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  • SANYA, la magnifique, vous donne rendez- vous !

    SANYA, la magnifique, vous donne rendez- vous !

    SANYA, la magnifique, vous donne rendez- vous !

    SANYA, la magnifique, vous donne rendez- vous !

     « SANYA, l’île de Hainan, vu par des Français »

    La CHINE, un pays lointain et mystérieux qui laisse l’esprit vagabonder à travers des images, des senteurs et des couleurs et qui nous invitent au voyage. Située à l’extrême sud de la Chine, Santa, ville touristique, sait accueillir les occidentaux chaleureusement dans la douceur délicate de son climat tropical si propice aux rêves les plus doux.

    Des photographes français ont su immortaliser « l’essence » même de l’île de Hainan. Au travers de leurs objectifs aux ressentis différents, ils ont réussi à transcender et à immortaliser la beauté de cette île.

    Merci aux photographes sans lesquels rien n’aurait été possible :

    - M.CHATELIER Patrick
    - M.CHAUVEAU Nikola
    - M.ESCUDIER Alain
    - M.PARDESSUS xavier
    - M.PICARD Pascal.

    Au travers de ces photos délicates et expressives, les voyagistes sauront immédiatement que « SANYA, l’île de Hainan, est une destination de rêve pour les occidentaux à la recherche de douceur, d’exotisme et de beauté. La tradition omniprésente, la nature luxuriante, créera dans le cœur de Français un cocktail de dépaysement.

     

    Informations :  Selon nos études, Sanya se trouve à latitude nord 18°, donc le point le plus au sud de la Chine. Elle possède des ressources naturelles irremplaçables : Les plages, les tropiques, la nature… Malgré la crise économique en 2009, Sanya a réssisté à la crise, elle a reçu plus de 6 690 000 nuitées, donc une augmentation de 10%, dont beaucoup de touristes français. La délégation de Sanya a bien dit : Sanya est pas seulement à nous, elle est aussi à tout le monde, elle est au profit de toutes les personnes qui souhaitent la connaître et à l’aimer. Bienvenue au Sanya

  • BANQUET ROYAL A LA COUR DE CORÉE

    BANQUET ROYAL A LA COUR DE CORÉE

     

    Petite incursion à la cour royale au XVIII ème siècle

    BANQUET ROYAL A LA COUR DE CORÉE : petite incursion à la cour royale au XVIII ème siècle, le temps de fêter les soixante ans de la reine- mère …

    Le vent souffle en rafale. Des tourbillons de feuilles vont et viennent ; le ciel est bas, plombé, gris.

    Ambiance complètement différente dans la salle de spectacle du musée ; Un décor chatoyant, festif, floral ; c’est la reconstitution sur scène de la salle de réception à la cour. En arrière- plan, tâche lumineuse rouge hibiscus, les musiciens jouent un air lancinant qui contribue à nous faire lâcher prise avec le temps.

    Le spectacle se déroule comme un tableau animé. Sur un écran, discret, des informations en français défilent pour présenter les différentes étapes solennelles du banquet.

    On assiste alors à tout le déroulement de la cérémonie, très codifié et cérémonial, et entrecoupé de moments plus dynamiques, où la musique s’anime sur un trois temps et permet aux danseuses d’évoluer gracieusement sur la scène. En final, la danse de la grue et du lotus clôture de façon un peu plus active le déroulement de la cérémonie.

    Un peu déroutée au départ, je me suis finalement laissée emporter dans cette frise très esthétique. Les costumes sont superbes, les déplacements élégants et raffinés, le temps s’efface devant la tranquillité des rituels qui se succèdent ; on flotte alors comme ces danseuses qui donnent l’impression de marcher sur un tapis de nuages …

    Pour les curieux, un petit prospectus distribué avant le spectacle donne quelques informations supplémentaires sur la culture artistique traditionnelle en Corée ; musique et danse y sont à l’honneur.

    Ce soir- là, en sortant, les couleurs ont perduré dans la nuit, sensation très agréable et que j’ai prolongée autour, non pas d’un banquet royal, mais d’un dîner fort sympathique avec mon rédacteur en chef, en toute simplicité !

  • Les Enfants du Mékong

    Les Enfants du Mékong

    Les Enfants du Mékong, une association qui donnent aux enfants des perspectives d’avenir, un futur des plus clair, et aussi une vraie enfance. Le premier droit des enfants c’est d’avoir des droits et particulièrement pouvoir accéder à la culture et à l’éducation.

