National Palace de Vierzon, stage de cirque pour les enfants
e cirque pour les enfants du National Palace de Vierzon
un vrai partage de Savoir et de bienveillance.
JETEZ UN COUP D’OEIL A LA VIDEO
Tous les ans 2 sessions de stage de cirque pour enfants sont proposées afin d’initier nos « petites têtes blondes » aux différentes disciplines. Encadrés par de vrais professionnels à la fois directifs et bienveillants, ils donnent à la fin de leurs 3 jours intensifs et passionnants un vrai spectacle de qualité. Les parents, amis et curieux sont invités à un moment de partage qui clôture dans une ambiance festive et amicale ces 3 jours d’apprentissage où les arts du cirque sont à l’honneur.
La cuvée 2018 paraît être une année exceptionnelle car les enfants, selon les sympathiques « patrons » les Ringenbach, sont particulièrement doués et motivés.
Trapèze, rouleau, jonglage, acrobatie, clownerie, hula hoop et rires sont toujours au rendez-vous.
National Palace est aussi un Cabaret Cirque unique en région Centre !
Les ingrédients de leur dernière création :
ballets féeriques, chorégraphie endiablées, attractions de cirque, humour, grandes illusions, chansons en live, le tout agrémenté d’une pincée de charme et d’un zeste de folie.
Une pluie de strass et d’émotion, aux fruits de la PASSION.
Au National Palace à l’unisson le cabaret c’est leur PASSION !
Dîners et déjeuners spectacles
Nouvelle Revue PASSIONS 2016 – 2018
4 rue du Cavalier 18100 VIERZON
Tel. : 02 48 71 20 87
Historique
Pour comprendre les origines du National Palace il faut remonter jusque dans les années 1930.
Le grand-père, Amédée Ringenbach, du Dirigeant actuel, Eddie Ringenbach, créé le Cirque National après avoir épousé Yolande Sturla, célèbre famille de cirque.
En famille, ils vont monter et démonter leur chapiteau dans les petites et moyennes villes. C’est à Vierzon, après la guerre dans les années 40, que la première génération du Cirque National établit ses quartiers d’hiver, puis fini par s’installer dans la rue du Cavalier pour sillonner les routes de la Région Centre.
Albert Ringenbach incarne la deuxième génération et reprend le flambeau en épousant Bella, la sœur d’Alexis Gruss. En 2007, la famille décide de s’implanter de manière permanente et monte un chapiteau deux mats dans la rue du Cavalier pour créer un cabaret cirque avec diner-spectacle : c’est la création du National Palace !
Dirigé par la troisième génération, représentée par Eddie Ringenbach, entouré de sa famille, le National Palace est résolument tourné vers l’avenir, dans la tradition circassienne qui constitue son ADN.
Hypnose une technique efficace Par Eve-Elisabeth Martin(hypnothérapeute)
Vous avez certainement entendu parler de l’hypnose, cet état de conscience modifié. Mais comment fonctionne cette méthode ? Dans quels cas peut-on y avoir recours ?
L’Hypnose est un phénomène naturel où le thérapeute met le sujet en état de conscience modifié. Cette méthode permet d’accéder facilement à l’inconscient afin de procéder à des changements profonds. L’intérêt est de contourner les barrières du conscient source de blocages et d’inhibition. Pour illustrer un état de conscience modifié on peut prendre le cas de l’automobiliste qui se surprend lui-même d’être arrivé à bon port alors que son esprit vagabondait !
Quelles sont les différentes techniques d’hypnose ?
Eve-Elisabeth Martin (hypnothérapeute)
Il existe plusieurs types d’hypnose:
L’Hypnose de spectacle est la plus connue du grand public
L’Hypnose traditionnelle où la personne est face à l’hypnotiseur et subit des injonctions verbales, visuelles et corporelles. Pratiquée jusqu’à Freud, cette technique part du postulat suivant : si l’on suggère à un patient de guérir, il peut guérir. Aujourd’hui encore, les hypnotiseurs de spectacle qui s’amusent à endormir une salle entière, relèvent de cette école.
L’Hypnose Ericksonienne qui fait partie des thérapies brèves car elle permet de traiter le problème en très peu de séances. C’est une thérapie qui par son « langage de permission » déjoue d’éventuels blocage de l’inconscient. L’Hypnose Ericksonienne sollicite la participation active du patient. Il s’agit plus d’un état de profonde relaxation, pendant lequel le patient va pouvoir s’exprimer librement. Le thérapeute utilise des métaphores, c’est-à-dire un langage symbolique, pour guider l’inconscient du sujet et l’amener à trouver lui-même les solutions à ses problèmes.
