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  • Une magie de Pékin la nuit: les hutongs by night

    Une magie de Pékin la nuit: les hutongs by night

    Carnets de voyage en asie, hutongs by night

    Carnets de voyage en asie

    Hutong by night.

    Septembre à Pékin, la meilleure saison pour déambuler avec quelques amis ; nous nous promenons dans le vieux quartier près de la place Tien An Men qu’on appellz les hutongs.

    Déjà le soir s’empare des hutongs enveloppant les pierres centenaires d’une tendre mélancolie, à la fois rassurante et paisible. La douceur de cette « nuit de Chine câline », dirige nos pas vers un ailleurs ancestral plein d’histoire et de mystère. Une vie trépidante et chaleureuse nous enveloppe, nous drape dans un tissu langoureux où jamais la moindre peur, où d’incertitude ne vient briser notre promenade. « Je me sens bien ici et en toute sécurité, même dans la pénombre » me lance Jacques que je ne situe plus bien, perdu dans les méandres inextricables de ces chaleureuses ruelles.

    Des commerçants travaillant sans relâche dans leur « échoppe- maison », des dormeurs allongés sur des matelas de fortune à la vue et au su de tous, des clients déambulant en pyjamas, les enfants jouant dans les caniveaux c’est la vie des hutongs, c’est la nuit des hutongs. Des odeurs de plats exotiques nous titillent les narines, des odeurs aux senteurs délicieuses.

    Une longue marche à travers cette vie nocturne trépidante nous fait découvrir une ville grouillante, magique, qui ne s’arrêtera de battre que beaucoup plus tard dans la nuit au petit matin « calin »… Bientôt les poteaux de bois agrémentés de milliers de fils électriques anarchiques se découpent dans le ciel dessinant un paysage lunaire et féerique. Des échoppes de viande éclairées par une lumière blafarde, des fruits luxuriants et parfois étranges, des salons de coiffure en pleine effervescence, des épiceries aux couleurs éclatantes et des sourires même si nous n’achetons rien. Un supplément d’âme qui manque dans nos sociétés obnubilées par le profit.

    On se sent tout simplement, étrangement bien. Les hutongs la nuit sont comme des parcelles d’éternité que l’on voudrait pouvoir maîtriser, mais cette quiétude n’appartient à personne et à tout le monde à la fois.

  • Carnets de voyage en Asie, bornéo, la Malaisie orientale

    Carnets de voyage en Asie, bornéo, la Malaisie orientale

    Carnets de voyage en asie,

    les coupeurs de têtes (une rencontre à perdre la tête). 

    Carnets de voyage en asie

    Bornéo : rencontre des Ibans au Sarrawak (les anciens coupeurs de têtes).

    C’est à Bornéo, la partie Orientale de la Malaisie, que l’on peut rencontrer des peuples indigènes. 27 groupes ethniques continuent de vivre paisiblement dans la jungle et aux bords de fleuves ou de rivières. Ils représentent une population de 1.8 million de personnes.

    Vivant en marge de la civilisation, ils perpétuent leurs traditions de chasses, leurs pratiques culturelles, et depuis 80 ans ne coupent plus les têtes de leurs ennemis.

    Du moins de ce côté-là de l’île…On chuchote dans la jungle que ces pratiques persistent chez certains peuples repoussés vers l’Indonésie.

    C’est donc sur les traces des naturalistes et des explorateurs que nous sommes partis vivre notre aventure !

    Mon objectif était d’approcher au plus près l’âme de cette région encore vierge du tourisme industriel. Les malais ont tout à fait conscience qu’en développant l’écotourisme, ils pourront préserver leur petit bout du monde. Ils ont déjà commencé à accueillir timidement les voyageurs étrangers occidentaux tandis que le tourisme régional asiatique a jeté les bases d’un tourisme respectueux et maîtrisé.

    La forêt de Bornéo est la plus ancienne forêt primaire au monde. De formation jurassienne, elle permet de vivre des choses uniques au monde : Voir les écureuils volants, la Dischidée Rafflesiana qui ne fleurit que 5 jours par an, les plantes carnivores comme la plante insectivore Cephalotus et bien sur des espèces en voie de disparition comme les Orangs-Outans.

    Emotions et émerveillements étaient au rendez-vous pour notre aventure… !

    Rencontre avec les anciens coupeurs de tête : Les Ibans

    Rendez-vous au bord du fleuve avec un couple membre de la tribu des Ibans pour emprunter le « traditional boat » : la pirogue. Notre guide appartenant à la tribu des Bidayuh nous accompagne. Nous remontons le fleuve près d’une heure à bord de cette pirogue à moteur, traversant des passes bouillonnantes et pour certaines parties, les pieds dans l’eau caillouteuse pour soulager le bateau sur les endroits peu profonds. La femme se tient à l’avant, faisant contrepoids et manoeuvrant à la perche pour repousser les bords rocheux et les arbres tombant, l’homme est à l’arrière dirigeant l’embarcation habilement par à coup de vitesse. La jungle est assourdissante, un sifflement chuintant protège cette forêt épaisse des intrus. Rien ne peut la déranger, même pas le moteur de notre pirogue. L’équilibre est fragile et le moindre de nos mouvements peut faire pencher dangereusement le bateau d’un côté ou de l’autre.

    Quel Bonheur ! C’est le moment pour lequel nous avons voyagé de si loin. Je ne peux me retenir de sourire béatement remplie de joie. Cà y est ! Nous y sommes ! Sur le fleuve, en pirogue, arrosés par les vagues et groggy par la vitesse du bateau !

    La « Longhouse » : La maison longue Habitacle pour tout un village, elle abrite plusieurs familles.

    La Long House est devant nous, perchée au dessus du fleuve. Architecture simple sur pilotis, faite de bambou, elle ondule sous nos pas. Des enfants cris, des adultes se cachent. Une femme étend des bâches sur une immense terrasse.

    Nous enlevons nos chaussures pour entrer dans les parties communes. Nous sommes accueillis par la femme du chef qui nous fait signe de nous asseoir. Nous ne savons pas très bien comment nous tenir. Assis en tailleur ? Les jambes allongées ne sont apparemment pas une posture adoptée par les Ibans. Le dos nous tire.

    Considérés comme des invités de marque, nous bénéficions de tous les égards. Le Tuak, vin de riz maison, est servi dans des verres en bambous, et nous assistons à quelques danses de bienvenue en tenues traditionnelles. Des musiciens assis accompagnent d’instruments de bois les pas et les mouvements très gracieux de 2 femmes et1 homme dont les grelots sonnent à chaque oscillation.

    Encore un vin de Tuak ? Comment refuser ? Nous nous sommes levés à 6 heures du matin et notre ventre est vide. Quel sera l’effet de la potion ? Nous ne voulons pas le savoir de suite. Je m’arrête de boire !

    C’est à notre tour d’honorer nos hôtes, nous avons apporté pour chaque membre de ce village composé de 18 personnes, des paquets de café, du savon et de la poudre à laver. La femme du chef constitue des tas, petits et grands reçoivent la même ration.

    Certains membres parlent quelques mots d’anglais et nous échangeons des informations de la vie courante :

    « Les enfants ne peuvent rester au village car il n’y a pas d’école, ils sont en pension pour la semaine et rentrent le week-end. Non, ce n’est pas difficile pour les enfants, ils sont habitués. Et puis, l’essence pour le moteur de la pirogue coûte chère. ». C’est vrai. Pour nous, cela représente 1 euros l’arrêt retour c’est-à-dire pas grand-chose dans notre vie moderne. Mais pour eux, c’est un prix conséquent.

    « On se marie dans le même village ou bien on peut courtiser dans la Longhouse voisine. ». L’homme âgé d’une cinquantaine d’année a les yeux qui brillent pendant ses explications. Il a courtisé pendant plusieurs semaines sa femme et surtout la famille de femme ! Ses enfants sont grands dorénavant et il est fier de nous annoncer que son fils aîné travaille à la grande ville Kuching. C’est vraisemblablement une source de revenus importante pour les membres de sa famille.

    Il a des tatouages sur les bras, le torse, le dos… art très pratiqué dans cette tribu. Elle atteste de la vaillance et de la virilité. Savez-vous que les sexes sont également ornementés de tatouages et de piercing de perles avant le mariage en l’honneur de la femme ?

