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  • Acupuncture

    Acupuncture

    Acupuncture et médecine traditionnelle chinoise.

    L’acuponcture.

    (Casimir, le fait du Dragon.)

    Les principes fondamentaux de l ’acupuncture sont décrits dans le Huangdi Nei jing (Classique interne de l’empereur jaune), c’est un ouvrage composite dont les parties les plus anciennes remonteraient au III siécle avant J.-C.

    * Concept des méridiens et vaisseaux secondaires.

    La médecine traditionnelle Chinoise considère que les méridiens (Jing) et les vaisseaux secondaires (Luo), sont des trajets répartis dans le corps humain, et dans lesquels circulent le sang et le qi (énergie vitale). Ils forment un réseau reliant les régions superficielles et les régions profondes du corps, équilibrant le fonctionnement de l’ensemble de l’organisme.

    Les méridiens sont les troncs principaux et circulent longitudinalement, alors que les vaisseaux secondaires sont leurs branches.

    L’on peut considérer deux groupes :

    - Les méridiens réguliers (Les Douze Méridiens )

    -  Les méridiens extraordinaires (Les Huit Méridiens Extraordinaires)

    Pour les vaisseaux secondaires, il y a les majeurs et les accessoires. Ils permettent la communication d’un méridien à l’autre. Les méridiens sont répartis symétriquement sur l’ensemble du corps. A l’intérieur, ils se relient avec les viscères, et à l’extérieur avec les quatre membres, la peau, les organes des sens, faisant du corps un ensemble organisé.

    * (source : Précis d’acuponcture Chinoise, Académie de médecine traditionnelle chinoise Edition Dangles)

    C’est de manière empirique et au cours des siècles, que les anciens ont découvert, de proche en proche, que la stimulation de certains points du corps avec des aiguilles, pouvait améliorer l’état de santé des malades. Il n’est pas exclu de penser que la pratique de la méditation ait joué un grand rôle dans ces découvertes. (la méditation en Asie est considérée comme un état actif du corps et de l’esprit ; à ne pas confondre avec la contemplation qui est un état passif.)

    Ainsi s’est formée cette représentation du corps en méridiens et vaisseaux reliés aux viscères ; le tout constitue ainsi une unité homogène.

    - L’intérieur (le corps)

    - L’extérieur (l’espace de la vie)

    - La fluidité, intérieure et extérieure (qui est appelé le qi ou l’énergie vitale), forme un tout en osmose. . L’information est transmise aux frontières de ces deux couches par la peau et les organes des sens.

    L’aiguille, en un point bien choisi, stimule le qi intérieur. Il y a de la sorte un rééquilibrage entre le qi intérieur et le qi extérieur, parce qu’ils ne sont pas différents, mais complémentaires entre eux et de même nature.

    J’entends déjà cette petite voix, qui dit et répète toujours sur le même ton, les mêmes arguments en toute circonstance et cela quel que soit le sujet que l’on aborde :

    « Oui mais les anciens ont pu se tromper, leur connaissance ne portait pas sur un raisonnement prouvé scientifiquement, et plus est, ils n’avaient pas la technologie. Nous avons la technologie, et pourtant les fameux méridiens n’ont toujours pas été détectés à ce que je sache, pas plus que cette hypothétique énergie, le qi , alors ? »

    Alors, ça suffit ! Je vous dis que cette énergie existe, les physiciens ne parlent que de ça !!

    Le zéro quantique : infinité de l’énergie

    Pour les physiciens, le vide contient toutes les particules et les forces à l’état latent. C’est une substance bien plus riche que le néant des philosophes. Sir Martin Rees.

    A qui reviendra le privilège de nous expliquer, le fonctionnement de la bienveillante corne d’abondance ? Cette personne viendra de la physique sans aucun doute. Mais non ? Mais si …

    JPB.

    Pour en savoir plus. Livres cités dans l’article :
    - Huangdi Nei jing (Classique interne de l’empereur jaune).
    - Canon de médecine. L’un des plus important livre de la culture classique chinoise.

    - Précis d’acupuncture Chinoise.
    - Académie de médecine traditionnelle chinoise Edition Dangles Livre récent qui répertorie toutes la connaissance actuelle sur ce sujet. Très technique s’adresse aux professionnels de la santé.

    ***

    Je vous conseille, si le sujet vous intéresse, tel qu’il est présenté dans cet article, deux livres, qui ne traitent pas de l’acupuncture mais qui pourront en éclairer le dessin et les contours . Les grands principes de l’acuponcture ne sont pas affaire de raison, mais de résonance. Deux livres pour trouver le juste milieux.

    - Le premier livre en éclaire le dessin . Garder l’un,

    Le livre de la cour jaune

    Présenté, traduit du chinois et annoté par Patrick Carré.

    Classique taoïste des IVe – Ve siècles Edition point sagesse Sa146

    Le corps et ses organes décrit de manière visionnaire et poétique.

    Ce livre nous fait entrer dans un monde complexe fait d’image hautement symbolique.

    Le corps vu autrement que par l’intermédiaire de machine, qui ne restitue froidement, que la connaissance technologique quelles en ont.

    - Le second livre en dessine les contours. Retourner le zéro à l’infini,

    Charles Seife Zéro La biographie d’une idée dangereuse Pluriel Hachette Littératures

    La grande aventure des chiffres, des nombres et du zéro à commencé à Babylone il y à très longtemps, probablement cherchait on un moyen pour compter les moutons . La grande aventure du zéro continue aujourd’hui, mais les moutons sont virtuels…

    Math / Physique ou en est t’on ?

    Pour ceux qui douteraient encore, qu’il existe une énergie de type qi , tel qu’ elle est décrite par les anciens.

    Pour ceux qui ne font aucune distinction entre le néant et le vide.

    Pour ceux qui bien pensant se représentent le monde de manière déterministe, et qui ont des idées bien arrêtées, concernant ce que sont ou doivent êtres les lois naturelles. Pour ceux qui parlent avec déférence de l’esprit cartésien. Ce livre n’est pas pour vous, il peut même être nocif pour votre bien être et nuire à votre équilibre.

    Pour les autres lisez le c‘est superbe. Tour de passe-passe des gens qui savent rendre accessible au grand public, ce que la science actuelle à de plus pointu ( avec quand même un petit effort de votre part).

    Devinette : Qui à inventé le zéro ? Les ostrogot ? Les américains ? Les russes ? Les aztèques ? Les chinois ? Les grecques ? Les arabes ? Les indiens ? Les hébreux ? Les romains ? Les égyptiens ? Les gaulois ? Les mongoles ? Les turcs ? Les babyloniens ? Les néandertaliens ? Les stroumphs ? Les atlantes ? Les premiers ordinateurs ?

    Annexe

    - L’odyssée de l’espèce, au seuil de la porte de jade.

    Un bébé babille à Babylone.

    Comme un trésor, la noix cache son fuit !

    Ainsi sous l’eau bleu, l’huître, protège sa vie !

    Chambre d’or et perle de nacre …

    Ce n’est ni rond ni lisse une noix, mais plein de bosses.

    Deux hémisphères parfaitement jointes en scellent les parties.

    Un anneau de vide, les unis …

    Pour s’emparer du fruit, il faut presser la coque aux endroits choisis, autrement tout fini en bouillie.

    De matière en lumière de lumière en poussière…

    S’emparer du fruit, sans en altérer la coque, tel est le défit !

    Le bébé à grandit, une multitude babillent à l’infini …

    - A l’aube des perles de nacre.

    Garder l’un, éprouver le tout.

    Circonspect et serein, il va il vient, le centre est partout, engendrant de rien, raisonnant sans raison …

    Bulles de vie, perles de nacre, gravitent dans vide à l’infini.