Quand peut-on se faire hypnotiser ?
De plus en plus utilisée en médecine, et en psychothérapie, l’hypnose semble efficace pour lutter contre la douleur, se libérer de certaines dépendances ou mauvaises habitudes (le tabac, le grignotage…), l’anxiété, les troubles de la sexualité et les phobies. Si les mécanismes d’action ne sont pas connus, et que beaucoup de scientifiques évoquent l’effet placebo, certaines hypothèses peuvent expliquer les succès de l’hypnose :
Douleurs : Pendant l’état hypnotique, la production d’endorphines est à son maximum. Or ce sont de véritables antalgiques naturels, qui peuvent permettre de diminuer les doses de médicaments en cas de mal de dos, de migraines etc…
Arrêt du tabac : L’hypnose tente d’agir sur la dépendance psychologique et d’y substituer d’autres comportements. Le praticien va essayer de susciter les suggestions les plus fortes, par exemple l’association tabac-nausées.
Stress : En premier lieu, l’hypnose, proche de la relaxation, diminue rapidement l’impact des agents stressants. Ensuite, l’état hypnotique, peut permettre de trouver le seuil adéquat de stimulation/excitation du bon stress, afin que celui-ci redevienne utile.
Y a-t-il un danger ?
Auréolée d’un certain mystère, l’hypnose évoque à TORT une sorte de pouvoir occulte de celui qui l’utilise. Son influence sur votre inconscient est limitée, il y a en effet des « sécurités » dans notre cerveau qui nous empêchent de faire quelque chose contre nos valeurs.
Jean Pierre Tiffon est l’homme des vastes prairies verdoyantes, il adore Vierzon car à la Bidauderie, Centre équestre entouré de verdure et de forêts, il distille avec bienveillance un enseignement qui permet à chacun de s’épanouir avec bonheur. Grâce à un vrai « savoir- faire » appris dans une première vie dans les Corporates comme consultant, Jean Pierre Tiffon a décidé aujourd’hui de se tourner vers le développement personnel grâce aux chevaux, partenaires indispensables de cette méthode novatrice.
Jean Pierre Tiffon a déjà « plein de vies » à son actif.
Il a vécu plusieurs vies professionnelles passant du conseil auprès de grands systèmes à l’accompagnement de personnes en changement ; allant du coaching d’équipes d’entreprise au coaching d’équipes sportives. Il a animé des dizaines de séminaire, conduit des concertations, organisé des états généraux dans de nombreux domaines : la santé, le cancer, les transports, le développement local, les inondations, la recherche, les ondes et les nanomatériaux. Il a été Parisien, Picard et est maintenant Berrichon. Homme de la ville, il est devenu un homme des champs, des chevaux et des forêts. Il a porté du tergal, du lin, des costumes et des cravates, des jeans et des tenues de sport. Ces changements de vie ont parfois été choisis, parfois imposés ou subis. Quelques fois ils ont ressemblé à une fuite, à d’autres moments ils ont été préparés et pensés en conscience. Tous lui ont appris que les transitions réussies sont celles que l’on vit pas à pas, en conscience de ce que l’on choisit de perdre, dans l’inconfort de ne pas savoir ce que l’on va vivre, dans la conviction de devoir changer. Après ces phases d’inconfort vient le réconfort. Et le cycle continue. Et à chaque fois l’on grandit.
« Plein de vies » est une nouvelle initiative voulue par Jean Pierre pour transmettre ses expériences de vies à travers des stages et des mises en récit. Il s’agit aussi de partager ici les témoignages, les joies, les expériences et les questionnements de toutes celles et ceux qui font changer leurs vies.
Depuis plusieurs années, il utilise ses différentes compétences pour aider des cavaliers, des compétiteurs, des enseignants et entraîneurs.
Selon lui, la connaissance, le respect et l’entrainement de son physique, de son mental et de ses émotions permettent de réussir des vies sportives durables et performantes.
