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  • UN PLAT ORIGINAIRE DE CHINE, LA CHOUCROUTE

    UN PLAT ORIGINAIRE DE CHINE, LA CHOUCROUTE

    LA CHOUCROUTE, UN PLAT ORIGINAIRE DE CHINELA

    aranha / Pixabay

    CHOUCROUTE, UN PLAT ORIGINAIRE DE CHINE

    Chacun connaît, la choucroute, ce plat de chou coupé en julienne et fermenté dans une saumure. L’origine du mot vient de l’alsacien “surkrut” (Sauerkraut en allemand), littéralement « chou acide », altéré en chou et croute. Par extension, le terme désigne aussi le plat de choucroute cuite avec son accompagnement.

    La choucroute nous viendrait de Chine, apportée par les guerriers Huns qui l’auraient découvert, en même temps que sa méthode de conservation par la saumure, lorsqu’ils se heurtèrent à la Grande Muraille. Les ouvriers et les garnisons chinoises de la Grande Muraille, parfois isolés dans des contrées isolées et arides, se nourrissaient de chou fermenté.

    Après leur échec contre les Chinois, les Huns portèrent leurs conquêtes vers l’Ouest et c’est ainsi que , passant par la Hongrie, l’Autriche et la Bavière, ils atteignirent l’Alsace en 451. C’est la date probable d’introduction du chou dans ces régions, qui utilisaient déjà la lacto-fermentation pour la conservation d’autres légumes, parmi lesquels le navet.

    Les premières références à cette préparation du chou datent du XVe siècle. Au XVIe siècle des textes en attestent également la présence à la table des monastères. Au XVIIe siècle, on le trouve sous l’amusant nom de « Kompostkrut » (chou compost). Au siècle suivant il se généralise en Alsace et dans une partie de la Lorraine pour devenir un plat régional.

    Mais ce n’est qu’au XIXe siècle que la choucroute désignera le plat de chou emblématique cuit avec son accompagnement de porc et de charcuterie.

    Source des infos/ www.bayoo.tv

  • YE Jianxin, artiste- peintre chinois

    YE Jianxin, artiste- peintre chinois

    YE Jianxin, artiste- peintre chinois/雄浑大地见真情, 读叶建新的水墨山水, 范迪安

    PEINTRE CHINOIS

    YE Jianxin, artiste- peintre chinois.

    你可以找到一個在中國的文字在文章的末尾

    YE Jianxin Né le 26 juin 1958, membre de l’Association des Artistes Chinois. Professeur à l’Institut des Arts du Cinéma et de la Télévision de l’Université de la Communication de Chine et directeur de Maîtrise. Responsable de l’Académie Nationale des Technologies du Cinéma et de la Télévision. Directeur du Comité Professionnel des Beaux-Arts. Professeur invité à l’Institut des Media de Zhejiang. Directeur de publication du Marché des Arts.

    Majestueux paysages, authentique émotion :

    Commentaire sur les œuvres de YE Jianxin par monsieur FAN Di’an

    雄浑大地见真情 读叶建新得水墨山水

    范迪安

    Les lavis paysagistes à l’encre de Chine de Ye Jianxin se distinguent par son style élégant et vigoureux hors du commun. Une structure audacieuse dans ses tableaux, une place importante accordée aux couleurs sombres et des traits profonds enveloppent une vitalité débordante. L’ensemble de ces caractéristiques forme un univers particulier qui nous impressionne et nous attire. De cette fascination, naît un contact personnel privilégié avec la terre et le ciel, issu du concept d’un esprit purificateur, il nous effleure d’une sensation de plaisir et de gaieté.

    Comme résumait parfaitement le célèbre écrivain contemporain chinois, LIN Yutang (1895—1976), lorsqu’il analysait la peinture chinoise : « toute inspiration artistique chinoise prend sa source dans les paysages ». En effet, lorsque la peinture paysagiste avait pris son essor à l’époque de la dynastie Tang, les expressions artistiques ses caractérisaient surtout par leur esprit esthétique. A travers leurs œuvres, les peintres manifestaient l’éloge de la nature. Cette extériorisation des sentiments illustrait la présence de l’esprit et valorisait la perception d’une réalité. Bien que par la suite, différents styles et courants apparurent dans les peintures paysagistes, la volonté d’interprétation d’une image réelle par son sens et vice-versa ainsi que la recherche visant à cerner l’âme des montagnes et des eaux par leurs formes physiques furent communes à toutes les peintures paysagistes chinoises. Les nuances des traits entre chacune des peintures ne changeaient en rien l’éloge des paysages.

