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  • Astuce pour cuire les nems ou pâtés impériaux

    Astuce pour cuire les nems ou pâtés impériaux

    Astuces pour cuire les nems ou pâtés impériaux.

    La cuisine asiatique de Henri Victor

    Les nems, une cuisson des plus délicates. Vous êtes le roi des de la cuisine asiatique, mais catastrophe à la cuisson c’est la déconvenue, les pâtés impériaux éclatent et vos nems se transforment en « pauvres choses » désarticulées, prêtes à être jetées à la poubelle. Mauvais œil ou manque d’habitude!?

    Bon nous sommes tous passés par cette étape fort désagréable où nous n’étions plus maître dans notre cuisine,  dépités, éclaboussés par l’huile , et en plus des invités pressés de déguster ce plat vietnamien si renommé.  Mais voilà le destin et le manque d’expérience, je dirais même par le « de savoir faire », se sont mis en travers du notre chemin. Mais j’avais une conseillère des plus pointue, ma maman, Mamie Merluche.

     

    Voici donc les règles essentielles pour réussir la cuisson de nems:

    1. quand vous roulez les nems il faut mettre que peu d’eau sur la galette de riz

    2. tremper vos mains dans l’eau et frottez la galette entre vos 2 paumes en gestes circulaires

    3. ne jamais tremper la galette dans l’eau

    4. il est préférable après avoir roulé les nems de les laisser reposer une heure ou plus

    5. prendre 2 poêles et surtout pas de friteuse

    6. chauffer la première à feu doux, l’huile doit- être froide au départ y mettre délicatement les nems

    7. être attentif à la cuisson, l’huile doit juste frémir et ne jamais bouillir

    8. bien surveiller que les nems ne se touchent pas (danger de craquement de la galette)

    9. Changez de poêle dès que l’huile est sale, dès que de la friture surnage

    10. recommencez la même opération à partir d’huile froide et….

    11. l’huile ne doit jamais être bouillante

    12. pendant la cuisson l’huile doit juste frémir

    13. entre temps passez l’huile sale dans un chinois avec du coton et recommencez encore…

    Vous avez bien compris que l’ennemi de la cuisson des pâtés impériaux est l’eau et c’est souvent à cause d’un excédent d’eau qu’ils craquent. Evidemment il y a toutes les autres recommandations

    Pour de plus amples renseignements nous contacter

  • Rouleaux de printemps au Bi (en photos)

    Rouleaux de printemps au Bi (en photos)

    Recette vietnamienne/ Cuisine vietnamienne

    rouleaux de printemps au Bi (en photos)

    Ingrédients pour rouleaux de printemps au Bi

     Une portion de « bi » (viande de porc,couenne de porc, ail et poudre de riz grillé). A acheter tout prêt dans un magasin chinois ( voir le lexique )
     1/2 paquet de bun
     feuilles de menthe fraîche
     galettes de riz
     une tête d’ail
     sauce barbecue
     sauce de poisson
     feuilles de salade

     


    Tremper la galette de riz dans l’eau pour la ramollir
    laisser 1mn

    Mettre une feuille de salade et la menthe

    rajouter l’ail

     le bun

     le bi

     et rouler

    déguster en trempant dans la sauce barbecue+ sauce de poisson (nuoc mam)

         Aussi les rouleaux de printemps aux crevettes en toutes occasions

    Ce sera pour la prochaine fois                                                         

    Rouleaux de printemps d’anniversaire !

    Pour l’anniversaire d’une charmante maman de 5 enfants sympas et gourmands, le plus simple pour la logistique sont les rouleaux de printemps à préparer soi- même.Dans une ambiance décontractée et conviviale les différents ingrédients sont déposés sur une longue table de famille nombreuse. De la sauce barbecue, des crevettes, de la salade, des germes de soja, des feuilles de menthe, de l’ail en lamelles, des petites échalottes saumurées, des galettes de riz, de la sauce de poissons (nuoc mam), poireaux effilés, tranchettes de poitrine de porc…Le compte à rebours est lancé, les convives sont prêts pour une folle dégustation.


    Champion du monde pour la réalisation(il n’a pas les yeux bridés !)

    Les autres petits malins asiatiques, trop pressés de manger ce met délicat ne se sont pas attardés sur l’artistique car il faut rapidement ingurgiter ces fameux rouleaux faute de quoi, il risque d’avoir pénurie en la demeure.

    Je vous l’avais dit, il faut manger à la vitesse d’un cheval au galop, car la gourmandise est un « rapide » défaut.

