Catégorie : Vie culturelle

  • Asie histoires et poésies

    Asie histoires et poésies

    Asie histoires et poésies

    La carpe et le pécheur.

    Dans un étang vivait une carpe, en compagnie de brèmes, de gardons, de brochets et de perches. Une petite rivière alimentait cet étang et emmenait dans ses eaux, toujours plus de nouveaux de locataires ; pour un temps ceux ci y résidaient, puis ils repartaient, suivant leur bon plaisir. La carpe, elle, y demeura.

    Un honnête homme, amoureux de la nature, y venait pêcher. Notre homme connaissait bien son étang, des berges jusqu’au fond de l’eau, du plus petit des brins herbes, aux plus gros des insectes . Il connaissait tous les secrets de la faune et la flore qui y vivait. Aucun oiseau ne lui était étranger.

    Il fit l’acquisition d’une petite barque en bois. Ainsi il put admirer le charme de la brume du matin, ce rideau de fumée qui souvent attendait sa venue. Sa façon de faire était toujours la même, à tâtons de la berge, il poussait sa barque dans l’eau, montait dedans se rétablissait, s’asseyait , pour se baisser, et ensuite inéluctablement, il cherchait sa rame, du bout des doigts, la saisissait, puis doucement il se redressait, la plongeait dans l’eau presque sans bruit juste un petit clapotis, une fois à droite une fois à gauche et dirigeait sa barque ainsi à son gré, jusqu’à l’endroit choisi. Il attendait, que le brouillard se dissipasse, offrant le merveilleux spectacle de la vie. Enfin il commençait sa pêche.

    Il fut témoin du cycle des saisons, le printemps quand commençait le vol stationnaire des premières libellules, les chaudes après- midi d’été où se prélassaient sur la rive quelques lézards inquiets, la tristesse du saule qui pleure ses feuilles à l’automne, la morsure du froid de l’hiver quand il plongeait ses mains dans l’eau glacée.

    Mais l’objet de toutes ses préoccupations, c’était la carpe, cette coquine, qui n’avait encore jamais mordu l’hameçon. Elle ondulait, nageait calmement, s’approchait, de sa barque, passait ses lèvres hors de l’eau, faisait sa bulle mais toujours, repartait indifférente et royale.

    Il avait tout essayé, les appâts, les leurres et nombreuses sortes d’hameçons, mais rien n’y faisait.

    Le jour comme la nuit, la carpe le poursuivait de ses baisers mouillés. Dans ses rêves, dans ses pensées, dans sa vie, elle était toujours présente, mais invariablement insaisissable. Comment l’attraper, comment enfin l’attirer à lui, la saisir ? Il persévéra dans cette terrible obsession pendant des années avant d’y renoncer définitivement.

    Au fil du temps, s’était établie une sorte d’amitié entre le pêcheur et la carpe. Aussitôt sa barque était-elle mise à l’eau, que cette dernière passait et repassait pour s’évanouir soudain dans les profondeurs et réapparaître de nouveau comme par magie. Parfois elle frôlait la barque comme pour demander une caresse improbable.

    Les années passèrent le pêcheur était devenu vieux et malade, il restait chez lui au chaud, sa barque pourrissait à demi- immergée, le nez dans la vase. Un jour il se sentit mieux, il décida de se rendre à l’étang, s’habilla chaudement, prit quelques provisions, les mit dans sa besace, et partit sans canne à pêche ni même un filet.

    Arrivé au pied de sa barque, il s’assit sur l’un des rebords encore resté solide. D’un filet d’onde, la carpe s’approcha, difficilement il se baissa et s’accroupit, mit ses deux mains dans l’eau, les rapprocha comme un coussin, fit un creux et doucement la carpe y prit place, il la souleva presque entièrement, la regarda un instant et la replongea délicatement dans l’eau. La carpe resta immobile, il retira ses mains de l’eau et d’un coup de nageoire elle disparue .

