Étiquette : cuisine

  • Retour au Vietnam : une si longue absence !

    Retour au Vietnam : une si longue absence !

    Carnets de voyage en Asie, Vietnam

    Une si longue absence.

    J’ai quitté le Vietnam comme boat- people

    Je m’appelle Manh et je viens de bien loin et je retourne au Vietnam. Vos yeux ne peuvent ni voir, ni entrevoir les paysages, les bonheurs et les angoisses enfouis dans le plus profond de mon être.

    Par une nuit sans lune, la peur au ventre, maman et papa nous abandonnèrent avec plus de soixante personnes à la recherche d’un avenir rempli de plus d’espoir. Je ne le savais pas encore, mais 12 ans allaient nous séparer ce soir là.Deux coques de noix aux moteurs poussifs nous éloignèrent de la côte et bientôt nous ne vîmes que l’ombre blafarde de notre pauvre pays que la guerre avait si profondément transformé. Deux sœurs et un frère, une famille éparpillée, loin des parents , sans famille, juste des rescapés sur cette mer d’huile . Nous étions devenus des « Boat people » au regard hagard, ballottés par un mal de mer omniprésent, attendant une aide incertaine. Au milieu de nulle part, nous scrutâmes l’horizon pendant 4 jours et 3 nuits.

    Rencontrer la marine vietnamienne et le carnage aurait été au rendez- vous, croiser un pavillon étranger et la délivrance nous aurait tendu les bras.

    Heureusement j’avais le pied marin ! Je me rappellerai toujours de cette année 1981 où j’ai quitté mon pays sans savoir si un jour,mes pieds pourraient à nouveau, fouler le sol de mes ancêtres. Le moteur de l’autre bateau rendit l’âme sans complexe, immobilisant plus de 30 personnes. Un remorquage périlleux nous permit de continuer ensemble ce si douloureux voyage.

    Soudain, nous vîmes un bateau à l’horizon et nos cœurs se figèrent empreints d’espoir, de fatalisme et d’angoisse. Étaient- ils des amis ou des ennemis, de l’espoir ou de l’horreur, un renouveau ou une fin tragique ? Une accablante et troublante incertitude s’empara de nous, enserrant notre ventre comme une tenaille mortelle, nous ne respirions plus. L’embarcation s’approcha, le temps était suspendu et soudain l’un de nous éructa un cri de joie libérateur, nous comprîmes aussitôt que l’avenir nous tendait à nouveau les bras. Nous n’en crûmes pas nos pauvres yeux fatigués, lassés mais heureux, le pavillon Français, le drapeau de tous les espoirs flottait là, fier et libérateur.

    Deux mois d’attente dans un camp chinois de Hong-Kong, deux mois de brimades, deux mois où tous nos espoirs se tarissaient dans un méandre de questions sans réponse. J’avais la certitude que les chinois n’appréciaient pas les vietnamiens et qu’à la moindre occasion, ils les brimaient malgré qu’ils fussent leurs « gérants officiels », frontière entre le passé et l’avenir. Je me souviens qu’un jour adossé à une vieille voiture abîmée par le temps, j’attendais, comme tous les jours, l’appel quotidien de tous les « boat people », en rêvassant, quand soudain l’un des gardiens chinois vociféra des menaces m’accusant, moi un enfant de 1O ans d’avoir cabossé la carcasse en m’appuyant dessus. Je dus me défendre de ces accusations injustes et déloyales.

    La sentence tomba, j’étais affecté, pour cet acte odieux, délibéré et plein de haine contenue, à la corvée déhonorante du nettoyage des wc.

    Selon les conventions internationales de l’époque, la France, nous ayant recueilli à bord de l’un de ses bateaux, avait le devoir de nous donner asile dans leur pays. Je rêvais d’Amérique et je me retrouvais soudain plongé dans le centre de la France, à Châteauroux dans un autre camp de réfugiés. J’y suis resté plus de 13ans, 13ans à attendre, étudier et espérer un avenir meilleur. Puis je suis monté à Paris.

