Catégorie : Vie culturelle

  • Gersende aux auditions en aveugle de the voice Kids saison 7 sur TF1

    Gersende aux auditions en aveugle de the voice Kids saison 7 sur TF1

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    Gersende a une passion: le chant.

    Oui c’est parti pour Gersende, elle sera sur nos petits écrans ce soir dans le cadre de l’émission « The Voice Kids ». Alors croisons les doigts car cette soirée sera pleine de tension, de cris de joie et de bonheur. Mais notre petite vierzonnaise reste calme et tempérée car elle sait, comme le dit souvent sa maman, que la force est dans le mental.

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    « je suis fière d’être là »

    Plus de 15 000 postulants pour un » télé crochet » amical plein de rebondissements. Des coaches, des caméras, des projecteurs, des maquilleuses un autre monde dans lequel sont plongés les derniers candidats, une trentaine environ, avant le grande scène des fauteuils.

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    Quoi qu’il arrive le plaisir reste le plus important, et participer est déjà une aventure inoubliable pour Gersende. Elle sait que le milieu artistique est fait d’expérience et que les deux mots importants sont: travail et opiniâtreté. Alors soyons tous devant notre écran pour soutenir Gersende ce soir à 21h sur TF1 et immergeons nous dans le bain de « The Voice Kids ».

  • Vicente Hong, un « torero » chinois, une histoire vraie!

    Vicente Hong, un « torero » chinois, une histoire vraie!

    En 1964, j’étais un jeune journaliste vivant à Madrid, en Espagne. J’avais quitté ma patrie, les États-Unis, en 1963 à l’âge de 21 ans pour échapper à la guerre du Vietnam. L’un des premiers articles que j’ai écrit en tant que journaliste en Espagne concernait un Américain d’origine chinoise du nom de Bong Way Wong. Il était diplômé en ingénierie de l’Université de Californie, mais avait abandonné une carrière prometteuse en tant qu’ingénieur routier à l’État de Californie à l’âge de 30 ans pour devenir torero en Espagne.

    Connu sous le nom de Bill Wong pour ses amis, lui et moi pensions tous les deux qu’il était le premier torero chinois. Mais en 1966, lorsque Bill est apparu dans sa première corrida à Madrid, un journaliste espagnol a révélé qu’il y avait eu un torero chinois en tournée en Espagne en 1930. Son nom était Vicente Hong.

    Plus tard, j’ai écrit un livre sur chacun d’eux. Mais ce sont mes recherches en Espagne, au Mexique, au Venezuela, au Pérou et en Chine qui ont révélé que était un héros révolutionnaire oublié au Mexique et inconnu dans sa propre patrie, la Chine.

    Vicente Hong est né à Sunwei, Guangdong, Chine, en 1889. Il s’est enfui de chez lui à l’âge de neuf ans pour rejoindre un groupe théâtral. Toute sa vie, il a voulu être un artiste, mais son destin était celui d’un révolutionnaire. À l’âge de quinze ans, il était recherché par la police de Canton pour avoir rejoint et combattu les chefs de guerre capitalistes. Pour lui sauver la vie, sa famille a immigré en Californie. La famille Hong n’est pas restée longtemps en Californie. Avec de nombreux autres immigrants chinois, ils ont non seulement été victimes de discrimination mais également agressés physiquement par des foules américaines xénophobes. Avec de nombreux autres Chinois persécutés, la famille Hong s’est enfuie à Mexico où la famille a ouvert un restaurant et une pension.  Afin d’aider sa famille à survivre, Vicente a travaillé ses premières années au Mexique dans les mines d’or détenues et exploitées par les Yankees. Là, Vicente a appris à parler non seulement l’espagnol mais aussi l’anglais.

    De retour à Mexico après avoir travaillé dans les mines, Vicente a rejoint sa famille dans leur restaurant, servant des tables. Là, il a été exposé à une clientèle de toreros espagnols, pas les stars des arènes mais leurs assistants qui ne pouvaient pas se permettre de séjourner dans un hôtel cher. Les assistants taurins espagnols avaient très peu d’argent à dépenser, en particulier pour le vin, ils payaient donc souvent les Hongs en billets pour les corridas. Le travail de Vicente consistait à vendre ces billets pour obtenir de l’argent pour sa famille. Une fois, il a gardé un billet pour voir le spectacle national. Sa première impression a été: « Je peux le faire! »

    Vicente n’a pas aimé la partie macabre du spectacle. Mais il était fasciné par les mouvements artistiques de l’homme à la cape: le tourbillonnement passe en tentant la mort. Comme beaucoup de Chinois, Vicente voulait se produire sur une grande scène en tant qu’artiste tout en montrant sa bravoure.