TRACTEURS EN FÊTE A VIERZON BERCEAU DES TRACTEURS DE LA SOCIÉTÉ FRANÇAISE
Un week- end de forte chaleur, un dimanche pas tout à fait comme les autres, de nombreux visiteurs très intéressés par des « engins » d’un autre temps, des tracteurs impressionnants, des machines agricoles aux carrures de sportifs de haut niveau… Le décor est planté dans un lieu incontournable de Vierzon: le parc des expositions. Des tracteurs en veux tu en voilà, les uns rutilants malgré leur âge canonique, les autres marqués par le temps mais toujours « gaillards ». Ces tracteurs inspirent, surtout aux néophytes, un sentiment de grand respect du à leur implication dans la vie agricole de l’époque et aussi à l’innovation technologique. Au siècle de la modernité, des tracteurs pilotés par GPS (par satellite), des robots et des fusées, ces merveilleuses machines nous rappellent un temps révolu où la France respirait la ruralité et une certaine sérénité.
C’était une autre période où les métiers de la terre étaient reconnus comme indispensables et valorisants. Une marque reste « inoxydablement »ancrée dans la mémoire des « aficionados » des tracteurs de collection: la Société Française. Certains passionnés, comme le président de l’Amicale Société Française de Vierzon, Daniel Sauvagere, nous parle avec des étoiles dans les yeux de ces fabuleuses « machines ». Les tracteurs de la Société Française sont aujourd’hui encore considérés comme les « stars » incontournables de Vierzon.
Sur ce salon, convivial et bon enfant, sont exposés des machines fabuleuses rares et parfois même uniques. Dans ce tourbillon Daniel Sauvagere a su nous commenté avec passion de sa marotte: Les tracteurs anciens et en particulier ceux de sa marque fétiche la « Société Française ». Alors en route pour visiter les différents aspects de cette exposition. Des tracteurs, des stands de miniatures pas simplement inertes mais en pleine action, des stands pour bien boire et bien manger, tout cela dans une ambiance chaleureuse et fort sympathique.
Nous sommes tous pressés de revenir! Ce salon se déroule tous les 2 ans…. mais nous vous en reparlerons!
Historique de la Société Française de Vierzon
Ayant parfait son apprentissage de menuisier en accomplissant son tour de France, Célestin Gérard rentré dans ses Vosges natales construisit une première batteuse mécanique pour épargner la peine de son père, petit cultivateur. Des Berrichons, ayant remarqué cette machine, l’invitèrent à s’installer dans leur pays à la veille d’une révolution qui l’obligea à exploiter avec succès son propre matériel, en s’instituant le premier des entrepreneurs de battage. C’est donc à Vierzon, dans le Cher, que le 15 Octobre 1847, il ouvrit son petit atelier. La modeste entreprise ne cesse de croître ; dès 1861 il construisit sa première locomobile, en 1878 alors qu’il totalisait 318 médailles et diplômes d’honneur, Célestin Gérard, qui est alors à son apogée, ne pouvait imaginer un tel développement, ni quelle influence décisive il jouerait dans cette bourgade, promue au rang de cité industrielle
Le 28 Mars 1879 il cède son entreprise qui devient La Société Française de Matériel Agricole et Industriel ( SFMAI ) . Sans cesser la production de batteuses et de locomobiles qui deviennent de plus en plus perfectionnées, la Société s’adapta aux besoins nouveaux. C’est ainsi qu’en 1889 elle entreprend la fabrication de groupes électrogènes pour éclairer Périgueux, La Rochelle, Poitiers et Châtellerault . En 1896 elle fabrique des moteurs agricoles et industriels à pétrole. Vers 1910, elle aborde les gazogènes et, dans les années 20 une locomobile routière voit le jour. A partir de 1931, sous l’impulsion de M. Pierre Chevalier alors Directeur de la SFMAI Vierzon, la décision est prise de lancer l’étude et le développement d’un tracteur à huile lourde, monocylindre, deux temps, semi-diesel. La production des tracteurs H1 qui débute en 1934 est très modeste, 37 tracteurs sortent des ateliers cette année là. En 1936 la production de tracteurs est portée à 232, répartie entre deux modèles, le H1 et le H2. Cette montée en puissance de la production, bien modeste il est vrai, conduira la SFV à mettre en fabrication un tracteur puissant pour l’époque le H0 dont la production totale répartie sur 4 ans ( 1936-1940 ) atteindra le chiffre de 72. Ce modèle répond à la demande des entrepreneurs de battage qui exploitent des batteuses à haut rendement produites par la firme. La guerre de 39/45 entrainera la suppression du H0 et seuls se maintiendront le HV1 et le HV2 avec un niveau de production en baisse. Ce conflit portera également un coup