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  • Vietnam, souvenir de notre grand- père

    Vietnam, souvenir de notre grand- père

    Vietnam, souvenir de notre grand- père

    TÉMOIGNAGE

    GRAND- PERE

    En souvenir de mon grand- père et les parents maternels

    Minh Châu

    (Traducteur : Dang Huu Tâm )

    Le père de Hoà était muté à Cân tho depuis presque un an. A Saigon il avait son cabinet privé très bien fréquenté. Mais à l’époque même les bons médecins devaient aussi faire leur service militaire. Comme il avait plus de 45 ans, on ne l’envoyait plus au front mais lui confiait l’Hôpital Paramilitaires de Cân tho.

    Hoà regardait avec passion et émerveillement le coq de combat qu’il venait de ramener hier ; c’est vrai qu’il est beau avec son soyeux plumage noir sur un gabarit ferme et musclé ; les 2 pattes dures comme fer avec des ergots tranchants comme des couteaux.

    Celui-ci est différent des coqs chinois ; une petite tête dont la crête taillée à ras ; des yeux vifs et un cou complètement déplumé laissant apparaître que des nerfs endurcis d’un rouge foncé. Le plumage aussi est allégé pour faciliter les déplacements lors du combat. A chaque fois qu’il bouge on dirait un général avec sa démarche à la patte de canard accompagnée par des larges battements d’ailes.

    Soudain le klaxon d’une voiture lui faisait relever la tête en même temps que ses frères et sœurs jaillirent en criant :
    -  Grand père est arrivé ! Grand père est arrivé ! Voyant arrivé grand père, Hoà se précipita joyeusement pour ouvrir les 2 immenses portes battantes, grand père démarra et rentra la voiture dans la cour. Avant qu’il refermât la porte de la voiture, Hoà lui montra en se félicitant le coq de combat :
    -  Grand père je viens de l’acheter, est ce qu’il est top ?
    -  Oui, vraiment beau, ça doit coûter très cher ? Où tu as pu trouver de l’argent ?
    -  J’ai cassé ma tirelire mais comme ce n’est pas suffisant je dois en plus faire du chantage sur Vy.
    -  Comment tu as fait ?
    -  Comme çà, quand j’ai emmené Vy voir le film dinosaure japonais, il est immense et casse tout avec sa queue, ses 2 pattes sont plus grandes que la maison, écrasant les gens comme des fourmis ; sa gueule plein de crocs pointus et ensanglantés sciant les gens en 2 d’un seul coup ! Quand je veux prendre des sous à Vy, je lui raconte l’histoire

    le soir. Mais qu’il est bizarre ce garçon ! Peureux comme un lapin mais adore l’histoire ; au moment où le monstre arrive à Tokyo, je n’ai qu’à changer en Cân tho, Vy ne voit que dalle et il commence à piquer sa trouille, les yeux en billes grands ouverts.

    Ensuite je continue en racontant que le monstre est entré à Cân tho et entrain de dépasser le pont de Cai khê, je le dis en crachant en hurlant comme le dinosaure. Vy commence à pleurnicher et trembler puisqu’il sait que le pont est à 50m de chez nous. Là j’enfonce le clou en lui disant : « le dinosaure s’approche, comme je suis grand je peux me sauver, mais toi tu ne peux pas lui échapper alors donnes -moi 5 piastres si tu ne veux pas qu’il t’écrase comme une mouche, je vais l’envoyer ailleurs » Sans un ni deux Vy est allé tout de suite chercher sa tirelire et me file de l’argent. J’ai chopé l’argent et sortir devant la cour faisant semblant de pousser quelques cris pour faire fuir le monstre et puis rentrer et l’amadouer en lui faisant croire que le dinosaure est parti. Ainsi rassuré, Vy peut commencer à rire mais avant il avait la bouche tout tordue de peur
    -  Sapristi de Dieu ! tu m’as dépassé !
    -  Tu sais grand père, Vy sait bien garder l’argent même s’il n’a que 5 ans. Il tombe souvent malade et père doit lui faire des piqûres ; comme il pleure longtemps et si fort à chaque fois qu’il est piqué, père lui donne 1 piastre pour le calmer. Sa tirelire est pleine de sous mais il n’y touche jamais.
    -  Bon, laisses moi dire bonjour à tes parents et ton arrière grand-mère, je ne vais pas me planter ici tout le temps avec toi comme çà. Il caressait les cheveux de Hoà et rentrait dans la maison.

    A chaque fois qu’il descend à Saigon, Hoà est enthousiasmé ; Grand père va l’emmener à la pêche. Pêcher c’est son dada ! Il avait une traction noire dont on peut trouver à l’intérieur plein de récipients avec des appâts, des vers longs, dodus qui s’enroulent en un tas, des espèces semblables à des milles pattes s’entortillent sur leurs pattes. Parfois c’est une grosse boîte pleine d’abats de poulet pourris et puante !

    Il emmenait Hoà à la pêche souvent l’après midi parce que Hoà avait cours le matin. Parfois ils partaient très loin, la voiture longeait les bords du grand fleuve, il choisit un coin bien tranquille et se garait. Il emmenait Hoà à la berge, chacun une cane à pêche et le nécessaire dans la main passant par le sentier embroussaillé jusqu’au vieux ponton. Il déplia les 2 petits tabourets, chacun s’installa dessus et commença à lancer l’appât et attendre.

    Avant qu’il soit descendu à Cân tho, Hoà et ses frères et sœurs n’avaient que des simples cannes à pêche en bambou avec un fil attaché au bout, de l’autre bout un petit hameçon plombé pour servir de lest pour l’appât, un liège flottant à peine plus grand qu’un bout de doigt.Tout ce qu’ils pouvaient attraper c’étaient des menus fretins, lesquels leur échappaient en un seul coup de tortillement à peine sortir de l’eau.

    Avant grand père, Hoà s’ennuyait tout seul à la pêche ,du coup il invita donc ses frère et sœur mais il s’énerva trop contre eux ! La téméraire Châu est très turbulente , elle grimpa partout même les manguiers hauts comme une maison ! A califourchon sur l’arbre elle cueillit des fruits mûres et les balança par terre pour Thông qui attendait avec un panier à la main ; mais à chaque fois qu’elle voyait la boîte d’appâts, Châu devint toute pâle ; poussa des cris ardents et refusa de toucher aux appâts.Hoà devait prendre un ver, accrocha à l’hameçon pour elle. Thông , son frère, est plus brave, il osa attraper le ver mais avait du mal à l’accrocher à l’hameçon. En trois mouvements, le ver est retombé par terre. Pour pêcher, il faut rester calme et tranquille mais la turbulente Châu ne peut pas se taire plus de 2 minutes sans recommencer à babiller ! Et ils s’en fichaient même les poissons mordus, laissant souvent filer les appâts. Quand les poissons se faire attendre un peu longtemps, ils perdaient patience, l’un qui réclamait à manger et l’autre qui a sommeil et veut rentrer

    Quand Grand père est venu, Hoà l’accompagnait à la pêche. Grand père l’aimait beaucoup, peut être parce qu’ils aimaient bien tous les deux la pêche. En plus Hoà avait 14 ans, capable de pêcher des gros poissons. Grand père aimait pêcher les gros en utilisant la canne à pêche électrique avec une longue tige et une bobine pour rembobiner. Quand il lance la canne à pêche, la main lâche la bobine ; le fil alourdi par le plomb ; partant comme une flèche et retomba au milieu de la rivière.