    Au cours de mes recherches sur la vie de Vicente Hong, j’ai découvert qu’il n’était pas le premier torero chinois. En fait, il y en avait eu plusieurs avant lui.

    La première apparition de Chinois participant à une corrida a eu lieu à Mazatlan, au Mexique, en 1903. Parce que la communauté chinoise était devenue si importante économiquement pour la ville, ils ont insisté pour participer à toutes les célébrations locales. Les Mexicains locaux pensaient pouvoir humilier la communauté chinoise en leur proposant de participer à la corrida annuelle de Noël. Jusque-là, aucun Chinois n’avait jamais tenu une cape de corrida à la main, sans parler d’un taureau en charge. Mais pour soutenir leur demande d’être autorisés à participer à toutes les affaires communautaires, les Chinois locaux ont relevé le défi. Le résultat a été historique pour les Mexicains et les Chinois. Pour la première fois dans l’histoire des arènes de Mazatlan (l’un des le plus ancien du Mexique), il a non seulement été vendu mais des centaines de Mexicains ont refusé l’entrée grimpé sur les murs pour avoir un aperçu des matadors chinois. Bien que les Chinois n’aient aucune expérience dans l’art des Cuchares, ils se sont bien comportés et ont été souvent applaudis par tout le monde, en particulier pour leur bravoure. Ce résultat a attiré l’attention de certains promoteurs mexicains et espagnols qui ont immédiatement vu que toute arène pouvait être vendue si un brave chinois était sur le cartel. Malheureusement, aucun Chinois ne s’est sérieusement lancé dans l’art jusqu’à ce que Vicente Hong apparaisse sur la scène en 1910. C’est là que commence mon histoire de Vicente. Mais ce n’est pas l’histoire d’un torero. Malgré sa renommée et sa gloire dans les arènes du Mexique, d’Amérique du Sud et d’Espagne de 1910 à 1931, Vicente ne s’est jamais considéré comme un tueur des taureaux. En fait, il détestait le massacre et a été le premier matador de l’histoire à refuser de jouer dans une arène si des chevaux étaient utilisés, car beaucoup étaient souvent tués par un taureau en charge. Malgré la renommée et l’argent, Vicente ne se consacre pas à la corrida, mais à la défense de son peuple, les immigrants chinois, au Mexique. Et quand il n’a pas pu les défendre, il s’est vengé en leur nom. C’est la vraie histoire de Vicente Hong que j’ai découverte dans les archives nationales d’Espagne, du Mexique, du Venezuela et du Pérou. Pourtant, lorsque je suis allé en Chine en 2014 pour rechercher les origines de Vicente à Sunwei, une seule personne, un veuf de 96 ans, avait déjà rencontré Vicente Hong. Tong Ming Jing a non seulement reconnu Vicente à partir des photos que j’avais, mais en tant que garçon de huit ans, il avait assisté au mariage de Vicente à See Cheung (Sunwei) en 1926. Il n’y a pas de personnages inventés dans mon roman sur Vicente Hong. Tous ceux mentionnés dans mon livre étaient une personne réelle que j’ai trouvée dans des documents et des coupures de journaux associés à Vicente Hong. Ce roman est une histoire vraie basée sur les résultats de mes recherches. J’ai seulement utilisé mon imagination pour combler les lacunes pour relier l’action.Bien que peu de gens en Chine aient jamais entendu parler de Vicente Hong, les journaux, la radio et la télévision Sunwei m’ont interviewé lorsque j’étais là-bas. Après avoir entendu mon histoire, l’intérêt local était écrasant.

    J’espère que ce livre atteindra le peuple chinois afin qu’il puisse apprécier un véritable héros révolutionnaire qui a défendu son peuple à l’étranger.