    Au fait, JOYEUX ANNIVERSAIRE…. Et que tout roule pour toi, surtout les rouleaux de Printemps !

  • Cuisine asiatique et ses astuces, le caramel maison

    Cuisine asiatique et ses astuces, le caramel maison

    Cuisine asiatique et ses astuces, le caramel maison

    la cuisine asiatique facile de Henri Victor

    Cuisine asiatique et ses astuces , le caramel maison

    Pour le porc ou le poulet au caramel, les desserts comme les pommes caramélisées…

    Se munir dune vieille casserole sutout pas une Téfal

    Y mettre la quantité de sucre que l’on veut

    Ajouter de l’eau , juste de quoi l’humecter pour qu’il change de couleur

    Mettre à chauffer à feu moyen et SURTOUT NE PAS TOUILLER

    Quand le sucre brunit et donc devient caramel, rajouter à ce moment seulement de l’eau pour qu’il devienne du caramel liquide, SURTOUT NE PAS TOUILLER

    Et faire cuire à feu doux et le caramel est prêt

    Le truc : SURTOUT NE PAS REMUER

  • Retour au Vietnam : une si longue absence !

    Retour au Vietnam : une si longue absence !

    Carnets de voyage en Asie, Vietnam

    Une si longue absence.

    J’ai quitté le Vietnam comme boat- people

    Je m’appelle Manh et je viens de bien loin et je retourne au Vietnam. Vos yeux ne peuvent ni voir, ni entrevoir les paysages, les bonheurs et les angoisses enfouis dans le plus profond de mon être.

    Par une nuit sans lune, la peur au ventre, maman et papa nous abandonnèrent avec plus de soixante personnes à la recherche d’un avenir rempli de plus d’espoir. Je ne le savais pas encore, mais 12 ans allaient nous séparer ce soir là.Deux coques de noix aux moteurs poussifs nous éloignèrent de la côte et bientôt nous ne vîmes que l’ombre blafarde de notre pauvre pays que la guerre avait si profondément transformé. Deux sœurs et un frère, une famille éparpillée, loin des parents , sans famille, juste des rescapés sur cette mer d’huile . Nous étions devenus des « Boat people » au regard hagard, ballottés par un mal de mer omniprésent, attendant une aide incertaine. Au milieu de nulle part, nous scrutâmes l’horizon pendant 4 jours et 3 nuits.

    Rencontrer la marine vietnamienne et le carnage aurait été au rendez- vous, croiser un pavillon étranger et la délivrance nous aurait tendu les bras.

    Heureusement j’avais le pied marin ! Je me rappellerai toujours de cette année 1981 où j’ai quitté mon pays sans savoir si un jour,mes pieds pourraient à nouveau, fouler le sol de mes ancêtres. Le moteur de l’autre bateau rendit l’âme sans complexe, immobilisant plus de 30 personnes. Un remorquage périlleux nous permit de continuer ensemble ce si douloureux voyage.

    Soudain, nous vîmes un bateau à l’horizon et nos cœurs se figèrent empreints d’espoir, de fatalisme et d’angoisse. Étaient- ils des amis ou des ennemis, de l’espoir ou de l’horreur, un renouveau ou une fin tragique ? Une accablante et troublante incertitude s’empara de nous, enserrant notre ventre comme une tenaille mortelle, nous ne respirions plus. L’embarcation s’approcha, le temps était suspendu et soudain l’un de nous éructa un cri de joie libérateur, nous comprîmes aussitôt que l’avenir nous tendait à nouveau les bras. Nous n’en crûmes pas nos pauvres yeux fatigués, lassés mais heureux, le pavillon Français, le drapeau de tous les espoirs flottait là, fier et libérateur.

    Deux mois d’attente dans un camp chinois de Hong-Kong, deux mois de brimades, deux mois où tous nos espoirs se tarissaient dans un méandre de questions sans réponse. J’avais la certitude que les chinois n’appréciaient pas les vietnamiens et qu’à la moindre occasion, ils les brimaient malgré qu’ils fussent leurs « gérants officiels », frontière entre le passé et l’avenir. Je me souviens qu’un jour adossé à une vieille voiture abîmée par le temps, j’attendais, comme tous les jours, l’appel quotidien de tous les « boat people », en rêvassant, quand soudain l’un des gardiens chinois vociféra des menaces m’accusant, moi un enfant de 1O ans d’avoir cabossé la carcasse en m’appuyant dessus. Je dus me défendre de ces accusations injustes et déloyales.