    Hoà pêchait en le contemplant. C’est un grand gaillard de plus de 60 ans, la barbe et les cheveux d’un noir brillant avec des lunettes perchés sur son nez. Le visage carré, un nez droit comme celui des européens. Il devait être très beau dans sa jeunesse. Il portait une sorte de large bermuda en kaki avec une ample chemise et chaussait des tongs en cuir. Il adorait fumer la pipe, il gardait toujours dans la bouche, mâchait et aspirait de temps à autre en laissant s’échapper plein de fumée.

    Quand ils arrivèrent à l’endroit choisi par Grand père pour pêcher, il faisait très, très chaud ! De temps à autre, il faut essuyer le visage et se déshydrater. Mais ensuite, le soleil, comme un disque rouge, se couchait lentement de l’autre côté du fleuve. Une fraîche brise s’éleva.

    Ils se parlaient en douceur en pêchant. Grand père expliquait à Hoà sur tout et de tout. Hoà l’appréciait comme un Dieu. Il semblait tout connaître ! De l’histoire des crickets : comment choisir, élever les crickets noirs, rouges, à la « noix de mangue », en boîte d’allumettes ; comment en choisir des bons par leur cri, comment les préparer avant les tournois. Quant aux coqs de combat, comment aiguiser leurs ergots, mettre du safran et masser leurs nerfs pour les endurcir etc…, .Sans oublier les histoires de chasse, des volatiles aux tigres, biches, cerfs : quand utiliser quel fusil et quelles balles ; quel saison doit choisir pour chasser le cerf et dans quel bois. Chasser la nuit est particulièrement difficile, il faut savoir différencier les yeux d’un gibier pour ne pas abattre par erreur les animaux en élevage.

    Et aussi des voitures de courses, les meilleurs, les plus beaux ainsi que ceux qu’il avait conduit dans sa jeunesse.

    Mais il semblait aimer particulièrement les poissons et la pêche, de l’élevage en aquarium, au combat de poissons jusqu’aux expériences de la pêche Hoà apprenait beaucoup de grand père en le suivant à la pêche. Ce n’était pas si simple comme il avait cru. Dans les rizières il faut traîner l’appât à raz de la surface, comme font les libellules, leurrant ainsi les poissons. Pour les crevettes, il faut y aller la nuit, à l’heure de leurs sorties ; il suffit donc de laisser la canne à pêche toute la nuit pour y revenir chercher le matin.

    Pour les pangasses au milieu des fleuves il faut des intestins de poules pourris après de longues journées ; c’est pour çà que chaque fois que la maman de Hoà lui servait du poulet émincé, il demanda à la cuisinière de lui garder les intestins qu’il garda tout le temps dans sa vieille bagnole pleine d’odeur désagréable ! C’est normal que grand père adorait pêcher les pangasses, leur chair est très bonne !

    Ils sont assez grands très robustes et pèsent dans les 4,5 kg ; à chaque fois qu’ils mordent l’appât, ils entraînent le flottant très loin en le noyant ! Grand père se relevait vivement, tenait droit comme un I, la main droite tiraillait sur la canne, la gauche tournait allègrement la bobine pour rembobiner le fil ; le poisson blessé par l’hameçon se débattait vigoureusement faisait ainsi « arquer » la canne et risquait de la casser si on ne donnait pas du jeu. Ainsi grand père tirait et lâchait au fur et à mesure jusqu’à ce que le poisson soit épuisé. Ensuite il le ramenait doucement vers lui et disait à Hoà de le prendre avec l’épuisette. Le poisson était très grand avec un ventre tout blanc, un dos gris et noir avec des écailles pointues. Il se débattait dans l’épuisette faisant éclabousser de l’eau partout.

    Quelquefois au milieu de la pêche, il montrait du doigt un vague terrain de l’autre côté du fleuve et disait tristement :
    -  Tu sais là bas c’est Cai Cui, la terre natale de ta maman et moi, ma famille avait été grand propriétaire dans l’agriculture, on avait eu d’immenses champs à perte de vue mais en 1945, le Viet minh s’est soulevé et nous a confisqué toutes nos terres, accusait les propriétaires, emprisonnait et assassinait beaucoup de gens. Heureusement j’étais muté avec ma famille à Hà nôi pour mon travail et ta maman avait suivi ton papa dans le centre. Quant aux autres, ils devaient tous quitter Cai Cui pour aller à Cân tho ou Saigon.

    Ba Cô qui habite en ce moment chez toi c’est ma mère. Elle aussi était emprisonnée par les Viet côngs. Une nuit elle s’est échappée en se jetant dans la rivière. Elle a nagé toute la nuit pour leur échapper. Comme elle sait très bien nager, elle a pu survécu. Quel malheur qu’elle soit aveugle trop tôt à cause d’une maladie des yeux ! Comme ton père est médecin, je suis rassuré de laisser Ba Cô chez vous maintenant. Depuis je ne suis jamais rentré au village ! Qu’est-elle devenue ? la belle grande maison de nos ancêtres ! ? – Elle devait être très jolie, n’est ce pas Grand père ? – En effet, il y avait si longtemps Cai Cui n’était qu’une région sauvage et inhabitée…Les Empereurs Nguyen ; dans le but d’agrandir le territoire ; donnaient à tous ceux qui souhaitaient s’émigrer ou s’aventurer vers le Sud du pays. Nos ancêtres étaient des pionniers comme les cow-boys américains à l’époque du Far West. Hommes et femmes, ils maîtrisaient tous l’art du Kong Fu. Ils peuvent même sauter sur les toits, se battre avec les tigres et même les bandits !

    Ils se sont donné beaucoup de peines, et de même leur vie pour exploiter et transformer les garrigues en champs de riz riches et abondants. Ainsi, au fil du temps, nos familles sont devenues de riches et grands propriétaires. A chaque récolte, le riz s’amoncelait à plein des greniers ! L’argent coule comme de l’eau ! A l’occasion des Têts, on achetait des centaines de rouleaux de tissus pour s’habiller les agriculteurs et leur famille. Et mon arrière grand-mère n’oubliait jamais de donner du ‘li xi’’ à chacun. Mais quand arrivèrent les ‘Viet-Minh’, tout était perdu ! On n’était pas des méchants comme ils voulaient faire croire au petit peuple

     !

    - Connaît-il Cai Cui, mon papa ?
    - Bien sûr, quand il est venu demander la main de ta maman, quand le sampan s’arrêta devant notre colossale maison, ton papa n’osa pas rentrer ; croyant être trompé de porte ! Il ne pensait pas qu’on était si riche ! Entre nous, ton père c’est un vrai bon gendre, je ne me suis pas trompé en lui donnant la main de ta maman. Ton père habitait dans un coin perdu dans le centre , du coup ta grand-mère ne voulait pas que ta maman le suivait, elle avait beaucoup pleuré !