    Notre honnête homme se releva rayonnant. Son vœu le plus cher s’était enfin réalisé.

    JPB .

  • Proverbe chinois ou la sagesse asiatique

    Proverbe chinois ou la sagesse asiatique

    Méditons avec le proverbe chinois

     

    Dans un étang, il n’y a pas de place pour deux dragons. 

    Sourire, c’est rajeunir de dix ans ,s’attrister, c’est se faire des cheveux blancs.

    L’itinéraire de 1000 mille commence par un pas. 

    Chaque coup de colère est un coup de vieux,chaque sourire est un coup de jeune. (Proverbe chinois)

    Avec le temps et la patience, la feuille du mûrier devient de la soie.

    Le sage se demande à lui-même la cause des ses fautes, l’insensé la demande aux autres

    style81 / Pixabay

    Un bon chien ne mord pas les poules, un bon mari ne bat pas sa femme.  

    Le jour éloigné existe, celui qui ne viendra pas n’existe pas. (Proverbe chinois)

    Les gens heureux n’ont pas besoin de se presser. 

    Le plus grand conquérant est celui qui sait vaincre sans bataille. (Proverbe chinois)

     

    Le moment donné par hasard vaut mieux que le moment choisi (Proverbe chinois).

    La pierre tombe sur l’œuf et l’œuf se casse, l’œuf tombe sur la pierre et l’œuf se casse

    Pourquoi se jeter à l’eau alors que la barque n’a pas chaviré 

    Un palais conduit à la gloire, le commerce à la fortune et la solitude à la sagesse 

    Le sage se demande à lui même la raison de ses fautes et l’insensé le demande aux autres. ( Proverbe chinois).

    Agis avec sagesse mais n’attends pas la reconnaissance ( Proverbe chinois).

    bella67 / Pixabay

    Ceux qui avancent trop vite reculent encore plus vite 

    L’eau ne reste pas sur la montagne ni la vengeance sur un grand cœur 

    La vérité qu’on aime le moins apprendre est celle que l’on a le plus intérêt à savoir 

    Mieux vaut allumer une chandelle que de maudire l’obscurité

     

  • Thiery Beyne, les dormeurs indochinois

    Thiery Beyne, les dormeurs indochinois

    Thiery Beyne

     les dormeurs indochinois

    Thierry Beyne, les dormeurs indochinois

    Thiery Beyne

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    Vietnam/MCFV

  • Hommage aux Castrats, Nguyen Duy Thong

    Hommage aux Castrats, Nguyen Duy Thong

     

    Hommage aux Castrats : Airs pour Farinelli chantés par Nguyen Duy Thong, contre-ténor, Eglise Saint-Julien le Pauvre, Paris, du 5 janvier au 11 mars 2017