     

  • Histoire vraie, Le vol du dentier

    Histoire vraie, Le vol du dentier

    Le vol du dentier ( Asie humour et histoires vraies)

    41FhKQcG-sL._SY355_LE RIRE EST LE PROPRE DE L’HOMME, RIRE JAUNE, POURQUOI PAS !

    Le vol du dentier ou le dentier qui voulait vivre sa vie!

    Avec une bande de copains nous étions partis en Chine pour un séjour touristique en 2000. Très désireux de connaître le Pékin grouillant de vie , nous avions hélé de vrais pousse- pousses Avant toute virée dans cette ville aux « mille surprises » nous nous étions convenu d’un prix global raisonnable.

    Après une promenade des plus périlleuses nous atteignîmes le but de notre escapade : le marché des perles, la Mecque des achats touristiques. Les tireurs de pousse- pousses nous demandèrent le double de la somme convenue pendant la négociation. Le ton monta très vite, nous en français et eux en chinois. Evidemment personne ne se comprenait. En Chine quand l’on parle de chiffres il est facile de s’exprimer en anglais, mais au delà chacun emploie sa langue maternelle.

    Un chinois plus énervé que les autres, clapissait tel un pitbull en colère, crachant des postillons comme un volcan en irruption. Quand soudain son dentier comme une fusée s’arrachant de sa bouche vint atterrir sur le trottoir. A cet instant un silence lourd, au milieu du vacarme de la ville, se fit entendre. Tous nous nous regardâmes… Le propriétaire du dentier se précipita sur son bien et plus rapide que son ombre « l ‘enfourna » dans la bouche …La trêve terminée la négociation reprit de plus belle et cette fois ci avec le dentier qui avait retrouvé ses pénates.

    Internaute anonyme

  • Guy Coda  « la galerie éphémère »

    Guy Coda « la galerie éphémère »

    codaGuy Coda , l’artiste par « l’excellence »

     

    Extrait d’une interview donné par Guy Coda à Open Mag le 17 octobre 2015

    Open Mag : En fait, tous ces personnages que vous dessinez, qui sont-ils ? Est ce qu’ils existent ?

    Guy Coda :- Oui ils existent bien sûr, dans ma tête d’abord, et sur le papier ensuite !

    Open Mag : Bon d’accord, ils existent sur le papier, mais pas dans la vie ?

    Guy Coda : Au contraire, ils sont d’abord dans la vie, peut être plus encore que vous et moi !

    Open Mag : ?…

    Guy Coda : Je m’explique : un dessin, une peinture, une poésie, une musique, un film, disons pourcoda

    simplifier une œuvre d’art- est peut être la plus forte manifestation de la vie ! En tous cas elle

    en est la forme la plus élaborée, la plus synthétique, celle qui nous différencie de l’animal et

    qui rend si singulière notre condition humaine. Les peintures pariétales sont la preuve qu’un

    des premiers actes de cette humanité naissante a été la création d’œuvres d’art, et quelles

    œuvres ! On peut donc en conclure, sans prendre trop de risques, que la création artistique est

    inhérente à la condition humaine.et par conséquent l’œuvre d’art est bien inscrite dans la vie !

    Mais bon, j’extrapole un peu, excusez moi, mais pour en revenir à mes personnages, vous

    avez raison, ce sont des personnages à la fois réels et fictifs. Fictifs parce que ce ne sont pas

    des portraits de gens existant, et réels car ils sont tout à fait vraisemblables, ils pourraient

    parfaitement exister ! En fait, ils ne sont pas réels mais réalistes !

    codaOpen Mag: Mais ne serait-ce pas plus simple de dessiner de vraies personnes ? Parce que j’imagine

    qu’ inventer tous ces visages, ça doit être assez compliqué, non ?

    Guy Coda : Pendant des années j’ai passé beaucoup de temps dans les cafés et autres lieux publics à

    faire le portrait des gens que je rencontrais. Cela a été pour moi une expérience très

    enrichissante mais j’ai fini par m’en lasser ! J’ai réalisé que dessiner des gens qui existent me

    limitait justement à ce qui existe- dans le sens réducteur du terme-, que cela créait une sorte

    de connivence obligée avec une chose qui me tenait à sa seule réalité. La dictature de la

    ressemblance est à cet égard exemplaire. Or j’ai besoin, comme tout créateur digne de ce

    nom, de m’extraire de cette réalité, me la réapproprier, l’extrapoler, la dépasser pour laisser

    s’exprimer ma singularité d’artiste !

    Open Mag : Oui, je vois ! Mais ne trouvez-vous que votre dessin, dans sa forme, est assezcoda

    classique ?

    Guy Coda : Vous savez, quand on cessera de mettre les gens dans des boites avec une étiquette et

    qu’on tournera le dos aux effets de mode, on aura fait un vrai pas en avant vers l’intelligence !

    Je ne sais pas si mon dessin est classique ou pas et pour tout vous dire je m’en contrefous ! Je

    ne dessine comme personne et personne ne dessine comme moi. Mon dessin n’est pas dans

    une mode quelconque qui ne vaudrait que parce que quelqu’un d’autre l’aurait décidé à ma

    place ! D’ailleurs, avant de commencer cette série j’ai travaillé longtemps des images de type

    « expressionniste » (tiens, encore une étiquette) qui sont peut être ce qui correspond le mieux

    à mon tempérament. Si j’ai choisi aujourd’hui un dessin en apparence plus « classique », c’est

    de façon délibéré, afin de mieux servir mon propos actuel. Comme ça au moins je ne peux pas

    me démoder !

    codaOpen Mag : Mais que représentent pour vous tous ces dessins ? En fait que recherchez-vous ?

    Guy Coda : L’art c’est le paradoxe de Zenon ! De même qu’Achille ne rattrapera jamais la tortue, je

    pense, comme tous mes confrères, être à la recherche de moi-même, de cet autre « moi » que

    nous poursuivons depuis toujours et que, fort heureusement, nous ne rencontrerons jamais !

    Finalement tous ces portraits ne sont peut être que des autoportraits détournés !

    Open Mag : Peut être, mais pourquoi « heureusement » ?

    Guy Coda : Parce que si on finissait par rattraper ce que nous poursuivons, notre quête du Graal

    s’arrêterait là et tout serait dit ! Ce serait la mort !…Et je ne veux pas mourir, pas tout de

    suite ! (rires)

     

    Un artiste talentueux que nous allons suivre tout au long de son évolution grâce à nos « Expositions éphémères ».

     

    Guy Coda  <davincicoda@orange.fr>

     

    ETUDES – FORMATION

    1969-70: Etudes à l’école de peinture décorative “Eugène Blot” à Reims. Obtention du diplôme de peintre – décorateur en juin 1970.

    Parallèlement, suit les cours des Beaux Arts de Reims en auditeur libre.

    Octobre 1970: Reçu sur concours à l’école Nationale Supérieure des Arts Décoratifs (E.N.S.A.D.) à Paris.

    1970 – 71: 1ère année d’ arts plastiques à la Faculté de Vincennes.

    1971 – 74: Etudes à l’E.N.S.A.D. et obtention du diplôme de l’école en juin 1974

    Depuis 1985 : Professeur de dessin à l’ E.N.S.A.D.