    Le soir, le grand père et le petit fils rentraient pour dîner avec papa, maman et les frères et sœurs. Maman voulait qu’il vienne manger tous les jours parce qu’elle est un vrai cordon bleu. Mais parfois grand père emmenait Hoà au marché de Cân tho. Le soir les boutiques étaient tous fermées mais beaucoup de petits restos étaient encore ouverts, la plupart appartenaient aux chinois. Grand père était fou des mamelles de porc marinées aux 5 épices avec le potage de riz, il en faisait souvent de la pub :
    -  Mamelles de porc avec du potage de riz c’est succulent ! Si croquant quand on en met un dans la bouche ! Hoà essayait de manger pour lui faire plaisir mais il était un peu dégoûté en pensant à des cochonnes avec des grosses et balançant mamelles vautrées dans des cageots plein de boue crasseuse.

    Quand Hoà était triste, grondé par les parents, (c’est monnaie courante) puisqu’il était très turbulent et taquinait souvent ses frères et sœurs, grand père lui racontait des histoires :
    -  Tu sais quand j’étais jeune, j’aimais me mettre sur la berge pour pêcher parce que qu’on ne pouvait pas attraper les poissons à cause du va et vient des barques, j’ai donc emmené ma barque au milieu du fleuve Bassac pour pêcher. Une fois j’attendais du matin jusqu ‘au soir sans qu’un poisson ne morde à l’hameçon ; trop fatigué et mort de sommeil j’ai dû fixer ma canne à l’avant de la barque et partir pour un bon sommeil. Tout d’un coup j’étais réveillé par des mouvements brusques de la barque, ballotante et éclaboussante de l’eau jusqu’à mon visage.

    Hoà était attiré par l’histoire, oubliait son chagrin et sautait sur ses paroles :
    -  Alors grand père, qu’est ce qui se passe ?
    -  Doucement, j’y viens, répondit Grand Père. ‘Je me levai donc pour stabiliser la barque et voyant que la canne était presque tombée dans la fleuve, je me lançai pour l’attraper sans trop savoir qu’elle était accrochée à des lenticules flottantes ou mordu par un poisson. J’ai essayé de rembobiner le fil mais en vain ; à chaque tentation il y avait une forte résistance de l’autre côté, je savais donc qu’il y avait un gros poisson qui chercher à s’échapper. J’ai donc lâché à fond le fil pour amortir la pression, je me suis agenouillé sur la barque pour ne pas tomber, l’autre main j’ai tenu fermement la canne à pêche. Oh petit ! Qu’il est costaud le poisson ! Il nous a tiré comme du vent à ras de l’eau.

    – Vois-tu sa taille ? – Il faisait nuit mais avec la lune, quand il remontait à la surface je ne pouvais pas reconnaître quel race de poisson mais je voyais qu’il mesurait plus de 3 mètres, les ailerons noirs et luisants au clair de lune avec un corps tout blanc ! Il plongeait et replongeait en traînant la barque. Et moi j’ai décidé de ne pas lâcher, je voulais coûte que coûte le ramener vivant pour fanfaronner avec les gens du village. Plus il tirait plus je résistais ainsi jusqu’à l’aube. A ce moment là le poisson semblait fatigué puisque je sentais la barque se ralentissait, j’ai réalisé que je ne suis plus sur la fleuve Bassac mais au large de la mer, entouré par des grandes vagues et de l’eau bleue jusqu’à l’horizon ! Grand père s’arrêtait et lorgnait discrètement son petit fils qui semblait oublier complètement son chagrin ; déployant toutes ses 2 oreilles et sa grande bouche pour l’écouter.

    -  Je savais que le poisson est fatigué, j’ai donc commencé à rembobiner pour le ramener, tout va bien jusqu’à qu’il soit 2m de la barque. Vivement j’ai pris le crochet pour le ramener à bord, et là, il se retourna et d’un coup de queue il battait un coup fort sur l’eau faisant éclabousser de l’eau partout et d’un seul coup il tira et cassa sec le fil me faisant perdre l’équilibre et retomber en arrière sur la barque. Et il disparut.
    -  Oh grand père ! Dommage ! Dommage !
    -  Eh oui, petit, seulement à ce moment là que je voyais que la barque s’est trouvée pas loin des Philippines !

    Comme Cân tho est la terre natale de maman, pour ça on a pleins de parents. Grand père conduisait Hoà et ses frères et sœurs visiter d’un parent à l’autre mais quand Hoà doit saluer quelqu’un, il ne le connaît que par ordre numérique : Monsieur Six, Madame Trois, Monsieur Neuf, oncle Quatre, tata Cinq, Madame Dix…et le plus grand c’est Deux, le plus petit c’est Benjamin. C’est comme çà qu’on se confond tout le temps les uns des autres dans les familles ; quand il y avait trop de grands tontons Sept ou de grandes tatas Cinq, Hoà demanda à Grand père pour qu’il l’aidait à les distinguer ; il faut donc commencer par l’endroit où la personne habite : exemple : Grand tonton Sept de Vinh Long, Grande Tata Trois de Cai Von, grande tata Deux de Trà Mon…

    Et seulement si tous les deux habitaient dans le même endroit, il faut préciser son vrai prénom de naissance.
    -  Mon petit, là c’est Grand tonton Sept L. !
    -  Ah, je sais, c’est Grand tonton Sept L. chez qui il y a un grand jardin, avec pleins de prunes, de mangues et du durian.
    -  Il ne faut pas dire Sept L., c’est mal poli !

    Allant chez les parents de grand père, la bande de Hoà était très contente. Vy pouvait y aller aussi, comme il était trop jeune, on ne l’emmenait jamais à la pêche de peur qu’il tombait dans l’eau.

    Comme Hoà n’aimait pas rester tranquille sur place, il était très heureux de pouvoir grimper librement sur les arbres dans des grands jardins. Certaines sont des maisons construites sur pilotis où il faut traverser des planches en bois branlant et couinant, de la maison on pouvait voir nager et passer les poissons ainsi que les lenticules d’eau, on pouvait même uriner directement dans l’eau sans passer par les toilettes. A la marée haute, l’eau montait très haut, on pouvait même le toucher de la main, c’est si rafraîchissant ! D’autres maisons se trouvaient dans des petites communes, où on y accédait que par des sentiers sinueux en terre rouge, quelques chaumières aussi près des mares aux eaux sales et troubles. Le long des ruisseaux poussés des cocotiers d’eau d’où l’on pouvait voir des escargots agglutinés dessus, Hoà balançait les pierres, les faisait tomber dans l’eau un par un. Les likimas poussaient presque dans toutes ces maisons, des gros fruits d’une couleur jaune foncé semblable à des œufs que Vy appréciait beaucoup et qu’il n’arrêtait pas de disputer avec Châu et Thông mais un jour il mordait un si grand morceau dont la chair farineuse était si molle qu’il n’arriva pas à avaler ! Il faillit s’étrangler, les yeux tout blancs de peur et de douleur. Depuis il n’osait plus toucher à ces fruits même quand on lui donnait.

    La famille du côté de maman était très cool, Hoà était très turbulent, avec son lance pierre il tirait sur des oiseaux, même sur des prunes de cithères, des goyaves et personne ne lui disait rien. Quand ils venaient rendre visite à mes parents, ils nous offraient des cageots de fruits, des mangues sucrées, des mangues vertes ainsi que des prunes, des mangoustans, des durians. Parfois une casserole de poissons au caramel ou poisson à la vapeur succulent ! Ou encore des bonbons à la noix de coco, des bonbons au durian, des banh u,banh su sê, des galettes aux grains de sésame toutes croquantes.

