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  • vie de chien à Hanoï

    vie de chien à Hanoï

    Carnets de voyage en asie ou une vie de chien à Hanoï

    – Carnets de voyage en asie

    une vie de chien à Hanoï
    - Je m’en souviens encore, il faisait trés chaud. Hanoï s’affairait bruyamment et nous n’ étions pas loin du mausolé de l’oncle Ho. Impossible d’y pénétrer pour cause de fermeture. Nous sommes allés nous promener dans un pittorresque marché vietnamien plein de senteurs alléchantes, nems, grillades au feu de bois, volailles dodues…quand soudain comme Ulysse par les Sirènes, nous fûmes happés par un fumet prometteur.

    Tel le petit Poucet guidé par cette odeur si alléchante nous nous dirigeâmes vers ce nirvana gustatif. Stupéfaction et horreur se lirent dans nos yeux, ce plat des dieux c’était du « chien » découpé en petites portions, prêtes à être mangées !!!.
    A vrai dire ce n’est qu’une histoire de culture, simplement une question de culture !!! Mais malgrè notre courage reconnu de tous nos pairs et notre insatiable gourmandise nous déposâmes les armes et fîmes retraite, retraite anticipée, cela va de soi….(cf la photo).

    – Carnets de voyage en asie

    une vie de chien à Hanoï
    – Je m’en souviens encore, il faisait trés chaud. Hanoï s’affairait bruyamment et nous n’ étions pas loin du mausolé de l’oncle Ho. Impossible d’y pénétrer pour cause de fermeture. Nous sommes allés nous promener dans un pittorresque marché vietnamien plein de senteurs alléchantes, nems, grillades au feu de bois, volailles dodues…quand soudain comme Ulysse par les Sirènes, nous fûmes happés par un fumet prometteur.

    Tel le petit Poucet guidé par cette odeur si alléchante nous nous dirigeâmes vers ce nirvana gustatif. Stupéfaction et horreur se lirent dans nos yeux, ce plat des dieux c’était du « chien » découpé en petites portions, prêtes à être mangées !!!.
    A vrai dire ce n’est qu’une histoire de culture, simplement une question de culture !!! Mais malgrè notre courage reconnu de tous nos pairs et notre insatiable gourmandise nous déposâmes les armes et fîmes retraite, retraite anticipée, cela va de soi….(cf la photo).

  • Thé, la préparation

    Thé, la préparation

    La préparation du thé

    La préparation du thé

    . Ce n’est pas simplement un breuvage, mais la transfiguration d’une culture ancestrale qui se perpétue depuis des générations. En occident croire qu’infuser est chose facile est du domaine de la non connaissance de l’univers du thé. Il ne suffit pas de verser de l’eau et d’attendre mais aussi de connaître les astuces qui feront que votre breuvage vous donnera le meilleur de lui même.

    Selon les pays, les cultures et les thés, la préparation et le mode consommation sont différents.

    Nous vous proposons un tour de main traditionnel, pour apprécier en toute simplicité votre thé.

    Trois paramètres à surveiller : la dose, l’eau, l’infusion.

    Voici donc les conseils de notre specialiste en préparation du thé :

    LA DOSE DE THE

    - 2,5g de thé, soit une cuillère doseuse pour le thé ou l’équivalent d’une cuillère à café.
    - 4 à 5g de thé pour 50cl d’eau.

    L’EAU

    Pour les thés qui ont des feuilles fragiles, l’eau doit être frémissante, jamais bouillante.

    Plus un thé est jeune ou noble, moins l’eau doit être chaude. C’est le cas notamment des thés récoltés dans l’année. Qui n’ont pas besoin d’une eau trop chaude pour libérer leur parfum.

    De même les thés blancs requièrent une température d’eau de 75° à 85° maximum.

    Les thés qui présentent des feuilles plus solides ( comme certains Oolong) ont besoin d’une eau portée à ébullition pour parvenir à extraire toute leur saveur.

    Si le thé que vous buvez nécessite au préalable d’être rincé, le rinçage des feuilles se fait avec une eau à la même température que l’eau servant à l’infusion.

    Utiliser de préférence une bonne eau : eau de source ou eau filtrée.

    Avec l’aimable participation de : POMME D’AMBRE

    Site de POMME D’AMBRE

  • ZHANG Hongyu

    ZHANG Hongyu

    ZHANG Hongyu, artiste chinois expose

    « ELLE »

    ZHANG Hongyu, artiste chinois

    Zhang Hongyu ou « Celui qui voyage sous le signe de l’eau. »

    Cet artiste contemporain dont l’approche figurative rejoint la grande tradition des expressionnistes occidentaux, n’en demeure pas moins un puriste de l’art extrême oriental où le dépouillement des formes et des couleurs satisfait à l’essentiel. Zhang Hongyu présente une œuvre marquée par une « mise en relief du sujet traité ».