    Ye Jianxin connaît parfaitement le positionnement de ces valeurs spirituelles dans les peintures paysagistes et cerne l’importance des places centrales qu’occupent « l’esprit » et « l’énergie qi气 » (l’air). Sur l’aspect théorique, Ye Jianxin veut transformer « l’esprit » et « l’énergie » en objets visibles afin d’interpréter l’âme insaisissable. En pratique, il commence par « l’énergie qi气 », c’est-à-dire tout ce qui est visible, pour se consacrer par la suite à la description de l’âme des paysages. Ce faisant, il rend le paysage encore plus réaliste tout en révélant ses talents et ses caractéristique artistiques.

    Les œuvres de Ye Jianxin reflètent donc, non seulement l’esprit de la nature, mais aussi ses propres caractéristiques. En effet, Ye Jianxin ne veut pas se limiter aux seules techniques artistiques : il souhaite aussi exprimer sa compréhension de la nature dans ses œuvres.

    Lors de son processus d’apprentissage artistique, Ye Jianxin a compris qu’il fallait dépasser le stade technique des mains en attirant volontairement l’expression d’émotions provenant directement du coeur et de l’inconscient. Originaire du nord de la Chine, il hérite d’un esprit ouvert et intègre également des tempéraments plus sensibles qui caractérisent les habitants du sud. Seuls les termes « émotions » et « sensations » authentiques peuvent qualifier son état d’esprit lorsqu’il contemple les chef d’œuvres de la peinture chinoise. Il ne considère pas la tradition des peintures paysagistes chinoises comme un élément isolé mais plutôt comme un univers artistique aux sentiments multiples. Et parce qu’ ému devant cet univers grandiose et ancestral, il ne prête pas attention aux détails sans importance. « Voyage imaginaire à travers les dynasties des Tang et des Song » qui se lit comme un roman classique, est justement l’aboutissement artistique réussi d’une recherche effectuée auprès des chefs-d’œuvre des peintres chinois traditionnels. A travers cette impressionnante peinture longue de 420 centimètres, le peintre nous fait apparaître une sensation d’estime mélangée à de la crainte et de la perplexité face à l’immensité d’une nature sauvage. L’esprit du Taoïsme prend alors tout son sens dans cette œuvre où la recherche de la nature est passée devant l’esprit purement esthétique.

    « Ame des montagnes », une série de travaux réalisés durant les années 1990, sont les œuvres les plus représentatives de Ye Jianxin. Dessiner l’âme des montagnes est en réalité l’objectif ultime que Ye Jianxin s’est fixé pour lui-même. Et, pour atteindre cet objectif, il parcours montagnes et sites historiques, synthétise la vision des peintures traditionnelles, et apporte ce qu’il ressent de la nature. A travers ses travaux, on pourra percevoir l’esprit d’indépendance des paysages qui sont l’essence même de la nature. Grâce à un impressionnant style artistique, Ye Jianxin a réussi à se démarquer des autres artistes.

    L’esprit Zen et les caractères humanistes font également partie des spécificité des œuvres de Ye Jianxin. A travers ses tableaux, nous pouvons percevoir la concentration qu’il a accordée pour tracer chacun des traits, sans superflu et uniquement des sentiments de confiance. Ces caractéristiques reflètent l’autodiscipline et l’esprit d’indépendance propres aux artistes chinois. A la différence de certaines soi-disant « peintures néo-littéraires », les œuvres de Ye Jianxin se distinguent à la fois par la conscience et l’esprit Zen des « peintures néo-littéraires » mais aussi par une absence totale d’attitude approximative ou négligée.

    Au niveau de la représentation graphique, Ye Jianxin recours fréquemment aux traits forts et puissants, créant ainsi un espace vivant et réaliste tout en laissant soin de préserver un caractère implicite dans la peinture.

    Dans la composition, Ye Jianxin dépasse le cadre et les règles réservés habituellement aux peintures paysagistes pour explorer davantage l’horizontal, le verticale et les parallèles… En appliquant un contraste fort dans le tableau, il renforce d’avantage l’impact visuel et augmente ainsi le caractère palpable des objets.

    Les couleurs sont rarement visibles dans ses peintures, car Ye Jianxin préfère exprimer ses sentiments affectueux pour la nature sous forme de lumières et d’ombres. Ye Jianxin est un artiste d’âge moyen prometteur, il s’efforce de progresser davantage dans l’art du lavis.

