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  • Découverte de la Chine.

    Découverte de la Chine.

    Découverte de la Chine.

    Carnets de voyage en Asie

    Impressions de Chine

    Lorsque nous allons dans un pays étrange, aujourd’hui la Chine, nous emportons avec nous nos idées reçues et bien souvent la réalité est fort éloignée de l’image que nous en sommes fait.

    Pour ce qui concerne la Chine ceci est particulièrement vrai. Ainsi en arrivant je m’attendais à des formalités d’entrée sur la territoire et de douane particulièrement longues et tatillonnes. Elles furent longues mais pas plus que dans bien d’autres pays et pas spécialement tatillonnes. Ayant quittés l’aéroport de Roissy où patrouillent des soldats en tenue camouflée armes à la main et compte tenu de tout ce que l’on nous raconte, je fus très étonné de ne voir aucun militaire et des forces de police peu nombreuses et discrètes.

    A l’arrivée à Shanghai, la ville m’a époustouflé. Enorme ! Immense. Notre hôtel étant, pourtant à l’intérieur de la ville, était à quarante kilomètres du centre ville, il faut dire que dans sa plus grande largeur la ville mesure plus de cent kilomètres. Tout au long du trajet nous menant à l’hôtel ce n’est que tours toutes plus hautes les unes que les autres. Shanghai donne l’impression d’une ville qui va exploser. Dire que la circulation est intense est un doux euphémisme. Beaucoup de grosses voitures et de taxis encombrent les artères de la ville, malgré les trois autoroutes urbaines qui se croisent en des échangeurs démentiels. Surprenant pour un parisien, les taxis représentent environs cinquante pour cent des véhicules, ceci est vrai pour les quatre villes où je suis passé. Dans nos déplacements nous constaterons que le prix des courses est très bas, en tout cas pour nous européens, il en-il de même pour les chinois ? Le cours du change avantageux pour nous y est sans doute pour quelque chose. A chaque feu rouge une multitude de vélos s’agglutinent en attendant le feu vert. La circulation semble obéir à des règles qui nous sont complètement hermétiques. Pourtant tout se passe bien dans un concert de klaxons étourdissant.

    Partout ça grouille, ça travaille, ça construit. La visite à pied dans la ville offre aussi bien des surprises. Compte tenu des informations données par les médias français à propos des salaires des chinois il était normal de s’attendre à rencontrer une population pauvre, en mauvaise santé et mal vêtue or nous avons rencontré des chinois habillés comme n’importe quel européen, des jeunes portant des vêtements et des chaussures de marques, (Nike Adidas par exemple). Le nombre de personnes marchant le téléphone portable à l’oreille est impressionnant. Autant que l’on peut en juger, les gens paraissent en bonne santé, il semble qu’un gros effort soit fait en matière d’optique et d’orthodontie. Il m’a été dit « Les chinois sont sales ». Et bien j’aimerais que les rues et les trottoirs de nos villes soient aussi propres et aussi exemptes de déjections canines que celles des quatre villes où nous avons séjourné. Ce qui étonne aussi c’est le nombre de plates-bandes fleuries qui jalonnent les grandes rues et les avenues. Les parcs et les espaces verts sont très nombreux et fort bien entretenus.

    Autre sujet d’étonnement, de nombreux enfants à partir de cinq ou six ans se promènent seuls dans les rues, cela semble normal. Notre guide nous a expliqué que l’enlèvement d’enfant, des sévices sur leur personne étaient inconcevables.

    La chine est un pays de contrastes, l’hyper- moderne côtoie l’archaïque. Au pied de tours pouvant compter cinquante étages et même plus on voit de petites échoppes où vivent et travaillent des gens. Devant ces échoppes il est courant de voir sur le trottoir les femmes préparer les repas, faire la vaisselle, laver le linge, et voir aussi la famille déjeuner et même vers treize heures une personne faisant la sieste sur une couche improvisée plus ou moins confortable.

    Dans de nombreuses rues tous les rez-de-chaussée sont occupés par des boutiques souvent petites ou moyennes. Le nombre de ces boutiques vendant, de l’électronique, de la téléphonie, de la hi fi est considérable. L’engouement des chinois pour tous ces matériels est évidant. Shanghai et dans une moindre mesure Pékin et les deux autres villes où nous sommes passés donnent l’impression d’être dans un situation comparable à celle des grandes villes françaises dans les années soixante. De nombreuses personnes quittent la campagne pour venir s’agglutiner dans les métropoles. Pour les loger de grands bâtiments, genre HLM, sont très vite construits et il est à craindre que rapidement ces quartiers ne se transforment en ghettos.

    L’européen suscite beaucoup d’intérêt et les français bénéficient d’une sympathie particulière. Dans l’ensemble les chinois sont discret mais chaleureux, dommage que le barrage de la langue limite la communication. Les chinois me sont apparus à la fois réservés, disciplinés mais aussi chaleureux et curieux.

    Allant de Shanghai à Pékin, puis de Pékin à Yichang par le train la chine m’ai apparue comme un immense chantier, partout ce ne sont que constructions d’infrastructures en particulier des infrastructure de communication, routes autoroutes.

    Si j’ai ressenti Shanghai comme étant la ville des affaires, Pékin apparaît comme étant la ville administrative. La circulation y est un peu moins dense qu’à Shanghai, les vélos sont encore nombreux mais un peu moins omniprésents, par contre nous voyons quelques motos et scooters. Les voitures moyennes sont un peu plus nombreuses. La police est un peu plus visible. J’ai eu l’impression que les gens étaient moins chaleureux, mais je méfie car les conditions des rencontres avec les pékinois étaient assez différentes de celles que nous avons eu dans les trois autres villes. Yichang et Wuhan sont des « petites villes » de province, un million deux cents mille habitants pour Yichang et huit millions pour Wuhan. Là bien que ces villes soient animées nous sommes loin de l’exubérance de Shanghai. La circulation automobile est moins dense, le nombre de vélos est beaucoup moins grand, par contre le nombre de scooters électriques surprend. A Wuhan ayant été amené à chanter sur scène j’ai été particulièrement ému de la façon dont, il me semble j’ai été perçu. Par l’attitude des gens qui étaient là j’ai eu le sentiment d’un partage. De voir les yeux des enfants s’allumer, j’ai été submergé par une vague d’émotion. Lorsque l’on donne du plaisir on en reçoit au moins autant. Un moment de bonheur. En écrivant ces lignes, malgré le temps qui a passé, mes yeux s’humidifient.