    « Il n’y a pas de docteur mais un dispensaire se situe à une heure de pirogue. »

    Ils sont chrétiens et pratiquants. « Un membre de la tribu est formé pour dire la messe chaque dimanche mais il n’est pas prêtre. »

    Ils cultivent le riz et le poivre. Les champs sont pris sur la jungle, la terre est brûlée et ils effectuent une rotation sur 7 champs. Une vieil homme nous explique qu’il doit certaines années marcher pendant des heures pour rejoindre son champs. Cette culture étant uniquement pour les membres de la tribu, ils n’effectuent la récolte qu’une fois par an.

    Les femmes se retrouvent volontiers entre elles et discutent avec les enfants au milieu. Elles sont seins nus, certaines allaitent des bébés pendant les conversations. Les hommes fument des cigarettes de mais et boivent le Tuak de leur côté. Je suis au milieu, sans place précise adossée à un mur recouvert de toiles d’araignées.

    Le Tour Eiffel ! Voilà le mot magique ! Ils peuvent ainsi imaginer note pays. Peu de français voyagent à Bornéo en réalité. Nous promettons d’envoyer une carte postale à notre retour en France.

    Les femmes reprennent vite leurs activités sur la terrasse et nous allons les observer.

    Les grandes bâches de notre arrivée sont retirées, et s’étalent devant nous des tas de poivre séchant au soleil. Une femme trie le riz en le faisant tourner dans un tissage d’osier, une autre fabrique des paniers pour les vendre sur les marchés de Kuching avec quelques sarbacanes pour touristes.

    Les rythmes de vies semblent calmes, pas d’agitation seulement des gestes simples…

    On raconte souvent aux voyageurs qu’il est triste de quitter une tribu après avoir partagé des moments avec eux. C’est vrai, nous avons le cœur gros. Ils sont amicaux et fiers de recevoir dans leurs longhouses des visiteurs. Peu d’entre eux sont d’ailleurs autorisés à recevoir des étrangers. Cet écotourisme reste assez encadré par les autorités et c’est tant mieux. La présence du guide garantie le respect des cultures et des personnes.

    Il est temps de rejoindre la pirogue car nous allons déjeuner sur une berge du fleuve un Native Lunch : repas indigène.

    Les différents peuples du Sarawak
    - Iban : Le peuple indigène le plus répandu. Il représente 29.2% de la population de l’état de Sarawak. On le trouve dans tout l’état. Les Ibans sont de religion chrétienne et cultivent le riz ainsi que les épices.

    - Bidayuh  : Représente 8.3% de la population de l’état de Sarawak. Ils vivent dans le sud-ouest de Sarawak, ainsi qu’à Kuching et Semarang. Ils sont de religion chrétienne. Beaucoup de Bidayuh sont des fermiers. Ils cultivent le riz, épices comme le poivre et cacao.
    - Melanau : Représente 5.8% de la population de Sarawak. Ils sont de religion musulmane, chrétienne et pagan. Ils vivent le long des côtess entre le Rajang et le Baram (rivières) Leur maison ressemble à une kampung malaise (maison traditionnelle).
    - Orang Ulu : Représente 5.3% de la population de l’état de Sarawak. Ils sont de religion chrétienne. On les retrouve à Sarawak et à Kalimantan (Bornéo côté Indonésie). Les tribus Kenyah et Kayan vivent au centre et en haut des rivières principales dans le centre et l’est de sarawak. Ils sont originaires de Kalimantan de la rivière kagan. Les Kelabit vivent dans les montagnes en haut de Miri. Les Bawang habitent l’intérieur de Miri et les Limbang ont bougé près des côtes.

    Carnet de voyage de :

    Laurence Onfroy -Contact email

    Carnets de voyage en asie

  • Retrouvailles pour un retour au Vietnam

    Retrouvailles pour un retour au Vietnam

    Retour au Vietnam : retrouvailles 45 ans plus tard.

    Carnets de voyage en Asie

    Nous sommes, Monique et moi, encore imprégnés de la beauté de l’ Asie . La surprise est de tous les instants .Du temple ancien aux contours mythiques, au petit marché local typique, on est transporté par une culture spécifique qui ne cesse d’étonner le visiteur.

    La population très accueillante semble avoir écarté les blessures du passé et paraît résignée à vivre pleinement son avenir mais avec des potentiels différents entre le nord très rural et le sud fortement économique.

    Le voyage en circuit touristique, en groupe, permet de cumuler rapidement la connaissance de beaux sites avec les explications d’un guide expérimenté.

    L’organisation parfaite des déplacements nous a permis de profiter au mieux des visites. De ce point de vue et sans faire de publicité, l’agence ASIA nous a donné beaucoup de satisfactions. Nous avons lié connaissance avec de nombreuses personnes passionnées de voyages et des liens évidemment se sont créés. Un retour au Vietnam réussi!

    Tout au long de ce voyage de 20 jours , nous avons vécu un contraste fort entre la pauvreté de certaines populations ( au Cambodge en particulier ) et le luxe des nouveaux hôtels de tourisme.

    Quel est le vrai sens de tout ça ? C’est difficile de ne pas être affecté par le regard des enfants démunis et sans avenir .

    L’élan généreux et humaniste se ressent chez les visiteurs mais la solution est plutôt du côté des politiques et autres associations internationales.

    Autre événement important pour moi , les retrouvailles de la famille 45 ans plus tard, un retour au Vietnam qui me fait remonter de nombreux souvenirs !. On se reconnaît à peine mais les souvenirs reviennent vite à la surface.

    C’est un apaisement pour moi de retrouver la ville de Saigon quittée à l’ âge de 10 ans. Je me suis un peu attardé au jardin zoologique, lieu de détente familiale, connu jadis avec mes parents et ma sœur et j’ aime penser que certains arbres encore présents et centenaires, m’ ont forcément connu. A part ça la vie si longtemps loin du pays a fait son oeuvre ; j ’ aurais du mal à revivre au Vietnam malgré un attachement encore fort.

    Carnet de voyage de Camille

    (retour au Vietnam)

  • Photos prises sur le vif d’enfants chinois aux yeux bridés

    Photos prises sur le vif d’enfants chinois aux yeux bridés

    Carnets de voyage en Asie, enfants d’Asie/Enfants chinois aux yeux bridés

    Carnets de voyage en asie

    Enfants chinois aux yeux bridés.

    Faut sourire un p’tit peu !


     Mal coiffé moi ? J’viens just’ d’enlever mon casque de vélo !


     Papa j’ai pas soif.


     Tu veux ma photo ?


     Je ne suis pas timide pour un Enfants chinois !


     Moi je suis très timide.


     Maman c’est moi qui doit poser !


     Papa bouge de là !


     Maman est fière comme un bar tabac.


     Je me suis faite belle pour l’occaz…


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    ©Reportages d’asie et asie reportages


    Children with the attached eyes.

    - Is necessary to smile unp’ tit little !


    - Badly capped me ? I just’ have just removed my helmet of bicycle !


    - Dad I am not thirsty.


    - You want my photograph ?


    - I am not timid !


    - Me I am very timid.


    - Mom it is me which must pose !


    - Dad moves from there !


    - Mom is proud like a bar tobacco.


    - I was done beautiful for the occaz…

  • Brèves, reportages, des nouvelles rapides d’Asie

    Brèves, reportages, des nouvelles rapides d’Asie

    Reportages d’Asie en brèves

    Pas des reportages de fond dans cette rubrique, simplement des informations glanées à la volée. N’hésitez pas à nous faire parvenir des petites « news ». Eclairons nos lampions et essayons d’y voir plus clair.

     Pas de mariage, chez les « Mosos » ethnie chinoise des contreforts de l’Himalaya. Des femmes libres, des enfants heureux et pas d’exclusivité dans les rapports amoureux telles sont les règles ancestrales de cette minorité chinoise. Cette société matriarcale préconise avant tout une vraie liberté sexuelle faite de rencontres furtives. Vivre sous le même toit, être jaloux sont des concepts définitivement bannis et considérés comme des maladies graves. Les relations entre femmes et hommes ne sont désormais plus régies par les biens matériels mais simplement par de vrais sentiments. Plus de mari, pas de père, mais une vraie joie de vivre… et ça marche !

     Les pistes cyclables en Chine vont-elles disparaître au profit des automobiles et engins à moteur ? Le nombre des véhicules pétaradants depuis les 30 dernières années a été multiplié par 20. D’ici à 2020, selon les perspectives les plus sérieuses, le nombre de voitures et de véhicules motorisés pourrait frôler le chiffre faramineux de 130 millions . Les vélos vivent-ils leurs derniers instants ? Où sont les verts ?

