Étiquette : voyage

  • boeuf aux piments et basilic au wok (cuisine thaïlandaise)

    boeuf aux piments et basilic au wok (cuisine thaïlandaise)

    boeuf aux piments et basilic au wok (cuisine thaïlandaise)

    boeuf aux piments et basilic au wok

    pour 4 bons mangeurs

    Ingrédients
    - 800g de viande de boeuf (rumsteak) découpée en lamelles
    - 3 belles branches de basilic frais dont la moitié coupée finement
    - 5 cuillères à soupe de sauce de poisson
    - 1 et 1/2 piments rouges frais découpés en fines rondelles
    - 7 gousses d’ail hachées
    - 3 cuillères à café de gingembre frais haché
    - 20 petites cuillères à soupe d’huile d’arachide
    - 1 cuillère à soupe de sucre brun
    - 1cuillère à soupe jus de citron frais
    - sel et poivre

    Préparation
    - tremper la viande pedant 1h dans une marinade ( la sauce de poisson+ le sucre)
    - faire revenir les feuilles de basilic non découpées dans de l’huile pas plus de 1mn, retirer les et les déposer sur du papier sopalin afin d’absorber l’huile.
    - retirer l’huile en n’en laissant qu’un fond et y faire revenir piment+ ail+ gingembre
    - ajouter ensuite la viande marinée et la basilic émincé ; laisser cuire environ 5mns
    - puis mouiller avec le jus de citron
    - enfin saler et poivrer
    - déposer le tout dans un plat et enjoliver le tout en entourant de feuilles de basilic entières (celles du début)

    Recette d’un internaute

    Ingrédients asiatiques

    La cuisine asiatique est facile

    Avec asietralala vous saurez tout sur LA CUISINE ASIATIQUE

    - Si vous avez une recette asiatique facile et délicieuse, n’hésitez pas à nous la faire connaître et nous nous ferons un plaisir de la mettre illico presto en ligne. Merci

  • Papaye géante, un fruit délicat et plein d’exotisme

    Papaye géante, un fruit délicat et plein d’exotisme

     Papaye géante

    est un fruit exotique qui peut se déguster en dessert ( au sirop) ou en salade (la fameuse salade de papayes) . Fruit saisonnier il n’est pas toujours bon…affaire à suivre. Dans les sorbets il prend toute sa splendeur gustative. Avant la papaye était rare  et chère, aujourd’hui ce fruit est accessible à toutes les bourses. On trouve aussi de la papaye sous forme de fruits confits.
  • « Lumières de vies » à la galerie Francis Barlier , Jean-François Larrieu

    « Lumières de vies » à la galerie Francis Barlier , Jean-François Larrieu

    Jean-François Larrieu en solo : Lumières de vies | 生命之光 | Lights of Lives

    Du 7 au 23 janvier 2021

    Lieu: Galerie FRANCIS BARLIER 36 Rue de Penthièvre Faubourg Saint Honoré 75008 Paris

    Un article qui va paraître dans le prochain numéro de l’Univers des Arts, en kiosque la semaine prochaine.

    Particulièrement actif sur le plan artistique mais
    aussi social depuis le début de la crise sanitaire,
    Jean-François Larrieu démontre encore une fois
    ce que le plus pur amour de l’art est capable de
    produire de bon pour soi comme pour autrui.

    Emission sur Mandarin TV dans l’émission « Le Pont des Arts » avec Jean-François Larrieu, autour de son exposition « Lumières de vies » à la galerie Francis Barlier.
    Au printemps 2015, nous réalisions une
    entrevue de Jean-François Larrieu
    dans laquelle se découvrait avec une
    belle précision, la manière dont cet artiste vit
    en constante tension entre le besoin de créer
    dans la solitude de son atelier, et un appel
    viscéral à participer à la course du monde,
    à se mêler à ses pairs et à agir dans le siècle.
    La simplicité dont le charismatique président
    de la Fondation Taylor, – entre autres
    engagements –, usait alors pour décrire sa
    vision du rôle de l’artiste dans la société,
    portée par la profondeur de son rapport à
    la création, ne pouvait alors que susciter
    une forme rafraichissante d’optimisme
    pragmatique, un recul constructif sur l’art
    d’agir.

