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  • Voyager au Vietnam : infos pratiques

    Voyager au Vietnam : infos pratiques

    Voyager au Vietnam : des infos pratiques

    Voyager au Vietnam : des infos pratiques

    Géographie

    S’étendant sur 331 688 km², le Vietnam, Viet Nam – « le Sud des Viets », peut être divisé en 3 régions, correspondant aux anciennes régions historiques : le Sud (Cochinchine), le Centre (Annam), et le Nord (Tonkin). Le pays est très montagneux (80% de sa surface) et compte de vastes étendues de forêts tropicales (42%).

    Le Sud,capitale Ho Chi Minh City (ex-Saigon), est divisée entre les rizières du delta du Mékong et les montagnes souvent couvertes de jungle, notamment à la frontière cambodgienne. Le delta, couvrant environ 40 000 km², est à moins de 3 mètres au dessus du niveau de la mer et sillonné de rivières et de canaux. Les sédiments apportés par le fleuve sont tels que le delta avance de 60 à 80 mètres par an. C’est une région de rizières et de vergers.

    Le Centre,capitale Da Nang, inclue de hauts plateaux peuplés de minorités, une côte découpée avec de nombreuses plages (Hoi An, Nha Trang, Mui Ne) et trois principaux sites historiques : la vieille (2200 ans) ville de Hoi An, les ruines Cham de My Son, et l’ancienne capitale de Hue, avec sa citadelle et ses tombeaux impériaux.

    Le Nord, capitale Ha Noi, qui est également celle du Vietnam, consiste en une large plaine formée par le delta du Fleuve Rouge (15 000 km²) et de montagnes de plus en plus élevées, parsemées de petites vallées et culminant à 3143m au Mont Fan Si Pan. Toute la région longeant la frontière chinoise est un époustouflant capharnaüm de montagnes et pics karstiques, vallées encaissées, et canyons. C’est dans le Nord que se trouvent 2 sites uniques au monde : la baie d’Halong, à 160 km au nord d’Ha Noi, et la baie d’Halong terrestre de Tam Coc à 100 km au sud.

    Climat

    À cause des différences de latitude et du relief très marqué, le climat varie considérablement du Nord au Sud, avec une différence marquée entre les côtes et l’intérieur montagneux :

    Le Nord :

    Climat parfait en octobre-novembre et avril-juin : températures entre 21 et 28º. La meilleure période pour visiter le Nord. Décembre à mars : L’hiver y est généralement ensoleillé, mais froid (12-15º dans la plaine, 5-12º en montagne). Juillet-fin septembre est la saison “d’été”, avec des températures de 30 à 40º et, parfois, des pluies violentes.

    Le Centre :

    Février-mai est la meilleure période, la moins bonne étant de septembre à fin janvier (fortes pluies ; typhons en septembre et octobre). Le climat est beaucoup plus frais sur les Hauts Plateaux (Dalat, Buon Ma Thuôt) que sur la côte.

    Le Sud :

    Février-mai est la meilleure période, la moins bonne étant de septembre à fin janvier (fortes pluies ; typhons en septembre et octobre). Le climat est beaucoup plus frais sur les Hauts Plateaux (Dalat, Buon Ma Thuôt) que sur la côte.

    Population et religion

    Le Vietnam compte 85 millions d’habitants. 86% de la population est viet (Khin), concentrée dans les deltas, les plaines côtières, et les grandes villes. Le reste est composé de 12% de 54 minorités ethniques (H’mongs, Thais, Dao, etc.), vivant surtout dans les montagnes et petites plaines intérieures, et qui gardent férocement toutes leurs traditions. On compte également 2% de chinois.

    Beaucoup de religions cohabitent au Vietnam, du bouddhisme au confucianisme et au catholicisme (8% de la population), taoïsme, animisme (chez les tribus montagnardes), et quelques musulmans chez les Chams de la frontière cambodgienne. Religieux ou non, les Vietnamiens pratiquent tous le culte des ancêtres, et voir un crucifix au dessus de l’autel des ancêtres n’est pas une rareté.

