Catégorie : Vie culturelle

  • Spectacle de Noël Le « Père Noël a disparu par enchantement ».

    Spectacle de Noël Le « Père Noël a disparu par enchantement ».

    pandPour les comités d’entreprises (CE),écoles, Centres de loisirs,Ime… »Le Pére Noël a disparu comme par enchantement ».

    Oui un vrai spectacle de Noël qui se déplace chez vous, à domicile. Nous l’avons effectivement vu l’année dernière lors d’une représentation et avons été emballé par ce spectacle de Noël à la fois joyeux, coloré, dynamique au livret musical plein de chansons entraînantes et faciles à reprendre.

    En fait ce que nous avions déjà remarqué, c’était le regard émerveillé des enfants embarqué dans une histoire féerique et pleine de rebondissements.

    De nombreuses peluches géantes (Chat botté, Panda Géant, ours…) ont su apporter à ce spectacle de Noël, une partie de rêve indispensable à la réussite  d’un tel spectacle. Les enfants emportés par l’ambiance à la fois féerique et joyeuse ont participé pendant tout le spectacle sans jamais s’apercevoir du temps qui s’écoulait. Ce signe est vraiment révélateur du bon équilibre de ce spectacle de Noël car il a su capter l’attention des enfants pendant près d’une heure, ce qui n’est pas aisé.

    L’interactivité est aussi l’un des secrets du « père Noël a disparu comme par enchantement », donnant un dynamisme à la fois ponctué et géré.

    L’histoire

     

    A quelques jours de Noël, le Père Noël disparaît sans laisser de trace et c’est vraiment une terrible catastrophe ! Mais où pnadest- il donc passé ? C’est une vraie catastrophe, que vont devenir les enfants, qui va distribuer les cadeaux? Aidé des enfants,  le Clown Maboul  va partir à sa recherche. Mais Père Noël réapparaîtra-t-il enfin devant les enfants ? Une folle aventure va commencer… Elle sera pleine de suspense, de mystère, de rires et de gaïté…

    L’infatigable Clown Maboul, le solitaire Panda géant , la très vilaine Poil au Menton, la charmeuse carotte géante, le facétieux téléphone portable, l’énigmatique Chat botté, le grand Lutin du Père Noël, le Cabri, l’Ours blanc ou peut-être même l’indispensable Père Noël…    

    Bref ça bouge dans un tourbillon de couleurs et de personnages tous plus attachants les uns que les autres. L’apothéose du spectacle est l’arrivée du « vrai Père Noël » pour la joie de tous. Grâce au « Père Noël a disparu comme par enchantement » votre spectacle de Noël sera différent car les enfants garderont le souvenir impérissable d’avoir vraiment aidé à délivrer leur grand ami le Père Noël.

    Alors bon spectacle de Noël!

    De nombreuses références:

    • France Télévision
    • Dassault
    • Ciments Lafarge
    • Ecole Centrale
    • Coca Cola
    • EMI- Pathé Marconi
    • Fondation Cartier
    • Insead
    • Unedic
    • Arte
    • Wagons- lits
    • Hôpitaux de Paris (Georges Pompidou, La Salle Pétrière, Robert Debré, Gustave Roussy…)
    • Ecole militaire…
    • Gendarmerie Nationale (fort de Rosny…)
    • CEA (Commissariat à l’Energie Atomique)
    • JP Morgan…

    Et plus des centaines d’écoles, Ime, associations, mairies….

     

    Site et contact

     

     

     

     

  • Aude Minart et art africain

    Aude Minart et art africain

    Aude Minart:  » Osez l’Afrique « 

    photoAudeFondatrice de la  » galerie africaine « , galerie virtuelle installée sur le net et galerie nomade exposant dans divers lieux publics et privés, Aude Minart défend depuis une quinzaine d’année les œuvres d’artistes contemporains du continent africain. Rencontre à l’occasion de sa nouvelle exposition au titre engageant :  » Osez l’Afrique « .

    Qu’est-ce qui vous a motivé dans la création de la Galerie africaine?