     

  • Albert Hadjiganev, une exposition personnelle

    Albert Hadjiganev, une exposition personnelle

    Albert Hadjiganev naît en 1954 en Bulgarie1.

    Il suit des études de Beaux Arts à Sofia et obtient un diplôme de photographie.

    Interdit de quitter le territoire bulgare, il passe clandestinement la frontière et arrive finalement à Paris en . Il a 28 ans.

    Tout en apprenant le français et en survivant grâce à des « petits boulots », il s’inscrit aux ateliers de dessin de la ville de Paris.

    Il est diplômé en 1987 de l’école nationale supérieure des beaux-arts2.

    Date: 2020-07-16 18:00

    Vernissage le jeudi 16 juillet à 18h00, inscription obligatoire.
    Rencontre avec l’artiste le samedi 18 juillet à 18h sur l’antenne de Mandarin TV dans l’émission hebdomadaire « Le Pont des arts »

    …Chaque tableau d’Hadjiganev réapprend à voir, à écouter et à se taire pour laisser cheminer l’émotion d’un instant, happée, retranscrite, offerte à d’autres souvenirs. Impressions fugitives, réminiscences… Le regard se perd dans la toile, éclaboussé de lumières, se détache, revient, capte l’indicible et l’émotion s’installe. Pour longtemps.

    Christine Fauvet Mycia, Le Figaro 

    …Les toiles d’Hadjiganev sont pétries de lumière, une lumière qui exsude, qui vient de l’intérieur du sujet représenté. Et pourtant, l’artiste ne choisit jamais de thème spectaculaire: ici une pomme, là un verre, là une plaine baignée dans une lumière grise très claire, là encore une fleur ou l’espace entrevu dans une enfilade de portes décalées. Ces œuvres qui transfigurent librement le réel ont une grâce altière, de la noblesse même. Simples dans leur composition et pourtant architecturées, elles vibrent sous les strates superposées en transparence…De la pure peinture.

    Marc Herissé, La Gazette de l’Hôtel Drouot

    Albert Hadjiganev peint avec intensité et des audaces mesurées des intérieurs dans des couleurs plutôt sombres presque chuchotées. Images intimes où l’artiste s’aventure avec lenteur dans les marges surprenantes de la beauté.

    Jean Marie Tasset, Le Figaro 

    …On aura compris que l’ambition d’Albert Hadjiganev n’est pas temporelle mais spirituelle et que l’ascèse du tableau pose comme préalable, celle de la vie personnelle. C’est pour cela qu’il travaille seul, à l’écart, loin, pauvre, muet, plutôt que parmi, au milieu, entouré, adulé, travesti…

    Max Fullenbaum, Arts Actualités Magazine

    Rencontre sur l’antenne de Mandarin TV le samedi 18 à 18:00 dans l’émission hebdomadaire « Le Pont des arts ».

    Exposition du jeudi 16 juillet au samedi 15 août

    Galerie Barlier
    36 rue de Penthièvre Faubourg Saint-Honoré 75008 Paris
    RSVP : contact@galeriebarlier.fr Tél : 01 49 53 00 05

    Du 2020-07-16 18:00 au 2020-08-15 18:00
    ↳ mardi, mercredi, jeudi, vendredi & samedi

     

  • Christophe Giral à la galerie Barlier

    Christophe Giral à la galerie Barlier

    La Galerie Francis barlier expose Christophe Giral
    un voyage au cœur de la lumière

    Paris, France, 21 mai 2020 :  Cette exposition rassemble l’ensemble du travail de plus de dix ans du peintre toulousain, il explore pendant ce temps l’univers de la lumière grâce aux outils du 21e siècle, et peint avec les techniques de la renaissance. Il combine ainsi le meilleur dont nous disposons aujourd’hui, sans dédaigner l’héritage du passé, pour offrir des vues uniques, particulièrement vibrantes, sans pour autant se baser sur des scènes extraordinaires. C’est l’art de la lumière; celle ci pour lui étant comme les notes de musique pour un compositeur. Avec comme seule arme la couleur il crée une symphonie vibrante, à partir d’une image quelconque, grâce à une écriture à la fois puissante et méticuleuse, par moment même pointilliste.