    Que dire des sites visités ? Que ce soit à Shanghai le « Palais de jade », la « Perle d’orient » (tour de la télévision), le « Jardin Hu », à Pékin la « grande muraille », la « cité interdite », la « place Tien An Men », à Yichang le « Barrage des trois gorges », les « Gorges du Xilan », la « Mini croisière sur la Yang Thé Kiang », à Wuhan, le « Musée régional » et sont « Carillon aux cloches de bronze », la « Pagode de la grue jaune » à chaque fois c’est l’émotion qui m’envahie, bien sûr, avec plus ou moins d’intensité, par rapport à ce qui c’est passé en ces lieux. Etant très passionné par l’histoire, ces visites ne pouvaient que me captiver, mais aussi me chagriner par rapport à mon immense ignorance de l’histoire de ce pays millénaire.

    Ce ne sont là que des impressions suscitées par le passage dans quatre centres ville, un aucun ce n’est une analyse exhaustive de la situation de la Chine et des chinois. Je ne suis pas revenu indemne, ce séjour a suscité un grand intérêt pour ce quasi continent et m’a donné envie tenace d’y retourner pour rencontrer d’autres gens, voir d’autres paysages.

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    Impressions de JP. FRERE

  • Colloque « Les Vietnamiens de France »

    Colloque « Les Vietnamiens de France »

    Colloque « Les Vietnamiens de France « : Identité, Intégration et Education’ (MCFV-CRAFV-AVSE) samedi 10 décembre 2016 de 9h à 18h, Institut Cochin, Paris 14e

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    INVITATION

    Paris le 01/11/2016,

    L’association MCFV (Mouvement des Citoyens Français d’origine Vietnamienne) en coopération avec le CRAFV (Conseil Représentatif des Associations Franco-Vietnamiennes de France) et l’AVSE(Association of Vietnamese Scientists and Experts) vous invitent à participer nombreux au colloque

    «Les Vietnamiens de France : Identité, Intégration et Education »

    le samedi 10 décembre 2016 de 9h à 18h à l’Institut COCHIN, amphithéâtre ABOULKER

    Pavillon Gustave Roussy, Paris 75014. 

    Plan d’accès:

    https://drive.google.com/file/d/0B6dDbIkBjilrSkRCQnhxOUM2ZWM/view?usp=sharing

    L’entrée est gratuite, le nombre de places limité ; nous vous proposons de vous inscrire au plus tôt en activant le lien suivant:

    https://goo.gl/forms/qCQ8rb7ihrTnB1gM2

    Merci d’avance pour votre présence.

    Bien cordialement,

    Le Comité d’organisation,

    Pour tout renseignement, contactez : info.mcfv@gmail.com

    COLLOQUE

     «Les Vietnamiens de France : Identité, Intégration et Education  »

    Samedi 10 décembre 2016 de 9h à 18h

    Amphithéâtre ABOULKER– Pavillon Gustave Roussy – Porte B

    Institut Cochin

    Entrée : 27 Rue du Faubourg-Saint-Jacques

    Métro lignes 4 ou 6 : Denfert-Rochereau ou Saint-Jacques

    RER B : Port-Royal ou Denfert-Rochereau

    Objectifs : Analyse sociologique de la communauté vietnamienne de France et analyse comparée des modèles éducatifs Asie – Europe.

    Avant-propos :

    Les Vietnamiens (citoyens d’origine vietnamienne) de France, estimés à plus de 300.000 individus, sont dans leur ensemble bien intégrés. Ils sont attachés à leur origine et cultivent une identité propre au travers d’associations diverses. Ces clichés ne cachent-ils pas une réalité plus complexe ? C’est ce dont nous proposons de débattre en première partie avec des invités et le public après l’exposé du Professeur LE Huu Khoa, connu pour ses travaux sur l’immigration vietnamienne et asiatique en France.

    En deuxième partie, nous souhaitons mieux comprendre le système d’éducation de certains pays en Asie qui affiche des performances impressionnantes, contribuant à la réussite de l’économie de ces pays. Quelle serait la contrepartie de cette réussite ? En quoi se différencie-t-il du système français ou européen existant ? Les conférenciers spécialistes du sujet, M. Roger-François GAUTHIER et Mme Marie-José SANSELME, nous apporteront leur analyse critique sur le sujet.

    Les conférenciers échangeront avec les invités et l’auditoire autour de tables rondes

    Conférenciers :

     LE Huu KhoaLE Huu Khoa: Professeur d’anthropologie et de sociologie et directeur du Master Asie Pacifique de l’Université Charles-de-Gaulle – Lille 3. Il est également président-fondateur du GRISEA (Groupe de recherche sur l’immigration du sud-est asiatique) et expert à l’Unesco.

    rf_gauthierRoger-François GAUTHIER: Inspecteur général du Ministère français de l’Education nationale, professeur associé des universités à l’Université Paris-Descartes, expert international spécialisé dans la politique éducative et l’éducation comparée.

    video_sanselme_4Marie-José SANSELME: Rédactrice en chef adjointe – Revue internationale d’éducation de Sèvres.

