Étiquette : peinture

  • Cap Cultures et l’empire du milieu

    Cap Cultures et l’empire du milieu

    Cap Cultures une association culturelle présente en Chine

    L’association Cap Cultures, présidée par Pierre-Michel Verbeurgt, est spécialisée dans l’organisation d’échanges culturels et artistiques entre la France et d’autres pays, en particulier la Chine. Cap Cultures s’est notamment illustrée dans l’organisation d’expositions d’art franco-chinois dans des lieux parisiens prestigieux tels que le Carrousel du Louvre, l’Espace Pierre Cardin ou encore le Palais Brongniart, où se tiendra en juillet 2016 une exposition de l’Académie de Peinture de Pékin soutenue par le Ministère de la Culture chinois. La communauté de communes Moret Seine et Loing est partenaire sur la plupart des salons d’art et événements culturels que Cap Cultures organise.

    L’association Cap Cultures est également à l’origine de rapprochements culturels, artistiques et touristiques entre des villes françaises et chinoises. Dans cette perspective, elle a notamment organisé la visite de la délégation officielle de la ville de Chengde à Fontainebleau, qui s’est ponctuée par la signature d’un protocole de relations amicales entre les deux villes. C’est aussi par l’intermédiaire de Cap Cultures que le village de Barbizon s’est rapproché de la ville chinoise de Lishui, dont le groupe de peintres paysagistes a été baptisé localement « Ecole de Barbizon de Lishui ».

    Ayant pour objectif de promouvoir la culture et la langue françaises à l’étranger, le Président et les membres de l’association Cap Cultures organisent régulièrement des spectacles, festivals, événements et tournées d’artistes visuels et musicaux en Chine et en Russie.

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  • Coup double pour Miquel Barceló : au musée Picasso et à la BNF à Paris.

    Coup double pour Miquel Barceló : au musée Picasso et à la BNF à Paris.

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    Les petits carnets de Lila Pik

    Paris le 21 mars, 1er jour du printemps :MIQUEL-BARCELO-MUSEE-PICASSO-5

    2 inaugurations pour le même artiste au même moment, il faut choisir.

    Ce sera le Musée Picasso. A posteriori, j’aurais bien fait également la BNF, tant cet artiste me paraît être aussi prolifique que protéiforme.

    Donc, Barceló est un artiste peintre- sculpteur espagnol reconnu me dit wikipédia. Ce qui s’est vérifié ce soir, au vu des caméras et surtout de la fameuse perche avec son micro qui s’élevait au dessus de la mêlée, très joli !

    Il était devant les peintures qui me plaisaient le plus ! De grandes toiles torturées, bosselées, qui demandent à être infiltrées pour dévoiler leurs secrets.MIQUEL-BARCELO-MUSEE-PICASSO-3

    En filigrane, la thématique de la tauromachie si l’on veut retrouver des repères ; mais je recommande plutôt une plongée libre et une découverte lente de ces univers mouvants et émouvants. L’œil s’accroche à la matière, l’esprit déambule dans la toile, et ricoche sur toutes les richesses qui apparaissent au fur et à mesure et au gré de notre perception.

    Dans un autre espace, juste prendre le temps de regarder un mur de briques qui n’est pas un mur de briques tout en étant un mur de briques …

    L’ expo rassemble diverses œuvres : peintures, céramiques, sculptures.MIQUEL-BARCELO-MUSEE-PICASSO-2

    MIQUEL-BARCELO-MUSEE-PICASSO-4Peu, mais franchement assez diversifiées pour interpeller le visiteur… On peut ne pas aimer mais on sent une véritable force créative et un vrai travail artistique.

    Beaucoup de monde à ce vernissage, surtout autour du buffet,… Mais je pense avoir fait le bon choix en descendant directement à l’expo au sous- sol ! 😉

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    Miquel Barceló., Sol y sombra, du 22 mars à fin juillet 2016, au Musée national Picasso-Paris, 5, rue de Thorigny, 75003 Paris,
    Miquel Barceló. Sol y sombra, du 22 mars au 28 août 2016, à la BNF, site Mitterrand, Galerie 1, Quai François-Mauriac, Paris 75013

  • Exposition, Carousel do Louvre

    Exposition, Carousel do Louvre

     

     

    DIALOGUE ENTRE tableaux chinoisL’ORIENT ET L’OCCIDENT

    CARROUSEL du LOUVRE

    30 octobre au 1er novembre 2015

    Vernissage de l’exposition: 29 octobre 2015 à 18h30

     

    Le Centre des Echanges Culturels et Artistiques Franco-Chinois, dirigé par Aiming Tong-Picard, et Cap

    Cultures organisent depuis près de cinq ans le salon Dialogue entre l’Orient et l’Occident. Cette

    exposition a pour objectif de promouvoir les échanges culturels et artistiques entre la Chine et la France

    et d’affirmer le talent de nombreux artistes internationaux, qu’ils soient peintres, sculpteurs ou encore

    photographes.

