Catégorie : Vie culturelle

  • Bali, le mariage et la polygamie en Asie

    Bali, le mariage et la polygamie en Asie

    Carnets de voyage en Asie, mariage à Bali ou la polygamie aux yeux bridés !

    – Carnets de voyage en asie

    Voyage à Bali de Marina

    Traditions Hindouistes et Mariage Balinais

    On ne revient jamais indemne d’un voyage, surtout quand l’on revient d’Indonésie. Chaque culture, chaque rencontre nous enrichit et élargit notre ouverture d’esprit. Lors de mon premier séjour à Bali, je suis rentrée en France avec la nostalgie d’un paradis perdu, d’une île sereine ou les gens souriants semblaient en harmonie avec la nature.

    Je m’y suis sentie si bien que j’ai décidé d’y revenir trois semaines, en Mars 2008, pour y découvrir d’autres îles et surtout revenir à Bali.

    J’ai préparé mon voyage en étudiant des guides. Je souhaitais faire les volcans de Java le Bromo et le Kawah Ijen, puis Lombok et les îles Gili pour découvrir les fonds marins, faire de la plongée et enfin Bali pour aller à la rencontre de ses habitants. Ce fut avec l’aide d’un guide local francophone : Gusde que j’ai pu organiser ce voyage en communiquant avec lui par internet.

    Il s’est occupé de la logistique du voyage : réservations d’hôtels , de train et de voitures pour effectuer mes excursions à Java et Lombok.

    Grâce à lui j’ai pu rencontrer à Bali sa famille, un grand prêtre du nord de l’île, et assister à un magnifique « mariage traditionnel Balinais ».

    J’ai également profité de la région d’Ubud connue pour son artisanat et ses nombreux artistes. Je suis allée dessiner avec Dolit un célèbre peintre miniaturiste du style « Keliki » un art ancestral qu’il transmet en l’enseignant aux enfants de son village.

    Il y a beaucoup à dire sur la culture hindouiste dont j’ai perçu une facette surtout à la fin de mon voyage au contact des locaux dans le nord de l’île et dans la région d’Ubud.

    J’ai passé une journée chez un grand prêtre très respecté des balinais. Et tandis qu’il recevait la visite de ses concitoyens venus de très loin pour le consulter, j’ai observé avec émerveillement ses deux femmes qui façonnaient avec agilité de magnifiques offrandes. Elles les préparent ainsi à longueur de journée avec de la pâte de riz, des fruits et des feuilles de palmes tressées. Celles-ci sont ensuite présentées aux dieux puis après la cérémonie et les prières elles seront mangées par la famille. Seules les femmes issues de la caste des prêtres peuvent réaliser les offrandes les plus élaborées dont elles connaissent les secrets de fabrication.

    Ce jour là, le prêtre à également reçu la visite d’un confrère venu d’un autre temple pour l’interroger. Son savoir est grand et reconnu par tous les prêtres qui n’hésitent pas à venir le consulter. On l’appelle le « Pedanda » du nord de Bali. Dans sa famille issue de la caste des prêtres, le grand père et l’arrière grand père l’étaient également. Il utilise encore des manuscrits en sanskrit qui datent du XVIII siècle et autres objets précieux qui se transmettent de génération en génération. Chaque personne venant le voir doit faire des offrandes aux dieux, poser ses questions (jour du futur mariage, astrologie, problèmes à résoudre etc.…), assimiler la réponse, échanger avec lui, puis à la fin de la consultation, offrir un don au prêtre en remerciement. C’est ainsi qu’il a reçu en cadeau plusieurs pierres étonnantes offertes par ses fidèles.

    Avant de décider de les monter en bagues, il a longuement médité sur chacune des gemmes.

    Chaque pierre représente un dieu hindouiste, une énergie, une fonction. Ces bagues sont devenues des amulettes protectrices.

    La pierre rouge est une racine de rubis en forme de cabochon et représente Brama et protège sa famille.

    Une pierre cabochon noire aux reflets verts représente Shiva, elle est protectrice.

    La dernière pierre, la plus étrange un cabochon noir avec des effets moirés comme des nuages, qu’il nomme « akik », peut s’apparenter à une obsidienne noire, une pierre volcanique.

    Celle-ci aurait plus de pouvoir que toutes les autres car elle représente Vishnu et le protège de la magie noire. Il la porte donc à chaque fois qu’il doit partir de chez lui pour se protéger.

    Le lendemain, j’ai assisté au mariage de Sofi et Komang.

    Le mariage Balinais se déroule en deux jours et j’ai assisté à la deuxième journée. Le matin, tous les invités arrivent chez le marié vers dix heures du matin. Au bout de quelques heures toutes les offrandes sont apportées sur l’autel qui a été dressé dehors sous un auvent. Les mariés, après avoir médité et prieé avec le prêtre du village, partent vers le village de l’épouse et sont suivis de toute la famille et de leurs amis.

    Cette dernière peut habiter très loin de la maison de son mari. En effet, ce jour là, nous sommes montés très haut dans la montagne au cœur d’une forêt tropicale rafraîchissante. Au cours de notre ascension, je me suis demandée comment ces deux personnes avaient pu se rencontrer. Leur histoire est à l’image d’un conte pour enfant : la jeune fille soufrait d’une maladie incurable et c’est en allant voir un guérisseur réputé, très loin de chez elle, qu’elle a rencontré son futur mari. Celui-ci faisait partie de la famille de ce guérisseur. Et depuis ils ne se sont plus quittés.