    Contact email/ Fang Zhang

    雄浑大地见真情 读叶建新得水墨山水

    范迪安

    叶建新得山水画,大气磅礴,洒脱自然。其大胆的构图、大块的墨色、大笔的渲染,可谓恣肆淋漓、云覆山翻,充盈着蓬郁的生机,让人注明,并在注目之际既生“独与天地精神往来”的“澄道观”的快意。 正如林语堂在论中国画时精辟的描述:“中国艺术的冲动源于山水”。山水画在隋唐勃发兴起之时起,就是一种非功利的纯审美活动,画家对“天地大美”之恩、之情 、之意的外化,是精神与意识价值的体现,虽然在后世的第一个时代,山水画都呈现出不同的风格与面貌,但以意摄象、以象写意,这些山水画取山水之形、求山水之魂的理想却一以贯之,笔墨纵有个性差异,皆是对仁山智水的歌咏。 叶建新做山水画,是深知山水画精神价值定位的,也特别领悟到“神”与“气”在山水画中的核心义旨。在理论上他主张“精气为物,游魂为变”;在实践中,他以“气”入画,重在写山水物象之“魂”。;于此,他画出了既体现山水画真谛,又充分显现自我个性气质的一家风仪。 在研习山水画过程中,把揣摩领会传统这个必经的功课从“器”的层面上升到了“道”的层面。他重视山水画的笔墨技巧,但不是一般地从传统中学几路笔法墨象,而是将身心投入于对传统山水经典之作地“感悟”之中,用“心’的“感悟”带出手的“功夫”。依叶建新北方式的豪放式性情和南方人的敏感多情相结合的气质,他在面对古人经典时,只有感动二字才能确切表达他的状态。他看到的中国山水画传统,并不是单个细节,而是那个含蓄多情的艺术境界——因为感动,而忘却了那些不必要的细节。《梦游唐宋境》就是他对古代大家风格研习之作,全画犹如读古的长篇笔记,充满了自己对于境界的怀想与表现。在长达420厘米的画面中,烟岚清旷,山色空蒙,漠漠川原上林立着秀劲萧森的古木,空无一人的幽深画面充满莫名的神秘与惆怅,这种远边的孤寂与惶恐是每一位现代人回顾陌生的古代都会发生的一种惧畏,困惑与崇敬。我 相信人们看到这幅画,都会忽的一下被摄住,定定的屏住气息,望着迷梦一般的唐川宋林,似乎被画幅散发出来的冰冷寒气所笼罩——叶建新在研究传统时离“形”求“道”,进入了唐宋梦境的博大幽深世界,他也把这种世界带给了我们。 最能代表叶建新艺术的还当属他从20世纪90年代中期以来持续创作的《山魂》系列。为山川写神魂,这是一个高远的目标。为此他以中国气盛为支撑,跋涉游览许多名山大川,就像他以综合的眼光看待传统、以领略的整体意境为重点一样,他在面对自然景象之时,也是用心灵和情感去统摄与收取。他的许多作品画出了山水作为大自然本真生命的那番独立精神。山川巍峨奇峭,云气吞吐大荒,以一种大开大合的气象给人以永恒的意味。在当代中国画山水画坛名家辈出、形态纷呈的格局中,他以自己强烈的艺术风貌占有了一方天地。 在叶建新黑白分明、大气磅礴的作品中,蕴涵着深厚的人文精神。画面中没有唐突粗糙的涂鸦,看似信守挥洒而得,其实每笔都注精凝神,率意之中流露出自然与自信,这是中国文人独有得自律与精神,这种自省与尊古得精神也是学者型画家独有得人品与旗帜。与当代有些所谓“新文人画”不同的是,叶建新的画虽有文人画的意境与禅思,在逸笔生气中却未流露于其自娱与荒颓。 从笔墨角度看,叶建新的笔墨多是运势刚健的重笔和恣肆淋漓的大写意泼墨,大块的笔触与墨迹在宣纸上印留下富有动感和质感的生动空间,在洗练的黑白块面中穿插着坚凝的山石素壁,似乎偶然的笔墨皴染形成极富浑厚酣畅之意味,风尚雄古,一洗工气。在 这个基础上,他也注重苍健中的含蓄,把小写意的细腻勾染结合进入,使作品整体浑然,奈人寻意。 在构图上,叶建新突破了传统的经典章法和山水具体的地域性特征,多为横段式、平行式、放射式、内敛式,有的甚至是传统山水画的大忌。画面常违背一般山水自然的有机性,采用大疏密的对比,将焦点透视中的物象置于散点透视或平面构成中,扩大画中风景的可感度,强化视觉冲击力,极大地渲染了感情氛围。他一些作品的主干线条往往斜出画面下角,直冲云头天际,一如长锋破阵,嘎嘎然撑起全幅结构,在视觉上十分让人振奋,在无际视野间感受到空而不空、寂而不寂,领悟到遐想的妙端。 叶建新的画绝少设色,在这一批黑白水墨世界里,蕴涵了董其昌“画欲暗不欲明”的妙喻,深不可测的墨色中藏有“不尽之境”,明暗中蕴有“景外之景,意外之玄妙”,在深厚的笔墨中,对自然山水的迷恋和情怀跃然素纸,这是值得称道的。依他正处中年盛期,他将在水墨山水艺术中长足前进。

    Contact email/ Fang Zhang

  • Centre Culturel de Chine, un lieu incontournable de la culture chinoise !