    Invités : liste en cours de constitution

    Comité d’organisation:

     VU Ngoc Can , NGUYEN Thuy Phuong, DINH Hung,

    VU Quang Kinh, DINH Xuan Anh Tuan, LE Van Cuong

     Programme du colloque :

     La matinée : Thème « Les Vietnamiens de France :Vietnamiens et intégration »

    –        9h : Accueil des invités

    –        9h15-9h30: ouverture du colloque (VU Ngoc Cân, président du MCFV)

    –        9h30 – 10h30: Conférence de LE Huu Khoa

    –        10h30-11h : Pause

    –        11h– 12h30: Table ronde 1 tenue par LE Huu Khoa avec  des  invités et le public. Modérateur: Pr DINH Xuan Anh Tuan

    L’après-midi : Thème : « L’éducation Asie-Europe: analyse comparée »

    –        14h15 – 15h30: Conférences par Roger-François GAUTHIER puis par Marie-José SANSELME

    –        15h30-16h : Pause

    –        16h-17h30 : Table ronde 2 avec Roger-François GAUTHIER, Marie-José SANSELME,                Stefano BOSI, NGUYEN Thuy Phuong et le public. Modérateur: Pr LE Van Cuong

    –        17h30-17h45 : clôture du colloque (Gérard NGO, président du CRAFV)

     Informations pratiques :

    1)     Plan d’accès à l’amphithéâtre ABOULKER-  Pavillon Gustave Roussy– Institut Cochin

    https://drive.google.com/file/d/0B6dDbIkBjilrSkRCQnhxOUM2ZWM/view?usp=sharing

    2)     Où déjeuner à midi ?

    https://top10restos.fr/Paris/H%C3%B4pital_Cochin/?filter=&distance=500&filter2=lunc

     Invitation avec le programme téléchargeable en cliquant sur ce lien : invitation-colloque-mcfv-crafv-avse-10_12_2016_site-internet

  • Curry le must des ingrédients asiatiques

    Curry le must des ingrédients asiatiques

    Curry, un ingrédients indispensable pour la cuisine asiatique

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      Oui le curry est souvent employé dans la cuisine d’Extrême Orient que ce soit en Inde, en Chine, au Vietnam ou en Thaïlande. Aujourd’hui nos pays occidentaux se sont emparés de cet ingrédient pour réaliser des plats dans un mélange des genres très tendance. Voici quelques plats réalisés à partir de cet ingrédient asiatique connu dans le monde entier.

    CURRY INDIEN

    CUISINE ASIATIQUE, LES ASTUCES, DONNEZ DU MOELLEUX

    ou le secret de ma maman

    Cuisine asiatique, les astuces

    Donnez du moelleux au curry indien

    Ma mère m’a dévoilé un petit secret que je m’en vais vous rapporter car je suis une langue bien pendue. En fait si cela se sait je vais me faire disputer comme du poisson pourri c’est à dire de la sauce de poisson. Cette petite astuce permet en définitive de donner un peu de ce supplément d’âme et ce goût moelleux, cette douceur sous la langue. Et pourtant ce n’est absolument facile à réaliser. L’histoire veut que pour que les femmes de la haute société vietnamienne puissent prendre époux, il fallait donner à l’empereur une recette hors des sentiers battus ou un petit truc qui puisse satisfaire à la gourmandise du monarque.

    Je trouvais souvent le curry Indien de ma maman fort délicat et suave au goût ; je constatais que les ingrédients étaient exactement identiques aux autres recettes et pourtant il m’apparaissait toujours plus délicieux. Elle se décida un jour à me confier son secret à savoir ajouter à la fin de la cuisson un gros morceau de beurre. Cet ajout conférait au plat son supplément d’âme qui m’emportait toujours au nirvana des gourmands.

    Pour illustrer notre article sur le curry, voici donc une recette vietnamienne:

    POULET AU CURRY (CUISINE VIETNAMIENNE)

    Recette vietnamienne/Cuisine vietnamienne

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    Dans le cadre d’un régime d’amaigrissement, vous voulez manger asiatique, cette rubrique de cuisine asiatique amaigrissante est faite pour vous. Testée par nos amis elle restent des recettes asiatiques succulentes et vraiment diététiques. Cuisine chinoise, vietnamienne, thaïlandaise, indienne… elles vous donneront des idées pour d’autres recettes asiatiques adaptées à vos besoins.

    INGREDIENTS: le curry

     4 escalopes de blanc de poulet émincés en fines lanières (750g environ)
    1 petit oignon découpé en tout petit (voir photo)
    4 gousses d’ail coupés grossièrement
    7 cuillères à soupe de sauce de poisson ou nuoc mam (+ ou – selon votre goût)
    1 bonne cuillère à soupe de curry en poudre (+ ou – selon votre goût)
    1 cuillère à soupe d’huile
    Un peu de persil chinois, coriandre, émincé

    PREPARATION

     Faire chauffer l’huile à feu fort, y jeter les oignons
    Quand ceux ci commencent à roussir, mettre le poulet en remuant souvent
    Ajouter la sauce de poissons, nuoc-mam + le curry+ l’ail, quand le poulet est cuit
    Baisser le feu à doux et laisser mijoter 20 mns, couvert.
    Présenter le poulet au curry comme sur la photo

    Conseils d’Henri- Victor:

     ne pas ajouter de sucre comme dans la recette traditionnelle
    mettre un peu d’eau si vous désirez plus de sauce
    Le plat se faisant avec du blanc de poulet, il est souhaitable de préparer ce plat 1 jour avant, afin que la sauce imprègne bien cette viande beaucoup plus sèche que les cuisses…

    La cuisine asiatique de Henri-Victor

    Photo à la une de Thierry Beyne

     

    La cuisine asiatique que ce soit chinoise, thaïlandaise ou indienne est faite d’astuces, de trucs qui sont jalousement gardés par les cuisinières. Chez les asiatiques, par exemple lecurry, il y a un culte du secret propre à chacun, évidemment des détenteurs de recettes qu’ils veulent garder pour eux et en faire profiter les siens.

    Le Curry peut se représenter en poudre ou en pâte épaisse. Le curry est souvent assez pimenté et sert à agrémenter les différents plats dans tout le sud est asiatique. En Inde c’est un ingrédient omniprésent qui parfume les recettes et même l’air que l’on respire. On le retrouve dans les plats mijotés avec du poulet, de l’agneau ou simplement des légumes.