    By | janvier 5, 2017
    chanyteurŒuvres de Vivaldi, Haendel, Gluck, Tosti…
    Dans l’intimité de la plus vieille église de Paris une promenade musicale hors du commun.Né à Toulouse, Nguyen Duy-Thông a fait ses humanités à la Sorbonne tout en étudiant le chant avec la soprano Liliane Mazeron avant de se perfectionner avec les cantatrices Regina Renik, Sena Jurinac, et Jill Feldman.
    Ayant étudié le style baroque avec le claveciniste Yannick le Gaillard et le chef d’orchestre William Christie, c’est dans le répertoire de la musique ancienne particulièrement adapté à son registre, qu’il fait ses premiers pas de chanteur soliste : Orfeo de Monteverdi, Ode Come ye sons of Art de Henry Purcell, cantate Actus tragicus(BWV)106 de JSBach etc..
    Nguyen Duy-Thông travaille sous la direction de Jean-Claude Malgloire, Marc Minkowski, Patrick Bismuth et aborde sur cène Secrecy et Mopsa dans Fairy Queen de Purcell et dernièrement Orphée dans Orfeo ed Euridice de Gluck.
    Par ailleurs, sa curiosité et sa technique le poussent vers des répertoires rarement associés à ce type de voix :c’est ainsi qu’il interprète le rôle de Zephyrus dans Appolo et Hyacinthus de Mozartet même ceux de la tasse chinoise et de l’écureuil dans l’Enfant et les Sortilèges de Ravel.
    En récital, sa connaissance de la langue et de la culture allemande lui permet de chanter le lied de Mozart à Schubert, Wolf et Liszt. Pour ce qui est de l’Italie, le répertoire belcantiste (Rossini, Donizetti, Bellini) lui est également très cher.
    Les recherches qu’il a entreprises sur le répertoire et l’art des castrats l’ont conduit à créer un spectacle intitulé de Farinelli à Moreschi.donné pendant toute la saison 1997-1998 au Théâtre du Tambour Royal à Paris.
    Ouvert à la musique de son temps il a interprété Sequenza de Luciano Berio, Danae de François-Bernard Mâche. Les compositrices Florentine Mulsant, Denise Ferrand-Teulet et Walky Karveno ont écrit des mélodies pour lui.
    Nguyen Duy-Thông a accepté à la demande de metteurs en scène de se produire au théâtre (Festival d’Avignon, 1998, Maison de la Poésie, novembre 2002) et au cinéma (Beau Travail de Claire Denis).      http://musiquesenvauxdyonne.free.fr/PuMusiciens/MU_Nguyen.htm

    Eglise Saint Julien le Pauvre, 79 rue Galande (ou: 1 rue Saint-Julien le Pauvre), 75005 Paris

    Entrée: 13 €

    Du 05/01/2017 au 11/03/2017
    Lundi, mardi et jeudi à 20h, samedi à 19h

    Billet sur http://www.billetreduc.com/spectacle-nguyen-duy-thong.htm

  • BD : Mémoires de Viet kieu de  Clément Baloup

    BD : Mémoires de Viet kieu de Clément Baloup

    BD : Mémoires de Viet kieu, vol. 3, les mariées de Taïwan de Clément Baloup (parution en janvier 2017) – Exposition – Dédicace

    By | janvier 20, 2017

    couverture CV_MARIEES_de TAIWAN V6

    À la fin des années 90 un phénomène migratoire de grande ampleur a eu lieu au Vietnam. Pensant fuir des conditions de vie difficiles, des milliers de jeunes femmes ont quitté leur pays par le biais d’agences matrimoniales pour se marier avec des étrangers, principalement des Chinois de Taïwan. Ce troisième reportage de Clément Baloup se révèle à la fois captivant et fort émouvant.

    Attaché au Vietnam et aux destins brisés de ses ressortissants, Clément Baloup continue de mettre toute sa sensibilité au service du souvenir de ceux qui se sont arrachés à leur terre natale.
    Dans ce 3ème volume des Mémoires de Viet Kieu, Clément s’intéresse en particulier à celles que l’on nomme les « Mariées de Taïwan » : ces jeunes Vietnamiennes victimes d’un phénomène qui commença à la fin des années 90, lorsque plusieurs agences matrimoniales virent le jour au Vietnam pour organiser des rencontres avec des hommes taiwanais…
    Ainsi des milliers de jeunes femmes, issues de milieux pauvres et campagnards, se mirent en quête d’une échappatoire vers une vie meilleure à travers ces mariages négociés.
    Mais tout cela ne fut-il pas qu’un miroir aux alouettes ? Une illusion cruelle ?
    Des témoignages rares et intimistes, captivants de bout en bout.

