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  • Photos prises sur le vif d’enfants chinois aux yeux bridés

    Photos prises sur le vif d’enfants chinois aux yeux bridés

    Carnets de voyage en Asie, enfants d’Asie/Enfants chinois aux yeux bridés

    Carnets de voyage en asie

    Enfants chinois aux yeux bridés.

    Faut sourire un p’tit peu !


     Mal coiffé moi ? J’viens just’ d’enlever mon casque de vélo !


     Papa j’ai pas soif.


     Tu veux ma photo ?


     Je ne suis pas timide pour un Enfants chinois !


     Moi je suis très timide.


     Maman c’est moi qui doit poser !


     Papa bouge de là !


     Maman est fière comme un bar tabac.


     Je me suis faite belle pour l’occaz…


    Contact email

    ©Reportages d’asie et asie reportages


    Children with the attached eyes.

    - Is necessary to smile unp’ tit little !


    - Badly capped me ? I just’ have just removed my helmet of bicycle !


    - Dad I am not thirsty.


    - You want my photograph ?


    - I am not timid !


    - Me I am very timid.


    - Mom it is me which must pose !


    - Dad moves from there !


    - Mom is proud like a bar tobacco.


    - I was done beautiful for the occaz…

  • Echange culturel franco- chinois avec des enfants

    Echange culturel franco- chinois avec des enfants

    Une journée particulière pour un échange culturel franco- chinois

    Une journée particulière

    Ils arrivent, ils sont là dans les cars qui vrombissent comme des chevaux intrépides. Depuis plus de 3 mois, les enfants du centre de loisirs attendent et préparent cette journée très spéciale qui les transportera pour quelques heures dans un autre univers plein de rires, de couleurs, de chants, de danses, de musique et de dépaysement.

    Ils ont décoré la grande salle afin d’accueillir ces invités de choix qui viennent de si loin, 10 000 kms, pour les rencontrer. Des dessins de bienvenue, des tours Eiffel scintillantes seront des cadeaux appréciés par nos lointains convives. Un échange culturel franco- chinois hors du commun, voilà pourquoi tous sont si excités par cette rencontre.

    Quand la portière brusquement s’ouvre, l’excitation et l’effervescence font soudain place à un silence religieux.

    Le sourire aux lèvres, une quarantaine d’enfants chinois descendent du car, comme happés par la foule, ils sont incroyables, fiers de venir en France peut- être pour la première fois depuis des générations. Des petits yeux bridés et malicieux balaient l’auditoire subjugué par cette apparition tant espérée.

    Après quelques minutes d’observation, bientôt tous les enfants Chinois et Français jouent ensemble, se chamaillent comme si la langue n’était plus une frontière infranchissable. Les rires fusent, les groupes se forment dans la cour de récréation, tout paraît normal. Bientôt dans le réfectoire, tous s’attablent pour un repas amélioré. De l’eau tiède pour nos amis chinois a été prévue car il leur est impossible de boire glacé ou simplement froid. Ils hésitent un instant devant des plats inconnus et la curiosité restant toutefois la plus forte, ils s’emparent de ces ustensiles si étranges, fourchettes et couteaux, et dégustent ces plats si exotiques. Les petits artistes chinois enfin rassasiés sont fin prêts pour présenter leur show.

    Ils se maquillent, se parent de leurs habits chatoyants et se chauffent afin de présenter leur spectacle. Une fois sur scène ces enfants se transforment immédiatement en vrais professionnels et nous assènent un spectacle époustouflant. Comment pouvions nous imaginer que des enfants puissent atteindre ce degré de technicité et cette maîtrise de leur art. Ils sont incroyables, ils savent tout faire, chanter, danser, jouer la comédie, jongler, faire des acrobaties… Un show à la chinoise qui nous laisse tous pantois et dubitatifs. Encore sous le choc, les spectateurs, adultes et enfants laissent soudain éclater leur joie en faisant une « standing ovation » interminable et empreinte d’émotion.

    Leur route ne s’arrête pas ici car ces enfants artistes, vont faire le tour de l’Europe et offrir gratuitement des spectacles dans les plus grandes villes d’Europe. La séparation reste un moment difficile et des larmes vont couler sur les joues des petits Français et des petits Chinois.