    La sentence tomba, j’étais affecté, pour cet acte odieux, délibéré et plein de haine contenue, à la corvée déhonorante du nettoyage des wc.

    Selon les conventions internationales de l’époque, la France, nous ayant recueilli à bord de l’un de ses bateaux, avait le devoir de nous donner asile dans leur pays. Je rêvais d’Amérique et je me retrouvais soudain plongé dans le centre de la France, à Châteauroux dans un autre camp de réfugiés. J’y suis resté plus de 13ans, 13ans à attendre, étudier et espérer un avenir meilleur. Puis je suis monté à Paris.

    Le retour au Vietnam

    Aujourd’hui, je viens d’obtenir ma nationalité française et une page de mon histoire se tourne. J’ai très envie de revoir le Vietnam pour retrouver un peu de ce passé qui reste collé à ma mémoire. J’avais quelques appréhensions, repartir pour découvrir un pays changé, si éloigné de mes souvenirs, cela me rendait hésitant et fort mal à l’aise. J’avais juste peur de ne plus aimer le Vietnam, car j’étais devenu une « entité hybride » partagée entre ici et là- bas. Ma décision était prise, il me fallait revoir malgré tout, ce pays qui me manquait tous les jours un peu plus. Dans l’avion qui me menait, ma sœur et moi, vers cet « inconnu si familier », s’entremêlaient, s’entrechoquaient sans cesse des images, des souvenirs, des rires et des pleurs . L’avion enfin dans un crissement de pneus s’immobilisa sur la piste.

    Fébriles nous descendîmes et pénétrâmes dans le grand hall de l’aéroport international. Je fus soudain pris de panique quand je vis l’uniforme du fonctionnaire des douanes, mon corps tout entier frémit, mes jambes se dérobèrent sous moi et mes mains tremblèrent. Ma sœur, s’apercevant immédiatement de mon émoi incontrôlable, me glissa à l’oreille qu’il était plus prudent de ne pas se faire remarquer et d’éviter ainsi, toute difficulté. Je dus m’exécuter comprenant fort bien le bien fondé de ses appréhensions. La rue m’accueillit brutalement dans une farandole de couleurs joyeuses, d’odeurs exotiques, de klaxons stridents, d’images rayonnantes et surtout d’émotion. J’étais revenu chez moi, j’étais rentré à la maison après 25 ans d’absence et d’attente. Je compris immédiatement que les liens étaient restés intacts, forts et qu’ils avaient résistais aux attaques du temps. Rien n’avait vraiment changé, Saïgon égale à elle-même, demeurait cette ville bruyante, sale, speed, irrespirable mais si vivante.

    La cathédrale se tenait là imperturbable mais envahie par des centaines de touristes harassés de chaleur, la poste, incroyable vestige colonial, ressemblait plus à un musée qu’au local des PTT. Mon cousin, l’un de mes innombrables cousins, nous guida à travers la ville pendant ces quelques journées d’euphorie et de redécouverte où le connu côtoyait sans cesse l’étonnement. Il nous dénicha les meilleurs restaurants. Je retrouvais les senteurs si particulières des plats typiques enfouis au fond de moi. Quand avec le temps notre culture s’estompe, il nous reste encore et toujours le goût de la nourriture, et tous les déracinés vous le diront sans détours. J’hésitais parfois à déguster du chien, du serpent ou du rat car mon éducation française, aseptisée, m’en empêchait. J’avais peur de tomber malade. Peut-être qu’avec le temps… ! Un petit tour au musée de l’ancien palais présidentiel, resté dans son jus depuis la chute de Saïgon, me laissa pantois et me rappela aussi les moments difficiles.

    Direction Lagi située à 180 au nord de Saïgon, le village où j’ai vécu. Ma grande sœur se tenait là, attendant avec impatience notre arrivée, mais ne me reconnut point. Moi-même je dus faire des efforts pour mes innombrables cousins et neveux. Je m’étais préparé depuis fort longtemps à ces retrouvailles si poignantes, à cette joie jubilatoire, ainsi aucune larme ne coula sur mes joues. Le voisin, un ancien ami, s ‘est approprié toutes nos terres…Le temps, la guerre, les paysans, la méthode ancestrale de pêcher,les paysages à couper le souffle, mes amis, la maison familiale rien n’avait changé et tout avait changé. Le vent de l’histoire a dévasté nos cœurs et laissé comme une trace de nostalgie imperceptible, pas de haine seulement de l’émotion à fleur de peau.