    Date de parution : janvier 2017
    Scénariste(s) : Clément Baloup
    Dessinateur(s) : Clément Baloup
    Genre : Enquête, témoignage
    Editeur : La Boite à Bulles
    Prix : 22 € (158 pages)
    Acheter sur : Amazon l BDFugue

    En savoir plus sur http://publikart.net/mariees-de-taiwan-bd-fascinante-eclairante-editions-boites-a-bulles/#OkDxd5LUFTxjCdsC.99

    Plus d’informations sur cet album de BD et sur son auteur franco-vietnamien Clément Baloup :

    Vidéo du reportage de France 3 Provence Alpes sur Clément Baloup, à l’occasion de la sortie de son album et de son exposition (en cours) à la Librairie la Réserve à Bulles de Marseille (du 10/01 au 10/02/2017 ; vernissage le 13/01) :https://www.facebook.com/clement.baloup/videos/vb.567842357/10154288297222358/?type=2&theater

    Affiche de l’exposition de Marseille (10/01-10/02/2017) : affiche-ExpoMarseille2017-Clement-Baloup-Reserve-a-bulles

     

    Dédicace du livre ‘Les mariées de Taïwan’ le 25 février 2017 à Narbonne : http://www.narbonne-tourisme.com/agenda/1072041-bd–dedicace-clement-baloup

    http://culturebd.com/album-bd/memoires-de-viet-kieu/212540-3-les-mariees-de-taiwan

    Fiche de l’Editeur sur ce livre : fiche Les Mariees de Taiwan

    https://fr.wikipedia.org/wiki/Cl%C3%A9ment_Baloup  ouhttps://fr.m.wikipedia.org/wiki/Clément_Baloup#BiographieMARIEES-21

    Page dédiée à Clément Baloup sur ce site d’artistes franco-vietnamiens : http://saviet.fr/baloup-clement/

    Site internet de Clément Baloup : http://electricblogbaloup.over-blog.com/ 

     

  • Beijing 2008 à 2017, années Champagne !

    Beijing 2008 à 2017, années Champagne !

    Philosophie chinoise

    Il y a 2400 ans en Chine Laozi découvrait la fluctuation du vide. Il y a un siècle déjà, en Europe Max Planck en fit la démonstration.

    Laozi sur son bœuf bleu – JPB

    Tao Té King Chapitre 25

    Quelque chose de confus et mélangé était là avant la naissance du ciel et de la terre.

    Fait de silence et de vide.

    Seul et immobile circulant partout sans s’user, capable d’être la genèse de l’univers.

    Son nom reste inconnu, on l’appelle Tao et pourquoi pas, grand absolu.

    Grand car il y a expansion, expansion toujours plus loin.

    Grand se réfère au symbole.

    Le symbole se réfère à ce qui est lointain.

    Ce qui est lointain se réfère au retour.

    Ainsi grande est la voie, grand est le ciel, grande est la terre, grand l’être.

    Dans l’univers existent quatre grandeurs, dont l’être.

    L’être humain se modèle sur la terre, la terre sur le ciel, le ciel sur la voie et la voie demeure naturelle.

    Laozi (Lao Tseu)

    Grand Millésime 2008 : l’Année du Rat, de la Chine Olympique et de la Physique.

    – Le rat de feu qui sort du grenier – JPB

    l’Année de la Chine olympique.

    Les jeux Olympiques vont-il faire prendre conscience du potentiel immense que représente la pensée Chinoise ?

    Ce potentiel, le monde commence à s’en rendre compte, mais reste à savoir si les chinois eux -même en ont vraiment conscience ? Il faut bien l’avouer ces derniers s’en moquent, à par Confucius. Ils abandonnent sans état d’âme leur ancienne culture, rupture consommée après 3000 ans d’histoire.

    Laozi comme beaucoup d’autres ne sont pas perdus pour autant, ils font désormais partie du patrimoine mondial.

    De ces jeux attendus comme l’évènement marquant de ce début de siècle, naît aussi une contrainte d’exemplarité, vitrine passagère de la communion des peuples ; la trêve des jeux, comme le veut la coutume depuis la plus haute Antiquité, sera-elle respectée ? Un grand pays ne peut manquer à cela…

    Parfois il suffit d’un rien pour que le temps ne se gâte et que la pluie ne s’invitât inopinément ?

