dizaines d’enfants attendent aujourd’hui un parrain ou une marraine. Lancez-vous dans cette belle aventure humaine !
Enfants du Mékong est une organisation non gouvernementale soutenant l’éducation d’enfants issus de familles très pauvres et des projets de développement durable liés à la protection de l’enfance et à la scolarisation, dans les pays du Sud-Est asiatique bordant le fleuve Mékong ainsi qu’aux Philippines.
Prométhée humanitaire, l’association créée par Claire Falisse une fois de plus a réjoui les nombreux personnes à la recherche d’un magnifique cadeau mais à petit prix.
Et comme d’habitude, ce fut un vrai succès malgré le « corona virus » (covid19) qui s’est abattu sur chacun de nous et aussi sur notre moral. Mais quand l’on visionne la vidéo rien que de la joie et de la bonne humeur se dégage de cette vente si particulière.
Prométhée Humanitaire est une association à but non lucratif dont l’objectif est d’offrir à des enfants vivants seuls dans les rues la chance de se reconstruire dans un environnement affectif stable, de leur permettre de se réapproprier de leur enfance et de s’inscrire dans un projet d’avenir.
Ce fut dans une ambiance de fête que notre petite chanteuse Gersende a participé à la bonne humeur collective. Et à cette occasion, en pensant très fort à Prométhée humanitaire, Gersende et son papa ont créé de concert ( paroles et musique) une chanson qui saura fédérer les grands comme les petits: « le premier droit ».
Des objets de très belle qualité, pour la décoration élégante d’une maison ou des vêtements de créateurs (Agnès B, La fiancé du Mékong…), vous pouvez que trouver chaussure à votre pied et de surcroit à tout petit prix. Alors surtout ne ratez pas la prochaine édition.
Faites du bien avec du beau, comme les créateurs qui nous offrent de si belles pièces (700 m² d’espace vente !)
Venez nombreux, faites venir des amis et faites tourner l’info sur le web….
Près de 100 grands créateurs, partenaires de l’opération, nous soutiennent et nous donnent de belles pièces de leurs collections de vêtements, d’objets de décoration et de design.
ESPACE COMMINES 17, RUE COMMINES – 75003 PARIS MÉTRO FILLES DU CALVAIRE BUS 20 ; 65 OU 96
PROCHAIN CONCERT DE GERSENDE
en présence de Laurent Mariotte de TFI
Et concert de Gersende prévu à Sète au mois d’Avril
Jean-François Larrieu en solo : Lumières de vies | 生命之光 | Lights of Lives
Du 7 au 23 janvier 2021
Lieu: Galerie FRANCIS BARLIER 36 Rue de Penthièvre Faubourg Saint Honoré 75008 Paris
Un article qui va paraître dans le prochain numéro de l’Univers des Arts, en kiosque la semaine prochaine.
Particulièrement actif sur le plan artistique mais
aussi social depuis le début de la crise sanitaire,
Jean-François Larrieu démontre encore une fois
ce que le plus pur amour de l’art est capable de
produire de bon pour soi comme pour autrui.
Emission sur Mandarin TV dans l’émission « Le Pont des Arts » avec Jean-François Larrieu, autour de son exposition « Lumières de vies » à la galerie Francis Barlier.
Au printemps 2015, nous réalisions une
entrevue de Jean-François Larrieu
dans laquelle se découvrait avec une
belle précision, la manière dont cet artiste vit
en constante tension entre le besoin de créer
dans la solitude de son atelier, et un appel
viscéral à participer à la course du monde,
à se mêler à ses pairs et à agir dans le siècle.
La simplicité dont le charismatique président
de la Fondation Taylor, – entre autres
engagements –, usait alors pour décrire sa
vision du rôle de l’artiste dans la société,
portée par la profondeur de son rapport à
la création, ne pouvait alors que susciter
une forme rafraichissante d’optimisme
pragmatique, un recul constructif sur l’art
d’agir.
En cette amorce de nouvelle décennie, alors
que tous les phénomènes les plus anxiogènes
des dernières années ont subitement connu
une accélération radicale, – et par conséquent
peut-être un début de résolution –, nous
retrouvons Jean-François Larrieu en pleine
possession de ses talents bâtisseurs et plus
que jamais tourné vers la dimension édifiante
de son art.
Ses Lumières de Vies exposées à la Galerie Barlier sont le
prolongement logique de ses préoccupations premières, aujourd’hui devenues les sujets centraux des débats qui animent nos sociétés.
Chanter par la couleur et la lumière le foisonnement du
monde à travers un regard authentiquement poétique, tel est
son but et sa méthode.
La nature, l’environnement, les constructions humaines périssables mais touchant du doigt l’éternité globale : rien n’a
de sens si on n’en contemple pas l’entièreté, la complexité
qui relie chaque être et chaque chose au réel dans son ensemble. Pour en rendre compte, nul support n’est plus indiqué que celui choisi par Jean-François Larrieu en tant que
peintre, nulle tribune plus élevée que sa capacité d’agir en
tant qu’homme et citoyen. Il y a cinq ans, il résumait dans nos
pages : « J’ai un besoin viscéral de mener les choses à leur terme,
de produire des résultats tangibles et appréciables par d’autres. »
En cette période où le regard d’autrui est devenu d’autant
plus précieux qu’il est devenu plus rare, cette simple affirmation revêt une portée nouvelle.
Et concernant la lassitude face à l’action qui semble toucher
un nombre croissant d’artistes, Jean-François Larrieu illustre
à merveille le vieil adage : audere est facere, « oser c’est faire ».
Et faire, c’est vivre. ■ Thibaud Josset
Lieu: Galerie FRANCIS BARLIER 36 Rue de Penthièvre Faubourg Saint Honoré 75008 Paris
Angelina Jingrui Cai, diplômée d’acupuncture internationale, a été initiée dès sa jeunesse à la médecine traditionnelle chinoise par son grand-père, car elle appartient à une famille comptant plusieurs générations de médecins traditionnels.
En plus de veiller sur ses patients, elle enseigne ce savoir millénaire à des professionnels de la santé et poursuit ses recherches, que ce soit en Europe, en Chine ou en Afrique, car les maladies évoluent, tout comme nous, les plantes et l’énergie de la Nature en général.
Elle est auteure du livre ” La Santé par la médecine traditionnelle chinoise Printemps – Été – Après-été – Automne – Hiver”. Grâce à ce livre, Angelina Jingrui Cai partage ces connaissances précieuses développées par ses ancêtres.