    Cette approche peut-être considérée par certain comme désuette et pour d’autres elle touche au sublime ; il en est ainsi des goût et des couleurs. A l’heure ou l’on confond vitesse et précipitation, art et Pan Art.

    Retourner à l’essentiel, c’est cela être efficace ! Comme l’eau qui invariablement retourne à la source.

    JPB

  • Histoire d’amour en asie

    Histoire d’amour en asie

    Rencontres coloniales ou les histoires vraies d’Asie.

    Au commencement cette histoire en asie

    L’amour en asie ou les élans exotiques ; Vietnam juillet 1947, le Nord s’embrase, le Sud s’amuse. Hanoï ne veut plus d’un passé de soumission et lève l’étendard d’une liberté si longtemps enfouie. Des idées nouvelles, un désir d’indépendance, un vent nouveau souffle sur le Tonkin et l’ombre d’un avenir sombre embrase la quiétude tranquille des rizières.

    Saigon, l’insouciante, se perd dans les jeux, s’enivre de fêtes lascives, s’oublie dans la lumière des néons chatoyants. Elle a beau s’étourdir, elle sait que le destin d’un pays la rattrapera bientôt, alors elle exulte dans des frasques démesurées et se laisse mourir de plaisir.

    En ce 14 juillet 1947 alors que les évènements se précisent dans le Nord, dans le Sud un grand bal des débutantes se prépare au le palais présidentiel. Le chef de l’état a invité de très nombreux convives à participer à cette soirée de prestige qui fait rêver toutes les jeunes filles du Vietnam. Elles sont là les sœurs Hô , elle font partie de la fête, ébahies d’être ici dans cette magnifique résidence. Le monde entier leur tend les bras, la terre entière est à genoux devant leurs délicates silhouettes à peine sorties de l’adolescence, elles sont les reines d’un monde qui va s’enfoncer dans une tragédie interminable et douloureuse. Au diable la guerre, rien ne compte plus pour elles que les paillettes et le strass des robes qui scintillent sous la lumière indiscrète des projecteurs.

    Le coup de foudre de l’histoire d’amour en asie  

    Ils sont tous là, généraux aux uniformes rutilants, coloniaux aux costumes impeccables, diplomates à l’allure empruntée, jeunes hommes au regard de braise, belles plantes exotiques prêtes à dévorer les mâles trop peu méfiants, ce sont les derniers représentants d’un monde déjà oublié, un monde en sursis.

    Leur père les présente à son ami, un certain Monsieur Messmer et, manu militari, les invite à aller s’amuser car des affaires fort importantes l’attendent.

    Elle s’appelle Simone et ses sœurs ont pour nom Yvonne, Marguerite et Cécile et viennent du Nord. Elles sont vietnamiennes mais de nationalité française, cette particularité les sauvera plus tard d’une lente descente aux enfers.

    Happées par la musique langoureuse distillée par un orchestre en smoking blanc, elles s’égaient toutes comme des moineaux affolés, éperdues de bonheur, émerveillées, gargarisées par ce luxe exacerbé offert sans pudeur par cette immense salle de réception.

    Le service de sécurité est là tendu, à fleur de peau, l’oeil aux aguets, prêt à intervenir au moindre mouvement de foule, au simple battement de cils, suspectant même leurs propres collègues car aujourd’hui les frontières sont floues, le futur incertain et les amis peu sûrs.

    Paul est le responsable de cette garde rapprochée, il observe les aller- venues de chaque convive, son œil aguerri plonge dans le regard des invités pour en extirper l’essence et ainsi anticiper tout danger. Soudain ce professionnel aux yeux bridés, cet Elliot Ness au cœur de pierre, reste figé devant ce tableau si fragile d’une jeune fille timide et maladroite. Il est là comme tétanisé, seul enfermé dans un silence de glace parmi tous ces gens qui tournoient, s’esclaffent, mangent et boivent.

    Alors Paul, il faut te réveiller, tu n’as pas le droit de rêver, retombe sur terre, ici tous comptent sur toi. Rien n’y fait, subjugué par la belle Simone, il oublie tous ses devoirs, confie à son adjoint la bonne marche des opérations, se défait de ses habits de fonction et revêt un costume valorisant, car monsieur veut plaire, séduire, jouer les fanfarons et assiéger le cœur de la jeune fille drapée dans un magnifique Ao-Aï bordeaux. Il sait à cet instant précis qu’elle sera la femme, la femme de sa vie.

    Histoire d’amour en asie, le stratagème pour conquérir la belle 

    Paul, fin stratège, invite tantôt Yvonne, tantôt Marguerite à des danses endiablées et ne jette aucun regard à Simone qui de surcroît n’en a cure…. D’ailleurs elle n’a même pas remarqué ce garçon follement amoureux qui virevolte avec ses sœurs. Le voilà faisant le beau, il parle haut et fort, se trémousse comme un gardon pris à l’hameçon, le ridicule ne peut rien contre l’amour.