    Cette nouvelle édition 2015, dont les villes d’Avon et de Moret-sur-Loing sont partenaires, présente cette

    année la particularité de réunir deux expositions distinctes :

    ⟐ Dialogue à travers les Grandes Routes de la Soie

    Exposition conjointe de deux artistes chinois et français confirmés : LAN Tusheng et Rémy ARON.

    ⟐ Dialogue entre l’Orient et l’Occident

    Exposition collective avec la participation de plusieurs artistes chinois et français issus de divers

    horizons.

    C’est au Carrousel du Louvre, haut lieu culturel unique, qu’il sera permis à ces artistes de valoriser la

    longue histoire et les spécificités des Beaux-Arts Contemporains de la Chine.

    Un espace de 3 100 m2, divisé en trois salles, présentera les échanges entre les artistes des deux pays.

    L’exposition Dialogue à travers les Grandes Routes de la Soie se tiendra Salle Delorme, tandis que les

    artistes participant à l’exposition collective Dialogue entre l’Orient et l’Occident exposeront leurs œuvres

    au Foyer et Salle Gabriel.

     

     

     

     

  • Anh QUACH et Van Chi WEI, Expo éphémère

    Anh QUACH et Van Chi WEI, Expo éphémère

    Anh QUACH et Van Chi WEI

     la peinture à 4 mains

    Peintres et autre chose aussi, des artistes qui nous font découvrir un autre univers.

    Des beautés toujours plus belles. Les cyclooopies sont sur une mission. Exposer une beauté vive et libre. Du monde entier, les miroirs vont se répondre en échos « Je suis la plus belle… », et les cœurs vont se remplir de satisfaction et de sérénité.

    Les cyclooopies…avec trois « o ». Elles ont un œil bleu qui favorise la Chance et trois seins qui apportent Bonheur, Richesse et Longévité. Et elles sont très très belles, parce qu’elles se sentent belles.

    « D’une beauté vive et libre… » Elles expriment un élan vers une beauté vive et libre selon l’inspiration personnelle de chacun.

    Vous l’avez pressentie, les cyclooopies révèlent votre beauté extrême à vous.


    Anh QUACH et Van Chi WEI qui sont- elles?

                                                       

    Nous sommes chinoises mais nées au Vietnam, et naturalisées françaises depuis !

    Nous sommes mère et fille, la création est pour nous une joie familiale ! Maman, dans sa jeunesse, a eu une formation de professorat de haute couture à la Paris, elle est retraitée maintenant. Moi, dans ma jeunesse : )), j’ai fait des études supérieures en mathématiques, et je travaille actuellement dans le management de projets informatiques.

    C’est avec un immense plaisir que nous vous présentons les cyclooopies : Tirosie est joyeuse, Moontaxie rêve, Aïmie est sereine, Dorémie Chante, Pitchoulie est gracieuse et glamour, Paomie s’affaire sans cesse, Toobie et Nottoobie sont comédiennes…

     

  • Guy Coda  « la galerie éphémère »

    Guy Coda « la galerie éphémère »

    codaGuy Coda , l’artiste par « l’excellence »

     

    Extrait d’une interview donné par Guy Coda à Open Mag le 17 octobre 2015

    Open Mag : En fait, tous ces personnages que vous dessinez, qui sont-ils ? Est ce qu’ils existent ?

    Guy Coda :- Oui ils existent bien sûr, dans ma tête d’abord, et sur le papier ensuite !

    Open Mag : Bon d’accord, ils existent sur le papier, mais pas dans la vie ?

    Guy Coda : Au contraire, ils sont d’abord dans la vie, peut être plus encore que vous et moi !

    Open Mag : ?…

    Guy Coda : Je m’explique : un dessin, une peinture, une poésie, une musique, un film, disons pourcoda

    simplifier une œuvre d’art- est peut être la plus forte manifestation de la vie ! En tous cas elle

    en est la forme la plus élaborée, la plus synthétique, celle qui nous différencie de l’animal et

    qui rend si singulière notre condition humaine. Les peintures pariétales sont la preuve qu’un

    des premiers actes de cette humanité naissante a été la création d’œuvres d’art, et quelles

    œuvres ! On peut donc en conclure, sans prendre trop de risques, que la création artistique est

    inhérente à la condition humaine.et par conséquent l’œuvre d’art est bien inscrite dans la vie !