    J’ai vécu 5 ans en Afrique où j’étais journaliste pour la presse étrangère. Je fréquentais le milieu intellectuel qui se réunissait le soir. Parmi eux, des artistes venaient régulièrement. J’ai commencé à aller voir leurs ateliers et ça été pour moi une grande découverte parce que leurs œuvres n’avaient aucune visibilité hors des ateliers. J’ai été émerveillée par leur créativité. Ce que l’on voit dans la rue, n’a rien a voir avec ce que l’on voit dans les ateliers.

    Quand j’ai arrêté le journalisme, travailler avec les artistes est devenu une évidence. Le constat a été assez facile compte tenu de la difficulté pour les artistes africains à exposer en France et du néant de la présence de l’art contemporain de tout un continent en Occident. J’ai décidé de relever le challenge qui répondait à deux intérêts : pour les artistes africains, d’exposer à l’étranger et pour le public français, de lui faire découvrir quelque chose de nouveau.

    J’ai commencé par faire des démarches auprès des galeries où j’ai entendu des choses très désobligeantes voire insultantes sur le travail des artistes africains. J’ai donc décidé d’organiser des expositions chez moi.

    Comment les artistes accueillent t-ils le principe d’exposer en appartement ?

    A partir du moment où ils acceptent d’exposer chez moi, c’est qu’ils sont d’accord avec le principe. Recevoir les gens chez soi, implique un autre rapport entre l’artiste et le public. La confidentialité du lieu favorise l’échange personnel. Les gens sont reçus, ils ne font pas que passer et cela facilite la rencontre avec l’artiste – quand il est présent – et avec son travail. Dans ce contexte, la connivence s’installe plus facilement. Les gens prennent plus le temps de l’appréhender, de se familiariser avec l’œuvre. Mais je me suis rendue compte que ce travail doit être complémentaire avec une démarche vers le grand public. C’est pourquoi, je loue des espaces commerciaux comme le Viaduc des Arts, l’Hôtel Mezzara un chef d’œuvre d el’Art Nouveau, classé monument historique à Paris qui donne la possibilité d’élargir le public et de faire venir des gens qui ne viennent pas forcément en appartement.

    Vos choix sont assez éclectiques et les artistes que vous exposez ont recours à divers supports. Quels sont vos critères de sélection ?

    Je fonctionne souvent au coup de cœur. J’expose les oeuvres que j’aime et que je peux donc défendre. Le but étant de faire découvrir ces artistes et de vendre leurs œuvres. D’autre part, je sélectionne les artistes qui font un véritable travail de professionnel, qu’ils sortent des Beaux-Arts, qu’ils aient reçu une autre formation ou qu’ils soient autodidactes. C’est leur professionnalisme, leur implication, leur créativité en plus du talent qui priment dans le choix des artistes que j’exposeLa taille des œuvres est aussi devenue également un critère dans la sélection. Certaines œuvres sont monumentales ce qui d’une part complique la logistique d’acheminement et d’exposition et d’autre part rend leur vente plus difficile. Cela pourrait intéresser des institutions par exemple, mais encore faut-il établir un réseau qui soit solide et qui s’engage concrètement vis-à-vis de l’Afrique contemporaine.

    Vous vous rendez régulièrement en Afrique pour rencontrer des artistes. Ce qui vous pousse, c’est la découverte de nouveaux talents ?

    Le sens premier de mon travail c’est la découverte et la rencontre. Cela implique un investissement matériel et personnel. Je ne veut pas me contenter comme c’est souvent le cas de sélectionner des artistes de la diaspora parce qu’ils sont plus faciles d’accès ou de choisir leurs œuvres par le biais de supports comme les catalogues ou Internet. Ma démarche consiste, dans la mesure du possible, à aller à la rencontre des artistes. Quand je suis dans un pays, comme le Congo, le Cameroun ou le Sénégal, j’essaye de voir le plus d’ateliers possible, que les artistes soient connus ou non. Sur place, le bouche à oreille fonctionne bien mais il peut être à double tranchant. Les artistes se connaissent entre eux et quelque fois par amitié me font rencontrer plus des amis que des artistes de grande qualité ! Parfois, j’ai de bonnes surprises mais je ne vois pas que du bon. Il peut y avoir une bonne œuvre d’un artiste qui restera sans suite. C’est là où il faut savoir déceler celui qui travaille sur la continuité.

