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  • Rambutans

    Rambutans

    Rambutans frais et en conserves, fruits asiatiques

    - Rambutans frais et en conserves sont surtout connues en conserves mais plus rarement fraîches. Fruit délicat à la chair plus tendre que les litchies. Bien sûr il faut les éplucher et ceci est une autre histoire.

  • Durians, fruit asiatique

    Durians, fruit asiatique

    Durians, fruits asiatiques

    Durians Il est vraiment un peu trop familier ce lascar ! A peine nous-a-t-il aperçu qu’il s’immisce dans nos narines fragiles, colonise nos trous de nez… Devenir son pote la compote n’est pas vraiment notre désir immédiat ! Le fuir à tout prix et respirer enfin est, à cet instant, le seul de nos soucis.

    Et pourtant il saura nous charmer si nous ne le considérons plus comme un ennemi à abattre. Il est vrai qu’à la première bouchée de ce fruit exotique, se mêlent à la fois extase et dégoût ; dès la deuxième bouchée c’est gagné…si nous le voulons bien !

    Nous déconseillons, au risque de provoquer une émeute, de transporter des Durians dans le bus ou le métro…

     

  • Histoires asiatiques

    Histoires asiatiques


    你可以找到一個在中國的文字在文章的末尾

    La préférée !

    Ce sont de vraies histoires asiatiques.Ma préférée, mon préféré, mes préférés, ma préférence, sonnent comme une chanson… Assez, comment peut-on imaginer dans notre vieille Europe démocratique et égalitaire, l’utilisation de cette notion surannée qui ne semble pouvoir subsister que dans des pays arriérés en voie de développement.

    Eh oui, ne vous déplaise, cette idée de préférer un oncle, une tante, un frère, une sœur et pire un enfant à un autre est encore aujourd’hui chose courante en Asie. Non seulement la préférence est exprimée, mais elle est connue de tous.

    Je me souviens, encore aujourd’hui, de ces réunions familiales pleines de gaieté où les frères, les sœurs, les cousines, les cousins se retrouvaient pour des fou- rires inoubliables, des jeux bruyants et des chamailleries joyeuses.

    Mes parents s’absentaient souvent et nous laissaient sous la haute surveillance des nombreux domestiques et employés de maison ; ces derniers ne pouvaient que difficilement contrôler les chenapans que nous étions, toujours pressés de s’épanouir dans des blagues enfantines et des bêtises sans cesse renouvelées. Notre toute nouvelle liberté nous poussait insidieusement à pousser les limites du raisonnable.

    C’était si drôle d’envelopper nos « fraîches déjections » dans de jolis papiers aux couleurs chatoyantes, de les ficeler tels des cadeaux délicats. Nous les déposions ensuite dans la rue en attendant que des piétons intrigués par ce don tombé du ciel, cet inattendu présent, ne s’emparassent manu militari du paquet croyant à la divine providence. Et au lieu de trouver des bijoux, de l’argent ou le trésor des Incas, ils avaient l’avantage et le suprême honneur de sentir l’odeur nauséabonde d’une matière fécale molle et collante qui leur titillait le museau. Nos moqueries, rires et sarcasmes étaient toujours fort sonores, ce qui provoquait chez les victimes des rictus de haine !

    L’eau potable était essentielle à la bonne marche de notre smala. La collecte de la pluie restait toujours une priorité ; papa avait fait construire une réserve en ciment ce qui nous permettait de ne jamais en manquer. Je me souviens d’une période de grande chaleur et profitant de l’absence de nos parents nous avions décidé de nous installer dans cette piscine improvisée en n’oubliant surtout pas de nous y savonner avec force, d’uriner abondamment et aussi d’essuyer nos pieds noirs de crasse et de boue.

    Treize frères et sœurs prompts à la rigolade, aguerris à la subtilité de potache et toujours prêts à soulever des montagnes pour que les bêtises soient reconnues, glorifiées, en se hissant au niveau d’un art.