rude à la production des batteuses qui reprendra lentement après le conflit mais l’arrivée des moissonneuses- batteuses d’outre-Atlantique remet en cause le processus de récolte des graines. La reconversion est incontournable, toutefois la SFV va poursuivre pendant encore près de 15 ans la construction d’une gamme allégée de batteuses traditionnelles avant de s’essayer elle aussi à la conception et à la fabrication de moissonneuses batteuses. Revenons aux tracteurs, il faudra attendre 1947 pour qu’un nouveau modèle voit le jour, le FV1 qui sera produit en grande partie à l’arsenal de Roanne. Cette même année, la mise en place du plan Marshall donnera une nouvelle impulsion à la motorisation de l’agriculture . La SFV bénéficiera de cet élan , le nombre de tracteurs produits augmenta sensiblement mais la firme ne resta pas inactive et repensa sa gamme en l’adaptant aux besoins futurs des agriculteurs. C’est ainsi qu’en 1950 elle mit sur le marché le 302 suivi du 551 et du 402. Elle élargit également sa gamme vers les petits tracteurs en produisant le 201 et également le CGM 141 issu de la sous-traitance. En 1956, l’apparition du carburant diesel agricole, prive la SFV d’un des atouts du moteur semi diesel deux temps : les économies en matière de carburant. Pourtant en 1957, le 552 successeur du 551 est mis sur le marché pour une vie très éphémère. Consciente de l’obsolescence de ses moteurs , la SFV offrira sur le marché, en 1958 , deux tracteurs bi-cylindres , le 303 et le 403 qui, insuffisamment mis au point, seront source de déconvenues mécaniques et mettront en péril la SFV. Après une modification profonde du moteur, le 403 est rebaptisé 403D mais sa carrière est assez peu glorieuse. L’année 1958 verra également la naissance de deux nouveaux modèles : le Super 202 appelé à remplacer le 201 et le 203 qui lui s’attaque au marché des tracteurs de la catégorie « un soc, 12 pouces en tous terrains » . Après l’arrêt précipité de la production du 303, le Super 204 voit le jour fin 1959, ce sera le dernier vrai « Vierzon » monocylindre. Hélas, la situation financière de la Société Française Vierzon est alors largement déficitaire et celle-ci sera contrainte de faire appel à l’Américain Case, qui était déjà actionnaire depuis 1958, pour prendre le contrôle de la firme le 13 Juillet 1959.
Vous avez certainement entendu parler de l’hypnose, cet état de sommeil éveillé, dans lequel la personne semble totalement influençable. Mais comment fonctionne cette méthode ? Dans quels cas peut-on y avoir recours ?
Au départ, l’hypnose est une méthode mise au point en psychiatrie. En court-circuitant les processus mentaux, elle permet théoriquement d’atteindre plus facilement l’inconscient. Cela peut permettre de faire ressurgir certains problèmes ou traumatismes liés à l’enfance. Mais comment cela fonctionne-t-il ?
Quelles sont les différentes techniques d’hypnose?
Il existe deux écoles complémentaires. La première, traditionnelle est basée sur la suggestion. La personne face à l’hypnotiseur subit des injonctions verbales, visuelles et corporelles. Pratiquée jusqu’à Freud, cette technique part du postulat suivant : si l’on suggère à un patient de guérir, il peut guérir. Aujourd’hui encore, les hypnotiseurs de spectacle qui s’amusent à endormir une salle entière, relèvent de cette école.
La deuxième, l’hypnose Ericksonienne, sollicite la participation active du patient. Il s’agit plus d’un état de profonde relaxation, pendant lequel le patient va pouvoir s’exprimer librement. Le thérapeute utilise des métaphores, c’est-à-dire un langage symbolique, pour guider l’inconscient du sujet et l’amener à trouver lui-même les solutions à ses problèmes.
Quand peut-on se faire hypnotiser ?
De plus en plus utilisée en médecine, et en psychothérapie, l’hypnose semble efficace pour lutter contre la douleur, se libérer de certaines dépendances ou mauvaises habitudes (le tabac, le grignotage…), l’anxiété, les troubles de la sexualité et les phobies. Si les mécanismes d’action ne sont pas connus, et que beaucoup de scientifiques évoquent l’effet placebo, certaines hypothèses peuvent expliquer les succès de l’hypnose :
Douleurs : Pendant l’état hypnotique, la production d’endorphines est à son maximum. Or ce sont de véritables antalgiques naturels, qui peuvent permettre de diminuer les doses de médicaments en cas de mal de dos, de migraines etc…
Arrêt du tabac : L’hypnose tente d’agir sur la dépendance psychologique et d’y substituer d’autres comportements. Le praticien va essayer de susciter les suggestions les plus fortes, par exemple l’association tabac-nausées.