    Paul est fort courtisé par la gente féminine, son charme a déjà fait de nombreux ravages et dévasté de nombreux cœurs de Saïgonnaises. Son père est un homme que tous connaissent, respectent et il est d’ailleurs extrêmement fortuné, puissant et de surcroît un bienfaiteur de l’église.

    Le papa de Simone connaît d’ailleurs bien celui de Paul, ils se fréquentent et s’apprécient.

    Paul, le tombeur de ces dames, a sorti les grands moyens et rien ne pourra arrêter cette machine à broyer le cœur de Simone, ni l’indifférence, ni l’échec et encore moins le ridicule. L’affaire s’annonce difficile car les prétendants sont nombreux et la victoire difficile. Le regard de velours ne suffira pas à capturer, à ensorceler cette jeune fille qui ne pense aujourd’hui qu’à s’amuser au rythme des danses et des rires.

    Paul ne veut pas laisser partir son amour d’asie 

    Pas de répit pour Paul car le lendemain il part à la recherche de sa belle et trouve l’adresse où celle- ci habite. Il passe et repasse devant cette maison aux couleurs de l’amour ; il n’ose pas s’arrêter, hésite, se tâte… Yvonne et Marguerite ont remarqué son manège et l’invite à venir prendre une petite collation que ce dernier accepte avec empressement. Enfin la première défense est franchie et Paul rêve déjà d’une victoire totale où Simone béate tomberait dans ses bras comme un fruit mûr prêt à être cueilli.

    Il pavoise dans cet aéropage de la gente féminine et ne veux plus partir, il s’incruste et même s’invite à dîner. L’on envoie un « boy » à Cholon, le quartier chinois de Saigon, afin de commander un canard laqué, plat uniquement réservé aux convives de choix. Paul tel un pacha en « Pachaterie » se félicite de cette si « inattendue » invitation mais malheureusement une épreuve des plus épouvantables l’attend. Notre séducteur déteste le canard et ce met si délicat le dégoûte au plus haut point, ingérer cette volaille palmée est une torture à sacrifier sur l’autel de l’amour. Paul ne cède pas et prenant son courage à 2 mains avale courageusement le canard qui lui est présenté et dans un rictus des plus hypocrite, remercie la maîtresse de maison d’une si délicate attention.

    Les heures passent, et l’encombrant convive ne se décide toujours pas à regagner ses pénates, il s’évertue à camper près de sa belle qui le trouve aussi collant que du riz gluant.

    Comment se débarrasser de cet amoureux transit qui, de peur de se faire coiffer au poteau par un autre prétendant, ne veut plus quitter des yeux sa « future épouse non consentante ».

    Il est fort tard et voilà qu’il virevolte, fait de l’esprit ne remarquant aucunement les baillements à peine dissimulés de toute la maisonnée. Une telle opiniâtreté amuse et même séduit les sœurs qui ne savent toujours pas pour laquelle cet « ‘énergumène » s’évertue à stationner, sans la moindre gêne chez elles. Etant donné l’heure tardive, la maman propose à Paul de dormir sur place dans la seule pièce disponible celle où réside leur animal de compagnie le « cochon ». N’écoutant que son courage Paul n’hésite pas un instant à accepter de partager son sommeil avec cet animal réputé pour sa propreté légendaire et son ronflement peu délicat.

    Les jours passent et Paul reste sur place, aveugle à la gêne occasionnée, planté tel un chêne indéracinable aux racines tentaculaires ; le cochon est devenu un ami intime, un vrai pote de chambrée à qui il confie son espoir de conquérir le cœur de Simone.

    Comprenant qu’il est impossible de se débarrasser d’un tel phénomène, la famille entière déstabilisée, dérangée mais aussi intriguée attend avec impatience le dénouement, le départ de cette bernique, non bretonne, aux yeux bridés.

    Une vraie histoire sans lendemain dont l’héroïne, l’exotique Simone, en voiture Simone, ne semble pas encore remarquer le manège de Paul dont l’incroyable audace a déjà « tsunamisé » une famille entière.

    Les jours passent et « Mister glue » ne trépasse toujours pas. Vous vous demandez comment cette abracadabrante histoire peut se terminer ?! Et bien rassurez vous car l’étalon italien, oh pardon, vietnamien, se maria avec Simone dans la cathédrale de Saigon soulageant sa future belle- famille d’un si long siège dont l’issue paraissait vraiment improbable.

    Amour quand tu nous tiens

    Qu’est devenu le cochon, fut-il invité à la cérémonie, se laissa t-il glisser vers une dépression d’avoir perdu son co- locataire ? Mais ceci est une autre histoire que je vous conterai plus tard , bien plus tard !

    Amour en asie et me voilà!!!!