    En cette amorce de nouvelle décennie, alors
    que tous les phénomènes les plus anxiogènes
    des dernières années ont subitement connu
    une accélération radicale, – et par conséquent
    peut-être un début de résolution –, nous
    retrouvons Jean-François Larrieu en pleine
    possession de ses talents bâtisseurs et plus
    que jamais tourné vers la dimension édifiante
    de son art.
    Ses Lumières de Vies exposées à la Galerie Barlier sont le
    prolongement logique de ses préoccupations premières, aujourd’hui devenues les sujets centraux des débats qui animent nos sociétés.
    Chanter par la couleur et la lumière le foisonnement du
    monde à travers un regard authentiquement poétique, tel est
    son but et sa méthode.
    La nature, l’environnement, les constructions humaines périssables mais touchant du doigt l’éternité globale : rien n’a
    de sens si on n’en contemple pas l’entièreté, la complexité
    qui relie chaque être et chaque chose au réel dans son ensemble. Pour en rendre compte, nul support n’est plus indiqué que celui choisi par Jean-François Larrieu en tant que
    peintre, nulle tribune plus élevée que sa capacité d’agir en
    tant qu’homme et citoyen. Il y a cinq ans, il résumait dans nos
    pages : « J’ai un besoin viscéral de mener les choses à leur terme,
    de produire des résultats tangibles et appréciables par d’autres. »
    En cette période où le regard d’autrui est devenu d’autant
    plus précieux qu’il est devenu plus rare, cette simple affirmation revêt une portée nouvelle.
    Et concernant la lassitude face à l’action qui semble toucher
    un nombre croissant d’artistes, Jean-François Larrieu illustre
    à merveille le vieil adage : audere est facere, « oser c’est faire ».
    Et faire, c’est vivre. ■ Thibaud Josset
    Lieu: Galerie FRANCIS BARLIER 36 Rue de Penthièvre Faubourg Saint Honoré 75008 Paris
  • Remy Aron à la Galerie Francis Barlier

    Remy Aron à la Galerie Francis Barlier

    Vernissage  ce mercredi 16 septembre 2020 convivial et malgré les masques anti- covid tout de suite un climat chaleureux s’installe.

    Rémy Aron, « Le spacisme » – Nature & aventure

     

    Exposition du 15 septembre au 3 octobre 2020

    Une conférence-débat le 19 septembre à 15h00 :
    « Rémy Aron, 50 ans de peinture »
    Animée par Tjeri Liu

    Après l’atelier de Gustave Singier et son diplôme en 1972 à l’école Beaux-Arts de Paris, sa rencontre en 1975, avec Roger Plin a été déterminante. Elle lui a permis de dérouler, par l’intérieur et par le travail, les préoccupations picturales professionnelles et la relation intime avec les maîtres de tous les temps, tout en cultivant, en parallèle, le regard sur la nature. Puis la relation avec Jean Bertholle et le « fait pictural » a complété sa formation.

    A la 4ème exposition depuis trente ans, la Galerie Francis Barlier, montrera des « expériences » picturales qui correspondent à son évolution. Elles peuvent se caractériser par la paraphrase d’une citation d’Édouard Herriot qui dirait :   La tradition en peinture – « c’est ce qui reste quand on a tout oublié ».  En effet, il ne conserve comme credo, que les limites du format et l’épaisseur de l’espace pictural.

    Georges-Henri Rivière écrivait en 1974 pour l’exposition de Rémy Aron, à la Galerie Boris Orekoff, rue Mazarine à Paris :

    « Rémy Aron est né le 16 avril 1952, à Suresnes, par hasard, auprès d’un vignoble qu’on ne vendange plus. A quinze ans, il commence à sculpter et à peindre.

    Les circonstances quelque peu mouvementées de son adolescence l’ont éloigné du modèle de vie habituel à cet âge. Son modèle à lui a été artistique. Un modèle qui ne soit ni gréco-latin, ni comme il dit, « trigonométrique » qui le conduise « de l’informel au formel, du bouillonnement à la structure, de l’inconscient au conscient ». De métamorphoses en métamorphoses. A l’aide d’un outil polyvalent et évolutif, attaché aussi bien à ciseler l’objet usuel, que l’objet de délectation.

    L’exposition qu’il présente aujourd’hui apporte un choix de témoins de son art, varié en surface, convergent en profondeur. S’il ne le satisfait pas lui-même – mais quand cet homme sera-t-il satisfait – un bilan, puisse-t-il le croire, qui satisfait déjà ses amis. »

    RSVP directement par le lien de l’évènement, par courriel ou par téléphone.

    Président de l’AFAP Association française des arts-plastiques
    Bourse de séjour à la Casa Vélasquez, Madrid en 1979
    Bourse du Conseil régional d’Ile de France, en 1982

    Premier prix Noufflard, Fondation de France en 1985
    Bourse de l’Académie des beaux-arts – Médaille d’or des artistes français
    Grand prix Fernand Cormon (Fondation Taylor)
    Médaille d’honneur régionale, départementale et communale -Vermeil
    Nombreuses expositions personnelles et de groupe depuis 1974 en France, en Europe et en Chine.
    Grands Salons  (Mai, Grands et jeunes, 109, Automne, Comparaison.)