    Un 3ème évêque catholique a été consacré en Chine officiellement, et évidemment cette décision a été approuvée par les autorités chinoises.

    Les coréens sont devenus « wok-wok » du foot. Élevé au rang de religion nationale, le ballon rond fait aujourd’hui totalement parti du paysage du pays des « matins calmes ». Le foot rend les coréens top marteaux, pardon foo(t), foo(t)… !

    En Thaïlande, « les nids d’hirondelles » sont des mets très prisés, surtout en soupe. Mais voilà c’est un plat onéreux, extrêmement onéreux. Le prix, environ 1500 euros par kilo, donne des idées lucratives à des promoteurs très particuliers . Des immeubles entiers sont ainsi réservés à ces oiseaux de bon augure. Afin qu’ils se nichent dans ces appartements de « standing », tout est agencé pour les attirer et les fidéliser. Au fait saviez-vous que les d’hirondelles « tissent » les nids avec leur propre salive ! Enfin pour clore ce chapitre cette soupe n’est pas particulièrement goûteuse, elle est juste excellente pour la santé, et non remboursée par la sécurité sociale.

     Le barrage des Trois Gorges Ouvrage à la fois grandiose et démesuré, à l’image de la Chine d’aujourd’hui. A suivre… des reportages bientôt sur ce gigantesque ouvrage qui donne à la Chine une nouvelle image. Une équipe française d’artistes « circassiens » ont d’ailleurs été sollicités pour inaugurer le fameux barrage des Trois Gorges.

    Au Royaume uni se pose , actuellement un délicat problème : le manque de personnel dans les restos indiens, chinois etc… Alors les patrons, pas trop à cheval sur le protocole, s’en vont employer des polonais !!! Eh oui, vous avez bien lu, des slaves, pas des esclaves, des travailleurs des pays de l’est. Evidemment la qualité gustative de ces restos décline. Alors à quand le canard laqué à la Vodka, la Goulache sautée aux champignons noirs ou même le riz parfumés à l’alcool de miel …Il faudra savoir résister à la boisson comme un polonais… Oh my God !!!

    La roue tourne L’inde du fait de sa très forte croissance et du développement phénoménal de son secteur des hautes technologies, attire des milliers d’occidentaux. Un nouvel el Dorado s’ouvre désormais aux « cerveaux » de notre vieille Europe. La fuite de ces futurs « expats » vers le pays des maharajas n’est qu’un légitime retour des choses. L’Inde, terre mystérieuse, à la culture millénaire reste pour les occidentaux un pays extrêmement attractif.

    le train sur le toit du monde Une première ligne ferroviaire va permettre de désenclaver la région du Tibet. Longue de prés de 1140 kms, elle culmine en moyenne a plus de 4000 m et les wagons pour les passagers sont pressurisés et disposent de masques a oxygène individuels. Le coût de cette opération culmine aussi à près de 3 milliards d’Euros.



    Not of the basic reports in this heading, simply the information glanées with the flight. Do not hesitate not to forward to us of small “the news”. Let us light our lampions and let us try to see there more clearly.

    - No marriage, at the “Mosos” Chinese ethnos group buttresses of the Himalayas. Free women, happy children and not of exclusiveness in the reports/ratios in love such are the ancestral rules of this Chinese minority. This company matriarcale recommends before all a true made sexual freedom of meetings furtive. To live under the same roof, to be jealous are concepts definitively banished and considered as serious illnesses. Relations between women and men are from now on more controls by the tangible properties but simply by truths feelings. More husband, not of father, but a true joy in life… and it go !

    - the cycle tracks in China go they to disappear with the profit from the cars and engine machines  ? The number of the vehicles pétaradants since the 30 last years was multiplied by 20. From here at 2020, according to the most serious prospects, the number of cars and of motorized vehicles could pass very close to it amazing figure of 130 million. The bicycles live their last moments ? Where are the greens ?
    - One 3rd catholic bishop was devoted in China officially, and obviously this decision was approved by the Chinese authorities.
    - Korean became “wok-wok” foot. Raised with the row of national religion, the made round balloon today completely party of the landscape of the country of “calm mornings”. The foot returns Korean signal hammers, forgiveness foo (T), foo (T)… !
    - In Thailand, “the nests of swallows” are put very snuffed, especially out of soup. But here it is one expensive, extremely expensive dish. The price, approximately 1500 euros per kilo, gives lucrative ideas to very particular promoters. Whole buildings are thus reserved for these birds of good forecasts. So that they nest in these apartments of “standing”, all is arranged to attract them and fidéliser. With the fact knew you that of swallows “weave” the nests with their proper saliva ! Finally to close this chapter this soup is not particularly goûteuse, it is right excellent for the health, and not refunded by social security.

    - the stopping of the Three Throats will be inaugurated soon. At the same time imposing and disproportionate work, with the image of China of today. To follow…
    - In the United Kingdom is posed, currently delicate probléme : staff shortage in the Indian restaurants, Chinese etc… Then owners, not too with horse on the protocol, from there will get busy of Polish !!! Eh yes, you read well, of Slavic, not of the slaves, of workers of the Eastern European countries. Obviously quality gustatory of these restaurants declines. Then with when the duck enamelled with Vodka, Goulash jumped to black mushrooms or even scented rice with the honey alcohol… It will be necessary to know to resist drink like Polish… Oh my God !!!
    - the wheel turns India because of its very strong growth and of phenomenal development of its high sector technologies, attracts thousands of Westerners. One new el Dorado opens from now on with the “brains” of our old Europe. The escape of these futures “expats” towards the country of the maharajas is only one legitimate return things. India, mysterious ground, with the culture millenium remains for the Westerners a country extremely gravitational.
    - the train on the roof of the world A first railway line will allow to disenclose the area of Tibet. Long of meadows of 1140 kms, it culminates on average has more than 4000 m and them coaches for the passengers are pressurized and lay out individual oxygen masks. The cost of this operation also culminates with nearly 3 billion Euros.
    - the Airbus with the attached eyes The A-320 Airbus will be also produced soon in China.

     

  • Histoire vraie,nuits de de Mah-Jong et repas exotique

    Histoire vraie,nuits de de Mah-Jong et repas exotique

    Nuits de de Mah-Jong

    Nuits de de Mah-Jong et repas exotique…
    Papa passait des nuits entières à jouer au Mah-jong et aux 4 cartes de couleur dans la torpeur de cette époque coloniale si souvent décriée mais qui reste pour moi un moment de joie et de douceur. Pour nous la vie était facile, du personnel attachée à la famille, une vaste maison, des rivières gorgées de vie et une maman particulièrement attentionnée . Les hommes aimaient se retrouver entre eux à boire de la bière au rythme de mises parfois phénoménales, des millions de « piastres » passaient de main en main.

    Souvent vers 23h une petite faim venait titiller ces joueurs invétérés ; papa, illico presto, faisait venir un petit « boy » et lui demandait de préparer un plat afin d’assouvir leur appétit nocturne. Ce dernier se pressait de choisir dans le grand poulailler de la maison, des poulettes dodues et tendres, de les abattre afin de préparer un délicieux plat accompagné d’une soupe de riz aux herbes exotiques (recette dans la rubrique je cuisine facile). Quelquefois des écrevisses de la rivière faisaient les frais de cette petite fringale.

    Tout se trouvait à proximité, tous les produits étaient de qualité et pas besoin d’aller au super marché; il fallait juste se baisser et jouer au Mah-Jong… Les temps ont changé et moi aujourd’hui je suis une mamie qui prépare parfois à ses petits enfants un plat surgelé. Le monde a changé et moi aussi je me suis mise au « goût du jour ».

    Une grand-mère vietnamienne


    Mah-Jong Nights
    
    
    
    Mah-Jong nights and exotic meals ...
     Papa spent nights playing Mahjong and the four colored cards in the torpor of that colonial period so often decried but which remains for me a moment of joy and sweetness. For us life was easy, family-minded staff, a large house, rivers full of life and a particularly thoughtful mom. The men liked to meet each other to drink beer to the rhythm of sometimes phenomenal bets, millions of "piastres" passed from hand to hand.
    
    Often around 11 pm a little hunger came to titillate these players inveterate; Dad, illico presto, brought a little "boy" and asked him to prepare a dish in order to satisfy their nocturnal appetite. The latter was in a hurry to choose from the large henhouse of the house, plump and tender chickens, to cut them down in order to prepare a delicious dish accompanied by a soup of rice with exotic herbs (recipe in the heading easy cooking). Sometimes crayfish of the river were the expense of this little craving.
    