    Dans le contexte du covid-19, nous allons limiter la présence au vernissage et à la visite quotidienne, afin de respecter les consignes sanitaires, mais en même temps, nous offrons une expérience virtuelle de la visite de façon complète : un film haute définition établit une relation intime et directe entre l’œuvre, l’artiste et le public ; une visite 3D permet de visualiser l’accrochage dans l’espace de la galerie ; des images haute définition avec des photos de détail sur le site de l’exposition permettent de voir l’œuvre de façon plus précise. Cependant, une visite physique est nécessaire pour apprécier les qualités de l’œuvre, surtout pour cet artiste dont l’expression dépasse les conditions matérielles de présentations virtuelles.

    Pour aller plus loin, nous organisons autour de son livre « Un nouvel art de la couleur » trois conférences pour présenter au public initié et curieux sa découverte et l’application de celle-ci dans la peinture :

     

    Conférence I : Peindre l’inimaginable de la nature

    Certains artistes dans le passé ont cherché à comprendre l’origine des arts plastiques par une étude de la lumière. L’arrivée de la chambre noire a permis dès la Renaissance d’étudier la structure graphique et colorée des images projetées par la lumière. A partir du 17eme siècle certains peintres ont une approche directe de l’image lumineuse, s’opposant à toutes les traditions du monde plastique de leur époque. Cette conférence a pour but de montrer à travers le travail de quelque peintre (du 17eme siècle au début du 20eme siècle), l’évolution de ce qui constitue le ferment de toute modernité.

    Conférence II : L’harmonie et le dessin chromatique

    Le dessin chromatique est à lui seul une petite révolution plastique. Le peintre le perçoit intuitivement puis il découvre son omniprésence et son intérêt plastique fondamental pour qui veut traiter l’espace. A partir de 2005 sa pratique picturale va être bouleversée. Cette découverte est la solution d’un problème plastique de l’art de peindre, le conflit entre le dessin et la couleur. Le dessin en devenant chromatique s’intègre parfaitement au système d’harmonie des couleurs. Seuls les moyens techniques d’aujourd’hui permettent de mettre en évidence cette toute nouvelle solution plastique qui fait le lien avec toutes celles qui l’ont précédée. Cette nouvelle plastique ouvre des horizons si vastes que peu d’artistes pourront en expérimenter tous les possibles.

    Conférence III : En finir avec le cercle chromatique

    Le système classique d’harmonie des couleurs (intéressant à son époque) est désormais, au vu des techniques nouvelles de ce siècle, complètement dépassé. La création d’une nouvelle architecture de la lumière compréhensible par tous ceux qui utilisent les couleurs (les peintres entre autres) est devenue une nécessité vitale pour tous les arts visuels. La couleur dans la nature n’est pas un phénomène décoratif. Comprendre les nouvelles fonctions de la lumière (spatiale et chromatique) fait apparaître un monde du visible ou le hasard n’a pas de place. Libre à chacun bien sûr d’interpréter ce solfège à sa manière, mais le solfège des couleurs existe bel et bien.

    Entretien avec son épouse ANNIE COUGET,
    sculpteur et scénographe, chargé de cours à l’Université Jean-Jaurès de Toulouse :

    « Mais finalement, où est l’artiste ? » me demandez-vous.

    Mais il est là… derrière son pinceau, à l’écoute de la nature… et il passe sa vie à peindre.

    Ce qu’il peint ?

    Ne vous y trompez pas, c’est toujours le même sujet. Il le décline sur ses toiles.

    Sa muse : c’est la lumière. Elle qui caresse, révèle ou efface à l’envi, les objets, les paysages, les personnages …

    Et immanquablement, elle jaillit de ses toiles, rythmées en profondeur par des couleurs claires et franches, sourdes et veloutées qui se renforcent mutuellement jusqu’à l’épanouissement final d’une trompe l’œil vibrant qui nous interpelle.

    Une peinture au chromatisme puissant qui impose sa perspective, son ressenti de la profondeur, qui dématérialise la surface de la toile, transforme les pigments en lumière et, par là même, nous transporte, au-delà d’un réalisme quelconque, vers les profondeurs de l’essence du visible.

    Et ce, sans aucun subterfuge, sans tricherie, sans épaisseur. Beaucoup de travaux artistiques tournent aujourd’hui autour de cette quête sans jamais y arriver vraiment (peinture sur verre, semi bas-relief…) Il y a toujours un truc, une ficelle.