    L’eau et le feu ne s’opposent pas, cette sentence est écrite dans le grand livre du temps.

    Flamme olympique et eau du ciel ainsi vont les choses, du proche au lointain, comme le bruissement des ailes d’un papillon.

    Le ciel a ses caprices, la voie demeure naturelle, faire avec et parachever les changements, cela se nomme « mutation ».

    – La Physique Européenne – JPB

    l’Année de la Physique.

    Dans le ciel séjourneront bientôt les yeux de Planck, c’est en effet cette année que sera mis en service le satellite cosmologique Européen Max Planck qui sera lancé par la fusée Ariane 5. Cet observatoire du rayonnement de fond cosmologique devrait nous en dire un peu plus sur ce qui est considéré comme le début de notre petite bulle de vie qu’est l’univers dans lequel nous évoluons, Big-bang ou autre chose ?

    Pourquoi pas fait suprême « T’ai Ki » mis en action du Yin et du Yang (de l’antimatière et de la matière) à partir des fluctuations du vide quantique. L’hypothèse est prise un plus au sérieux aujourd’hui qu’hier, car il faut bien l’avouer la théorie du big-bang commence à battre de l’aile et plus personne n’y croit vraiment ou juste comme un épiphénomène.

    C’est aussi cette année que l’union européenne se dote du plus magnifique instrument de la physique moderne le LHC (Large Hadron Collider du Cern). Le superbe accélérateur de particules de 27 Kms de circonférence qui devrait fournir une base expérimentale à ce qui est encore qu’une suite d’équations, car c’est au plus profond de la matière que se trouvent les réponses aux questions portant sur ce qui anime l’univers dans son ensemble, le cosmos.

    Deux ustensiles qui sont indispensables à la traque de cette mystérieuse matière noire et autre énergie sombre.

    A peine acquis le lumineux se révèle subséquemment, l’obscur pleinement souverain, rien d‘étonnant à cela…

    Toujours en quête d’une certaine symétrie perdue aux confins de notre genèse, la physique moderne aspire à la complétude et à la recherche, quoi d’étonnant à cela ?

    l’Année du Rat nous interpelle !

    Va- t’on enfin savoir ce qu’il est advenu du chat ?

    – Le rat de feu et la baguette magique, le chat est vivant ! –

    En hommage à celui qui fit la plus grande découverte de tous les temps.

    – Deux écuyères montées sur les chevaux du vent saluent la performance-

    « le quantum d’action » qui augure l’ère de Planck.

    Et que prenne forme « le rêve du papillon ».

    Article attribué à : Harry Covert et Barbara Mouse

    ***

    Encore dans les kiosques à journaux : Hors série N°242 Magasine Science et Vie L’univers Aujourd’hui, Ses mystères, son histoire, son architecture.

    En gerbe, une explosion de couleurs.

    Il se lâche chez science et vie, les illustrations sont superbes, le ton moins académique, le format agréable et sympa.

    A lire aussi. Application du TAO TE CHING MANTAK CHIA et TAO HUAMG Porte ouverte sur toutes les merveilles Application du TAO TE CHING GUY TREDANIEL EDITEUR

  • Récits du moine AN-Ching par Ying Dussaut (Ed Thélès)

    Récits du moine AN-Ching par Ying Dussaut (Ed Thélès)

    Récits du moine AN-Ching par Ying Dussaut (Ed Thélès)

    Roman de l’époque Pré-révolutionnaire de la Chine de 1890

    An-Ching est né à Doubei, la province chinoise la plus septentrionale, au moment où la Chine perd la guerre de l’opium et signe les traités qui ouvrent les ports de commerce aux étrangers. Lorsqu’il a un mois, son père An-Ling est assassiné dans un monastère par des bandits. Sa mère très malade demande alors au prêtre Lao-Shan d’adopter son enfant.