    Votre démarche envers un artiste s’inscrit-elle dans une perspective sur le long terme ?

    Désormais, oui. Quand j’ai commencé, j’étais dans l’instantané. Avec le temps, je suis devenue plus rigoureuse. Mon approche a évolué et un nouveau critère de sélection s’est imposé. Il n’y a pas que l’œuvre. Il y a aussi quelqu’un derrière. Pour défendre le travail d’un artiste, il faut avoir une relation de confiance avec lui. Sa personnalité et sa démarche rentrent en ligne de compte. Au delà de l’œuvre, je considère aussi l’artiste en fonction de ce qu’il a fait, de l’évolution de son travail, de ses « périodes » et de tous ses projets, c’est pourquoi il me semble primordial d’aller le voir dans son atelier. . Dans la mesure où je travaille avec un artiste dans une perspective de long terme, il faut que lui aussi s’engage à régulièrement mettre ses meilleurs œuvres à disposition de la galerie.

    Parallèlement à votre travail d’exposition, jouez-vous également le rôle d’agent?

    Je ne signe pas de contrat d’exclusivité avec les artistes. Lorsque je représente un artiste c’est avec son accord. Tant qu’il n’est pas connu, je lui conseille de ne pas se lier avec une seule personne mais de multiplier ses réseaux pour se faire connaître et vendre. Mon réseau  » classique  » se situe à Paris, Bruxelles, en Bretagne et dans le Sud. Prochainement je vais exposer à ArtMadrid, un salon d’art contemporain qui se déroule parallèlement à ARCO (Salon international de l’art contemporain).

    Depuis vos débuts, avez-vous senti une évolution dams le regard du public ?

    Lorsque j’ai commencé, il n’y avait pas eu de grandes expositions d’art contemporain africain à Paris. Peu d’espaces sont ouverts à cet art. Le musée Dapper expose des artistes contemporains, mais dans une petite salle attenante à l’espace d’exposition qui reste dévolue aux arts traditionnels. D’une certaine façon, la situation s’est aggravée depuis mes débuts dans ce milieu. Certaines personnes qui avaient comme moi privilégié les expositions en espace privé ont arrêté faute de moyens.

    Bien sûr il y a eu l’exposition Africa Remix à Beaubourg mais y a t-il eu des retombées réelles pour les artistes ? En France le milieu reste cloisonné.

    Certains disent que le Musée du Quai Branly – bien qu’il soit voué aux  » arts premiers  » – va susciter une émulation, éveiller la curiosité des gens et les attirer vers le contemporain.. Tant mieux si ça marche, mais je suis un peu sceptique. La France est à la traîne sur l’art contemporain en général donc encore plus concernant l’Afrique.

    Comment pensez-vous vous démarquer de ce « système » de cloisonnement?

    Je ne prétends pas à ça, j’essaye d’instaurer un rapport de proximité. Ma passion c’est la rencontre et l’échange donc je m’inscris dans une autre démarche. Je tiens à mes recherches sur le continent car elles me permettent d’exposer des œuvres qu’on ne trouve pas forcément en France. J’aime la diversité et elle me pousse à sortir des sentiers battus et donc à prendre des risques.

    Je suis parfois frustrée de voir à quel point les choses restent cloisonnées. Les artistes hors réseau n’ont pas de visibilité. Il faudrait que le milieu soit plus structuré. Ceux qui peuvent le mieux s’en sortir sont ceux de la diaspora car il connaissent le système et naviguent entre deux espaces géographiques.

    Si les différentes initiatives privées se fédéraient, l’émulation que cela susciterait ne pourrait-elle pas déboucher sur de nouveaux projets ?

    Encore faudrait-il qu’elles existent et qu’il y en ait plusieurs ! Cela signifierait que le marché est mûr. Ce qui n’est pas le cas. Je ne demande qu’à être rejointe dans mon projet, mais les initiatives privées sont rares et elles ont surtout du mal à se pérenniser.