    Visa

    Tous les étrangers (sauf les citoyens de quelques pays) ont besoin d’un visa pour entrer au Vietnam. Le visa Touriste normal est de 1 mois, renouvelable sur place. Il peut être obtenu soit dans un consulat, soit à l’arrivée dans un aéroport seulement, avec une lettre d’invitation des services d’immigration. Un visa Touriste de 3 mois peut être obtenu seulement avec une lettre d’invitation. Les visas Affaires sont de 1 à 3 mois et ne peuvent s’obtenir que dans les consulats.

    Santé

    La malaria n’est plus présente que dans les jungles éloignées, et un traitement préventif n’est donc pas indispensable. Il est recommandé de ne consommer que de l’eau en bouteille. Si vous utilisez des médicaments spéciaux, il est préférable de les amener, bien que l’on trouve dans les grandes villes d’excellents hôpitaux et des pharmacies bien achalandées. A l’intérieur, on trouve partout des dispensaires.

    Alexandra de Forcille

  • Humour, blagues et histoires drôles d’Asie

    Humour, blagues et histoires drôles d’Asie

     

     

     Humour, blagues et histoires drôles d’Asie

    Asie humour et humour d’Asie, vivre mieux c’est rire plus souvent

     French touch Sexapeal (histoire vraie)

    Gégé est un garçon très sympathique et avenant. Parti pour faire une tournée de spectacles de rue en Chine, il se trouve confronté à un problème que tous les homme de la planète peuvent lui envier : être la coqueluche de toutes les chinoises. Les plus belles étaient désireuses de lui faire un bisou

    *

     Nuit de Chine, nuit câline

    Un chinois en rentrant chez lui demande à sa femme de se mettre nue face au grand miroir. Cette dernière ravie de cette aubaine s’exécute. Son mari lui demande ensuite de faire le poirier et d’écarter les jambes. Fort intriguée par cette demande saugrenue, mais pressentant sans doute une nouvelle et sensuelle position du Kama soutra, se presse alors de satisfaire à cette demande. Toute émoustillée elle attend, quand son mari soudainement pose sa tête entre les jambes, se regarde dans le miroir et l’air satisfait s’esclaffe : « Mes collègues de bureau ont raison, c’est vrai qu’avec la barbe  je ressemble à Confucius ».

    Vous savez comme moi que les asiatiques n’ont pas un système pileux très important. C’était une façon de gagner du temps!

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     Médecine Chinoise Ordonnance Chinoise : si tu es malade mange du riz et tu seras guéri

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     Amour et samouraï

    Anne- sophie aime les sushis et surtout vient de rencontrer l’homme de sa vie un charmant japonais au charme exotique. Sa bonne copine Charlotte, trés curieuse et aprés des hésitations lui demande si au lit c’est aussi bon que les sushis, et Anne – Sophie de répondre :  » c’est plutôt bien, c’est nippon ni mauvais ».

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    Rire c’est aussi une façon de changer un peu sa vie

  • Poulet au curry (cuisine vietnamienne, recette asiatique)

    Poulet au curry (cuisine vietnamienne, recette asiatique)

    Poulet au curry (cuisine vietnamienne)

    Recette vietnamienne/Cuisine vietnamienne

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    Dans le cadre d’un régime d’amaigrissement, vous voulez manger asiatique, cette rubrique de cuisine asiatique amaigrissante est faite pour vous. Testée par nos amis elle restent des recettes asiatiques succulentes et vraiment diététiques. Cuisine chinoise, vietnamienne, thaïlandaise, indienne… elles vous donneront des idées pour d’autres recettes asiatiques adaptées à vos besoins.

