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  • Porc au caramel (cuisine vietnamienne, recette vietnamienne)

    Porc au caramel (cuisine vietnamienne, recette vietnamienne)

    Porc au caramel (cuisine vietnamienne, recette vietnamienne)

    Recette vietnamienne/ Cuisine vietnamienne

    - Recette du Porc au caramel

    Les ingrédients :
    3 gousses d’ail
    500g d’échine
    5 cuillérées à soupe de sauce de poisson (Nuoc mam)
    5 cuillérées à soupe de caramel
    1 cuillérée à soupe de sucre

    La préparation :
    D’abord faire chauffer à feu moyen une poêle avec de l’huile et l’ail, dès que ce dernier commence à roussir mettre le porc coupé soit en lamelles, soit en petits cubes …C’est selon votre désir personnel .
    Quand la viande est à moitié cuite vous ajoutez le caramel, la sauce de poisson et le sucre.

    A ce moment précis le tout forme un amas pas très ragoûtant comme de la lave en ébulition.

    Vous laissez à feu doux en remuant régulièrement…le tout va réduire et la viande prendra une belle couleur dorée à souhait. N’hésitez pas à goûter et rajouter une cuillérée de ….ou de … selon votre goût.

    Si la sauce finale vous semble trop épaisse, à vous de rajouter une larme d’eau.

  • J’ai quitté le Vietnam comme boat- people, je suis revenu en avion

    J’ai quitté le Vietnam comme boat- people, je suis revenu en avion

    Carnets de voyage en Asie, Vietnam

    Une si longue absence.

    J’ai quitté le Vietnam comme boat- people

    Je m’appelle Manh et je viens de bien loin et je retourne au Vietnam. Vos yeux ne peuvent ni voir, ni entrevoir les paysages, les bonheurs et les angoisses enfouis dans le plus profond de mon être.

    Par une nuit sans lune, la peur au ventre, maman et papa nous abandonnèrent avec plus de soixante personnes à la recherche d’un avenir rempli de plus d’espoir. Je ne le savais pas encore, mais 12 ans allaient nous séparer ce soir là.Deux coques de noix aux moteurs poussifs nous éloignèrent de la côte et bientôt nous ne vîmes que l’ombre blafarde de notre pauvre pays que la guerre avait si profondément transformé. Deux sœurs et un frère, une famille éparpillée, loin des parents , sans famille, juste des rescapés sur cette mer d’huile . Nous étions devenus des « Boat people » au regard hagard, ballottés par un mal de mer omniprésent, attendant une aide incertaine. Au milieu de nulle part, nous scrutâmes l’horizon pendant 4 jours et 3 nuits.

    Rencontrer la marine vietnamienne et le carnage aurait été au rendez- vous, croiser un pavillon étranger et la délivrance nous aurait tendu les bras.

    Heureusement j’avais le pied marin ! Je me rappellerai toujours de cette année 1981 où j’ai quitté mon pays sans savoir si un jour,mes pieds pourraient à nouveau, fouler le sol de mes ancêtres. Le moteur de l’autre bateau rendit l’âme sans complexe, immobilisant plus de 30 personnes. Un remorquage périlleux nous permit de continuer ensemble ce si douloureux voyage.

    Soudain, nous vîmes un bateau à l’horizon et nos cœurs se figèrent empreints d’espoir, de fatalisme et d’angoisse. Étaient- ils des amis ou des ennemis, de l’espoir ou de l’horreur, un renouveau ou une fin tragique ? Une accablante et troublante incertitude s’empara de nous, enserrant notre ventre comme une tenaille mortelle, nous ne respirions plus. L’embarcation s’approcha, le temps était suspendu et soudain l’un de nous éructa un cri de joie libérateur, nous comprîmes aussitôt que l’avenir nous tendait à nouveau les bras. Nous n’en crûmes pas nos pauvres yeux fatigués, lassés mais heureux, le pavillon Français, le drapeau de tous les espoirs flottait là, fier et libérateur.

    Deux mois d’attente dans un camp chinois de Hong-Kong, deux mois de brimades, deux mois où tous nos espoirs se tarissaient dans un méandre de questions sans réponse. J’avais la certitude que les chinois n’appréciaient pas les vietnamiens et qu’à la moindre occasion, ils les brimaient malgré qu’ils fussent leurs « gérants officiels », frontière entre le passé et l’avenir. Je me souviens qu’un jour adossé à une vieille voiture abîmée par le temps, j’attendais, comme tous les jours, l’appel quotidien de tous les « boat people », en rêvassant, quand soudain l’un des gardiens chinois vociféra des menaces m’accusant, moi un enfant de 1O ans d’avoir cabossé la carcasse en m’appuyant dessus. Je dus me défendre de ces accusations injustes et déloyales.