    Le retour au Vietnam

    Aujourd’hui, je viens d’obtenir ma nationalité française et une page de mon histoire se tourne. J’ai très envie de revoir le Vietnam pour retrouver un peu de ce passé qui reste collé à ma mémoire. J’avais quelques appréhensions, repartir pour découvrir un pays changé, si éloigné de mes souvenirs, cela me rendait hésitant et fort mal à l’aise. J’avais juste peur de ne plus aimer le Vietnam, car j’étais devenu une « entité hybride » partagée entre ici et là- bas. Ma décision était prise, il me fallait revoir malgré tout, ce pays qui me manquait tous les jours un peu plus. Dans l’avion qui me menait, ma sœur et moi, vers cet « inconnu si familier », s’entremêlaient, s’entrechoquaient sans cesse des images, des souvenirs, des rires et des pleurs . L’avion enfin dans un crissement de pneus s’immobilisa sur la piste.

    Fébriles nous descendîmes et pénétrâmes dans le grand hall de l’aéroport international. Je fus soudain pris de panique quand je vis l’uniforme du fonctionnaire des douanes, mon corps tout entier frémit, mes jambes se dérobèrent sous moi et mes mains tremblèrent. Ma sœur, s’apercevant immédiatement de mon émoi incontrôlable, me glissa à l’oreille qu’il était plus prudent de ne pas se faire remarquer et d’éviter ainsi, toute difficulté. Je dus m’exécuter comprenant fort bien le bien fondé de ses appréhensions. La rue m’accueillit brutalement dans une farandole de couleurs joyeuses, d’odeurs exotiques, de klaxons stridents, d’images rayonnantes et surtout d’émotion. J’étais revenu chez moi, j’étais rentré à la maison après 25 ans d’absence et d’attente. Je compris immédiatement que les liens étaient restés intacts, forts et qu’ils avaient résistais aux attaques du temps. Rien n’avait vraiment changé, Saïgon égale à elle-même, demeurait cette ville bruyante, sale, speed, irrespirable mais si vivante.

    La cathédrale se tenait là imperturbable mais envahie par des centaines de touristes harassés de chaleur, la poste, incroyable vestige colonial, ressemblait plus à un musée qu’au local des PTT. Mon cousin, l’un de mes innombrables cousins, nous guida à travers la ville pendant ces quelques journées d’euphorie et de redécouverte où le connu côtoyait sans cesse l’étonnement. Il nous dénicha les meilleurs restaurants. Je retrouvais les senteurs si particulières des plats typiques enfouis au fond de moi. Quand avec le temps notre culture s’estompe, il nous reste encore et toujours le goût de la nourriture, et tous les déracinés vous le diront sans détours. J’hésitais parfois à déguster du chien, du serpent ou du rat car mon éducation française, aseptisée, m’en empêchait. J’avais peur de tomber malade. Peut-être qu’avec le temps… ! Un petit tour au musée de l’ancien palais présidentiel, resté dans son jus depuis la chute de Saïgon, me laissa pantois et me rappela aussi les moments difficiles.

    Direction Lagi située à 180 au nord de Saïgon, le village où j’ai vécu. Ma grande sœur se tenait là, attendant avec impatience notre arrivée, mais ne me reconnut point. Moi-même je dus faire des efforts pour mes innombrables cousins et neveux. Je m’étais préparé depuis fort longtemps à ces retrouvailles si poignantes, à cette joie jubilatoire, ainsi aucune larme ne coula sur mes joues. Le voisin, un ancien ami, s ‘est approprié toutes nos terres…Le temps, la guerre, les paysans, la méthode ancestrale de pêcher,les paysages à couper le souffle, mes amis, la maison familiale rien n’avait changé et tout avait changé. Le vent de l’histoire a dévasté nos cœurs et laissé comme une trace de nostalgie imperceptible, pas de haine seulement de l’émotion à fleur de peau.

    Nous sommes restés 10 jours dans ce village de pêcheurs, une population déplacée, originaire du centre et installée ici depuis de nombreuses générations. Papa aimait y pêcher avec ses fils malgré une mer démontée et des vagues de 12m. Rien ne lui faisait peur, moi si. Cela me fait rire aujourd’hui, mais j’ai bien failli me noyer un peu trop souvent durant ces années de bonheur .

