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  • LE CRAFV organise son Gala annuel, Dimanche 2 Juillet 2017

    LE CRAFV organise son Gala annuel, Dimanche 2 Juillet 2017

    CONCOURS « LA VOIX FRANCO-VIETNAMIENNE » – GALA du CRAFV dimanche 2 juillet 2017

    Communiqué du CRAFV

    Le CRAFV (Conseil Représentatif des Associations franco-vietnamiennes de France) organisera un GALA le Dimanche 2 Juillet 2017 au restaurant CHINE MASSENA  (96, Boulevard Masséna, Porte de Choisy Paris 13è).

    L’objectif du gala est de promouvoir la double culture et l’ouverture d’esprit du CRAFV à toutes les Associations franco-vietnamiennes en prolongement de la fête de la musique.
    Le gala sera organisé autour d’un concours de chant réservé uniquement aux amateurs d’origine vietnamienne et se déroulera comme suit :

    • de 16h à 19h: sélection des 10 finalistes sur les 20 candidats qui auront été préalablement retenus à partir de leur vidéo
    • de 19h à 21h: dîner dansant avec orchestre et la chanteuse Thanh Thanh ;
    • de 21h à 22h30: sélection du gagnant dans chacune des deux catégories (« Chanson vietnamienne » et « Chanson française ») ; les 10 finalistes chanteront une chanson différente de celle de la précédente sélection afin de les départager ;
    • de 22h30- 23h30: Bal avec THANH THANH et annonce des 2 GAGNANTS.

    (PRIX: 1 billet aller/retour Paris-CDG/Vietnam pour chaque gagnant)

    Les candidats doivent envoyer la vidéo ou le lien YouTube de leur chanson choisie par e-mail à hung.dinh@free.fr au plus tard le 31 mai 2017.

    La pré-sélection des 20 candidats (via les vidéos) qui se présenteront en ‘live’ lors du gala, sera assurée par un Jury composé de :

    – M. TRAN DINH Nam Anh: musicien, directeur de la chorale J.VOX

    – M. Jules TAMBICANNOU: musicien

    – Mlle Marie Ann TRAN: Comédienne /Chanteuse

    – Mlle THANH THANH: chanteuse

    – M. DINH Hung: Coordinateur du Comité d’organisation du GALA.

    Chaque membre du Jury notera les participants de 1 à 10 suivant trois critères:

    –        la voix, le rythme et l’interprétation de la chanson.

    Les 20 candidats qui auront obtenu les meilleures notes seront retenus pour la présentation en public le Jour du gala, le dimanche 2 juillet.

    Le 15 juin 2017 au plus tard, les noms des 20 chanteurs amateurs retenus pour le concours final lors du gala seront annoncés sur le site internet du CRAFV www.crafv.org.

    La nomination des 10 finalistes et le choix des gagnants de chaque catégorie (Chanson française ou vietnamienne) sera assurée par un Jury professionnel composé de 6 membres (dont les membres du jury de pré-sélection disponibles le 2 juillet renforcés par d’autres professionnels du monde musical).

    Le CRAFV remercie d’avance toutes les Associations franco-vietnamiennes de communiquer sur le GALA et le CONCOURS DE CHANT et de motiver tous leurs membres à partager cette information sur les réseaux sociaux, les sites internet et par e-mail ou d’autres canaux de communication.

    – Ce communiqué est téléchargeable : COMMUNIQUE CONCOURS LA VOIX FV 2017 version finale

  • MY CANH voyage gastronomique

    MY CANH voyage gastronomique

    MY CANH un voyage gastronomique

    MY CANH

    Un coup en plein coeur, en passant rue Baudricourt (75013 paris). Mon restaurant préféré MY CANH avait les portes fermées.

    C’était pas possible moi qui venais dans ce vénérable restaurant depuis 1981, oui depuis près de 30 ans. Où allais je retrouver cette fabuleuse « côtelette au nuoc mam (sauce de poissons), et ces fameux raviolis vietnamiens à la vapeur (une fabrication « maison »). Depuis plus de 3 décennies, la qualité est restée la même : au top. Ce qui est rare pour un resto c’est de conserver au bout des nombreuses années d’existence et de succés, une qualité stable et si délicieuse.

