Étiquette : galerie Barlier

  • Exposition de la poétesse et peintre Jie Wang.

    Exposition de la poétesse et peintre Jie Wang.

    Venue: Galerie FRANCIS BARLIER 36 Rue de Penthièvre Faubourg Saint Honoré 75008 Paris

    Ouverture exceptionnelle ce dimanche en solidarité avec les autres galeries de la Rive Droite.

    Cliquer ICI pour voir les toiles

    Née à Shanghai, la poétesse et peintre Jie Wang habite à Paris depuis presque 20 ans. Elle dédie sa troisième exposition à Paris confiné. Vite retrouvons Paris de toutes les couleurs !

    « Peste soit du noir et blanc ! Paris est un orage de couleurs, une explosion de tons. Un arc en ciel vivace, dont Jie Wangse plait à d-épingler les angles de rues, les porches, les détails, comme autant de vignettes lumineuses. »

    Nicolas d’Estienne d’Orves

    Expositions personnelles :

    • 2020 Paris confiné, galerie Francis Barlier, Paris.
    • 2019 Natures Mouvantes et Entrechats, Galerie Thuilier, Paris.
    • 2017 Regards croisés, Paris.
    • 2016 Poésie silencieuse, Mairie du VI de Paris.

    Autres expositions :

    • Lille : Hôtel de la Région Hauts de France
    • Paris : Hôtel de la Région Ile de France
    • Ivry-sur-Seine : Cercle carré, dans son atelier
    • Shanghai : participation dans l’exposition collective Catopia, Galerie M50

    Publication en édition bilingue:

    • Les 48 plus beaux poèmes de Baudelaire (édition You Feng)
    • De la belle aube au triste soir, choix de poèmes (édition You Feng)
    • Rimbaud, le météore de la poésie française (édition Castor & Pollux)
    • Paris, errances poétiques, sélection de poésie sur Paris.

     

  • Remy Aron à la Galerie Francis Barlier

    Remy Aron à la Galerie Francis Barlier

    Vernissage  ce mercredi 16 septembre 2020 convivial et malgré les masques anti- covid tout de suite un climat chaleureux s’installe.

    Rémy Aron, « Le spacisme » – Nature & aventure

     

    Exposition du 15 septembre au 3 octobre 2020

    Une conférence-débat le 19 septembre à 15h00 :
    « Rémy Aron, 50 ans de peinture »
    Animée par Tjeri Liu

    Après l’atelier de Gustave Singier et son diplôme en 1972 à l’école Beaux-Arts de Paris, sa rencontre en 1975, avec Roger Plin a été déterminante. Elle lui a permis de dérouler, par l’intérieur et par le travail, les préoccupations picturales professionnelles et la relation intime avec les maîtres de tous les temps, tout en cultivant, en parallèle, le regard sur la nature. Puis la relation avec Jean Bertholle et le « fait pictural » a complété sa formation.

    A la 4ème exposition depuis trente ans, la Galerie Francis Barlier, montrera des « expériences » picturales qui correspondent à son évolution. Elles peuvent se caractériser par la paraphrase d’une citation d’Édouard Herriot qui dirait :   La tradition en peinture – « c’est ce qui reste quand on a tout oublié ».  En effet, il ne conserve comme credo, que les limites du format et l’épaisseur de l’espace pictural.

    Georges-Henri Rivière écrivait en 1974 pour l’exposition de Rémy Aron, à la Galerie Boris Orekoff, rue Mazarine à Paris :

    « Rémy Aron est né le 16 avril 1952, à Suresnes, par hasard, auprès d’un vignoble qu’on ne vendange plus. A quinze ans, il commence à sculpter et à peindre.

    Les circonstances quelque peu mouvementées de son adolescence l’ont éloigné du modèle de vie habituel à cet âge. Son modèle à lui a été artistique. Un modèle qui ne soit ni gréco-latin, ni comme il dit, « trigonométrique » qui le conduise « de l’informel au formel, du bouillonnement à la structure, de l’inconscient au conscient ». De métamorphoses en métamorphoses. A l’aide d’un outil polyvalent et évolutif, attaché aussi bien à ciseler l’objet usuel, que l’objet de délectation.