    Vous trouverez du curry en poudre, du curry en pâte, du curry rouge etc…

  • Cuisine asiatique, les astuces : Glutamate, par quoi le remplacer ?

    Cuisine asiatique, les astuces : Glutamate, par quoi le remplacer ?

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    Par quoi remplacer le glutamate ?

    Souvent dans des recettes que vous avez fortuitement dénichées dans un bouquin de cuisine il est recommandé, afin de relever le goût, d’ajouter du glutamate , poudre blanche et scintillante, surtout ne le faites pas .

    Remplacez le glutamate, ingrédient des plus « glauques « , par une pincée de sucre. Vous serez certains de ne pas avoir mal à la tête etc….

    Et en plus cet ingrédient asiatique est au cœur de de nombreuses discussions concernant sa grande nocivité (cancer…)

    Jetez le glutamate définitivement et n’utilisez que votre « savoir- faire ».

    La cuisine et les recettes faciles de Henri- Victor

  • Spectacle, nouvel an chinois et Noel par Mister Shanghaï

    Spectacle, nouvel an chinois et Noel par Mister Shanghaï

    LES AVENTURES DE MISTER SHANGHAÏ, ANIMATION POUR LE NOUVEL AN CHINOIS

    LES AVENTURES DE MISTER SHANGHAÏ

    SPECTACLE DE MAGIE DE 50 MNS, Spectacle, nouvel an chinois

    CHEZ VOUS À DOMICILE, SPECTACLE DE MAGIE DE 50 MNS, Spectacle, nouvel an chinois,  (PARTICULIERS, RESTAURANTS, ENTREPRISES, MAGASINS, CENTRES COMMERCIAUX, ÉCOLES, CENTRES DE LOISIRS…..

    POUR PLUS DE RENSEIGNEMENTS

    LES AVENTURES DE MISTER SHANGHAÏ

    Les enfants vont participer à l’histoire extraordinaire du plus célèbre des magiciens du monde entier ( !!!!) : « Mister Shanghaï » sculpteur de ballons-magicien et …un peu clown !

    Mister Shanghaï arrive tout droit de Chine pour votre spectacle. Comme chacun le sait il est in-cro-yable… Seulement au moment d’arriver au spectacle, il s’aperçoit qu’il a perdu tous ses pouvoirs magiques. Comment va-t-il réaliser son spectacle ?Heureusement que les enfants sont là pour l’aider à les retrouver !

    Pour cela il faut partir en Chine et pister la source du problème. On déploie tous les ailes pour s’envoler vers l’Empire du Milieu. Arrivé sur place Mister Shanghaï comprend vite qu’il a été frappé de la malédiction des 7 dragons. Pour annuler le mauvais sort, il lui faut trouver de l’aide auprès des enfants.

    Après de nombreux tours de magie colorés et visuels réalisés grâce à la collaboration des enfants il parvient enfin à retrouver tous ses moyens ! Mister Shanghaï est si ravi qu’il décide alors de récompenser ses nouveaux jeunes amis. I64c05a5bl va
    alors réaliser de sculptures de ballons « haut de gamme »et les distribuera à son public ébahi panthère rose, 8de4f570mickey etc… !!!

    Au gré de son aventure Mister Shanghaï apprendra aux enfants de nombreuses spécificités chinoise qui amusent tant les petits français !

    SPECTACLE INTERACTIF QUI DÉCHAÎNE À LA FOIS RIRES ET BONNE HUMEUR…. POUR LA JOIE DE TOUS !!!

    POUR PLUS DE RENSEIGNEMENTS

  • Brochettes de poulet (recette de cuisine chinoise)

    Brochettes de poulet (recette de cuisine chinoise)

    Brochettes de poulet (recette de cuisine chinoise)

    La cuisine asiatique facile de Henri- Victor

    La cuisine asiatique sans tralala

     

    Brochettes de poulet (recette chinoise).

    Pour 3 personnes

    INGREDIENTS

    4 belles cuisses de poulet, désossées et coupées en petits morceaux.

    MARINADE

    1 cuillère à soupe de sauce de soja

    1 cuillère à soupe d’ huile de sésame

    1 pincée de cinq parfums

    1 cuillère à café de sel

    1 cuillère à café de sucre

    1 pincée de poivre

    PREPARATION

    Faire mariner le poulet pendant au moins 5 heures.

    Puis les piquer sur des brochettes

    Les faire cuire au four moyen pendant 15 minutes.

    A déguster avec un bon riz parfumé simple et délicieux.

    La cuisine asiatique est facile

    Ingrédients asiatiques

    La cuisine asiatique est facile

    LA CUISINE ASIATIQUE


    Si vous avez une recette asiatique facile et délicieuse, n’hésitez pas à nous la faire connaître et nous nous ferons un plaisir de la mettre illico presto en ligne. Merci

     

     

  • La porte du Dragon

    La porte du Dragon

    La porte du Dragon

    La porte du dragon

    Porte ouverte sur toute les merveilles.

    Pour démarrer cette animation Rendez Vous au bas de la page… et bonne séance !

    Bohr, Niels Henrik David (1885-1962. Philosophe et Physicien : Danois , prix Nobel de physique en 1922 Inscrit sur son blason : Contraria sunt complementa)

    Extrait de Physique atomique et connaissance humaine :

    « les Cultures différentes sont complémentaires entre elles. En effet, toute culture représente un équilibre harmonieux entre les conventions traditionnelles qui permettent à des potentialités latentes de la vie humaine de se développer et de révéler ainsi des aspects nouveaux de sa richesse et de sa variété illimitée ».

    La porte du dragon est une libre variation sur le thème de « La mutation », thème d’inspiration taoïste. Ou simplement une déroutante compression d’images, liée au Yin et au Yang, augmentée d’apports empruntés à différentes cultures :

    Vous y retrouverez pêle- mêle :

    Le casque et le bouclier d’Athéna de la mythologie grecque.

    Des petits bouddhas et mandala parsi parla.