    Une journée a suffi pour faire naître des amitiés et une vraie complicité . Certains enfants ont promis de s’écrire et d’autres de venir un jour revoir leurs petits amis dans l’empire du milieu. Des souvenirs indélébiles vont rester gravés dans les mémoires.

    Un échange culturel franco- chinois entre enfants est une rencontre toujours magique, qui a pu se réaliser grâce à une « osmose » inexplicable dont la barrière des langues n’a jamais été une frontière.

    Comme l’on pourrait dire en PNL (Programmation Neuro- Linguistique): « on ne peut pas ne pas communiquer ».

    ©Reportages d’Asie et Asie reportages

  • Ce qui reste quand nous avons tout oublié de nos racines

    Ce qui reste quand nous avons tout oublié de nos racines

    La reconnaissance du ventre

    La reconnaissance du ventre ou ce qui reste quand nous avons tout oublié de nos racines

    A la mort de mon père nous ne savions rien de nos racines, sinon des bribes de souvenirs épars qui s’amoncelaient comme un édifice instable et bourré de mal-façons. Rêves ou fantasmes d’immigrés des années 50 où poussés par un instinct de survie ; ces premiers vietnamiens s’installèrent en France laissant derrière eux un magnifique pays prêt à se détruire, et déjà déchiré par des guerres fratricides et inutiles.

    Je suis effectivement né dans les années cinquante et mes parents ont oublié, par désir d’intégration ou par peur viscérale, de nous parler de ces racines qui donnent à chacun de nous une vraie identité.


    Nous avions dans la famille, autant les filles que les garçons une envie de nous éloigner de cette histoire qui semblait ne pas être la nôtre. Ainsi oublier notre langue maternelle en quelques mois, apprendre le français à la vitesse de l’éclair, devenir le premier en « rédaction, en français », avoir des prénoms français …Se marier avec un(e) asiatique semblait improbable et peut être même impossible. Nous étions nous devenu des extrémistes par désir de nous fondre dans la masse ou simplement pour oublier que nous étions jaunes, oublier d’où l’on venait, nos racines si lointaines ?!!!Cette quête de la totale intégration s’imposait à nous comme normale et nous trouvions même les femmes asiatiques ni attirantes, ni sexy…Le rouleau compresseur avait bien fait son office , il avait réussi à nous transformer, à nous métamorphoser en « plus royalistes que le roi ».


    La seule chose qui nous collait à la peau, qui s’acharnait à nous poursuivre jusqu’au plus profond de notre être comme un chasseur de prime opiniâtre était la « nourriture ». Les odeurs de curry, les nems au parfum délicieux, le canard au gingembre, les fruits exotiques aux senteurs enivrantes …toute cette culture culinaire ne voulait pas nous quitter, elle accompagnait notre vie avec joie et nous rappelait sans cesse que quelque chose en nous résistait à l’assaut du temps. Quand la culture disparaît restent ancrés les goûts, les odeurs et la délicate impression de bien-être que nous procure un bon plat. Demain je pars à la reconquête de mon autre chez moi !

  • Histoire vraie,nuits de de Mah-Jong et repas exotique

    Histoire vraie,nuits de de Mah-Jong et repas exotique

    Nuits de de Mah-Jong

    Nuits de de Mah-Jong et repas exotique…
    Papa passait des nuits entières à jouer au Mah-jong et aux 4 cartes de couleur dans la torpeur de cette époque coloniale si souvent décriée mais qui reste pour moi un moment de joie et de douceur. Pour nous la vie était facile, du personnel attachée à la famille, une vaste maison, des rivières gorgées de vie et une maman particulièrement attentionnée . Les hommes aimaient se retrouver entre eux à boire de la bière au rythme de mises parfois phénoménales, des millions de « piastres » passaient de main en main.

    Souvent vers 23h une petite faim venait titiller ces joueurs invétérés ; papa, illico presto, faisait venir un petit « boy » et lui demandait de préparer un plat afin d’assouvir leur appétit nocturne. Ce dernier se pressait de choisir dans le grand poulailler de la maison, des poulettes dodues et tendres, de les abattre afin de préparer un délicieux plat accompagné d’une soupe de riz aux herbes exotiques (recette dans la rubrique je cuisine facile). Quelquefois des écrevisses de la rivière faisaient les frais de cette petite fringale.