    Nous sommes restés 10 jours dans ce village de pêcheurs, une population déplacée, originaire du centre et installée ici depuis de nombreuses générations. Papa aimait y pêcher avec ses fils malgré une mer démontée et des vagues de 12m. Rien ne lui faisait peur, moi si. Cela me fait rire aujourd’hui, mais j’ai bien failli me noyer un peu trop souvent durant ces années de bonheur .

    Et nouveau départ vers Quang Ngai, lieu de ma naiossance, plage paradisiaque, authentique, et située à 150 kms de Hué. C’était, à l’époque une base aérienne des forces américaines. Et des histoires de guerre poignantes et effrayantes consument encore aujourd’hui mon esprit. Il avait été établi un couvre-feu après le départ des américains et une famille entière de sourds, n’ayant pas eu connaissance de l’interdiction par les autorités du fait même de leur infirmité, furent mitraillés et déchiquetés dans un carnage sans nom. Ils partaient pour une simple sortie en mer,où ils ne pêchèrent que la mort.

    Une promenade, un recueillement sur la tombe de mes grand- parents, une cérémonie d’offrandes, un petit tour en bateau rond typique, une dégustation de fruit Jacquier ou de raviolis à la vapeur, furent les activités principales de ces 10 jours.

    J’y ai retrouvé mon tonton Chu Nam dont je suis très proche et qui me le rend bien d’ailleurs. Bizarre, bizarre, je me suis toujours dit qu’il ressemblait étrangement au président J.F Kennedy.

    Parfois j’ai l’envie de me retrouver seul car je suis trop entouré, trop sollicité. Quand je vais au resto tout le monde veut m’accompagner et je règle l’addition. Pas que cela me coûte, mais bientôt cette situation est dérangeante et j’explique à ma famille qu’ en France je ne suis point un nabab. Mais le message passe souvent mal et la gêne s’installe. Tout le monde, ici, a cette impression que je suis un homme riche, parvenu à un niveau social extrêmement élevé et n’ayant surement aucun problème d’argent. Comment peuvent-ils imaginer, que je ne suis qu’un simple travailleur, endetté et payant des impôts ? Ce « statut » ambigu s’est révélé être le problème constant de tous les « viets- k » (les viets de l’étranger).

    Nous sommes heureux de partir « seuls » en mini- bus vers le centre, à la découverte de Hué. Nous y rencontrons un fort sympathique cyclo- pousse qui nous fait découvrir avec bonhomie, tous les trésors de la ville impériale ? Quatre jours de légèreté, de totale liberté dans un charmant petit hôtel climatisé et peu onéreux (7 dollars/ nuit ).

    Un mois, c’est vraiment trop court car nous n’avons visité que la moitié du pays, l’occasion de revenir bientôt pour d’autres aventures. Le départ est proche, nos valises pleines de cadeaux et nos yeux remplis d’images fabuleuses, nous rentrons avec le sentiment que très prochainement nous reviendrons.

    Je m’appelle Manh, et je ne veux plus repartir, je rêve de rester vivre ici, au Vietnam, dans ce pays où qui m’attend déjà.

    Vietnam je t’aime, Vietnam j’ai besoin de toi, V tu m’a manqué, Vietnam, Vietnam!!!

    Contact MANH Carnets de voyage en asie

  • Les grands lieux touristiques de Thaïlande

    Les grands lieux touristiques de Thaïlande

    Les grands lieux touristiques de Thaïlande

    Les grands lieux touristiques de Thaïlande

    - Bangkok

    Capitale de la Thailande, la population de Bangkok est d’environ 6 500 000 habitants, la superficie de cette province est de 1560 km², dont l’essentiel est considérée comme constituant la ville de Bangkok, ce qui en fait une des plus grandes villes du monde. Elle n’est située qu’à 2 mètres au-dessus du niveau de la mer, ce qui provoque des inondations en période de mousson. De plus, construite sur une zone autrefois marécageuse, la ville s’enfoncerait de 5, voire 10 cm par an.

    Bangkok est traversée par le fleuve Chao Phraya qui détermine deux grandes zones, la rive droite (l’ancien Thonburi) qui est restée plus traditionnelle, parcourue de nombreux khlong, réseau de canaux reliés au fleuve et qui avaient valu à Bangkok le surnom de Venise de l’Asie, et la rive gauche, plus développée, là où se trouvent presque tous les attraits touristiques, le centre des affaires, le réseau de métro et les grandes tours modernes.