    Et nouveau départ vers Quang Ngai, lieu de ma naiossance, plage paradisiaque, authentique, et située à 150 kms de Hué. C’était, à l’époque une base aérienne des forces américaines. Et des histoires de guerre poignantes et effrayantes consument encore aujourd’hui mon esprit. Il avait été établi un couvre-feu après le départ des américains et une famille entière de sourds, n’ayant pas eu connaissance de l’interdiction par les autorités du fait même de leur infirmité, furent mitraillés et déchiquetés dans un carnage sans nom. Ils partaient pour une simple sortie en mer,où ils ne pêchèrent que la mort.

    Une promenade, un recueillement sur la tombe de mes grand- parents, une cérémonie d’offrandes, un petit tour en bateau rond typique, une dégustation de fruit Jacquier ou de raviolis à la vapeur, furent les activités principales de ces 10 jours.

    J’y ai retrouvé mon tonton Chu Nam dont je suis très proche et qui me le rend bien d’ailleurs. Bizarre, bizarre, je me suis toujours dit qu’il ressemblait étrangement au président J.F Kennedy.

    Parfois j’ai l’envie de me retrouver seul car je suis trop entouré, trop sollicité. Quand je vais au resto tout le monde veut m’accompagner et je règle l’addition. Pas que cela me coûte, mais bientôt cette situation est dérangeante et j’explique à ma famille qu’ en France je ne suis point un nabab. Mais le message passe souvent mal et la gêne s’installe. Tout le monde, ici, a cette impression que je suis un homme riche, parvenu à un niveau social extrêmement élevé et n’ayant surement aucun problème d’argent. Comment peuvent-ils imaginer, que je ne suis qu’un simple travailleur, endetté et payant des impôts ? Ce « statut » ambigu s’est révélé être le problème constant de tous les « viets- k » (les viets de l’étranger).

    Nous sommes heureux de partir « seuls » en mini- bus vers le centre, à la découverte de Hué. Nous y rencontrons un fort sympathique cyclo- pousse qui nous fait découvrir avec bonhomie, tous les trésors de la ville impériale ? Quatre jours de légèreté, de totale liberté dans un charmant petit hôtel climatisé et peu onéreux (7 dollars/ nuit ).

    Un mois, c’est vraiment trop court car nous n’avons visité que la moitié du pays, l’occasion de revenir bientôt pour d’autres aventures. Le départ est proche, nos valises pleines de cadeaux et nos yeux remplis d’images fabuleuses, nous rentrons avec le sentiment que très prochainement nous reviendrons.

    Je m’appelle Manh, et je ne veux plus repartir, je rêve de rester vivre ici, au Vietnam, dans ce pays où qui m’attend déjà.

    Vietnam je t’aime, Vietnam j’ai besoin de toi, V tu m’a manqué, Vietnam, Vietnam!!!

    Contact MANH Carnets de voyage en asie

  • Découverte de la Chine.

    Découverte de la Chine.

    Découverte de la Chine.

    Carnets de voyage en Asie

    Impressions de Chine

    Lorsque nous allons dans un pays étrange, aujourd’hui la Chine, nous emportons avec nous nos idées reçues et bien souvent la réalité est fort éloignée de l’image que nous en sommes fait.

    Pour ce qui concerne la Chine ceci est particulièrement vrai. Ainsi en arrivant je m’attendais à des formalités d’entrée sur la territoire et de douane particulièrement longues et tatillonnes. Elles furent longues mais pas plus que dans bien d’autres pays et pas spécialement tatillonnes. Ayant quittés l’aéroport de Roissy où patrouillent des soldats en tenue camouflée armes à la main et compte tenu de tout ce que l’on nous raconte, je fus très étonné de ne voir aucun militaire et des forces de police peu nombreuses et discrètes.