    Henri (l’un des enfants du couple)

    Colonial encounters or true stories from Asia.

    Love story in Asia or exotic impulses; Vietnam in July 1947, the North blazes, the South has fun. Hanoi does not want a past submission and raised the standard of freedom so long buried. New ideas, a desire for independence, a new wind is blowing and the Tonkin shadow of a bleak future ablaze the quiet tranquility of the rice fields.

    Saigon, carefree, is lost in games, gets drunk lascivious parties, is forgotten in the light of shimmering neon lights. It was nice to stun, she knows that the fate of the country will catch up soon, so she exults in the exaggerated antics and left to die of pleasure.

    In July 14, 1947 when the events become clearer in the North, in the South a big debutante ball is preparing for the presidential palace. The head of state has invited many guests to attend this prestigious evening that dream all young girls in Vietnam. They are the Ho sisters, she is part of the festival, dumbfounded to be here in this beautiful residence. The world tends their arms, the whole earth is kneeling before their delicate silhouettes barely out of adolescence, they are the queens of a world that will sink into a long and painful tragedy. Damn the war, nothing is more important for them than the glitter and rhinestone dresses that sparkle under the spotlights indiscreet.

    They are all there, the general gleaming uniforms, impeccable colonial costumes, diplomats borrowed allure, young men fiery eyes, beautiful exotic plants ready to devour unsuspecting males too, are the last representatives of a world already forgotten, a world suspended.

    Their father presents his friend, a Mr. Messmer and forcibly, invites them to go have fun, because of very important business ahead.

    Her name is Simone and her sisters are named Yvonne, Cecile and Margarita and go North. They are Vietnamese but of French nationality, this feature will save later a slow descent into hell.

    Caught up in the languorous music distilled by an orchestra in white tuxedo, they brighten all as frightened sparrows, distraught happiness, amazed, gargarisées offered by this shameless luxury exacerbated by the huge reception room.

    The security service is tense, on edge, the eye on the watch, ready to intervene at the slightest movement of crowds, the simple blink of an eye, even suspecting their own colleagues because today the borders are blurred, the future uncertain and insecure friends.

    Paul is responsible for the bodyguards, he observes the allergen came from each guest, his trained eye plunges into the eyes of guests to extirpate the essence and thus anticipate danger. Suddenly this professional slant-eyed, this Elliot Ness in the heart of stone, remains frozen so fragile before this picture of a girl shy and awkward. It is there like paralyzed, only enclosed in a glass of silence among all these people circling, guffaw, eat and drink.

    Then Paul, we must wake up, you do not have the right to dream, falls back to earth, here all counting on you. Nothing will work, captivated by the lovely Simone, he forgets all his duties, his deputy entrusts the smooth running of operations, takes off his clothes and clothes feature a costume rewarding because Mr. wants to please, seduce, play boasters and besiege the heart of the girl draped in a beautiful Ao-Ai burgundy. He knew at that moment that she will be the woman, the woman of his life.

    Paul, strategist, sometimes invites Yvonne, sometimes Marguerite in wild dances and throws no say in addition to Simone who does not care …. Besides, she did not even notice the boy spins madly in love with her sisters. Here he is doing fine, he speaks loud and wiggles like a roach took the bait, ridicule can do nothing against love.

    Paul is very courted by the female, its charm has already made many ravages and devastated many hearts of Saigon. His father is a man that everyone knows, respects and it is also extremely wealthy, powerful and moreover a church benefactor.

    Simone’s father also knows well that of Paul, they attend and enjoy.

    Paul, the heartthrob of the ladies, pulled out all the stops and nothing can stop the machine to crush the heart of Simone nor indifference or failure much less the ridiculous. The case will be difficult because the contenders are numerous and difficult victory. The velvet look is not enough to capture, to bewitch the girl who now think that fun to the rhythm of dancing and laughter.

    No rest for Paul because the next day he goes in search of his sister and finds the address where the latter lives. It comes and goes in front of the house with the colors of love; he does not dare to stop, hesitates, fumbles … Yvonne and Margaret noticed her game and invite him to take a small snack that he accepts with alacrity. Finally the first defense is crossed and Paul already dreaming of total victory where Simone smug fall into his arms like a ripe fruit ready to be picked.

    He decked in this Areopagus of the fairer sex and do not want to leave, he became entrenched and even invite to dinner. One sends a « boy » in Cholon, Saigon’s Chinatown, to order a duck dish only available to guests of choice. Paul like a Pasha « Pachaterie » welcomes this if « unexpected » invitation but unfortunately one of the most horrific ordeal awaits. Our seducer hates ducks and puts delicate disgusted at the highest point, palmate poultry ingest this is torture to sacrifice on the altar of love. Paul did not give in and taking her courage in two hands bravely swallows duck and presented to him in a rictus of more hypocritical, thanked the hostess of a delicate attention.