    Les chakras indiens et des symboles appartenant au judaïsme à l’islam, au christianisme.

    Des lettres et des chiffres.

    Des atomes et des électrons, en hommage au grand Niels Bohr et son fabuleux blason .

    Les quatre saisons, le printemps, l’été, l’automne et l’hiver.

    Des canards, une ou deux grenouilles et deux poissons qui se font des bisous.

    De l’eau (jamais absente de nos préoccupations) et du feu.

    …Et bien d’autres choses encore…

    Le tout co-habite en parfait harmonie, pas obligatoirement dans l’ordre, mais pas obligatoirement en désordre, disons dans un autre esprit, un esprit neuf.

    Et maternellement, quelques images sont enrichies d’hexagrammes du Yi King.

    Serez vous les reconnaître ?

    Sans prétention, cette animation a été crée pour les yeux et toujours avec le cœur. Je me suis aussi inspiré des sages de l’antiquité et des clés qu’ils nous ont laissées, pour ouvrir la porte de toutes les merveilles.

    Trois boutons sur le coté gauche vous permettent de prendre le contrôle de l’animation, pour faire un stop image, ou un retour arrière image par image.

    Impulsion initiale : L’idée de cette animation n’est venue, dans le métro parisien sur la ligne 13 station St Lazare, le 15/04/2006.

    Télécharger cette animation, elle est à vous, c ‘est gratuit et aucun droit d’auteur ne la protège. Toutes utilisations ou reproductions, totales ou partielles des images contenues de cette animation sont vivement encouragées.

    Votre appréciation décidera sa valeur, vos critiques ma seule récompense.

    Un petit sac ne peut contenir un grand objet.

    Une corde trop courte n’atteint pas le fond du puit.

    Chaque chose à sa propre valeur. (Tchouang Tseu)

    ***

    Un livre me fut particulièrement utile lors la réalisation de cette animation, je m’en suis beaucoup servi, il est donc normal que j’en parle :

    Les 9 figures de base de la pensée chinoise, d’Alice Fano, Guy Trédaniel Edition de la Maisnie.

    Livres, cités aussi dans l’animation :

    Voyage et aventure de l’esprit, Alexandra David Neel. Edition Albin Michel. Espaces libres n°45. (Une grand dame de l’esprit)

    Du vide et de la création, Michel Cassé Edition Poche Odile Jacob n°53. Vide ou pas vide, le vide, telle est la question ?

    Le chaos et l’harmonie,La fabrication du Réel, Trinh Xuan Thuan Edition Folio essais n°366. Un Vietnamien au nom imprononçable, qui vous fera découvrir, toutes les merveilles de la physique et de l’astrophysique et des sciences en général, un poète des temps modernes.

    Le rêve du papillon, Tchouang-Tseu. En Livre de poche Edition Albin Michel de poche Spiritualité vivante n° 187. Un classique.

    Tao Te King Lao-tseu très nombreuses traductions. La moins chere en livre de poche, Edition points sagesses Sa16.

    Pas cité mais présent :

    Esprit Zen esprit neuf, Shunryu Suzuki, Edition Points Sagesses, Sa8.

    Le Tao de la physique, Fritjof Capra Edition TCHOU.

    ****

    Pour entrer dans la porte des merveilles cliquer sur le petit livre ! Trois boutons sont à votre disposition… N’hésitez pas à les utiliser, prenez le contôle !

    La porte du Dragon

     

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    Maître JPB

    Asie et Culture

  • Asie et le choc des cultures

    Asie et le choc des cultures

    Asie et le choc des cultures

    Le choc, le tsunami

    Super, super, je venais juste d’être papa d’une très jolie petite fille, une petite eurasienne au teint de perle. Ma maman allait venir la découvrir et évidemment s’extasier devant cette merveille dont j’étais l’heureux et fier créateur.

    Paré de ses plus beaux atours « bébé » attendait de pied ferme sa vénérable aïeule. Tout était fin prêt, le cœur battant nous entendîmes la porte de la chambre grincer sur ses gonds, le moment tant- attendu nous figea et le temps fut soudain suspendu aux lèvres de ma mère. Elle se pencha au dessus du berceau, sourit, ses yeux brillèrent de bonheur et soudain, dans un rictus de contentement, elle nous asséna : « comme elle est moche ! ».

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    Les bras ballants, l’air ahuri toute l’assistance en resta pantoise, ne sachant quoi répliquer, paralysée par cette inattendue et si sévère sentence.

    L’esprit encore assommé, je décidai manu- militari de demander à ma pauvre mère si elle n’était pas sous l’effet de médicaments ou d’anti- dépresseurs puissants mais peu efficaces. Soudain, les yeux brillants, elle se mit à bredouiller la voix pleine d’émotion : « elle est vraiment très, très moche ! ». Je capitulai , je rendis les armes, la bataille était par trop inégale, je n’avais pas la force de me battre contre ma propre mère.

    Tiraillé par le doute, l’amour -propre en berne, je décidai d’assiéger le domicile de ma maman et ainsi connaître les tenants et les aboutissants de cette saugrenue mascarade qui avait transformé un père au summum de fierté en un malheureux crapaud géniteur d’un tétard femelle. Un sourire bienveillant au coin des lèvres, elle me prit la main, jeta autour d’elle un regard suspicieux et me glissa dans un soupir : « ta fille est la plus belle du monde ». Je sentis soudain le paroxysme de l’incompréhension brouiller mon entendement.

    photo-173 bank-asietralala-2-050 bank-asietralala-2-182

    La réponse

    Enfin tout devint limpide quand l’une de mes amies, d’origine asiatique, m’expliqua que les parents vietnamiens, de peur de représailles perpétrées par les « esprits », ne claironnaient jamais que leurs enfants étaient magnifiques. La jalousie rendait nos « ectoplasmes aux yeux bridés » fort irritables et parfois même méchants. Selon les dires ancestraux, il arrivait que ces derniers vengent des enfants qu’ils trouvaient trop beaux. La meilleure parade à ces fourbes et basses attaques était la cachotterie. Dans certaines provinces, il était de coutume de noircir le visage des nouveau- nés afin que les fantômes ne les remarquassent point. En Asie, il ne faut jamais que les esprits errants prennent ombrage des bébés et qu’ils se vengent de n’être eux- même que des êtres transparents et sans consistance !