    Centre Culturel de Chine, un lieu incontournable de la culture chinoise !

    Centre Culturel de Chine, un lieu incontournable de la culture chinoise !

    Inauguration des nouveaux locaux du Centre Culturel de Chine.

    L’ancien centre de 1700 m2 ne suffisant plus, il a fallu construire un bâtiment annexe de 4000m2. Un auditorium, une salle polyvalente, une salle d’exposition , un centre d’enseignement de langues, une médiathèque seront les atouts majeurs de ce lieu incontournable de la culture chinoise.

    Pour l’inauguration les hôtes de marque sont tous présents, M. Valéry Giscard d’ Estaing (ancien président de la république), M. Jean- Pierre Raffarin ( ancien premier ministre), KONG Quan (ambassadeur de Chine en France), Jacques Giès (président du Musée Guimet)…

    A la fois inauguration et vernissage cette soirée aura été marquée par la présence d’une Chine culturellement omniprésente et dont l’expansion artistique réservera dans le futur encore de bien fabuleuses et étonnantes surprises.

    HVH


    CENTRE CULTUREL DE CHINE (activités et expositions)

    En collaboration avec le Musée Guimet

  • Soupe chinoise, recette rapide et facile (cuisine chinoise, recette chinoise)

    Soupe chinoise, recette rapide et facile (cuisine chinoise, recette chinoise)

    Soupe chinoise, recette rapide et facile

    (cuisine chinoise, recette chinoise)

    Recette chinoise

    Cuisine chinoise

    Soupe chinoise, recette rapide et facile (cuisine chinoise, recette chinoise)

    INGREDIENTS

     2 litres de bouillon de poule ( 4 bouillons de poule)
    4 portions de vermicelle de riz
    20 grosses crevettes
    Sauce soja (nuoc thuong) selon votre goût
    1 petit oignon émincé
    1 cuillère à café d’huile de sésame

    PREPARATION

     Préparer le bouillon de poule.
    Quelques minutes avant de servir, mettez le vermicelle de riz dans le bouillon
    Mettre les crevettes crues dans les bols.
    Verser le bouillon brûlant, mettre l’oignon, l’huile de sésame et servir.
    Ajouter la sauce soja (nuoc thuong), selon votre goût et poivrer .


    Chinese soup, fast and easy recipe

    (Chinese cooking, Chinese recipe)

    Chinese recipe

    Chinese cuisine

    Chinese soup, quick and easy recipe (Chinese cooking, Chinese recipe)

    INGREDIENTS

    2 liters of chicken broth (4 chicken broths)
    4 servings of rice vermicelli
    20 large shrimps
    Soy sauce (nuoc thuong) according to your taste
    1 small onion, thinly sliced
    1 teaspoon sesame oil

    PREPARATION

    Prepare the chicken broth.
    A few minutes before serving, put the rice vermicelli in the broth
    Put the raw shrimp into the bowls.
    Pour the hot broth, put onion, sesame oil and serve.
    Add the soy sauce (nuoc thuong), according to your taste and pepper.

  • Poulet à la vapeur et crème de gingembre (Cuisine chinoise, recette chinoise)

    Poulet à la vapeur et crème de gingembre (Cuisine chinoise, recette chinoise)

    Poulet à la vapeur et crème de gingembre (Cuisine chinoise, recette chinoise)

    Poulet vapeur et crème de gingembre

    Cuisine chinoise, recette chinoise

    Pour 4 personnes

    Cuire le poulet à la vapeur

    Ingrédients

     4 cuisses + hauts de cuisse
    3 cm de gingembre frais
    3/4 de tête d’ail épluché
    2 cuillères à café de sauce soja
    Huile
    poivre+sel

    préparation

     Faire cuire un poulet à la vapeur ( fermier de préférence)
    éplucher le gingembre, le couper en petits morceaux, mixer.
    Mettre l’ail de nouveau et le remixer.
    recouvrir totalement cette mixture d’huile et remixer encore en rajoutant soja+sel+poivre.
    Présenter chaque cuisse dans son assiette et la napper de cette mixture
    Quelques gouttes d’huile de sésame (facultatif)

    Si la mixture vous semble trop forte rajoutez un peu de sucre pour adoucir.

    Recette chinoise rapide, simple et efficace.

  • Cuisson du riz, comme en Asie!

    Cuisson du riz, comme en Asie!

    Cuisson du riz, comme en Asie!

    Cuisson du riz, comme en Asie !