    Après 3 ans à Cân tho, papa retournait à Saigon pour reouvrir son cabinet. Grand père habitait à Cholon mais venait tous les dimanches pour jouer au mah-jong chez nous. A part ses histoires de pêche et de chasse il était aussi très fort à ce jeu ; battant souvent papa et maman. Avant les parents de Hoà ne connaissaient pas ce jeu, grand père leur avait montré pour avoir des partenaires, depuis au lieu d’aller au cinéma les dimanches, les parents jouaient au mah-jong. Grand père a offert à maman un très beau jeu de mah-jong en ivoire, d’une couleur blanche crème, sculptée d’idéogrammes chinois bleus et rouges. A force d’être manipulés et frottés sur le tapis de jeu, les cartes sont devenues brillantes et luisantes.

    Le temps passait vite, Hoà grandissait en même temps que l’escalade de la guerre, son frère aîné était soldat depuis longtemps, il était souvent en mission et rentrait rarement à la maison. A son tour Hoa est mobilisé, mais en simple soldat 2è classe ; pas officier comme son père et son frère. Comme il jouait au saxophone il était exempt d’aller au front comme certain de ses copains. Il était soldat musicien et passait sa journée à gonfler les joues pour pratiquer le saxophone.

    Grand père roulait toujours sur sa vieille traction de plus en plus usée, elle avait même un trou sur le plancher mais marchait encore très bien. Il invitait toujours Hoà à la pêche ; le grand père et le petit fils allaient à Khanh Hôi, Thu Thiêm ou Saigon. Hoà est devenu aussi habile que Grand père, il connaîssait par cœur les endroits pleins de poissons et ramenait des paniers remplis.

    On dirait qu’ils sont copains et non pas grand père et petit fils. Quand Hoà le taquinait, il répliquait tout simplement sans jamais s’énervait. Hoà racontait tout à grand père sur sa vie dans l’armée et grand père ne manquait pas d’encourager Hoà à chaque fois qu’il était maltraité par ses supérieurs. Même quand il faisait la cour à une fille, il disait aussi à grand père, mais aucune d’elle ne consentait à devenir sa femme, peut être parce qu’il était simple soldat sans avenir. Grand père lui disait que tout simplement qu’il n’était pas encore tombé sur la bonne qui l’aimait sincèrement et il montrait à Hoà comment s’y prendre pour draguer les filles.

    En 1967 la situation du sud du Vietnam se dégradait, les Viet cong approchaient de plus en plus de la capitale, ils lançaient des B40 au hasard dans la population créant de lourds dégâts. Resté à Saigon devenait trop risqué et en plus il avait déjà plus de 70 ans, incapable de subvenir aux besoins de sa 2è femme et ses descendants, grand père voulait donc quitter le Vietnam. Un jour il est venu faire ses adieux à papa et maman pour partir en France avec sa famille. Il avait la nationalité française. Au temps de la colonisation française il brillait par ses études et était haut fonctionnaire dans le gouvernement indochinois. Rapatrié en France il aurait des pensions ; et en plus ; beaucoup d’avantages sociaux.

    Avant de partir, voyant maman triste et toujours inquiétée pour la vie de ses enfants qui étaient dans l’armée, il disait à maman :
    -  Je me fais beaucoup de soucis pour la situation du Vietnam, la guerre allait s’intensifier de jour en jour et le sud risquerait de tomber sous le joug communiste. Dès que j’arriverais en France, je m’occuperais de la réintégration. Au pire tu pourras faire partir les enfants.

    Hoà détestait la guerre, elle est cruelle et inhumain, ses copains tomba l’un et l’autre sur le front ! Il espérait la fin de la guerre, quittait l’armée et rentrait à Cân tho chercher un lopin de terre pour couler la vie douce et aller à la pêche tous les jours.

    Sans grand père Hoà continuait à pêcher, parfois avec des copains, parfois sans. Assis sur la berge où soufflait une douce et fraîche brise, guettant le moindre mouvement de l’amorce, Hoà pensait à grand père, se demandait si en France grand père allait encore à la pêche. Et quel fleuve ? Est-ce la Seine ?

    Hoà n’avait aucune idée et notion sur ce pays si lointain !

    De temps à autre maman recevait une lettre de grand père comme celle-ci : « En France il n’y a pas la guerre, les gens vivent bien et heureux. Depuis son arrivée il n’a plus de soucis, les pensions tombent tous les mois, les enfants sont pris en charge par l’état français et aller dans des bonnes écoles. La France est très belle, il y a 4 saisons : les fleurs fleurissent partout au printemps, il y a plein de fruits en été, l’automne arrive avec ses feuilles jaunes et dorées mais l’hiver est triste avec son vent glacial et sa robe de neige blanche ! Tout le monde est parti à l’école ou au travail, seul dans la maison à regarder la cour avec les arbres dépouillés de feuilles, grand père pensait au Vietnam ! Son pays lui manquait énormément : Cân tho, le fleuve Bassac, maman, Hoà son petit fils favori »

    L’hiver en France est si froid, peut être Grand père ne pouvait plus porter son short en kaki et devait mettre des chaussures avec des chaussettes à la place des tongs.

    Quelques années après, un jour maman apprit par courrier le décès de grand père. Elle pleurait, les yeux tout rouges !

    Hoà ne pleurait pas mais un jour sous l’ombre d’un cocotier au bord d’un fleuve, en attendant les poissons, Hoà regardait le grand fleuve, l’eau coulait, coulait, suivait son cours, soudain c’était comme s’il revoyait grand père sur une petite barque au milieu du fleuve, la main tenait fort la canne à pêche, des bouffées de fumée s’échappant de sa pipe, il riait et le regardait en disant

    Il est temps que tu penses à chercher une femme, mon petit !quelle femme veut se marier avec un gars qui passe son temps à pêcher ? Tout d’un coup les larmes coulèrent des yeux de Hoà !

    Minh Châu Huu Tâm Novembre 2008 ( traducteur )Avril 2009

  • Reflexologie plantaire

    Reflexologie plantaire

    La réflexologie plantaire

    Origines de la réflexologie plantaire

    La réflexologie plantaire revendique 5000 ans d’existence et trouve ses racines au cœur des anciennes civilisations d’Inde, de Chine et d’Egypte. On pense que les premiers Amérindiens utilisaient aussi des techniques similaires.
La première référence précise de cette médecine naturelle date environ de l’an 2500 av. JC, à l’intérieur de la tombe d’Ankhahor, médecin égyptien.
La médecine traditionnelle chinoise a toujours considéré le pied comme la partie du corps aux avant-gardes de la santé.

    Comment fonctionne la réflexologie plantaire ?

    Le pied est un livre ouvert sur le corps, son miroir. Il est une représentation miniature de tout le corps humain. Chaque organe ou système physiologique (système digestif, circulatoire, lymphatique, hormonal, urinaire, respiratoire, articulaire, nerveux, auditif etc…) a sa projection sur les pieds, appelée « zone réflexe ». On a identifié sur les pieds pas moins de 7200 terminaisons nerveuses et plus de 90 zones réflexes.
Sur le pied droit, on retrouvera toutes les zones réflexes correspondant au côté droit du corps et sur le pied gauche, celles du côté gauche.