    Nous sommes allés les voir à Asnières: ambiance décontractée, conviviale.  Autour d’un déjeuner nous pûmes parler des différentes actions des Enfants du Mékong. Puis ce fut la visite des locaux. Nous avons ressenti à l’association les Enfants du Mékong ce désir de bien faire, d’aller de l’avant, d’aider, de soutenir  et surtout essayer d’améliorer la condition des enfants d’Asie.

    Oui à souligner aussi que les Enfants du Mékong ont une gestion très rigoureuse et que les frais de fonctionnement sont réduits au minimum; c’est effectivement un point important à noter!

    RENÉ PÉCHARD, LE FONDATEUR

    L’histoire d’Enfants du Mékong commence comme un conte de fées. « Il était une fois … » un dentiste de Vientiane recueille sur le pas de sa porte deux enfants qui vivent dans la rue. Ils ont faim et ne peuvent pas aller à l’école. Convaincu « qu’il y a plus de joie à voir un enfant à l’école que dans la rue », René Péchard décide d’accueillir ces enfants et les place dans un internat à Xiang Khouang : le pensionnat Saint-Joseph. Peu après, approchent la fin de l’année et la fête de Noël. Voulant venir en aide au foyer de ses pupilles, René Péchard lance un appel aux fabricants français de couvertures. Dans un élan de générosité, ceux-ci décident de faire un don de 100 francs en plus des couvertures envoyées à monsieur Péchard. L’association des amis du pensionnat de Saint-Joseph naît de la nécessité de créer une structure pour encaisser ce don. Après plusieurs étapes, l’association deviendra « Enfants du Mékong » en 1977.

    ENFANTS DU MÉKONG, UNE ÉCOLE DU BONHEUR

    Enfants du Mékong répond depuis 1958 à l’appel de bénévoles locaux et agit auprès des enfants et familles les plus pauvres et les plus vulnérablesEnfants des rues et des bidonvillesenfants porteurs de handicapspopulations isoléesréfugiésenfants issus de minorités ethniqueséducation des jeunes filles

    On nous demande souvent quelle est notre ambition ? Notre conviction, c’est que les enfants pauvres et souffrants qui nous appellent à l’aide peuvent être des modèles exemplaires pour leur pays. C’est pourquoi il faut les accompagner à se construire intellectuellement mais aussi affectivement et moralement afin de devenir des adultes responsables et soucieux du bien commun.

    Guillaume d’Aboville, directeur général

     

    « Enfants du Mékong est une association de parrainage, qui permet à 23 000 enfants pauvres d’Asie du Sud-Est d’aller à l’école. Les enfants parrainés vivent dans 6 pays : Vietnam, Birmanie, Cambodge, Thaïlande, Philippines et Laos.

    Le parrainage est un soutien concret et efficace pour un enfant.

    -C’est un soutien financier : pour 28€ par mois (déductibles à 75%, soient 7€ par mois après déduction fiscale), vous permettez à votre filleul d’acheter son matériel scolaire, ses livres, de payer le bus ou un vélo pour aller à l’école. Un petit complément va également à sa famille pour lui permettre de compenser le fait que son enfant ne travaille plus.

    -C’est un soutien moral : en envoyant des lettres à votre filleul, vous l’encouragez à poursuivre sa scolarité, lui permettez de s’ouvrir au monde et de reprendre confiance en lui.

    Sur place, nos bénévoles locaux sont épaulés par des volontaires français. Ils s’assurent ensemble que l’argent est bien utilisé, et suivent votre filleul au mieux pour l’aider à grandir. L’association Enfants du Mékong est labellisée Idéas, un organisme indépendant qui s’assure de la bonne gestion, la bonne utilisation des fonds et de l’efficacité de l’action.

    Plusieurs dizaines d’enfants attendent aujourd’hui un parrain ou une marraine. Lancez-vous dans cette belle aventure humaine !

    Enfants du Mékong est une organisation non gouvernementale soutenant l’éducation d’enfants issus de familles très pauvres et des projets de développement durable liés à la protection de l’enfance et à la scolarisation, dans les pays du Sud-Est asiatique bordant le fleuve Mékong ainsi qu’aux Philippines.

    Comment les contacter: Téléphone : 01 47 91 00 84

  • J’ai quitté le Vietnam comme boat- people, je suis revenu en avion

    J’ai quitté le Vietnam comme boat- people, je suis revenu en avion

    Carnets de voyage en Asie, Vietnam

    Une si longue absence.

    J’ai quitté le Vietnam comme boat- people

    Je m’appelle Manh et je viens de bien loin et je retourne au Vietnam. Vos yeux ne peuvent ni voir, ni entrevoir les paysages, les bonheurs et les angoisses enfouis dans le plus profond de mon être.

