Rémy Aron, « Le spacisme » – Nature & aventure
Exposition du 15 septembre au 3 octobre 2020
Vernissage le mercredi 16 septembre 2020 à 18h00
(Cliquez ici pour RSVP)
Une conférence-débat le 19 septembre à 15h00 :
« Rémy Aron, 50 ans de peinture »
Animée par Tjeri Liu
(Cliquez ici pour vous inscrire)
Depuis son adolescence, Rémy Aron cherche à apprendre à peindre.
Cliquez ici pour visualisez un interview de l’artiste sur Mandarin TV.
A la 4ème exposition depuis trente ans, la Galerie Francis Barlier, montrera des « expériences » picturales qui correspondent à son évolution. Elles peuvent se caractériser par la paraphrase d’une citation d’Édouard Herriot qui dirait : La tradition en peinture – « c’est ce qui reste quand on a tout oublié ». En effet, il ne conserve comme credo, que les limites du format et l’épaisseur de l’espace pictural.
Georges-Henri Rivière écrivait en 1974 pour l’exposition de Rémy Aron, à la Galerie Boris Orekoff, rue Mazarine à Paris :
« Rémy Aron est né le 16 avril 1952, à Suresnes, par hasard, auprès d’un vignoble qu’on ne vendange plus. A quinze ans, il commence à sculpter et à peindre.
Les circonstances quelque peu mouvementées de son adolescence l’ont éloigné du modèle de vie habituel à cet âge. Son modèle à lui a été artistique. Un modèle qui ne soit ni gréco-latin, ni comme il dit, « trigonométrique » qui le conduise « de l’informel au formel, du bouillonnement à la structure, de l’inconscient au conscient ». De métamorphoses en métamorphoses. A l’aide d’un outil polyvalent et évolutif, attaché aussi bien à ciseler l’objet usuel, que l’objet de délectation.
L’exposition qu’il présente aujourd’hui apporte un choix de témoins de son art, varié en surface, convergent en profondeur. S’il ne le satisfait pas lui-même – mais quand cet homme sera-t-il satisfait – un bilan, puisse-t-il le croire, qui satisfait déjà ses amis. »
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