    Mais ce beau mariage n’aurait pas pu voir le jour sans la tolérance légendaire des Indonésiennes. En effet, la encore, les différences culturelles sont étonnantes entre les Occidentaux et les Hindouistes. Tandis que les Musulmans et Hindouistes partagent un point commun : celui de pouvoir épouser plusieurs femmes, les Hindouistes ont eux, encore l’avantage de pouvoir avoir des « maîtresses officielles ». Le marié faisait peur aux balinaises car il entretenait depuis 5 ans des relations avec une jeune femme allemande. Celle-ci ne souhaitait pas vivre à Bali et venait souvent en vacances revoir son amoureux. Bien qu’elle ait décidé de vivre en Allemagne, elle a accepté par la suite de devenir sa maîtresse officielle. Aujourd’hui sa photo trône sur un mur parmi d’autres membres de la famille de Sofi.

    Bien que les Balinais soient fiers d’avoir une femme ou une maîtresse étrangère à la peau blanche, tous ne peuvent pas s’offrir ce luxe ! Certain Balinais dont la caste est élevée comme celle des Prêtres située au dessus ce celle des Rois ne pourront jamais se marier avec une étrangère sans que cela ternisse leur image.

    Arrivés dans le village de la mariée, de nouveau le rituel des prières reprend dans tous les autels de la famille situés sur le toit de la maison et sur la montagne embrumée. Pendant ce temps les invités patientent et discutent les femmes d’un côté et les hommes de l’autre. Ce jour la pour respecter leur tradition je m’étais habillée en sarong traditionnel avec la ceinture et une chemise. Quand on est enveloppé dans le sarong, il est difficile pour une femme d’être dans une autre position qu’assise ou debout. Les gestes sont assez limités. Les hommes eux nouent leur sarong en éventail ce qui selon eux permet de différencier la silhouette de l’homme et de la femme. Les hommes se sont donc regroupés autour d’une bouteille d’Arak et l’alcool aidant, ils plaisantent, chantent, et dansent entre eux. En tant qu’invitée et photographe improvisée, j’ai eu le privilège de goûter cet alcool assez fade, ce qui les rendait hilares. Enfin vers 16h de l’après midi, la famille transporte toutes les affaires personnelles de la Mariée jusqu’à son oreiller préféré dans sa future maison. De retour dans la maison de son époux, la cérémonie finale peut commencer. Elle est célébrée par le plus grand prêtre du nord de l’île, celui que j’avais rencontré le jour précédent.

    Dans les vapeurs d’encens, les rituels de prières et les offrandes dressées sur l’autel rouge et or, la cérémonie se déroule entrecoupée par les mélopées du prêtre et du son hypnotique d’une cloche. Une de ses deux femmes prêtresse l’assiste tout au long de la cérémonie. Les époux échangent enfin l’eau et la nourriture symbolique en croisant leurs mains en signe de partage durant toute leur vie. C’est sur ces belles images d’amour que s’achève cette belle journée partagée avec les balinais. La mariée et le marié parés comme des dieux vivants, commenceront des le lendemain leur première journée de mari et femme. Je suis restée longtemps émerveillée par la magie des rituels et des décorations très colorées façonnées par les femmes et prêtresses pour séduire les dieux et ainsi attirer le bonheur et la félicité propre à l’Asie. C’est pour cette raison d’ordre religieux que les Balinais ont particulièrement développé les arts décoratifs. Et pour l’artiste que je suis, cette île possède un trésor de talents ! Avant de repartir en France, faites un tour sur le marché d’Ubud ou vous trouverez un éventail de tout ce qui se fait en Indonésie au meilleur prix. Et laissez vous séduire par les danses balinaises traditionnelles rythmées au son du gamelan. Bon Voyage !

    Marina

    Contacts utiles :

    Guide francophone Gusde en contact avec d’autres agences de voyage à Bali et Lombok propose un voyage sur mesure : 08 12 39 45 513 gusde_ibg@hotmail.com

    Artiste Dolit, organise des excursions autour de son village, vers Ubud et découverte de son art traditionnel : 08 15 57 91 433

    Agence Bali passion, tenue par des français pour créer un voyage à la carte : www.balipassion.net

  • Philosophie, physique  » Quoi de neuf à l’ouest ? »

    Philosophie, physique  » Quoi de neuf à l’ouest ? »

    Le dos de la cuillère

    Le dos de la cuillère. Quoi de neuf à l’ouest ? La foudre !

    Un grand philosophe de l’Asie à dit ceci : « qui fait un pas vers l’est, fait un pas vers l’ouest . » Ou l’inverse, je sais plus ?

    Alors quoi de neuf à l’ouest ?

    Depuis Spinoza il y a eu Emmanuel Kant bien sûr et après il y a eu Hannah Arendt et quelques autres bien entendu. Mais rien de vraiment nouveau depuis. Philosophie en panne!

    On dit que la philosophie sert à éclaircir des concepts ?

    A l’ouest ne serait- il pas plutôt le contraire !

    Amphigourique la bourrique.

    Cependant dernièrement, suite à un échange d’idées, alors que je prétendais être convaincu de l’inutilité des sports de combat (Les Art Martiaux) , un amis* me fit cette remarque :

    « Il ne faut pas confondre le désintérêt personnel pour une discipline avec l’inutilité de cette dernière. Il n’y a pas grand chose d’inutile ici bas, ce n’est souvent qu’un point de vue biaisé par le prisme étroit de notre esprit. » (Mets ça dans ta besace, et toc.)

    Ce qui est valable pour les art martiaux, l’est aussi pour la philosophie occidentale.

    Je profite donc cette occasion pour faire un petit mea-culpa au sujet d’un article déjà paru : Orientalisme et Physique moderne.