    EXPOSITIONS DE PEINTURES

    a) Individuelles

    1978: – Galerie Robert Clarence – Paris

    1981 – 82: – Sté Hewlett-Packard – Orsay

    1982: – Galerie Caveyrac- Paris

    – Centre culturel “Les venelles” – Bruxelles

    1986: – Semur en Auxois – Cote d’Or

    – “Le forum d’Artémis” – Besançon – Avec la participation

    de FR3 Régions

    1988: – Galerie Saint Martin – Chatillon sur Seine

    – Rue de Flandres – Paris

    1990 – 91 – 92: – Galerie D’Klic – Paris

    1991 – 92 – 93: – Verneuil sur Avre (Eure)

    1991: – Bernay (Eure)

    1992: – Galerie Didot – Paris

    – Galerie “Préface”- Paris

    1992 – 93 – 94: – Galerie 157 – Villemomble

    2001: Galerie “les cinq sens” – Paris

    2002 : Hôtel Sofitel – Paris- les Halles

    2003 : maison de la Beauce – Orgères en Beauce (28) Galerie Janos Paris 5ème

    2004 : Saint Ouen

    2005:Musée de La Poste – Paris –

    Salon du Raincy – Invité d’honneur

    Salon des Jonquerrets de Livet(27)- Invité d’honneur

    Exposition avec la D.R.A.C. Rhône –Alpes

    de juillet à août 2006 à Modane (73)

    2007 : Théâtre de poche (Chartres)

    Berlin – Galerie Kunstkreis

    2011: -Galerie « ARCIMA » –Paris

    2013 : Salle saint Michel – Bonneval

    b) Collectives

    1982: – Salon du dessin et de la peinture à l’eau – Grand Palais – Paris

    1983: – Salon de la société nationale des Beaux Arts – Grand Palais – Paris

    – Mairie du 4ème arrondissement – Paris

    1985: – Salon “les pastellistes actuels”- Les Ulis

    1982 – 86 – 87: – Musée de Tonnerre – Yonne

    1988: – 4ème salon international de Chinon

    1991 – 93: – “Le lièvre d’or” – Salon du conseil général – Dreux

    1992: – 1ère biennale de Marvejols (Lozère)

    1994: – Salon du Raincy

    2000: -5ème biennle de Marvejols

    2007: Abbaye de Nottonville (28) avec le collectif

    «Synchronicales »

    Redoute marie-Thérèse (73  

    NEC- saint Priest en Jarrez

    Berlin Galerie  Kunstkreis 

    Espace Cardin – Paris

    2008: Château de Chasselas

    DIVERS

    Parallèlement à son activité de peintre, a à son actif plusieurs réalisation en tant que graphiste, notemment la création de plusieurs timbres pour La Poste (séries 1 et 2 des parcs nationaux – 1996/97- carnet « héros d’aventure » – 1997 – timbre « vive les vacances – 1998 – timbre « 50ème anniversaire du conseil européen » et « Jeux olympiques de Nagano / super G- pour la poste d’Andorre -1998/99 –» 2006 : bloc de 10 timbres « coupe du monde de football 2006 – deux carnets (24 timbres) série « la France comme j’aime » parution nationale mai 2009.

     PRIX

    1988: Salon international de Chinon: médaille d’or du dessin “jeunes”

    1991: Dreux-Médaille d’or du Conseil Général section “Pastels”

    1992: Marvejols – Médaille d’or du salon décernée par le Conseil général avec le concours de la DRAC de Languedoc-Roussillon

    1994: Le Raincy – Médaille d’or du salon

    1996: Prix du plus beau timbre de l’année (La Poste-série “Parcs Nationaux”) élu par plus de 30 000 collectionneurs. Concours organisé par La Poste et la Sté IPSOS

    1997: Prix de la plus belle série de l’année (La Poste -série “Héros d’aventures”) Idem 1996

    1998: Lauréat du cconcours  organisé par La Poste pour le timbre “Vive les vacances”

    2010: Lauréat du concours organisé par La Poste pour la série (24 timbres) « La france comme j’aime ».

    Beaucoup d’artistes talentueux!!! Nous désirons les aider , alors n’hésitez pas à nous contacter pour une web expo.

  • Proverbes Chinois drôles

    Proverbes Chinois drôles

    Proverbes Chinois  drôles .

    LE RIRE EST LE PROPRE DE L’HOMME, RIRE JAUNE, POURQUOI PAS !

    - « Ne vous mettez pas en avant, mais ne restez pas en arrière » (Proverbe Chinois ).

    - « Il faut 2 ans pour apprendre à parler et toute la vie pour se taire »(Proverbe Chinois ).

    - « Qui fait l’âne ne doit pas s’étonner si les autres lui montent dessus » (Proverbe Chinois ).

    - « Si perçante soit sa vue, on ne se voit jamais de dos » (Proverbe Chinois ).

    - « En chine tout ce qui a des pattes se mange, sauf les bancs » (dicton chinois)

    Tous les proverbes chinois ne sont pas drôles, parfois ils peuvent même être hilarants

    Chinese proverbs funny .
    
     
    
    LAUGHTER IS THE OWN RIGHTS, YELLOW LAUGH , WHY NOT !
    
    - " Do not put yourself forward, but do not stay behind " ( Chinese proverb ) .
    
    - " It takes two years to learn to speak and all life to be silent " ( Chinese proverb ) .
    
    - " Who does the donkey should not be surprised if others rise above him" ( Chinese proverb ) .
    
    - "If needing piercing glance, it never sees back " ( Chinese proverb ) .
    
    - " In China everything that has legs is eaten except the benches " ( Chinese saying )
    
    
    
    
    Chinesische Sprichwörter lustig .
    
     
    
    Lachen ist die eigenen Rechte , GELB lachen, warum nicht!
    
    - " Setzen Sie sich nicht nach vorn, aber nicht zurückbleiben " ( Chinesisches Sprichwort) .
    
    - "Es dauert zwei Jahre, um zu lernen , zu sprechen und alles Leben , still zu sein " ( Chinesisches Sprichwort) .
    
    - " Wer macht der Esel sollte nicht überrascht sein , wenn die anderen erheben sich über ihm" ( Chinesisches Sprichwort) .
    
    - "Wenn benötigen Piercing Blick , es sieht nie wieder " ( Chinesisches Sprichwort) .
    
    - "In China alles, was Beine hat, ist außer den Bänken verzehrt " ( chinesisches Sprichwort )
     
  • Marionnettes « Léonce et Léna » un enchantement !

    Marionnettes « Léonce et Léna » un enchantement !

    LEONCE ET LENA de Georg Buchner adaptation et mise en scene Gregoire Callies au Theatre de l'Atlante du 28 septembre au 8 octobre 2015. Avec : Gregoire Callies et Marie Vitez (Photo by Victor Tonelli/ArtComArt)
    (Photo by Victor Tonelli/ArtComArt)

    J’ai vu un très beau spectacle de marionnettes- poupées (pas de fil, ouf!) sur une adaptation d’une pièce de Büchner : Léonce et Léna. C’était vraiment magique, comme si on faisait un saut dans le beau monde imaginaire de l’enfance.

    LEONCE ET LENA de Georg Buchner adaptation et mise en scene Gregoire Callies au Theatre de l'Atlante du 28 septembre au 8 octobre 2015. Avec : Gregoire Callies et Marie Vitez (Photo by Victor Tonelli/ArtComArt)
    (Photo by Victor Tonelli/ArtComArt)

    La pièce en soi, est un genre de petite comédie philosophico-surréaliste qui soulève des questions sur le sens de la vie, le pouvoir, la communication … selon votre sensibilité. Car j’avoue que, pour moi, ce n’est pas cela qui m’a le plus marquée.

    Ce que j’ai aimé, non, adoré c’est le spectacle, justement !

    Un décor de maison de poupées qui s’anime, se déploie, se transforme sous nos yeux écarquillés. Deux comédiens marionnettistes pour faire jaillir l’émerveillement, et faire résonner en nous le petit enfant qui sommeille.