    L’exposition qu’il présente aujourd’hui apporte un choix de témoins de son art, varié en surface, convergent en profondeur. S’il ne le satisfait pas lui-même – mais quand cet homme sera-t-il satisfait – un bilan, puisse-t-il le croire, qui satisfait déjà ses amis. »

    RSVP directement par le lien de l’évènement, par courriel ou par téléphone.

    Président de l’AFAP Association française des arts-plastiques
    Bourse de séjour à la Casa Vélasquez, Madrid en 1979
    Bourse du Conseil régional d’Ile de France, en 1982

    Premier prix Noufflard, Fondation de France en 1985
    Bourse de l’Académie des beaux-arts – Médaille d’or des artistes français
    Grand prix Fernand Cormon (Fondation Taylor)
    Médaille d’honneur régionale, départementale et communale -Vermeil
    Nombreuses expositions personnelles et de groupe depuis 1974 en France, en Europe et en Chine.
    Grands Salons  (Mai, Grands et jeunes, 109, Automne, Comparaison.)

     

    Ont écrit sur la peinture de Rémy Aron :

    Georges – Henri Rivière / Stanislas Fumet / Patrick-Gilles Persin / Jean-Robert Armogathe / Patrice de la Perrière / Max Fullenbaum / Xavier Bureau / Françoise de Céligny / Pierre Souchaud  / Emmanuelle Tenailleau / Lydia Harambourg/ Alin Avila / Yves Kobry

     

  • Galerie Barlier: Rémy Aron « Le spacisme ».

    Galerie Barlier: Rémy Aron « Le spacisme ».

    Rémy Aron, « Le spacisme » – Nature & aventure

    08Exposition du 15 septembre au 3 octobre 2020

    Vernissage le mercredi 16 septembre 2020 à 18h00
    (Cliquez ici pour RSVP)

    Une conférence-débat le 19 septembre à 15h00 :
    « Rémy Aron, 50 ans de peinture »
    Animée par Tjeri Liu
    (Cliquez ici pour vous inscrire)

    Depuis son adolescence, Rémy Aron cherche à apprendre à peindre.
    Cliquez ici pour visualisez un interview de l’artiste sur Mandarin TV.

    Après l’atelier de Gustave Singier et son diplôme en 1972 à l’école Beaux-Arts de Paris, sa rencontre en 1975, avec Roger Plin a été déterminante. Elle 09lui a permis de dérouler, par l’intérieur et par le travail, les préoccupations picturales professionnelles et la relation intime avec les maîtres de tous les temps, tout en cultivant, en parallèle, le regard sur la nature. Puis la relation avec Jean Bertholle et le « fait pictural » a complété sa formation.

    A la 4ème exposition depuis trente ans, la Galerie Francis Barlier, montrera des « expériences » picturales qui correspondent à son évolution. Elles peuvent se caractériser par la paraphrase d’une citation d’Édouard Herriot qui dirait :   La tradition en peinture – « c’est ce qui reste quand on a tout oublié ».  En effet, il ne conserve comme credo, que les limites du format et l’épaisseur de l’espace pictural.

    07Georges-Henri Rivière écrivait en 1974 pour l’exposition de Rémy Aron, à la Galerie Boris Orekoff, rue Mazarine à Paris :

    « Rémy Aron est né le 16 avril 1952, à Suresnes, par hasard, auprès d’un vignoble qu’on ne vendange plus. A quinze ans, il commence à sculpter et à peindre.

    Les circonstances quelque peu mouvementées de son adolescence l’ont éloigné du modèle de vie habituel à cet âge. Son modèle à 05lui a été artistique. Un modèle qui ne soit ni gréco-latin, ni comme il dit, « trigonométrique » qui le conduise « de l’informel au formel, du bouillonnement à la structure, de l’inconscient au conscient ». De métamorphoses en métamorphoses. A l’aide d’un outil polyvalent et évolutif, attaché aussi bien à ciseler l’objet usuel, que l’objet de délectation.