    Everything was nearby, all the products were quality and no need to go to the supermarket; You just had to bend down and play the Mah-Jong ... The times have changed and I am today a grandma who sometimes prepares a frozen dish for her grandchildren. The world has changed and I have also got into the "taste of the day".
    
    A Vietnamese grandmother
  • Shanghaï contre Pékin, la guerre des radins (sud et nord)

    Shanghaï contre Pékin, la guerre des radins (sud et nord)

    Tout les oppose, nord et sud, Pékin et Shanghaï

    Nord/ Sud


    Les provinciaux trouvent que les Parisiens sont trop superficiels , ces derniers n’ont cure de tels paysans , les niçois n’aiment pas la froideur des nordistes qui eux dédaignent la chaleur suspecte des sudistes.

    Dans le brouhaha de la gare Montparnasse j’étais ce jour là en pleine discussion avec une amie chinoise de Pékin; elle trouvait les shanghaïens trop radins, près de leurs sous. Pour les pékinois, m’expliquait elle, être invité par un habitant du sud, en particulier ceux de Shanghaï signifiait rester sur sa « faim » et repartir avec l’estomac vide. Les plats sont présentés dans de minuscules assiettes, et pour ne pas paraître impoli, là c’est le comble, il faut en laisser. Pour les chinois la convivialité passe par un bon repas copieux et un repas ultra léger est très mauvais signe. Pour les pékinois les shanghaïens sont avares et ces derniers pensent que les nordistes ne sont pas très malins ; le principe même du ying et du yang mais qui est le ying et qui est le yang ? Aujourd’hui encore la guerre des « a- priori » fait rage et que l’on soit de Pékin ou de Shanghaï c’est toujours l’autre le fautif.

    congerdesign / Pixabay

    Il faut quand même ajouter que le repas copieux est un signe, pour tous les chinois, de la convivialité et doit- être sans faille. Radin pour un chinois c’est juste ne pas manger sufisamment à sa faim lors d’une invitation, d’une réception…

    Selon Aiming (Chinoise)

    All the opposites, north and south, Beijing and Shanghai
    
    
    
    North South
    
    
    The provinces and territories are the most popular, the last sustainable steps of these peasants, the Niçois are not the coldness of the northerners who are dedicated to the suspicious heat of the Southerners.
    
    In the hubbub of the Montparnasse station, I was in the middle of a discussion with a Chinese friend from Peking; She found the shanghaiers too sharp, close to their pennies. For the Pekingese, she explained, being invited by a resident of the south, especially those from Shanghai meant staying on her "hunger" and leaving with an empty stomach. The dishes are presented in the tiny plates, and not to appear impolite, there it is the height, it must leave. For the Chinese the conviviality goes through a good hearty meal and an ultra light meal is very bad sign. For the Pekinese, the Shanghai people are miserly and the latter think that the northerners are not very smart; The very principle of ying and yang plus which is ying and which is the yang? Even today the war of the "a-priori" rages and the other of Peking or Shanghai is always the other the fault.
    
    It is necessary to add the hearty meal is a sign, for all Chinese, of the friendliness and must be flawless. Radin for a Chinese is just not eating enough to please an invitation, a reception ...
    
    According to Aiming (Chinese)
  • Les clowns de Paris en Mongolie Intérieure

    Les clowns de Paris en Mongolie Intérieure

     Les clowns de Paris en Mongolie Intérieure

    le tapis rouge de Cannes

    P1100283

    du Vendredi 10 Juin au Mardi 21 Juin 2016

    Objectif du voyage des clowns de Paris: participer , avec l’équipe d’Eve et Henri *sourires sans frontière * au festival du Cinéma Chinois donné à Tongliao , sous le sponsoring du ministre de la Culture Chinoise , jumelé avec le Festival du Cinéma à Cannes …..ville dont .le Maire , Juliette Binoche et Gégé ,ainsi que des personnalités du cinéma,et ….nous , serons les représentants…thumbnail_2 Vendredi 10 Juin …21 h :

    Les clowns de Paris sont sur le pied de guerre, prêts pour de nouvelles aventures. Nous voici dans l’avion après bien des difficultés pour y parvenir ….

    Grèves obligent : du RER qui nous laisse en rade à la gare du Nord , des camionneurs qui bloquent les routes , et le début de l’Euro

    en prime …

    A Roissy nous avons, peu à peu reconstitué notre équipe toute enthousiasmée par ce départ…

    Maintenant donc, nous voguons:

    altitude 9449 m , température extérieure : -41° , vitesse au sol 954 km/h

    Nous avons survolé la Belgique , et allons vers les états Nordiques et le cercle Polaire , au dessus d’une mer de nuages éclairée par le soleil, qui moutonne….thumbnail_4

    Samedi 11 Juin : 4h20 heure Française ; 10h 24 à Pékin…

    Nous venons de dormir tant bien que mal , et l’avion se réveille avec un petit café….

    Nous survolons Oulan- Bator et la Mongolie, le désert de Gobi et, peu au Sud, Pékin se trouve à 1h31thumbnail_6 de vol…

    L’arrivée prévue est à 11h47…

    J’essaie de faire quelques photos….les paysages sont grandioses, et on distingue bien les hautes montagnes , avec, parfois, dans le creux des vallées , villages – rares- ou rivières .

    Nous devrons, attendre 5h notre correspondance pour Tongliao , lieu de notre destination 18h 15 Gate C13 Nous sommes toujours à l’aéroport de Pékin…

    On a traîné , mangé local , essayé de dormir sur une banquette,….

    et là, nous attendons l’avion…..non celui de Tongliao , mais de Chifeng , où un bus doit faire 100 km pour atteindre notre destination.

    Et la meilleure : on nous annonce que nous dormirons dans des containers !!!!Attendons pour voir….

    19h nous partons sur Chifeng, et voilà les clowns de Paris dans le car….

    Accueil de stars à l’aéroport, avec pancartes d’accueil, photographes nous mitraillant , journalistes ,et jolies jeunes filles ceignant chacun de nous d’une écharpe en soie bleue (le foulard bleu est offert aux invités de marque)….

    Thierry, jeune Chinois de Paris , proche d’Aiming nous a rejoint pour être notre guide et notre interprète durant le séjour…

    Le bus est escorté par trois voitures qui clignotent, et nous traversons , de nuit, routes puis chemins empierrés, croisons des yourtes et arrivons enfin dans un presque no man’s land , bien gardé à l’entrée , qui s’ouvre, sur un endroit en apparence , verdoyant…. avec passerelles , et murs bizarres aux couleurs de camouflage…. 22h, nous faisons halte dans un luxueux bâtiment, où des tables et de charmantes jeunes filles nous attendent pour le dîner: excellent….

    Les clowns de Paris sont enfin arrivés

    Ensuite , à l’assaut des passerelles et des containers , qui se révèlent être des chambres spacieuses , très bien aménagées avec une grande salle de bain et, à l’avant, une grande baie vitrée une terrasse d’où l’on entend croasser des grenouilles…

    Dimanche 12 : 4h du ….matin

    Le jour me taquine et m’incite à mettre mon blouson pour aller sur la terrasse …

    Merveille très progressive de l’aurore : l ‘on devine , avec les reflets roses , l’eau des étangs…

    Les collines découpées, en face , laissent peu à peu apparaître des masses importantes de grès , qui, plus tard, se révèleront….

    Des roseaux et des cris d’oiseaux , des bruissements d’insectes et du vent…

    Peu à peu le paysage se dessine , et l’on découvre des montagnes de sable parsemées de rochers roses…… Un moment magique , que je prolonge avec plaisir jusqu’au lever du jour…

    8h : une navette nous attend pour nous conduire vers un somptueux buffet de petit déjeuner à la chinoise: non pas à la fourchette, mais aux baguettes…

    10h : dans un kiosque ombragé au mi lieu des sables une répétition musicale , pour des morceaux, Chinois et Français, Alain R. à l’euphonium, Sophie au trombone ,Florence au saxo, Bernard à la flute, Jacques à la clarinette , Alain(le mien ) à la trompette , Patrick à la caisse claire , Christophe à la grosse caisse , et bibi, petites percussions:. un triangle , un tambourin et mes chères castagnettes….