    HISTOIRE :

    Bangkok (aujourd’hui le quartier de Thonburi) était un village situé sur la rive droite du fleuve Chao Phraya. À la suite de la destruction d’Ayutthaya, capitale du royaume, par les Birmans en 1767, le général Chanhda , devenu roi, se replia en aval sur ce site et décida d’y fonder la nouvelle capitale. Devenu dément, il fut assassiné et remplacé par le général Chakri qui, sous le nom de Rama Ier, devint le premier roi de la nouvelle dynastie Chakri régnant encore aujourd’hui. En 1782, il décida, pour des raisons de défense, de transférer la capitale sur la rive gauche et commença des constructions fortifiées, aujourd’hui le Grand Palais. C’est cette date qui est retenue comme fondation de la ville.

    - Chiang Mai

    Chiang Mai (appelé également la rose du Nord) est la seconde plus grande ville de Thaïlande, culturellement la plus significative au nord de la Thaïlande et la capitale de la province de Chiang Mai. Elle est située à 800 kilomètres au nord de Bangkok, parmi les plus hautes montagnes du pays.

    Ces dernières années, Chiang Mai est devenu une ville de plus en plus moderne. La ville propose beaucoup d’attractions pour les milliers de visiteurs étrangers qui viennent à Chiang Mai tous les ans. La force historique de Chiang Mai dérive de son importante situation stratégique près d’une branche méridionale de l’ancienne route de la soie, et longtemps avant l’afflux moderne des visiteurs étrangers. La ville a servi de centre important pour son artisanat, les ombrelles, les bijoux (en particulier argent) et ces sculptures sur bois.

    Chiang Mai est formellement devenu une région du Siam en 1774, quand le Roi Taksin l’a repris aux Birmans. Chiang Mai s’est relevé tant culturellement qu’économiquement, pour devenir graduellement la capitale officielle du nord de la Thaïlande.

    Wat Chiang Man est le temple le plus ancien de Chiang Mai. Le Roi Mengrai a vécu dans ce temple tout en surveillant la construction de la ville. Ce temple abrite deux très importantes et vénérées images de Bouddha, Phra Sila (un Buddha de marbre) et de Phra Satang Man (un Bouddha de cristal).

    - Pattaya

    Pattaya est une station balnéaire internationalement connue, située dans la province de Chonburi, sur le golfe du Siam, à 147 km au sud-est de la capitale Bangkok

    Pattaya n’est qu’un petit village de pêcheurs jusqu’au milieu des années 1960. Ce sont les militaires américains, stationnés sur la base aérienne d’U-Tapao, quelques 70 km plus à l’est, qui font connaître cette baie agréable pourvue d’une plage en arc de cercle de 4 km de long. La guerre du Viêt Nam terminée et les militaires partis, un embryon de tourisme se développe, qui à partir de 1980 connaîtra un développement vertigineux.

    Pattaya est désormais la première station balnéaire de Thaïlande par le nombre de touristes la fréquentant. Un tourisme de masse s’est installé, tourisme essentiellement orienté vers l’industrie du divertissement et du sexe.

    Les personnes désirant plus de tranquillité se dirigeront vers Jomtien, quartier sud de Pattaya plus calme et a la mer plus propre. Les îles autour de Pattaya méritent également une visite notamment l’ile de Koh Lorn célèbre pour son récif et ses activités nautiques.

    - Hua Hin

    Hua Hin est connue pour son port de pêche traditionnel, ses restaurants de fruits de mer et une splendide plage de sable fin qui s’étale sur trois kilomètres, depuis un promontoire rocheux, et s’incurve doucement, après le port, jusqu’aux collines surmontées de temples bouddhistes à son extrémité sud. Hua Hin est l’un des séjours balnéaires les plus connus du pays, aussi bien des visiteurs étrangers que des Thaïlandais. Située sur le côté ensoleillé (ouest) du Golfe de Thaïlande, Hua Hin à environ 200 km, soit trois heures de voiture au sud de Bangkok, est le plus traditionnel des sites balnéaires thaïlandais. Hua Hin offre une calme et relaxante retraite dans un environnement conservant une atmosphère typiquement thaïlandaise.

    C’est là qu’en 1920, le Roi Rama VII fit construire un palais d’été, créant ainsi la vogue de Hua Hin comme retraite favorite de l’aristocratie thaïlandaise pendant les chaleurs estivales de Bangkok. Aujourd’hui, la Famille Royale réside toujours à Hua Hin une partie de l’année.