    LEONCE ET LENA de Georg Buchner adaptation et mise en scene Gregoire Callies au Theatre de l'Atlante du 28 septembre au 8 octobre 2015. Avec : Gregoire Callies et Marie Vitez (Photo by Victor Tonelli/ArtComArt)
    (Photo by Victor Tonelli/ArtComArt)

    Au départ, sur la scène, une espèce de coffre à la verticale sur lequel trône une petite maison de poupées. Pas très attractif tout ça …

    Et les comédiens arrivent, et le monde merveilleux ouvre ses portes, et les poupées s’animent, et parlent, et le coffre se déploie, et la magie opère, et les décors arrivent de partout, et la musique coule sur ce drôle de petit monde qui s’agite de haut en bas. Tiens, soudainement, Büchner, étoile filante de la littérature allemande (23 ans de vie) mais terriblement reconnu pour ses trois pièces principales, s’incarne dans ces poupées animées, habitées et si humaines … histoire de prince, de princesse, d’ennui, de voyage, de royaume, d’amour, d’amitié …

    Vraiment, allez- y, en voiture, en bus, à pied, vous ne regretterez pas ce moment d’enchantement.

    J’avais vu play Bach du même metteur en scène, Grégoire Callies, et franchement c’est de la même veine .. un petit éclat de joie à l’état pur. Je ne peux que saluer son travail et celui de Jean-Baptiste Manessier, scénographe et papa des marionnettes- poupées.

    J’espère avoir l’occasion de revenir encore sur ce très beau travail qui remplit d’étoiles nos yeux et nos têtes.

    lila-pik4 Lila Pik 😉

     

    DU 13 au 17 octobre 2015- THÉÂTRE-HALLE ROUBLOT- 95 rue Roublot 94120 Fontenay sous bois- réservation 06 12 32 40 05. Samedi 17 octobre à 18h

  • Ecologie, le spectacle enfants pour la cop 21

    Ecologie, le spectacle enfants pour la cop 21

    ecologieEcologie, un spectacle adapté pour les enfants.

    Spectacle   » Au secours sauvons la terre les enfants »

    Voici un spectacle pour les enfants qui tourne en France, en Belgique et en Asie ( Chine…) depuis de longues années. Grâce à la médiatisation à grande échelle de l’événement « Cop 21″, ce spectacle  » Au secours sauvons la terre les enfants « qui existe depuis plus de 12 ans, a réussi à imposer un style tout particulier et ludique pour sensibiliser les enfants à un sujet difficile comme l’écologie.

    D’ailleurs captiver les enfants avec des sujets sérieux ne fut pas aisé pour la troupe de »show en Ville ».Après de nombreux essais, des réécritures du scénario,Show en Ville réussissait enfin à trouver l’équilibre parfait entre « messages » et « interactivité ludique ». Effectivement le challenge fut difficile pour cette troupe très professionnelle qui sévit dans le monde des enfants depuis plus de 20 ans. L’idée était de donner aux enfants une image joyeuse de l’écologie, ne pas en faire de l’écologie une punition. Par le biais de chansons, de magie, de sculptures de ballons et de ecologie v10 - Copie (2)clowneries le but fut atteint au delà de toute attente. Un décor adapté et onirique donne l’impression d’un émerveillement ce qui permet aux spectateurs d’être totalement récepaffiche au secours coupéetifs aux différents messages tels que le tri sélectif, le gaspillage de l’eau ou le recyclage.

    Une grande expérience des enfants, une approche ludique des sujets délicats et un investissement personnel depuis de nombreuses années a permis à nos comédiens de réussir à transmettre au jeune public, et pour longtemps, une sensibilisation, à l’écologie et à l’environnement en particulier.

    La COP 21 a permis de mettre en lumière le spectacle d’écologie  » Au secours sauvons la terre les enfants », ainsi que le travail de la compagnie « Show en Ville ».

    EXTRAIT INTERVIEW  SUR RMC AVEC JJ BOURDIN (DIRECT)

     

     

    EXTRAITS DE LA BANDE SON

     

     

    La troupe a d’ailleurs été approchée pour une future et éventuelle tournée en Ukraine pour la fin de l’année et aussi au Liban pour le début de l’année prochaine.

    Malgré certains troubles dans ces pays, l’écologie reste pour nous tous un élément important .

    Des comédiens qui aiment vraiment leur métier!!! Eh bien ici on dit bravo…. nous reparlerons de vous.

     

    Plus d’infos sur le spectacle d’écologie « Au secours sauvons la terre les enfants »

     

    Pour tous les spectacles de la compagnie Show en ville

     

  • Aude Minart et art africain

    Aude Minart et art africain

    Aude Minart:  » Osez l’Afrique « 

    photoAudeFondatrice de la  » galerie africaine « , galerie virtuelle installée sur le net et galerie nomade exposant dans divers lieux publics et privés, Aude Minart défend depuis une quinzaine d’année les œuvres d’artistes contemporains du continent africain. Rencontre à l’occasion de sa nouvelle exposition au titre engageant :  » Osez l’Afrique « .

    Qu’est-ce qui vous a motivé dans la création de la Galerie africaine?

    J’ai vécu 5 ans en Afrique où j’étais journaliste pour la presse étrangère. Je fréquentais le milieu intellectuel qui se réunissait le soir. Parmi eux, des artistes venaient régulièrement. J’ai commencé à aller voir leurs ateliers et ça été pour moi une grande découverte parce que leurs œuvres n’avaient aucune visibilité hors des ateliers. J’ai été émerveillée par leur créativité. Ce que l’on voit dans la rue, n’a rien a voir avec ce que l’on voit dans les ateliers.

    Quand j’ai arrêté le journalisme, travailler avec les artistes est devenu une évidence. Le constat a été assez facile compte tenu de la difficulté pour les artistes africains à exposer en France et du néant de la présence de l’art contemporain de tout un continent en Occident. J’ai décidé de relever le challenge qui répondait à deux intérêts : pour les artistes africains, d’exposer à l’étranger et pour le public français, de lui faire découvrir quelque chose de nouveau.

    J’ai commencé par faire des démarches auprès des galeries où j’ai entendu des choses très désobligeantes voire insultantes sur le travail des artistes africains. J’ai donc décidé d’organiser des expositions chez moi.

    Comment les artistes accueillent t-ils le principe d’exposer en appartement ?

    A partir du moment où ils acceptent d’exposer chez moi, c’est qu’ils sont d’accord avec le principe. Recevoir les gens chez soi, implique un autre rapport entre l’artiste et le public. La confidentialité du lieu favorise l’échange personnel. Les gens sont reçus, ils ne font pas que passer et cela facilite la rencontre avec l’artiste – quand il est présent – et avec son travail. Dans ce contexte, la connivence s’installe plus facilement. Les gens prennent plus le temps de l’appréhender, de se familiariser avec l’œuvre. Mais je me suis rendue compte que ce travail doit être complémentaire avec une démarche vers le grand public. C’est pourquoi, je loue des espaces commerciaux comme le Viaduc des Arts, l’Hôtel Mezzara un chef d’œuvre d el’Art Nouveau, classé monument historique à Paris qui donne la possibilité d’élargir le public et de faire venir des gens qui ne viennent pas forcément en appartement.

    Vos choix sont assez éclectiques et les artistes que vous exposez ont recours à divers supports. Quels sont vos critères de sélection ?

    Je fonctionne souvent au coup de cœur. J’expose les oeuvres que j’aime et que je peux donc défendre. Le but étant de faire découvrir ces artistes et de vendre leurs œuvres. D’autre part, je sélectionne les artistes qui font un véritable travail de professionnel, qu’ils sortent des Beaux-Arts, qu’ils aient reçu une autre formation ou qu’ils soient autodidactes. C’est leur professionnalisme, leur implication, leur créativité en plus du talent qui priment dans le choix des artistes que j’exposeLa taille des œuvres est aussi devenue également un critère dans la sélection. Certaines œuvres sont monumentales ce qui d’une part complique la logistique d’acheminement et d’exposition et d’autre part rend leur vente plus difficile. Cela pourrait intéresser des institutions par exemple, mais encore faut-il établir un réseau qui soit solide et qui s’engage concrètement vis-à-vis de l’Afrique contemporaine.

    Vous vous rendez régulièrement en Afrique pour rencontrer des artistes. Ce qui vous pousse, c’est la découverte de nouveaux talents ?