    The hours pass, and always cumbersome guest not decided to return to his household, he strives to camp near his sister who also found that the sticky glutinous rice.

    How to get rid of this transit lovers who, for fear of being pipped at the post by another suitor, does not want his eyes off his « future wife unwilling. »

    It is very late and now he spins, makes the mind does not noticing the barely concealed yawns of the entire household. Such obstinacy amused and even attracted the sisters who still do not know why this’ ‘rowdy’ strives to park, without the slightest embarrassment at home. Given the late hour, the mother offers Paul to sleep on site in the only room available that in which lies their pet « pig ». Listening only to his courage Paul does not hesitate a moment to agree to share sleeping with that animal known for its legendary cleanliness and little tricky snoring.

    The days pass and Paul remains in place, blind to the inconvenience, such ineradicable oak planted with sprawling roots; the pig has become a close friend, a true friend of barracks to whom he confided his hope to win the heart of Simone.

    Understanding that it is impossible to get rid of such a phenomenon, destabilized the whole family, but also disturbed puzzled looks forward to the outcome, the start of this limpet, not Breton, with slanted eyes.

    True story without a future in which the heroine, the exotic Simone, Simone drive, does not seem to notice the ride of Paul whose incredible audacity has already « tsunamisé » an entire family.

    The days pass and « Mister glue » does not always passes away. Wondering how this bullshit story may end! Well rest assured you as the Italian Stallion, oh sorry, Vietnamese, married Simone in the Cathedral of Saigon relieving his future in-laws for a long siege, the outcome seemed really unlikely.

    What happened to the pig, he was invited to the ceremony, if he slipped into a depression at losing his co-tenant? But this is another story that I will tell you later, much later!

    Henri (one of the couple’s children)

  • Recette du poulet blanc à la chinoise et son bouillon

    Recette du poulet blanc à la chinoise et son bouillon

    drapeau chinoisRecette du poulet blanc à la chinoise et son bouillon

    Recette chinoise/ cuisine chinoisepoulet-coq-volaille-crête-images-gratuites1-1560x1037

    Recettes asiatiques « light »et « diététiques » faciles

    Recette du poulet blanc à la chinoise et son bouillon

    Ingrédients
    - 1 poulet (fermier de préférence)
    - sauce de soja
    - purée de piments
    - 1 à 3 c à soupe de sauce de poissons selon la quantité d’eau de cuisson
    - coriandre finement haché
    Préparation
    - cuire le poulet dans de l’eau salée
    - dès qu’il est cuit le sortir et le laisser refroidir
    - ensuite découper le poulet en petits morceaux (ex un haut de cuisse en 4).
    - bouillon= eau de cuisson du poulet+ un peu de sauce de poissons+coriandre+poivre
    - déguster le poulet en le trempant dans la sauce de soja+purée de piments et du riz parfumé
    - conseil manger le poulet en alternance avec le bouillon car les goûts sont complémentaires.

    La cuisine asiatique est facile

    Si vous avez une recette light, diététique et facile n’hésitez pas à nous la faire connaître et nous nous ferons un plaisir de la mettre illico presto en ligne. Merci

    SRecette white Chinese chicken and broth

    Chinese Recipes / Cooking chinoisepoulet barnyard poultry peak-image gratuites1-1560×1037

    Asian recipes « light » and « diet » easy

    White chicken recipe with Chinese and broth

    ingredients
    – 1 chicken (preferably farmer)
    – Soy sauce
    – Mashed peppers
    – 1 to 3 tablespoons fish sauce according to the amount of cooking water
    – Finely chopped cilantro
    preparation
    – Cook chicken in salted water
    – As soon as it is cooked take it out and let it cool
    – Then cut the chicken into small pieces (eg a thigh 4).
    – = Broth chicken cooking water + a little fish sauce + pepper + cilantro
    – Chicken taste by soaking it in soy sauce + mashed chillies and fragrant rice
    – Council eat chicken alternately with broth because tastes are complementary.

     

  • Salade de poulet à la vietnamienne

    Salade de poulet à la vietnamienne

    Recette vietnamienne/ Cuisine vietnamienne

    Recettes asiatiques « light »et « diététiques » faciles

    Salade de poulet à la vietnamienne

    Temps de préparation : 1h sans compter la cuisson du poulet

    Pour 4 personnes :

    Ingrédients:

    • 1 poulet fermier
    • ¼ de choux blanc finement coupé
    • Une petite poignée de champignons noirs
    • 3 belles carottes râpées assez gros
    • Germes de soja ébouillantées au préalable (facultatif). L’idéal pour ce plat c’est de trouver une herbe très rare en France le Jao Jam et en mettre seulement quelques feuilles finement ciselées.
    • Assaisonnement  : Le goût doit être à votre convenance, alors allez-y molo en incorporant l’assaisonnement. Pour un bol
    • Échalotes finement hachées
    • 2 cuillère à soupe de vinaigre
    • ½ bol de Nuoc Mam préparé (en aucun cas pur)
    • ½ bol de jus de poulet

    Préparation

    La veille c’est plus facile, cuire dans de l’eau le poulet dans la cocotte ou bien à la vapeur. Attention bien garder le bouillon ! Le lendemain « l’émietter » en ne gardant ni la peau (ou très peu), ni les os. Mélanger : carottes râpées, oignons, choux, poulet, (germes de soja et jao jam.. facultatif)+ les champignons noirs au préalable réhydratés puis étreints et enfin finement ciselés.