    La sentence tomba, j’étais affecté, pour cet acte odieux, délibéré et plein de haine contenue, à la corvée déhonorante du nettoyage des wc.

    Selon les conventions internationales de l’époque, la France, nous ayant recueilli à bord de l’un de ses bateaux, avait le devoir de nous donner asile dans leur pays. Je rêvais d’Amérique et je me retrouvais soudain plongé dans le centre de la France, à Châteauroux dans un autre camp de réfugiés. J’y suis resté plus de 13ans, 13ans à attendre, étudier et espérer un avenir meilleur. Puis je suis monté à Paris.

    Le retour au Vietnam

    Aujourd’hui, je viens d’obtenir ma nationalité française et une page de mon histoire se tourne. J’ai très envie de revoir le Vietnam pour retrouver un peu de ce passé qui reste collé à ma mémoire. J’avais quelques appréhensions, repartir pour découvrir un pays changé, si éloigné de mes souvenirs, cela me rendait hésitant et fort mal à l’aise. J’avais juste peur de ne plus aimer le Vietnam, car j’étais devenu une « entité hybride » partagée entre ici et là- bas. Ma décision était prise, il me fallait revoir malgré tout, ce pays qui me manquait tous les jours un peu plus. Dans l’avion qui me menait, ma sœur et moi, vers cet « inconnu si familier », s’entremêlaient, s’entrechoquaient sans cesse des images, des souvenirs, des rires et des pleurs . L’avion enfin dans un crissement de pneus s’immobilisa sur la piste.

    Fébriles nous descendîmes et pénétrâmes dans le grand hall de l’aéroport international. Je fus soudain pris de panique quand je vis l’uniforme du fonctionnaire des douanes, mon corps tout entier frémit, mes jambes se dérobèrent sous moi et mes mains tremblèrent. Ma sœur, s’apercevant immédiatement de mon émoi incontrôlable, me glissa à l’oreille qu’il était plus prudent de ne pas se faire remarquer et d’éviter ainsi, toute difficulté. Je dus m’exécuter comprenant fort bien le bien fondé de ses appréhensions. La rue m’accueillit brutalement dans une farandole de couleurs joyeuses, d’odeurs exotiques, de klaxons stridents, d’images rayonnantes et surtout d’émotion. J’étais revenu chez moi, j’étais rentré à la maison après 25 ans d’absence et d’attente. Je compris immédiatement que les liens étaient restés intacts, forts et qu’ils avaient résistais aux attaques du temps. Rien n’avait vraiment changé, Saïgon égale à elle-même, demeurait cette ville bruyante, sale, speed, irrespirable mais si vivante.

    La cathédrale se tenait là imperturbable mais envahie par des centaines de touristes harassés de chaleur, la poste, incroyable vestige colonial, ressemblait plus à un musée qu’au local des PTT. Mon cousin, l’un de mes innombrables cousins, nous guida à travers la ville pendant ces quelques journées d’euphorie et de redécouverte où le connu côtoyait sans cesse l’étonnement. Il nous dénicha les meilleurs restaurants. Je retrouvais les senteurs si particulières des plats typiques enfouis au fond de moi. Quand avec le temps notre culture s’estompe, il nous reste encore et toujours le goût de la nourriture, et tous les déracinés vous le diront sans détours. J’hésitais parfois à déguster du chien, du serpent ou du rat car mon éducation française, aseptisée, m’en empêchait. J’avais peur de tomber malade. Peut-être qu’avec le temps… ! Un petit tour au musée de l’ancien palais présidentiel, resté dans son jus depuis la chute de Saïgon, me laissa pantois et me rappela aussi les moments difficiles.