    Christophe Giral, en peignant le réel, en analysant comment notre œil perçoit la lumière, est arrivé à écrire l’espace.

    « Alors c’est scientifique ».

    Peut-être, à la marge entre art et science en effet : c’est la mise en évidence de l’existence d’une perspective chromatique.

    Mais Brunelleschi a démontré le caractère universel de la perspective linéaire, il n’a pas été mis au banc des artistes pour autant à cause de son côté scientifique.

    On vit une époque bien singulière où l’artiste se doit à un intellectualisme primordial, sans lequel pas de salut possible. En face de lui une élite d’initiés convaincue de détenir la vérité et qui, somme toute, véhicule un académisme comme un autre.

    La peinture de C. Giral et sa démarche, puisqu’il en faut une, c’est à l’instars des impressionnistes, un retour à la nature. Que faire d’autre face à un académisme sûr de lui-même ? Mêmes problèmes, mêmes solutions…

    Eux aussi sont retournés à la nature, ont remis en question les enseignements de l’époque pour donner à l’art de peindre un nouvel élan. Ils ont étudié le motif inlassablement, jusqu’à trouver dans la beauté des couleurs qu’ils voyaient sur nature, un assemblage novateur, un renouveau plastique que chacun depuis a reconnu et apprécié à sa juste valeur mais qui, à son époque, fit polémique.

    Le temps finit toujours par venir à bout des a priori et personne aujourd’hui ne se demande plus si un peintre impressionniste est bien un artiste !

     

    « Oui mais, il utilise la photographie ! »

    Bien sûr, et même l’ordinateur : il faut être de son temps.

    D’ailleurs aujourd’hui la photographie est reconnue comme un art et quel est l’artiste qui ne s’en sert pas ?

    De plus Christophe Giral dans sa peinture va bien au-delà du réalisme photographique, au-delà même de ce courant pictural auquel quelques-uns le raccrochent par facilité : l’hyperréalisme. Mais ses toiles ne sont pas vraiment dessinées, elles sont claires et vibrantes et le dessin n’est que couleur. Si elles paraissent hyperréalistes c’est grâce à l’utilisation de la perspective chromatique.

    L’évolution est là : le peintre Christophe Giral « ce musicien de la lumière » peut désormais rendre l’espace palpable au sein même de la toile. Sa signature, un tampon contenant trois lettres : MDL (Musique De Lumière) entérine l’affaire.

    Son art consiste à faire oublier la matière picturale pour transmettre au spectateur, envouté par la magie des couleurs, la poésie de la lumière et de l’espace.

    Galerie Barlier 36 Rue de Penthièvre, 75008 Paris

    Contact : Tjeri Liu, commissaire

    Téléphone : 06 19 30 18 57/ http://www.galeriebarlier.fr

  • Fatima Benhamed ou la passion de la photo

    Fatima Benhamed ou la passion de la photo

    Nous nous sommes dit que avoir la possibilité d’exposer dans une « galerie » n’était pas chose aisée. Comme le disait l’illustre Cromwell: « on ne va jamais aussi loin que lorsque l’on ne sait pas où l’on va ». Fort de cette maxime positive il a été décidé de créer une galerie virtuelle avec nombre de photographes pros et amateurs.

    Comme d’habitude, les hommes se sont accaparés la primauté dans tous les domaines artistiques ou autres. Place aux femmes avec un vrai talent souvent enfoui dans les méandres de la vie quotidienne.

    Benhamed Fatima, nous l’avons découverte sur Instagram, avec des photos à la fois sensibles mais aussi au réalisme « feutré ».  Notre imagination peut s’envoler  et à travers ses photographies et nous inciter à voir Paris tout autrement.

    Alors Paris s’envole!

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    Fatima Benhamed est sur facebook et Instagram.

  • Pas de confinement musical avec le chœur des Polysons et Gersende.

    Pas de confinement musical avec le chœur des Polysons et Gersende.

     

    Pendant le confinement pas d’arrêt brusque pour la passion. C’est le moment idéal pour composer, chanter et enregistrer…. Pendant cette période très particulière l’art et la création sont au rendez- vous.

    Voici donc des éléments sur la manière dont ce projet a été réalisé.