    Le sens premier de mon travail c’est la découverte et la rencontre. Cela implique un investissement matériel et personnel. Je ne veut pas me contenter comme c’est souvent le cas de sélectionner des artistes de la diaspora parce qu’ils sont plus faciles d’accès ou de choisir leurs œuvres par le biais de supports comme les catalogues ou Internet. Ma démarche consiste, dans la mesure du possible, à aller à la rencontre des artistes. Quand je suis dans un pays, comme le Congo, le Cameroun ou le Sénégal, j’essaye de voir le plus d’ateliers possible, que les artistes soient connus ou non. Sur place, le bouche à oreille fonctionne bien mais il peut être à double tranchant. Les artistes se connaissent entre eux et quelque fois par amitié me font rencontrer plus des amis que des artistes de grande qualité ! Parfois, j’ai de bonnes surprises mais je ne vois pas que du bon. Il peut y avoir une bonne œuvre d’un artiste qui restera sans suite. C’est là où il faut savoir déceler celui qui travaille sur la continuité.

    Votre démarche envers un artiste s’inscrit-elle dans une perspective sur le long terme ?

    Désormais, oui. Quand j’ai commencé, j’étais dans l’instantané. Avec le temps, je suis devenue plus rigoureuse. Mon approche a évolué et un nouveau critère de sélection s’est imposé. Il n’y a pas que l’œuvre. Il y a aussi quelqu’un derrière. Pour défendre le travail d’un artiste, il faut avoir une relation de confiance avec lui. Sa personnalité et sa démarche rentrent en ligne de compte. Au delà de l’œuvre, je considère aussi l’artiste en fonction de ce qu’il a fait, de l’évolution de son travail, de ses « périodes » et de tous ses projets, c’est pourquoi il me semble primordial d’aller le voir dans son atelier. . Dans la mesure où je travaille avec un artiste dans une perspective de long terme, il faut que lui aussi s’engage à régulièrement mettre ses meilleurs œuvres à disposition de la galerie.

    Parallèlement à votre travail d’exposition, jouez-vous également le rôle d’agent?

    Je ne signe pas de contrat d’exclusivité avec les artistes. Lorsque je représente un artiste c’est avec son accord. Tant qu’il n’est pas connu, je lui conseille de ne pas se lier avec une seule personne mais de multiplier ses réseaux pour se faire connaître et vendre. Mon réseau  » classique  » se situe à Paris, Bruxelles, en Bretagne et dans le Sud. Prochainement je vais exposer à ArtMadrid, un salon d’art contemporain qui se déroule parallèlement à ARCO (Salon international de l’art contemporain).

    Depuis vos débuts, avez-vous senti une évolution dams le regard du public ?

    Lorsque j’ai commencé, il n’y avait pas eu de grandes expositions d’art contemporain africain à Paris. Peu d’espaces sont ouverts à cet art. Le musée Dapper expose des artistes contemporains, mais dans une petite salle attenante à l’espace d’exposition qui reste dévolue aux arts traditionnels. D’une certaine façon, la situation s’est aggravée depuis mes débuts dans ce milieu. Certaines personnes qui avaient comme moi privilégié les expositions en espace privé ont arrêté faute de moyens.

    Bien sûr il y a eu l’exposition Africa Remix à Beaubourg mais y a t-il eu des retombées réelles pour les artistes ? En France le milieu reste cloisonné.

    Certains disent que le Musée du Quai Branly – bien qu’il soit voué aux  » arts premiers  » – va susciter une émulation, éveiller la curiosité des gens et les attirer vers le contemporain.. Tant mieux si ça marche, mais je suis un peu sceptique. La France est à la traîne sur l’art contemporain en général donc encore plus concernant l’Afrique.

    Comment pensez-vous vous démarquer de ce « système » de cloisonnement?

    Je ne prétends pas à ça, j’essaye d’instaurer un rapport de proximité. Ma passion c’est la rencontre et l’échange donc je m’inscris dans une autre démarche. Je tiens à mes recherches sur le continent car elles me permettent d’exposer des œuvres qu’on ne trouve pas forcément en France. J’aime la diversité et elle me pousse à sortir des sentiers battus et donc à prendre des risques.

    Je suis parfois frustrée de voir à quel point les choses restent cloisonnées. Les artistes hors réseau n’ont pas de visibilité. Il faudrait que le milieu soit plus structuré. Ceux qui peuvent le mieux s’en sortir sont ceux de la diaspora car il connaissent le système et naviguent entre deux espaces géographiques.

    Si les différentes initiatives privées se fédéraient, l’émulation que cela susciterait ne pourrait-elle pas déboucher sur de nouveaux projets ?

    Encore faudrait-il qu’elles existent et qu’il y en ait plusieurs ! Cela signifierait que le marché est mûr. Ce qui n’est pas le cas. Je ne demande qu’à être rejointe dans mon projet, mais les initiatives privées sont rares et elles ont surtout du mal à se pérenniser.

    Les collectionneurs d’art contemporain africain ne sont pas nombreux et une fois qu’ils ont la possibilité d’accéder directement aux artistes, ils n’ont plus besoin d’intermédiaires. C’est un réel écueil.

    Avez-vous le sentiment que le marché de l’art africain contemporain est anarchique ?

    Complètement ! Le prix des œuvres varie selon le contexte et les collectionneurs. Arriver en Afrique après le passage d’un riche collectionneur américain, est terrible ! les prix sont faramineux. A l’inverse en cas de besoin et d’obligations familiales, la nécessité faisant loi, certains artistes finissent par terriblement baisser le prix de leurs œuvres (avec certains acheteurs locaux ou amis) même quand ils ont acquis une certaine reconnaissance.

    Quel est le profil des collectionneurs ?

    Un certain nombre d’entre eux acquièrent des œuvres pour leurs entreprises. D’autres pour eux même. La majorité d’entre eux ont un rapport spécifique à l’Afrique, ils sont sensibilisés au continent africain qu’ils connaissent bien et ils sont réceptifs au travail des artistes. Certains collectionneurs constituent leur collection autour d’un thème particulier comme le portait et la complètent en me sollicitant dans ce sens. Les collectionneurs avertis dans une société mondialisée ne peuvent faire l’impasse sur un continent entier, l’Afrique reste à découvrir à travers ce qu’elle a de mieux à donner et en premier lieu sa créativité.

    Extrait du site:

    afrilogo

  • Asie, j’aime

    Asie, j’aime

     

    Etat d’âme d’un amoureux de l’Asie

    Carnet de voyage en Asie

    indonesia-531841_640Partir au bout du monde c’est déjà me noyer dans les nuages que me dessinent les avions en partance. En route vers cette Asie grouillante, colorée et pleine de vie. Jamais de mauvaises surprises car les sourires seront certainement au rdv. Une végétation luxuriante nous attend à l’orée des rêves si longtemps imaginés mais sans commune mesure avec une réalité chaque fois plus étonnante et attachante.

    J’aime me perdre dans cette foule active, vivante qui me rappelle que vivre ce n’est pas survivre dans l’ombre d’un futur qui nous devance et qui restera loin, très loin devant nous. En Asie, l’affût de senteurs nouvelles je recherche sans cesse des lieux étranges perdus loin des chemins touristiques.

    Bien sûr il est indispensable de visiter certains sites incontournables bien que rester dans les traces des agences de voyagesimages thaï est une incongruité insupportable. Une senteur a détourné mon odorat m’emportant vers un lieu étrange mais sympathique…Un visage peu ordinaire me rappelle que la France est si loin. J’aime me promener à la découverte de ce petit supplément d’âme que me procurent ces pays que j’adore. J’ai juste l’impression, enfin, que je vis.

    marché indeHenri Cantonnais/arnets de voyage en Asie

    Copyright © Tous droits réservés

    State soul of a lover of Asia.