    A l’arrivée à Shanghai, la ville m’a époustouflé. Enorme ! Immense. Notre hôtel étant, pourtant à l’intérieur de la ville, était à quarante kilomètres du centre ville, il faut dire que dans sa plus grande largeur la ville mesure plus de cent kilomètres. Tout au long du trajet nous menant à l’hôtel ce n’est que tours toutes plus hautes les unes que les autres. Shanghai donne l’impression d’une ville qui va exploser. Dire que la circulation est intense est un doux euphémisme. Beaucoup de grosses voitures et de taxis encombrent les artères de la ville, malgré les trois autoroutes urbaines qui se croisent en des échangeurs démentiels. Surprenant pour un parisien, les taxis représentent environs cinquante pour cent des véhicules, ceci est vrai pour les quatre villes où je suis passé. Dans nos déplacements nous constaterons que le prix des courses est très bas, en tout cas pour nous européens, il en-il de même pour les chinois ? Le cours du change avantageux pour nous y est sans doute pour quelque chose. A chaque feu rouge une multitude de vélos s’agglutinent en attendant le feu vert. La circulation semble obéir à des règles qui nous sont complètement hermétiques. Pourtant tout se passe bien dans un concert de klaxons étourdissant.

    Partout ça grouille, ça travaille, ça construit. La visite à pied dans la ville offre aussi bien des surprises. Compte tenu des informations données par les médias français à propos des salaires des chinois il était normal de s’attendre à rencontrer une population pauvre, en mauvaise santé et mal vêtue or nous avons rencontré des chinois habillés comme n’importe quel européen, des jeunes portant des vêtements et des chaussures de marques, (Nike Adidas par exemple). Le nombre de personnes marchant le téléphone portable à l’oreille est impressionnant. Autant que l’on peut en juger, les gens paraissent en bonne santé, il semble qu’un gros effort soit fait en matière d’optique et d’orthodontie. Il m’a été dit « Les chinois sont sales ». Et bien j’aimerais que les rues et les trottoirs de nos villes soient aussi propres et aussi exemptes de déjections canines que celles des quatre villes où nous avons séjourné. Ce qui étonne aussi c’est le nombre de plates-bandes fleuries qui jalonnent les grandes rues et les avenues. Les parcs et les espaces verts sont très nombreux et fort bien entretenus.

    Autre sujet d’étonnement, de nombreux enfants à partir de cinq ou six ans se promènent seuls dans les rues, cela semble normal. Notre guide nous a expliqué que l’enlèvement d’enfant, des sévices sur leur personne étaient inconcevables.

    La chine est un pays de contrastes, l’hyper- moderne côtoie l’archaïque. Au pied de tours pouvant compter cinquante étages et même plus on voit de petites échoppes où vivent et travaillent des gens. Devant ces échoppes il est courant de voir sur le trottoir les femmes préparer les repas, faire la vaisselle, laver le linge, et voir aussi la famille déjeuner et même vers treize heures une personne faisant la sieste sur une couche improvisée plus ou moins confortable.

    Dans de nombreuses rues tous les rez-de-chaussée sont occupés par des boutiques souvent petites ou moyennes. Le nombre de ces boutiques vendant, de l’électronique, de la téléphonie, de la hi fi est considérable. L’engouement des chinois pour tous ces matériels est évidant. Shanghai et dans une moindre mesure Pékin et les deux autres villes où nous sommes passés donnent l’impression d’être dans un situation comparable à celle des grandes villes françaises dans les années soixante. De nombreuses personnes quittent la campagne pour venir s’agglutiner dans les métropoles. Pour les loger de grands bâtiments, genre HLM, sont très vite construits et il est à craindre que rapidement ces quartiers ne se transforment en ghettos.

    L’européen suscite beaucoup d’intérêt et les français bénéficient d’une sympathie particulière. Dans l’ensemble les chinois sont discret mais chaleureux, dommage que le barrage de la langue limite la communication. Les chinois me sont apparus à la fois réservés, disciplinés mais aussi chaleureux et curieux.

    Allant de Shanghai à Pékin, puis de Pékin à Yichang par le train la chine m’ai apparue comme un immense chantier, partout ce ne sont que constructions d’infrastructures en particulier des infrastructure de communication, routes autoroutes.