    Tout se trouvait à proximité, tous les produits étaient de qualité et pas besoin d’aller au super marché; il fallait juste se baisser et jouer au Mah-Jong… Les temps ont changé et moi aujourd’hui je suis une mamie qui prépare parfois à ses petits enfants un plat surgelé. Le monde a changé et moi aussi je me suis mise au « goût du jour ».

    Une grand-mère vietnamienne


    Mah-Jong Nights
    
    
    
    Mah-Jong nights and exotic meals ...
     Papa spent nights playing Mahjong and the four colored cards in the torpor of that colonial period so often decried but which remains for me a moment of joy and sweetness. For us life was easy, family-minded staff, a large house, rivers full of life and a particularly thoughtful mom. The men liked to meet each other to drink beer to the rhythm of sometimes phenomenal bets, millions of "piastres" passed from hand to hand.
    
    Often around 11 pm a little hunger came to titillate these players inveterate; Dad, illico presto, brought a little "boy" and asked him to prepare a dish in order to satisfy their nocturnal appetite. The latter was in a hurry to choose from the large henhouse of the house, plump and tender chickens, to cut them down in order to prepare a delicious dish accompanied by a soup of rice with exotic herbs (recipe in the heading easy cooking). Sometimes crayfish of the river were the expense of this little craving.
    
    Everything was nearby, all the products were quality and no need to go to the supermarket; You just had to bend down and play the Mah-Jong ... The times have changed and I am today a grandma who sometimes prepares a frozen dish for her grandchildren. The world has changed and I have also got into the "taste of the day".
    
    A Vietnamese grandmother
  • Shanghaï contre Pékin, la guerre des radins (sud et nord)

    Shanghaï contre Pékin, la guerre des radins (sud et nord)

    Tout les oppose, nord et sud, Pékin et Shanghaï

    Nord/ Sud


    Les provinciaux trouvent que les Parisiens sont trop superficiels , ces derniers n’ont cure de tels paysans , les niçois n’aiment pas la froideur des nordistes qui eux dédaignent la chaleur suspecte des sudistes.

    Dans le brouhaha de la gare Montparnasse j’étais ce jour là en pleine discussion avec une amie chinoise de Pékin; elle trouvait les shanghaïens trop radins, près de leurs sous. Pour les pékinois, m’expliquait elle, être invité par un habitant du sud, en particulier ceux de Shanghaï signifiait rester sur sa « faim » et repartir avec l’estomac vide. Les plats sont présentés dans de minuscules assiettes, et pour ne pas paraître impoli, là c’est le comble, il faut en laisser. Pour les chinois la convivialité passe par un bon repas copieux et un repas ultra léger est très mauvais signe. Pour les pékinois les shanghaïens sont avares et ces derniers pensent que les nordistes ne sont pas très malins ; le principe même du ying et du yang mais qui est le ying et qui est le yang ? Aujourd’hui encore la guerre des « a- priori » fait rage et que l’on soit de Pékin ou de Shanghaï c’est toujours l’autre le fautif.

    congerdesign / Pixabay

    Il faut quand même ajouter que le repas copieux est un signe, pour tous les chinois, de la convivialité et doit- être sans faille. Radin pour un chinois c’est juste ne pas manger sufisamment à sa faim lors d’une invitation, d’une réception…

    Selon Aiming (Chinoise)

    All the opposites, north and south, Beijing and Shanghai
    
    
    
    North South
    
    
    The provinces and territories are the most popular, the last sustainable steps of these peasants, the Niçois are not the coldness of the northerners who are dedicated to the suspicious heat of the Southerners.
    
    In the hubbub of the Montparnasse station, I was in the middle of a discussion with a Chinese friend from Peking; She found the shanghaiers too sharp, close to their pennies. For the Pekingese, she explained, being invited by a resident of the south, especially those from Shanghai meant staying on her "hunger" and leaving with an empty stomach. The dishes are presented in the tiny plates, and not to appear impolite, there it is the height, it must leave. For the Chinese the conviviality goes through a good hearty meal and an ultra light meal is very bad sign. For the Pekinese, the Shanghai people are miserly and the latter think that the northerners are not very smart; The very principle of ying and yang plus which is ying and which is the yang? Even today the war of the "a-priori" rages and the other of Peking or Shanghai is always the other the fault.
    