Stress : En premier lieu, l’hypnose, proche de la relaxation, diminue rapidement l’impact des agents stressants. Ensuite, l’état hypnotique, peut permettre de trouver le seuil adéquat de stimulation/excitation du bon stress, afin que celui-ci redevienne utile.
Y a-t-il un danger ?
Auréolée d’un certain mystère, l’hypnose évoque à tort une sorte de pouvoir occulte de celui qui l’utilise. Son influence sur votre inconscient n’est pas toute puissante il y a des « sécurités » dans notre cerveau qui nous empêchent de faire quelque chose contre nos valeurs.
Eve-Elisabeth Martin est une passionnée de l’Asie et particulièrement de la Chine, une inconditionnelle de l’Asie et en particulier de « l’Empire du Milieu ». Découvrir des particularités au cours de voyages à la fois professionnels et personnels est son objectif et son plaisir. Aujourd’hui, Eve-Elisabeth nous parle de ce qui relie ses deux passions, l’Asie et l’Hypnose ericksonienne.
Eve-Elisabeth Martin
Open Mag: Qui êtes- vous?
Eve-Elisabeth: Je suis une jeune femme active et passionnée, depuis 1998 je suis à la tête d’une agence d’événement à Paris. Mon cœur de métier est la communication avec un grand C. Depuis 1999, à la demande du Ministère du Tourisme chinois, j’ai été amenée à faire connaître des artistes européens en Chine et l’Asie est devenue une véritable passion! Il faut dire qu’une partie de mon histoire familiale sur 3 générations s’est jouée en Asie du sud-est, peut-être ce genre d’histoires sont-elles inscrites dans mon ADN! Mon autre passion est l’Hypnose ericksonienne et la PNL (programmation neuro linguistique).
OM: C’est original, d’où vient cet intérêt?
Eve-Elisabeth: C’est une vieille histoire. Il y a quelques années, pour faire plaisir à mon ami, j’ai accepté d’aller voir un hypnotiseur de renom pour arrêter de fumer. Je n’avais pas du tout l’intention d’arrêter, j’avais même acheté un paquet de cigarettes avant la séance collective. Nous étions 5. La séance a duré 1 heure. Je n’ai plus jamais fumé ensuite!!!! Quand je me suis rendue-compte de la puissance de cette méthode sur mon addiction j’ai décidé de persévérer dans la connaissance de l’hypnose thérapeutique.
OM: Mais quel est donc le rapport avec l’Asie?
Eve-Elisabeth: Aucun si ce n’est le constat que cette méthode ferait un carton là-bas. Par exemple en Chine, tout le monde fume! C’est stupéfiant de voir à quel point la cigarette est indissociable de la vie des chinois. Une cigarette succède à une autre dans un train d’enfer! Dans un autre registre, au Vietnam, au restaurant, on apporte aux messieurs non pas un verre de bière mais une caisse de bière au pied de chaque convive. Les effets de l’alcool sont absolument délétères sur les relations familiales. En Thaïlande par exemple il y a beaucoup de maltraitance conjugale due à la boisson. Je peux ajouter également une addiction généralisée à tous les pays asiatiques qui est le jeu.
Rendez vous compte si cette méthode dite de thérapie brève pouvait avoir cours là-bas!!!!
OM: Comment pouvez-vous expliquer simplement ce qu’est l’hypnose?
Eve-Elisabeth: Tout simplement un état modifié de conscience, aussi naturel que celui de sommeil ou que celui d’éveil. Je vais prendre un exemple qui parle à chacun. Vous rentrez dans votre voiture pour aller travailler. Certes vous conduisez mais en même temps vous pensez à autre chose. En arrivant vous êtes même surpris par « l’automatisme » de la conduite. D’une certaine façon vous étiez en état de type hypnotique.
Pour résumer, l’hypnose est un état dans lequel vous allez pouvoir mettre le focus sur ce qui est vraiment important et trouver le plus rapidement possible la meilleure solution sans être bloqué par les barrières de la pensée ordinaire. C’est de la thérapie brève parfaitement pragmatique et bienveillante.
OM: Quelles sont les applications de l’hypnose?
Les principales applications sont les phobies, stress, tabagisme, alcoolisme, problèmes de mauvaise humeur, de difficultés relationnelles, timidité, problèmes de mémoire, problèmes de poids…L’hypnose peut aussi aider à améliorer ses propres capacités existantes, elle peut également aider à mieux communiquer.