    Où, à la façon d’un sophiste, je n’ai pas hésité à railler les philosophes, les mathématiciens et surtout les psychanalystes (pour ces derniers je n’y suis pas allé avec le dos de la cuillère.).

    Naturellement, peu de temps après je tombe par hasard ou presque par hasard sur un livre écrit par un philosophe mathématicien, et comble de l’horreur psychanalyste.

    Naturellement, c’est un livre admirable qui me touche énormément et me « scotche » littéralement sur place, de plus un livre simple (facile à lire) et sans complications inutiles.

    Alors pour me faire pardonner, je vous le propose. Et même… Tiens ! Pourquoi pas ? J’exige que vous le lisiez ! Un coup de tonnerre dans le microcosme philosophique bien pensant.

    Éclaircissement des concepts :

    Daniel Sibony (Docteur d’Etat en mathématiques et en philosophie, psychanalyste) Les trois monothéismes : Juifs,Chrétiens,Musulmans entre leurs sources et leurs destins Edition : Points –Essais- 348

    De même que j’ai trouvé un bon petit livre pour les curieux des sciences désirant connaître l’histoire des idées en physique.

    Ce livre à été conçu pour fournir au lecteur un maximum de repères, montrant les étapes et l’évolution de la physique dans son contexte historique et culturel. 126 pages seulement des tableaux pour se repérer un peut d’humour (un hilarant le kiosque à journaux) quelques citations jamais choisie au hasard.

    Exemple :

    « Plus l’Univers nous semble compréhensible, et plus il semble absurde. » « La source désapprouve presque toujours l’itinéraire du fleuve. » « La vérité émerge plus facilement de l’erreur que de la confusion. »

    Si vous ne connaissez pas les auteurs de ses citations alors lisez ce livre.

    Ce livre est une sorte de manuel pour intellectuel, utile comme la boîte à outils d’un électricien.

    Je n’hésite donc pas à vous le proposer :

    Jean Perdijon (Ingénieur civil des Mines) HISTOIRE DE LA PHYSIQUE Edition : DUNOD- les topos-

    ***

    l’annexe et les petites histoires :

    1) Sur la pelouse du stade de France, une équipe de rugby marque un essai, tout le monde se lève et applaudit à tout rompre fondu en un seul supporter c’est du délire ! Puis vient le silence juste avant la transformation. Ce qui compte le plus au rugby c’est la magie du spectacle !

    2) Et ça, c’est bon !

    3) Il pleut des cordes, et ça c’est chiant !

    4) La percée … L’essai… Bottez le ballon ovale !

    5) Transformation !!

    6) Pluie d’été, rosée de printemps.

    7) Arc en ciel.

    8) Art, Mots.

    9) Au fil de l’eau, les ondes.

    10) Reflet de lune.

    Heureux comme un aphoriste JPB.

     

    * L’ami en question Xin Ming • Son site : http://www.taoisme.org/

    Toc- toc (signifie frapper à la porte). Si d’aventure un bouddhiste pouvait éclairer ma lanterne ? À propos de la notion philosophique de vacuité, je me ferai un plaisir de publier son article, voir même créer un lien avec son site, si site il y à naturellement ? Un article : Présentation de la Bhagavad-gita serait le bien- venu également.

    ***

    Egalement M… CC la dérive, la dérivée cc. Eh, quoi ? 9 à l’ouest ! Et pourtant elle est bien noire.

    ***

    Amicalement,

    Les cultures s’harmonisent pour bientôt se compléter.

    Aux pendules des temps, les trois petites aiguilles marquent la même heure, les grandes aiguilles celle des minutes se cherchent encore pour une rencontre carillonnante et joyeuse, douce musique que celle des trois pendules du temps.

    Dans le ciel sombre, un coup de tonnerre stupéfiant ébranle la terre et déchire l’air de toute part, aussi brève que violente suit la pluie, le ciel et ses nuages ruissellent dans les caniveaux humides et quick ! Sous le soleil rayonne l’arc en ciel aux mille voûtes.

    Jour de 14 Juillet à Paris.

    CQFD

    Serviteur,

    JPB

  • Chasubles du Vietnam retrouvés dans un bon état

    Chasubles du Vietnam retrouvés dans un bon état

    Des chasubles retrouvées au Vietnam cela paraît insensé et pourtant ces objets du culte catholique ont été précieusement conservés à l’abri du temps. Malheureusement quelques petits problèmes se sont immiscés sans crier gare et ont fait quelques dégâts à nos précieuses reliques.

    Miracle, remercions les cieux d’avoir ces chasubles enfin avec nous dans un état ma foi très présentables

    @Asie et culture

    @Broc,objets, antiquités d’asie

  • HANGZHOU, ville touristique paradisiaque

    HANGZHOU, ville touristique paradisiaque

    HANGZHOU ( Conseils pratiques et bons plans pour votre voyage en Chine)

    HANGZHOU

    Hangzhou est reconnue en tant que ville touristique paradisiaque. Un proverbe chinois va jusqu’à dire : il y a le paradis au ciel, et sur terre il y a Suzhou et Hangzhou. Hangzhou est une ville dont l’histoire remonte à 2200 ans, et c’est aussi l’une des sept ancienne capitale de la Chine. Les alentours de Hangzhou proposent deux stations balnéaires de réputation nationale et de nombreux sites historiques, deux réserves naturelles nationales, cinq parcs nationaux de forêts comme celui du lac des mille îles et de nombreuses villes de provinces pittoresques. La plupart des sites comme le très touristique « Lac de l’Ouest », sont proches du centre ville. Cela met en lumière l’interaction entre l’homme et la nature qui existe à Hangzhou.