    La cuisine asiatique est facile

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  • Soja au gingembre au wok (Recette chinoise)

    Soja au gingembre au wok (Recette chinoise)

    Soja au gingembre au wok (Recette chinoise/ cuisine chinoise)

    Recette chinoise/ cuisine chinoise

    soja sauté au gimgembre au wok

    Recettes asiatiques « light »et « diététiques » faciles

    Ingrédients

    - 1kg de soja
    - 1 petit bout de gingembre frais ecrasé (3cms environ)
    - 4 gousses d’ail écrasées
    - sauce d’huitre et sauce de soja
    - Persil chinois émincé

    Préparation

    - mettre une goutte d’huile dans un wok
    - faire revenir l’ail et le gingembre
    - puis jeter le soja, pas trop cuit afin qu’il reste croquant
    - à la fin mettre une c à soupe de sauce d’huitre, une de sauce de soja et une pincée de sel
    - présenter dans une assiette
    - rajouter le persil chinois

    La cuisine asiatique est facile

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  • Tofu au porc et champignons parfumés

    Tofu au porc et champignons parfumés

    Recette du Tofu au porc et champignons parfumés (Recette chinoise/ cuisine chinoise)

    Recette du Tofu au porc et champignons parfumés

    Recettes asiatiques « light »et « diététiques » faciles

    Recette chinoise/ cuisine chinoise

    Recette du Tofu au porc et champignons parfumés

    Pour 4 personnes
    Préparation 30 mn
    Ingrédients
    - 1 pain de tofu
    - 1 kg de palette de porc hachée
    - 3 oignons émincés
    - 7/8 champignons parfumés
    - sauce d’huitres (3 cs)
    - purée de piment (2cc)
    - 2 gousses d’ail

    Dans un premier temps, faire tremper les champignons parfumés dans de l’eau chaude afin qu’ils se réhydratent, puis les étreindre pour les faire dégorger au maximum. Les émincer en éliminant la queue.

    Dans un second temps, dans une poëlle faire revenir les oignons, l’ail et les champignons. Quand les oignons sont bien dorés, rajouter le porc. Remuer. Lorsque la viande est pour ainsi dire cuite, ajouter la sauce d’huître et le piment.

    Remuer puis réserver. Dans une grosse casserole, mettre à bouillir de l’eau, poser un bol dans la casserole dans lequel vous disposerez les tranches de tofu. Une fois chaude, les tranches sont à disposer dans les assiettes puis recouverte de la préparation au porc.

    Éventuellement ajouter un peu de sauce de poisson diluée et préparée. En tout cas ne pas oublier au moment de servir un sérieux tour de moulin à poivre.

    recette de Miss Louloute

    La cuisine asiatique est facile

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  • SHANGHAI

    SHANGHAI

    SHANGHAI (Conseils et bons plans pour votre voyage en Chine)

    Shanghai

    Shanghai est la ville de la vitalité et de la prospérité qui attire de plus en plus les yeux du monde. Centre économique de la Chine en partie grâce à son port, le plus grand du monde, la ville joue un véritable rôle de passerelle pour les étrangers qui veulent connaître et découvrir la Chine. Métropole où modernisme et tradition se côtoient dans un style propre à la culture chinoise, Shanghai offre de nombreuses facettes aux visiteurs qui souhaitent la découvrir. Ainsi non loin des magnifiques grattes-ciel du quartier du Bund et de la Tour TV de la Perle orientale vous pourrez contempler le Temple de Jade d’où s’élève la fumé des bâtons d’encens, les vieilles rues de la ville pleines de charme, de couleurs et d’odeurs, la cathédrale de Xujiahui et ses mélodies de psaumes, la rue de Nanjing bordée de magasins plus luxieux les uns que les autres et bien d’autres merveilles ici et là.

    Géographie : 
Shanghai se situe au centre de la côte est de la Chine sur les bords de l’océan pacifique dans la plaine fluviale de la rivière Yangze. La ville tire son nom d’une autre rivière nommée Shanghaipu, un bras du fleuve Wusong

    Superficie et population :
Shanghai s’étend sur 6340 kilomètres carrés pour une population de plus de 18,2 millions d’habitants. Compte tenu du rôle de plus en plus important de la ville dans l’économie mondiale, les sociétés du monde entier n’hésitent plus à s’y implanter d’où un nombre très élevé d’expatriés occidentaux.