    Les collectionneurs d’art contemporain africain ne sont pas nombreux et une fois qu’ils ont la possibilité d’accéder directement aux artistes, ils n’ont plus besoin d’intermédiaires. C’est un réel écueil.

    Avez-vous le sentiment que le marché de l’art africain contemporain est anarchique ?

    Complètement ! Le prix des œuvres varie selon le contexte et les collectionneurs. Arriver en Afrique après le passage d’un riche collectionneur américain, est terrible ! les prix sont faramineux. A l’inverse en cas de besoin et d’obligations familiales, la nécessité faisant loi, certains artistes finissent par terriblement baisser le prix de leurs œuvres (avec certains acheteurs locaux ou amis) même quand ils ont acquis une certaine reconnaissance.

    Quel est le profil des collectionneurs ?

    Un certain nombre d’entre eux acquièrent des œuvres pour leurs entreprises. D’autres pour eux même. La majorité d’entre eux ont un rapport spécifique à l’Afrique, ils sont sensibilisés au continent africain qu’ils connaissent bien et ils sont réceptifs au travail des artistes. Certains collectionneurs constituent leur collection autour d’un thème particulier comme le portait et la complètent en me sollicitant dans ce sens. Les collectionneurs avertis dans une société mondialisée ne peuvent faire l’impasse sur un continent entier, l’Afrique reste à découvrir à travers ce qu’elle a de mieux à donner et en premier lieu sa créativité.

    Extrait du site:

    afrilogo

  • Steve Appel, photographier le mouvement?

    steve-appel-2« C’est une annonce ! »

    Une exposition photo va avoir lieu à la mairie du 15ème arrondissement de Paris du 12 au 17 octobre prochain. Je suis très curieuse de voir le travail de Steve Appel, photographe qui déclenche son appareil pour mieux retranscrire le mouvement dans son suspens …

    Des quelques photos que j’ai eu en avant- première, ça donne envie d’en voir plus. Prises au cours d’un spectacle de danse, ces photos saisissent l’instant que l’œil n’a pas le temps de percevoir. Les corps en mouvement s’arrêtent, suspendus, et seul ce léger flou furtif, inattendu nous rappelle qu’il ne s’agit que d’ 1/100 ème de seconde.

    Que c’est beau ces particules temporelles quand elles sont saisies avec grâce et finesse !

    Steve Appel a suivi le spectacle de deux danseurs, Deborah Lary et Assan Beyeck Rifoe, sur une chorégraphie de Faïzal Zeghoudi.. Il en expose les photos et vous propose d’imaginer votre propre chorégraphie en passant de l’une à l’autre. steve-appel-3Moi, je vous propose de faire un tour Salle grenelle de la Mairie, 31 rue Péclet dans le 15ème , vernissage le 9 octobre à partir de 18h, du 12 au 17 octobre 2015.

    Steve Appel fait partie de la « Happy génération ».

    lila-pik4  Lila Pik 🙂

  • Thierry Beyne, les dormeurs indochinois

    Thierry Beyne, les dormeurs indochinois

    Thierry Beyne, les dormeurs indochinois

    Thierry Beyne, les dormeurs indochinois

    Le photographe à l’objectif  » débridé » met en scène des dormeurs paisibles qui nous parlent du Vietnam.



  • Vietnam (Asie et musique)

    Vietnam (Asie et musique)

    Vietnam (asie et musique)

    VIETNAM : the rough guide to the music (asie et musique

    Une compile de Paul Fisher de musique vietnamienne, melting pot d’hier et d’aujourd’hui.

    WORLD MUSIC NETWORK/ Distribution Harmonia Mundi

    The Rough Guide To The Music Of Vietnam RGNET1183CD

    Avec : Huong Thanh, Than Quy, Cam Ly, Blue Asia, Thu Hien, Kim Sinh, Khac Chi Ensemble, Tranh Sáo Bao, Huy Du, Tuyet Tring, Nguyen Thanh Thuy, Vân Khánh, Quang Linh, Chau Dinh & Ca Hue Ensemble, Dàn Bao Viêtnam

    Le Viêt-Nam est un pays dynamique avec une culture très riche. Présentant certaines des plus grandes stars de la musique vietnamienne, The Rough Guide To The Music of Vietnam offre un survol intéressant d’un des pays les moins biens compris.