    Nous avons été encouragés , applaudis, accompagnés par des chinois du coin ,qui accouraient au son des flonflons dont une petite mamie , et ils donnaient de la voix….

    thumbnail_12

    Nous dormons donc dans des containers qui, de loin ressemblent à un train ….les terrasses panoramiques surplombent un étang ….tout autour des dunes de sable , des rochers puis l’inconnu…

    Après un déjeuner toujours aussi varié et délicieux , et, dans l’après-midi nous errons pour explorer les possibilité du coin :

    balades à pieds ou à dos de chameaux dans les dunes , 4/4, ou, plus calme, méditation dans ce coin de Chine hors du temps et du monde

    Je vais donc faire des photos des gens pittoresques et souriants qui nous entourent , chameliers , touristes rares , personnel , et chercher de jolis cailloux….la température est excellente: entre 30 et 35° le jour, mais chute la nuit où nous supportons plus qu’une petite laine..

    Mais où sommes nous, les clowns de Paris sont perdus dans le fameux désert de Gobi

    ?? nous ne sommes pas à Naiman, comme prévu, mais à  » Hongshan Yulong Sand Lake international Eco-Culture Reserve « … » Desert and Hot spring resort « , comme l’indique la carte de visite…

    il semblerait qu’un problème interne à la municipalité de Tongliao ait annulé l’agrément du gouvernement . Le festival; par la même occasion , a dû, in extremis , puisque les invités et toute l’organisation était programmée trouver d’autres sponsors ,et, d’autres lieux possibles :, ceux où nous sommes !!! ,et, finalement , ce festival du Cinéma a bien lieu,, mais sans caméras, sans projection sans film donc !!….

    Ah! les deux jeunes lauréats de la Femis et le jeune cinéaste chinois prometteur doivent être bien déçus …

    L’équipe de Cannes est là, Grégoire de Gaulle , neveu de « notre » général est arrivé avec , dans ses bagages , ses photos à exposer, Rémy Aaron, président de  » la maison, des artistes à Paris » doit accrocher des toiles, un artiste Mongol qui peint sur cuir doit présenter ses œuvres , et notre Gégé , et Juliette Binoche sont attendus également , plus d’autres artistes à découvrir lors de la soirée de gala prévue pour Mardi….

    à 20h30 ,un concert improvisé sur une scène, installée près de la piscine  malheureusement inutilisable pendant toute le durée du séjour!!).

    Nous ouvrons la soirée par un paso , petite formation ,avec Alain et Sophie Roy , Alain,(l’autre) à l’accordéon, caisse claire et , vive mes castagnettes !,

    Notre magicien , Henri , entouré de ses clowns épate la galerie, Michel , chanteur de charme , séduit la foule de ses airs seventies …Un mongol , avec ses voix de basse et de contre alto haut perchée simultanées nous emballe sur des grands chevaux fringants….L’atmosphère est chaleureuse, déchaînée, nous dansons , chantons , buvons la bière généreusement disposée sur les tables , festivaliers et personnel de l’hôtel dans une même emphase..super sympa

    Lundi 13 23h30

    Nous revenons d’une ballade dans une petite ville chinoise distante de 25 km, dont la graphie chinoise du nom ne m’a permis , ni de le déchiffrer , ni de le retenir…..

    Il n’a pas été simple d’ obtenir un bus, et de récupérer nos passeports ; mais à 15h30 , après une répétition matinale , un déjeuner avec tables tournantes , nous voici embarqués vers l’aventure…. Thierry fait l’interprète , car un journaliste Mongol , fort sympathique, et participant au festival nous accompagne et nous éclaire sur les us et coutumes, l’éducation, dans son pays…Nous avons également fait connaissance avec Madame Li , qui habite Nice…elle va gentiment nous aider dans le déroulement du séjour, nous servir d’interprète … Tout d’abord nous mesurons l’isolement dans lequel se trouve notre site, avec, comme accès, des pistes et des routes en construction , plutôt chaotiques ; des dunes et des montagnes l’entourent, puis peu à peu apparaissent yourtes d’habitations (de chantiers) ou touristiques , et des champs cultivés et quelques troupeaux épars…

    Etonnamment, peu de voitures dans ces avenues…et, à notre descente de bus, nous photographions la façade de la boutique en face afin de nous repérer, car pas question de lire les adresses des devantures, écrites en Mongol, ce qui est du chinois pour nous !!

     

    La petite ville dans laquelle nous pénétrons a des rues tracées au cordeau , de larges avenues arborées , bordées de hauts immeubles , avec de petites boutiques à leur base , avec tuyaux, balais, serviettes qui sèchent et matériaux divers….tout est identique partout, ne cherchez pas l’authenticité et le pittoresque….les vieilles maisons d’antan , rasées, ont fait place au gigantisme…

    Je déambule armée de mon appareil de photo , et je rencontre des gens souriants , des parents qui me mettent leurs enfants dans les bras , des petites mamies ou des papis lézardant , assis au soleil sur les marches des devantures : tous posent très volontiers , mais aussi me photographient avec leur portable….nos échanges verbaux sont très limités , et je m’en tire en leur montrant les pictogrammes de mon T.shirt du festival , avec les drapeaux de nos deux pays réunis…

    Dans une petite boutique J’ai acheté des bracelets et des colliers qui font très mongol…

    On nous propose ,au retour, une option  » dîner Mongol typique dans une yourte », et nous y adhérons tous, naturellement….nous, c’est à dire l’équipe d’Henri, mais aussi Grégoire , ceux du cinéma, et , maître de cérémonie , le sponsor qui nous sert également de cicérone et nous initie à la délicieuse cuisine locale , faîte de laitages, de viandes grillées et de mets multiples.

    Notre chauffeur nous regarde manger …..il faudra que nous ayons fini pour qu’il accepte enfin de passer à table, se contentant de peu ,qu’il mange goulûment, car il a certainement très faim….

    Il paraît que demain, Mardi le festival débute….nous y jouerons, musique et clowns.

    Mercredi : conditionnel , car, ici, rien n’est sûr ….nous sommes là pour découvrir…puis nous pourrions aller à Pékin, paraît-il…..nous sommes là pour voir !!

    ( Mardi 14 )ou plutôt Mercredi 15…0h30

    Les clowns de Paris sont prêts, le grand jour est arrivé.

    et bien ce Mardi a débuté, après le petit déjà par une longue répétition, de 10h à 12 h car nous avons aussi joué pour Aiming, notre correspondante chinoise , apparaissant enfin , désireuse d’entendre les airs pour les sélectionner :p1100042

    1- le pot poup1100083rri français

    2-la chanson chinoise Aobao Xianghui , typique d’ici….

    A 15h , mise au point sur la grande scène , sise en face des dunes , pas loin des chameaux et des 4/4

     

     

     

     

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    A 18h, tenue chicos , pour le A 18h tenue chicos pour le vernissage des expositions …( les artistes ont bien récupéré leurs œuvres qui ont été accrochées dans la journée).thumbnail_48

    Inauguration du festival et vernissages avec donc les personnalités ,le maire de Cannes et son épouse , les artistes et Aiming

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    Des invités de marque ont des tenues fabuleuses ; Loboutin semble faire fortune ici , robes longues et falbalas , bijoux .

    Des photographes chargés de lourds objectifs mitraillent..dont une surprenante jeune chinoise en tenue rose bonbon , de haute couture et de longs cheveux blonds .

    Des limousines vont, peu à peu nous conduire, ainsi que les personnalités , au  » tapis rouge « , bien rouge, bordé de panneaux représentant Cannes avec le port et ses bateaux , ici en plein désert…

    dsc01995

    thumbnail_52

    Pendant notre parcours sur le tapis rouge , nous sommes filmés et le film apparaît sur des écrans géants, de part et d’autre de la scène…puis nous signons sur des grands panneaux….les vedettes, vous dis-je !!! dans le public, notre Juliette, mais pas encore de Gégé national, il est en retard….

    P1100118.JPG

    Enfin le spectacle commence ; une troupe de danseurs russes fabuleux, aux costumes superbes , des chanteurs , chinois , de grand talent et de grande renommée , semble-t-il, chinois , de grand talent et de grande renommée.

    Nous, bien franchouillards , avec nos marinières, bérets basques et foulards, nos clowns hilarants, et, bien sûr , notre Henri et ses tours magiques, les clowns de Paris,  Eve et son tour de chant !!

    Deux chanteurs français talentueux, Cécilia Cara ( vedette de la comédie musicale « Roméo et Juliette), et un autre charmant interprète(désolée d’en avoir oublié le nom), ah oui Cyril Nicolaï  ( Autant en emporte le vent et Roméo et Juliette) qui interprète   » notre Dame de Paris  » , puis , tous deux chantent ensemble aussi en chinois, le thème principal de Roméo et Juliette……. Deux artistes que nous connaissons bien pour avoir partagé des scènes chinoises ensemble.