    Par une nuit sans lune, la peur au ventre, maman et papa nous abandonnèrent avec plus de soixante personnes à la recherche d’un avenir rempli de plus d’espoir. Je ne le savais pas encore, mais 12 ans allaient nous séparer ce soir là.Deux coques de noix aux moteurs poussifs nous éloignèrent de la côte et bientôt nous ne vîmes que l’ombre blafarde de notre pauvre pays que la guerre avait si profondément transformé. Deux sœurs et un frère, une famille éparpillée, loin des parents , sans famille, juste des rescapés sur cette mer d’huile . Nous étions devenus des « Boat people » au regard hagard, ballottés par un mal de mer omniprésent, attendant une aide incertaine. Au milieu de nulle part, nous scrutâmes l’horizon pendant 4 jours et 3 nuits.

    Rencontrer la marine vietnamienne et le carnage aurait été au rendez- vous, croiser un pavillon étranger et la délivrance nous aurait tendu les bras.

    Heureusement j’avais le pied marin ! Je me rappellerai toujours de cette année 1981 où j’ai quitté mon pays sans savoir si un jour,mes pieds pourraient à nouveau, fouler le sol de mes ancêtres. Le moteur de l’autre bateau rendit l’âme sans complexe, immobilisant plus de 30 personnes. Un remorquage périlleux nous permit de continuer ensemble ce si douloureux voyage.

    Soudain, nous vîmes un bateau à l’horizon et nos cœurs se figèrent empreints d’espoir, de fatalisme et d’angoisse. Étaient- ils des amis ou des ennemis, de l’espoir ou de l’horreur, un renouveau ou une fin tragique ? Une accablante et troublante incertitude s’empara de nous, enserrant notre ventre comme une tenaille mortelle, nous ne respirions plus. L’embarcation s’approcha, le temps était suspendu et soudain l’un de nous éructa un cri de joie libérateur, nous comprîmes aussitôt que l’avenir nous tendait à nouveau les bras. Nous n’en crûmes pas nos pauvres yeux fatigués, lassés mais heureux, le pavillon Français, le drapeau de tous les espoirs flottait là, fier et libérateur.

    Deux mois d’attente dans un camp chinois de Hong-Kong, deux mois de brimades, deux mois où tous nos espoirs se tarissaient dans un méandre de questions sans réponse. J’avais la certitude que les chinois n’appréciaient pas les vietnamiens et qu’à la moindre occasion, ils les brimaient malgré qu’ils fussent leurs « gérants officiels », frontière entre le passé et l’avenir. Je me souviens qu’un jour adossé à une vieille voiture abîmée par le temps, j’attendais, comme tous les jours, l’appel quotidien de tous les « boat people », en rêvassant, quand soudain l’un des gardiens chinois vociféra des menaces m’accusant, moi un enfant de 1O ans d’avoir cabossé la carcasse en m’appuyant dessus. Je dus me défendre de ces accusations injustes et déloyales.

    La sentence tomba, j’étais affecté, pour cet acte odieux, délibéré et plein de haine contenue, à la corvée déhonorante du nettoyage des wc.

    Selon les conventions internationales de l’époque, la France, nous ayant recueilli à bord de l’un de ses bateaux, avait le devoir de nous donner asile dans leur pays. Je rêvais d’Amérique et je me retrouvais soudain plongé dans le centre de la France, à Châteauroux dans un autre camp de réfugiés. J’y suis resté plus de 13ans, 13ans à attendre, étudier et espérer un avenir meilleur. Puis je suis monté à Paris.

    Le retour au Vietnam

    Aujourd’hui, je viens d’obtenir ma nationalité française et une page de mon histoire se tourne. J’ai très envie de revoir le Vietnam pour retrouver un peu de ce passé qui reste collé à ma mémoire. J’avais quelques appréhensions, repartir pour découvrir un pays changé, si éloigné de mes souvenirs, cela me rendait hésitant et fort mal à l’aise. J’avais juste peur de ne plus aimer le Vietnam, car j’étais devenu une « entité hybride » partagée entre ici et là- bas. Ma décision était prise, il me fallait revoir malgré tout, ce pays qui me manquait tous les jours un peu plus. Dans l’avion qui me menait, ma sœur et moi, vers cet « inconnu si familier », s’entremêlaient, s’entrechoquaient sans cesse des images, des souvenirs, des rires et des pleurs . L’avion enfin dans un crissement de pneus s’immobilisa sur la piste.