    Les enfants du Choeur des Polysons comme tous les enfants étaient confinés dans divers endroits (appartements parisiens ou maisons de campagne). Nous avons décidé de maintenir malgré tout le lien entre tous les chanteurs du Choeur.

    Jean Christophe Rosaz, compositeur, nous avait dédié récemment une chanson à trois voix égales dont le texte est inspiré du fameux discours de Martin Luther King: »I have a dream ».

    Notre pianiste Mathieu Picard a enregistré la bande son au piano que nous avons envoyée à chaque chanteur. Elisabeth Trigo notre chef de choeur a donné quelques conseils sur la manière de s’y prendre en envoyant l’enregistrement de sa voix pour chacune des 3 voix séparées. Puis chaque enfant muni d’un casque ou d’un simple écouteur pour se caler sur le piano a chanté sa partie.

    Nous avons dû ensuite mixer toutes les voix afin d’obtenir un ensemble calé sur la bande piano, c’était compliqué car les enfants chantaient sans chef de chœur pour les diriger et cela  créait certaines différences dans l’interprétation de la chanson. Ce travail a été fait par Aurélien Trigo depuis Stockholm où il habite. Enfin, de mon côté j’ai calé les vidéos des enfants sur la bande son mixée pour obtenir ce résultat. Tout ce travail a pris environ 3 semaines, mais nous sommes fiers du résultat.

    Et des grands mercis à Elisabeth et Marc Trigo sans qui le chœur n’existerait pas!

    Gersende la petite chanteuse Eurasienne, elle aussi une passionnée de chant, n’a pas perdu de temps avec 2 vidéos réalisées en un temps record, l’une pour soutenir ceux qui travaillent « pour nous » pendant le confinement et la 2 ème pour le plaisir de partager sa chanson préférée.

     

     

     

    Et enfin un petit rappel: la vidéo du chœur des Polysons et Gersende pour la visite d’état de la Chine en France.

     

    06 08 37 71 41

    henrivictor75@gmail.com / 06 62 01 15 11

     

     

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  • Guy Coda/ une vie de chien

    Guy Coda/ une vie de chien

    Le confinement permet à certains artistes de créer des œuvres humoristiques à la fois picturales et fort drôles. Guy Coda est de ceux là avec ces illustrations originales dont les chiens sont les témoins omniprésents de notre nouvelle vie.

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    Source article Wikipedia

    Diplômé de l’Institut de peinture décorative Blot de Reims, Guy Coda entre à l’École nationale supérieure des arts décoratifs de Paris, dont il sort diplômé en scénographie. Dès 1975, il se consacre à l’enseignement, dans les lycées publics puis plus tard dans l’école supérieure dont il est issu.
    Sa première illustration connue du public est parue[Quand ?] dans Télérama. Dans les années 1970, il participera aux décors de quatre films[Lesquels ?], avant de se consacrer à l’illustration et à la peinture. Il œuvre pour l’art philatélique avec la série des parcs nationaux en 1995.

    Œuvres

    Philatélie
    Timbre à date des oblitérationspremier jour
    • Coupe du monde de football 2002, France, 2002.
    • Milan Ratislav Stefanic et Wassily Kandinsky, France, 2003.
    Timbres-poste
    • Nature – Liste des parcs naturels de France|les parcs nationaux, France, quatre timbres en 1996, quatre autres en 1997. Pour ses timbres, il illustra également le document philatélique édité par La Poste et des enveloppes premier jour de deux éditeurs. Élue en 1996 prix du plus beau timbre-poste par les clients de La Poste.
    • Héros d’aventureen collaboration avec S. Hochain, France, série de six timbres, 1997. Élue plus belle série par les clients de La Poste.
    • Jeux olympiques d’hiver de 1998|Jeux olympiques de Nagano – Super G, Andorre, 1997.
    • Cinquantième anniversaire du Conseil de l’Europe, Andorre, 1998.
    • Vive les vacances, timbre semi-permanent, France, 1999.
    • plaquette de dix timbres pour la coupe du monde de football 2006.
    • deux carnets de douze timbres La France comme j’aime, 2009.