     “Géographie” : Hangzhou est la capitale de la province du Zhejiang et se trouve à l’extrémité sud du Grand Canal qui relie la ville de Pékin à Hangzhou. Elle est située à moins de 200km de Shanghai, au centre de la région du delta du fleuve Yangtze, une des six zones métropolitaines les plus importantes du monde.

     “Population” : Hangzhou a une superficie de 16 596 km² et sa population compte plus de 2 millions d’âmes pour la ville elle-même et près de 7 millions dans le canton.

     “Climat” : 
La ville compte quatre saisons distinctes grâce à son climat subtropical de mousson. Les températures moyennes annuelles sont de l’ordre de 16.2°C avec un minimum entre 1 et 7° en Janvier et un maximum pour le mois de Juin autour de 35°C. Les précipitations annuelles sont d’environ 1500 millimètres. Le printemps (de mars à mai) et l’automne (de septembre à novembre) sont les périodes les plus agréable pour le tourisme.

     “Transport” : L’aéroport principal de Hangzhou est l’aéroport international de Xiaoshan. Les aéroports de Shanghai (l’aéroport international de Pudong et l’aéroport de Honqiao) sont assez proches. Le bus de Shanghai à Hangzhou met environ 2 heures de trajet et les voyageurs peuvent également atteindre Hangzhou en train à partir de Shanghai en 1heure. De nombreuses lignes de bus permettent de se déplacer facilement dans Hangzhou. La ville s’est même illustrée avec son service de taxi Mercedes de luxe lancé en 2005. Un métro devrait voir le jour dans la ville mais pas avant fin 2008. De nombreuses lignes sont d’ailleurs prévues.


    SITES TOURISTIQUES

     Fei Lai Feng Selon la légende, un moine indien de haut rang, du nom de Hui Li arriva à Hangzhou. Il s’apercut que le paysage de cette montagne ressemblait beaucoup à une petite colline du pays du Bouddha, il crut alors que le maître
    fondateur du Bouddhisme, Sakyamuni, avait fait déplacer cette colline de L’Inde à Hangzhou. Il la nomma donc le pic de Fei Lai (arrivé en volant).


     La pagode des 6 harmonies Située au Sud de la ville de Hangzhou, dans la Province du Zhejiang, la pagode des 6 harmonies fait environ 60 mètres de haut, pour 13 étages à l’extérieur mais seulement sept à l’intérieur. Elle se dresse sur une colline qui se nomme « Colline au Croissant de Lune » et surplombe la rivière Qian Tang Jiang.


     La rue de Hefang La rue de Hefang est une rue d’architecture traditionnelle rénovée, où de nombreux stands d’objets artisanaux et de décoration se sont installés. La rue s’étend de la place Wushan jusqu’à la rue Zhonghe.


     La source des tigres qui courent Une légende raconte qu’en 819 aprés Jésus-Christ, un grand maître bouddhiste Xing Kong visita Hangzhou et s’y installa pour une courte période. Malheureusement pour lui, aucune source d’eau fraîche ne se trouvait à proximité de son lieu d’habitation. Il décida alors de quitter la ville.


     Le grand canal Le canal reliant Pékin à Hangzhou est connu sous le nom de Grand Canal et fut un des grands projets fluviaux de la Chine ancienne. Débutant au Sud à Hangzhou dans la province du Zhejiang il remonte vers le Nord traversant les provinces du Jiangsu, du Shandong, du Hebei, et Tianjin pour finalement se terminer dans le canton de Tongxian au Nord de Pékin.


     Le lac de l’Ouest A Hangzhou, le Lac de l’Ouest fait la fierté de ses habitants. C’est un lieu unique où les Hangzhounais ainsi que les touristes de Chine et du reste du monde viennent se promener au milieu de paysages magnifiques et dans une ambiance de romance et de plaisir.

    Le mausolée de Yue Fei était un grand général de la dynastie Song qui repoussa l’invasion des Jin du Nord pendant le 12ème siècle. Mais, trahi par deux hauts officiers impériaux, Qin Hui et Zhang Jun, le Général Yue Fei fut envoyé en prison. Avant son exécution il déclara : Le ciel sait ce que j’ai fait pour mon pays, et les preuves d’une telle injustice seront éclaircies dans le futur !.


     La société de sceaux de Xiling La société de sceaux de Xiling (lac de l’Ouest) fut fondée en 1904 par un maître de Hangzhou, spécialisé dans la réalisation de sceaux et de cachets. Le principe actuel de fabrication se veut en phase avec les méthodes passées. L’entreprise souhaite effectivement préserver les travaux des anciens et rechercher les techniques d’élaboration du sceau, de la calligraphie et de la peinture.


     Le musée du thé Fondé en 1991, le musée du thé de Chine, est le seul musée national en Chine qui traite du thème du thé. Les locaux de ce musée se situent dans le paradisiaque village du thé de Longjing, au coeur de la région touristique du lac de l’Ouest à Hangzhou.


    Le musée provincial du Zhejiang

    Le musée provincial du Zhejiang est, comme son nom l’indique, un musée régional. Situé au Sud de l’île de la colline solitaire, il fut construit en 1929 dans un style propre à l’architecture traditionnelle du Sud du Yangtze. En 1993, il fut rénové.