    Hua Hin est connue pour son port de pêche traditionnel, ses restaurants de fruits de mer et une splendide plage de sable fin qui s’étale sur trois kilomètres, depuis un promontoire rocheux, et s’incurve doucement, après le port, jusqu’aux collines surmontées de temples bouddhistes à son extrémité sud.

    - Phuket

    A 867 kilomètres au sud de Bangkok, Phuket est la plus grande île de Thaïlande, avec une silhouette de perle irrégulière longue de 21 kilomètres. Reliée au continent par une route, sa côte bordée de plages de sable blanc et de petites baies paisibles est baignée des eaux bleues claires de la Mer Andaman et adossée à de vertes collines, des rangées de cocotiers et des plantations d’hévéas.

    La richesse de Phuket venait autrefois du caoutchouc et de l’étain et l’histoire de l’île est pittoresque. Phuket était sur une des routes principales du commerce entre l’Inde et la Chine et est fréquemment mentionnée dans les journaux de bord des navires étrangers. Les Portugais, les Hollandais, les Anglais et les Français venaient pour commercer à cette époque.

    Le plus célèbre monument de Phuket est la statue pour commémorer les héroïnes Thao Thep Krasattri et Thao Sisunthon qui rallièrent les insulaires en 1785 pour repousser les envahisseurs birmans.

    Phuket a deux principales saisons : la saison des pluies de mai à octobre et la saison chaude de novembre à avril. Néanmoins, le soleil brille régulièrement au cours de la saison des pluies, les averses ne durant généralement guère plus de 2 ou 3 heures. Les meilleurs mois pour visiter l’île sont ceux de novembre à février.

    Phuket est aujourd’hui une des premières stations balnéaires tropicales du monde.

    - Koh Samui

    L’île de koh Samui, avec une superficie de 250 km2, est la 3e plus grande île du royaume. Souveraine de 80 îles et îlots, elle baigne dans le golfe de Thaïlande, en mer de Chine. Située à 560 km au sud de Bangkok, Koh Samui mesure 21 kilomètres en son point le plus large et 25 km en son point le plus long. La Main Road, route périphérique de 51 km, en grande partie côtière, encercle l’île qui est réputée pour ses jolies plages et baies.

    Les plus belles plages de Samui s’étendent sur les côtes nord et ouest, les plus touristiques sont celles de Chaweng et Lamaï qui sont bordées de magnifiques hôtels. Bo Phut et Mae Nam sont d’autres plages populaires. Hormis les plages, les autres attractions de l’île sont les chutes de Hin Lat et Namuang, les formations rocheuses phalliques de la pointe sud de Hat Lamai nommées hinta hinyai, le jardin de papillons et la ferme apicole tout proches, une énorme image du Bouddha assis sur l’îlot de Fan à Ao Plai Laem, un jardin des plantes à Ban Makham. Nathon, la zone principale d’activités en front de mer de l’île où se concentrent des boutiques, des restaurants et des agences d’organisation d’excursions.

    De Décembre à Février (haute-saison), les températures peuvent atteindre 30°C (86°F). De brèves pluies tropicales peuvent tomber en Décembre. C’est la meilleure saison pour les gens venant d’Europe qui quittent les rigueurs de l’hiver Européen pour la douceur de l’été Asiatique. De Mars à Juin, c’est l’époque des grosses chaleurs, plus de 40°C (114F), la pluie tombant rarement.De Juin à Septembre, le temps est chaud entrecoupé de quelques pluies et d’orages. Octobre et Novembre sont les mois les plus pluvieux, même s’il ne pleut pas tous les jours. En contraste avec les autres régions de Thaïlande, Samui ne semble pas avoir de saison des pluies bien définie. En Novembre par exemple, des périodes de 2/3 jours sans soleil peuvent être suivies de périodes très ensoleillées.

    Article du site www.hotel-thailande.com

    Si vous désirez trouver et réserver des hôtels en ligne hotel-thailande.com

    Photo de la une Thierry Beyne

  • La cuisine asiatique,rouleaux de printemps, nems :les rouler, astuces

    La cuisine asiatique,rouleaux de printemps, nems :les rouler, astuces

    La cuisine asiatique, les astuces : rouleaux de printemps, pâtés impériaux ou nems : comment les rouler ? (en photos)

    Je roule, tu roules…Rouler les rouleaux de printemps, les pâtés impériaux…

    Pour préparer la galette de riz mettre de l’eau tiède dans une assiette creuse et tremper la galette de riz en tournant 2 à 3 fois ; puis attendre 1mn pour qu’elle devienne molle.