    Direction Lagi située à 180 au nord de Saïgon, le village où j’ai vécu. Ma grande sœur se tenait là, attendant avec impatience notre arrivée, mais ne me reconnut point. Moi-même je dus faire des efforts pour mes innombrables cousins et neveux. Je m’étais préparé depuis fort longtemps à ces retrouvailles si poignantes, à cette joie jubilatoire, ainsi aucune larme ne coula sur mes joues. Le voisin, un ancien ami, s ‘est approprié toutes nos terres…Le temps, la guerre, les paysans, la méthode ancestrale de pêcher,les paysages à couper le souffle, mes amis, la maison familiale rien n’avait changé et tout avait changé. Le vent de l’histoire a dévasté nos cœurs et laissé comme une trace de nostalgie imperceptible, pas de haine seulement de l’émotion à fleur de peau.

    Nous sommes restés 10 jours dans ce village de pêcheurs, une population déplacée, originaire du centre et installée ici depuis de nombreuses générations. Papa aimait y pêcher avec ses fils malgré une mer démontée et des vagues de 12m. Rien ne lui faisait peur, moi si. Cela me fait rire aujourd’hui, mais j’ai bien failli me noyer un peu trop souvent durant ces années de bonheur .

    Et nouveau départ vers Quang Ngai, lieu de ma naiossance, plage paradisiaque, authentique, et située à 150 kms de Hué. C’était, à l’époque une base aérienne des forces américaines. Et des histoires de guerre poignantes et effrayantes consument encore aujourd’hui mon esprit. Il avait été établi un couvre-feu après le départ des américains et une famille entière de sourds, n’ayant pas eu connaissance de l’interdiction par les autorités du fait même de leur infirmité, furent mitraillés et déchiquetés dans un carnage sans nom. Ils partaient pour une simple sortie en mer,où ils ne pêchèrent que la mort.

    Une promenade, un recueillement sur la tombe de mes grand- parents, une cérémonie d’offrandes, un petit tour en bateau rond typique, une dégustation de fruit Jacquier ou de raviolis à la vapeur, furent les activités principales de ces 10 jours.

    J’y ai retrouvé mon tonton Chu Nam dont je suis très proche et qui me le rend bien d’ailleurs. Bizarre, bizarre, je me suis toujours dit qu’il ressemblait étrangement au président J.F Kennedy.

    Parfois j’ai l’envie de me retrouver seul car je suis trop entouré, trop sollicité. Quand je vais au resto tout le monde veut m’accompagner et je règle l’addition. Pas que cela me coûte, mais bientôt cette situation est dérangeante et j’explique à ma famille qu’ en France je ne suis point un nabab. Mais le message passe souvent mal et la gêne s’installe. Tout le monde, ici, a cette impression que je suis un homme riche, parvenu à un niveau social extrêmement élevé et n’ayant surement aucun problème d’argent. Comment peuvent-ils imaginer, que je ne suis qu’un simple travailleur, endetté et payant des impôts ? Ce « statut » ambigu s’est révélé être le problème constant de tous les « viets- k » (les viets de l’étranger).

    Nous sommes heureux de partir « seuls » en mini- bus vers le centre, à la découverte de Hué. Nous y rencontrons un fort sympathique cyclo- pousse qui nous fait découvrir avec bonhomie, tous les trésors de la ville impériale ? Quatre jours de légèreté, de totale liberté dans un charmant petit hôtel climatisé et peu onéreux (7 dollars/ nuit ).

    Un mois, c’est vraiment trop court car nous n’avons visité que la moitié du pays, l’occasion de revenir bientôt pour d’autres aventures. Le départ est proche, nos valises pleines de cadeaux et nos yeux remplis d’images fabuleuses, nous rentrons avec le sentiment que très prochainement nous reviendrons.

    Je m’appelle Manh, et je ne veux plus repartir, je rêve de rester vivre ici, au Vietnam, dans ce pays où qui m’attend déjà.

    Vietnam je t’aime, Vietnam j’ai besoin de toi, V tu m’a manqué, Vietnam, Vietnam!!!

    Contact MANH Carnets de voyage en asie

  • Si l’on consommait moins pour vivre mieux

    Si l’on consommait moins pour vivre mieux

    Et si l’on consommait moins pour vivre mieux ? Le mode de vie minimaliste est un savant mélange de remise en cause de la société de consommation et de développement personnel. Fan de Pierre Rabhi et de Béa Johnson, cette philosophie est pour vous.

    Alors c’est quoi le concept ? Le principe c’est de se contenter de peu, de se débarrasser du superficiel pour pouvoir se consacrer à l’essentiel. Stopper les actes d’achat qui nous poussent tel des camés à toujours y retourner. Le minimalisme, c’est vivre dans l’être plutôt que dans l’avoir.