    Ainsi, dès l’adolescence et aux côtés de ce père adoptif engagé, An-Ching participera aux actions des sociétés secrètes et des étudiants révolutionnaires en vue de faire éclater la troisième révolution.

    La saga relatée par le moine An-Ching est une histoire vraie. C’est un long périple au travers de la chine, de la méridionale Kan-Chiou à la Mongolie, après avoir traversé le Tibet pour suivre aussi la route de la soie jusqu‘en Inde.

    An-Ching parcourt le pays de village en village pour apprendre aux enfants à lire et à écrire. Il reste parfois plusieurs mois chez l’habitant participant aux travaux des villageois. Il observe la nature, les mœurs, les légendes et les superstitions des hommes… et encore, l’activité des villes, leurs sociétés et leurs révolutions.

    Récits du moine AN-Ching Ying (Dussaut, Ed Thélès)

  • Jardins japonais et beautés de la nature

    Jardins japonais et beautés de la nature

    Les jardins japonais, qui excellent dans la création de reproductions symboliques de paysages ou de marines dans le cadre restreint de quelques centaines de mètres au maximum, sont renommés dans le monde entier. Ayant évolué à partir du parrainage d’une classe dominante d’un extrême raffinement et des principes du Bouddhisme et du Shintoïsme, les jardins japonais sont de sublimes combinaisons de plantes, de sable, d’eau et de roches qui célèbrent les beautés de la nature dans une forme artistique parfaitement structurée. Les enceintes des temples comptent de nombreux jardins, et beaucoup d’entre eux sont vieux de plusieurs siècles.

    Kyoto compte en particulier une profusion de jardins japonais, et ceux de la Villa Impériale Katsura, des Temples du Ginkakuji et du Kinkakuji, du Château Nijo ainsi que le célèbre jardin de pierre du Temple Ryoanji en sont les exemples les plus subtils. A Tokyo, les plus beaux jardins sont ceux Higashi Gyoen, Hama Rikyu et Koishikawa Korakuen, et le vaste parc public de Shinjuku Gyoen qui, à l’origine, était un des lieux de détente de la famille Impériale. Ailleurs, le Kenrokuen de Kanazawa, dans la Préfecture de Ishikawa, le Kairakuen dans la Préfecture d’Ibaraki, le Korakuen de la Préfecture d’Okayama et le Parc Ritsurin dans la Préfecture de Kagawa sont parmi les plus importants.

    Article paru sur le site de » l’Office National du Tourisme Japonais« 

    Office de tourisme national japonais Ikuko NAGAO Adresse : 4, rue de Ventadour 75001 Paris FRANCE Tel (direct):0142962961

  • Contrebrassens, un Brassens surtout…… féminin

    Contrebrassens, un Brassens surtout…… féminin

    Prochaine sortie de CONTREBRASSENS A l’ombre du cœurNouvel album – le 13 janvier 2017 & tournée

    Bientôt en concert près chez vous, voici un avant-goût de l’univers de Contrebrassens en mode Cupidon : Teaser

    Pour changer en amour notre amouretteIl s’en serait pas fallu de beaucoupMais, ce jour-là, Vénus était distraiteIl est des jours où Cupidon s’en foutIl est des jours où Cupidon s’en fout….

    Clip : Il n’y a pas d’amour heureux

    Pauline Dupuy ose un des plus jolis répertoires. En exploitant toutes les sonorités de son instrument, elle souligne la profondeur des textes et met en valeur toute leur humanité. La voix est douce, particulièrement mélodique. Pauline accomplit le tour de force de faire, tout à la fois, revivre et oublier Brassens. Sa parole est mutine ou amusée, sa complicité avec les musiciens partagée avec le public. On oscille constamment entre la musique sacrée et la musique sacrilège, entre le respect immense du spectre paternel et l’irrévérence amusée nécessaire à un tel exercice.