    1- Le mieux est d’acheter du riz parfumé (Thaï ou autre), de préférence dans un magasin asiatique et surtout pas dans une grande surface car ce dernier a été traité ; ainsi la cuisson ne pourra pas s’effectuer convenablement selon les vieilles recettes traditionnelles.

    De préférence n’achetez pas du basmati qui est un riz dédié plus à la cuisine Indienne.

    2- Lavez le riz pour retirer un peu d’amidon.

    3- Mettez le riz dans une casserole, peu importe la quantité.

    4- Ajoutez de l’eau froide environ 2,5 cm au dessus du riz , et couvrez.

    5- Faire cuire à feu vif jusqu’à ébullition de l’eau.

    6- L’eau doit s’évaporer et des bulles apparaissent bientôt à la surface du riz. Il faudra bien attentivement suivre la cuisson et ne jamais mélanger car votre riz risque de se transformer en riz gluant, ce qui n’est pas, à- priori votre but.

    7- Couvrez à nouveau et faites cuire à feu doux jusqu’à cuisson du riz environ 15 à 20 minutes.

    Les asiatiques ne salent ni ne poivrent leur riz à la cuisson.

    Maintenant, il est fort pratique d’utiliser un « rice- cooker » !

    Ingrédients asiatiques


    Cooking rice, as in Asia!

    Cooking rice, as in Asia!

    1- The best is to buy perfumed rice (Thai or other), preferably in an Asian store and especially not in a large area because it has been treated; Thus cooking can not be carried out properly according to the old traditional recipes.

    Preferably do not buy basmati which is a more dedicated rice to Indian cuisine.

    2- Wash the rice to remove a little starch.

    3- Put the rice in a saucepan, no matter how much.

    4- Add cold water about 2.5 cm above the rice, and cover.

    5- Cook on high heat until boiling water.

    6- Water must evaporate and bubbles soon appear on the surface of the rice. It will be necessary to carefully follow the cooking and never to mix because your rice risks turning into sticky rice, which is not, a priori your goal.

    7- Cover again and cook over low heat until rice is cooked for about 15 to 20 minutes.

    Asians do not salt or pepper their rice when cooking.

    Now it’s very practical to use a « rice-cooker »!

    Asian ingredients

  • Histoires drôles asiatiques, blagues d’asie, humour d’asie

    Histoires drôles asiatiques, blagues d’asie, humour d’asie

    Histoires drôles asiatiques, blagues d’asie, Asie humour et humour d’asie

    Histoires drôles,Blagues asiatiques, blagues d’asie, Asie humour et humour d’asie

    « L’asiatique et le boucher ! »

    Une asiatique, mariée récemment à un parisien, et ne ne connaissant que fort peu notre langue, communiquait avec son mari qu’au lit dans des ébats de « nuits câlines ». Chez les commerçants la difficulté était qu’il n’y avait pas de lit… Je plaisante !

    Un jour chez le boucher elle voulut acheter des cuisses de poulet, mais comment exprimer ce désir fort simple ? Elle souleva sa jupe, montra ses cuisses au boucher trés, trés attentif, qui comprit aussitôt la demande de sa cliente.

    Pour préparer de la poitrine de porc croustillante, elle retourna chez le commerçant et afin de se faire comprendre, elle dégraffa sa chemisette et montra sa poitrine. Le boucher l’oeil affolé et le regard en biais, lui servît l’objet de sa demande.

    Un barbecue dans le jardin était en préparation et notre brave asiatique eût besoin de saucisses. Elle amena son mari chez le boucher trés désapointé et…

    Vous avez un esprit fort pervers, mais voyons son mari parle français ! 
A quoi pensiez-vous ? Vous n’écoutez pas, soyez plus attentif dorénavant…

    « Gros mots »

    Un Chinois arrive en France et à l’aéroport, il prend un taxi. Le chauffeur traite sans arrêt les autres de gros cons.

     Chez nous, en Chine, on ne dit pas con mais on siffle un son « UH ». Quand il y a 2 cons, on siffle « UH-UH ». Pour trois cons : UH-UH-UH.

     Et quand il y a beaucoup de cons, comment dites-vous ?

     C’est simple, on siffle UHUH sur l’air de la Marseillaise !

    « J’suis vert ! »

    Un chinois, de retour de Chine, s’aperçoit que son zizi est tout vert suite à ses nombreuses aventures calines. Son médecin traditionnel chinois, aprés un examen rapide lui asséne le coup de bambou, il va falloir couper. Précipitamment il va voir d’autres médecins parisiens qui lui donnent le même diagnostic, il faut absolument couper son zizi.

    Démoralisé, il se retrouve dans un bistrot et là un type lui conseille d’aller voir un guérisseur vietnamien trés réputé.