    It is necessary to add the hearty meal is a sign, for all Chinese, of the friendliness and must be flawless. Radin for a Chinese is just not eating enough to please an invitation, a reception ...
    
    According to Aiming (Chinese)
  • ASSOCIATION, SOURIRES SANS FRONTIÈRES

    ASSOCIATION, SOURIRES SANS FRONTIÈRES

    SOURIRES SANS FRONTIÈRES

    BUT DE NOTRE ASSOCIATION

     A travers notre joyeuse équipe française de clowns et magiciens professionnels, Sourires Sans Frontières a pour objet d’offrir des spectacles et des animations gratuites à l’étranger et en France pour les enfants et les adultes au quotidien difficile (hôpitaux, orphelinats, prisons, maisons de retraite 4ème âge…).

    Dans le cadre de cette association, les artistes représentent également le relais artistique de la France à l’étranger.

     Cette association est à but non lucratif et est régie par la loi du 1er juillet 1901. Les statuts ont été déposés à la Sous Préfecture de Mantes-La-Jolie (Yvelines) en date du 8 mars 2005

    HISTORIQUE
    Deux éléments se conjuguèrent pour qu’émerge le concept de l’association : les spectacles donnés dans des hôpitaux de la région parisienne et quelques voyages en Extrême-Orient. Nous avons alors mûri la réflexion et l’association fut créée en janvier 2005.
    Nous avons rapidement exporté nos prestations artistiques en donnant des représentations à titre gracieux à Nha Trang et à Hanoi.

    Quelles émotions ! La joie des enfants durant les représentations données à Nha Trang puis à Hanoi nous a vraiment récompensés de ce travail d’organisation. Et, depuis, nous avons compris que notre vie avait un vrai sens !

     Nos expériences passionnantes et enrichissantes.

    FRANCE :
    Spectacles dans les hôpitaux de Paris (Robert Debré, Necker, Institut Gustave Roussy…)
    Spectacles pour les associations d’aide aux enfants handicapés (Ramdam, La Passeraile, Handicap International, Frères des Pauvres, Lion’s club…)

    CHINE :
    Interventions pour les enfants en Chine en 2000, 2002, 2004 et 2005, 2006, 2007 (Pékin, Shanghaï, Whu An, I Chang, Ping Yao…).

    VIETNAM : Spectacles pour les enfants à Saïgon, Hanoï, Na Trang…

    Nos spectacles sont interactifs et internationaux, nous sommes prêts à nous produire bénévolement dans tous les pays du monde.

    COMMENT NOUS AIDER ?
    en nous trouvant des commodités de déplacement international (quelques billets d’avion pour le Vietnam, par exemple), comme les hébergements sur place ou les transports locaux (scooters, voiture…). Ou, bien sûr, une donation dans ce sens à Sourires Sans Frontières. Et si vous avez aussi d’autres idées…

    – Des clowns s’en vont créer de la joie hors de nos frontières en ne comptant pas sur d’éventuelles aides. Ils organisent, prévoient, créent et exécutent eux même les pretations. Mais comme l’argent est le nerf de la guerre, ils ne refuseront pas une aide (billets d’avions, accueil ou …). Merci pour eux !
    Contact email

     NOUS CONTACTER :

    Elisabeth- Elisabeth Martin de Kernevel 06 62 63 15 10/ 06 62 01 151 11/ Le site 

     

  • Vietnam ou le lavage de cerveaux pour oublier sa culture

    Vietnam ou le lavage de cerveaux pour oublier sa culture

    Des goûts et des couleurs, oublier ses origines !

    Je suis quarteron, 25% Français et 75% Vietnamien. Me marier avec une asiatique fut pendant très longtemps une chose impensable, du domaine de la fiction pure. Je ne remarquais jamais les femmes asiatiques et de surcroît, je les trouvais sans charme, transparentes et presque invisibles. Ma sœur, de 15 ans mon aînée, ne sortait qu’avec des Européens de pure souche et ne s’attardait jamais à côtoyer de près ou de loin les mâles asiatiques, elle les ignorait d’ailleurs totalement.

    Lors d’un festival en Chine dans le cadre des manifestations musicales fortuites, je fis la connaissance d’artistes vietnamiennes. Je me rendis compte qu’elles étaient fort charmantes et il émanait d’elles comme une délicatesse surannée qui m’avait jusqu’alors échappée.