     

     « Dans mon nouvel album, À l’Ombre du cœur, j’y interprète onze chansons de Georges Brassens. Au fil des chansons, la contrebasse est là, familière, envoûtante. Mais elle n’est plus seule, désormais. Riches ou discrets, souvent jazzy et parfois oniriques, les arrangements honorent la voix, au service de la poésie et de l’humanité des textes. L’album est réalisé par Michael Wookey, mon partenaire de toutes les aventures et de tous les concerts. Un marionnettiste et explorateur sonore qui vient nourrir et prolonger mes idées musicales.

    Le disque a été enregistré à Berlin, à Paris, en Hollande et en France… prendre de la distance puis revenir aux sources, le Cantal, lieu où tout prend racine dans mon histoire et celle qui me lie à Brassens. Brassens me fait du bien, j’aimerais qu’il vous en fasse aussi. Ce qu’il nous raconte est drôle, profond et engagé. Si on a aujourd’hui besoin de sens, on a aussi besoin de son humour et de ses valeurs. Pourquoi ce disque et ces chansons ? Parce que maintenant ses chansons sont devenues un peu les miennes… »

    Album disponible, n’hésitez pas à le réclamer si vous avez la possibilité d’en faire écho et que vous ne l’avez pas reçu !

    LA TOURNÉE 13/01/17 – L’isle D’abeau – 69

    14/01/17 – L’Arbresle – 6915/01/17 – Saint-Etienne – 4219/01/17 – La péniche Antipode – Paris – 7520/01/17 – Centre Culturel du Blanc – 3621/01/17 – L’improbable Librairie – Saint-Genest-d’Ambière – 8626/01/17 – La péniche Antipode – Paris – 7527/01/17 – Atelier la muscadelle – Chessy – 7728/01/17 – Atelier la muscadelle – Chessy – 7701/02/17 – La péniche Antipode – Paris – 7502/02/17 – Ivry – 9203/02/17 – Le carré du perche – 6104/02/17 – Rennes – 3505/02/17 – Fougères le Coquelicot – 3508/02/17 – La péniche Antipode – Paris – 7509/02/17 – Nantes Tnt – 4410/02/17 – Nantes Tnt – 4411/02/17 – Nantes Tnt – 44

    Plus d’infos : www.contrebrassens.com

     

  • Gwenaël Kerléo & Yann Crépin, un voyage onirique

    Gwenaël Kerléo & Yann Crépin, un voyage onirique

    « La Déclaration », le nouvel album du duo Sonj (Gwenaël Kerléo & Yann Crépin) 
    un voyage onirique et cinématographique

    C’est le 8ème album de Gwenaël Kerléo.

    Concert pour la St Patrick  
    vendredi 17 mars au Zèbre de Belleville à 20h
    63 Bd de Belleville 75011 Paris

    Informations & réservations : 01 43 55 55 55 

    visionner le Clip Sicilienne Finistérienne

    La Déclaration est un album de compositions originales et c’est, avant tout, le fruit d’une vraie rencontre entre deux musiciens. Ils nous offrent ici un dialogue entre une harpe et un piano en totale harmonie, nous entrainant vers des espaces sonores qui rappellent l’univers onirique d’un Yann Tiersen ou de Ludovico Einaudi.

     

    Une constellation d’étoiles illumine cet album universel ! Si l’on pouvait se douter que Gwenael Kerleo, en bonne fée des monts d’Arrée changerait à nouveau le cristallin de sa harpe en pépites, sa complicité avec le pianiste-flûtiste Yann Crépin est une immense révélation.
    Les compositions de Gwenael scintillent du début des « Murmures d’une nuit d’été » à la « Transe armoricaine » finale, dans une suite indissociable. Dès lors, quand le uillean pipe de Kevin Camus et les percussions d’Yvon Molard transcendent l’ultime morceau, la sensation de « déjà fini ? » est l’argument imparable d’une pleine réussite.Le Télégramme

    Cliquer sur le site de Gwenaël Kerléo pour en savoir plus