     

    Ont écrit sur la peinture de Rémy Aron :

    Georges – Henri Rivière / Stanislas Fumet / Patrick-Gilles Persin / Jean-Robert Armogathe / Patrice de la Perrière / Max Fullenbaum / Xavier Bureau / Françoise de Céligny / Pierre Souchaud  / Emmanuelle Tenailleau / Lydia Harambourg/ Alin Avila / Yves Kobry

     

  • Thiery Beyne, un photographe amoureux du Vietnam

    Thiery Beyne, un photographe amoureux du Vietnam

    VIDÉO A VOIR ABSOLUMENT

    Thiery Beyne part dans les années 1980 découvrir l’Asie où s’affirme sa passion du voyage et de la photographie. Il a parcouru depuis l’Inde, le Sri-Lanka, la Thailande, la Malaisie, l’Indonésie, le Cambodge, les Philippines, Hong-Kong, Singapour et bien sûr le Vietnam, son coup de cœur. Voilà bientôt 15 ans qu’il sillonne ce pays et le photographie du nord au sud dans ses coins les plus reculés. Marié à une vietnamienne de Hué, Thiery Beyne est en contact direct avec la vie quotidienne et l’authenticité du pays. Être au cœur de la population vietnamienne est pour lui essentiel. De 1995 à 2002, il réalise plusieurs expositions personnelles, à Paris et en région parisienne. En 1997, il est primé au “Nikon Photo Contest International” et exposé à la Maison Européenne de la Photographie à Paris. Thiery Beyne vit maintenant au Vietnam et aussi en France.

    Prochaine exposition: 

    Festival « aux coeurs du Vietnam » du 6 au 23 Mai 2020 au Cosmopolis de Nantes.

    THIERY-BEYNE

    Thiery Beyne khởi hành khám phá vùng đất Châu Á vào năm 1980, mảnh đất đã làm cho niềm say mê du lịch cũng như đam mê nhiếp ảnh của ông được khẳng định. Ông đã đi từ Ấn Độ, Srilanka, Thái Lan, Mã Lai, Indonesia, Campuchia, Philippines, Hồng Kông, đến Singapore và tất nhiên có Việt Nam, chính là đất nước yêu thích của ông. Vậy là đã 15 năm ông ngang dọc trên đất nước này, ông đã ghi lại những hình ảnh từ nam chí bắc ở những nơi xa xôi hẻo lánh. Thiery Beyne kết hôn với cô gái Huế, ông tiếp xúc trực tiếp với cuộc sống hàng ngày, sự chân thực của đất nước này. Hòa mình vào với người dân Việt Nam đối với ông chính là điều thiết yếu. Từ năm 1995 đến 2002, ông đã có nhiều cuộc triễn lãm ảnh cá nhân ở thủ đô Paris và ngoại ô Paris. Vào năm 1997, ông giành được giải thưởng nhiếp ảnh «Nikon Photo Contest International» và triển lãm ảnh ở phòng trưng bày «La Maison Européenne de la Photographie» tại Paris. Thiery hiện đang sinh sống tại Việt Nam.

    Thiery Beyne began his journey through Asia in the eighties as the ultimate confirmation of his passion for travel and photography. He crossed India, Sri Lanka, Thailand, Malaysia, Indonesia, Cambodia, The Philippines, Hong Kong, Singapore and of course Vietnam, his favorite.

    Between 1995 and 2002,­­­ his photographic work is frequently exhibited in Paris and surroundings. In 1997 he received a prize in the ‘International NIKON Photo Contest’ and his work is exhibited in ‘La Maison Européenne de la Photographie’ in Paris. He is married to a Vietnamese girl from Hue, thus penetrating to the heart of Vietnamese society, a privilege which the tourists cannot enjoy. Today he lives and works as a photographer in Vietnam (Nha Trang), among the indigenous population. To be at the heart of Vietnamese life is essential for him

    Toutes les photos de ce site « VISAGES DU VIETNAM » sont la propriété de Thiery Beyne

    Site de Thiery Beyne

    Thiery Beyne photographe

  •  Hàm Nghi, empereur en exil, artiste à Alger

     Hàm Nghi, empereur en exil, artiste à Alger

    Samedi 7 décembre 2019 de 16h30 à 18h30, Foyer Vietnam, 80 rue Monge, Paris 5ème : rencontre et séance de dédicace du livre « Hàm Nghi, empereur en exil, artiste à Alger » avec l’auteure Amandine Dabat. Entrée libre