    Bref pour conclure en Europe le dicton qui pourrait le mieux traduire l’essence même de cette histoire serait : « vivons heureux, vivons cachés ! ».

    D’autres histoires vraies

     

  • Bouddha

    Bouddha

    Bouddha et le bouddhisme

    Bouddha et bouddhisme

    Prince indien qui vécut au VI e siècle avant notre ère.

    Le mot, le nom Bouddha, veut dire l’éveillé. Le nom patronymique duBouddha est Siddharta Gautama Sakyamuni. Sakyamuni signifie : du clan Sakya, de la lignée Sakya.

    Bouddha, Bouddhisme, Eveil, Nirvana, Karma.

    De quoi s’agit il ?

    La doctrine du Bouddha est basée sur la découverte intime et bouleversante, qu’il fit de la souffrance humaine. Il en tira après une très longue méditation, un enseignement en quatre points, connu sous le nom des Quatre Nobles Vérités*.

    Les Quatre Nobles Vérités :

    La souffrance. Dukkha
    L’apparition de la souffrance. Samudaya
    La Cessation de la souffrance. Nirodha
    Le Sentier (La voie) Magga

    Dukkha La souffrance :

    Il décrit les formes de souffrances, mais aussi comment la souffrance apparaît et pourquoi, quels en sont les mécanismes, les causes. Ici, le Bouddha décrit cinq formes, ou sources, nommées agrégats (le cœur du bouddhisme) :

    La matière (solidité, fluidité, chaleur et mouvement).

    Les sensations (trois groupes de sensations, les sensations plaisantes, déplaisantes ou neutres).

    Les perceptions (ce sont les perceptions qui permettent de reconnaître les objets physiques ou mentaux) .

    Les formations mentales (ce groupe comprend tous les actes volitionnels, bon ou mauvais plus connus sous l’appellation « Karma »).

    La conscience (réaction du corps ou de l’esprit aux phénomènes extérieurs).

    Telles sont les cinq sources et les cinq formes de la souffrance.

    Samudaya L’apparition de la souffrance :

    Elle provient du désir. Et qu’est-ce que le désir ?

    C’est une soif, ardente, une avidité passionnée, ce qui fonde et produit la ré-existence. Cette soif d’être, d’être ou d’avoir, provoque aussi tous les malheurs des êtres vivants. Du conflit entre deux humains jusqu’aux guerres mondiales.

    Telle est la cause de l’apparition de la souffrance.

    Nirodha La Cessation de la souffrance :

    La troisième découverte est qu’il existe une émancipation, une libération possible.

    Le seul but possible, selon le Bouddha, c’est la libération, la cessation de la souffrance, subie, ou causée.

    En s’attaquant à la racine de la souffrance, c’est à dire le désir, la volonté, et même le sentiment du besoin, faim ou soif.

    Magga Le Sentier (La voie) :

    Connu sous la dénomination de Sentier du milieu, parce qu’il s’agit d’éviter les extrêmes :

    La poursuite du bonheur par la dépendance du plaisir des sens.

    L’ascétisme nihiliste (conçu comme bas et vulgaire).

    Le sentier est simplement la pratique juste des huit vertus :

    – Compréhension juste. – Pensée juste. – Parole juste. – Action juste. – Moyen d’existence juste. – Effort juste. – Attention juste. – Concentration juste.

    Voilà pour l’essentiel la doctrine bouddhique initiale.

    De la doctrine, et de l’enseignement originel, bien des mouvements sont nés, et bien des disciples ont constitué des écoles, qui se réclament toutes, plus ou moins de cette doctrine initiale.

    Le bouddhisme n’est certes pas une organisation totalitaire et unifiée, c’est plutôt un mouvement, et différentes écoles proposent leurs approches. Et cela peut surprendre, car ces différentes écoles semblent très éloignées entre elles, sur le fond comme sur la forme.

    (Je préfère le mot école à celui de secte qui a une connotation péjorative, bien qu’il existe aussi des sectes bouddhiques).

    Alors qu’est-ce relie entre elles ces différentes écoles. Quel est leur point commun ?

    Le point commun, c’est la recherche de la vérité, « la réalité ultime » : à savoir l’abandon du désir, la cessation de la souffrance, et la juste conscience du chemin qui est la vie .Tel est l’éveil.

    C’est ce que les bouddhistes appellent le Nirvana, en japonais Satori.

    Plus déroutant encore, certaines écoles affirment que le nirvana, est en soi une chose importante et nécessaire, certes, mais que l’essentiel se trouve ailleurs. Sur le chemin, précisément, qui va vers les autres, et leur enseigne le juste chemin, sans quoi l’éveil resterait pur égoïsme.

    Est-il utile de s’intéresser au bouddhisme ?

    Si une démarche personnelle vous incline en ce sens, vous y trouverez certainement un grand nombre de thèses pertinentes. Un constat, et une approche, personnelle et profonde, du cheminement de votre, la vie. De plus comme chacun sait, le bouddhisme est plutôt pacifiste et non-violent, puisqu’il réprouve la souffrance, et lutte contre les illusions, – et dans ce monde pas vraiment très sage, un peu de douceur bouddhiste ne ferait de mal à personne.

    Qui sait ? Vous y trouverez peut-être des réponses à quelques questions. Voire plus, si affinités.

    Si votre démarche ne vous incline pas dans ce sens, les mêmes arguments tiennent encore.

    De plus le bouddhisme est rationaliste, sur son versant philosophique, et bien des découvertes récentes en psychologie par exemple, étaient largement connues des bouddhistes depuis les temps anciens. Rappelons par exemple que l’inconscient, la psychologie collective, ne furent connues de l’Occident qu’à partir des travaux de Freud. (C’était un pionnier qui agissait pour la science, et pour le bien de l’humanité mais aussi pour alléger la souffrance de ses patients, ne l’oublions pas, même si maintenant sa pensée paraît très confuse, rendons lui hommage quand même. )

    Mise en garde sur le bouddhisme.