    Malgré l’assaut de la culture Occidentale au Viêt-Nam au cours des vingt dernières années, l’identité national est intacte, révélant un peuple fiers de sa culture et de sa musique. Des instruments vietnamiens – on peut entendre sur cet album le Dan bao à une corde, le Dan tranh à seize-à cordes, le sao truc (flûte en bambou), le tam thap luc (dulcimer) et beaucoup d’autres encore, dans une variété de styles musicaux traditionnels et modernes.

    Les titres incluent “Crossing the Valley” de Huong Thanh, basé à Paris, avec le guitariste Nguyen Le, un air traditionnel avec de nouveaux arrangements ; une version bluesy d’une chanson traditionnelle sur un violon à deux cordes de Kim Sinh ; “On the Bamboo Bridge” par le Khac Chi Ensemble ; la musique sensible de hat van (sorte de chant de trance et danse) par Huy Du, Tuyet Tring ; “Luyem Nam Cung”, présentant le dan tran à seize cordes tranh par de Nguyen Thanh Thuy ; la voix douce du chanteur de chansons traditionnelles vietnamien le plus connu, Van Khanh, qui combine des sonorités traditionnelles vietnamiennes avec un accompagnement moderne et une chanson par l’un des plus grands chanteurs de ca hue, Chau Dinh, venant de Hue, le centre culturel du VietNam.

    Deux des plus grandes stars de la pop du Viêt-Nam, Cam Ly et Quang Linh sont aussi sur cet album. Il y a également un titre de Blue Asia, avec le joueur de dan bao Thuy Hanh et le batteur de jazz Bernard Purnie. L’album se termine par “Rider in the Sky” par le groupe familial, Dan Bao Viêt-Nam, avec le dan bao à une corde, accompagné par des percussions en bois et des claviers. Ce Rough Guide offre un aperçu intéressant de la richesse des sons du VietNam.

    Paul Fisher, le fondateur de Far Side Music, a conçu cette compilation. Il est spécialiste de la musique de l’Asie orientale, il est aussi DJ et journaliste.

    CONTACT PRESSE WORLD MUSIC NETWORK FRANCE : Soizick Fonteneau Tél. 01.42.77.00.08 – Port. 06.15.92.57.72 – Fax 01.42.77.00.13 – soizick@club-internet.fr

  • Daktari Music et bassofone

    Daktari Music et bassofone

    INDIA OUEST TOUR

    Bassofone ! et Daktari Music présentent

    Bassofone ! est un nouveau label dans le paysage discographique, dont la ligne éditoriale repose sur une phrase simple : Le métissage est source de richesse. Musiques électroniques, musiques organiques, confrontation des univers et des musiciens issus de divers horizons, mélange des cultures, fusion élégante des genres…. Dans un univers de plus en plus industriel qui tend vers un formatage plutôt radical, c’est presque suicidaire, me direz-vous. Sans être pour autant d’un militantisme forcené (ou obscur), bassofone ! s’efforcera néanmoins de mettre à portée d’oreilles et de cerveaux (toutes les oreilles et tous les cerveaux) des musiques « différentes » parce que contrairement aux idées reçues, il n’y a pas, à proprement parler de disques invendables mais des albums souvent mal défendus qui ne trouvent ni leur route, ce chemin fragile entre la création et l’accessibilité, ni leur public. Vous l’aurez compris, bassofone ! se souhaite en label des différences, dans l’espoir que la musique reste un banquet riche de mets variés.

    Daktari Music et bassofone ! sont donc fiers de vous présenter en avant-première dans le cadre d’un concept novateur de concerts promotionnels, les nouveaux albums des indo-rennais Olli & the Bollywood orchestra (fin avril) et des nantais Mukta (fin mai).