    Fébriles nous descendîmes et pénétrâmes dans le grand hall de l’aéroport international. Je fus soudain pris de panique quand je vis l’uniforme du fonctionnaire des douanes, mon corps tout entier frémit, mes jambes se dérobèrent sous moi et mes mains tremblèrent. Ma sœur, s’apercevant immédiatement de mon émoi incontrôlable, me glissa à l’oreille qu’il était plus prudent de ne pas se faire remarquer et d’éviter ainsi, toute difficulté. Je dus m’exécuter comprenant fort bien le bien fondé de ses appréhensions. La rue m’accueillit brutalement dans une farandole de couleurs joyeuses, d’odeurs exotiques, de klaxons stridents, d’images rayonnantes et surtout d’émotion. J’étais revenu chez moi, j’étais rentré à la maison après 25 ans d’absence et d’attente. Je compris immédiatement que les liens étaient restés intacts, forts et qu’ils avaient résistais aux attaques du temps. Rien n’avait vraiment changé, Saïgon égale à elle-même, demeurait cette ville bruyante, sale, speed, irrespirable mais si vivante.

    La cathédrale se tenait là imperturbable mais envahie par des centaines de touristes harassés de chaleur, la poste, incroyable vestige colonial, ressemblait plus à un musée qu’au local des PTT. Mon cousin, l’un de mes innombrables cousins, nous guida à travers la ville pendant ces quelques journées d’euphorie et de redécouverte où le connu côtoyait sans cesse l’étonnement. Il nous dénicha les meilleurs restaurants. Je retrouvais les senteurs si particulières des plats typiques enfouis au fond de moi. Quand avec le temps notre culture s’estompe, il nous reste encore et toujours le goût de la nourriture, et tous les déracinés vous le diront sans détours. J’hésitais parfois à déguster du chien, du serpent ou du rat car mon éducation française, aseptisée, m’en empêchait. J’avais peur de tomber malade. Peut-être qu’avec le temps… ! Un petit tour au musée de l’ancien palais présidentiel, resté dans son jus depuis la chute de Saïgon, me laissa pantois et me rappela aussi les moments difficiles.

    Direction Lagi située à 180 au nord de Saïgon, le village où j’ai vécu. Ma grande sœur se tenait là, attendant avec impatience notre arrivée, mais ne me reconnut point. Moi-même je dus faire des efforts pour mes innombrables cousins et neveux. Je m’étais préparé depuis fort longtemps à ces retrouvailles si poignantes, à cette joie jubilatoire, ainsi aucune larme ne coula sur mes joues. Le voisin, un ancien ami, s ‘est approprié toutes nos terres…Le temps, la guerre, les paysans, la méthode ancestrale de pêcher,les paysages à couper le souffle, mes amis, la maison familiale rien n’avait changé et tout avait changé. Le vent de l’histoire a dévasté nos cœurs et laissé comme une trace de nostalgie imperceptible, pas de haine seulement de l’émotion à fleur de peau.

    Nous sommes restés 10 jours dans ce village de pêcheurs, une population déplacée, originaire du centre et installée ici depuis de nombreuses générations. Papa aimait y pêcher avec ses fils malgré une mer démontée et des vagues de 12m. Rien ne lui faisait peur, moi si. Cela me fait rire aujourd’hui, mais j’ai bien failli me noyer un peu trop souvent durant ces années de bonheur .

    Et nouveau départ vers Quang Ngai, lieu de ma naiossance, plage paradisiaque, authentique, et située à 150 kms de Hué. C’était, à l’époque une base aérienne des forces américaines. Et des histoires de guerre poignantes et effrayantes consument encore aujourd’hui mon esprit. Il avait été établi un couvre-feu après le départ des américains et une famille entière de sourds, n’ayant pas eu connaissance de l’interdiction par les autorités du fait même de leur infirmité, furent mitraillés et déchiquetés dans un carnage sans nom. Ils partaient pour une simple sortie en mer,où ils ne pêchèrent que la mort.

    Une promenade, un recueillement sur la tombe de mes grand- parents, une cérémonie d’offrandes, un petit tour en bateau rond typique, une dégustation de fruit Jacquier ou de raviolis à la vapeur, furent les activités principales de ces 10 jours.

    J’y ai retrouvé mon tonton Chu Nam dont je suis très proche et qui me le rend bien d’ailleurs. Bizarre, bizarre, je me suis toujours dit qu’il ressemblait étrangement au président J.F Kennedy.