    Si j’ai ressenti Shanghai comme étant la ville des affaires, Pékin apparaît comme étant la ville administrative. La circulation y est un peu moins dense qu’à Shanghai, les vélos sont encore nombreux mais un peu moins omniprésents, par contre nous voyons quelques motos et scooters. Les voitures moyennes sont un peu plus nombreuses. La police est un peu plus visible. J’ai eu l’impression que les gens étaient moins chaleureux, mais je méfie car les conditions des rencontres avec les pékinois étaient assez différentes de celles que nous avons eu dans les trois autres villes. Yichang et Wuhan sont des « petites villes » de province, un million deux cents mille habitants pour Yichang et huit millions pour Wuhan. Là bien que ces villes soient animées nous sommes loin de l’exubérance de Shanghai. La circulation automobile est moins dense, le nombre de vélos est beaucoup moins grand, par contre le nombre de scooters électriques surprend. A Wuhan ayant été amené à chanter sur scène j’ai été particulièrement ému de la façon dont, il me semble j’ai été perçu. Par l’attitude des gens qui étaient là j’ai eu le sentiment d’un partage. De voir les yeux des enfants s’allumer, j’ai été submergé par une vague d’émotion. Lorsque l’on donne du plaisir on en reçoit au moins autant. Un moment de bonheur. En écrivant ces lignes, malgré le temps qui a passé, mes yeux s’humidifient.

    Que dire des sites visités ? Que ce soit à Shanghai le « Palais de jade », la « Perle d’orient » (tour de la télévision), le « Jardin Hu », à Pékin la « grande muraille », la « cité interdite », la « place Tien An Men », à Yichang le « Barrage des trois gorges », les « Gorges du Xilan », la « Mini croisière sur la Yang Thé Kiang », à Wuhan, le « Musée régional » et sont « Carillon aux cloches de bronze », la « Pagode de la grue jaune » à chaque fois c’est l’émotion qui m’envahie, bien sûr, avec plus ou moins d’intensité, par rapport à ce qui c’est passé en ces lieux. Etant très passionné par l’histoire, ces visites ne pouvaient que me captiver, mais aussi me chagriner par rapport à mon immense ignorance de l’histoire de ce pays millénaire.

    Ce ne sont là que des impressions suscitées par le passage dans quatre centres ville, un aucun ce n’est une analyse exhaustive de la situation de la Chine et des chinois. Je ne suis pas revenu indemne, ce séjour a suscité un grand intérêt pour ce quasi continent et m’a donné envie tenace d’y retourner pour rencontrer d’autres gens, voir d’autres paysages.

    bouffe chine L350xH262_CHINE_Pekin_1-4d538 shanghai

    Impressions de JP. FRERE

  • Une soupe de poulet avec les restes de poulet

    Une soupe de poulet avec les restes de poulet

    Soupe de poulet avec un reste de carcasse

    pour 2 personnes

    La cuisine asiatique facile de Henri Victor

    Voici les ingrédients principaux:ingredients divers

    1. Nuoc mam ou Sauce de poissons
    2. 1 bouillon cube de poule
    3. petit oignon tranché
    4. un peu de gingembre (facultatif)
    5. persil chinois ou coriandre
    6. Une carcasse de poulet
    7. une bonne pincée de sel
    8. poivre
    9. pâtes de riz

     

     

     

    1. jeter la carcasse de poulet dans un litre d’eau
    2. Mettre la carcasse de pouletpoulet
    3. Ajouter le gingembre écrasé
    4. 1 à 2 cuillère à soupe de nuoc mam selon votre goût
    5. Laisser cuire le tout 30 mns

    Entre temps laisser tremper les pâtes de riz dans de l’eau tiède. Si « vraiment » vous n’avez pas des pâtes de riz, essayer avec des pâtes italiennes plates (moi je ne l’ai jamais fait)!!!

     

    pates de riz pâtes de riz pates

    Quand le bouillon est prêt retirer le poulet, enlever la viande de la carcasse et réserver.

    poulet ingredients

    Faire cuire les pâtes, mettre celles ci dans 2 bols, ajouter y la viande puis le bouillon, ensuite les oignons, la coriandre et une giclée de poivre.

    soupe poulet

    Cette soupe de poulet est vraiment très goûteuse et peu onéreuse, environ 1 Euro par personne!!! Qui peut faire mieux?