    L’histoire de Hàm Nghi, jeune empereur du Vietnam, qui à l’âge de dix-huit ans décide de résister à l’instauration du protectorat français en Indochine, demeure méconnue. Prisonnier politique, exilé à Alger, le prince d’Annam, tel qu’on l’appelle désormais, choisit de consacrer sa vie à l’art. Il se lie d’amitié avec Auguste Rodin et Judith Gautier, côtoie les milieux artistiques et intellectuels de son époque. Surveillé sans relâche par le gouvernement français, qui le considère comme un dangereux ennemi, le prince parvient malgré tout à préserver des relations avec l’Indochine et à communiquer avec ses proches, grâce à un réseau d’amis qui circule entre l’Algérie, l’Indochine et la métropole. Dessin, peinture et sculpture : Hàm Nghi crée un espace de liberté qui lui est propre. Il se forme aux beaux-arts auprès de Français. Il s’inspire des impressionnistes et postimpressionnistes, ainsi que des sculpteurs contemporains pour produire une oeuvre au croisement de plusieurs cultures. Pour les Vietnamiens d’aujourd’hui, Hàm Nghi est un héros national, symbole de la résistance à la colonisation. A travers cette première biographie de cet artiste singulier, de ce personnage historique au destin hors du commun, Amandine Dabat met en rapport le point de vue officiel et politique de la France, avec celui, intime, du prince sur sa propre vie, au croisement de plusieurs cultures. Son oeuvre, conservée dans des collections particulières, très peu exposée, est étudiée pour la première fois. La mise au jour récente d’une grande partie de sa correspondance vient éclairer ce pan de l’histoire coloniale de la France.

    (source Amazon)

  • Nous avons découvert Armand Frydman, à Bourges.

    Nous avons découvert Armand Frydman, à Bourges.

    A l’âge de 15 ans, Armand Frydman annonce à ses parents qu’il quitte l’école pour se consacrer à la musique.
    Et plus précisément à des groupes de rock et de rythm and blues avec lesquels il tourne.

    Puis il reprend des études musicales classiques, travaille pour de nombreuses musiques de films (Claude    Chabrol et bien d’autres), enchaine des collaborations haut de gamme (« La Noce» de Bouvier Obadia, sélection festival de Cannes, prix Sacem de la musique, « L’Etourdi » de Jean Claude Baumerder, « La Peau » de Gilles Moisset, prix de la musique au festival de Rotterdam).

    Il compose un disque classique remarqué (« Atlas », avec l’immense violoniste tchèque Joseph Suk, le flûtiste français Christian Lardé et l’orchestre du Bolchoï).

    « J’ai toujours oscillé entre la musique classique et la chanson. Le classique, c’est vivre dans un rêve, hors du monde, hors du temps. La chanson, c’est être de plein pied dans mon époque, dans l’émotion, sans distance ».

    Ses chansons ressemblent à un carnet de route, griffonné de souvenirs de rencontres, qu’elles soient amoureuses ou humaines. Elles se prélassent parfois sur des rythmes blues rock alanguis (« La beauté du diable »), lézardent dans des recoins sensuels (« J’ai vu de la lumière »), rougeoient grâce à la ferveur passionnée du tango (« Quand tu danses avec les flammes »), font des confidences, aidées par la chaleur boisée de l’acoustique (« Pars sans rien regretter »), ou flirtent avec le rock.

    On y parle de choses fondamentales comme des étoiles, de l’amour, de la lumière, du feu, du ciel, du diable ou de la beauté. On se laisse embarquer dans ce tourbillon d’atmosphères éclectiques, au gré d’une enfilade de paysages chamarrés.
    Il partage des souvenirs sonores, fruits de voyages à Bali où il a étudié le Gamelan, en Afrique de l’Ouest où il a pratiqué les polyrythmies et en provenance de ses nombreuses escales à Cuba où il a appris les percussions traditionnelles de la Santeria.
    Ailleurs, un oud, un bandonéon, un violon, une flûte, un ukulélé, un doudouk arménien s’invitent au périple et donnent une couleur inédite à chaque morceau.

    Vous l’aurez compris, ce premier disque est une invitation à un voyage musical.

    Même si les récits d’Armand Frydman se déroulent souvent à l’extérieur, au delà des frontières, il explore la topographie de l’intime. Comme si voyager en soi était aussi enrichissant qu’autour de soi.