    Parfois j’ai l’envie de me retrouver seul car je suis trop entouré, trop sollicité. Quand je vais au resto tout le monde veut m’accompagner et je règle l’addition. Pas que cela me coûte, mais bientôt cette situation est dérangeante et j’explique à ma famille qu’ en France je ne suis point un nabab. Mais le message passe souvent mal et la gêne s’installe. Tout le monde, ici, a cette impression que je suis un homme riche, parvenu à un niveau social extrêmement élevé et n’ayant surement aucun problème d’argent. Comment peuvent-ils imaginer, que je ne suis qu’un simple travailleur, endetté et payant des impôts ? Ce « statut » ambigu s’est révélé être le problème constant de tous les « viets- k » (les viets de l’étranger).

    Nous sommes heureux de partir « seuls » en mini- bus vers le centre, à la découverte de Hué. Nous y rencontrons un fort sympathique cyclo- pousse qui nous fait découvrir avec bonhomie, tous les trésors de la ville impériale ? Quatre jours de légèreté, de totale liberté dans un charmant petit hôtel climatisé et peu onéreux (7 dollars/ nuit ).

    Un mois, c’est vraiment trop court car nous n’avons visité que la moitié du pays, l’occasion de revenir bientôt pour d’autres aventures. Le départ est proche, nos valises pleines de cadeaux et nos yeux remplis d’images fabuleuses, nous rentrons avec le sentiment que très prochainement nous reviendrons.

    Je m’appelle Manh, et je ne veux plus repartir, je rêve de rester vivre ici, au Vietnam, dans ce pays où qui m’attend déjà.

    Vietnam je t’aime, Vietnam j’ai besoin de toi, V tu m’a manqué, Vietnam, Vietnam!!!

    Contact MANH Carnets de voyage en asie

  • La Maison du Blues Samedi: « Du blues à guichets fermés ».

    La Maison du Blues Samedi: « Du blues à guichets fermés ».

     

    Comme nous l’avions imaginé les places se sont arrachées pour samedi soir  à la Maison du blues!!
    Il vous reste la possibilité de venir dimanche 24 février à 18h écouter :
    pour que vous profitiez de l’après midi ensoleillée et des jours qui rallongent nous vous proposons exceptionnellement ce  concert à 18h
    (ouverture à 17h)
    n’hésitez pas, pour ne pas rater cet évènement venez dimanche !!
    nous pouvons vous proposer une petite restauration après le concert, sur réservation, pour finir le week-end !!!
    Renseignements et Réservations :
    06.24.77.71.58
    La Maison du Blues a vécu sa deuxième année grâce à vos soutiens et ceux des musiciens qui se sont produits pour le plus grand plaisir de tous sur la scène de notre club.
    Nous avons vécus de très grands moments musicaux dans la convivialité. Vous pouvez d’ailleurs en retrouver certains sur notre site internet sous forme de vidéos. (la Maison du Blues site officiel)
    L’année 2019 est très importante avec l’inauguration le 6 avril prochain du premier musée du Blues en France !! à Châtres sur Cher en présence de Bobby Rush !!
    Nous avons donc plus que jamais besoin de votre soutien qui se matérialise en premier par l’adhésion annuelle à la Black Jack Blues Association.
    • Nous vous adressons donc un bulletin d’adhésion pour cette année 2019 qui s’annonce très riche dans sa programmation, avec de très belles surprises !!
    Le montant de l’adhésion reste le même que pour 2018 soit 15 euros qui vous permet d’accéder à tous les concerts au tarif de 10 euros. les règlements sont possibles soit par chèque soit par virement bancaire
    • et Bien sûr il est également possible de faire un don à « Blues Préservation & Project Jacques et Anne Marie Garcia » avec une déduction fiscale de 66% du montant de votre don, nous vous joignons également le document avec les informations nécessaires.
    Merci à vous par avance pour votre soutien sous quelque forme qu’il soit : participation aux concerts, adhésion ou dons !
  • Trân Thu Vân, finaliste au Prix Marcel Duchamp 2018

    Trân Thu Vân, finaliste au Prix Marcel Duchamp 2018

    Message du réalisateur Lam Lê avec entretien joint avec l’artiste peintre et sculpteur d’origine vietnamienne Trân Thu-Vân (Thu-Van Tran) qui expose cinq nouvelles oeuvres jusqu’au 31 décembre 2018 au Centre Pompidou :

    ‘Courez-y voir avant le 31 décembre 2018.

    Elle s’appelle Trân Thu Vân, finaliste au Prix Marcel Duchamp 2018.