    Comme un fou il se précipite chez ce dernier qui aprés un regard goguenard sur le zizi, lui prépare une potion qui , illico presto, est avalée par notre patient. Rassuré le chinois lui demande angoissé : « Alors, dites moi, il n’y aura pas besoin de couper ? » Le guérisseur lui répond dans un sourire plein de dents : » Non, non, pas besoin, ça va tomber tout seul ! 
 »

    « Des japs à petit budget »

    Un car d’ouvriers japonais arrive à Paris. Ils trouvent les prix bien trop chers pour leur budget. Le soir même, poussé par des pulsions incontrôlables, l’un d’eux demande à une jolie pute combien elle prend. 200 euros la passe, 1000 euros la nuit. Le Japonais dit : OK pour la nuit, mais à mon hôtel. Ils font l’amour puis le Japonaisse rend à la salle de bains, revient, refait l’amour… La fille est comblée mais au petit matin elle veut aussi passer à la salle de bains et, oh surprise ! elle y trouve tous les Japonais du car, attendant leur tour…

    « J’veux des preuves »

    
Le chef d’un restaurant chinois entre dans une épicerie arabe pour acheter 20 boîtes de Ronron. L’épicier n’est pas d’accord : non, le Ronron on sait qu’on va le retrouver dans vos pâtés impériaux… Le Chinois lui répond : mais j’ai 2 chats, c’est pour eux ! L’épicier lui dit : je veux les voir ! Le lendemain, le Chinois revient avec ses 2 chats dans un panier et rassuré, l’épicier lui donne le Ronron. Une semaine après, le Chinois revient : je veux 20 boîtes de Canigou. Non, répond l’épicier, on connaît vos saucisses ! Mais c’est pour mon chien ! Je veux le voir. Le lendemain, le Chinois revient avec son chien et achéte les boîtes de Canigou. Une semaine après, il arrive avec un seau de merde qui empeste la boutique. L’épicier, au bord de l’écoeurement, lui demande ce qu’il veut, cette fois. Le Chinois dit : je voudrais 3 multipacks de papier toilette. Mais il ajoute : cette fois je vous ai apporté tout de suite les preuves !

    Humour d’Asie,

  • QIAN Lei PEINTRE CHINOIS, citoyen d’honneur de la ville de Montpellier

    QIAN Lei PEINTRE CHINOIS, citoyen d’honneur de la ville de Montpellier

    QIAN Lei 钱磊一个中国画家如梦境一般的画

    PEINTRE CHINOIS

    QIAN Lei 钱磊

    citoyen d’honneur de la ville de Montpellier 2ème prix de ‘stars’ du Ministère de la culture de Chine

    2003-2004 participation a des événements culturels dans le cadre des années croisées : année de la France en Chine et de la Chine en France octobre 2002,invite d’honneur de la Foire internationale de Montpellier《 la Chine a l’honneur》 auteur du tableau offert par le gouvernement du Sichuan à la mairie de Montpellier en 2001, participation aux Expositions《 art contemporain international- vague》aux Etats-Unis.

    en juillet 2000,《tournée d’expositions de la jeunesse artistique》en Allemagne.

    en 1995, médaille de bronze au Japon : Exposition de petits formats

    en 1994, médaille de bronze a Toronto (Canada) Exposition internationale de peintures d’encre

    en 1992, médaille d’argent des nouveaux talents des “Maple awards” au Canada, catégorie encres de Chine

    PRESSE

    2003.6.16报(法) <中国画家钱磊的极美的画展> 美术界新贵李查德.库克为成功举办各国青年画家画展而创立的 联合美术画廊 这个地方隐藏在一个称得上翻新的街区里白色的墙和地板照耀和展示出的艺术家所有作品除了他自己的雕塑作品外,这里还展出这中国青年钱磊的画作.李查德.库克对这位应邀参加2002年蒙城国际博览会的画家的作品可谓是一见倾心 在森林和田野中的人们 钱磊已不是一个初出茅庐的新手了,他过去在德国,美国,法国的画展.在美国,加拿大的展览和所得的褒奖都可以证明这一点 他生活在四川省,面积于我国相当,人口众多,以农业发展为主,尽管有过胜的开发,但现在还保留着树林繁茂的美丽景色 钱磊温情地看着他的作品目录<在树林和田野里的人们>.从他的作品里,我们看到的是单纯,高贵和美. 想象的画作 ?不,画中的人物都是绝对真实的 :身着长袍的妇女,宁静的面孔,骑在马背上等待着,缓慢移动的耗牛,还有在梦境一般的森林里工作的人们. 细长的树干,脱皮树的光滑的树枝迷失在浅灰的天色中,却又凸现于白色的大地(不与白色的大地相混淆). 如此的真实…… 最为重要的是,他在画中表现出了人类与自然的遗产和谐相处的一面.欣赏他的画就象是被邀请对风景和人物的一次深切了解. 一段中国传奇讲述着8世纪吴道子传奇故事……. 这些诗一样的充满这情感的画作,我们可以一直欣赏到8月底