    Asia Travel notebook

    From the end of the world is already drowning in clouds that draw me departing aircraft. En route to Asia this teeming, colorful and full of life. Never surprises because the smiles will certainly appointment. Lush vegetation awaits us on the edge of dreams so long imagined but incommensurate with reality ever more surprising and engaging.
    I like to lose myself in this active crowd alive who remember living not survive in the shadow of a future that is ahead of us and will remain far, far ahead. On the lookout for new scents I always looking lost strange places away from the tourist trails.
    Of course it is essential to visit some beautiful sites that remain in the footsteps of travel agencies is an insufferable incongruity. A scent diverted my nose taking me to a strange but friendly place … Uncommon face remember that France is so far away. I am fond of walking to discover that little extra something that give me the country I love. I just feel, finally, that I live.
    Henri Cantonese asia Motorcycle Diaries
    Copyright © 2006-2009 – All rights reserved

  • Clowns de Paris, oser faire autre chose

    Clowns de Paris, oser faire autre chose

    Festivals Chine, des clowns de Paris une autre aventure

    Carnets de voyage en Asie

    Festivals en Chine, des clowns en Chine, les ambassadeurs de la bonne humeur

    Voilà une autre expérience de personnes qui désiraient vivre autre chose, une aventure extraordinaire et loin des sentiers battus Changer sa vie de tous les jours ajouter un » petit plus » au train- train du quotidien. L’association « sourires sans frontières » leur a proposé de partir pour un voyage aux confins de l’Extrême orient, de participer avec d’autres amateurs à un festival en Chine où ils de viendraient le temps de 2 semaines de vrais artistes évoluant dans un monde inconnu fait de scènes, de performances et de « starmania ».

    Ces personnes, entourées de professionnels, ont décidé un jour de se lancer dans une aventure artistique et humaine, de monter sur une scène, de se dépasser, de se découvrir.

    La « happy génération » est née car le désir de changer sa vie, peut- être même de changer sa vie, est l’idée maîtresse de ce voyage.

    Au retour pour la plupart de nous, la vie avait plus de saveur et l’avenir ne pouvait s’articuler que dans le changement.

    Mercredi, le départ des clowns de Paris

    Roissy Charles De Gaulle :11 h .
    Rassemblement en douceur des anciens « chinois » et des nouveaux ;après les formalités,la bande des quarantes , breakers , clowns et banda des joyeux vignerons se retrouvent à bord de l’A 340 du China Eastern.Décollage vers 14h15 vol lisse et cool..

    Jeudi, les clowns de Paris en terre chinoise

    .Shanghaï Airport.

    Arrivée 7h30 heure locale (1h30 heure de Paris) .
    Brouillard, humidité et pluie plantent un décors »tristounet » . Formalités longues, récupération des bagages laborieuse, un trombone égaré, une valise explosée ; 9h30 problèmes réglés, nous partons en bus pour l’hôtel Windsor Evergreen .Installation puis repas en ville .Retour à notre gîte pour la mise en place et l’élaboration de notre futur spectacle,la fusion des trois groupes et la répétition du « show » sous la menace d’averses car le ciel nous envoie quelques gouttelettes de temps en temps .Cela doit ètre carré et abouti pour la 1ère présentation du lendemain.
    .

    Vendredi, ça se précise pour les clowns de Paris

    Le beau temps est là .Après une nuit réparatrice et un lever matinal, quartier libre consacré à la découverte de la ville et … de ses commerces !!!!

    Leçons de marchandages prodiguées par les « anciens » qui en maîtrisent la technique et connaissent le jeu du négoce asiatique avec un soupçon de complicité souriante des commerçants ._ Souper au restaurant Mei Huan .Retour a l’hôtel pour enfiler nos costumes et répèter dans Shanghai passage vers 23h30, 2ème vers 1h du matin retour 2h30 ;La nuit sera courte.

    Samedi, les clowns de Paris avec bonne humeur se mêlent aux autres festivaliers

    Réveil 7h .
    Rendez-vous pour les plus insomniaques chez Michel patron des « vignerons » ;challenge réflexion : comment mettre en adéquation dans un temps minimum et une alchimie parfaite musiciens , danseurs,chanteuse,clowns,breakers ? Après une heure de confrontations et d’idées la conclusion s’impose : il est urgent de ne rien modifier ou si peu.
    .
    Il y a quelques absents qui flirtent avec Morphée et un suraigu explosif d’un trompette règle le problème .C’est l’effervescence, la cavalcade après le temps perdu, petit dej. « squeezé » pour certains.Le repas est pris très rapidement toujours à l’extérieur,puis nous retournons au Windsor enfiler nos tenues. Chantale et Eve se chargent de nous maquiller dans le bus qui nous transporte dans Shanghaï. C’est un grand lycée qui sera,pendant quelques heures notre loge.Les vignerons se déchaînent et passent en revue les succès inoxydables du répertoire populaire,ça pulse chez les « monégasques » !!Aiming veille au grain et donne une leçon de solfège au tableau noir : les premières notes de l’hymne du Yang Tsé.
    18h. nous descendons rejoindre notre emplacement .La foule compacte nous réserve un accueil complice et sympa.

    _ L’attente et la fête commencent Tous les groupes se mélangent et fraternisent dansent avant de parader ,se photographient,créant ainsi un magnifique patchwork de sons et de couleurs._ Les musiques mexicaines répondent aux fanfares suisses les mélodies d’Asie aux accents du Maghreb,ambiance conviviale superbe qui enchante les nouveaux participants. Les chars de la ville somptueusement décorés et illuminés nous précèdent. A notre tour enfin de présenter notre programme. Le show débridé que nous offrons aux regards des officiels dans la tribune suscite l’enthousiasme des spectateurs .Le monde est énorme et participe à fond à nos facéties et nous nous en donnons à coeur joie. Nous rentrons dans la foule,faisant les pitres,assommant à coup de marteau (baudruche) le public, les policiers sous les regards médusés et incrédules des chinois.Le bonheur est dans la rue .
    Les vignerons musiciens ,danseurs et breakers,créent l’ambiance, en installant leur musique joyeuse ; la joie ,le rêve ,la surprise, l’étonnement, se lisent dans les yeux des spectateurs,les flash explosent de toutes parts .Enfants et adultes jouent le jeu et un dialogue débridé s’installe,bousculant les conventions ,avec la complaisance souriante du service d’ordre.Le public est déchaîné, happant les mains des clowns, photographiant , recevant des rafales de coups de marteau (baudruche) de ces « gugusses » qui apportent tant de monde. Une deuxième présentation connaît le même succès.Les breakcers sidèrent et épatent le public .
    ._ Et c’est un déluge d’applaudissements qui ponctuent les figures qu’ils enchaînent, les équilibres extrêmes défiant les lois de la pesanteur. La foule est énorme, des milliers de mains tout le long des parcours , des photos, de la joie, du bonheur à chaque instant, et nous terminons cette parade littéralement happés par les spectateurs, puis par les « carnavalesque » des autres délégations qui nous veulent sur leurs clichés souvenirs, prestige du costume et de notre show burlesque.
    Comment résister à cette euphorie et c’est vannés et aphones que nous regagnons notre bus.Nous soupons hors hôtel et, vers 1h 30 le coucher pour certains et aux autres, l’aurore n’est pas loin.

    Dimanche, journée sans spectacle pour les clowns de Paris

    Matinée libre dans Shanghaï. Rendez-vous à 15h. à l’hotel . Départ 16h.en bus pour la site de la deuxième parade .La foule est déja là..L’habillage se fait dans une salle de conférence au 19ème étage. La parade connait le même succès que la veille dans un lieu éloigné de la précédente.
    Après ce spectacle nous donnons un concert improvisé dans grand magasin du genre Galeries Fayette,à la grande joie des employés et des clients médusés. Démaquillage, déshabillage dans la salle de conférence et nous partons souper .Il est bien1h ;30 quand nous regagnons notre hôtel.