    Le spectacle se prolonge , car les intervenants sont nombreux….et tout se termine comme d’habitude en Chine par un gigantesque « diner-buffet ».

    Nous allons ensuite faire un gros dodo, mais il paraît que certains ont poursuivi la fête , jusqu’à 1h30 du matin, de façon fort sympathique et dynamique ….

    Mercredi 15-15h

    De notre terrasse au milieu des chants d’oiseaux , du balancement des roseaux.

     

    Epiques, les discussions et les palabres pour sortir de notre farniente : oui, littéralement farniente!

    Rien à faire dans ce chaud désert , hors les chameaux et les dunes….et pourtant, je suis persuadée qu’il y a dans les environs des lieux dignes d’intérêt: anciennes demeures royales, vestiges du passé,; ici, parait-il, le premier dragon Chinois sortit des eaux du lac de Yulong, pas l’étang qui nous fait face, mais un grand lac , qui est, je suppose en regardant la carte , derrière les dunes qui bordent nos chambres.

    A l’époque Néolithique, ici se développait la culture Hongshan , caractérisée par des poteries peintes, en forme de bols, de bassines, de jarres à fonds plats…Des pierres étaient taillées pour constituer des outils agraires et des ossements prouvent le développement d’ une vie semi sédentaire alimentée par la pèche , l’élevage, avec des animaux domestiques.

    Le petit musée , dans le bâtiment de réception de l’hôtel présente joliment des objets résultant de fouilles ; on y voit notamment , découvertes en 1935 , ces curieuses formes de bracelet ouvert , avec une tête de dragon en jade , représentant donc cette divinité dragon serpent , sortie des eaux du lac , premier des dragons en Chine , symbole de cette culture Hongshan….. et représentée partout sur les bannières en ville….

    Tout cela laisse supposer qu’il y a beaucoup de choses à voir, mais encore faudrait-il que les organisateurs les connaissent !, Certains viennent pour la première fois en Mongolie , et notre changement de destination précipité n’a certainement pas permis des investigations….

    Nous sommes, il est vrai, dans un festival de cinéma, sans projecteur ni projections….nos deux jeunes lauréats de la Femis doivent être bien déçus !… Bon nous avons tous foulé le tapis rouge et c’est déjà ça de gagné!!!

    Bref, rien à faire, vous dis-je , dans ce désert…..

    La révolte grondait, ce matin, après la conférence de presse de Juliette Binoche , dans l’attente d’une entrevue avec Aiming ….At last , Henri a obtenu une excursion pour demain Jeudi…mais ce soir, on refait le spectacle …l’assemblée sera réduite, car beaucoup d’invités sont repartis….

    En attendant , nous allons, avec les moyens de bord, nous faire un apéro à 18h au kiosque…

    Vendredi 16 13h30

    thumbnail_61.jpg

    Nous roulons….vers où ?? Vers Pékin , mais nous ferons étape à Chengde, ah oui, réflexion faite , nous ne sommes qu’à 7h de route de Pékin ( un peu plus de 350km, je crois ) Les bagages…. ont été bouclés hier , à 2h du matin, après le spectacle…

    Le trajet par route nous permettra, outre la découverte de beaux paysages de visiter Chengde , ancienne ville impériale, où nous pourrons faire de belles excursions , découvrir temples et pagodes …..

    Nous admirons de grandioses chaînes de montagne , des défilés avant d’atteindre notre destination….

    A 16h22 , à « chengde mountain resort  » une guide prend globalement et rapidement nos billets, car le télésiège qui doit nous conduire au sommet d’une montagne où se trouve un gigantesque rocher vertical sur un bloc de grès rose , s’arrête à 17h..

    .

     

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    nous survolons des montagnes russes : montées, descentes à n’en plus finir…nous savons que nous devrons revenir à pieds, ce qui s’annonce problématique….

    Après l’ascension à la pierre avec de belles marches de pierre ( comment sont-elles arrivées là ?), nous commençons à descendre, pédibus, à remonter, à redescendre , sur des chemins parfois presque impraticables…des mulets chargés de dalles, de gravats nous demandent passage….nous comprenons qu’ils sont les ouvriers chargés des marches….ils ont encore du boulot !!!

    Trois heures seront nécessaires pour regagner le bus , ( si j’aurais su, j’aurais pas venu ….mais, en conclusion, j’aurais manqué quelque chose car cela valait la peine….).

    Les pagodes croisées étaient fermées….Demain nous devons poursuivre les visites. Les valises restent dans le bus et nous n’avons qu’un petit  « baise en ville » !

    Le dîner à l’hôtel se termine par le gâteau surprise d’anniversaire pour Henri qui ajoute un printemps à sa collection….tout le monde chante !!!

    Merci Madame Li pour cette initiative !..très sympa !

    Vendredi 16h05 sur la route entre Chengde et Pékin….

    Donc ce matin, nous sommes repartis à l’assaut des temples :

    Potala du Panchen Lama , à l’influence Tibétaine certaine, avec ses fenêtres trapézoïdales, les espèces de cheminées en forme de grosses cloches, sur les toits, les mats aux multiples fanions votifs multicolores , battus des vents, les moulins à prières , des parcs royaux ou impériaux aux espèces rares et vénérables l et temples , pagodes ,peintures à fresque magnifiques, malgré leur âge séculaires…. Bref, un émerveillement!!!…..

    et puis retour au bus, où beaucoup d’entre-nous somnolent ; dommage, car le paysage est splendide, surtout quand se profilent à notre gauche les créneaux de la grande muraille dominant la ligne de crête..

    L’entrée sur Pékin est problématique, avec ses embouteillages ,mais nous atteignons enfin l’hôtel Phénix , luxueux et très confortable….de belles chambres , mais le plus rigolo, c’est la paroi de verre qui la sépare de la salle de bain….point besoin d’être à Amsterdam; pour se mettre en vitrine….Fort heureusement un store peut venir judicieusement préserver notre intimité….

    Samedi et, Dimanche , nous « faisons » du Pékin » !

    Plus de spectacle en vue, la liberté d’explorer la ville et ses ressources; palais multiples , marchés pittoresques , quartiers à l’ authenticité restaurée , et  » magasinage » plein de tentations…

    Des groupes se sont formés en fonction de l’objectif désiré :

    -certains, qui viennent pour la première fois ne pourront tout visiter, tout explorer, mais s’émerveilleront devant la découverte d’une telle civilisation : cité interdite, temple du ciel, palais d’été , temple des lamas…..

    -Ceux qui ont déjà pratiqué  » sourires sans frontières  » à Pékin délaissent les visites culturelles pour courir marché aux perles, moderne , ou celui aux antiquaires , avec des trouvailles …

    Marché aux insectes, ou les scorpions embrochés vivants , agitent leurs pattes avant de se faire griller , hippocampes et sauterelles également, mets dont les chinois se délectent…

    -Il m’ a été dit qu’un certain d’entre nous , voulant recourir aux mains expertes de masseuses en avaient mal évalué la force et s’est fait pratiquement tabasser….

    Lundi 20, c’est le jour du départ…17h15

    Nous sommes assis dans de gros fauteuils confortables au bar l’hôtel…certains regardent l’euro à la télé…d’autres somnolent…

    Nous avons ce matin descendu et regroupé les bagages , puis profité de cette dernière journée pour une ultime évasion pékinoise…

     

    Et maintenant nous devons nous rassembler pour prendre le bus qui nous conduira à l’aéroport…

    Madame Li veille sur nous et compte ses moutons..

    .une surprise , à moitié révélée : notre dîner sera du  » canard laqué « , tradition oblige….

    Le bus confortable s’engage dans les méandres et les entrelacs de la ville , nous avons presque l’impression de faire du sur-place , et l’arrivée nous semble compromise !!

    Nous arrivons enfin au luxueux restaurant : la surprise ! nous ne nous attendions pas à une telle réception, dans une salle privée, avec des hôtes charmants et attentionnés :
    P1100262.JPGrien de moins que Monsieurthumbnail_88Long Yuxiang , président du centre de communication culturel international de Chine , et, à mes côtés une charmante dame dont je suppose les fonctions importantes , pleine d’attentions…

    Nous sommes répartis en trois tables , émaillées de personnalités….toasts, discours….puis, au cours du repas , des intermèdes musicaux avec Michel à la guitare, Bernard au saxo et Alain à l’accordéon…

    .Nous chantons, dansons ensemble , de façon spontanée et conviviale…..bien sûr, de nombreux photographes fixent la scène….C’est vraiment un bouquet final inattendu , qui vient clore magnifiquement ce voyage dans l’Empire du Milieu…

    Mardi 21 Juin…

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    Nous avons bien mérité notre avion…nous l’avons attendu 3h en salle d’embarquement, car nous sommes partis à 4h30 du mat et non à 1h30 comme prévu !