    De par la matière provenant des plantations d’hévéas du Sud-Vietnam d’où elle vient, qu’elle utilise dans ses oeuvres monumentales, c’est une artiste post-coloniale à souhait. 👍👍👍’

    Lien vers la vidéo de l’entretien : https://m.youtube.com/watch?feature=share&v=MQBB4q3BNiU

    – Plus d’informations sur cette exposition et cette artiste danshttp://www.paris-art.com/mohamed-bourouissa-clement-cogitore-centre-pompidou-paris-prix-marcel-duchamp-2018/

  • J’ai changé par la lecture et l’hypnothérapie

    J’ai changé par la lecture et l’hypnothérapie

    À l’époque j’étais un garçon très sage mais de surcroît aussi très très extrêmement timide. Quand j’étais dans le métro parisien je ne m’asseyais jamais en face d’une personne même si la place était libre car je n’osais pas lever les yeux regarder l’autre personne en face. Du coup je restais toujours debout et cela m’a poursuivi très longtemps car dans le cadre de ma famille il n’était pas question d’avoir une personnalité hors du commun il fallait être lisse et ne pas la ramener.

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    Je traînais ce problème comme un boulet qu’on traîne au pied, baissant sans arrêt les yeux pour regarder vers un avenir vraiment pas rose.
    À l’époque il fallait pour intégrer la société se retrouver dans un groupe d’amis évidemment c’était à l’époque toujours politique et avec les « Mao » habillés tout en rouge, il y avait les aussi les « Anar » vêtus de noir, il n’y avait qu’une histoire stupide de couleurs.  On pouvait aussi plus simplement savoir jouer au baby-foot, jouer au flipper sans faire tilt ou boire des cafés dans un petit rade près du lycée.
    Je décidai donc de rester seul dans mon coin car je trouvais ces « bavardages » stériles et non bienveillantes, les autres étant toujours des ennemis à abattre et non des interlocuteurs… Choisir son camps en fonction de notions formatées ne pouvait me satisfaire.
    Je m’enfermai donc dans une sorte de solitude que j’appréciais parfois beaucoup comme le plaisir d’une personne abandonnée et seule, je pensais vraiment que la vie c’était ça c’était cette espèce de d’angoisse qui laisse comme un chagrin perdu loin des amis loin des contacts loin de tout.
    81L5575gqEL._SL1500_Mon père qui m’appréciait beaucoup quand j’étais encore petit , jouait souvent avec moi au Scalextric cette petite voiture de course d’antan, au mécano ou aux petits soldats de plomb. Tout d’un coup se il se détourna et m’occulta comme on délaisse un nouveau jouet après l’avoir trop utilisé; et tout cela me laissa seul avec un goût amer d’abandon.
    Fortuitement je trouvai une amie: la musique; cette passion m’emporta vers d’autres cieux. Éperdu par les sons du rock’n’roll, du blues et du funky je me plongeais rapidement dans une autre solitude mais beaucoup plus joyeuse. Je me mis à gratter de la guitare avec frénésie mais toutefois je n’avais aucun contact avec l’extérieur et il fallait absolument que je trouve un groupe afin de m’intégrer et faire de la musique en live devant un vrai public. Ce qui fut fait!
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    Heureusement j’avais un autre échappatoire: je lisais énormément des livres de science-fiction et de fantastique. Ces romans m’emportaient loin de tout, du monde qui obscurcissait ma vie, des moments de grande angoisse, je voyageais et au-delà des étoiles à des millions d’années-lumière de la terre. J’avais cette impression de m’échapper d’être libéré d’ une lourdeur, d’une lassitude, d’ une morosité, je m’envolais parmi les planètes encore jamais visitées. J’avais cette opportunité de partir au-delà du réel de connaître autre chose beaucoup plus attrayante, d’autres visions, de découvrir une autre carte du monde. Dans ma tête se formait un monde tout à fait irréel plus intéressant, plus productif et qui me permettait de m’ouvrir sur le monde de demain. Et aujourd’hui bizarrement je retrouve ce petit quelque chose de je ne sais quoi qui m’appartient et que je possède tout au fond de moi: la possibilité enfin de rêver. Aujourd’hui avec l’intelligence artificielle (IA) je m’aperçois que le monde dont je rêvais dans lequel je me mouvais était devenu réel comme un rêve qui se réalise hors de soi des robots des fusées des planètes qu’on va visiter une espèce de monde qui s’adapte à son imagination.
    Et oui cet univers un peu fantasmagorique que j’avais imaginé au fond de moi est devenu réalité. Qui aurait pensé qu’il puisse exister la toile du web cette araignée incroyable qui permet aujourd’hui aux êtres humains de communiquer partout à travers le monde, Internet, les ordinateurs, l’intelligence artificielle, les voyages dans l’espace, toutefois le rêve a un prix à payer: ces avancées sauront-elles améliorer le monde de demain ou asservir les hommes?
    J’ai cette impression infuse qu’hier c’est demain et qu’aujourd’hui c’est déjà après demain tout va si vite.
    En fin de compte ma timidité m’a obligé à regarder ailleurs et à travers cet ailleurs je  retrouve aujourd’hui et aujourd’hui seulement un autre univers que les autres ne voyaient pas.
    Tous nous avons un petit « quelque chose » qui nous permet de voir le monde autrement, avoir notre propre carte du monde. Cette vision plus ouverte de ce qui nous entoure me permet aujourd’hui de vivre en harmonie avec mes semblables, d’être bienveillant  avec bonheur grâce à l’hypnothérapie qui me donne la capacité de posséder comme chacun de nous d’ailleurs, une conscience modifiée (terme approprié à l’hypnothérapie).
    Je voyage sans que mon corps physique lui ne bouge , je vais là où seul l’inconscient peut aller.
    Surtout n’ayez pas le moindre doute: la timidité est un sacré avantage!
  • Peintres du Marais, avec participation de Nam Trân  23 septembre 2018