    « Plus personne ne lit des poésies, mais tout le monde écoute des chansons. Pour moi, chanter c’est faire vivre l’émotion d’un texte. Un travail d’alchimiste jonglant avec la poésie, la mélodie, les arrangements et la véracité de la voix. »

    Par un habile jeu de miroir, les chansons dressent un subtil parallèle entre les voyages et l’amour. Car tous deux sont remplis de secrets et de mystères. De sensualité et d’attirance. D’ailleurs, ici ou là, une voix féminine vient renforcer les mélodies, susurrer quelques notes soyeuses ou compléter le dialogue amoureux (« La vallée de tes yeux »).
    Ces voyages se déroulent sur des tempos très différents. Parfois, des rythmes trépidants illustrent des périples menés tambours battants (« Cheval fou » et son violon tzigane, « Hey Long Kiang » et ses envolées de flûte).
    Les mélodies, débarrassées de tout superflu, séduisent par leur sens de l’essentiel.
    Elles possèdent une efficacité immédiate et tutoient quelque chose d’universel. Ici, on s’embarque sur les contours sereins de notes aériennes (« Jusqu’aux étoiles »). Là, le dépouillement d’un piano voix apaisé est propice aux confidences et souligne la force des textes (« L’écho ainsi danse »).

    « A partir des années 8O, tout le monde s’est mis à enregistrer avec un métronome dans le casque. La musique y a perdu une part de son âme. Pour ce disque, nous voulions respirer, ralentir, accélérer, pour que la musique reste vivante, au plus près de son inspiration ».

  • Asie images d’hier et d’aujourd’hui ou le durian une odeur indéfinissable.

    Asie images d’hier et d’aujourd’hui ou le durian une odeur indéfinissable.

    J’adore flâner dans les petites ruelles de Chine, là où est la vie, où vit le brouhaha des cyclos et des gens. J’aime à la fois ces quartiers pas encore aseptisés qui ne demandent qu’à exister.

    Je regarde avec toujours autant d’étonnement ce foisonnement d’étals aux couleurs chamarrées. Des odeurs de fruits exotiques mêlés de fritures. Certains seront, j’en suis persuadé, dégoûtés par ces mixtures d’odeurs et d’autres trouveront comme un air d’exotisme arriver à leurs narines.

    C’est sûr  parfois il arrive que la chaleur donne à ces effluves un semblant de torture chinoise mélangeant avec avec finesse douceur et relents désagréables.  Vous avez dit odeurs, odeurs de Chine et bien vous n’êtes pas les premiers et les derniers touristes occidentaux à me parler de souvenirs déroutants. Sauce de poissons qui vous grattouille désagréablement le nez, poissons fermentés qui vous agressent sans délicatesse ou même odeurs inconnues qui soulèvent le dégoût.

    Voyager en Asie est un voyage au pays des odeurs à la fois sensuelles et délicates mais aussi déroutantes car étranges. Mais connaissez vous ce fruit apprécié en Chine, au Vietnam, en Thaïlande: le durian … Eh bien celui ci dégage une odeur des plus repoussante, mélangeant le beurre rance et la douceur d’un caramel suave. Difficile à expliquer car il faut essayer.

    Et maintenant 3 anecdotes sur le Durian.

     

    1- Ma maman , une gourmande, acheta un jour un durian de qualité, un durian doit sentir mauvais, elle le fit emballer de plusieurs sacs en plastique afin d’occulter les odeurs qui pour elles sont délicieuses. Armées de cette armure anti-odeur voilà ma maman qui se faufile dans le bus. Timide, taille 1m50, elle trouve enfin sa place. De nombreux yeux peu sympathiques la fixent tous dans le bus regardent ma mère avec un air des plus agressif car le parfum exotique malgré l’emballage s’est propagé dans tout le bus. Ma maman lève alors les yeux vers les autre voyageurs et dit en riant jaune, très gênée, la tête dans les épaules: « ça sent mauvais mais c’est  bon ».

     

    2- Sur l’île de Langkawi en Malaisie à l’entrée d’un hôtel de luxe il y avait ce panneau: « Interdit aux chiens et au Durian ».

    3- Afin de nous faire plaisir, une commerçante vietnamienne nous mit dans la bouche du durian et l’une de mes amies hurla et rejetant le met « délicat », elle éructa: » ça pue, c’est dégueulasse, on m’a fait manger de la merde ». Le durian ce fruit apprécié dans toute l’Asie mais c’est un vrai sacrilège!

     

     

  • «Légendes de France» sur la chaîne Voyages

    «Légendes de France» sur la chaîne Voyages

     «Légendes de France»

    Un voyage au pays des légendes: La Bretagne

    Un mail, un regard discret et je me suis dit voilà encore un énième documentaire sur la France régionale, sa gastronomie, ses vins, ses paysages à couper le souffle son ennui récurrent…mais en général instructif mais pas passionnant. Je n’avais pas encore mis mes lunettes et déchiffré le titre: «Légendes de France». Ah me suis- dit, un angle plus intéressant car plus onirique . Et puis j’ai saisi à la volée que ce documentaire avait été réalisé par la même équipe que « voyage et bonnes manières », une série à la fois « éducative » et pleine d’humour au commentaire enlevé, décontracté, un vrai plus. Donc je me suis dit documentaire à scruter minutieusement avec une loupe électronique. 