    Petits dodos difficiles, collations d’usage . le voyage se déroule bien…et doit se terminer à 9h , heure française , 15h, heure biologique chinoise pour nous….

    Une remarque: 21 Juin, solstice d’été, et fête de la musique !!!

    Nous récupérons nos bagages , et je pense que chacun est heureux de rentrer chez soi…

    Ce fût une très belle aventure humaine et culturelle….

    Dormir, au bout du monde, dans un container de luxe avec des aurores colorées sur les étangs bruissant ,d’où surgit le premier dragon de Chine , au milieu des dunes de sable parsemées de grès roses……Participer à ce pittoresque festival du cinéma , sans film,le dîner dans des yourtes , crapahuter sur des chemins escarpés parsemés de forêts millénaires et de pagodes , danser la java avec le directeur de la culture …..n’est-ce pas une aventure extraordinaire ???

    thumbnail_78

    Un grand MERCI à Aiming , l’instigatrice du projet , mais , surtout, mille et mille MERCIS à Henri et Eve, inquiets pour le déroulement incertain du programme , et insufflant l’énergie pour vivre cette belle aventure… Eve , une des plus jeunes d’entre nous, mais notre petite mère à tous, veillant avec préoccupation , malgré les problèmes, au bon déroulement et au confort de chacun avec bienveillance et efficacité Henri, soucieux de la qualité des prestations avec beaucoup de professionnalisme …Vive les clowns de Paris

    Et merci à vous tous pour votre entrain et votre bonne humeur..merci, amis anciens et nouveaux amis …et….prêts pour une nouvelle aventure ???

    Nicole Polge

    Association Sourires Sans Frontières

    Nous contacter: souriressansfrontieres@gmail.com

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  • Guy coda un peintre de talent, RENCONTRE AVEC L’HUMANITE

    Guy coda un peintre de talent, RENCONTRE AVEC L’HUMANITE

     

    RENCONTRE AVEC L’HUMANITE

    GUY CODA

    (peintre)

     

     

    « Il y a 7 milliards d’habitant sur notre planète. Ça fait beaucoup de monde. Et cette humanité grouillante de vie, j’en fais partie, j’y participe, j’y suis immergé. Je la côtoie au quotidien mais sans jamais vraiment la rencontrer; je n’en croise qu’une infime partie, quelques centaines tout au plus, rien au regard de  tous ceux que je ne connaitrai jamais.

    Pourtant, dans la solitude de mon atelier je les sens là, tout proches, invisibles et cependant presque palpables, obsédants. Il faut que j’aille à leur rencontre, mais comment ? Les inviter pour faire leur portrait ? Ce serait magnifique, mais combien de vies me faudrait-il pour cela ? Alors je les convoque sur le papier. Je vais les réinventer, dresser ma propre typologie, mon catalogue personnel. Donc  je dessine. Et l’utopie devient réalité. Ils sortent de l’ombre un par un et ils s’invitent sans cérémonie, venant peupler peu à peu mon espace intime. Un dialogue muet se noue mais cette fois c’est moi qui leur raconte leur histoire. Et ils s’y fondent, ils jouent le jeu, devenant ainsi plus vrais que  nature, plus familiers aussi, en quelque sorte  apprivoisés !  Ainsi tous les jours je fais une nouvelle rencontre. Pour mon plus grand étonnement.

     

    Oui ils sont là, bien vivants, et contrairement à ce que prétendent les auteurs de romans policiers, je déclare solennellement que toute ressemblance avec des personnes existantes ou ayant existé, pour fortuite qu’elle soit, n’est pas seulement le fruit du hasard… 

     

     

    Cette conscience des êtres et des choses que manifeste le peintre est bien une conscience du monde, car en effet, lorsqu’on regarde ces portraits, on ne peut douter de leur réalité. De leur existence devrait-on dire car ces personnages, pour fictifs qu’ils soient n’en sont pas moins vivants.

    Chacun d’eux en effet a sa propre identité et le peintre semble nous dresser là un inventaire des possibles, à tel point que  chacun d’entre nous pourrait s’y reconnaître.  Mais au-delà de ces singularités, il y a surtout quelque chose  d’universel dans leur simplicité, dans l’absence de mise en scène, dans ces corps à peine esquissés, comme pour mieux souligner les visages puissants qui semblent taillés dans la glaise originelle. Ils sont là, installés dans une prudente mais solide neutralité et cette simplicité même donne infiniment plus à imaginer des pensées qui les animent, des soucis, des questions que ces yeux immobiles, ces bouches fermées expriment, que ne le feraient n’importe quelle théâtralisation aussi spectaculaire qu’inutile ! Guy Coda est le peintre de l’âme humaine car ces gens là sont bien de notre monde ; ils sont le monde, un monde qui s’ordonne autour de nous parce qu’il est en chacun de nous, un monde auquel s’identifie celui qui les a créés car il est des leurs, comme nous le sommes tous.

    Lou Kittel – Critique d’art

     Guy Coda: l’exposition se tiendra à la chapelle de l’ Eurélium, 11 rue du cardinal Pie à Chartres, du 2 juin au 18 septembre 2017

    le vernissage aura lieu le vendredi 2 juin à 18h30

    PS : toutes les images sont au format 75 x 105 cm

    QUI EST GUY CODA!

     

    CURRICULUM-VITAE

     Guy Coda

    10 impasse de l’égalité – 28800-BONNEVAL

    Tel: 02 37 47 37 15 – Mobile: 06 70 27 92 79

    e.mail : g.coda@orange.fr

    www.guy-coda-peintre.com

     ETUDES – FORMATION

     Guy Coda

     1969-70: Etudes à l’école de peinture décorative “Eugène Blot” à Reims.

    Obtention du diplôme de peintre – décorateur en juin 1970.

    Parallèlement, suit les cours des Beaux Arts de Reims en auditeur libre.

    Octobre 1970: Reçu sur concours à l’école Nationale Supérieure des Arts Décoratifs (E.N.S.A.D.) à Paris.

    1970 – 71: 1ère année d’ arts plastiques à la Faculté de Vincennes.

     1971 – 74: Etudes à l’E.N.S.A.D. et obtention du diplôme de l’école en juin 1974, section “scénographie”.

    ENSEIGNEMENT

     Guy Coda

    1974 – 76: Moniteur en scénographie à l’ENSAD

     1976 – 81: Professeur de dessin au L.E.P. St Joseph à Aulnay sous bois  (Lycée sous contrat d’association avec l’Education Nationale)

    De 1976 à 1997: Responsable du service vidéo de l’E.N.S.A.D.

    1977 – 79: Création d’un cours de dessin à l’atelier de “L’herbe rouge” Paris 13ème

     1984 – 85: Professeur  dessin à l’E.N.S.A.D.

    1985 – 86: Professeur de dessin à l’Ecole supérieure des arts et techniques (E.S.A.T.) Paris 17ème

    Depuis 1987: Professeur de peinture à l’école “Talens” – Paris/ La ferté Milon (L’ile aux peintres)

    1990 – 1993: Anime l’atelier d’arts plastiques de Verneuil sur Avre (Eure)

    1992: Professeur vacataire à la maison des arts d’Evreux

    Depuis 1998: Professeur de dessin à l’E.N.S.A.D. – Paris

     

    EXPOSITIONS DE PEINTURES

     Guy Coda

     

     

    1. a) Individuelles

     1978– Galerie Robert Clarence – Paris

    1981 – 82:  – Sté Hewlett-Packard – Orsay

    1982:  – Galerie Caveyrac- Paris

    – Centre culturel “Les venelles” – Bruxelles

     1986:  – Semur en Auxois – Cote d’Or

    – “Le forum d’Artémis” – Besançon – Avec la participation

    de FR3 Régions

    1988:  – Galerie Saint Martin – Chatillon sur Seine

    – Rue de Flandres – Paris

    1990 – 91 – 92:  – Galerie D’Klic – Paris

    1991 – 92 – 93:  – Verneuil sur Avre (Eure)

    1991:  – Bernay (Eure)