    Se saisir de chaque objet que l’on a chez soi et ne garder que ceux qui nous procurent une émotion positive.

    Le grand tri

    Et cela passe par toutes les sphères de la vie. N’avez-vous pas des armoires emplies de vêtements que vous ne mettez jamais, une cuisine bondée d’ustensiles rarement utilisés ? Un placard plein de flacon inutilisés ? Avec le minimalisme, c’est fini ! On se débarrasse de tout ce qui n’est pas réellement important pour nous. On donne, on fait de la place. De nombreux adeptes du minimalisme ont pris comme livre de chevet La magie du rangement, de Mari Kondo, un best seller venu du Japon pour nous aider à désencombrer. Une des méthodes de l’auteur ? Se saisir de chaque objet que l’on a chez soi et ne garder que ceux qui nous procurent une émotion positive. Bon avec cette méthode j’ai bien failli jeter ma brosse à toilettes et mon étendoir à linge mais a priori ça marche pas trop mal quand même.

    Revenir à l’essentiel, c’est aussi questionner son rapport à la production de déchets : réduire le nombre d’objets que l’on possède passe aussi par une remise en question de ce que l’on jette. Et pour ça, il y a Béa et son mouvement du zero waste. Si vous ne connaissez pas, on vous invite à commencer par la cuisine.

    Rappelons que ce grand ménage de printemps ne passe pas uniquement par son lieu de vie. Passer au minimalisme, c’est avoir aussi une réflexion sur son lien à l’information, aux nouvelles technologies (fermez-moi vite ces 10 onglets !), sur ses relations sociales et sur la globalité de ses activités au quotidien. Qu’est ce qui est vraiment nécessaire pour mon bien-être ?

     

    Le moins qui fait du bien

    Les effets du minimalisme sur la vie de tous les jours sont plutôt bénéfiques. En faisant le tri dans ses affaires et en refusant d’acheter des objets inutiles, on se désintoxique petit à petit à la fois matériellement et psychologiquement. Parce que vider ses placards, c’est aussi faire le vide dans sa tête. Au fil du temps, le matérialisme devient un mauvais souvenir et les objets auxquels on est réellement attachés se comptent sur les doigts de quelques mains.

    Plus besoin de choisir entre les 20 tee-shirts et les 10 paires de chaussures. Vu que l’on n’a conservé que ses préférés, on brille tous les jours, on gagne un temps fou et l’on économise de l’énergie pour des activités qui ont vraiment du sens et qui nous épanouissent comme les relations sociales, les activités artistiques ou culturelles.

    Et vu que l’on consomme moins, vivre mieux on dépense moins. Pas besoin d’avoir fait HEC pour comprendre cela. On peut ainsi se faire plaisir avec des objets plus onéreux et de meilleure qualité qui, en prime ont un impact social et écologique positif.

     

    Ode à la simplicité

    Alors oui, c’est vrai, la pratique est plus compliquée que la théorie. Parce que les soldes, parce que la pub, parce ces trop belles chaussures dans la vitrine. Mais comme on ne deviendra pas des ascètes anti-consuméristes du jour au lendemain, on peut toujours commencer par donner un sac de fanfreluches à Emmaus. Quand vous verrez le bien que ça procure, à coup sûr vous continuerez !

    Et qui sait peut-être qu’un jour deviendrez-vous un doux dingue du minimalisme, comme ces Américains qui relèvent le défi du 100 things challenge et ne vivent au quotidien qu’avec 100 objets ?

    consommer moins pour vivre mieux

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    Quelques blogs pour vous lancer

    Le blog d’une maman minimaliste

    Une vie simple et zen

    Sirène Bio – Beauté, santé et minimalisme

    SOURCE

    Partenaire

  • Calmars farcis au curry vert (cuisine thaïlandaise, recette thaïlandaise)

    Calmars farcis au curry vert (cuisine thaïlandaise, recette thaïlandaise)

    Calmars farcis au curry vert (cuisine thaïlandaise, recette thaïlandaise)

    Calmars farcis au curry vert

    Proportions pour 4 ou 6 personnes

    Ingrédients

    - 1 kg petits calmars (SEA WAVE)

    - 2 courgettes
    - 12 ou 15 baby maïs
    - 4 ou 5 egg plants (aubergines thaïes)
    - 150 g mange-tout