    BRETAGNE_TREHORENTEUC_EGLISE_DU_GRAAL © Félix Albert.jpg

     

    Tout cela est de très bon augure, une soirée agréable en perspective et j’espère pleine de poésie car « légende » est un mot magique qui fait resurgir en nous des images féeriques aux couleurs du rêve. 

    Pour ce premier reportage c’est Légendes de Bretagne, la terre la plus à l’ouest de notre chère France.

    Ce vendredi 7 décembre 2018, le doigt sur la gâchette, non sur la télécommande et hop la chaîne VOYAGE  (Fox International Channels) et c’est parti. Cryptes encaissées, Mer d’émeraude, cités Corsaires, Surcouf, Jacques Cartier, Saint Malo, forêt de Brocéliande, Merlin l’Enchanteur, Les chevaliers de la table ronde, le roi Arthur, Lancelot du Lac,  La fée Morgane, druides, Val sans retour donnent à cette région une couleur onirique. On se laisse bercer dans ces contes magiques où Merlin nous entraîne à la quête du Graal. Une Bretagne différente se dévoile à nos yeux à la fois  habituelle mais si mystérieuse.

    Montage excellent, parfait avec de nombreux « cuts » qui donnent de le  vivacité, du rythme à l’image mais aussi des fondus  enchaînés qui permettent de souligner avec délicatesse le temps qui passe.

    Vraiment je vous incite à voyager à travers ces documentaires qui nous transportent dans un monde révolu où l’adulte redevient un enfant.  

    Cette série de documentaires va débuter par la Bretagne.

    BRETAGNE_ST_MALO_PANORAMA © Félix Albert.jpg 

    LÉGENDES DE BRETAGNE 

    Diffusion Vendredi 7 décembre à 20h50:

    Armoricaines ou arthuriennes, les légendes qui hantent les terres les plus occidentales de France, conservent l’empreinte du merveilleux et le goût salé de l’aventure. Taillée comme un navire qui jamais ne chavire, la Bretagne fonce droit vers le couchant arborant fièrement le pavillon de ces corsaires malouins qui ont tracé tant de routes sur les océans. Grisée par la mer, la Bretagne n’en reste pas moins attachée à son dur berceau de granit. Par-delà les mégalithes de cette lande sauvage à la beauté antique, résonnent encore les récits épiques des chevaliers de la Table ronde. Nous entrons dans le royaume des fontaines sacrées dont seul un vrai Breton comprend le doux babil. Le bruissement du vent s’engouffrant dans les arbres des forêts envoûtantes, l’ombre de l’Enchanteur ou le craquement léger d’une branche sous le pas supposé d’une fée, ont frappé les esprits et délié les langues d’un peuple hardi et soudé autour d’une éternelle quête de graal.

    BRETAGNE_CONCORET_CHATEAU_DE_COMPER © Félix Albert.jpg

    Et puis tous les vendredis soir d’autres contrées, d’autres horizons, d’autres régions.

    LÉGENDES DE CORSE

    Diffusion le vendredi 14 décembre à 20h50

    Maritimes ou montagnardes, mystiques ou païennes, les légendes de Corse ont le caractère bien trempé de leurs auteurs : un peuple insulaire, à jamais marqué par la beauté dantesque d’une terre tourmentée autant que convoitée. Bien au-delà des histoires de Colomba et de vendetta, ces légendes corses s’expriment dans les pierres de chaque village perdu dans la montagne ; au cœur des églises qui hébergent les idoles sacrées de Bastia ; dans l’ocre des calanques de Satan ; sur le visage tourmenté et figé de la Sposata ; dans le cri de l’épervier qui plane au-dessus du maquis ; dans le flanc des montagnes qui plongent vers la mer. Ce sont les fables populaires qui ont sublimé ces merveilles de la Nature, que nous allons vous conter.

     

    LÉGENDES DE PROVENCE

    Diffusion le vendredi 21 décembre à 20h50

    Des rives du Rhône aux confins du Var et jusqu’à la Méditerranée, invasions barbaresques, sources sacrées et monstres amphibiens ont nourri les histoires extraordinaires d’une terre d’échanges et de brassage qui exalte l’imaginaire. Car c’est à la lisière de la Provence que le Nord rejoindra le Sud, que les Ligures deviendront Celtes, que les Celtes seront Grecs puis Romains et que naîtra enfin cette identité provençale que souffle le mistral. Sous le regard bienveillant de la « Bonne Mère », c’est la Provence toute entière que nous allons voir palpiter dans le creuset chimérique dont est fait l’imaginaire local. Un pays au légendaire hanté par l’origine phocéenne de la doyenne des villes de France autant que par les créatures sauvages ou mythiques rodant dans les marais Camarguais ou tapies dans les mystérieuses grottes des châteaux de Provence.