    Lundi, les clowns de Paris et les enfants

    .
    7h. Le temps est au grand bleu.8h30 ; Chantale maquille son petit monde et nous partons pour une école maternelle située dans un joli quartier ombragé du vieux Shanghaï..Nous offrons aux enfants notre joyeux charivari et le bonheur est dans le pré…au ; la joie sur ces petits visages étonnés nous pousse à donner encore plus de nous même. A leur tour ils entament une danse et nous chante en français Frère Jacques.
    Ce fut un grand moment. La presse la TV se firent l’écho de cet événement qui dura 2 heures. _ Le repas de midi est pris dans un restaurant au pied de la tour de la Télévision que nous visiterons _ Et d’ou survolons à 289m. de haut,360° de panorama de Shanghaï ;époustouflant. Une nouvelle parade,mini cette fois, dans le hall de la tour, nous permet de délirer à nouveau sous _ les yeux ébahis des visiteurs. _ La soirée après retour à l’hôtel sera libre et consacrée à Shanghaï « by night ».Magie de la nuit et des lumières, le Bund, le Fleuve ,féeries, superbe. !!

    Mardi, la fête continue pour les clowns de Paris

    Beau temps chaud. Réveil 7h. A 8h. le bus nous conduit vers la Pagode du Bouddha de Jade que nous visitons.
    Nous partons ensuite pour déjeuner dans un trés beau restaurant immense dont les serveurs circulent en « skate » et nous gratifient d’une exhibition en patin à roulette sur une petite piste.Des viviers hébergent des créatures étranges que l’on peu consommer sur place nous laissent perplexes.
    Repas pris nous partons pour la vielle ville parcourir le jardin Hu, très caractéristique de l’art des jardins chinois. Après cette visite nous allons souper et nous habiller dans le restaurant « Le moulin rouge » à la grande joie et surprise du personnel. Voir les beaux « vignerons » se transformer en poupons et les clowns se grimer c’est quand même quelque chose d’inédit !! Départ pour la parade sous un fou rire général. _ Ce show est encore là un succès énorme,l’ambiance toujours aussi sympa mais différente,plus proche de nous ,car il a lieu dans un quartier avec des rues et non des avenues. Nous fendons littéralement la foule,dansons avec les spectatrices sur la musique des vignerons ;quelle joie, atmosphère de fète,débridée,tous participent,c’est extra.Tv et médias sont là
    .
    .
    .
    Retour à l’hôtel pour préparer nos valise puis un pot chez Eve et Henry ,la nuit est bien entamée se transformer en poupons,barboteuse vichy rose,socquette et bonnet dentelle, barbus, poilus, c’est quand même quelque chose d’inédit !!
    Le show,là encore, connaît un grand succès, ambiance toujours aussi sympa mais différente, plus proche de nous car il se déroule de nuit dans un quartier moderne mais dans des rues et non des avenues. Nous fendons littéralement la foule en attrapant au passage des spectatrices avec lesquelles nous dansons sur la musique des vignerons,joyeuse et complice folie de tous les participants. Presse et médias exultent.

    Retour à l’hôtel, pot chez Eve et Henry puis corvée de valises car demain nous partons pour Pekin en train et le voyage sera long.

    Mercredi

    Le temps est beau et chaud, et la matinée libre Dernières ballade et achats dans cette ville si attachante et gigantesque.
    17h30 :arrivée à la gare ; ça y est nous partons pour la capitale de la Chine en wagon couchette et en fanfare , les musiciens en pleine forme enchaînent « les tubes » chants, rires, musique transforment le train en boite de nuit déjantée.Les voyageurs chinois participent à cette folie ;ils ne seront pas prèts d’oublier cette nuit.

    Jeudi clowns de Paris visitent


    .
    Après dissipation des « vapeurs » nocturnes, du brouillard matinal, et passage au wagon restaurant pour un petit dej. nous arrivons à Pékin. Le temps est beau. Nous prenons nos quartiers à l’hôtel Jing de Huan,proche du centre ville et à proximité du ministère de la justice. Après le repas nous allons visiter la cité interdite en pleine restauration avant les JO .
    .
    Quartier libre ;ballade place Tien an Men et les Hutongs ou on achète et marchande sur tout ce qui fait envie. Certains vont se délecter avec le célèbre canard laqué qui cause quelques soucis au moment de l’addition, problème vigoureusement réglé avec une grande courtoise et diplomatie.

    Vendredi les clowns de Paris se détendent

    Réveil 5h30. Temps brumeux .Départ pour la grande muraille ; impressionnant
    On grimpe vers un poste de guet, c’est sportif,mais la vue sur les montagnes surlignées par la Grande Muraille. est magnifique,le ciel étant redevenu bleu.
    11h. Déjeuner pris dans une fabrique de cloisonné , porcelaine rare de chine que nous visitons.Retour vers Pekin pour répéter avec d’autres délégations et dégustation de thé dans un salon avec démonstratrice spécialiste des thés chinois. Le souper est pris dans un restaurant que certains ont fréquenté l’année 2005 ,façade très illuminée, ascenseur bulle et monde fou à l’étage,dans un brouhaha indescriptible.

    Samedi déjeuner de gala pour les clowns de Paris


    Très beau temps. Réveil 6h30. Départ 7h30 en bus , pour un village à vocation écologique, dans la banlieue de Pekin. Accueil et cortèges, décors chatoyants.Grande scène sur l’agora , discours de bienvenue des officiels, plusieurs troupes étrangères ( avec nous y compris) se donnent en spectacle à la foule des habitants et des villageois._ Notre show est apprécié et la ruée vers la foule des clowns offrant des souris baudruche qu’ils donnent aux enfants et au public déclanche une joyeuse effervescence. Nous sommes invités à déjeuner chez l’habitant.Ils nous offrent le traditionnel thé, font visiter leur maison individuelle ;nous passons à table. Le repas est classique,:raviolis déclinés à toutes les manières.Après ce bon moment ,le temps des adieux est venu.Ils nous remettent divers souvenirs et posent pour la photo souvenir.
    .
    L’après midi libre sera consacrée au négoce et aux achats âprement marchandés au Marché aux perles

    Dimanche et ça continue…. encore et encore!!!

    Lever 6h.Le temps est toujours aussi beau. Petit dej. Copieux comme d’habitude
    Départ en costumes et maquillés par Chantal et Sibylle dans le bus (chapeau).et préparation des souris en latex que nous distribuerons .9h. arrivée sur les lieux de la parade. bain de foule toujours aussi apprécié 10h. en avant et…. la folie à nouveau s’installe , nous devenons des pros.
    11hFin du « show » nous sommes invités à déjeuner dans un immense restaurant- serre tropicale ;une scène y est dressé pour le passage des groupes.Nous nous y produisons à notre tour et gros succès .Le « ce n’est qu’un au revoir » joué par les vignerons est repris en coeur par tous ,séquence émotion. Nos « joyeux » donnent de mini concerts et nous quittons en musique et chenille,le lieu du repas pour aller répèter en Pekin, devant les vestiges d’une porte des fortifications de la ville ancienne .Le souper pris dans les sous-sols d’un parc de voitures !Bizarre. !!
    Nous donnons deux spectacles ;sono d’enfer,projecteurs,lasers, devant un public choisi et assis. La nuit est tombée quand nous finissons par un bain de foule et regagnons le bus .

    Lundi, les clowns de Paris à la gare

    Lever 6h. Faire les valises quel problème !! Le bus se charge de les transporter à la gare,ouf !!
    .
    11h. Nous partons pour la plus grand gare d’Asie, la gare ouest. Foule énorme, un tohu bohu infernal,marathon,chutes dans les escalators ,bref ce sera un sacré souvenir qui marquera nos esprits..Nous trouvons enfin le train et nos couchettes (les breakers ne partent pas avec nous) Hommage est rendu à Eve et Henry , la fête commence ,musique , chenille ,le délire est total.
    20h.Défilé à travers les wagons pour le restaurant et tous les voyageurs chinois applaudissent au passage de notre cortège endiablé, bière ,musique ,le personnel est en symbiose avec nous
    Cela se termine enfin tard dans la nuit.