    Ne les ratez surtout pas !!!! Olli and the Bollywood Orchestra

    Ollivier Leroy (alias Olli) est tombé amoureux des musiques de films kitschs et colorées produites du côté de Bollywood (contraction de Bombay et Hollywood) qui sont autant de clés pour comprendre la psyché collective du peuple indien. Il en fait la matière première d’un alliage sonore inédit. Après des allers et retours à Calcutta où il choisit des musiciens, enregistre, teste in situ ses compositions et son chant, l’affaire prend corps. Elle donnera lieu, en 2004, à une création vidéo-musicale à l’occasion de deux festivals prestigieux, les Tombées de la Nuit à Rennes et les Vieilles Charrues à Carhaix. La trame du spectacle s’inspire de thèmes romantiques propres aux grandes chansons du cinéma indien depuis les années 1970. L’engouement pour ce spectacle singulier est immédiat tant auprès des spectateurs que des journalistes. L’album Kitch’en (enregistré au prime studio de Calcutta, spécialisé dans les B.O) composé de chants acoustiques ou griffés électro emprunt d’asian wave conclut en 2005 cet étonnant challenge. Avec Tantra (du verbe sanskrit qui veut dire penser) son nouvel opus, Olli poursuit sa recherche. Si le premier album s’inspirait des formes musicales du « cinéma massala », celui s’inscrit d’avantage dans le style de l’hindi pop avec des échappées vers le hip hop, le dub ou le rock. On pense parfois à Nitin Sawney, Asian Dub Foundation, Corner shop ou Badmarsh & Sri. Si les références à Bollywood (lignes mélodiques des violons, jeu couplets/refrain) sont toujours bien présentes, Olli modernise le propos en livrant par exemple une reprise surprenante de A Forest de The Cure, dont Olli fut fan, comme beaucoup d’entre nous. Une adaptation qui a séduit Robert Smith qui a pris contact avec Olli !!!

    Mukta

    N’avez-vous pas l’impression que plus la course du temps s’accélère et plus le nombre de disques augmente, moins la musique produite est bonne… ? C’est probablement pour cette raison que, au beau milieu de cette vague uniforme dont nous submerge l’industrie du disque, Mukta se détache du lot tel un phare qui, du haut de sa lumière sûre, nous rassure. Mukta, qui puise ses racines dans une multitude de sources, Mukta qui nous apporte une fois de plus un son d’une fraîcheur, d’une sérénité, d’une pureté qu’on peine à trouver aujourd’hui. Ni vraiment jazz, ni franchement world, ni electro, un peu de tout cela, sans doute, mais bien dosé comme de la grande cuisine. Inspiré… Si l’originalité du groupe réside en partie dans le choix inhabituel des instruments (sitar, trompette, contrebasse, flûte, percussions et batterie) elle tire aussi sa force des six individualités qui le composent, six artistes virtuoses, humbles et mesurés, au service d’un son de groupe qui s’investissent corps et âmes dans un concept musical. Ils croient en la même expression musicale : Mukta est le groupe de nos rêves, la perle rare. Après avoir fait le tour du monde dont une tournée et un enregistrement (Haveli) en Inde en 2003, joué dans les festivals les plus prestigieux (Festival de jazz de Montréal, Montreux etc…) Mukta nous revient, toujours novateur, toujours fascinant avec encore de nouveaux ingrédients pour son nouvel album « Invisible Worlds ». Un peu de douceur dans un monde de brutes…

    Daktari Music et bassofone

    Label : Bassofone ! 06 78 96 87 99 Christophe Minier  Daktari Music 02 98 43 56 50 Catherine Bihan [catherine@daktari-music.com]

  • ZHANG Hongyu

    ZHANG Hongyu

    ZHANG Hongyu, artiste chinois expose

    « ELLE »

    ZHANG Hongyu, artiste chinois

    Zhang Hongyu ou « Celui qui voyage sous le signe de l’eau. »

    Cet artiste contemporain dont l’approche figurative rejoint la grande tradition des expressionnistes occidentaux, n’en demeure pas moins un puriste de l’art extrême oriental où le dépouillement des formes et des couleurs satisfait à l’essentiel. Zhang Hongyu présente une œuvre marquée par une « mise en relief du sujet traité ».