    L’exposition qu’il présente aujourd’hui apporte un choix de témoins de son art, varié en surface, convergent en profondeur. S’il ne le satisfait pas lui-même – mais quand cet homme sera-t-il satisfait – un bilan, puisse-t-il le croire, qui satisfait déjà ses amis. »

    Téléphone
    0149530005
    Site internet

  • Albert Hadjiganev, une exposition personnelle

    Albert Hadjiganev, une exposition personnelle

    Albert Hadjiganev naît en 1954 en Bulgarie1.

    Il suit des études de Beaux Arts à Sofia et obtient un diplôme de photographie.

    Interdit de quitter le territoire bulgare, il passe clandestinement la frontière et arrive finalement à Paris en . Il a 28 ans.

    Tout en apprenant le français et en survivant grâce à des « petits boulots », il s’inscrit aux ateliers de dessin de la ville de Paris.

    Il est diplômé en 1987 de l’école nationale supérieure des beaux-arts2.

    Date: 2020-07-16 18:00

    Vernissage le jeudi 16 juillet à 18h00, inscription obligatoire.
    Rencontre avec l’artiste le samedi 18 juillet à 18h sur l’antenne de Mandarin TV dans l’émission hebdomadaire « Le Pont des arts »

    …Chaque tableau d’Hadjiganev réapprend à voir, à écouter et à se taire pour laisser cheminer l’émotion d’un instant, happée, retranscrite, offerte à d’autres souvenirs. Impressions fugitives, réminiscences… Le regard se perd dans la toile, éclaboussé de lumières, se détache, revient, capte l’indicible et l’émotion s’installe. Pour longtemps.

    Christine Fauvet Mycia, Le Figaro 

    …Les toiles d’Hadjiganev sont pétries de lumière, une lumière qui exsude, qui vient de l’intérieur du sujet représenté. Et pourtant, l’artiste ne choisit jamais de thème spectaculaire: ici une pomme, là un verre, là une plaine baignée dans une lumière grise très claire, là encore une fleur ou l’espace entrevu dans une enfilade de portes décalées. Ces œuvres qui transfigurent librement le réel ont une grâce altière, de la noblesse même. Simples dans leur composition et pourtant architecturées, elles vibrent sous les strates superposées en transparence…De la pure peinture.

    Marc Herissé, La Gazette de l’Hôtel Drouot

    Albert Hadjiganev peint avec intensité et des audaces mesurées des intérieurs dans des couleurs plutôt sombres presque chuchotées. Images intimes où l’artiste s’aventure avec lenteur dans les marges surprenantes de la beauté.

    Jean Marie Tasset, Le Figaro 

    …On aura compris que l’ambition d’Albert Hadjiganev n’est pas temporelle mais spirituelle et que l’ascèse du tableau pose comme préalable, celle de la vie personnelle. C’est pour cela qu’il travaille seul, à l’écart, loin, pauvre, muet, plutôt que parmi, au milieu, entouré, adulé, travesti…

    Max Fullenbaum, Arts Actualités Magazine

    Rencontre sur l’antenne de Mandarin TV le samedi 18 à 18:00 dans l’émission hebdomadaire « Le Pont des arts ».

    Exposition du jeudi 16 juillet au samedi 15 août

    Galerie Barlier
    36 rue de Penthièvre Faubourg Saint-Honoré 75008 Paris
    RSVP : contact@galeriebarlier.fr Tél : 01 49 53 00 05

    Du 2020-07-16 18:00 au 2020-08-15 18:00
    ↳ mardi, mercredi, jeudi, vendredi & samedi

     

  • Christophe Giral à la galerie Barlier

    Christophe Giral à la galerie Barlier

    La Galerie Francis barlier expose Christophe Giral
    un voyage au cœur de la lumière