    Maman et papa dès leur retour trouvaient fréquemment sur leur porte un petit mot de voisins excédés se plaignant du bruit infernal occasionné par nos pyjamas- parties et nos délires nocturnes, nos bêtises démoniaques ou les vestiges de catastrophes bien maladroitement cachés. Papa gardait toujours précieusement dans un coin de la maison notre pire ennemi : le martinet en peau de buffle. En pleine nuit, il soulevait la moustiquaire collective des garçons et à chacun attribuait une cinglante punition soulevant des grognements d’animaux encore sous l’emprise de la nuit câline. Ensuite il se dirigeait vers la chambre des filles apeurées, collées les unes aux autres dans l’immense lit, et leur infligeait la même correction dans un chapelet de cris stridents.

    Le lendemain, toutes les cuisses, les fesses gardaient des traces rougies, irritées, des souvenirs cinglants d’une nuit de légitime retour de bâton.

    Jamais papa n’avait levé la main sur moi, sa préférée, la peureuse de service, la poule mouillée et à chaque « correction » collective j’échappais toujours, comme par magie, à la « douce caresse » du fouet vengeur. Ce privilège n’attirait pas toujours la sympathie de mes sœurs et frères et provoquait chez eux un désamour bien légitime qui me laissait souvent seule, face aux sarcasmes de toute la fratrie.

    Dans les familles vietnamiennes de l’époque, être la « préférée » n’était pas une simple vue de l’esprit mais un vrai statut qui conférait à l’heureux élu des privilèges et bien peu de devoir. Je m’en suis jamais plainte !

    Aujourd’hui sans l’avouer, sans l’exprimer, toujours en catimini nous n’avons pas la moindre préférence, oh non, mais juste une toute petite attirance, un doux penchant vers l’un de nos enfants, mais bien sûr nous les aimons tous profondément, en n’en préférant aucun ; la morale est sauve et sauve la morale.

    Ces vraies histoires asiatiques semblent saugrenues mais elles ont été réellement vécues.

    HV

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  • Bouillon aux champignons parfumés

    Recette du bouillon aux champignons parfumés (recette de cuisine vietnamienne)

     

    Recette vietnamienne/ Cuisine vietnamienne

    Les ingrédients pour 2 personnes

    - 5 petits champignons parfumés déshydratés
    - 1 bouillon de poule
    - Persil chinois frais ( coriandre) finement haché
    - sauce de poisson (nuoc mam)
    - 75 cl d’eau, sel et poivre

    La préparation :

    - faire bouillir l’eau
    - briser les champignons en 4 en jetant la queue et les mettre dans l’eau
    - ajouter le bouillon de poule, 1 cuillère à café de sauce de poisson, 1 pincée de sel et laisser 15 mns cuire à feu fort
    - Verser dans 2 bols, poivrer et ajouter le persil chinois

    Dans le cadre d’un régime d’amaigrissement, vous voulez manger asiatique, cette rubrique de cuisine asiatique amaigrissante est faite pour vous. Testée par nos amis elle restent des recettes asiatiques succulentes et vraiment diététiques. Cuisine chinoise, vietnamienne, thaïlandaise, indienne… elles vous donneront des idées pour d’autres recettes asiatiques adaptées à vos besoins.

  • Ingrédients, coriandre ou persil chinois

    Ingrédients, coriandre ou persil chinois

    INGREDIENTS ASIATIQUES OU COMMENT S’EN SERVIR


    Indispensable dans la cuisine asiatique le coriandre que l’on nomme aussi persil chinois est l’indispensable complément des soupes, pho par exemple, ou des viandes, les raviolis viets… pour le goût ou la décoration. Le coriandre peut se présenter frais (voir photo), en poudre ou congelé.

  • Pho en sachet, comment l’améliorer

    Pho en sachet, comment l’améliorer

    pho la recette en sachet améliorée

     

    Recette vietnamienne/ Cuisine vietnamienne

    pho la recette en sachet améliorée

    Recette pho pour 1 sachet/ 1 personne

    Achetez 1 sachet de pho dans un magasin et améliorez le bouillon qui est l’élément le plus important dans ce plat :

    - Faire bouillir 1/4 de litre d’eau et y ajouter la préparation toute prête du bouillon et mélangez

    Ajouter ensuite :

    - gingembre frais écrasé ( la taille d’un dé)
    - 1/2 bouillons de boeuf
    - 1 pincée de cinq parfums
    - 1/2 petit oignon oignon grillé
    - 1 cuillérée à soupe de sauce de poisson (nuoc mam)
    - 1 pincée de sel

    Laissez cuire environ 30 mns à feu vif et versez les pâtes du sachet jusqu’à que celles- ci soient prêtes.