    - 3 ou 4 cs pâte de curry vert *
    - 1 cs de sucre de palme

    - 1 ou 2 boîtes (454 g) de lait de coco
    - 4 feuilles de combava
    - 1 ou 2 cs crème de coco (RENUKA)
    - feuilles de coriandre fraîche (facultatif)

    Ingrédients pour la farce

    - 60 g vermicelles de soja prédécoupés
    - 500 g porc haché
    - les nageoires des calmars
    - 2 ou 3 petits piments rouges
    - 4 gousses d’ail
    - ½ cc poivre
    - 5 cm rhizome de gingembre
    - 1 oignon doux moyen ou oignon rouge
    - 2 ciboules ou oignons de printemps
    - 2 cs sauce soja foncée
    - 1½ cs nuoc mam « Phu quoc »
    - 2 cc d’huile de sésame
    - 4 ou 5 tiges de coriandre avec racines + feuilles

    Préparation

    - Faites dégeler les calmars, séparez la tête du corps, coupez la partie de la tête sous les yeux et enlevez également le bec. Emincez finement les nageoires des calmars .Bien vider l’intérieur des corps, enlevez le cartilage, rincer simplement et bien essuyer. Retournez les corps des calmars

    - Laisser tremper les vermicelles dans l’eau chaude pour les faire ramollir. Egoutter soigneusement avant de les utiliser. Coupez-les à l’aide de ciseaux. Réservez dans un bol

    - Lavez les piments doux, coupez-les en 2 dans le sens de la longueur, égrenez et coupez-les en lanières. Epluchez et hachez finement l’ail ainsi que le gingembre. Epluchez l’oignon, les ciboules émincez-les ainsi que la coriandre. Ajoutez le tout aux vermicelles de soja.

    - Poivrez et relevez la viande hachée avec la sauce soja foncée + nuoc mam, ajoutez les nageoires des calmars hachées, mélangez. Puis incorporez-y l’huile de sésame et pétrir. Ajoutez le contenu du bol (vermicelles – piments – ail – gingembre – oignon doux – ciboule – coriandre). Bien mélangez.

    - Remplir une poche à douille de l’appareil et farcir les calmars en veillant à ne les remplir au-delà des 3/5. Remettez les têtes en place afin de reconstituer les calmars. Réservez.

    - Rincez les légumes, coupez les courgettes en tranches de ± 4 mm, puis en 2 ; Les baby-maïs et les egg plants en 4 ; les mange-tout en deux en biais.

    - Dans un wok préchauffé versez 2 à 3 cs d’huile et faites cuire en 2 ou 3 fournées les calmars farcis durant 4 à 5 minutes, Retirez du wok et réservez.

    - Remettre le wok sur le feu, versez-y 1 cs d’huile, lorsque celle-ci fume, faites cuire la pâte de curry pendant 2 minutes, baissez le feu et versez petit à petit le lait de coco. Laissez frémir pendant 2 minutes. Ajoutez les légumes, le sucre et les feuilles de combava dont vous aurez ôté la nervure centrale. Incorporez la crème de coco. Laissez frémir pendant 5 minutes. Ajoutez les calmars et laissez cuire encore 2 à 3 minutes. Parsemez de feuilles de cor-iandre fraîche. Servir avec un riz parfumé.

    * Selon que l’on aime ± piquant. A signaler je prépare moi-même ma pâte de curry vert.

    Calmars farcis au curry vert

  • Recette du bouillon aux champignons parfumés (recette de cuisine vietnamienne)

    Recette du bouillon aux champignons parfumés (recette de cuisine vietnamienne)

    Recette du bouillon aux champignons parfumés et de la coriandre (recette de cuisine vietnamienne)

     

    Recette vietnamienne/ Cuisine vietnamienne

    Nayuta / Pixabay

    - Recette du bouillon aux champignons parfumés

    Les ingrédients pour 2 personnes

    - 5 petits champignons parfumés déshydratés
    - 1 bouillon de poule
    - Persil chinois frais ( coriandre) finement haché
    - sauce de poisson (nuoc mam)
    - 75 cl d’eau, sel et poivre

    mayduangnapha8888 / Pixabay

    La préparation :

    - faire bouillir l’eau
    - briser les champignons en 4 en jetant la queue et les mettre dans l’eau
    - ajouter le bouillon de poule, 1 cuillère à café de sauce de poisson, 1 pincée de sel et laisser 15 mns cuire à feu fort
    - Verser dans dans 2 bols, poivrer et ajouter le persil chinois