    Cette approche peut-être considérée par certain comme désuette et pour d’autres elle touche au sublime ; il en est ainsi des goût et des couleurs. A l’heure ou l’on confond vitesse et précipitation, art et Pan Art.

    Retourner à l’essentiel, c’est cela être efficace ! Comme l’eau qui invariablement retourne à la source.

    JPB

  • Mu Tranier-Alaux, l’artiste des lumières

    Mu Tranier-Alaux, l’artiste des lumières

    Mu Tranier-Alaux, l’artiste des lumières.

    Mu Tranier-Alaux,

    Vous pouvez retrouver ses œuvres dans son atelier, la « mu-gallery » au 53 rue blanche dans le 9ème, sur rendez vous. (06 07 52 03 29), ou sur internet .

    Artiste Franco Toulousaine vivant à Paris, Mu Tranier-Alaux a exposé ses « abstractions figuratives et poétiques » à la galerie Thuillier. 25 œuvres ont été présentées de 2005 à 2008, des huiles de mue aux gommes laque, avec un arrêt sur image de deux portraits à l’huile, dont Giri Nari, grand Saint de l’Inde. Une œuvre, « impression du soleil levant » sera exposée cet automne à la résidence d’été de la cité impériale du japon.

    Pourquoi l’Asie ?

    « l’Asie est mon influence racine de l’Etre dans l’art. Des encres de la Chine aux espaces silencieux du Japon, je travaille parfois à l’ombre des grands maîtres Indiens.

    De là je tire sûrement quelque chose du japon, quant au lyrisme, il est très Chinois dans l’âme, seul les cadres diffèrent. »

    Zao Wo Ki !!! c’est du Zao Wo Ki !!! et bien non, elle ne le connaissait même pas.

    L’inspiration de Mu Tranier-Alaux rejoint spontanément celle des très grands : elle joue avec les lumières et les techniques comme un enfant qui s’émerveille de ce qu’il découvre. Chaque nouvelle oeuvre est un pas de géant vers une destinée prometteuse.

    Mary Ducasse

    « Je suis tombée sous la lumière d’un phare, Et les oiseaux avaient leurs ailes, L’eau semblait ruisseler des caniveaux… … Je ne me souviens que de cette vague impression d’abandon Et de l’Amour qui m’enveloppait. » La feuille morte. Mu

    Pour en savoir plus sur Mu Tranier-Alaux vous pouvez cliquer sur « mu sa vie, son œuvre »


  • Expo, partir avec un bout d’expo dans la poche …

    Expo, partir avec un bout d’expo dans la poche …

    Expo, les carnets de Lila Pik- vendredi 17 septembre- 19h30

    C’est le pari de Take me, (i’m yours), une exposition à la Monnaie de Paris, où toutes les œuvres exposées sont offertes aux visiteurs.

    Au- delà du côté artistique plutôt limité, c’est bien le concept qui interpelle.

    Pyramides de vêtements, tapis de bonbons bleu azur, tours Eiffel miniatures, capsules d’air, flacons d’eau de rose, boites de sardines, posters, journaux … Vous prenez ce que vous voulez de ces œuvres éphémères qui évoluent au fur et à mesure des passages des visiteurs …

    takeme-1-1

    On rentre dans une caverne d’Ali baba, on sourit, on s’étonne, on prend timidement un objet, puis un autre, puis un autre. On participe, on transforme les installations par nos envies de posséder un exemplaire de ces objets en série … Et d’un coup, le partage est là: la langue se délie, les sourires s’échangent, les visiteurs communiquent entre eux.« ah ! c’est drôle, pour une fois où l’on peut se servir, qu’est- ce qu’ils vont encore inventer, mais à quoi ça sert ? ».

    takeme-2

    Oui, voilà ! A quoi ça sert ? Je suis rentrée avec tous mes objets dans mon sac. En fait, je me suis demandée pourquoi je les avais pris ??… Je n’en avais pas forcément besoin, ça ne me plaisait pas forcément non plus. Et j’ai entamé tout un processus de réflexion: pourquoi l’expo, pourquoi mon sac était rempli, pourquoi je me sentais conditionnée, à quoi sert l’art, comment le partager … Et c’est là où je me suis dit que l’expo frappait fort.