    INGREDIENTS

     4 escalopes de blanc de poulet émincés en fines lanières (750g environ)
    1 petit oignon découpé en tout petit (voir photo)
    4 gousses d’ail coupés grossièrement
    7 cuillères à soupe de sauce de poisson ou nuoc mam (+ ou – selon votre goût)
    1 bonne cuillère à soupe de curry en poudre (+ ou – selon votre goût)
    1 cuillère à soupe d’huile
    Un peu de persil chinois, coriandre, émincé

    PREPARATION

     Faire chauffer l’huile à feu fort, y jeter les oignons
    Quand ceux ci commencent à roussir, mettre le poulet en remuant souvent
    Ajouter la sauce de poissons, nuoc mam + le curry + l’ail, quand le poulet est cuit
    Baisser le feu à doux et laisser mijoter 20mns, couvert.
    Présenter le poulet au curry comme sur la photo

    Conseils d’Henri- Victor:

     ne pas ajouter de sucre comme dans la recette traditionnelle
    mettre un peu d’eau si vous désirez plus de sauce
    Le plat se faisant avec du blanc de poulet, il est souhaitable de préparer ce plat 1 jour avant, afin que la sauce impègne bien cette viande beaucoup plus sèche que les cuisses…

    La cuisine asiatique de Henri-Victor

    Photo à la une de Thierry Beyne

  • Pâtés impériaux, nems, les astuces pour réussir la cuisson

    Pâtés impériaux, nems, les astuces pour réussir la cuisson

    Nems, pâtés impériaux les astuces pour réussir la cuisson (cuisine vietnamienne, recettes vietnamienne)

    cuisine vietnamienne, recettes vietnamienne

    Nems, pâtés impériaux les astuces pour réussir la cuisson

    Parfois la préparation des pâtés impériaux (nems) devient un véritable parcours du combattant :

    – les nems explosent, se déchirent et tombent en miettes

    – les nems se gonflent

    – ils noircissent trop ces sacrés nems

    Des raisons à cet hécatombe des nems c’est la mauvaise préparation des nems.

    – Il faut que les légumes (carottes, oignons etc…) soient laissés une nuit entière à l’air libre afin d’évacuer leur trop plein d’eau

    – La galette de riz ne doit être pas trop humidifiée car elle de l’eau se mélanger à l’huile

    – Enfin pour tremper la première fournée de pâtés impériaux il faut que l’huile ne soit pas chaude et que la température monte petit à petit

    – Il faut en plus avoir 2 poêles car si l’huile est trop chaude dans l’une il vous faudra mettre les nems dans l’autre.

    – Il aussi ne pas oublier de passer l’huile dans un chinois afin d’enlever les impuretés dues à la cuisson succécive des nems

    Alors amusez vous bien car c’est un vrai travail de professionnel qui nécessite un vrai savoir faire et une attention de tous les instants!

    En savoir plus sur le nem: on l’appelle aussi pâtés impériaux mais c’est une erreur car la vraie dénomination est « pâtés impérial » car cela ne s’accorde pas. Les nems sont « impérial » soit à la mode de l’empereur. Bref c’est sans importance ce sont des nems et si c’est bon c’est royal, ces nems. En plus les nems ne sont pas les pâtés impériaux ce sont des petits carrés… On va laisser cette histoire ici car c’est vraiment compliqué et sans grande importance.

    pho et son nuoc mam ou sauce de poissons
    pho et son nuoc mam ou sauce de poissons
  • Histoire vraie d’asie Asie ou le cauchemar de l’estomac !

    Histoire vraie d’asie Asie ou le cauchemar de l’estomac !

    Carnets de voyage en Asie, tribulations pékinoises ou le cauchemar de l’estomac !

    Histoire vraie

     Carnets de voyage en asie

    Tribulations pékinoises ou le cauchemar de l’estomac ! Tribulations pékinoises.

    Histoire vraie (le début)

    Cette histoire est une histoire vraie, vécue comme un supplice chinois. Je vais vous la raconter.