    Soupe de poulet

  • Maquereau au caramel ou ca-kho

    Maquereau au caramel ou ca-kho

    La cuisine asiatique facile de Henri Victor

    ca-kho maquereaux caramel

    Recette vietnamienne/ Cuisine vietnamienne

    Recette des Maquereau au caramel pour 4 personnes

    Ingrédients :

    3 maquereaux moyens nettoyés
    Sauce de poisson (6 c à soupes)
    Sucre (1 c à café rase)
    Caramel (1 bonne c à soupe)
    Saindoux ou beurre ( 1 c à soupe ) Facultatif
    Poivre

    Préparation

    • Couper chaque poisson en 4
    • Mettre une casserole sur un feu moyen/doux
    • Déposer poissons, caramel, sauce de poisson, poivre et sucre
    • Surtout ne pas mélanger, seulement remuer la casserole
    • Le poisson doit être à point (environ 15 mins)
    • Servir avec du poivre Possibilité de remplacer par de la sole

    Evidemment les proportions indiquées restent à la discrétion de chacun car les goûts et les couleurs…

    Votre plat de Maquereau au caramel est prêt et vous pourrez le déguster avec un bon riz parfumé

    Si vous avez une recette asiatique facile et délicieuse, n’hésitez pas à nous la faire connaître et nous nous ferons un plaisir de la mettre illico presto en ligne. Merci

    Photos de la une de Thiery Beyne

     

  • Boeuf Loc Lac

    Boeuf Loc Lac

    Boeuf Loc Lac (cuisine vietnamienne, recette vietnamienne)

    La cuicine facile de Henri- Victor

    bœuf loc lac avec riz rouge
    bœuf loc lac avec riz rouge

    Recette vietnamienne

    cuisine vietnamienne

    Boeuf Loc Lac

    Ingrédients

    400 gr de boeuf

    4 c à soupe de sauce soja

    1et demi c à soupe de concentré de sauce de tomates

    2 c à café de fécule de pommes de terre

    2 gousse d’ail finement hachée

    1 pincée sel et de poivre

    Riz cuit pour 4 personnes

    Préparation

    Couper le boeuf en petits dés et le mettre dans une assiette.

    Ajouter sel, poivre, fécule de pommes de terre et sauce de soja.

    Touiller le tout, et laisser mariner 1 à 2 h.

    chauffez le wok, verser de l’huile, mettre l’ail et faire dorer la viande marinée immédiatement et aussitôt retirer le tout

    Verser le concentré de tomate dans l’huile et ensuite le riz cuit, et mélanger le tout

    faire un petit assaisonnement avec du jus de citron vert, sel et poivre à rajouter au moment de déguster.

    La sauce au champignon peut remplacer la sauce se soja !

    La cuisine asiatique est facile

    LA CUISINE ASIATIQUE

     Si vous avez une recette asiatique facile et délicieuse, n’hésitez pas à nous la faire connaître et nous nous ferons un plaisir de la mettre illico presto en ligne. Merci

    Photo de la une de Thiery Beyne

  • Curry le must des ingrédients asiatiques

    Curry le must des ingrédients asiatiques

    Curry, un ingrédients indispensable pour la cuisine asiatique

    ingredient bouffe

      Oui le curry est souvent employé dans la cuisine d’Extrême Orient que ce soit en Inde, en Chine, au Vietnam ou en Thaïlande. Aujourd’hui nos pays occidentaux se sont emparés de cet ingrédient pour réaliser des plats dans un mélange des genres très tendance. Voici quelques plats réalisés à partir de cet ingrédient asiatique connu dans le monde entier.

    CURRY INDIEN

    CUISINE ASIATIQUE, LES ASTUCES, DONNEZ DU MOELLEUX

    ou le secret de ma maman

    Cuisine asiatique, les astuces

    Donnez du moelleux au curry indien

    Ma mère m’a dévoilé un petit secret que je m’en vais vous rapporter car je suis une langue bien pendue. En fait si cela se sait je vais me faire disputer comme du poisson pourri c’est à dire de la sauce de poisson. Cette petite astuce permet en définitive de donner un peu de ce supplément d’âme et ce goût moelleux, cette douceur sous la langue. Et pourtant ce n’est absolument facile à réaliser. L’histoire veut que pour que les femmes de la haute société vietnamienne puissent prendre époux, il fallait donner à l’empereur une recette hors des sentiers battus ou un petit truc qui puisse satisfaire à la gourmandise du monarque.