    Vous avez déjà préparé et mis de côté :

    - De fines lamelles d’oignons crus
    - persil chinois ou coriandre coupé grossièrement
    - 100 g de viande rouge coupée en fines lamelles

    Versez le pho dans un grand bol et rajouter ensuite le boeuf , l’oignon cru +le persil chinois et avant de servir mettre du poivre.

    – j’adore préparer le pho- j’aime sentir le pho- je déguste le pho

  • Gingembre frais

    Gingembre frais

    Gingembre frais (ingrédient asiatique)

    -  Gingembre frais est une racine très appréciée en asie pour ses vertus médicinales mais aussi pour ses qualités gustatives. Avec le poisson il fait merveille, mais il se cuisine aussi bien avec les viandes.

    Il est par exemple indispensable pour la fameuse soupe pho de Hanoï et certains desserts vietnamiens ou chinois

    Le gingembre congelé reste un produit acceptable car on peut en disposer à volonté.

    Il existe du gingembre en poudre mais il vaut mieux l’éviter car le goût n’est pas terrible.

  • INGRÉDIENTS ASIATIQUES : HUILE DE SÉSAME*

    INGRÉDIENTS ASIATIQUES : HUILE DE SÉSAME*

    INGRÉDIENTS ASIATIQUES OU COMMENT S’EN SERVIR

    - Huile de sésame donne aux viandes et légumes sautés un goût extrêmement chinois ( bœuf aux oignons, poulet aux bambous, soupe aux asperges et crabe…)L160xH417_arton154-2ef12

     

     

  • Côtelettes à la citronnelle (recette, cuisine vietnamienne)*

    Côtelettes à la citronnelle (recette, cuisine vietnamienne)*

    Cuisine asiatique facile

    Côtelettes à la citronnelle (recette, cuisine vietnamienne)

     

    Côtelettes à la citronnelle

    (recette vietnamienne, cuisine vietnamienne)

    4 PERSONNES

    INGRÉDIENTS 4 PERSONNES

    - 4 belles côtelettes dans l’échine de préférence.
    - 1 cuillère à soupe de citronnelle préalablement décongelée et épongée.
    - 2 échalotes finement émincées .
    - 1/2 cuillère à café de sucre caramélisé.
    - 2 bonnes pincées de poivre.
    - 2 cuillères à café de [highlight color= »red »]sauce de poisson, nuoc mam[/highlight]

    PRÉPARATION

    - Mélanger tous les ingrédients dans un grand plat
    - Faire mariner les côtelettes pendant plusieurs heures en les retournant.
    - Faire frire les côtelettes avec de l’huile dans une poêle bien chaude .

     

  • Soupe saïgonnaise (recette, cuisine vietnamienne)*

    Soupe saïgonnaise (recette, cuisine vietnamienne)*

    Soupe saïgonnaise ou hu tieu (recette vietnamienne/ Cuisine vietnamienne)

    Soupe saïgonnaise ou hu tieu

    Pour 4 personnes

    Recette vietnamienne

    Cuisine vietnamienne

    Ingrédients

    - 4 Côtes de porc dans l’échine émincées - des os de poulet ou de porc ( facultatif) - Grosse poignée de Germes de soja - 3/4 d’1 paquet de pâtes blanches de riz ( 3 millimètres) - 1 bonne cuillère à soupe de coriandre ( persil chinois) émincée - 1 petit oignon émincé finement et grillé

    Le bouillon :

    Mettre environ 1 litre et 1/2 d’eau avec les os, à ébulition ajouter 2 cubes de bouillon de poule, 3 à 4 cuillère à soupe de sauce de poisson ( nuoc mam), 1 petite poignée de crevettes séchées (facultatif), une pincée de sel, 1 cuillère à café de Choux chinois fermenté (facultatif)

    Préparation - Mettre les pâtes blanches dans de l’eau tiède pour les ramollir 30 mns avant et les cuire - Griller le porc ou tout simplement le mettre dans le bouillon - mettre les pâtes dans un bol, le porc ensuite par dessus, verser le bouillon ensuite jusqu’à couvrir le tout du bouillon et y ajouter les oignons, le coriandre (persil chinois) et du poivre noir