    - On peut donc distinguer sur les pieds les principales zones suivantes :
    - Le crâne, le système nerveux et sensoriel se localisent dans les orteils.
    - La cage thoracique, les poumons et le cœur se situent au niveau des métatarses.
    - L’abdomen, estomac, foie, rate, pancréas, les intestins et les reins au niveau du tarse antérieur (partie centrale du pied).
    - Le bassin et les organes génitaux au niveau des chevilles.
    - La colonne vertébrale s’appuie sur le bord médial des pieds (côté gros orteil).

    Lors du protocole de réflexologie plantaire, je travaille sur chacune de ces zones réflexes.
L’observation et surtout la manipulation de ces zones réflexes me donneront des informations sur l’état énergétique, physiologique ou pathologique de chaque organe. Souvent, une zone réflexe sensible à la pression indiquera un dysfonctionnement ou déséquilibre de l’organe correspondant. 
Des pressions spécifiques du pouce sur cette zone réflexe, permettent d’agir à distance sur l’organe, via le cerveau qui recevra des informations par influx nerveux, et mettra en œuvre tous les moyens dont il dispose pour rétablir au mieux le déséquilibre de l’organe et ses conséquences sur le corps (c’est l’un des principes de fonctionnement de la réflexologie plantaire).

    Pourquoi la réflexologie plantaire ?

    Parce que la réflexologie plantaire est un moyen naturel et des plus efficaces pour apaiser les tensions du corps, pour répondre aux déséquilibres physiques et émotionnels engendrés par le quotidien de la vie moderne et qu’elle ne traite pas juste les symptômes, mais l’être humain dans sa globalité. En médecine traditionnelle chinoise, on considère que le corps et l’esprit (l’émotionnel) sont interdépendants et en interaction constante. Dès qu’un évènement, physique ou émotionnel nous affecte, il aura une répercussion sur notre santé et notre équilibre énergétique.
Le stress, la malnutrition, les excès en tout genre, la pollution, les conflits familiaux ou professionnels, le mal de vivre etc. mettent à rude épreuve notre santé. N’oublions pas que 70 % des maladies sont d’origine psychosomatique. Elles sont l’expression de notre corps qui envoie ses signaux d’alarme et indique que quelque chose, physique ou émotionnel, a affecté son équilibre. 
Pour guérir un symptôme, le réflexologue traite les organes et systèmes physiologiques concernés, et surtout, par le dialogue, il cherchera à connaître la source du déséquilibre, la cause profonde et ainsi, il aidera le patient à comprendre le language de son corps pour qu’il devienne acteur de son mieux-être et de sa santé. La réflexologie plantaire agit sur Les troubles digestifs

    - Les troubles circulatoires
    - Les troubles lymphatiques
    - Les troubles du système génito-urinaire
    - Les troubles respiratoires et cutanés
    - Les troubles du système nerveux
    - Les douleurs musculaires, osseuses et articulaires
    - Les troubles du système sensoriel

    
La réflexologie plantaire, certes, ne vous guérira pas d’une affection virale ou d’un cancer, mais elle restera très efficace dans l’élimination des toxines et effets secondaires engendrés par leurs traitements médicamenteux et évidemment sur le stress qu’engendre toute maladie.

    
Soulignons qu’en aucun cas, la réflexologie plantaire ne devra se substituer à un traitement médical, sans avis du médecin traitant ou autre autorité médicale.

    La réflexologie plantaire contre la douleur

    Dans la lutte contre la douleur, les endorphines, hormones naturelles produites par le cerveau (deux cents fois plus puissantes que la morphine) semblent représenter l’arme la plus efficace pour répondre à la douleur.
En réflexologie plantaire, il suffit de masser les zones réflexes concernées, pour que le cerveau libère des endorphines, qui agiront sur la douleur. La réflexologie plantaire comme soin palliatif

    Depuis quelques années, la médecine se concentre sur la prise en charge des patients en phase terminale. Lorsque le corps médical ne peut plus administrer de soins curatifs, survient le rôle prit par les soins palliatifs qui visent à améliorer la qualité de la fin de vie, malgré l’espoir perdu de guérison. Là encore, la réflexologie plantaire s’avère très efficace. La profonde relaxation qu’elle procure apaise les tensions physiques et psychologiques du patient.
Elle permet d’apporter la douceur qui convient au processus ultime de la vie…

    La réflexologie et le sport

    L’aspect réparateur et préventif de la réflexologie plantaire prend aussi tout son sens dans les activités sportives, surtout celles qui sollicitent les membres inférieurs. La réflexologie va préparer le sportif à l’effort, agir sur la circulation veineuse et lymphatique, l’équilibre acido-basique du corps, stimuler les surrénales etc… pour une meilleure endurance et de meilleures performances. 
Après l’effort, elle facilite la récupération et stimulera l’élimination des toxines engendrées par le travail musculaire. Elle apportera une sensation de légèreté dans les jambes et les pieds. Pour les sportifs de haut niveau, la réflexologie plantaire permet de diminuer considérablement les crampes, les courbatures, les sensations de brûlures dans les membres et en période de compétition, elle permettra au sportif de gérer au mieux son stress.

    La réflexologie pour arrêter de fumer ou pour maigrir

    La réflexologie aidera le fumeur dans sa démarche de sevrage. Elle permet d’atténuer considérablement les désagréments du sevrage. Elle va aider le corps à se détoxiner et libérer plus vite le fumeur de sa dépendance. Pour ceux qui font des régimes ou qui équilibre leur alimentation en vue de maigrir, le protocole anti-poids sera d’une aide considérable. Il stimule le système digestif, les émonctoires (organes d’élimination), le système lymphatique et circulatoire (pour agir sur la rétention d’eau) etc… Quelques points de digitopuncture pour atténuer la sensation de faim, les envies de grignotage et voilà un bon cocktail pour vous aider à perdre du poids.

    En conclusion…

    Aujourd’hui, mondialement reconnue et expérimentée, la réflexologie plantaire est plus que jamais adaptée au cas de chacun. 
Permettant de soigner, d’équilibrer, de soulager, de relaxer, la réflexologie plantaire est préventive et curative. 
Elle est complémentaire de la médecine classique et permet de limiter l’utilisation des médicaments. La réflexologie plantaire invite également au développement personnel.

    la réflexologie plantaire et le massage énergétique chinois

    C’est un art thérapeutique ancien, basé sur des massages en profondeur le long des méridiens (circuits énergétiques qui parcourent le corps des pieds à la tête) et de la digitopuncture (pression avec le pouce sur des points spécifiques des méridiens comme ceux utilisés en acupuncture dont elle est l’alternative). Il relance la circulation énergétique du corps

    Comme la réflexologie plantaire, il procure une extrême détente. C’est un massage régénérant, revigorant et dynamisant qui stimule la circulation sanguine et lymphatique. Il a une action très efficace sur les douleurs chroniques, les tensions musculaires, le stress et ses maux. Réalisé régulièrement, la réflexologie plantaire et le massage énergétique chinois, forts de leur complémentarité, vous aideront à surmonter plus facilement les agressions de la vie courante et à vous maintenir en bonne santé.

    Le bien-être passe par l’écoute de votre corps et de ses besoins.