     

    LÉGENDES DE NORMANDIE

    Diffusion le vendredi 28 décembre à 20h50

    Dans un murmure s’élevant des tréfonds des étourdissantes falaises de la côte d’Albâtre que surveillent les goélands argentés, la Manche nous souffle les légendes de ce Pays de Caux dont la lumière a su prendre tant d’illustres peintres dans sa toile… Ici, l’imagination a galopé à la vitesse des marées : on prétend qu’une relique du sang divin se serait miraculeusement échouée à Fécamp dont elle a fait un lieu de pèlerinage ! On raconte aussi que la rivière qui traversait jadis ce petit village d’Etretat aurait subitement disparu de bien étrange manière. Certains disent encore que la naissance de son église serait due aux invasions Vikings et il paraît que les esprits de trois belles demoiselles hanteraient toujours les falaises d’Albâtre où Arsène Lupin aurait caché, ni plus ni moins, que le trésor des rois de France ! L’imaginaire cauchois semble bien le plus fécond de toute la Normandie !

     

    LÉGENDES D’ALSACE

    Diffusion le vendredi 04 janvier à 20h50

    Comme emmitouflé dans son manteau de brume, l’imaginaire germanique sommeille au cœur des forêts alsaciennes que l’hiver nébuleux se plaît à recouvrir. Venus de l’autre côté du Rhin, les conquérants Alamans y ont apporté leur langue, leurs dieux et leurs croyances. Chaque vallon, montagne, village, ou ville de ce « Pays de l’autre rive », semble louer encore cette mythologie peuplée de princes maudits et de bêtes sauvages ou enchantées. Un paganisme palpable que l’Eglise du Saint-Empire Romain Germanique, puis du Royaume de France se sont efforcés de modérer en proposant à leur tour d’autres mythes légendaires, très librement adaptés des récits bibliques. Ce sont toutes ces fables populaires qui cherchèrent à sonder la beauté mystérieuse de cette terre rhénane qui seront racontées.

     

    LÉGENDES D’AUVERGNE

    Diffusion le vendredi 11 janvier à 20h50

    Sur cette terre au climat rude nichée au cœur du Massif Central, le plus vaste de France, l’imagination est au pouvoir. Dans le secret des flancs de ces innombrables monts aux cratères invisibles, on dit que bouillonne le fiel du malin. On raconte qu’un lac obscur du Puy de Dôme aurait englouti une ville entière. On dit même que, cachées dans les montagnes, des fées seraient chargées de faire naître les rivières, et certains entendent encore résonner des châteaux de Haute-Loire, les pleurs de belles princesses captives. Quant aux forêts profondes qui recouvrent l’Auvergne, elles seraient, paraît-il, hantées de bêtes féroces… Bref, le royaume des volcans regorge de récits fantastiques inspirés de faits divers autant que de cette mystérieuse rondeur du paysage arverne !

     

    Production : Un monde meilleur / Plan Large Production

    Réalisatrice : Véronique Jacquinet 
    Composée de six épisodes, la série documentaire «Légendes de France» pose un regard inédit et empreint de magie sur notre patrimoine régional. En convoquant le délicieux frisson de nos frayeurs enfantines, elle confronte les mythes populaires aux authentiques faits historiques qui les ont engendrés et résonnent encore au cœur de nos forêts, vallées, plages ou montagnes. 
    Effrayantes ou étonnantes, ces histoires inspirées des splendeurs naturelles des paysages de France s’avèrent être autant d’énigmes mystiques et obscures à décrypter. Corsaires, bêtes sataniques, forêts enchantées, bergères pétrifiées, lacs ensorcelés, monstres amphibiens, ou princesses captives, sont les héros de cette saga qui, du Nord au Sud et d’Est en Ouest, nous conduisent à poser sur la France un œil nouveau.

    Voyage est disponible en France métropolitaine sur Canal (canal 88), Free (canal 62), Bouygues Telecom (canal 220), Orange (Canal 122) et sur Numericable (Canal 142), à Monaco sur Monaco Telecom, en Belgique sur Be TV, Numericable.be, Belgacom et TéléSAT, en Suisse sur CanalSat Suisse et Naxoo, en Martinique et Guadeloupe sur CANALSAT Caraïbes (Intelsat 801 et Intelsat 903), à l’Ile de La Réunion sur CANALSAT Réunion (Eutelsat W2) et en Nouvelle-Calédonie sur CANALSAT Calédonie (Intelsat 701) et en Afrique subsaharienne sur Canal + Overseas.