  • Soupe de riz (cuisine vietnamienne, recette vietnamienne )

    Soupe de riz (cuisine vietnamienne, recette vietnamienne )

    Soupe de riz (cuisine vietnamienne)

    Recette vietnamienne

    Cuisine vietnamienne

    Soupe de riz

    Ingrédients

    4 tasses de riz et 8 tasses d’eau
    sauce de poisson (en fonction du goût)
    1 pincée de sel
    ciboulette fraîche découpée en rondelles, persil chinois émincé(coriandre)

    Préparation
    faire cuire le riz + sel
    si la soupe est trop épais

     nuoc mam ou sauce de poissons

    se rajouter de l’eau
    verser la sauce de poissons, nuoc mam
    avant de servir mettre la ciboulette et poivrer

    Ingrédients asiatiques

    La cuisine asiatique est facile

    Avec asietralala vous saurez tout sur LA CUISINE ASIATIQUE

     Si vous avez une recette asiatique facile et délicieuse, n’hésitez pas à nous la faire connaître et nous nous ferons un plaisir de la mettre illico presto en ligne. Merci

    « DONNEZ NOUS VOTRE AVIS, VOTRE AVIS NOUS INTÉRESSE »

    Ce plat est élaboré à partir d’une recette « basique ».

    Aidez nous à améliorer les recettes car nous savons qu’elles sont perfectibles. N’hésitez surtout pas à nous faire des suggestions, des remarques « judicieuses » qui nous permettrons d’aller toujours plus loin et ainsi apporter à notre rubrique un vrai supplément d’âme.

    Si vous avez de bonnes recettes faciles à réaliser, nous nous ferons un plaisir de les mettre en ligne et ainsi de donner à nos fidèles internautes des horizons culinaires toujours plus aboutis.

    « DONNEZ NOUS VOTRE AVIS, VOTRE AVIS NOUS INTÉRESSE »

    Alors nous vous disons, chers internautes, à très bientôt sur nos Forums.

    @+ L’équipe

    Rice soup (Vietnamese cooking) Vietnamese recipe Vietnamese Food Rice soup  ingredients  4 cups of rice and 8 cups of water  Fish sauce (according to taste)  1 pinch of salt  Fresh chives cut into slices, chopped chinese parsley (coriander) Preparation  Cook rice + salt  If the soup is too thick  Nuoc mam or fish sauce To add water  Pour the fish sauce, nuoc mam  Before serving put the chives and pepper Asian ingredients Asian cooking is easy With asietralala you will know everything about ASIAN CUISINE  If you have an easy and delicious Asian recipe, do not hesitate to let us know and we will gladly put it on line. Thank you « GIVE US YOUR OPINION, YOUR OPINION IS INTERESTED » This dish is elaborated from a recipe « basic ». Help us to improve the recipes because we know they are perfectible. Do not hesitate to give us suggestions, « judicious » remarks that will allow us to go ever farther and thus bring to our heading a true supplement of soul. If you have good recipes easy to make, we will be happy to put them online and thus give our faithful netizens culinary horizons always more accomplished. « GIVE US YOUR OPINION, YOUR OPINION IS INTERESTED » So we tell you, dear Net surfers, very soon on our Forums. @ + The team

  • Salade vietnamienne crevettes, porc recette plat pleine de saveurs

    Salade vietnamienne crevettes, porc recette plat pleine de saveurs

    Salade vietnamienne crevettes et porc (cuisine vietnamienne, recette vietnamienne )

    leeey / Pixabay

    Recette vietnamienne

    Cuisine vietnamienne

    Salade vietnamienne aux crevettes et porc

    Ingrédients
    200 g de poitrine de porc cuite à l’eau et découpée en tranches fines
    100 g de crevettes décortiquées cuites
    1 cuisse de poulet ou blanc de poulet cuit à l’eau ou à la vapeur et émincé
    150 g de germe de soja
    2 feuilles de salade coupées en lanières
    100g de concombres coupés en allumettes
    3 carottes rapées très grossièrement
    1 ciboule coupée
    6/7 belles feuilles de menthe hachées grossièrement
    2 c à café de poudre de riz grillée
    1 c à soupe de cacahuettes pilées