    1992:  – Galerie Didot – Paris

    –  Galerie “Préface”- Paris

    1992 – 93 – 94:  – Galerie 157 – Villemomble

    2001: Galerie “les cinq sens” – Paris

    2002 : Hôtel Sofitel – Paris- les Halles

    2003 : Retrospective – maison de la Beauce – Orgères en Beauce (28)

    Galerie Janos – Paris 5ème

     2005: Exposition de peintures – musée de La Poste – Paris –

    Salon du Raincy – Invité d’honneur

    Salon des Jonquerrets de Livet(27)- Invité d’honneur

    -Exposition avec la  D.R.A.C. Rhône –Alpes de juillet à août  2006 à Modane (73)

    2007 : – Théâtre de poche ‘Chartres)

    Berlin – Galerie Kunstkreis

    2011:  -Galerie « ARCIMA » –Paris

    2013: Salle Saint Michel – Bonneval (28)

    2016 : Théâtre de poche – Chartres

    Exposition privée 50 rue Noël Ballay  CHARTRES

     

     

    1. b) Collectives

     1982:  – Salon du dessin et de la peinture à l’eau – Grand Palais – Paris

    1983:  – Salon de la société nationale des Beaux Arts – Grand Palais – Paris

    – Mairie du 4ème arrondissement – Paris

    1985:  – Salon “les pastellistes actuels”- Les Ulis

    1982 – 86 – 87:  – Musée de Tonnerre – Yonne

    1988:  – 4ème salon international de Chinon

    1991 – 93:  – “Le lièvre d’or” – Salon du conseil général – Dreux

    1992:  – 1ère biennale de Marvejols (Lozère)

     1994:  – Salon du Raincy

    2000:  -5ème biennle de Marvejols

    2007: -Abbaye de Nottonville (28)

    -Redoute marie-Thérèse (73)

    -NEC- saint Priest en Jarrez

    -Espace Cardin – Paris

    2008:  -Château de Chasselas

    2012:  – Galerie du Larith – Chambéry

    • Galerie « Le goût des choses »- Roubaix

     

    ACTIVITES PROFESSIONNELLES

     Guy Coda

     

     

    1. a) Graphisme-Illustration

    1971: Illustration pour “Télérama”

    1972 – 73: Assistant décorateur pour le magazine “Elle”

    Illustration pour la campagne “Fuel confort” de la Sté des pétroles Shell-Berre

    1975: Affiche pour le premier festival du film fantastique-Cinéma “La clef” – Paris

    Affiche pour un exposition de céramiques-Atelier de

    “L’herbe rouge” – Paris

    1976: Illustration pour le CNRS

    1991: Conception et exécution de quatre peintures dans le style 18ème pour l’Hôtel de Bournonville – Verneuil sur Avre

    1996: Conception et réalisation pour La Poste de trois timbres de la série “Nature – Les parcs nationaux”

    Illustrations diverses ( Numosmatique française, hachette EDUCATION, reader digest, Ed.BPI)

    1997: Conception et réalisation pour La Poste de quatre timbres de la série “Nature-Les parcs Nationaux”

    Illustrations pour le document philatélique accompagnant les timbres

    Conception et réalisation pour La Poste du carnet de six timbres de la série “Héros d’aventures”

    Conception, illustration, et mise en page du document philatélique accompagnant le carnet

    Conception et réalisation du timbre poste “Jeux olympiques de Nagano – SuperG” pour la principauté d’Andorre

    Illustration (La chasse) pour les éditions Albin Michel-Paris

    1998: Conception et réalisation du timbre poste “50ème anniversaire du Conseil de l’Europe” pour la Principauté d’Andorre

    Conception et réalisation pour La Poste du timbre semi-permanent “Vive les vacances” (sortie en 1999)

    1999: Couverture pour le magazine “ Le monde de la philatélie”

    Création du logo et ligne graphique pour l’Association “Diagonale” – Marvejols (Lozère)

     2000: Création et réalisation d’un personnage mascotte destiné à l’animation du site intranet de la Sté AXA Assurances (Mise en concurrence)

    Création d’un en-tête pour “Canard laqué”, journal bilingue franco-chinois –                                       PARIS

     

       2001 :   Illustrations et couverture du roman “La mort d’Hercule” de J. Maffioletti,

                                           éditions “L’Ours Blanc” – Paris

                                          Création d’un logo pour laSociété « ALCHEMIA » -BESSEGES 30160

     

    2002: Couverture de « IONA », recueil de nouvelles  de J. Maffioletti,           éditions “L’Ours Blanc” – Paris

    Création pour La Poste de deux timbres à date « Coupe du monde de football »

     

    2003 : Création pour La Poste des timbres à date « Milan Ratislav stefanic » et  « Wassily Kandinsky »

    Affiche pour le spectacle « le mépris », Compagnie des deux Albatros »

    Avignon

    Affiche pour la compagnie théâtrale « Subtheâtre »

    2004 :  Couverture et illustration pour le roman : « La peine à jouir » de Jean –  Claude Ponçon ; Edition  L.R.C.

    2006: Conception et réalisation de dix timbres-poste pour la plaquette éditée à l’occasion de la coupe du monde de football

    2008 :  Laureeat du concours organisé par La Poste pour la conception et la réalisation de 24 timbres-poste illustrant les deux carnets de « La France comm j’aime »

    2016 : Création pour La Poste du carnet de 12  timbres-poste « Correspondances planétaires » – édition 1er octobre 2016

     

    1. b) Scénographie

    1973: Participe aux décors de “La famille Vendredi” montée par le théâtre de la Maison de Valois

     1974: Chef décorateur pour le film “Jeux” de Réginald Gray – Production “Caméravision”

    1975: Décorateur pour le film “L’Ange” de Patrick Bokanowsky Production “Porgy Films”

    Collabore au décor de la pièce “Rocky horror show”, monté au théâtre de la Porte Saint Martin

    1976: Assistant décorateur pour le film “Dora et la lanterne magique” de Pascal Kané – Production “Cinéma 9”

     

     

    1. c) Animation

    1982 – 83: Dessinateur-animateur pour le film “Mordéo” de Yves Charnay – Production “Hexagramm” – Grand prix du festival national 1983

     1984: Animateur pour un film technique produit par les laboratoires Roussel

     

     PRIX

     

     1988: Salon international de Chinon: médaille d’or du dessin “jeunes”

    1991: Dreux-Médaille d’or du Conseil Général  section “Pastels”

    1992: Marvejols – Médaille d’or du salon décernée par le Conseil général avec le concours de la DRAC de Languedoc-Roussillon

    1994: Le Raincy – Médaille d’or du salon

    1996: Prix du plus beau timbre de l’année (La Poste-série “Parcs Nationaux”) élu par plus de 30 000 collectionneurs. Concours organisé par La Poste et la Sté IPSOS

    1997: Prix de la plus belle série de l’année (La Poste -série “Héros d’aventures”) Idem 1996

    1998: Lauréat du concours organisé par La Poste pour le timbre “Vive les vacances”

    2010: Lauréat du concours organisé par La Poste pour la série « La France comme j’aime » (24 timbres)

     

     

     

     

     

               

     

     

  • Cuisine chinoise: choux et sauce d’huîtres

    Cuisine chinoise: choux et sauce d’huîtres

    Choux chinois à la sauce d’huîtres (Cuisine chinoise/ recette chinoise)

    Choux chinois à la sauce d’huîtres

    Cuisine chinoise/ recette chinoise

    INGREDIENTS

     Un choux chinois
    2 c à soupe de sauce d’huîtres
    2 c à café d’huile de sésame
    1 pincée de sel

    PREPARATION

     Enlever les feuilles
    les cuire dans de l’eau bouillante et sel
    les retirer dès qu’elles sont cuites, pas trop cuites car elles doivent rester croquantes
    Bien les égoutter
    mettre le choux dans un plat et ajouter la sauce d’huîtres, l’huile de sésame.


    Chinese cabbage with oyster sauce (Chinese cooking / Chinese recipe)
    Monday 31 March 2008 by Asietralala
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    Chinese cabbage with oyster sauce

    Chinese cooking / Chinese recipe

    INGREDIENTS

    – Chinese cabbage
    – 2 tablespoons oyster sauce
    – 2 tsp sesame oil
    – 1 pinch of salt

    PREPARATION

    – Remove the leaves
    – cook them in boiling water and salt
    – remove as soon as they are cooked, not overcooked because they must remain crisp
    – Drain well
    – put the cabbage in a dish and add the oyster sauce, the sesame oil.