    Pour plus de renseignements pour vos prochaines virées en Chine : www.voyages-chine.com

  • Les bons conseil pour un voyage en Chine: Shanghaï

    Les bons conseil pour un voyage en Chine: Shanghaï

    SHANGHAI (Conseils et bons plans pour votre voyage en Chine)

    Shanghai est la ville de la vitalité et de la prospérité qui attire de plus en plus les yeux du monde. Centre économique de la Chine en partie grâce à son port, le plus grand du monde, la ville joue un véritable rôle de passerelle pour les étrangers qui veulent connaître et découvrir la Chine. Métropole où modernisme et tradition se côtoient dans un style propre à la culture chinoise, Shanghai offre de nombreuses facettes aux visiteurs qui souhaitent la découvrir. Ainsi non loin des magnifiques grattes-ciel du quartier du Bund et de la Tour TV de la Perle orientale vous pourrez contempler le Temple de Jade d’où s’élève la fumé des bâtons d’encens, les vieilles rues de la ville pleines de charme, de couleurs et d’odeurs, la cathédrale de Xujiahui et ses mélodies de psaumes, la rue de Nanjing bordée de magasins plus luxieux les uns que les autres et bien d’autres merveilles ici et là.

    Géographie : 
Shanghai se situe au centre de la côte est de la Chine sur les bords de l’océan pacifique dans la plaine fluviale de la rivière Yangze. La ville tire son nom d’une autre rivière nommée Shanghaipu, un bras du fleuve Wusong

    Superficie et population :
Shanghai s’étend sur 6340 kilomètres carrés pour une population de plus de 18,2 millions d’habitants. Compte tenu du rôle de plus en plus important de la ville dans l’économie mondiale, les sociétés du monde entier n’hésitent plus à s’y implanter d’où un nombre très élevé d’expatriés occidentaux.

    Transport :
L’aéroport de Pudong se situe à une quarantaine de kilomètres au Sud de Shanghai tandis que celui de Hongqiao est quasiment au coeur même de la ville. Il est très facile de se déplacer vers toutes les grandes de villes chinoises depuis Shanghai grâce aux différentes lignes de trains ou de bus et aux deux aéroports. 
En plus des taxis, des vélos et des différentes lignes de bus, la ville est également équipée de deux lignes de métro et d’une sorte de RER aérien.

    Climat : 
Shanghai a des étés chauds et pluvieux tandis que les hivers y sont froids et secs. Avec des températures moyennes oscillant entre 25 et 32°C, le mois de juillet est de fait le mois le plus chaud de l’année . A contrario, le mois de janvier y est le plus froid avec des températures, certes rarement négatives, mais ne dépassant pas les 8°C. Le niveau de précipitations annuelles peut s’élever jusqu’à 1100mm. Le mois de juin y est particulièrement humide tandis que décembre y est sec. L’été et l’automne peuvent être synonymes de typhons dans la région.

    LES SITES TOURISTIQUES

    La cathédrale de St Ignatius La cathédrale St Ignatius ou cathédrale Xujiahui est une cathédrale romane catholique vieille d’un siècle d’histoire. C’est la plus grande église catholique de Shanghai. Elle est située dans le quartier de Xujiahui, au Nord du stade de la ville.


    La tour Jin Mao est un symbole de l’architecture de Shanghai en route pour le
    XXIme siecle. C’est le plus haut immeuble du pays et le 5eme dans le monde, et abrite Hotel le plus haut place au monde.


    La tour de la perle orientale Surplombant de haut le quartier de Pudong. La tour TV de la perle orientale est devenue le point de repère de Shanghai. La tour, haute de 468 mètres, est la tour de télécommunication la plus élevée d’Asie et la troisième dans le monde, après celle de Toronto de 553,33 mètres et celle de Moscow de 533 mètres.


    Le musée de Shanghai Le musée de Shanghai fut établi en 1952 et déplacé 2 fois avant de trouver sa place actuelle définitive en 1996, au Sud de la Place du Peuple. Plus de 120 000 travaux artistiques rares et précieux, classés en 21 catégories, font de ce musée la plus importante institution culturelle de la ville.


    La rue de Nanjing La rue de Nanjing est l’une des rues commerciales et touristiques les plus importantes de Shanghai, qui s’etend du Bund a Yanan Xilu. C’est une excellente place pour decouvrir l’histoire et la culture de Shanghai.


    Le jardin de Yuyuan Le Jardin de Yuyuan est situé dans le centre du vieux Shanghai, non loin du Bund. Avec une surface d’environ 2 hectares, il y a plus de 40 choses à voir dans les jardins intérieurs et extérieurs, tous les deux construits dans un style classique Ming.


    Le temple des Bouddhas en jade Le temple des Bouddhas en jade est un temple en activité possèdant 70 moines, ces derniers vivant dans la dernière cour. Il fut construit entre 1911 et 1918 dans le style de la dynastie des Song, avec des halls et des cours intérieures symétriques, des auvents inversés et des murs jaunes safran.


    Le Palais des enfants Le Palais des Enfants est un endroit intéressant à visiter où vous pouvez admirer les superbes performances des enfants. C’est une sorte d’école privée où les enfants privilégiés viennent après l’école normale.


    Le village ancien de Qibao Situé à environ 18 kilomètres du centre de Shanghai, l’ancien village de Qibao est un sanctuaire spirituel, libre d’embouteillages, de pollution et de bruit qui sont les fléaux de la plupart des villes modernes où nous vivons.


    Le Bund Le Bund également appelé la Rue Zhongshan, est situé sur la rive ouest de la rivire Huangpu face la nouvelle zone de Pudong. Le Bund fut considéré comme le symbole de Shanghai pendant des centaines d’années, d’une longueur de près d’un kilomètre et demi est une destination touristique populaire. Le Bund est la partie culturelle de la ville qui représente le mieux le mélange des influences anciennes et modernes.