    Perdu au milieu de ces restauranrs Chinois, Vietnamiens, Thaï du 13 éme je désespérais.

    Un jour sur mon scooter mon oeil sursauta à la vue de d’un miracle, MY CANH avait de nouveau réouvert. Alléluia mes fréres, mon estomac gourmand déjà reconnaissant se réjouissait d’avance. My Canh avait fait une cure de jeunesse aprés un incendie de cuisine. Une salle rénovée, des cuisines rutillantes, un menu toujours aussi alléchant et un accueil des plus agréables.

    François le maître des lieux nous reçoit avec gentillesse. Parfois dans les restaurants asiatiques, l’accueil est froid et impersonnel, mais là c’est plutôt familial, convivial.

    De nombreux habitués se pressent de nouveau, heureux de retrouver enfin ce lieu si agréable où la gourmandise est une qualité et surtout pas un défaut.

    Ici à asitralala.com nous apprécions particulièrement les préparations « maison ». Par exemple la pâte qui entre dans la composition des des « banh cuon » (raviolis vietnamiens à la vapeur) est élaborée ici dans les cuisines.Souvent c’est du réchauffé…achetés ailleurs ces raviolis ne sont pas vraiment frais.

    Ultime test, la venue de Mamie Merluche, la redoutée responsable de la rubrique cuisine d’Open Mag. 85 ans, l’estomac en goguette, le palais intraitable elle est là et va gouter à quelques plats en ce dimanche.

    Alors Mamie Merluche !!!

    Nous attendons tous le souffle court que notre « cuisinière en chef » donne son avis :  » c’est vraiment bon, je reviendrai… » lâche t- elle regardant les assiettes avec un œil gourmand.

    Alors François pour toi quels sont les plats que tu préfères dans ton restaurant ou ceux qui te semblent les plus originaux :

    « Ce qui me paraît original et assez uniqque c’est la soupe de nouilles au Saté, le porc au caramel a du succés ou peut- être le poisson au tamarin ou encore les anguilles sautées au curry… Nous avons des plats chinois, vietnamiens et thaï… ».

    Des convives « bling bling » aux estomacs reconnaissants : Johnny Halliday, bambou, Charlotte et lulu Gainsbourg, Francis Lalanne, JC Darmon et aussi Jacky Chan ,et oui, avec qui j’ai eu l’honneur de dîner… et une personnalité internationale dont je vous parlerai plus tard , ceci sera un secret entre nous, mais chut….

    Les dernières commandes c’est à 1h du matin.

    Au fait My Canh veut dire  » joli paysage », « mon auberge…. », je crois?!!!!

    La cuisine asiatique de Henri- Victor

    01 45 70 87 36

    84 rue Baudricourt 75 013 Paris

    M° Tolbiac ou Porte d’Ivry

  • LE SHANGHAI WOK, volonté de qualité…

    LE SHANGHAI WOK, volonté de qualité…

    *LE SHANGHAI WOK,enfin un restaurant à volonté de qualité…

    RESTAURANT A VOLONTE enfin une bonne surprise LE SHANGHAI WOK

    Nous vous avons l’expérience de ces fameux restaurants où nous pouvons nous servir à volonté. Et à chaque nouvelle expérience il apparaît que ces restaurants restent à la fois des restaurants de bas de gamme, où la nourriture est immangeable faite de brik et de broc… En gros, la qualité est sacrifiée sur l’autel de la quantité. Je me rappelle encore d’un dimanche où le ciel nous tombait sur la tête quand nous sortîmes de l’un de ces lieux qu’on appelle vulgairement un réfectoire. Les lumières étaient glauques, les odeurs de graillon nous s’envahissaient comme des ennemis invisibles. Nous quittâmes ce lieu insupportable l’estomac lourd d’aigreur et de dégoût.

    La première fois que nous entrâmes au Shanghai wok nous fûmes très surpris de l’accueil à la fois efficace et chaleureux du personnel.

    Des suspensions de très bon goût, un décor discret et dépaysant…

    Comme d’habitude nous prîmes une place discrète afin d’observer efficacement les clients, le personnel et aussi ce que nous pouvions mettre par la suite dans nos assiettes. Et là à notre grand étonnement nous nous aperçûmes que la nourriture était de qualité.