    Le bouddhisme n’est pas une sinécure, sous son aspect débonnaire toujours sourire aux lèvres, se trouve une doctrine, plutôt ardue et difficile.

    La discipline de vie des bouddhistes n’est pas à la portée de n’importe qui. Même de qui le veut, surtout de qui le veut ! Pour les butineurs de parfums à la mode et les amateurs de pratiques exotiques, – comme la méditation, par exemple.

    Ils risquent de repartir bien vite, dès les premières crampes venues.

    Les belle images de l’art bouddhique aux couleurs chatoyantes, expriment peut-être une autre réalité, – dont ils ne veulent certainement pas entendre parler.

    L’enseignement bouddhiste, peuvent se résumer à ceci, au moins dans les premiers temps :

    Seul face à soi-même. Personne n’aime ça ! Et ce n’est que le début.

    Plus dangereux encore, toutes sortes d’attrape-nigauds, où l’on vous fait croire au nirvana, par des pratiques étranges ou des rituels ésotériques, moyennant finances, en profitant de la mode bouddhiste. (Les bouddhistes ne sont en rien responsables de cet état de fait, il s’agit là de charlatans opportunistes naturellement. Mais prudence quand même, sachez où vous mettez les pieds.)

    Des mots comme Zen, Nirvana, Karma, sont passés dans le langage courant.

    Zen, ça sous-entend « relax » décontracté, erreur ! Nirvana, autrement dit, illumination, lumière holistique, flotter dans les airs, erreur !

    Karma ça veut dire destin, erreur !

    Bon j’arrête là, sinon je vais vous faire peur, et ce n’est pas ma visée, bien au contraire.

    Quelques précisions :

    Le bouddhisme est une religion non théiste (cela veut dire que la notion de dieu n’y apparaît pas).

    La position des bouddhistes est la suivante : Nous ne pouvons nous prononcer sur ce sujet.

    Hormis sous sa forme taoïste, où la position est plus nuancée, bien que conforme au canon bouddhique.

    Le Bouddhisme philosophique est dit non dualiste (cela veut dire, qu’il n’y a pas opposition des contraires).

    Hinayãna Petit véhicule : notion péjorative, obsolète, n’est plus employée.

    Mahãyãna Grand véhicule, pas plus grand que le petit, notion orgueilleuse, obsolète, n’est plus employée.

    Le bouddhisme est un véhicule, vers le Nirvana, l’abandon ultime des illusions.

    Le mot religion est un mot latin qui veut dire « relier à ».

    Rien de plus, (chacun interprète ensuite à sa manière).

    Voir Hannah Arendt, Crise de la Culture 1961.

    ***

    ***

    Et comme d’habitude je vais être un peu hors sujet.

    Parce que sinon c’est trop sérieux et c’est pas drôle.

    Je vais vous parler de l’eau.

    L’eau c’est un liquide qui coule partout.

    Et y en a partout sauf dans le désert évidemment, sauf dans les oasis, où là il y en a.

    De l’eau, il y en à aussi dans le ciel, ça s’appelle des nuages, mais c’est de l’eau.

    L’eau il y en a au pôle nord, ça s’appelle de la glace, mais en réalité c’est de l’eau.

    Il y a 400 millions d’années il y avait de l’eau, c était de l’eau, mais personne n’en savait rien, puisqu’à cette époque il n’y avait que des dinosaures. Les dinosaures ne savaient pas qu’ils buvaient de l’eau, mais comme ils avaient soif, il la buvaient quand même.

    Aujourd’hui nous buvons de l’eau, et évolution de l’espèce oblige, comme nous sommes des homo sapiens version deux, sapiens sapiens, modèle amélioré de l’ancienne version un, néandertalienne…

    Eh ! bien ! Nous savons que, quand nous buvons de l’eau, c’est de l’eau. On est très fort, et y en a beaucoup dans la Capi. (Capi , c’est un mot qui vient du latin capus, capitis, la tête, chapeau, un capitaine y a Capi dedans, dans Capitale, décapité ou capuche…)

    Et, maintenant, ça se complique un petit peu.

    L’eau que nous buvons aujourd’hui, l’eau du robinet par exemple, cette eau-là est passée plusieurs fois dans le ventre de dinosaures, pour vous dire la vérité, mais toute vérité n’est pas toujours bonne à dire, c’était dedans, même.

    Conclusion : C’est toujours la même EAU.

    Conclusion de la conclusion : C’est dedans pour NOUS aussi.

    Conclusion de la conclusion de la conclusion : Ça sera dedans ou dehors mais ça s’appelle de l’EAU quand même.

    Et…

    Tonnerre de Brest !

    Pourvu que ça dure !

    Ne dit-on pas : – Qui est à l’appareil, ah ! l’eau !

    Autre chose.

    Pour les connaisseurs et petit futés.

    N’oublions pas que tout ce que nous en savons, c’est parti des recherches sur la thermodynamique.

    Et d’une énigme concernant une histoire de four, où la couleur violette, ne se comportait pas comme attendu.

    Les conséquence furent innombrables :

    Déterminisme obsolète

    Exactitude Statistique

    Traverser un mur

    Possible  !

    Probable  !

    Réalisable  !

    Le chat est-il mort ou vivant ? Les deux, mon général !

    Et comme dirait la mère Denis, vieille lavandière du terroir, ça c’est ben vrai.

    Les vieilles dames ont toujours raison, mais personne ne les écoute.

    La même chose mais autrement.

    Dans le village des schtroumpfs bleus, il y a un barbier

    Il y a ceux qui se font raser par le barbier, barbu

    Il y a ceux qui se rasent eux-mêmes, barbant pour le barbu

    A quelle catégorie appartient le barbier ?

    Les deux mon général !