    Je trouvais souvent le curry Indien de ma maman fort délicat et suave au goût ; je constatais que les ingrédients étaient exactement identiques aux autres recettes et pourtant il m’apparaissait toujours plus délicieux. Elle se décida un jour à me confier son secret à savoir ajouter à la fin de la cuisson un gros morceau de beurre. Cet ajout conférait au plat son supplément d’âme qui m’emportait toujours au nirvana des gourmands.

    Pour illustrer notre article sur le curry, voici donc une recette vietnamienne:

    POULET AU CURRY (CUISINE VIETNAMIENNE)

    Recette vietnamienne/Cuisine vietnamienne

    L350xH262_jpg_poulet_curry-2-08e95

    Dans le cadre d’un régime d’amaigrissement, vous voulez manger asiatique, cette rubrique de cuisine asiatique amaigrissante est faite pour vous. Testée par nos amis elle restent des recettes asiatiques succulentes et vraiment diététiques. Cuisine chinoise, vietnamienne, thaïlandaise, indienne… elles vous donneront des idées pour d’autres recettes asiatiques adaptées à vos besoins.

    INGREDIENTS: le curry

     4 escalopes de blanc de poulet émincés en fines lanières (750g environ)
    1 petit oignon découpé en tout petit (voir photo)
    4 gousses d’ail coupés grossièrement
    7 cuillères à soupe de sauce de poisson ou nuoc mam (+ ou – selon votre goût)
    1 bonne cuillère à soupe de curry en poudre (+ ou – selon votre goût)
    1 cuillère à soupe d’huile
    Un peu de persil chinois, coriandre, émincé

    PREPARATION

     Faire chauffer l’huile à feu fort, y jeter les oignons
    Quand ceux ci commencent à roussir, mettre le poulet en remuant souvent
    Ajouter la sauce de poissons, nuoc-mam + le curry+ l’ail, quand le poulet est cuit
    Baisser le feu à doux et laisser mijoter 20 mns, couvert.
    Présenter le poulet au curry comme sur la photo

    Conseils d’Henri- Victor:

     ne pas ajouter de sucre comme dans la recette traditionnelle
    mettre un peu d’eau si vous désirez plus de sauce
    Le plat se faisant avec du blanc de poulet, il est souhaitable de préparer ce plat 1 jour avant, afin que la sauce imprègne bien cette viande beaucoup plus sèche que les cuisses…

    La cuisine asiatique de Henri-Victor

    Photo à la une de Thierry Beyne

     

    La cuisine asiatique que ce soit chinoise, thaïlandaise ou indienne est faite d’astuces, de trucs qui sont jalousement gardés par les cuisinières. Chez les asiatiques, par exemple lecurry, il y a un culte du secret propre à chacun, évidemment des détenteurs de recettes qu’ils veulent garder pour eux et en faire profiter les siens.

    Le Curry peut se représenter en poudre ou en pâte épaisse. Le curry est souvent assez pimenté et sert à agrémenter les différents plats dans tout le sud est asiatique. En Inde c’est un ingrédient omniprésent qui parfume les recettes et même l’air que l’on respire. On le retrouve dans les plats mijotés avec du poulet, de l’agneau ou simplement des légumes.

    Vous trouverez du curry en poudre, du curry en pâte, du curry rouge etc…

  • Cuisine asiatique, les astuces : Glutamate, par quoi le remplacer ?

    Cuisine asiatique, les astuces : Glutamate, par quoi le remplacer ?

    Ingrédients asiatiquesglutamate

    Par quoi remplacer le glutamate ?

    Souvent dans des recettes que vous avez fortuitement dénichées dans un bouquin de cuisine il est recommandé, afin de relever le goût, d’ajouter du glutamate , poudre blanche et scintillante, surtout ne le faites pas .

    Remplacez le glutamate, ingrédient des plus « glauques « , par une pincée de sucre. Vous serez certains de ne pas avoir mal à la tête etc….

    Et en plus cet ingrédient asiatique est au cœur de de nombreuses discussions concernant sa grande nocivité (cancer…)

    Jetez le glutamate définitivement et n’utilisez que votre « savoir- faire ».