    Peintres du Marais, avec participation de Nam Trân 23 septembre 2018

    De mai à septembre 2018, Journées de la Peinture, en plein air (sauf par temps de pluie), des Peintres du Marais, avec participation de Nam Trân, artiste peintre d’origine vietnamienne, dimanche 23 septembre 2018 de 10h à 19h, square Jean XXIII (Paris 4e)

    Avec l’arrivée des beaux jours, Les Peintres du Marais, Association 1901 à but non lucratif, offre au travers des Journées de la Peinture, une approche culturelle de proximité et de qualité, aux parisiens et touristes nombreux dans le quartier du Marais.

     

    Venez nombreux à ces rencontres conviviales organisées pour que tous les artistes inventifs et créateurs en tout genre, puissent exposer leurs œuvres, et de permettre à tous les publics l’accès à l’Art en toute liberté.

    Graciela Grimaldi – Présidente des Peintres du Marais

    À cette occasion, l’artiste peintre d’origine vietnamienne, Nam Trân, avec les peintres du Marais, exposera, en plein air, plusieurs tableaux, dimanche 23 septembre 2018 de 10h à 19h, square Jean XXIII, derrière Notre-Dame de Paris.

     

      

     

    Pour s’y rendre :

    Le square Jean XXIII se trouve juste derrière Notre-Dame.

    Stations : Cité (Métro 4) / Saint Michel-Notre Dame (Métro 4, RER B, RER C) / Maubert Mutualité (Métro 10) / Notre Dame –Montebello (Bus 24, 47, N15, N22)

    Pour plus d’informations sur les peintres du Marais :

    http://lespeintresdumarais.fr/accueil.htm

    Pour plus d’informations sur l’artiste peintre Nam Trân :

    http://www.mcfv.eu/nam-tran-artiste-peintre/

    http://www.mcfv.eu/samedi-9-et-dimanche-10-juin-2018-participation-de-lartiste-peintre-dorigine-vietnamienne-nam-tran-aux-journees-portes-ouvertes-des-ateliers-dartistes-a-vitry-organisees/

    http://www.namtran.fr/

    http://saviet.fr/nguyen-nam-tran/

    mcfv

  • « Quand maman n’est pas là (Mẹ vắng nhà) »projection

    « Quand maman n’est pas là (Mẹ vắng nhà) »projection

    Samedi 22 septembre 2018, projection gratuite à 14h du documentaire d’actualité, « Quand maman n’est pas là (Mẹ vắng nhà) », tourné clandestinement au Viêtnam, suivie d’un débat, notamment avec le réalisateur et l’actrice principale (Paris 13e)

    Projection gratuite du documentaire d’actualité, « Quand maman n’est pas là (Mẹ vắng nhà) », tourné clandestinement au Viêtnam, puis discussion avec le réalisateur, Clay Pham, et l’actrice principale, Mme Tuyết Lan, samedi 22 septembre 2018 à 14h.

    Seront proposées collation et dégustation pour générer des fonds. L’entrée est gratuite mais les places sont  limitées. Mieux vaut être sur place dès 13h30.