    Banlieue de Pékin, 30° à l’ombre, mon amie la climatisation diffuse ses bienfaits . Il est 22H32 dans ce bel hôtel 4 étoiles où de riches chinois au fort pouvoir d’achat s’ébrouent dans l’immense hall richement décoré. De profonds fauteuils me tiennent tendrement prisonnier, une musique délicate, un rien soporifique, vampirise mon esprit vagabond, je suis tout à mon affaire : je ne fais absolument rien. Soudain j’entends mon nom éclater comme une bombe, traverser mon cerveau alangui et me cisailler les tympans. Je vois brusquement s’éloigner à tire d’ailes les instants de calme et de quiétude : on a besoin de mes services.

    Audi A6 et son chauffeur, l’homme d’affaires chinois , 2 chinoises et la route qui se dessine devant moi dans un cauchemar nocturne, 120kms/h, 140, 160, 180 sur la nationale. Rien ne nous arrête ni les lignes jaunes continues que nous chevauchons sans vergogne, allant même pendant plusieurs minutes rouler à contre courant pour ne nous rabattre qu’au dernier moment sous la mitraille des feux des véhicules venant en sens contraire, ni la circulation grouillante des véhicules bigarrés. Bientôt sur l’autoroute, l’Audi prend de la vitesse, s’envole à plus de 200kms/h avant de se déporter sur la bande d’arrêt d’urgence où elle se faufile entre les voitures sans jamais ralentir… Direction Pékin!

    Dans l’automobile, tout paraît normal, les occupants, indifférents à cette chevauchée fantastique, bavardent tranquillement. Je sue à grosses gouttes, l’estomac et les jambes serrées, les fesses aussi d’ailleurs, l’œil aux aguets et vraiment pas fier.

    Soudain l’auto freine dans un crissement de pneus et s’immobilise. Incroyable juste à l’intersection d’une bretelle de sortie d’autoroute. Les voitures défilent sur notre droite, sur notre gauche telles des balles de « Kalashnikof » nous rasant comme des lames affûtées…Notre dernier jour est venu, je me vois emporté par la cohorte hurlante et vrombissante de la circulation haineuse, adieu vaches, veaux, cochons. Sans un regard, l’une des passagère ouvre la portière, descend du véhicule, nous fait un coucou joyeux et disparaît comme emportées par la nuit ! Après cet arrêt inopiné, la puissante Audi dans un démarrage viril, s’élance de nouveau dans une terrifiante et effrayante course contre la montre.

    Pékin et ses rues grouillantes nous accueillent enfin. La berline se faufile féline au cœur de cette foule indisciplinée. Après des négociations difficiles, nous déposons l’autre personne près de la place « Tien An Men ».

    L’Audi rageuse se jette hors de la ville et file à travers la nuit comme une bête fauve dans la jungle des voitures. De nouveau nous frôlons les glissières de sécurité à plus de 200. Le big boss ne parle ni anglais, ni français et m’adresse des regards courtois auquels je réponds par un sourire crispé et plein de dents. Le chauffeur, un bras à la portière, me jette parfois dans le rétroviseur un regard bovin et méfiant.

    Histoire vraie (la suite)

    Bientôt nous nous arrêtons et le boss me fait signe qu’il désire m’inviter à déguster un repas pour fêter la réussite de la négociation. A ce moment précis, le ciel me tombe sur la tête et le sol se dérobe sous les pieds. Dans l’hôtel je m’étais déjà servi un dîner gargantuesque et celui ci ne laissait à mon estomac pas la moindre place, même pour une cacahuète naine.

    Impossible de refuser au risque de vexer mon hôte. Me voilà plongé dans le pire des cauchemars, celui de l’oie du Périgord que l’on s‘apprête à gaver, pour en extraire le foie. D’habitude, entrer dans un restaurant m’aurait comblé, mais ce soir , j’ai l’étrange l’impression d’entrer dans un abattoir.