    Quelques années plus tard mes pas me conduisirent au Vietnam. Aussitôt je fus subjugué par le port majestueux de ces vietnamiennes si féminines dans leurs habits traditionnels les « Ao aï ». Sublimées par leurs longues chevelures pleines et brillantes, elles déambulaient souriantes et insouciantes dans le fracas de la ville tentaculaire.

    Photos du Vietnam parT. Beyne Find more beautiful photographs on its site

    Un mur infranchissable avait été dressé, une cécité culturelle s’était installée, un lavage de cerveau avait été programmé dans le seul but d’occulter ces visages si familiers aux traits délicats où perçaient des yeux noirs pleins de malice.

    Que de temps perdu à vouloir oublier l’inoubliable, à repousser l’inévitable, aujourd’hui, enfin, j’ai recouvré la vue !

    Un internaute


    Tastes and colors!

    Tastes and colors.

    I am a quarteron, 25% French and 75% Vietnamese. To marry an Asian woman was for a very long time an unthinkable thing, from the realm of pure fiction. I never noticed the Asian women and, moreover, I found them without charm, transparent and almost invisible. My 15-year-old sister, my sister, only went out with Europeans of pure stock and never lingered close to or far from the Asian males, she was totally ignorant of them.

    During a festival in China in the framework of the fortuitous musical events, I made the acquaintance of Vietnamese artists. I realized that they were very charming and emanated from them like an outdated delicacy that had until then escaped me.

    A few years later my footsteps led me to Vietnam. Immediately I was subjugated by the majestic port of these Vietnamese women so in their traditional clothes the « Ao aï ». Sublimated by their long, full, brilliant hair, they walked about smiling and carefree in the din of the sprawling city.

    Pictures T. Beyne Find more beautiful photographs on its site

    An insurmountable wall had been erected, cultural blindness had arisen, a brainwashing had been scheduled with the sole purpose of obscuring those familiar faces with delicate features pierced by black eyes full of malice.

    How much time lost to forget the unforgettable, to repel the inevitable, today, at last, I recovered the sight!

    An Internet user

  • Les Proverbes chinois, des proverbes drôles et philosophiques

    Les Proverbes chinois, des proverbes drôles et philosophiques

    Proverbes chinois sont pleins d’humour

     « La mémoire peut contrefaire l’esprit, mais non le suppléer Proverbe chinois

     « Mille souvenirs ne donnent pas une pensée  » Proverbe chinois

     Si vous ne voulez pas qu’on le sache, mieux vaut encore ne pas le faire.Proverbe chinois

     Hier, aujourd’hui, demain sont les trois jours de l’homme. ( Proverbe chinois)

     Quand un homme est fou d’une femme, il n’y a qu’elle qui puisse guérir sa folie. ( Proverbe chinois)

     On peut- être intelligent toute sa vie et stupide en un instant. ( Proverbe chinois)

     La loi est sage mais les hommes ne le sont pas. ( Proverbe chinois)

    Et encore d’autres Proverbes chinois 

     Un frère est un ami qui nous a été donné par la nature. ( Proverbe chinois)

     Un fils qui fait verser des larmes à sa mère peut seul les essuyer. ( Proverbe chinois)

     La fortune est pour la vie ce que la rosée est pour l’herbe. ( Proverbe chinois)

     Le chemin du devoir est toujours proche mais l’homme le cherche loin de lui. ( Proverbe chinois)

     Gouverne toi bien pour gouverner autrui. ( Proverbe chinois)

     Laisse toujours une place à l’erreur. ( Proverbe chinois)

     Le malheur ne rentre guère que par la porte qu’on lui a ouverte. ( Proverbe chinois)

     Le monde est une mer et notre cœur un rivage. ( Proverbe chinois)

     Est sage celui qui connaît les autres. ( Proverbe chinois)

     Connaître son ignorance est la meilleure part de la connaissance. ( Proverbe chinois)

    Et encore des proverbes chinois

     L’homme prédestiné au bonheur n’a pas besoin de se hâter d’être heureux. ( Proverbe chinois)

     Les cœurs les plus proches ne sont pas ceux qui se touchent. ( Proverbe chinois)

     Etre homme est facile, être un homme est difficile. ( Proverbe chinois)