    Surtout rabattre les bords…

    Et la rouler le nem.

  • Poulet au curry (cuisine vietnamienne, recette asiatique)

    Poulet au curry (cuisine vietnamienne, recette asiatique)

    Poulet au curry (cuisine vietnamienne)

    Recette vietnamienne/Cuisine vietnamienne

    L350xH262_jpg_poulet_curry-2-08e95

    Dans le cadre d’un régime d’amaigrissement, vous voulez manger asiatique, cette rubrique de cuisine asiatique amaigrissante est faite pour vous. Testée par nos amis elle restent des recettes asiatiques succulentes et vraiment diététiques. Cuisine chinoise, vietnamienne, thaïlandaise, indienne… elles vous donneront des idées pour d’autres recettes asiatiques adaptées à vos besoins.

    INGREDIENTS

     4 escalopes de blanc de poulet émincés en fines lanières (750g environ)
    1 petit oignon découpé en tout petit (voir photo)
    4 gousses d’ail coupés grossièrement
    7 cuillères à soupe de sauce de poisson ou nuoc mam (+ ou – selon votre goût)
    1 bonne cuillère à soupe de curry en poudre (+ ou – selon votre goût)
    1 cuillère à soupe d’huile
    Un peu de persil chinois, coriandre, émincé

    PREPARATION

     Faire chauffer l’huile à feu fort, y jeter les oignons
    Quand ceux ci commencent à roussir, mettre le poulet en remuant souvent
    Ajouter la sauce de poissons, nuoc mam + le curry + l’ail, quand le poulet est cuit
    Baisser le feu à doux et laisser mijoter 20mns, couvert.
    Présenter le poulet au curry comme sur la photo

    Conseils d’Henri- Victor:

     ne pas ajouter de sucre comme dans la recette traditionnelle
    mettre un peu d’eau si vous désirez plus de sauce
    Le plat se faisant avec du blanc de poulet, il est souhaitable de préparer ce plat 1 jour avant, afin que la sauce impègne bien cette viande beaucoup plus sèche que les cuisses…

    La cuisine asiatique de Henri-Victor

    Photo à la une de Thierry Beyne

  • Salade et crevettes (Recette, cuisine chinoise)

    Salade et crevettes (Recette, cuisine chinoise)

    Salade aux crevettes (Recette chinoise/cuisine chinoise)

     

    Photo sans carottes

    Recette chinoise

    cuisine chinoise

    Salade chinoise aux crevettes

    Ingrédients
    500 gr d’échine de porc découennée et bouillie
    500 gr de grosses crevettes surgelées sans la tête
    3 grosses carottes rappées grossièrement
    20 cm de navet chinois (ou radis noir) découpé en filaments
    feuilles de menthe ( selon votre goût).
    coriandre frais ( selon votre goût)
    2 oignons nouveaux

    Préparation
    Raper les carottes
    râper à la main le radis chinois (au couteau et non avec une râpe)
    trancher la poitrine froide bouillie et découennée (profiter pour enlever du gras)
    cuire les crevettes et sitôt cuites, les refroidir en les arrosant abondamment d’eau froide puis les couper en deux dans le sens de la longueur.
    Mélanger en rajoutant menthe, oignons et coriandre.

    la sauce : vinaigrette normale + sauce soja claire +nuoc mam (le tout dans les proportions que vous aimez)

    L’idéal c’est de préparer la sauce à part et l’ajouter au dernier moment

  • Pho la vraie soupe tonkinoise de Hanoï (vietnam)

    Pho la vraie soupe tonkinoise de Hanoï (vietnam)

     

    Pho (recette de soupe vietnamienne / soupe tonkinoise )

    Recette de cuisine vietnamienne/ Cuisine vietnamienne

    pho la recette ou soupe tonkinoise (recette traditionnelle)

    .Une recette dérobée sournoisement à ma maman de 86 ans pho la recette ou soupe tonkinoise (recette traditionnelle) . A cette époque les femmes de la bourgeoisie vietnamienne, étaient obligées d’apprendre la cuisine afin de satisfaire aux futurs époux. Cela se passait dans les cuisines des belles demeures et les jeunes filles avaient à leur disposition des cuisinières attachées à la famille. Ces recettes étaient jalousement gardées.