  • Réflexologie plantaire

    Réflexologie plantaire

    La réflexologie plantaire

    Origines de la réflexologie plantaire

    La réflexologie plantaire revendique 5000 ans d’existence et trouve ses racines au cœur des anciennes civilisations d’Inde, de Chine et d’Egypte. On pense que les premiers Amérindiens utilisaient aussi des techniques similaires.
La première référence précise de cette médecine naturelle date environ de l’an 2500 av. JC, à l’intérieur de la tombe d’Ankhahor, médecin égyptien.
La médecine traditionnelle chinoise a toujours considéré le pied comme la partie du corps aux avant-gardes de la santé.

    Comment fonctionne la réflexologie plantaire ?

    Le pied est un livre ouvert sur le corps, son miroir. Il est une représentation miniature de tout le corps humain. Chaque organe ou système physiologique (système digestif, circulatoire, lymphatique, hormonal, urinaire, respiratoire, articulaire, nerveux, auditif etc…) a sa projection sur les pieds, appelée « zone réflexe ». On a identifié sur les pieds pas moins de 7200 terminaisons nerveuses et plus de 90 zones réflexes.
Sur le pied droit, on retrouvera toutes les zones réflexes correspondant au côté droit du corps et sur le pied gauche, celles du côté gauche.

    - On peut donc distinguer sur les pieds les principales zones suivantes :
    - Le crâne, le système nerveux et sensoriel se localisent dans les orteils.
    - La cage thoracique, les poumons et le cœur se situent au niveau des métatarses.
    - L’abdomen, estomac, foie, rate, pancréas, les intestins et les reins au niveau du tarse antérieur (partie centrale du pied).
    - Le bassin et les organes génitaux au niveau des chevilles.
    - La colonne vertébrale s’appuie sur le bord médial des pieds (côté gros orteil).

    Lors du protocole de réflexologie plantaire, je travaille sur chacune de ces zones réflexes.
L’observation et surtout la manipulation de ces zones réflexes me donneront des informations sur l’état énergétique, physiologique ou pathologique de chaque organe. Souvent, une zone réflexe sensible à la pression indiquera un dysfonctionnement ou déséquilibre de l’organe correspondant. 
Des pressions spécifiques du pouce sur cette zone réflexe, permettent d’agir à distance sur l’organe, via le cerveau qui recevra des informations par influx nerveux, et mettra en œuvre tous les moyens dont il dispose pour rétablir au mieux le déséquilibre de l’organe et ses conséquences sur le corps (c’est l’un des principes de fonctionnement de la réflexologie plantaire).

    Pourquoi la réflexologie plantaire ?

    Parce que la réflexologie plantaire est un moyen naturel et des plus efficaces pour apaiser les tensions du corps, pour répondre aux déséquilibres physiques et émotionnels engendrés par le quotidien de la vie moderne et qu’elle ne traite pas juste les symptômes, mais l’être humain dans sa globalité. En médecine traditionnelle chinoise, on considère que le corps et l’esprit (l’émotionnel) sont interdépendants et en interaction constante. Dès qu’un évènement, physique ou émotionnel nous affecte, il aura une répercussion sur notre santé et notre équilibre énergétique.
Le stress, la malnutrition, les excès en tout genre, la pollution, les conflits familiaux ou professionnels, le mal de vivre etc. mettent à rude épreuve notre santé. N’oublions pas que 70 % des maladies sont d’origine psychosomatique. Elles sont l’expression de notre corps qui envoie ses signaux d’alarme et indique que quelque chose, physique ou émotionnel, a affecté son équilibre. 
Pour guérir un symptôme, le réflexologue traite les organes et systèmes physiologiques concernés, et surtout, par le dialogue, il cherchera à connaître la source du déséquilibre, la cause profonde et ainsi, il aidera le patient à comprendre le language de son corps pour qu’il devienne acteur de son mieux-être et de sa santé. La réflexologie plantaire agit sur Les troubles digestifs

    - Les troubles circulatoires
    - Les troubles lymphatiques
    - Les troubles du système génito-urinaire
    - Les troubles respiratoires et cutanés
    - Les troubles du système nerveux
    - Les douleurs musculaires, osseuses et articulaires
    - Les troubles du système sensoriel

    
La réflexologie plantaire, certes, ne vous guérira pas d’une affection virale ou d’un cancer, mais elle restera très efficace dans l’élimination des toxines et effets secondaires engendrés par leurs traitements médicamenteux et évidemment sur le stress qu’engendre toute maladie.

    
Soulignons qu’en aucun cas, la réflexologie plantaire ne devra se substituer à un traitement médical, sans avis du médecin traitant ou autre autorité médicale.

    La réflexologie plantaire contre la douleur

    Dans la lutte contre la douleur, les endorphines, hormones naturelles produites par le cerveau (deux cents fois plus puissantes que la morphine) semblent représenter l’arme la plus efficace pour répondre à la douleur.
En réflexologie plantaire, il suffit de masser les zones réflexes concernées, pour que le cerveau libère des endorphines, qui agiront sur la douleur. La réflexologie plantaire comme soin palliatif

    Depuis quelques années, la médecine se concentre sur la prise en charge des patients en phase terminale. Lorsque le corps médical ne peut plus administrer de soins curatifs, survient le rôle prit par les soins palliatifs qui visent à améliorer la qualité de la fin de vie, malgré l’espoir perdu de guérison. Là encore, la réflexologie plantaire s’avère très efficace. La profonde relaxation qu’elle procure apaise les tensions physiques et psychologiques du patient.
Elle permet d’apporter la douceur qui convient au processus ultime de la vie…

    La réflexologie et le sport

    L’aspect réparateur et préventif de la réflexologie plantaire prend aussi tout son sens dans les activités sportives, surtout celles qui sollicitent les membres inférieurs. La réflexologie va préparer le sportif à l’effort, agir sur la circulation veineuse et lymphatique, l’équilibre acido-basique du corps, stimuler les surrénales etc… pour une meilleure endurance et de meilleures performances. 
Après l’effort, elle facilite la récupération et stimulera l’élimination des toxines engendrées par le travail musculaire. Elle apportera une sensation de légèreté dans les jambes et les pieds. Pour les sportifs de haut niveau, la réflexologie plantaire permet de diminuer considérablement les crampes, les courbatures, les sensations de brûlures dans les membres et en période de compétition, elle permettra au sportif de gérer au mieux son stress.

    La réflexologie pour arrêter de fumer ou pour maigrir

    La réflexologie aidera le fumeur dans sa démarche de sevrage. Elle permet d’atténuer considérablement les désagréments du sevrage. Elle va aider le corps à se détoxiner et libérer plus vite le fumeur de sa dépendance. Pour ceux qui font des régimes ou qui équilibre leur alimentation en vue de maigrir, le protocole anti-poids sera d’une aide considérable. Il stimule le système digestif, les émonctoires (organes d’élimination), le système lymphatique et circulatoire (pour agir sur la rétention d’eau) etc… Quelques points de digitopuncture pour atténuer la sensation de faim, les envies de grignotage et voilà un bon cocktail pour vous aider à perdre du poids.