    2003年6月6日《midi libre》报(摘选) (法) 钱磊,中国艺术家.去年作为荣誉嘉宾参加了蒙比利艾国际贸易博览会.无可置疑的是他用画纸,画笔和细致考究的作品为我们奉上了一餐艺术盛宴.在纯白的背景下,雪景与天地合为一体.自然的风格, 它的作品非常细腻,笔触极其柔和, 有毛笔在特别薄的几乎透明的纸上作画.在它的风景画中,以大雪中纯净天与地相融为远景,用单线条勾勒出实物,自然的格调,[你可以] 捕捉到马群的轮廓的变化精致刻画, 以及对山民的细致描绘都被这位艺术家通过图象,线条和轮廓,运用他纯熟的中国国画技巧淋漓尽致的展现在我们眼前。 现在,中国画家钱磊的作品正在这个画廊展出,他曾在去年蒙比利埃举办 的国际展览会上获得荣誉市民的称号.

    Contact email/ Fang Zhang

    Asie et culture et culture d’extrême orient


    QIAN Lei 磊 一个 一个 国

    CHINESE PAINTER

    QIAN Lei 磊

    Honorary citizen of the city of Montpellier 2nd prize of ‘stars’ of the Ministry of Culture of China

    2003-2004 participation in cultural events in the cross-years: the year of France in China and of China in France October 2002, honorary invitation of the Montpellier International Fair « China has the honor » author of the Painting offered by the Sichuan government at the Montpellier town hall in 2001, participation in the exhibitions « contemporary international art-wave » in the United States.

    In July 2000, « tour of exhibitions of artistic youth » in Germany.

    In 1995, bronze medal in Japan: Exhibition of small formats

    In 1994, bronze medal in Toronto (Canada) International Exhibition of Ink Paintings

    In 1992, silver medal of the new talents of the « Maple Awards » in Canada, category inks of China

    PRESS

  • Histroires d’Asie, histoires vraies : « la préférée »(Asie)

    Histroires d’Asie, histoires vraies : « la préférée »(Asie)

    Histroires d’Asie, histoires vraies : « la préférée » (Asie)

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    La préférée !

    Ma préférée, mon préféré, mes préférés, ma préférence, sonnent comme une chanson… Assez, comment peut-on imaginer dans notre vieille Europe démocratique et égalitaire, l’utilisation de cette notion surannée qui ne semble pouvoir subsister que dans des pays arriérés en voie de développement.

    Eh oui, ne vous déplaise, cette idée de préférer un oncle, une tante, un frère, une sœur et pire un enfant à un autre est encore aujourd’hui chose courante en Asie. Non seulement la préférence est exprimée, mais elle est connue de tous.

    Je me souviens, encore aujourd’hui, de ces réunions familiales pleines de gaieté où les frères, les sœurs, les cousines, les cousins se retrouvaient pour des fou- rires inoubliables, des jeux bruyants et des chamailleries joyeuses.

    Mes parents s’absentaient souvent et nous laissaient sous la haute surveillance des nombreux domestiques et employés de maison ; ces derniers ne pouvaient que difficilement contrôler les chenapans que nous étions, toujours pressés de s’épanouir dans des blagues enfantines et des bêtises sans cesse renouvelées. Notre toute nouvelle liberté nous poussait insidieusement à pousser les limites du raisonnable.

    C’était si drôle d’envelopper nos « fraîches déjections » dans de jolis papiers aux couleurs chatoyantes, de les ficeler tels des cadeaux délicats. Nous les déposions ensuite dans la rue en attendant que des piétons intrigués par ce don tombé du ciel, cet inattendu présent, ne s’emparassent manu militari du paquet croyant à la divine providence. Et au lieu de trouver des bijoux, de l’argent ou le trésor des Incas, ils avaient l’avantage et le suprême honneur de sentir l’odeur nauséabonde d’une matière fécale molle et collante qui leur titillait le museau. Nos moqueries, rires et sarcasmes étaient toujours fort sonores, ce qui provoquait chez les victimes des rictus de haine !

    L’eau potable était essentielle à la bonne marche de notre smala. La collecte de la pluie restait toujours une priorité ; papa avait fait construire une réserve en ciment ce qui nous permettait de ne jamais en manquer. Je me souviens d’une période de grande chaleur et profitant de l’absence de nos parents nous avions décidé de nous installer dans cette piscine improvisée en n’oubliant surtout pas de nous y savonner avec force, d’uriner abondamment et aussi d’essuyer nos pieds noirs de crasse et de boue.