    Transport :
L’aéroport de Pudong se situe à une quarantaine de kilomètres au Sud de Shanghai tandis que celui de Hongqiao est quasiment au coeur même de la ville. Il est très facile de se déplacer vers toutes les grandes de villes chinoises depuis Shanghai grâce aux différentes lignes de trains ou de bus et aux deux aéroports. 
En plus des taxis, des vélos et des différentes lignes de bus, la ville est également équipée de deux lignes de métro et d’une sorte de RER aérien.

    Climat : 
Shanghai a des étés chauds et pluvieux tandis que les hivers y sont froids et secs. Avec des températures moyennes oscillant entre 25 et 32°C, le mois de juillet est de fait le mois le plus chaud de l’année . A contrario, le mois de janvier y est le plus froid avec des températures, certes rarement négatives, mais ne dépassant pas les 8°C. Le niveau de précipitations annuelles peut s’élever jusqu’à 1100mm. Le mois de juin y est particulièrement humide tandis que décembre y est sec. L’été et l’automne peuvent être synonymes de typhons dans la région.

    LES SITES TOURISTIQUES

    La cathédrale de St Ignatius La cathédrale St Ignatius ou cathédrale Xujiahui est une cathédrale romane catholique vieille d’un siècle d’histoire. C’est la plus grande église catholique de Shanghai. Elle est située dans le quartier de Xujiahui, au Nord du stade de la ville.

    La tour Jin Mao est un symbole de l’architecture de Shanghai en route pour le XXIme siecle. C’est le plus haut immeuble du pays et le 5eme dans le monde, et abrite l’hotel le plus haut place au monde.

    La tour de la perle orientale Surplombant de haut le quartier de Pudong. La tour TV de la perle orientale est devenue le point de repère de Shanghai. La tour, haute de 468 mètres, est la tour de télécommunication la plus élevée d’Asie et la troisième dans le monde, après celle de Toronto de 553,33 mètres et celle de Moscow de 533 mètres.

    Le musée de Shanghai Le musée de Shanghai fut établi en 1952 et déplacé 2 fois avant de trouver sa place actuelle définitive en 1996, au Sud de la Place du Peuple. Plus de 120 000 travaux artistiques rares et précieux, classés en 21 catégories, font de ce musée la plus importante institution culturelle de la ville.

    La rue de Nanjing La rue de Nanjing est l’une des rues commerciales et touristiques les plus importantes de Shanghai, qui s’etend du Bund a Yanan Xilu. C’est une excellente place pour decouvrir l’histoire et la culture de Shanghai.

    Le jardin de Yuyuan Le Jardin de Yuyuan est situé dans le centre du vieux Shanghai, non loin du Bund. Avec une surface d’environ 2 hectares, il y a plus de 40 choses à voir dans les jardins intérieurs et extérieurs, tous les deux construits dans un style classique Ming.

    Le temple des Bouddhas en jade Le temple des Bouddhas en jade est un temple en activité possèdant 70 moines, ces derniers vivant dans la dernière cour. Il fut construit entre 1911 et 1918 dans le style de la dynastie des Song, avec des halls et des cours intérieures symétriques, des auvents inversés et des murs jaunes safran.

    Le Palais des enfants Le Palais des Enfants est un endroit intéressant à visiter où vous pouvez admirer les superbes performances des enfants. C’est une sorte d’école privée où les enfants privilégiés viennent après l’école normale.

    Le village ancien de QibaoSitué à environ 18 kilomètres du centre de Shanghai, l’ancien village de Qibao est un sanctuaire spirituel, libre d’embouteillages, de pollution et de bruit qui sont les fléaux de la plupart des villes modernes où nous vivons.

    Le Bund Le Bund également appelé la Rue Zhongshan, est situé sur la rive ouest de la rivire Huangpu face la nouvelle zone de Pudong. Le Bund fut considéré comme le symbole de Shanghai pendant des centaines d’années, d’une longueur de près d’un kilomètre et demi est une destination touristique populaire. Le Bund est la partie culturelle de la ville qui représente le mieux le mélange des influences anciennes et modernes.

  • Japon,carnet de voyage ou le goût du thé.

    Japon,carnet de voyage ou le goût du thé.

    Carnet de voyage au Japon, Le goût du thé.


    - Carnets de voyage en asie

    Le goût du thé

    Dans de nombreux endroits au Japon, une tasse de thé vous sera offerte car, de sa forme la plus simple à sa forme la plus complexe et théorisée, un o-cha est avant tout symbole de convivialité et de partage. A votre arrivée dans un ryokan ou un minshuku, ou en visite chez quelqu’un, on vous apportera en tout premier lieu une tasse de thé accompagnée d’une friandise. Dans certains temples, vous pourrez prolonger l’état méditatif provoqué par la contemplation du jardin par la dégustation d’un matcha (thé en poudre utilisé pour la cérémonie du thé, et qui sera fouetté dans de l’eau chaude et non infusé) et d’une sucrerie. Ou encore, vous pourrez participer à l’une des initiations donnés aux visiteurs étrangers visant à leur permettre d’appréhender la cérémonie du thé.