    Pour plus de renseignements www.voyages-chine.com

  • Le goût du thé, un cérémonial ancestral au Japon

    Le goût du thé, un cérémonial ancestral au Japon

    Carnet de voyage au Japon

     Carnets de voyage en Asie

    Dans de nombreux endroits au Japon, une tasse de thé vous sera offerte car, de sa forme la plus simple à sa forme la plus complexe et théorisée, un o-cha est avant tout symbole de convivialité et de partage. A votre arrivée dans un ryokan ou un minshuku, ou en visite chez quelqu’un, on vous apportera en tout premier lieu une tasse de thé accompagnée d’une friandise. Dans certains temples, vous pourrez prolonger l’état méditatif provoqué par la contemplation du jardin par la dégustation d’un matcha (thé en poudre utilisé pour la cérémonie du thé, et qui sera fouetté dans de l’eau chaude et non infusé) et d’une sucrerie. Ou encore, vous pourrez participer à l’une des initiations donnés aux visiteurs étrangers visant à leur permettre d’appréhender cette cérémonie.

    Cette boisson a été introduite au Japon vers le 8e siècle par les moines bouddhistes venus de Chine. Elle a d’abord été utilisée par ce clergé pour ses vertus stimulantes lors des longues méditations. Mais très rapidement, le thé japonais se démarqua du modèle chinois pour développer son goût unique à la délicieuse amertume. Le thé japonais traditionnel est un thé vert (c’est-à-dire non oxydé) classifié selon la période de récolte. Les meilleures feuilles réduiteen poudre sont utilisées sous le nom de matcha pour la cérémonie du thé. Le matcha le plus réputé est celui produit à Uji, au sud de Kyoto. Bien évidemment, il existe de nombreux « crus » de thés, en fonction du lieu de production, du domaine et de la récolte, dont la connaissance se révèle aussi pointue que l’œnologie.

    La cérémonie du thé, chanoyu (littéralement « l’eau chaude du thé ») ou sado (« voie du thé »), est la quintessence de la culture japonaise. C’est un moment où le meilleur de chaque chose est mis en œuvre : des invités de choix, un jour où la beauté de la nature environnante est à son apogée, une peinture ou une calligraphie décorant le mur choisie non seulement pour ses qualités artistiques mais aussi pour son adéquation au moment, une composition florale délicate, les plus beaux bols et, bien sûr, le meilleur thé réalisé avec les instruments les plus parfaits et les ingrédients (thé et eau) les plus subtils. Cette cérémonie se doit de respecter quatre principes essentiels : harmonie, respect, pureté et sérénité. Suivant ces principes, le beau est synonyme de simplicité et de naturalisme à travers des objets « bruts » ou des pavillons de thé dont le dépouillement et l’exiguïté étonnent souvent le visiteur.

    La cérémonie du thé a été formalisée par le grand maître Sen-no-Rikyu au 16e siècle, dont la vie et la fin tragique ont été romancées par Yasushi Inoue et portées à l’écran dans le film La mort d’un maître de thé. C’est à Kyoto que l’on pourra marcher sur ses pas en visitant le temple de Daitoku-ji, dont il était disciple et où se trouve sa tombe. Il en a également aménagé plusieurs pièces, ainsi que le jardin du temple Chishakuin. Au sud de Kyoto, dans la ville de Oyamazaki, se trouve dans le temple de Myokian le pavillon de thé construit par Sen-No-Rikyu, qui présente la quintessence de sa pensée. Ce pavillon est aujourd’hui classé Trésor national. Un autre grand maître de thé, Kobori Enshu, a quant à lui conçu plusieurs jardins à Kyoto, dont celui du parc du Palais impérial de Kyoto, du palais Sento, ou du temple Nanzenji. Mais « l’esprit du thé » se développe dans bien d’autres endroits, et vous pouvez notamment le retrouver dans les villes historiques comme Kamakura, près de Tokyo, ou Kanazawa, sur la mer du Japon.

    Mais revenons à des aspects beaucoup plus prosaïques. Dans tous les cas, que ce soit dans une cérémonie ou pour un simple bol de thé partagé avec votre hôte ou des amis, ne demandez ni sucre ni lait ni citron, vous seriez regardé comme un extra-terrestre. Souvent, un gâteau vous est offert avec le thé, parfois extrêmement sucré et relativement neutre en saveurs comme celui servi avec le matcha. Si vous le mangez avant de boire votre thé, il vous apportera un goût sucré en bouche qui annihilera l’amertume ressentie. D’autre part, les personnes sensibles doivent faire attention à ne pas consommer de thé vert en soirée, car sa très forte teneur en vitamine C peut avoir des effets sur le sommeil. Par contre, le hoji-cha (thé vert grillé, très peu astringent et très pauvre en théine) ou des infusions comme le mugi-cha (graines d’orge) ou le soba-cha (graines de sarrasin), souvent servis à la fin du repas, peuvent être consommés à volonté.

    Une expression souvent utilisée dans la cérémonie du thé, mais englobant plus largement toute dégustation de thé, est ichigo ichie, soit « une fois, une rencontre ». Elle signifie que chaque rencontre autour du thé est l’occasion d’éprouver quelque chose qui ne se reproduira peut-être plus jamais. Carpe diem dans un breuvage vert !

    Office de tourisme national japonais Ikuko NAGAO Adresse : 4, rue de Ventadour 75001 Paris FRANCE Tel (direct):0142962961

  • Proverbes chinois, philosophie chinoise et humour

    Proverbes chinois, philosophie chinoise et humour

    Perlenmuschel / Pixabay

    Proverbes Chinois drôles

    PROVERBES CHINOIS

    LE RIRE EST LE PROPRE DE L’HOMME, RIRE JAUNE, POURQUOI PAS !