    Préparation
    paner le porc et les crevettes dans le riz grillé
    mettre le tout dans une grande assiette et mélanger
    n’ajouter la sauce qu’au dernier moment au risque de bruler les légumes

    Vietnamese salad shrimp and pork (Vietnamese cuisine, Vietnamese recipe)
    
    Vietnamese recipe
    
    Vietnamese Food
    
    Vietnamese Shrimp and Pork Salad
    
    ingredients
     200 g pork breast cooked with water and cut into thin slices
     100 g cooked cooked shrimp
     1 chicken thigh or chicken breast cooked by steaming or boiling in water
     150 g of soya bean
     2 lettuce leaves cut into strips
     100g of cucumber cut into matches
     3 carrots grated very roughly
     1 spring onion
     6/7 beautiful mint leaves coarsely chopped
     2 tsp of roasted rice powder
     1 tablespoon crushed peanuts
    
    Preparation
     Bread pork and shrimp in grilled rice
     Put all in a large plate and mix
     Add the sauce only at the last moment to the risk of burning the vegetables
  • Cuisine vietnamienne, recette vietnamienne, La soupe de riz

    Cuisine vietnamienne, recette vietnamienne, La soupe de riz

    Soupe de riz (cuisine vietnamiennne, recette vietnamienne)

    Recette vietnamienne

    Cuisine vietnamienne

    Soupe de riz

    Ingrédients
    4 tasses de riz et 8 tasses d’eau
    sauce de poisson, nuoc mam (en fonction du goût)
    1 pincée de sel
    ciboulette fraîche découpée en rondelles

    Préparation
    faire cuire le riz + sel
    si la soupe est trop épaisse rajouter de l’eau
    verser la sauce de poissons, nuoc mam
    avant de servir mettre la ciboulette et de la coriandre et poivrer

  • Delta du Mékong, le grenier à riz du Vietnam

    Delta du Mékong, le grenier à riz du Vietnam

    Carnets de voyage en asie, Vietnam au fil de l’eau

    ©Reportages d’asie et asie reportages

     Carnets de voyage en asie

    Vietnam au fil de l’eau Douceur qui glisse comme un bateau par le vent emporté.


    Vietnam,delta du Mékong


     Vietnam, le grenier à riz


    Vietnam, embouteillage sur l’eau


    Port de fortune


    Bateaux ou péniches? 


    La venise vietnamienne 


    Mékong


     

    ©Reportages d’asie et asie reportages

  • Dorade royale au sel, recette light et diététique

    Dorade royale au sel, recette light et diététique

    Dorade royale au sel / recette vietnamienne light

    Dorade royale au sel / recette light

    Recettes asiatiques « light »et « diététiques » faciles

    Ben_Kerckx / Pixabay

    Ingrédients

     Une belle dorade royale écaillée
    du gros sel

    Préparation

     Tailler la chair des 2 côtés en croisillons
    Remplir les travées de gros sel
    Laisser reposer au frigo 24h (en la retournant plusieurs fois). Eponger largement avec de nombreuses feuilles de papier absorbant.
    Faire cuire au four avec une « goutte d’huile » en papillottes dans du papier alu
    Servir avec un riz blanc.

    Ingrédients asiatiques


    Royal sword with salt / Vietnamese light recipe

    Royal Dorade with salt / light recipe

    Asian recipes « light » and « diet » easy
    Ben_Kerckx / Pixabay
    Ingredients

    A beautiful sea bream flaked
    Coarse salt

    Preparation

    Cut the flesh on both sides in cross-braces
    Fill the coarse salt spans
    Leave to rest in the fridge 24h (by turning it several times). Wipe thoroughly with lots of paper towels.
    Bake with a « drop of oil » in foil paper in aluminum foil
    Serve with a white rice.

    Asian ingredients


    besugo con bajo contenido de sal receta / vietnamita

    besugo con sal / receta de la luz

    recetas asiáticas « luz » y « dieta » fácil
    Ben_Kerckx / pixabay
    ingredientes

    Una hermosa dorada astillado
    sal gruesa

    preparación

    Cortar la carne de los dos tirantes lados
    Cumplir con grandes bahías de sal
    Dejar reposar en la nevera 24 (invertir varias veces). Remojar ampliamente con muchas hojas de papel absorbente.
    Hornear con una « gota de aceite » en enrollamiento en papel de aluminio
    Servir con arroz blanco.

    ingredientes asiáticos