    Cette boisson a été introduite au Japon vers le 8e siècle par les moines bouddhistes venus de Chine. Elle a d’abord été utilisée par ce clergé pour ses vertus stimulantes lors des longues méditations. Mais très rapidement, le thé japonais se démarqua du modèle chinois pour développer son goût unique à la délicieuse amertume. Le thé japonais traditionnel est un thé vert (c’est-à-dire non oxydé) classifié selon la période de récolte. Les meilleures feuilles réduites en poudre sont utilisées sous le nom de matcha pour la cérémonie du thé. Le matcha le plus réputé est celui produit à Uji, au sud de Kyoto. Bien évidemment, il existe de nombreux « crus » de thés, en fonction du lieu de production, du domaine et de la récolte, dont la connaissance se révèle aussi pointue que l’œnologie.

    La cérémonie du thé, chanoyu (littéralement « l’eau chaude du thé ») ou sado (« voie du thé »), est la quintessence de la culture japonaise. C’est un moment où le meilleur de chaque chose est mis en œuvre : des invités de choix, un jour où la beauté de la nature environnante est à son apogée, une peinture ou une calligraphie décorant le mur choisie non seulement pour ses qualités artistiques mais aussi pour son adéquation au moment, une composition florale délicate, les plus beaux bols et, bien sûr, le meilleur thé réalisé avec les instruments les plus parfaits et les ingrédients (thé et eau) les plus subtils. Cette cérémonie se doit de respecter quatre principes essentiels : harmonie, respect, pureté et sérénité. Suivant ces principes, le beau est synonyme de simplicité et de naturalisme à travers des objets « bruts » ou des pavillons de thé dont le dépouillement et l’exiguïté étonnent souvent le visiteur.

    La cérémonie du thé a été formalisée par le grand maître Sen-no-Rikyu au 16e siècle, dont la vie et la fin tragique ont été romancées par Yasushi Inoue et portées à l’écran dans le film La mort d’un maître de thé. C’est à Kyoto que l’on pourra marcher sur ses pas en visitant le temple de Daitoku-ji, dont il était disciple et où se trouve sa tombe. Il en a également aménagé plusieurs pièces, ainsi que le jardin du temple Chishakuin. Au sud de Kyoto, dans la ville de Oyamazaki, se trouve dans le temple de Myokian le pavillon de thé construit par Sen-No-Rikyu, qui présente la quintessence de sa pensée. Ce pavillon est aujourd’hui classé Trésor national. Un autre grand maître de thé, Kobori Enshu, a quant à lui conçu plusieurs jardins à Kyoto, dont celui du parc du Palais impérial de Kyoto, du palais Sento, ou du temple Nanzenji. Mais « l’esprit du thé » se développe dans bien d’autres endroits, et vous pouvez notamment le retrouver dans les villes historiques comme Kamakura, près de Tokyo, ou Kanazawa, sur la mer du Japon.

    Mais revenons à des aspects beaucoup plus prosaïques. Dans tous les cas, que ce soit dans une cérémonie ou pour un simple bol de thé partagé avec votre hôte ou des amis, ne demandez ni sucre ni lait ni citron, vous seriez regardé comme un extra-terrestre. Souvent, un gâteau vous est offert avec le thé, parfois extrêmement sucré et relativement neutre en saveurs comme celui servi avec le matcha. Si vous le mangez avant de boire votre thé, il vous apportera un goût sucré en bouche qui annihilera l’amertume ressentie. D’autre part, les personnes sensibles doivent faire attention à ne pas consommer de thé vert en soirée, car sa très forte teneur en vitamine C peut avoir des effets sur le sommeil. Par contre, le hoji-cha (thé vert grillé, très peu astringent et très pauvre en théine) ou des infusions comme le mugi-cha (graines d’orge) ou le soba-cha (graines de sarrasin), souvent servis à la fin du repas, peuvent être consommés à volonté.

    Une expression souvent utilisée dans la cérémonie du thé, mais englobant plus largement toute dégustation de thé, est ichigo ichie, soit « une fois, une rencontre ». Elle signifie que chaque rencontre autour du thé est l’occasion d’éprouver quelque chose qui ne se reproduira peut-être plus jamais. Carpe diem dans un breuvage vert !

    Article paru sur le site de » l’Office National du Tourisme Japonais »

    Office de tourisme national japonais Ikuko NAGAO Adresse : 4, rue de Ventadour 75001 Paris FRANCE Tel (direct):0142962961