    A PROPOS DE VOYAGE : Depuis plus de 20 ans, la chaîne VOYAGE du groupe Fox Networks Group emmène ses téléspectateurs à travers le monde pour leur faire vivre tous les voyages possibles à la rencontre d’autres cultures. VOYAGE s’attache à offrir aux téléspectateurs une télévision qui les inspire, une bulle de détente pour leur donner envie de s’évader en sortant des sentiers battus, pour vivre des expériences inédites avec toujours beaucoup d’émotions, de rencontres, d’aventures humaines de nouvelles saveurs et de paysages à couper le souffle. La chaîne est diffusée en France via les offres Canal, SFR et Orange. Elle est également diffusée en Belgique, au Luxembourg, en Suisse, en Afrique du Nord et Subsaharienne, aux Caraïbes, à la Réunion et en Nouvelle Calédonie.

     

     

     

     

  • SANYA LE FUTUR DU TOURISME CHINOIS.

    SANYA LE FUTUR DU TOURISME CHINOIS.

    SANYA, la magnifique, vous donne rendez- vous !

    SANYA, la magnifique, vous donne rendez- vous !

    L’exposition des photographies « SANYA, l’île de Hainan, vu par des Français »

    La CHINE, un pays lointain et mystérieux qui laisse l’esprit vagabonder à travers des images, des senteurs et des couleurs et qui nous invitent au voyage. Située à l’extrême sud de la Chine, Santa, ville touristique, sait accueillir les occidentaux chaleureusement dans la douceur délicate de son climat tropical si propice aux rêves les plus doux.

    Le 16 mars, à Paris, sur le fameux toit Grande Arche des invités privilégiés ont pu découvrir cette ville à travers une Exposition photographique : « SANYA, l’île de Hainan, vu pas des français ».

    Inaugurée dans ce lieu prestigieux cette exposition originale sera un succès et attirera à la fois de nombreux parisiens et évidemment des touristes du monde entier.

    Cette exposition s’inscrit dans une optique très particulière car des photographes français ont su immortaliser « l’essence » même de l’île de Hainan. Au travers de leurs objectifs aux ressentis différents, ils ont réussi à transcender et à immortaliser la beauté de cette île.

    Merci aux photographes sans lesquels rien n’aurait été possible :

    - M.CHATELIER Patrick
    - M.CHAUVEAU Nikola
    - M.ESCUDIER Alain
    - M.PARDESSUS xavier

    Au travers de ces photos délicates et expressives, les voyagistes sauront immédiatement que « SANYA, l’île de Hainan, est une destination de rêve pour les occidentaux à la recherche de douceur, d’exotisme et de beauté. La tradition omniprésente, la nature luxuriante, créera dans le cœur de Français un cocktail de dépaysement.

    Un vernissage très réussi avec des invités de marque, des Français attentifs et curieux, des Chinois chaleureux qui ont su transmettre l’amour de leur région. Dans un élan à la fois chaleureux et fraternel, Chinois et Français entonnèrent un chant joyeux et fraternel. Un buffet gastronomique chinois aux fumets délicats clôtura les discours des différents partenaires.

    Une convention pour la collaboration touristique est signée au vernissage entre le Comité municipal pour le développement du tourisme de Sanya et la Fédération Internationale du tourisme.

    Les personnalités :
    -  M.Yixiu LIN Adjoint au Secrétaire Général du Gouvernement Municipal de SANYA,
    -  Mme Alice Bosquillon de Jenlis de l’UNESCO,
    -
    -  M. JIN Chunlei, ministre conseiller de l’Ambassade de Chine en France ;
    -  M. Mathieu de l’ECTI, M.
    -  Alan Attia, Directeur Général de la société Models’s fasshion ;
    -  M. Yves Launoy, réalisateur de l’émission télévisée Interville
    - Mme PICARD Aiming Présidente du Centre d’Echanges Culturels et Artistiques Franco-Chinois
    -  et plus de 300 invités visitent ensemble l’exposition.

     

    Informations : Cette exposition est organisée par le Comité Municipal de SANYA pour la promotion Touristique, et elle est réalisée par le Centre d’échange culturel et artistique franco-chinois. Nous pensons que grâce à cette exposition, une plate-forme de collaboration sera créée au niveau du tourisme, de la culture et surtout de l’amitié. Selon nos études, Sanya se trouve à latitude nord 18°, donc le point le plus au sud de la Chine. Elle possède des ressources naturelles irremplaçables : Les plages, les tropiques, la nature… Malgré la crise économique Sanya a réssisté à la crise, elle a reçu plus de 6 690 000 nuitées, donc une augmentation de 10%, dont beaucoup de touristes français. La délégation de Sanya a bien dit : Sanya est pas seulement à nous, elle est aussi à tout le monde, elle est au profit de toutes les personnes qui souhaitent la connaître et à l’aimer. Bienvenue au Sanya