    Est-ce possible !!? Oui mon général !

    Sixième ! Théorie des ensembles, mon général !

    ***

    ***

    Bibliographie :

    Pour en savoir plus :

    Dennis Gira. : Comprendre le Bouddhisme. Bayard Editions. Le livre de poche 14366.

    Certainement l’un des écrits le plus complet sur ce sujet. La philosophie bouddhiste y est abordée sous toutes ses formes, le contexte historique et la présentation des différentes écoles bouddhiques, leurs doctrines et leurs pratiques. Mention spéciale, ce livre n’a pas été écrit par un bouddhiste, mais par un catholique pratiquant, qui s’est donné pour tache, de présenter le bouddhisme aux chrétiens. Pour ceux que cela rebuterait (lire un catholique), le travail est sans reproche et l’ouverture d’esprit totale. La présence bouddhiste en France, où et à qui s’adresser, inclus.

    Walpola Rahula : L’enseignement du Bouddha (d’après les textes les plus anciens), Editions Point Sagesses Sa13.

    Au cœur du Bouddhisme le Theravada (Thera-vãda) l’école des anciens, le Bouddhisme orthodoxe.

    Présentation de la doctrine bouddhique tel qu’elle fut enseigné, par le Bouddha lui même.

    Toutes les écoles bouddhiques reconnaissent la validité des textes du Theravada (c’est ce qu’il faut apprendre en premier), ensuite, selon la pratique.

    * La présentation des quatre nobles vérités de la présente page est largement inspiré de ce livre ( en partie reproduite ).

    Conséquence : l’honnêteté m’oblige à cette précision. Si votre intérêt pour cette rubrique dépasse le cadre du simple dilettantisme, pour plus de sécurité, lisez la version originale.

    Chögyam Trungpa : Le mythe de la liberté (et la voie de la méditation) Editions Point Sagesses Sa18.

    Au sommet du bouddhisme le Vajrayãna (Bouddhisme tibétain). Ce livre présente la pratique du Vajrayana, bouddhisme tantrique dit aussi adamantin, hautement philosophique, et il explique ce qu’est la pratique tibétaine, sans concession et sans vous bercer d’illusions, y sont décrites les étapes et la progression nécessaires pour atteindre l’éveil. Ce livre s’adresse à ceux qui connaissent déjà un peu le sujet. (Vajrayana : Véhicule de la foudre et du diamant).

    Shunryu Suzuki : Esprit zen esprit neuf Editions Point Sagesses Sa8. Un peu à part, le Bouddhisme Zen, (Comme le Bouddhisme chinois Ch’an dont il est issu, cette école bouddhiste, est autant d’influencebouddhiste que taoïste).

    Débarrassé de sa gangue martiale, le bouddhisme Zen que présente Shunryu Suzuki., est un bouddhisme simple sans complication, presque commun.

    Il n’y est pas question de Satori (illumination), ou de long discours amphigourique, mais seulement, retrouver « l’esprit du débutant ».

    l’esprit du débutant Avant la fin de la pluie, nous entendons un chant d’oiseau. Même sous la neige épaisse, nous voyons poindre des perce-neige et des pousses nouvelles.

    Maurice Percheron : Le bouddha (et le bouddhisme). Editions du Seuil 6.

    Le travail d’un historien, présentation du Bouddhisme dans son contexte historique de l’antiquité indienne.

    Panoramique : le Bouddhisme sous toutes ses formes, indienne, chinoise, mongole, d’Asie du sud-est…

    Très bien illustré. (Tout public, si vous ne connaissez pas le bouddhisme, commencez donc par celui-là).

    Alexandra David Neel : Voyage et aventure de l’esprit, Editions Albin Michel. Espaces libres n°45.

    Récit, peut-être le plus intime des textes d’Alexandra David Neel . Philosophe et romancière, ethnologue et grande voyageuse, elle nous parle de sa rencontre avec les bouddhistes du Tibet, dans un livre magnifique.

    On ne rend pas assez hommage à son œuvre, pourtant par ses écrits (Tous des carnets de voyages), elle devrait être considérée comme un pilier de la littérature française du XXe siècle. Sa part active,dans l’implantation du bouddhisme dans notre pays, est de tout premier ordre (prépondérante).

    ***

    JPB (avec l’aimable collaboration de M. Paco Alpi).

  • Bar à la vapeur (cuisine chinoise, recette chinoise)

    Bar à la vapeur (cuisine chinoise, recette chinoise)

    Bar à la vapeur (cuisine chinoise, recette chinoise)

    La cuisine asiatique de Henri- Victor

    bars-poisson

    Recettes asiatiques « light »et « diététiques » faciles

    Bar à la vapeur

    Recettes asiatiques « light »et « diététiques » faciles

    Ingrédients

     un bar écaillé et vidé
    blanc de ciboulette
    1 gingembre frais
    Sauce de soja ( une c à soupe)
    huile de sésame ( une c à café)
    sauce d’huîtres ( Une c à soupe)
    sel fin

    Préparation

     mettre le poisson dans un plat creux


    faire des entailles des deux côtés et y déposer du sel+ le gingembre taillé en cheveux+blanc de ciboulettes.


    Verser la sauce de soja+sauce d’huîtres+huile de sésame sur le bar des 2 côtés


    Puis cuire à la vapeur en enlevant régulièrement du dessous du couvercle les gouttelettes d’eau de condensation
    Variante : effectivement tu cuits le poisson à la vapeur, sans sel mais + gingembre. faire chauffer de l’huile (environ 3 à 4 cuillères), lorsqu’elle est très chaude et lorsque le poisson est presque cuit, verser l’huile chaude sur le poisson (attention au éclaboussures !!), ainsi le poisson est saisi et devient un peu croustillant. Puis verser de l’huile de sésame, sauce de soja et ciboulette ( version moins diététique).

     Si vous avez une recette asiatique facile et délicieuse, n’hésitez pas à nous la faire connaître et nous nous ferons un plaisir de la mettre illico presto en ligne.

    Merci