    Ingrédients

    1kg 300 de plat cote pas trop gras
    500 g de viande rouge à steak découpée en fines lamelles

    1 gros os à moëlle
    1 gingembre frais écrasé

    3 ou 4 bouillons de boeuf
    1 c à café rase de cinq parfums
    1 oignon grillé 2 oignons crus coupés en fines lamelles
    persil chinois ou coriandre coupé grossièrement

     3 ou 4 c 0 soupe de sauce de poisson ou nuoc mam
    1/3 c à café rase de sel
    vermicelles de riz vietnamiennes (taille medium) que vous laisserez au préalable trempé dans de l’eau froide

     3 ou 4 anis étoilés


    -

    -

    Préparation

     remplir à demi d’eau une grande casserole de la taille d’une cocotte minute et y ajouter …Os à moelle +plat cote +gingembre écrasé +cinq parfums +l’oignon grillé + sel +l’anis étoilé

    Mettre à feu fort et écumer

    quand il n’y a plus rien à écumer rajouter…le bouillon de boeuf préalablement fondu dans de l’eau chaude +la sauce de poisson et laisser mijoter à feu moyen.


    Goûter le plat cote et dès que vous estimerez qu’il est cuit, cad à votre goût, votre bouillon sera ok.

    1/2 h avant de servir, pour faciliter le service, disposer dans une assiette la viande rouge, l’oignon cru, le persil chinois et le plat cote débité en fines lamelle.

     retirer les vermicelles de riz de l’eau froide, les cuire, les égouter et les mettre dans chaque bol.

    mettre ensuite par dessus le plat cote+ la viande rouge et verser le bouillon par dessus

     rajouter ensuite l’oignon cru +le persil chinois et avant de servir une petite rasade de poivre.



     j’adore préparer le pho, j’aime sentir le pho, je déguste le pho

    Au Vietnam dans la cuisine chauffe en permanence le le bouillon du pho et tout le monde à n’importe quel moment de la journée peut se servir.

  • Sauce salade, les astuces des la cuisine asiatique

    Sauce salade, les astuces des la cuisine asiatique

    Cuisine asiatique, les astuces :

    sauce au nuoc mam et nuoc tung

     

    Voici les proportions : Sauce salade vietnamienne

    L430xH592_sauce_de_soja_2-91aa0-11 c à soupe de sauce

    nuoc mâm

    1/2 c à soupe d’huile

    1/2c à soupe de jus de citron

    1/2 cuillerée à café de sucre en poudre

    1 mini c à café de piments pilés

    1 petite gousse d’ail finement hachée à la moulinette

    pho et son nuoc mam ou sauce de poissons
    pho et son nuoc mam ou sauce de poissons

    1/2 c à soupe de sauce de soja (facultatif)

     

    A savoir qu’avec la sauce de soja la recette est plus chinoise et avec la sauce de poissons elle devient plus vietnamienne.

    Aussi les proportions que nous avons mises seront en fonction de votre goût et vous pourrez expérimenter…Vous pouvez remplacer la proportion de nuoc mam par du soja etc…

    RECETTE DE SALADE CHINOISE

    RECETTE FACILE POUR MAIGRIR (RECETTE DE CUISINE CHINOISE)SSALADE CHINOISE, RECETTE POUR MAIGRIR. DANS LE CADRE D’UN RÉGIME D’AMAIGRISSEMENT, VOUS VOULEZ MANGER ASIATIQUE, CETTE RUBRIQUE DE CUISINE ASIATIQUE AMAIGRISSANTE EST FAITE POUR VOUS. TESTÉE PAR NOS AMIS ELLE RESTENT DES RECETTES ASIATIQUES SUCCULENTES ET VRAIMENT DIÉTÉTIQUES. CUISINE CHINOISE, VIETNAMIENNE, THAÏLANDAISE, INDIENNE… ELLES VOUS DONNERONT DES IDÉES POUR D’AUTRES RECETTES ASIATIQUES ADAPTÉES À VOS BESOINS.

    RECETTE CHINOISE

    CUISINE CHINOISE

    INGREDIENTS

    Pour 4 personnes

    1kg de germes de soja blanchi

    2 escalopes de poulet bouilli et finement coupé

    20 crevettes cuites et coupées en deux

    Persil chinois (coriandre) et menthe finement hachés

    Sauce :

    2 cuillères à soupe d’huile+1 cuillère à soupe de sauce de poisson (nuoc mam)+ 1 cuillère à soupe de sauce de soja (nuoc thuong ) +1 cuillère à soupe de vinaigre

    PREPARATION

     Mélanger le tout et poivrer
    saupoudrer de persil chinois + menthe ( à votre convenance)

    L400xH300_jpg_salade_chinoise-f7d44

    Notre salade chinoise qui ne fait pas grossir