    Paris, France, 21 mai 2020 :  Cette exposition rassemble l’ensemble du travail de plus de dix ans du peintre toulousain, il explore pendant ce temps l’univers de la lumière grâce aux outils du 21e siècle, et peint avec les techniques de la renaissance. Il combine ainsi le meilleur dont nous disposons aujourd’hui, sans dédaigner l’héritage du passé, pour offrir des vues uniques, particulièrement vibrantes, sans pour autant se baser sur des scènes extraordinaires. C’est l’art de la lumière; celle ci pour lui étant comme les notes de musique pour un compositeur. Avec comme seule arme la couleur il crée une symphonie vibrante, à partir d’une image quelconque, grâce à une écriture à la fois puissante et méticuleuse, par moment même pointilliste.

    Dans le contexte du covid-19, nous allons limiter la présence au vernissage et à la visite quotidienne, afin de respecter les consignes sanitaires, mais en même temps, nous offrons une expérience virtuelle de la visite de façon complète : un film haute définition établit une relation intime et directe entre l’œuvre, l’artiste et le public ; une visite 3D permet de visualiser l’accrochage dans l’espace de la galerie ; des images haute définition avec des photos de détail sur le site de l’exposition permettent de voir l’œuvre de façon plus précise. Cependant, une visite physique est nécessaire pour apprécier les qualités de l’œuvre, surtout pour cet artiste dont l’expression dépasse les conditions matérielles de présentations virtuelles.

    Pour aller plus loin, nous organisons autour de son livre « Un nouvel art de la couleur » trois conférences pour présenter au public initié et curieux sa découverte et l’application de celle-ci dans la peinture :

     

    Conférence I : Peindre l’inimaginable de la nature

    Certains artistes dans le passé ont cherché à comprendre l’origine des arts plastiques par une étude de la lumière. L’arrivée de la chambre noire a permis dès la Renaissance d’étudier la structure graphique et colorée des images projetées par la lumière. A partir du 17eme siècle certains peintres ont une approche directe de l’image lumineuse, s’opposant à toutes les traditions du monde plastique de leur époque. Cette conférence a pour but de montrer à travers le travail de quelque peintre (du 17eme siècle au début du 20eme siècle), l’évolution de ce qui constitue le ferment de toute modernité.

    Conférence II : L’harmonie et le dessin chromatique

    Le dessin chromatique est à lui seul une petite révolution plastique. Le peintre le perçoit intuitivement puis il découvre son omniprésence et son intérêt plastique fondamental pour qui veut traiter l’espace. A partir de 2005 sa pratique picturale va être bouleversée. Cette découverte est la solution d’un problème plastique de l’art de peindre, le conflit entre le dessin et la couleur. Le dessin en devenant chromatique s’intègre parfaitement au système d’harmonie des couleurs. Seuls les moyens techniques d’aujourd’hui permettent de mettre en évidence cette toute nouvelle solution plastique qui fait le lien avec toutes celles qui l’ont précédée. Cette nouvelle plastique ouvre des horizons si vastes que peu d’artistes pourront en expérimenter tous les possibles.

    Conférence III : En finir avec le cercle chromatique

    Le système classique d’harmonie des couleurs (intéressant à son époque) est désormais, au vu des techniques nouvelles de ce siècle, complètement dépassé. La création d’une nouvelle architecture de la lumière compréhensible par tous ceux qui utilisent les couleurs (les peintres entre autres) est devenue une nécessité vitale pour tous les arts visuels. La couleur dans la nature n’est pas un phénomène décoratif. Comprendre les nouvelles fonctions de la lumière (spatiale et chromatique) fait apparaître un monde du visible ou le hasard n’a pas de place. Libre à chacun bien sûr d’interpréter ce solfège à sa manière, mais le solfège des couleurs existe bel et bien.

    Entretien avec son épouse ANNIE COUGET,
    sculpteur et scénographe, chargé de cours à l’Université Jean-Jaurès de Toulouse :

    « Mais finalement, où est l’artiste ? » me demandez-vous.