    Mardiles clowns de Paris dans le train

    8h. premiers réveils.9h.p’tit dej.en retraversant les 7 wagons qui nous séparent du restaurant
    La fête recommence à la grande joie des cuistots et serveurs ;c’est fou.
    10h. Arrivée en gare d’I- Chang , ville d’un million 300 mille habitants. Direction Hôtel des Trois Gorges (fréquenté par le 1er ministre Chinois qui y a une suite). Repas pris dans l’hôtel puis départ pour le centre ville ou nous allons répéter. Retour à l’hôtel. Dans les jardins à l’abri des regards.nous peaufinons notre sujet pendant ¾ d’heure.Après souper départ pour le spectacle donné par une troupe chinoise. Hommage au fleuve Yang Tsé, à l’eau et au barrage, par un poète chinois très renommé .Ceci est monté en plein air au bord du barrage et fleuve , décor naturel, sur une immense scène. Splendide performance d’une compagnie de plusieurs centaines de participants magnifiquement costumés, scénographie époustouflante,pyrotechnie lasers,symbolique, costumes,mythe , tout y était : bluffés. !!
    .
    21h.30 Retour à l’hôtel,visionnage des vidéos, pot, 23h.30 la fête s’achève.

    Mercredi, parade a I-Chang

    6h.30 Réveil. Un peu de brume temp. 26°. Départ 8h. pour la visite du barrage des Trois Gorges. Le brouillard nous empêche ,hélas d’apercevoir convenablement le gigantesque ouvrage. Déjeuner à l’hôtel puis le bus nous mène à 13h.pour la parade dans l’immense avenue principale d’Y-chang, noire de monde, Foule nombreuses délégations,toutes les races , nationalités, cultures, costumes se mêlent.
    Dans une atmosphère festive.L’attente est longue et propice aux échanges aux contacts et bien sûr aux milliers de photos et de vidéos ;le numérique est roi.et les chinois en sont des utilisateurs hyper pointus. La complicité avec la foule déborde parfois l’organisation et la joie règne sur plus des deux kilomètres du parcours.La parade se termine sur les bords du Yang Tsé,mais ne s’achève que lorsque nous avons enfin regagné nos bus. Nous sommes à tordre tellement nous nous sommes « donnés ». Le temps de se changer et nous partons assister enVIP à un feu d’artifice tiré sur le fleuve
    Il dure ¾ d’heure !!! Ahurissant,géant et se termine à 21h. Quelques uns d’entre nous sont invités par les autorités à souper en ville. Après discours des officiels , les chiffres :60 millions de téléspectateurs et 600 milles personnes ont suivi le spectacle d’Yi Chang . C’est un autre monde, une autre dimension.

    Jeudi, bientôt le départ pour les les clowns de Paris


    Temps couvert doux.. _ 6h.30 réveil. 8h.30 départ en bus vers le Yang Tsé sur lequel nous allons naviguer.Nous abordons la rive opposée et nous balladons le long d’un torrent. Déjeuner (le dernier en Chine) au restaurant des Trois Gorges puis partons par la route pour l’aéroport Xanxia.

    Après quelques péripéties nous décollons à 16h.15 pour atterrir à Shanghaï à 17h.45.La navette aéroportuaire embarque une sacrée bande de« zoulous » bagages dans les allées sur les genoux, bref un « foutoir » qui ne dure que le temps de rejoindre Shanghaï international . Nous attendons 5 heures avant de décoller à 0h.25 pour Roissy C de G, ou nous atterrissons le 29 sept. 6h.30 heure de Paris (12h.30 heure de Pekin). La fanfare des joyeux vignerons est partie seule pour une autre aventure sur les bords du Yang-Tsé. Un reportage photos leur est consacré

    Reportage de notre ami Serge Sentflé

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  • Dîner en blanc et touristes éberlués

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    Diner en blanc et touristes éberlués

    Dîner en blanc

    « Je vais prendre des photos car au pays personne ne me croira ! »

    Que se passe t-il autour de l’Arc de Triomphe ? Que font ces centaines de convives , tous habillés de blanc, dînant sur des tables blanches à même le trottoir ? Ils semblent tous comme chez eux, dans ce lieu prestigieux visité chaque année par des millions d’étrangers venus du monde entier. Du champagne dans des flûtes fines, des chandeliers sur des tables immaculées, des couverts d’apparat et cette impression diffuse de vivre hors du temps qui anime cette scène féérique. Les passants s’arrêtent , par curiosité , par sympathie, ils sont comme happés par cette ambiance d’une autre époque où le rap, les portables paraissent comme incongrus. Un camion de pompier passe et les serviettes blanches tournent comme des « derviches tourneurs » au dessus des convives dans des hourras joyeux et communicatifs. Le Dîner en blanc restera un souvenir touristique inoubliable pour nos amis asiatiques, le Dîner en blanc restera figé à jamais sur leurs photos, le Dîner en blanc voyagera vers leurs contrées lointaines comme une parenthèse dans leur visite parisienne

    De nombreux touristes asiatiques, chinois, japonais… nous posent cette question :  » mais où sont donc les mariés ? « . Ces nouveaux époux doivent- être très riches pour pouvoir s’offrir un lieu si prestigieux pour leur célébrer leur union ! Faut-il encore qu’ils sachent que le blanc est pour nous occidentaux d’une autre signification que pour les asiatiques

    « Mais dites moi, où sont les mariés, ils doivent- être riches !? »

    -Une fois dans l’année, des milliers de convives sont invités pour un  » pic-nic haut de gamme » dans un lieu tenu secret jusqu’au dernier moment. Tous vêtus de blanc munis de tables de bridge, de nappes et serviettes blanches etc… les invités se retrouvent pour un dîner hors du commun dans un lieu d’exception pour un moment inoubliable. Le champagne est la boisson qu’il ne faut surtout pas oublier sous peine de paraître ringard. La Concorde, les invalides et cette année , l’Arc de triomphe.

    ©Reportages d’asie et asie reportages

    To dine in white

    “I will take to photographs bus with the country anybody me will believe ! “

    What does it occur T around the Triumphal arch ? What makes these hundreds of guests, all equipped with white, dining on white tables with same the pavement ? They seem all like on their premises, in this prestigious place visited each year by million from abroad come from whole world. Champagne in fine flutes, candlesticks on immaculate tables, forks and spoons of pageantry and this impression diffuses of living out of time which animates this feeric scene. Passers by stop, by curiosity, sympathy, they are as grabbed by this environment of another time when rap, the portables appear like incongruous. A truck from fireman passes and the white towels turn like “dancing dervishes” with the top of the guests in merry and communicative hurrahs. The To dine in white will remain an unforgettable tourist memory for our Asian friends, the Dîner in white will remain fixed with never on their photographs, the Dîner in white will travel towards their remote regions like a bracket in their Parisian visit

    Many Asian, Chinese, Japanese tourists… us put this question : “but where are thus them married ? “. These new husbands must be very rich to be able to offer a so prestigious place for their to celebrate their union ! It is necessary still that they know that it white is for us Western of another significance that for the Asian ones

    “But say me, where are the grooms, they must be rich person !? “

    - Once in the year, of the thousands of guests is guests for a “top-of-the-range peak-NIC” in a place held secret until the last moment. All vêtus of white provide with tablecloth, bridge tables and towel white etc… the guests are found for a dinner out of the commun run in a place of exception for one moment unforgettable. The champagne is the drink which one should not especially not to forget under penalty of appearing old-fashioned. Agree, the invalids and this year, the Arc of triumph.