     Celui qui pose une question est bête 5 minutes celui qui n’en pose pas l’est toute sa vie. ( Proverbe chinois)

     Ne craignez pas d’être lent, craignez seulement d’être à l’arrêt. ( Proverbe chinois)

     La porte la mieux fermée est celle que l’on peut laisser ouverte. ( Proverbe chinois)

     Mieux vaut les critiques d’un seul, que l’assentiment de mille. ( Proverbe chinois)

     L’eau renversée est difficile à rattraper. ( Proverbe chinois)

     Point n’est besoin d’élever la voix quand on a raison. ( Proverbe chinois)

     Il est plus facile de déplacer un fleuve que de changer son caractère. ( Proverbe chinois)

     Une méthode fixe n’est pas une méthode. ( Proverbe chinois)

     Un ami est une route, un ennemi un mur. ( Proverbe chinois)

  • Pékin et le salon de l’automobile, voitures chinoises (humour)

    Pékin et le salon de l’automobile, voitures chinoises (humour)

    Salon auto de pékin, la face cachée !

    LE RIRE EST LE PROPRE DE L’HOMME, RIRE JAUNE, POURQUOI PAS !

    Le salon de l’auto de Pékin, Le salon de l’auto de Pékin aux calandres bridées

    Votre site préféré, OpenMag, n’hésite pas à vous faire découvrir tous les mystères cachés de l’empire du milieu. Nous avons mis tous nos moyens techniques, des photographes embusqués, oui des paparazzis, des motos de poursuite, de l’argent en veux tu en voilà, pour vous présenter en exclusivité, les dernières nouveautés de nos amis asiatiques.

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    C’ EST DE L’HUMOUR CAR LES VOITURES CHINOISE SONT AUJOURD’HUI DE TRES BELLE QUALITE


    Car show of beijing, the face hidden!

    LAUGHTER IS THE OWN OF MAN, YELLOW LAUGH, WHY NOT!

    The Beijing Auto Show, The Beijing Auto Show with Flanged Calenders

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    So good visit!

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    Without cigarette lighter, without ashtray

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    Can hold another 300 000 kms or meters

    IT IS OF HUMOR AS CHINESE CARS ARE TODAY OF VERY NICE QUALITY

  • Bali, source d’inspiration ou le plaisir de peindre

    Bali, source d’inspiration ou le plaisir de peindre

    Carnets de voyage en asie, Bali où j’ai découvert le plaisir de peindre.

    Carnets de voyage en Asie (Bali)

    J’ai choisi BALI pour me lancer dans mon premier voyage solo. J’en rêvais depuis 10 ans mais j’ai mis du temps à me lancer. En voyage on trouve souvent des choses inattendues et on se découvre aussi.

    C’est une école de la vie, la meilleure pour moi. A Bali voyageant seule, j’avais envie de pratiquer une activité pour me servir de repère et toujours apprendre mais je ne savais pas quoi..Tout était possible cours de surf, massage, cours d’indonésien, cours de civilisation, yoga, batik, danse, trek, peinture, sculpture , confection d’offrande….

    J’ai eu le coup de foudre pour Ubud, la capitale culturelle de Bali. C’est l’endroit que je reverrai et m’y vois bien y vivre. Je m’y suis sentie tellement bien que je pouvais me lancer dans une activité prenante au niveau des neurones. J’aime pas dessiner mais j’ai toujours été attirée par les couleurs et la peinture. J’ai donc essayé la peinture et j’ai fait une grande découverte ! J’ai pris 15 jours de cours à raison de 2h par jour. J’ai eu beaucoup de mal au début, j’ai failli abandonner. J’avais l’impression de passer des examens.

    Les deux premiers tableaux, « natures mortes » imposées, ont été très durs à réaliser. A partir du 3e tableau, j ai décidé moi-même du sujet et je n’ai plus eu de complexe. J’étais lancée. J’ai retrouvé la spontanéité de tout enfant de maternelle ! Quelle joie de peindre, quel fun, d interpréter la beauté de ce qui nous entoure et nous touche. Et quelle liberté ! c est comme en voyage solo, on fait ce que l’on veut.

    Et Bali est un écrin de beauté, la nature y est si belle, les balinais chaleureux et la spiritualité ambiante est étonnante.

    Sophie