    Treize frères et sœurs prompts à la rigolade, aguerris à la subtilité de potache et toujours prêts à soulever des montagnes pour que les bêtises soient reconnues, glorifiées, en se hissant au niveau d’un art.

    Maman et papa dès leur retour trouvaient fréquemment sur leur porte un petit mot de voisins excédés se plaignant du bruit infernal occasionné par nos pyjamas- parties et nos délires nocturnes, nos bêtises démoniaques ou les vestiges de catastrophes bien maladroitement cachés. Papa gardait toujours précieusement dans un coin de la maison notre pire ennemi : le martinet en peau de buffle. En pleine nuit, il soulevait la moustiquaire collective des garçons et à chacun attribuait une cinglante punition soulevant des grognements d’animaux encore sous l’emprise de la nuit câline. Ensuite il se dirigeait vers la chambre des filles apeurées, collées les unes aux autres dans l’immense lit, et leur infligeait la même correction dans un chapelet de cris stridents.

    Le lendemain, toutes les cuisses, les fesses gardaient des traces rougies, irritées, des souvenirs cinglants d’une nuit de légitime retour de bâton.

    Jamais papa n’avait levé la main sur moi, sa préférée, la peureuse de service, la poule mouillée et à chaque « correction » collective j’échappais toujours, comme par magie, à la « douce caresse » du fouet vengeur. Ce privilège n’attirait pas toujours la sympathie de mes sœurs et frères et provoquait chez eux un désamour bien légitime qui me laissait souvent seule, face aux sarcasmes de toute la fratrie.

    Dans les familles vietnamiennes de l’époque, être la « préférée » n’était pas une simple vue de l’esprit mais un vrai statut qui conférait à l’heureux élu des privilèges et bien peu de devoir. Je m’en suis jamais plainte !

    Aujourd’hui sans l’avouer, sans l’exprimer, toujours en catimini nous n’avons pas la moindre préférence, oh non, mais juste une toute petite attirance, un doux penchant vers l’un de nos enfants, mais bien sûr nous les aimons tous profondément, en n’en préférant aucun ; la morale est sauve et sauve la morale.

    HV

  • L’institut Confucius du Centre culturel de Chine à Paris

    L’institut Confucius du Centre culturel de Chine à Paris

    L’institut Confucius du Centre culturel de Chine à Paris

    L’institut Confucius CCCP du Centre culturel de Chine à Paris propose des cours de langue, de culture et de civilisation chinoises.

    Le programme des enseignements de langue comprend une quarantaine de modules : bases linguistiques niveaux 1 à 6 ; audiovisuel ; conversation ; lecture de presse ; préparation au HSK.

    Les cours de culture et de civilisation, dispensés par des spécialistes ou des maîtres en art, sont organisés autour de thémes : calligraphie et peinture (trois unités) ; art et civilisation (initiation) ; art de la santé (initiation). Un cours Peinture, calligraphie et pensées chinoises est prévu pour l’année 2009.

    Les cours de chinois pour enfants demeurent une particularité de l’Institut Confucius CCCP. Les élèves, répartis selon leur âge (6-9 / 10-14 ans), ont accés à cinq niveaux différents. La formation intégre également un module « Lire et écrire » à l’attention des personnes familiarisées avec le chinois oral et en cycle de Préparation au BAC chinois LV3.

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    Centre culturel de Chine à Paris 1, boulevard de la Tour-Maubourg 75007 Paris 01 53 59 59 20 www.cccparis.org

    CENTRE CULTUREL DE CHINE A PARIS (activités et expositions)


    The Confucius Institute of the Cultural Center of China in Paris
    The Confucius Institute CCCP of the Cultural Center of China in Paris offers courses of Chinese language, culture and civilization.

    The language teaching program comprises about forty modules: linguistic bases levels 1 to 6; Audiovisual; conversation ; Press reading; Preparation for HSK.

    Courses of culture and civilization, taught by specialists or masters of art, are organized around themes: calligraphy and painting (three units); Art and civilization (initiation); Art of health (initiation). A course Painting, calligraphy and Chinese thoughts is planned for the year 2009.

    The Chinese language courses for children remain a special feature of the Confucius Institute CCCP. The students, divided according to their age (6-9 / 10-14 years), have access to five different levels. The training also includes a « Reading and Writing » module for people familiar with oral Chinese and the Chinese LV3 Preparation cycle.

    Cultural Center of China in Paris 1, boulevard de la Tour-Maubourg 75007 Paris 01 53 59 59 20 www.cccparis.org

    CULTURAL CENTER OF CHINA IN PARIS (activities and exhibitions)