    Mon convive affublé de son chauffeur, sbire, homme de main ou serviteur, commande illico presto une multitude de plats aux noms imprononçables. Soudain sur la table se bousculent des côtes de moutons, des soupes, des viandes en sauce, du riz cuisiné…J’ai bien envie de fuir cette bouffe si peu conviviale, à l’odeur cauchemardesque qui colonise mes narines jusqu’au vomissement : je suis pris au piège de la bienséance.Des côtelettes de 30cms à faire semblant de manger avec appétit, des lamelles de soja à grignoter dans un rictus, du bœuf à déguster avec dégoût, une soupe à gerber en souriant, le purgatoire sur terre est chinois. Dès que mon opiniâtreté à manger se met à faiblir, mon hôte me fixe avec un regard rempli de reproches et insuffle, par un grognement significatif à mon esprit vaincu, une nouvelle force pour paraître satisfait et heureux.

    Mon seul désir, fuir loin de cette auberge espagnole, au pardon chinoise, vers un pays où l’on mourrait de faim seul, à l’ombre d’un arbre effeuillé et sans fruits.

    J’utilise alors toutes les ruses pour sourire de contentement, masquer mon dégoût. Je jette dès lors de la viande sous la table, je creuse sournoisement mon bol de riz avec mes doigts, je rogne les côtelettes d’un seul côté feignant ainsi, par la mise en scène, apprécier ce terrible repas. Le chauffeur, les yeux baissés, boulotte des montagnes de nourriture et me sert des rasades de coca non-stop. Entre 2 rots satisfaits, « big boss » fort sympathique de surcroît, engouffre un nombre incalculable de mets exotiques en jetant sur la table tous les os, les peaux, les restes et bientôt celle ci ne ressemble plus guère qu’à un cimetière à ciel ouvert. Pas un seul mot ne sera échangé du fait de la frontière des langues, des bruits de bouche à concurrencer les les décibels des concerts de hard-rock, rien que de la convivialité à l’état pur. Je redoutais particulièrement le dessert asiatique non adapté aux palais des européens. Mon estomac dans un dernier hoquet d’agonie, brandit naturellement le drapeau blanc, incapable de supporter les prochains assauts de la gastronomie chinoise.

    Sauvé, pas de sucreries exotiques, big boss se lève soudain et je le suis hors du restaurant. Une poignée de main franche et amicale et mes 2 amis disparaissent dans la nuit noire comme ils étaient venus.

    Mon estomac, encore tout ébranlé par la peur de la vitesse et un trop plein de nourriture, se met à entonner goûluement un chapelet de rototos libérateurs et joyeux.

    Ceci est une histoire vraie, vécue au détriment de mon estomac!!!

    Photo à la une de Thierry Beyne

     Autre histoire vraie d’Asie

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  • Images d’asie

    Images d’asie

    Carnets de voyage Carnets de voyage en Asie, souvenirs d’Asie

    Carnets de voyage en Asie, souvenirs d’Asie

    Des photos de voyages au cœur de l’Orient, des souvenirs lointains aux couleurs passées, seront distillés avec tendresse pour nous faire vivre ou revivre des émotions extrêmes et aussi de succulentes anecdotes.

    Quelques photos …quelques moments d’évasion…

    Cavaliers (Wu- han/ Chine)

    Ce défilé de chevaux se déroulait durant la parade du festival touristique de Wu han et derrière ces il y avait une escouade de « d’éboueurs » aussi déguisés qui faisaient les « ramasse- crottes » afin de rendre la chaussée propre. C’était très, très étonnant!!!

    Les 2 tours- Kuala lumpur (Malaisie)

    Marché flottant ( Thaïlande)

     

    boat.(Nga-trang/ vietnam)

    Tous ces bateaux se ressemblent tous, à croire qu’ils sont faits à la chaîne!

     

    Entrée du parc ( Yu-Ci/ Chine).

    Ville fortifiée aux épaisses et hautes murailles armées de gros canons. Cette ville est proche de de Ping Yao (Chine)

     

    Delta du mékong ( My tho/ Vietnam)

    C’est ici dans cette ville de My tho que vivait ma maman.

     

    Echope ( Ping Yao/ chine).

    Magnifique petite ville préservée où a été tourné le film « femmes et concubines ».