    Proverbes Chinois drôles .

     Quand tu ne sais pas quoi dire, cite un proverbe chinois ( Proverbe Chinois)

     Lorsque le sexe de l’homme durcit, son cerveau ramollit ( Proverbe Chinois)

     Il ne sert à rien de courir quand il pleut car il pleut toujours devant soi. ( Proverbe Chinois ?)

     Tout ce qui vole se mange, sauf les avions ! ( Proverbe Chinois actuel !)

     Si tu te tapes la tête contre un vase et que ça sonne le creux, n’en déduis pas que c’est le vase qui est vide…( Proverbe Chinois)

     Avant de parler de la brindille qu’il y a dans l’oeil de ton voisin, occupes toi la poutre qui est dans le tien. ( Proverbe Chinois ?)

     Si tu fais pipi le vent dans le dos et que tu mouilles tes chaussures, c’est surement pas que tes les pieds sont trop longs.

    Proverbes chinois, humour d’Asie


    Funny Chinese Proverbs

    CHINESE PROVERBS

    LAUGHTER IS THE OWN OF MAN, YELLOW LAUGH, WHY NOT!

    Chinese funny proverbs.

    When you do not know what to say, quote a Chinese proverb (Chinese Proverb)

    When the sex of the man hardens, his brain softens (Chinese Proverb)

    It is useless to run when it rains because it is always raining in front of you. ( Chinese proverb ?)

    Everything that flies is eaten, except the planes! (Current Chinese Proverb!)

    If you clench your head against a vase and it sounds the hollow, do not deduce that it is the vase that is empty … (Chinese Proverb)

    Before speaking of the twig that is in the eye of your neighbor, occupy yourself the beam that is in yours. ( Chinese proverb ?)

    If you pee the wind in the back and wet your shoes, it’s not that your feet are too long.

    Chinese Proverbs

  • Anaïd DOSSIKIAN, peintre laqueuse,  atelier hebdomadaire

    Anaïd DOSSIKIAN, peintre laqueuse, atelier hebdomadaire

    LAQUE VEGETALE VIETNAMIENNE- DECOUVERTE ET PRATIQUE- Du VENDREDI 24 FEVRIER au VENDREDI 30 JUIN 2017 – Espace Silvia Monfort

    By | mars 21, 2017
    1le-parfum-de-lete-160x240-tranhuyquangAvec Anaïd DOSSIKIAN, peintre laqueuse, l’Association d’Amitié Franco-Vietnamienne vous propose un atelier hebdomadaire de tableaux de laque poncée sur bois. Les débutants pourront découvrir cet art asiatique traditionnel avec les différentes techniques d’incrustation de couleurs simples, de coquille d’œuf, de feuilles d’or ou d’argent. Les personnes déjà initiées pourront pratiquer et consolider leur savoir-faire. Il est prévu de réaliser deux tableaux de 30x30cm ou 30x40cm.

    Inscription avec tout le matériel fourni : 280 €.

    du VENDREDI 24 FEVRIER au VENDREDI 30 JUIN 2017 , de 15h à 18h

    Renseignements et Inscriptions : Jeanne GOFFINET jeanneyv@yahoo.com / T : 06 47 11 16 72

    Espace Silvia Monfort

    2 bis, rue Elzévir 75003 Paris

    Salle Bleue                             

    Métro : Saint Paul ou Chemin Vert

  • Vy Vân, pour la 1ère fois en France à St-Thibault des Vignes (77)

    Vy Vân, pour la 1ère fois en France à St-Thibault des Vignes (77)

    Dimanche 2 avril 2017 concert avec la chanteuse Vy Vân pour la 1ère fois en France près de Paris à St-Thibault des Vignes (77) avec des artistes d’origine vietnamienne de France. Parking gratuit.

    By | mars 16, 2017

    IMG_0111 afficheLes principales informations utiles concernant le concert de  Vy Vân figurent sur l’affiche jointe.

    Aux dernières nouvelles, mi-mars, il restait encore des places et quelques tables.

    ll est recommandé de réserver vite par téléphone au 06 18 04 13 88 ou par e-mail : alain.buis1961@gmail.com

    Tarif : 35 euros (réservation) ; 40 euros (sur place)

    Ce spectacle unique avec concert et très belle piste de danse au milieu d’une salle d’environ 200 places est organisé par Alain BUIS, Adjoint au Maire de St-Thibault des Vignes délégué à la Culture, sous l’égide de l’association ‘L’Institut du Fleuve’.

    Tout le bénéfice de cet événement sera versé à un projet de construction d’une école pour un village de la minorité ethnique Ba Na à Pleiku (ville de la région des Hauts plateaux du centre du Vietnam).

    Quelques informations à propos de la chanteuse Vy Vân et des autres artistes :

     

    – Vy Vân est une chanteuse très connue dans les années 70 à Saigon (au même titre que Khanh Ha et Tuan Ngoc) ;  elle faisait partie d’un trio appelé « The apple 3 » (ba trai tao). Elle vit aux Etats-Unis d’Amérique (USA) depuis 1975 et n’est à ce jour jamais venue chanter en France.

    Elle est seulement venue chanter une fois en Allemagne il y a quelques années.

    Vy Vân peut chanter en vietnamien, en anglais et aussi en français (avec le tube « Chuyen phim buon » ou « Quand le film est triste » de Sylvie Vartan).

    – Alain Buis a réussi à la faire venir pour la 1ère fois en France, à St-Thibault des Vignes, tout en proposant un tarif raisonnable, car il a pu obtenir la gratuité de la salle.