    Littérature

    • Faut voir, nouvelles, Éditions Le Manuscrit (à compte d’auteur)[Quand ?].
    • Deux doigts de lumière, nouvelles, Éditions Le Manuscrit (à compte d’auteur)[Quand ?].
    • L’effaceur de couleurs, texte et illustrations, album jeunesse aux Éditions du Mont, 2010.
    Expositions
    • 1992 :
      • Galerie Didot, Paris
      • Galerie Préface, Paris
    • 1992, 1993, 1994 : galerie 157, Villemomble
    • 2001 : galerie Ls cinq sens, Paris
    • 2002 : hôtel Sofitel-les Halles, Paris
    • 2003 :
      • Maison de la Beauce, Orgères, rétrospective organisée par le conseil général
      • Galerie Janos, Paris 5e
    • 2005 : musée de La Poste, Paris
    • 2007 :
      • Galerie Kunstkreis, Berlin
      • Espace Cardin, Paris
    • 2008 : château de Chasselas (Saône et Loire)…..
  • Guy Coda un étonnant artiste!

    Guy Coda un étonnant artiste!

    Guy Coda aujourd’hui nous donnent à admirer ses dernières œuvres humoristiques. Aujourd’hui face à ces moments bien particuliers, Guy Coda désire, à travers ce drôle de chien fort sympathique, « extirper » nos angoisse, celles qui nous paralysent. « Allez les amis, lâchez prise, éteignez la télé, n’écoutez plus la radio, ne jetez plus un œil aux réseaux sociaux et comme par magie, le « Corona Rictus » disparaît immédiatement. Voyagez à travers l’art!

    Guy Coda, une vie à créer, professeur aux Arts Décoratifs, peintre, illustrateur, créateurs de magnifiques timbres, musicien…
    Guy Coda, un travail artistique avec le Groupe la poste:Timbre à date des oblitérationspremier jour
    • Coupe du monde de football 2002, France, 2002.
    • Milan Ratislav Stefanic et Wassily Kandinsky, France, 2003.
    Timbres-poste
    • Nature – Liste des parcs naturels de France|les parcs nationaux, France, quatre timbres en 1996, quatre autres en 1997. Pour ses timbres, il illustra également le document philatélique édité par La Poste et des enveloppes premier jour de deux éditeurs. Élue en 1996 prix du plus beau timbre-poste par les clients de La Poste.
    • Héros d’aventureen collaboration avec S. Hochain, France, série de six timbres, 1997. Élue plus belle série par les clients de La Poste.
    • Jeux olympiques d’hiver de 1998|Jeux olympiques de Nagano – Super G, Andorre, 1997.
    • Cinquantième anniversaire du Conseil de l’Europe, Andorre, 1998.
    • Vive les vacances, timbre semi-permanent, France, 1999.
    • plaquette de dix timbres pour la coupe du monde de football 2006.
    • deux carnets de douze timbres La France comme j’aime, 2009.
  • Thiery Beyne, un photographe amoureux du Vietnam

    Thiery Beyne, un photographe amoureux du Vietnam

    VIDÉO A VOIR ABSOLUMENT

    Thiery Beyne part dans les années 1980 découvrir l’Asie où s’affirme sa passion du voyage et de la photographie. Il a parcouru depuis l’Inde, le Sri-Lanka, la Thailande, la Malaisie, l’Indonésie, le Cambodge, les Philippines, Hong-Kong, Singapour et bien sûr le Vietnam, son coup de cœur. Voilà bientôt 15 ans qu’il sillonne ce pays et le photographie du nord au sud dans ses coins les plus reculés. Marié à une vietnamienne de Hué, Thiery Beyne est en contact direct avec la vie quotidienne et l’authenticité du pays. Être au cœur de la population vietnamienne est pour lui essentiel. De 1995 à 2002, il réalise plusieurs expositions personnelles, à Paris et en région parisienne. En 1997, il est primé au “Nikon Photo Contest International” et exposé à la Maison Européenne de la Photographie à Paris. Thiery Beyne vit maintenant au Vietnam et aussi en France.

    Prochaine exposition: 

    Festival « aux coeurs du Vietnam » du 6 au 23 Mai 2020 au Cosmopolis de Nantes.