    Aujourd’hui c’est la quatrième fois que nous nous nous engageons dans ce restaurant le Shanghai wok. Et là pas de surprise, de mauvaises surprises, la qualité était au rendez-vous comme d’habitude.Le plus difficile dans un restaurant et de préserver le même niveau de qualité surtout quand le succès est au rendez-vous.

    Il est temps de vous parler de ce que nous pouvons nous offrir comme denrée asiatique : rouleaux de printemps frais, pâtés impériaux croquants, sushi au saumon, brochette de crevettes cuites à la demande, les petits légumes sautés dans des wok surchauffés. Un voyage gustatif aux 1000 couleurs de l’Asie et qui nous laisse au fond du palais comme un avant-goût de paradis. En plus le Shanghai wok n’est pas avare des apéritifs, des vins, des sodas, des jus de fruit, d’eau de source, d’eau pétillante, de café car ces derniers sont mis à la disposition de la clientèle en libre distribution c’est-à-dire à volonté.

    Des desserts à profusion nous tendent les bras à nous pauvres pêcheurs attirés par des gourmandises au goût sucré et doucereux.

    Monsieur YANG le patron de ce sympathique restaurant, nous explique qu’être le capitaine de ce grand vaisseau est une chose fort compliquée. Et afin de garder toujours ce niveau de qualité il faut savoir tout faire : cuisiner, servir, balayer en définitive être au four et au moulin : être toujours prêt à remplacer du personnel manquant. Être patron n’est pas chose simple.

    En tous les cas bravo pour ce lieu agréable à nos papilles délicates. Au fait j’avais oublié vous pouvez venir avec vos enfants car il y a un espace de jeux, un menu spécifique pour nos petites têtes blondes et surprise, des bonbons à profusion pour nos petits gourmands. Vous pourrez ainsi déguster tranquillement et en toute quiétude vos petits plats asiatiques préférés. En conclusion nous vous recommandons ce lieu de délices si toutefois vous passiez du côté de Bourges.

    LE SHANGHAI WOK 152 route de la charité 18390 St Germain du Puy

  • Canard laqué Pékinois (de Pékin ou de Beijing)

    Canard laqué Pékinois (de Pékin ou de Beijing)

    Canard laqué Pékinois (de Pékin ou de Beijing).

    Canard laqué Pékinois (aussi appelé canard laqué de Pékin ou de Beijing).

    Vous connaissez tous le fameux canard laqué. Mais pour tous les canards, la survie en Asie relève du défi Olympique ou du cauchemar éveillé. Supposons que le canard soit né sous une bonne étoile qui veille sur lui et le protège, peut-être qu’on pourrait imaginer qu’un humain aurait l’idée saugrenue de l’adopter comme animal de compagnie et de le dorloter tel un chat ou un chien. Il faut savoir quand même qu’en Chine on mange tout ce qui bouge, tout ce qui ne bouge pas et aussi tout ce qui a des pattes sauf les bancs. Cette vision du canard domestique choyé et câliné n’est que fabulation pour notre pauvre volaille dépressive.

    Elle est l’objet de désirs culinaires depuis des centaines d’années et les cuisiniers chinois sont les pires ennemis . Un canard fan de surf m‘a confié qu’il avait rêvé que son principal « sponsor » n’était autre que les peintures Ripolin les spécialistes de la laque.

    Le meilleur restaurant de Pékin possède un immense cadran sur lequel est noté un chiffre astronomique qui augment à chaque instant. C’est simplement le nombre de canards servis depuis plusieurs générations. Dans une immense salle, grande comme un hall de gare, des dizaines de serveurs s’activent autour de tables rondes entourées d’une quinzaine de convives joyeux. Le bruit y est infernal pour des touristes européens habitués à l’ambiance feutrée et sans vie de nos restaurants gastronomique. Si vous occultez tout ce décorum à la Chinoise, vous pourrez alors être les spectateurs privilégiés d’un ballet incessant, d’un va et vient étourdissant dans ce temple dédié au pauvre canard qui n’a jamais demandé d’être la star exclusive.