     

    Aux alentours (Nga tran/ Vietnam).

    Nga tran est une ville aux nombreuses et magnifiques plages. Ici c’est tout le contraire car on y voit une femme à la recherche de quelques objets à récupérer.

     

    Marché aux poissons (Hoï-an/ Vietnam).

    C’est le marché aux poissons du jour. Hoï-an est une charmante bourgade préservée car on peut encore y voir des demeures coloniales

     

    Bâtisse du Parc (Ping-Yao/ Chine).

     

    Sampang sur le Yang Tsé (Chine).

     

    Temple (Bangkok Thaïlande).

    Impressionnant et vénéré Bouddha

     

    Place Tien An men (Pékin/ Chine).

    Près de là on pouvait trouver avant 2008 ( les JO de Pékin) de pittoresques « Hutongs (vieille ville) détruits à l’occasion de cet évènement. Quel dommage!

    La gare ( Kuala lumpur/ Malaisie)

     

    Eléphant de la cité Impériale (Hué/ Vietnam).

    Dans le parc du palais impérial (surtout pour les touristes)

    Pagode (rivière des parfums/ Vietnam).

    Là nous avions acheté des fruits exotiques et nous en avions mangé tellement que… Vous devinez la suite…

  • Astuces de la cuisine asiatique  Nuoc mam, sauce de poisson

    Astuces de la cuisine asiatique Nuoc mam, sauce de poisson

    Astuces de la cuisine asiatique

    Nuoc mam, sauce de poisson ; comment enlever les mauvaises odeurs

    Nuoc mam, sauce de poisson ; comment enlever les mauvaises odeurs

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    Gros problème quand l’on cuisine avec de la sauce de poisson (nuoc mam), d’autant plus que les voisins fort peu habitués à la cuisine asiatique vont passer un trés mauvais moment.

    Effectivement la sauce de poisson cuite dégage une senteur qui pour les non- connaisseurs est voisine de poisson pourri, d’effluve de poubelle ou même de… Bon arrêtons là nos comparaisons douteuses car pour ceux qui apprécient la cuisine vietnamienne cette effluve est annonciatrice de bonne chaire.

    poissons

    Alors comment résoudre cette problématique surtout en ville, pour ne pas transformer notre cuisine en fabrique de nuoc mam.

    C’est pourtant simple car il suffit de au moment de la cuisson de la sauce de poisson ( dans une recette de poulet au curry, de porc au caramel…) de préparer dans une autre casserole, du vinaigre blanc avec un peu d’eau, et de faire chauffer cette mixture en même temps que l’on fait chauuffer la sauce de poisson.

    Le vinaigre blanc et l’eau vont créer en s’évaporant un capteur d’odeur puissant et efficace. Nous avons essayé cette méthode avec de la friture de poisson et après le déjeuner la cuisine ne dégageait aucune odeur comme si nous n’avions rien préparé.

    Extraordinaire n’est ce pas…

  • Pho la vraie soupe tonkinoise de Hanoï (vietnam)

    Pho la vraie soupe tonkinoise de Hanoï (vietnam)

     

    Pho (recette de soupe vietnamienne / soupe tonkinoise )

    Recette de cuisine vietnamienne/ Cuisine vietnamienne

    pho la recette ou soupe tonkinoise (recette traditionnelle)

    .Une recette dérobée sournoisement à ma maman de 86 ans pho la recette ou soupe tonkinoise (recette traditionnelle) . A cette époque les femmes de la bourgeoisie vietnamienne, étaient obligées d’apprendre la cuisine afin de satisfaire aux futurs époux. Cela se passait dans les cuisines des belles demeures et les jeunes filles avaient à leur disposition des cuisinières attachées à la famille. Ces recettes étaient jalousement gardées.