    L166xH74_gif_lila-pik4-4-ed21fLila Pik 🙂

    Du 16 septembre au 8 novembre 2015, Monnaie de Paris, 11 quai de Conti 75006 paris.

  • Indochine, une passion vivante

    Indochine, une passion vivante

    Indochine, une passion jamais éteinte

    Jeannette Ulmann, Indochine, une passion jamais éteinte

    Propos recueillis par Serge Ulmann.

    Ce récit est celui d’une femme entre deux pays, l’Indochine et la France. Jeannette est née dans les années trente, quatrième enfant de son père. En 1940, c’est l’occupation japonaise, les massacres et l’oppression. La petite Jeannette et sa famille doivent se cacher jusqu’en 1945. En 1947, elle est enfin scolarisée à onze ans. En 1952, elle arrête l’école, trop pressée de travailler et de gagner sa vie pour aider sa famille. Elle se marie avec Armand, un Eurasien, et ils décident tous deux de partir ouvrir un restaurant au Cambodge.

    Pendant ce temps, ses parents sont retournés en France et ont rejoint le camp de Sainte-Livrade, dans le Lot-et-Garonne, avec des centaines d’Indochinois. Mais la vie que Jeannette mène ne la satisfait plus. Émue par les lettres qu’elle reçoit de sa jeune sœur Émilienne, elle décide de rejoindre sa famille en France. Après un voyage éprouvant, elle va enfin retrouver et construire une vie de couple sereine.

    Un beau destin de femme, émouvant et fort.

    Si vous souhaitez joindre l’auteur qui réside à Fontgrave (47), ulmann.serge@orange.fr

    Jeannette Ulmann, Indochina, a passion never extinguished

    Jeannette Ulmann, Indochina, a passion never extinguished

    Interview by Serge Ulmann.

    This story is that of a woman between two countries, Indochina and France. Jeannette was born in the thirties, fourth child of his father. In 1940, it was the Japanese occupation, massacres and oppression. The small Jeannette and her family must hide until 1945. In 1947 she finally schooled eleven. In 1952, it stops the school, too eager to work and earn a living to support his family. She married Armand, a Eurasian and they both decide to go open a restaurant in Cambodia.

    Meanwhile, his parents returned to France and joined the camp of Sainte-Livrade in the Lot-et-Garonne, with hundreds of Indochinese. But the life that leads Jeannette do more satisfied. Moved by the letters she receives from her younger sister Hattie, she decided to join her family in France. After a harrowing journey, she will finally find and build a serene life together.

    A beautiful woman of destiny, moving and strong.

    If you want to join the author who resides Fontgrave (47) ulmann.serge@orange.fr

     

    珍妮特Ulmann,中南半島,激情永不熄滅

    珍妮特Ulmann,中南半島,激情永不熄滅

    採訪塞爾Ulmann。

    這個故事是兩個國家,印度支那和法國之間的女人的。珍妮特出生在三十年代,他的父親的第四個孩子。 1940年,它被日軍佔領,屠殺和壓迫。小珍妮特和她的家人必須隱藏,直到1945年。1947年,她終於接受教育十一點。 1952年,它停止了學校,也渴望工作和謀生養家。她嫁給了阿爾芒,歐亞,他們都決定去開在柬埔寨的餐廳。

    同時,他的父母回到法國,並加入了聖Livrade的陣營在洛特 – 加龍省,數百印度支那的。但是,導致生活珍妮特做比較滿意。當她收到她的妹妹海蒂的信感動,她決定加入她的家人在法國。經過一個悲慘的旅程,她終於找到並建立一個寧靜的生活在一起。

    一個美麗的女人的命運,移動性強。

    如果你想加入誰居住Fontgrave作者(47)ulmann.serge@orange.fr