    Quand maman n’est pas là (Mẹ vắng nhà)

    Un film de Clay Pham

    2018, 42’, vo sous-titrée en français

    La vie quotidienne à Nha Trang de deux enfants avec leur grand’mère, en l’absence de leur mère, condamnée à 10 ans de prison pour avoir défendu les droits humains et l’environnement. Il s’agit de la blogueuse Nguyen Ngoc Nhu Quynh, pseudonyme Me Nam (Maman Champignon), lauréate des prix Hellman – Hammett (Human Rights Watch 2010), Civil Rights Defenders (Comté Helsinki suédois 2010), Women of Courage (Département d’Etat américain 2017), Press Freedom (Comité pour la protection des journalistes 2018).

    Mẹ vắng nhà

    phim của Clay Phạm

    2018, 42’, phụ đề tiếng Pháp

    Cuộc sống ở Nha Trang của hai cháu bé với bà ngoại khi mẹ vắng nhà do bị án 10 năm tù ở vì hoạt động bảo về nhân quyền và môi trường. Đó là trường hợp của gia đình blogger Nguyễn Ngọc Như Quỳnh, biệt danh Mẹ Nấm, mà quốc tế đã trao tặng các giải thưởng Hellman – Hammett (Human Rights Watch 2010), Civil Rights Defenders (Ủy ban Helsinki Thụy Điển 2010), Women of Courage (Bộ ngoại giao Hòa Kỳ 2017),  Press Freedom (Ủy ban bảo vệ nhà báo 2018).

    Lieu de projection :

    Espace Ararat – 11 rue Martin Bernard, Paris 75013

    Métro (Lignes 5, 6 ou 7) station Place d’Italie

    A noter que ce documentaire ainsi qu’un autre documentaire d’actualité seront présentés par le ciné-club Yda, samedi 29 septembre aux Ateliers Varan (Paris 11e). La projection sera également suivie d’un débat :

    http://www.mcfv.eu/samedi-29-septembre-2018-a-14h30-le-cine-club-yda-presente-2-documentaires-dactualite-realises-clandestinement-au-vietnam-suivis-dun-debat-aux-ateliers-varan-paris-11e/

  • 3 adages pour être heureux Eve-Elisabeth Martin  Hypnothérapeute

    3 adages pour être heureux Eve-Elisabeth Martin  Hypnothérapeute

    Avancer harmonieusement dans la vie grâce à 3 adages

    par

    Eve-Elisabeth Martin 

    (Hypnothérapeute et Coach)

    Il arrive parfois qu’on puisse se trouver sur des chemins de traverse où faire un choix paraît difficile. En effet certaines situations sont insatisfaisantes parce qu’elles ne sont pas compatibles avec notre »écologie » personnelle. Il est alors temps de faire un choix qui s’avère souvent Cornélien, lorsque le connu « toise » l’inconnu.

    Dans le cadre de votre épanouissement personnel, voici 3 adages qui vous donnent les clés du bonheur.

     

    1- « Choisis bien ton métier et plus jamais tu ne travailleras » (Confusius)

    Choisir le métier idéal n’est pas toujours un long fleuve tranquille. Il arrive que le chemin soit parsemé d’embûches en raison de différentes obligations tant domestiques que pécuniaires. La liberté de choisir est alors d’autant plus restreinte.  Cependant il est primordial de ne pas abandonner ses rêves et de travailler sans cesse à s’en rapprocher le plus possible: un peintre rêvant de devenir le nouveau Picasso qui serait professeur aux Arts Déco…

     

    2-  » On ne va pas aussi loin que lorsque l’on ne sait pas où l’on va  » (Cromwell).

    Il est entendu que se lancer dans une aventure sans lendemain est une absurdité, cependant trop réfléchir peut en être une également. Il arrive que ce soit tout simplement une façon de reculer, parfois même un alibi au manque de courage avec son cortège d’anticipations anxiogènes et d’auto-limitations « saboteuses ». Alors ne laissons pas nos croyances limitantes envahir notre vie et soyons enfin acteur de notre destiné.

     

    3- « La seule frontière à tes rêves, c’est toi » (PNL- Programmation Neuro- Linguistique)

    Nos croyances personnelles peuvent nous  empêcher d’avancer en se dressant comme autant d’obstacles parfois insurmontables:

    • « je ne peux pas »
    • « ce n’est pas fait pour moi »
    • « il est trop beau, il ne voudra jamais »
    • « j’ai peur de ne pas réussir »
    • « il est plus rapide que moi »…

    Apprenons à nous affranchir de nos peurs injustifiées et devenons définitivement libre d’agir. Apprenons à respirer et à « ETRE », cultivons cette quête farouche du bonheur comme un aboutissement suprême.

    1-2-3 soleil…

    Eve-Elisabeth Martin (Hypnothérapeute et Coach)