    THIERY-BEYNE

    Thiery Beyne khởi hành khám phá vùng đất Châu Á vào năm 1980, mảnh đất đã làm cho niềm say mê du lịch cũng như đam mê nhiếp ảnh của ông được khẳng định. Ông đã đi từ Ấn Độ, Srilanka, Thái Lan, Mã Lai, Indonesia, Campuchia, Philippines, Hồng Kông, đến Singapore và tất nhiên có Việt Nam, chính là đất nước yêu thích của ông. Vậy là đã 15 năm ông ngang dọc trên đất nước này, ông đã ghi lại những hình ảnh từ nam chí bắc ở những nơi xa xôi hẻo lánh. Thiery Beyne kết hôn với cô gái Huế, ông tiếp xúc trực tiếp với cuộc sống hàng ngày, sự chân thực của đất nước này. Hòa mình vào với người dân Việt Nam đối với ông chính là điều thiết yếu. Từ năm 1995 đến 2002, ông đã có nhiều cuộc triễn lãm ảnh cá nhân ở thủ đô Paris và ngoại ô Paris. Vào năm 1997, ông giành được giải thưởng nhiếp ảnh «Nikon Photo Contest International» và triển lãm ảnh ở phòng trưng bày «La Maison Européenne de la Photographie» tại Paris. Thiery hiện đang sinh sống tại Việt Nam.

    Thiery Beyne began his journey through Asia in the eighties as the ultimate confirmation of his passion for travel and photography. He crossed India, Sri Lanka, Thailand, Malaysia, Indonesia, Cambodia, The Philippines, Hong Kong, Singapore and of course Vietnam, his favorite.

    Between 1995 and 2002,­­­ his photographic work is frequently exhibited in Paris and surroundings. In 1997 he received a prize in the ‘International NIKON Photo Contest’ and his work is exhibited in ‘La Maison Européenne de la Photographie’ in Paris. He is married to a Vietnamese girl from Hue, thus penetrating to the heart of Vietnamese society, a privilege which the tourists cannot enjoy. Today he lives and works as a photographer in Vietnam (Nha Trang), among the indigenous population. To be at the heart of Vietnamese life is essential for him

    Toutes les photos de ce site « VISAGES DU VIETNAM » sont la propriété de Thiery Beyne

    Site de Thiery Beyne

    Thiery Beyne photographe

  • SoLo Atelier présente: VONG Family

    SoLo Atelier présente: VONG Family

    « SoLo Atelier présente une exposition singulière, une famille d’artistes  » VONG Family « . Les parents et les enfants travaillent dans des domaines picturaux différents où chacun défend sa personnalité…

    SoLo Atelier vous invite au vernissage le samedi 29 février 2020 à partir de 18h00 en présence des artistes  (jusqu’à 21h).

     » Bwayl axe sa recherche vers une forme de pensée proche du détachement pour retrouver le geste dénué de toute sophistication en un mouvement guidé, non par une réflexion complexe, mais impulsé par des réflexes primaux. Ses œuvres picturales tendent vers l’abstraction en inventant sa propre écriture et ou chacun sera libre de voir ce qu’il souhaite.

    ShupaOne est une artiste polyvalente qui continue d’être influencée par le Wild Style des années 80. Abstraites, dynamiques et colorées, ses créations gardent une trace indélébile du graffiti.

    Les arbres de David Vong dansent, s’étirent, se penchent, s’élèvent, s’enlacent, se meuvent dans l’espace du papier, se métamorphosent et prennent vie. Le sujet s’efface permettre à la poésie du trait et à l’esthétisme, de donner libre cours à notre imagination.

    La sensibilité asiatique de Jean-Pierre Vong mélangée à une vision occidentale donne à ses créations sculpturales ou picturales des vibrations visibles et invisibles faites de tensions spirituelles aux couleurs éclatantes et de sombres tiraillements contenues qui se répercutent dans le sentir et le ressentir « . »

    Lieu : SoLo Atelier 32 rue de Paris 95320 Saint-Leu-la-Forêt

    Exposition ouverte les week ends des 29/02 & 01/03/2020 et des 07/03 & 08/03/2020 de 15h à 19h. 

    Les autres jours sur rendez-vous.

    Plus d’informations sur le site internet du MCFV dans l’article http://www.mcfv.eu/du-29-02-vernissage-au-08-03-20-solo-atelier-vous-invite-a-une-exposition-de-la-famille-dartistes-vong-entree-libre-95320/