    En conclusion…

    Aujourd’hui, mondialement reconnue et expérimentée, la réflexologie plantaire est plus que jamais adaptée au cas de chacun. 
Permettant de soigner, d’équilibrer, de soulager, de relaxer, la réflexologie plantaire est préventive et curative. 
Elle est complémentaire de la médecine classique et permet de limiter l’utilisation des médicaments. La réflexologie plantaire invite également au développement personnel.

    la réflexologie plantaire et le massage énergétique chinois

    C’est un art thérapeutique ancien, basé sur des massages en profondeur le long des méridiens (circuits énergétiques qui parcourent le corps des pieds à la tête) et de la digitopuncture (pression avec le pouce sur des points spécifiques des méridiens comme ceux utilisés en acupuncture dont elle est l’alternative). Il relance la circulation énergétique du corps

    Comme la réflexologie plantaire, il procure une extrême détente. C’est un massage régénérant, revigorant et dynamisant qui stimule la circulation sanguine et lymphatique. Il a une action très efficace sur les douleurs chroniques, les tensions musculaires, le stress et ses maux. Réalisé régulièrement, la réflexologie plantaire et le massage énergétique chinois, forts de leur complémentarité, vous aideront à surmonter plus facilement les agressions de la vie courante et à vous maintenir en bonne santé.

    Le bien-être passe par l’écoute de votre corps et de ses besoins.

  • PHO, les temps changent

    Pho, les temps changent

    lundi 22 mars 2010 par Asietralala

    Pho et les chinois

    Eh oui mesdames et messieurs les temps changent. Tiens aujourd’hui j’avais rdv avec des amis chinois et comme toute rencontre amicale nous allons au resto. Au fait saviez vous qu’en Chine on ne dit pas bonjour mais : »avez vous mangé ? ». Après des périodes de grandes famines les habitudes sont restées, mais ceci est une appartée.

    D’habitude nos amis chinois ne mangent que chinois même quand ils voyagent ils se vont dans des restos chinois. Et à mon plus grand étonnement ils me parlent de la soupe PHO. Stupéfaction de ma part, ils connaissent cette soupe traditionnelle le fameux PHO, recette du nord Vietnam qui est succulente et si populaire.

    Dans un élan je leur propose d’aller déguster un pho dans un resto viet. Les voilà heureux enfin de manger cette soupe pho qu’ils connaissent de nom et qui, grâce à internet, à la mondialisation ou à asietralala.ccom a su attirer enfin leur attention. Nous voilà à table et mes convives qui se régalent. Alors si j’avais su qu’un jour cela aurait pu arriver : des chinois mangeant un pho, un pho vietnamien.

    Les temps changent mais pas le pho.

  • Restaurant Chinois de très mauvais goût !

    Restaurant Chinois de très mauvais goût !

    Restaurant Chinois de très mauvais goût !

    TRES BONNE IDEE !!!

    – Restaurant le plus bizarre

    – N’est-ce pas le plus bizarre des restaurants ????

    – Croyez-le ou non

    – Toilette moderne est un restaurant de Taipei en Chine. Il y a 100 places toutes faites de bols de toilette. – La nourriture est servie dans des bols de toilettes en plastique. Le papier de toilette est les serviettes pour les mains et le bec et est juste en haut des table qui ressemble à des bains géant transparent.


    - Voici le restaurant

    Sa déco

    Sa salle de dégustation

    Des couleurs appétissantes

    Ma foi pourquoi pas !

    La cuisine paraît bonne

    On y va avec précaution

    Quelques hésitations ma chère ?

    Mieux vaut essayer à 2 c’est moins dur

    On rit jaune…

    Pourtant ce dessert semble bon

    Vous allez en reprendre ??!!

    Article envoyé par un Internaute fort aimable et surtout gourmet.

  • Art de la médecine chinoise et du principe vital

    Art de la médecine chinoise et du principe vital

    Art de la médecine chinoise et du principe vital(LES CARNETS DE LILA PIK)

    LES CARNETS DE LILA PIK

    Art de la médecine chinoise et du principe vital.

    Le sujet est vaste, complexe, et quand je regarde tous ces panneaux au premier étage du centre, je me demande si je vais pouvoir appréhender cet art, vieux de plus de cinq mille ans …

    Certes, les explications sont claires, mais au fur et à mesure de la lecture je m’échappe : les maitres, les méthodes, la pharmacopée, les livres, les dessins, les gravures …. y a t-il quelqu’un dans la salle qui puisse m’aider ? Oui ! bien sûr ! les experts chinois de l’académie de médecine traditionnelle de Chine sont là !! pour nous !!

    Après la présentation officielle, en français et en chinois et la réalisation d’une calligraphie spéciale signifiant « érudition et raffinement » derrière laquelle tous les participants se rassemblent, nous revoilà devant les panneaux du premier étage !! Mais la différence est que nous avons un expert qui nous parle de cette médecine qui propose « une union entre le ciel et l’homme ». Du coup, les panneaux me semblent moins rébarbatifs ; les gravures, les livres se dévoilent : esthétique, savoir, calligraphie forment un tout que je n’avais pas saisi au premier passage…

    Si votre oreille se tend aux mots acupuncture, massages, ventouses, grattages cutanés, si vous frémissez quand on parle d’harmonie, calme de l’esprit, principe vital, circulation des souffles, courrez- vite assister aux deux conférences ce mardi et ce mercredi soirs.

    Mais, attention ! N’attendez pas à ce qu’on vous jette des paillettes aux yeux, qu’on vous amène cinq mille années de médecine chinoise traditionnelle sur un plateau. C’est toute une culture, un savoir qu’il faut aller chercher, qu’il faut essayer de comprendre, petit à petit.

    Bref, si vous y allez parce que vous ne savez plus comment soigner votre tendinite à l’épaule, vous serez fatalement déçu. Mais finalement, faire un effort intellectuel pour permettre à son esprit de s’ouvrir sur de nouvelles perspectives.. c’est un grand plaisir, non ?

     Devant mon assiette de canard laqué, je me dis que demain soir, j’assisterai à la conférence sur « la médecine traditionnelle chinoise et la voie du Yangsheng ou l’art de nourrir le principe vital. » (Par le Dr Yang Jinsheng, Médecin en chef de l’Académie de MTC) Et mercredi soir, ce sera « la mise en pratique de la voie du Yangsheng. » (Par le Dr WU Zhongchao et le Dr Yang Jinsheng).

  • Coco Lacroix de Paris en Chine

    Coco Lacroix de Paris en Chine

    Coco Lacroix de Paris, une nouvelle tournée en Chine

    Coco Lacroix de Paris, une nouvelle tournée en Chine

    Coco Lacroix Shanghai 2010

    « Coco bien entourée »

    Le point d’orgue de cette cette semaine de festivités, une impressionnante parade colorée et joyeuse traversera la ville de Chengdu. Coco Lacroix de Paris chantera en « live » des chansons françaises et chinoises. Comme d’habitude Coco Lacroix de Paris savoure déjà les moments où elle interprétera en « chinois » des airs connus là bas et en particulier cette mélodie nostagique si appréciée « Da Haï ».

    De nombreuses scènes dans toute la région ont été dressées afin d’accuellir les artistes internationaux. Des réceptions, visites sont prévues par nos amis chinois et, n’ont doutons pas, les surprises seront nombreuses.

    Le Sichuan est renommé pour son fameux poivre mais aussi pour ses « locataires » privilégiés, les « Pandas » ; cette région est un lieu idéal pour les Pandas car le climat et la nourriture sont exceptionnellement adaptés à leur survie.

    « Coco pendant une balance à Shanghaï »

    Une question taraude l’esprit des organisateurs… les pandas vont t- ils apprécier à sa juste valeur la voix délicate de Coco Lacroix de Paris. Mais n’en doutons pas notre artiste francophone saura évidemment charmer nos sympatiques ursidés.