    Des centaines de canards en habits de fête, c’est à dire laqués, allongés, l’air absent, nous donnent leur dernière représentation, avant d’être ingurgités illico presto dans un autre monde. Des cuisiniers harnachés comme des chirurgiens, un masque sur la bouche, le long couteau à la main, nous interprètent une partition que nos volailles auraient préféré ne jamais entendre. Des gestes d’une précision insoutenable et voilà que la peau de notre volatile se transforme en plat raffiné et délicieusement sucré.

    Chaque convive se saisie de cette peau croustillante, dorée à souhait et la roule dans une mini crêpe de riz, accompagnée de lamelles de ciboule. Avant de déguster notre ami le canard, il va falloir le tremper dans une épaisse sauce de « prune ». Pour les riches chinois de l’époque, manger la viande restait une chose totalement indécente et si vulgaire, car celle ci était réservée exclusivement aux domestiques. Seule la peau tellement croquante, était appréciée par les maîtres et notables de la Chine ancienne.

    Aujourd’hui, les temps ont changé et l’on sert ensuite aux clients la viande, soit avec des nouilles sautées, soit dans une soupe. Chaque canard laqué servi est accompagné d’un certificat avec un numéro que les touristes conservent religieusement dans leur portefeuille.

    Nous conseillons à tous nos amis canards du monde entier d’éviter de faire du tourisme en Chine au risque de perdre des plumes et plus, sûrement. En revanche, nous leur recommandons de faire un crochet du côté du Périgord… non, non, surtout pas un « crochet » du périgord….. désolé, désolé.

    Riton la Banane

    ©Reportages d’asie et asie reportages


    Beijing roast duck

    You know all the famous Beijing roast duck. But for all ducks, survival in Asia concerns the challenge Olympic or of the waked up nightmare. Let us suppose that it duck was born under a good star which takes care on him and protects it, perhaps that one could imagine that one human would have the absurd idea to adopt it like animal of company and the dorloter a such cat or a dog. It should be known nevertheless that in China one eats all it who moves, all that does not move and also all that has legs except the benches. This vision of duck domestic cherished and câliné is only fabulation for our poor depressive poultry.

    It is the object of culinary desires since hundreds of years and the Chinese cooks are them worse enemies. A duck fan of surfing m `entrusted that it had dreamed that its principal “sponsor” was not different that Ripolin paintings specialists in the lacquer.

    The best restoring of Beijing has immense dial on which is noted an astronomical figure which augment at every moment. It is simply the number of ducks been useful since several generations. In one immense room, large like a hall of station, tens waiters are activated around surrounded round tables of about fifteen merry guests. The noise is there infernal for European tourists accustomed to the environment felted and without life of our restaurants gastronomical. If you occult all this decorum with Chinese, you could then be the spectators privileged of a ceaseless ballet, a to and from dazing in this temple dedicated to the poor duck which forever asked to be the star exclusive.

    Hundreds of ducks out of clothes of festival, i.e. enamelled, lengthened, the air absent, give them to us last representation, before being ingurgities illico presto in another world. Harnessed cooks like surgeons, a mask on the mouth, length knife with the hand, interpret us a partition that our poultries would have preferred never not to hear. gestures of an insupportable precision and here is that skin of our bird transforms itself into refined dish and délicieusement sweetened.

    Each seized guest of this crusty skin, gilded with wish and rolls it in minis crepe of rice, accompanied by spring onions. Before tasting our friend the duck, it should be soaked in one thick « plum sauce ». For the Chinese rich person of the time, to eat the meat completely remained a thing indecent and so vulgar, because that Ci was reserved exclusively with the servants. Only skin so much crunching, was appreciated by the Masters and notable of old China.

    Today, times changed and one is useful then to the customers the meat, is with jumped noodles, maybe in a soup. Each Beijing roast duck been useful is accompanied by a certificate with a number that them tourists preserve religieusement in their wallet.

    We advise with all our friends ducks of the whole world to avoid making tourism in China with the risk of to lose feathers and more, surely. On the other hand, us their let us recommend to make a hook on the side of Périgord… not, not, especially not a “hook” of périgord ….. sorry, sorry.

    Riton the Banana

    ©Reportages of Asia and Asia reports