    Ingrédients

    1kg 300 de plat cote pas trop gras
    500 g de viande rouge à steak découpée en fines lamelles

    1 gros os à moëlle
    1 gingembre frais écrasé

    3 ou 4 bouillons de boeuf
    1 c à café rase de cinq parfums
    1 oignon grillé 2 oignons crus coupés en fines lamelles
    persil chinois ou coriandre coupé grossièrement

     3 ou 4 c 0 soupe de sauce de poisson ou nuoc mam
    1/3 c à café rase de sel
    vermicelles de riz vietnamiennes (taille medium) que vous laisserez au préalable trempé dans de l’eau froide

     3 ou 4 anis étoilés


    -

    -

    Préparation

     remplir à demi d’eau une grande casserole de la taille d’une cocotte minute et y ajouter …Os à moelle +plat cote +gingembre écrasé +cinq parfums +l’oignon grillé + sel +l’anis étoilé

    Mettre à feu fort et écumer

    quand il n’y a plus rien à écumer rajouter…le bouillon de boeuf préalablement fondu dans de l’eau chaude +la sauce de poisson et laisser mijoter à feu moyen.


    Goûter le plat cote et dès que vous estimerez qu’il est cuit, cad à votre goût, votre bouillon sera ok.

    1/2 h avant de servir, pour faciliter le service, disposer dans une assiette la viande rouge, l’oignon cru, le persil chinois et le plat cote débité en fines lamelle.

     retirer les vermicelles de riz de l’eau froide, les cuire, les égouter et les mettre dans chaque bol.

    mettre ensuite par dessus le plat cote+ la viande rouge et verser le bouillon par dessus

     rajouter ensuite l’oignon cru +le persil chinois et avant de servir une petite rasade de poivre.



     j’adore préparer le pho, j’aime sentir le pho, je déguste le pho

    Au Vietnam dans la cuisine chauffe en permanence le le bouillon du pho et tout le monde à n’importe quel moment de la journée peut se servir.

  • Anh QUACH et Van Chi WEI ou la peinture à 4 mains

    Anh QUACH et Van Chi WEI ou la peinture à 4 mains

    Anh QUACH et Van Chi WEI ou la peinture à 4 mains

    Anh QUACH et Van Chi WEI ou la peinture à 4 mains

    LES CYCLOOOPIES ET VOUS

    Des beautés toujours plus belles. Les cyclooopies sont sur une mission. Exposer une beauté vive et libre. Du monde entier, les miroirs vont se répondre en échos « Je suis la plus belle… », et les cœurs vont se remplir de satisfaction et de sérénité.

    Les cyclooopies…avec trois « o ». Elles ont un œil bleu qui favorise la Chance et trois seins qui apportent Bonheur, Richesse et Longévité. Et elles sont très très belles, parce qu’elles se sentent belles.

    « D’une beauté vive et libre… » Elles expriment un élan vers une beauté vive et libre selon l’inspiration personnelle de chacun.

    Vous l’avez pressentie, les cyclooopies révèlent votre beauté extrême à vous.

    Anh QUACH et Van Chi WEI

    Qui sommes nous ?

    Nous sommes chinoises mais nées au Vietnam, et naturalisées françaises depuis !

    Nous sommes mère et fille, la création est pour nous une joie familiale ! Maman, dans sa jeunesse, a eu une formation de professorat de haute couture à la Paris, elle est retraitée maintenant. Moi, dans ma jeunesse : )), j’ai fait des études supérieures en mathématiques, et je travailleactuellement dans le management de projets informatiques.

    C’est avec un immense plaisir que nous vous présentons les cyclooopies : Tirosie est joyeuse, Moontaxie rêve, Aïmie est sereine, Dorémie Chante, Pitchoulie est gracieuse et glamour, Paomie s’affaire sans cesse, Toobie et Nottoobie sont comédiennes…

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  • La cuisine asiatique et ses astuces, éplucher l’ail facilement

    La cuisine asiatique et ses astuces, éplucher l’ail facilement

    • Prendre un gros hachoir
    • Ecraser les gousses d’ail avec le « plat » du hachoir
    • Enlever les épluchures d’ail, reste un jeu d’enfants