    Souhaitons à Coco un séjour sympathique plein de joie et de musique. Nos envyés spéciaux serons sur place afin de réaliser un reportage « exclusif » rempli de photos et de bonne humeur.

    De tout façon, ici à la rédaction, nous sommes tous des fans inconditionnels.

    Coco Lacroix à Chengdu 2012

    Coco Lacroix à Shanghaï 2010

    La rédaction

     

  • SANYA, la magnifique, vous donne rendez- vous !

    SANYA, la magnifique, vous donne rendez- vous !

    SANYA, la magnifique, vous donne rendez- vous !

    SANYA, la magnifique, vous donne rendez- vous !

    L’exposition des photographies « SANYA, l’île de Hainan, vu par des Français »

    La CHINE, un pays lointain et mystérieux qui laisse l’esprit vagabonder à travers des images, des senteurs et des couleurs et qui nous invitent au voyage. Située à l’extrême sud de la Chine, Santa, ville touristique, sait accueillir les occidentaux chaleureusement dans la douceur délicate de son climat tropical si propice aux rêves les plus doux.

    Le 16 mars, à Paris, sur le fameux toit Grande Arche des invités privilégiés ont pu découvrir cette ville à travers une Exposition photographique : « SANYA, l’île de Hainan, vu pas des français ».

    Inaugurée dans ce lieu prestigieux cette exposition originale sera un succès et attirera à la fois de nombreux parisiens et évidemment des touristes du monde entier.

    Cette exposition s’inscrit dans une optique très particulière car des photographes français ont su immortaliser « l’essence » même de l’île de Hainan. Au travers de leurs objectifs aux ressentis différents, ils ont réussi à transcender et à immortaliser la beauté de cette île.

    Merci aux photographes sans lesquels rien n’aurait été possible :

    - M.CHATELIER Patrick
    - M.CHAUVEAU Nikola
    - M.ESCUDIER Alain
    - M.PARDESSUS xavier
    - M.PICARD Pascal.

    Au travers de ces photos délicates et expressives, les voyagistes sauront immédiatement que « SANYA, l’île de Hainan, est une destination de rêve pour les occidentaux à la recherche de douceur, d’exotisme et de beauté. La tradition omniprésente, la nature luxuriante, créera dans le cœur de Français un cocktail de dépaysement.

    Un vernissage très réussi avec des invités de marque, des Français attentifs et curieux, des Chinois chaleureux qui ont su transmettre l’amour de leur région. Dans un élan à la fois chaleureux et fraternel, Chinois et Français entonnèrent un chant joyeux et fraternel. Un buffet gastronomique chinois aux fumets délicats clôtura les discours des différents partenaires.

    Une convention pour la collaboration touristique est signée au vernissage entre le Comité municipal pour le développement du tourisme de Sanya et la Fédération Internationale du tourisme.

    Les personnalités :
    -  M.Yixiu LIN Adjoint au Secrétaire Général du Gouvernement Municipal de SANYA,
    -  Mme Alice Bosquillon de Jenlis de l’UNESCO,
    -
    -  M. JIN Chunlei, ministre conseiller de l’Ambassade de Chine en France ;
    -  M. Mathieu de l’ECTI, M.
    -  Alan Attia, Directeur Général de la société Models’s fasshion ;
    -  M. Yves Launoy, réalisateur de l’émission télévisée Interville
    - Mme PICARD Aiming Présidente du Centre d’Echanges Culturels et Artistiques Franco-Chinois
    -  et plus de 300 invités visitent ensemble l’exposition.

    Informations : Cette exposition est organisée par le Comité Municipal de SANYA pour la promotion Touristique, et elle est réalisée par le Centre d’échange culturel et artistique franco-chinois. Elle va durer 4 jours au 16 au 19 Mars 2010. Nous pensons que grâce à cette exposition, une plate-forme de collaboration sera créée au niveau du tourisme, de la culture et surtout de l’amitié. Selon nos études, Sanya se trouve à latitude nord 18°, donc le point le plus au sud de la Chine. Elle possède des ressources naturelles irremplaçables : Les plages, les tropiques, la nature… Malgré la crise économique en 2009, Sanya a réssisté à la crise, elle a reçu plus de 6 690 000 nuitées, donc une augmentation de 10%, dont beaucoup de touristes français. La délégation de Sanya a bien dit : Sanya est pas seulement à nous, elle est aussi à tout le monde, elle est au profit de toutes les personnes qui souhaitent la connaître et à l’aimer. Bienvenue au Sanya

  • EXPOSITION CULTURES DE CHINE au Carrousel du Louvre du 9 au 12 janvier

    EXPOSITION CULTURES DE CHINE au Carrousel du Louvre du 9 au 12 janvier

    LES CARNETS DE LILA PIK

    EXPOSITION CULTURES DE CHINE au Carrousel du Louvre du 9 au 12 janvier

    CHOUETTE, CHOUETTE, C’ÉTAIT CHOUETTE !!

    2014 commence sous de bons auspices ! L’exposition organisée par le centre

    d’échanges culturels et artistiques franco- chinois vaut le déplacement.

    400 œuvres de peinture, sculpture, calligraphie, gravures, porcelaine, soie .. à découvrir

    au carrousel du Louvre. En ouverture, une très jolie mise en scène montée par la ville

    de Hangzou sur le thème du bambou et son utilisation dans le design contemporain.

    Un grand espace est réservé au sculpteur XU HONGFEI et j’avoue que ce fut mon coup

    de cœur ! Ses œuvres figuratives sont réjouissantes et dynamiques.

    Son personnage principal et récurrent est une femme aux formes très généreuses qui

    est habitée par une joie de vivre intérieure qui rayonne dans toutes les sculptures. C’est

    voluptueux, drôle, émouvant ; Surtout, ne pas faire d’amalgame avec Botero ….

    Et ensuite, c’est selon … peinture traditionnelle, contemporaine inspirée des maitres

    européens (Picasso, Lucian Freud, Matisse, ..), belles estampes chinoises, certaines

    assez surprenantes ..

    Hier soir, sur duo piano violon excellent, j’ai déambulé au gré de mes envies, une petite coupe à la main, c’est chouette 2014 !!!

  • Le diner en blanc, un pique-nique hors du commun

    LE DINER EN BLANC, UN RENDEZ- VOUS INCONTOURNABLE

    Des convives de qualité, un lieu prestigieux, une ambiance à la fois sympathique, décontractée et surannée voilà les ingrédients indispensables pour les invités en « blanc ».

    La cour carrée du Louvre une vraie rencontre entre le passé et le présent…. Tous les  » privilégiés » ont, l’espace d’un instant, redécouvert cette cour chargée d’ histoire.

    Magique me murmuraient les uns, incroyable me confiaient les autres, tous ont senti que ce moment si délicat possédait ce petit supplément d’ âme qu’il manque souvent à certains évènements.


    Cette fois ci de nouveau l’organisation était parfaite et le lieu choisi, un vrai cadeau pour les amoureux de Paris.

    Mais il fallait bien que cette fête se termine et tous les convives ont disparu, plus un seul signe de leur passage, ils se sont évaporé comme par magie, comme des fantômes blancs insaisissables et fragiles.

    Alors rendez- vous l’année prochaine !!!