    Mais il est là… derrière son pinceau, à l’écoute de la nature… et il passe sa vie à peindre.

    Ce qu’il peint ?

    Ne vous y trompez pas, c’est toujours le même sujet. Il le décline sur ses toiles.

    Sa muse : c’est la lumière. Elle qui caresse, révèle ou efface à l’envi, les objets, les paysages, les personnages …

    Et immanquablement, elle jaillit de ses toiles, rythmées en profondeur par des couleurs claires et franches, sourdes et veloutées qui se renforcent mutuellement jusqu’à l’épanouissement final d’une trompe l’œil vibrant qui nous interpelle.

    Une peinture au chromatisme puissant qui impose sa perspective, son ressenti de la profondeur, qui dématérialise la surface de la toile, transforme les pigments en lumière et, par là même, nous transporte, au-delà d’un réalisme quelconque, vers les profondeurs de l’essence du visible.

    Et ce, sans aucun subterfuge, sans tricherie, sans épaisseur. Beaucoup de travaux artistiques tournent aujourd’hui autour de cette quête sans jamais y arriver vraiment (peinture sur verre, semi bas-relief…) Il y a toujours un truc, une ficelle.

    Christophe Giral, en peignant le réel, en analysant comment notre œil perçoit la lumière, est arrivé à écrire l’espace.

    « Alors c’est scientifique ».

    Peut-être, à la marge entre art et science en effet : c’est la mise en évidence de l’existence d’une perspective chromatique.

    Mais Brunelleschi a démontré le caractère universel de la perspective linéaire, il n’a pas été mis au banc des artistes pour autant à cause de son côté scientifique.

    On vit une époque bien singulière où l’artiste se doit à un intellectualisme primordial, sans lequel pas de salut possible. En face de lui une élite d’initiés convaincue de détenir la vérité et qui, somme toute, véhicule un académisme comme un autre.

    La peinture de C. Giral et sa démarche, puisqu’il en faut une, c’est à l’instars des impressionnistes, un retour à la nature. Que faire d’autre face à un académisme sûr de lui-même ? Mêmes problèmes, mêmes solutions…

    Eux aussi sont retournés à la nature, ont remis en question les enseignements de l’époque pour donner à l’art de peindre un nouvel élan. Ils ont étudié le motif inlassablement, jusqu’à trouver dans la beauté des couleurs qu’ils voyaient sur nature, un assemblage novateur, un renouveau plastique que chacun depuis a reconnu et apprécié à sa juste valeur mais qui, à son époque, fit polémique.

    Le temps finit toujours par venir à bout des a priori et personne aujourd’hui ne se demande plus si un peintre impressionniste est bien un artiste !

     

    « Oui mais, il utilise la photographie ! »

    Bien sûr, et même l’ordinateur : il faut être de son temps.

    D’ailleurs aujourd’hui la photographie est reconnue comme un art et quel est l’artiste qui ne s’en sert pas ?

    De plus Christophe Giral dans sa peinture va bien au-delà du réalisme photographique, au-delà même de ce courant pictural auquel quelques-uns le raccrochent par facilité : l’hyperréalisme. Mais ses toiles ne sont pas vraiment dessinées, elles sont claires et vibrantes et le dessin n’est que couleur. Si elles paraissent hyperréalistes c’est grâce à l’utilisation de la perspective chromatique.

    L’évolution est là : le peintre Christophe Giral « ce musicien de la lumière » peut désormais rendre l’espace palpable au sein même de la toile. Sa signature, un tampon contenant trois lettres : MDL (Musique De Lumière) entérine l’affaire.

    Son art consiste à faire oublier la matière picturale pour transmettre au spectateur, envouté par la magie des couleurs, la poésie de la lumière et de l’espace.

    Galerie Barlier 36 Rue de Penthièvre, 75008 Paris

    Contact : Tjeri Liu, commissaire

    Téléphone : 06 19 30 18 57/ http://www.galeriebarlier.fr