    La cuisine et les recettes faciles de Henri- Victor

  • Brochettes de poulet (recette de cuisine chinoise)

    Brochettes de poulet (recette de cuisine chinoise)

    Brochettes de poulet (recette de cuisine chinoise)

    La cuisine asiatique facile de Henri- Victor

    La cuisine asiatique sans tralala

     

    Brochettes de poulet (recette chinoise).

    Pour 3 personnes

    INGREDIENTS

    4 belles cuisses de poulet, désossées et coupées en petits morceaux.

    MARINADE

    1 cuillère à soupe de sauce de soja

    1 cuillère à soupe d’ huile de sésame

    1 pincée de cinq parfums

    1 cuillère à café de sel

    1 cuillère à café de sucre

    1 pincée de poivre

    PREPARATION

    Faire mariner le poulet pendant au moins 5 heures.

    Puis les piquer sur des brochettes

    Les faire cuire au four moyen pendant 15 minutes.

    A déguster avec un bon riz parfumé simple et délicieux.

    La cuisine asiatique est facile

    Ingrédients asiatiques

    La cuisine asiatique est facile

    LA CUISINE ASIATIQUE


    Si vous avez une recette asiatique facile et délicieuse, n’hésitez pas à nous la faire connaître et nous nous ferons un plaisir de la mettre illico presto en ligne. Merci

     

     

  • Bar à la vapeur (cuisine chinoise, recette chinoise)

    Bar à la vapeur (cuisine chinoise, recette chinoise)

    Bar à la vapeur (cuisine chinoise, recette chinoise)

    La cuisine asiatique de Henri- Victor

    bars-poisson

    Recettes asiatiques « light »et « diététiques » faciles

    Bar à la vapeur

    Recettes asiatiques « light »et « diététiques » faciles

    Ingrédients

     un bar écaillé et vidé
    blanc de ciboulette
    1 gingembre frais
    Sauce de soja ( une c à soupe)
    huile de sésame ( une c à café)
    sauce d’huîtres ( Une c à soupe)
    sel fin

    Préparation

     mettre le poisson dans un plat creux


    faire des entailles des deux côtés et y déposer du sel+ le gingembre taillé en cheveux+blanc de ciboulettes.


    Verser la sauce de soja+sauce d’huîtres+huile de sésame sur le bar des 2 côtés


    Puis cuire à la vapeur en enlevant régulièrement du dessous du couvercle les gouttelettes d’eau de condensation
    Variante : effectivement tu cuits le poisson à la vapeur, sans sel mais + gingembre. faire chauffer de l’huile (environ 3 à 4 cuillères), lorsqu’elle est très chaude et lorsque le poisson est presque cuit, verser l’huile chaude sur le poisson (attention au éclaboussures !!), ainsi le poisson est saisi et devient un peu croustillant. Puis verser de l’huile de sésame, sauce de soja et ciboulette ( version moins diététique).

     Si vous avez une recette asiatique facile et délicieuse, n’hésitez pas à nous la faire connaître et nous nous ferons un plaisir de la mettre illico presto en ligne.

    Merci

  • Soupe de rognons ( cuisine vietnamienne, recette vietnamienne)

    Soupe de rognons ( cuisine vietnamienne, recette vietnamienne)

    Soupe de rognons ( cuisine vietnamienne, recette vietnamienne)

    Recette vietnamienne

    Cuisine vietnamienne

    Soupe de rognons

    Ingrédients
    100G g de rognons de porc bouillis et decoupés en fines lamelles
    1 mug de riz + 2 mugs d’eau
    Sauce de poissons ( selon votre goût 2 à 4 c à soupe)
    Echalottes fraîches découpées finement
    1 pincée de sel

    Préparation
    Cuire le riz dans l’eau + sel, et si la soupe est trop épaisse à la fin rajouter de l’eau
    Quand le riz est enfin cuit et la soupe bien équilibrée en eau, rajouter les rognons , la sauce de poissons
    Avant de servir mettre les échalottes et poivrer

    Ingrédients asiatiques

    La cuisine asiatique est facile

    LA CUISINE VIETNAMIENNE ASIATIQUE

     Si vous avez une recette asiatique facile et délicieuse, n’hésitez pas à nous la faire connaître et nous nous ferons un plaisir de la mettre illico presto en ligne. Merci

    La cuisine facile de Henri- Victor

    La cuisine asiatique de Henri- Victor