    – Les autres chanteurs de l’affiche sont de Paris ; parmi eux, la chanteuse Le Thu est très connue des clubs ; d’autres artistes viendront chanter par amitié sans être sur l’affiche.

    – L’orchestre est composé d’anciens musiciens de Vy Vân de l’époque où elle chantait à Saigon ; d’après Alain Buis, ils sont parmi les meilleurs de France.

    – Le saxophoniste Tran Vinh est aussi très connu au Vietnam.

    – Et Alain Buis espère la venue d’une autre vedette qui serait une surprise de taille.

    Plus d’informations

    – Accès :

    St-Thibault des Vignes est à 3 km de Lognes et juste à côté de Torcy ;  la gare de Torcy est à 1,5 km.

    Le parking est gratuit.

    – Autres annonces de ce spectacle :

    OpenMag

    Saint Thibault des Vignes

     

    Une erreur est à corriger dans l’annonce du spectacle sous l’affiche où il est écrit Ne manquez pas le dîner-spectacle’ alors qu’il ne s’agit pas d’un dîner (le spectacle a lieu l’après-midi)

    MCFV Mouvement des Citoyens Français d’Origine Vietnamienne

  • Auteur et aventurier: Christophe Delachat

    Auteur et aventurier: Christophe Delachat

    Christophe Delachat, Népémakö (ed Theles)

    Parcours de l’auteur et aventurier Christophe Delachat

    Christophe Delachat a écrit Népémakö, vingt ans après avoir découvert le Zanskar un hiver en 1988, dans des conditions extrêmes.

    Ce roman raconte l’histoire d’un voyage inachevé dont il a imaginé la suite. Inachevé, car il à fallu rentrer avant que le fleuve ne dégèle sous peine de rester au pays six mois car faute d’accès, le Zanskar est un état isolé du monde pendant les huit mois d’hiver. Ce voyage, l’a transformé et depuis, chaque hiver le transporte auprès de ses amis sherpas, les Mayallas du Tchadar.

    Ensuite, son métier de guide de haute montagne, l’a poussé à la découverte d’autres populations de montagne à travers le monde. Il est devenu caméraman de l’extrême pour l’émission Montagne de France 3. Cette collaboration dura dix années : Ushuaïa et Okavango, Zone interdite avec Toni Comiti, (France télévisions) les JO d’Albertville, d’Athènes et toutes les télévisions internationales pour tourner des reportages au Mont blanc que Christophe Delachat a gravi plus de 250 fois.

    Il a franchi le Cap Horn à bord du voilier Balthazar puis a exploré la Terre de Feu comme un trappeur et fit plusieurs courses jusqu’à 6000 mètres dans la cordillère des Andes, dans le Ruwenzori en Afrique, le Groenland, l’Everest et l’Annapurna sans atteindre le sommet.

    « La montagne m’a tout appris, elle est toujours mon école de la vie car j’ai quitté l’autre à 16 ans par soif d’aventure. Je suis un vrai autodidacte avec les embûches que cela représente jusqu’au jour où j’ai pu prouver au système que cette école là fonctionne également. Voilà pourquoi j’ai créé le personnage de Louis Galion qui va traverser les sept continents pour plaider la cause des populations opprimées dont l’environnement naturel est menacé. »

    Christophe Delachat a dans un même esprit créé l’association des Héritiers du Mont Blanc pour préserver l’identité culturelle des populations de montagne. Il a réalisé trois films dont le premier, Les Héritiers du Mont Blanc retrace la vie des guides de la compagnie de Saint Gervais de 1760 à nos jours. Le deuxième, Les Caravanes de l’Ombre montre le travail des bénévoles de la société de secours en montagne du Mont Blanc et enfin le troisième opus de la trilogie du Mont Blanc, Sur les Traces de Charles Hudson retrace l’itinéraire de la voie Royale au Mont Blanc que Charles Hudson a ouverte en 1855. Ces trois films DVD sont disponibles et l’association des Héritiers du Mont Blanc les commercialise pour réinvestir dans d’autres projets. Christophe Delachat prépare les prochaines aventures de Louis Galion au Pérou.

    NÉPÉMAKO ( Edition Theles)

    Népémakö est le Royaume des Ombres Tibétaines. L’Eden tibétain est une terre promise aux cœurs purs pour se réfugier à l’abri des menaces de l’envahisseur. Louis Galion choisit l’hiver himalayen pour remonter le fleuve gelé du Zanskar, frontière entre l’Inde et le Tibet. Première épreuve pour cet aventurier néophyte qui veut rejoindre le monastère de Phuktal, à la recherche d’une source sacrée fort convoitée. Un moine-médecin tibétain et un aventurier valdôtain vont se joindre à lui pour sauver la source des sept cristaux de l’arc-en-ciel dont les vertus miraculeuses sont le garant de l’écosystème de la Terre face à la folie des hommes.

    Christophe Delachat est né à Saint-Gervais. Guide de haute montagne, il parcourt les plus hauts sommets du globe. Après un grave accident, il s’oriente vers le reportage. Caméraman de l’extrême puis réalisateur, il collabore pour Ushuaïa, le magazine Montagne, Zone interdite… Son dernier film, Les Héritiers du Mont Blanc, a remporté l’adhésion du public.

    Illustration de couverture, Abeleisa.

    Si vous souhaitez joindre l’auteur qui réside à Saint-Gervais 06 80 02 75 24, ou crisdelachat@orange.fr

    Martine Cartaux, attachée de presse, 01 40 20 98 44, martine.cartaux@theles.fr