    Mais bon, j’extrapole un peu, excusez moi, mais pour en revenir à mes personnages, vous

    avez raison, ce sont des personnages à la fois réels et fictifs. Fictifs parce que ce ne sont pas

    des portraits de gens existant, et réels car ils sont tout à fait vraisemblables, ils pourraient

    parfaitement exister ! En fait, ils ne sont pas réels mais réalistes !

    codaOpen Mag: Mais ne serait-ce pas plus simple de dessiner de vraies personnes ? Parce que j’imagine

    qu’ inventer tous ces visages, ça doit être assez compliqué, non ?

    Guy Coda : Pendant des années j’ai passé beaucoup de temps dans les cafés et autres lieux publics à

    faire le portrait des gens que je rencontrais. Cela a été pour moi une expérience très

    enrichissante mais j’ai fini par m’en lasser ! J’ai réalisé que dessiner des gens qui existent me

    limitait justement à ce qui existe- dans le sens réducteur du terme-, que cela créait une sorte

    de connivence obligée avec une chose qui me tenait à sa seule réalité. La dictature de la

    ressemblance est à cet égard exemplaire. Or j’ai besoin, comme tout créateur digne de ce

    nom, de m’extraire de cette réalité, me la réapproprier, l’extrapoler, la dépasser pour laisser

    s’exprimer ma singularité d’artiste !

    Open Mag : Oui, je vois ! Mais ne trouvez-vous que votre dessin, dans sa forme, est assezcoda

    classique ?

    Guy Coda : Vous savez, quand on cessera de mettre les gens dans des boites avec une étiquette et

    qu’on tournera le dos aux effets de mode, on aura fait un vrai pas en avant vers l’intelligence !

    Je ne sais pas si mon dessin est classique ou pas et pour tout vous dire je m’en contrefous ! Je

    ne dessine comme personne et personne ne dessine comme moi. Mon dessin n’est pas dans

    une mode quelconque qui ne vaudrait que parce que quelqu’un d’autre l’aurait décidé à ma

    place ! D’ailleurs, avant de commencer cette série j’ai travaillé longtemps des images de type

    « expressionniste » (tiens, encore une étiquette) qui sont peut être ce qui correspond le mieux

    à mon tempérament. Si j’ai choisi aujourd’hui un dessin en apparence plus « classique », c’est

    de façon délibéré, afin de mieux servir mon propos actuel. Comme ça au moins je ne peux pas

    me démoder !

    codaOpen Mag : Mais que représentent pour vous tous ces dessins ? En fait que recherchez-vous ?

    Guy Coda : L’art c’est le paradoxe de Zenon ! De même qu’Achille ne rattrapera jamais la tortue, je

    pense, comme tous mes confrères, être à la recherche de moi-même, de cet autre « moi » que

    nous poursuivons depuis toujours et que, fort heureusement, nous ne rencontrerons jamais !

    Finalement tous ces portraits ne sont peut être que des autoportraits détournés !

    Open Mag : Peut être, mais pourquoi « heureusement » ?

    Guy Coda : Parce que si on finissait par rattraper ce que nous poursuivons, notre quête du Graal

    s’arrêterait là et tout serait dit ! Ce serait la mort !…Et je ne veux pas mourir, pas tout de

    suite ! (rires)

     

    Un artiste talentueux que nous allons suivre tout au long de son évolution grâce à nos « Expositions éphémères ».

     

    Guy Coda  <davincicoda@orange.fr>

     

    ETUDES – FORMATION

    1969-70: Etudes à l’école de peinture décorative “Eugène Blot” à Reims. Obtention du diplôme de peintre – décorateur en juin 1970.

    Parallèlement, suit les cours des Beaux Arts de Reims en auditeur libre.

    Octobre 1970: Reçu sur concours à l’école Nationale Supérieure des Arts Décoratifs (E.N.S.A.D.) à Paris.

    1970 – 71: 1ère année d’ arts plastiques à la Faculté de Vincennes.

    1971 – 74: Etudes à l’E.N.S.A.D. et obtention du diplôme de l’école en juin 1974

    Depuis 1985 : Professeur de dessin à l’ E.N.S.A.D.

    EXPOSITIONS DE PEINTURES

    a) Individuelles

    1978: – Galerie Robert Clarence – Paris

    1981 – 82: – Sté Hewlett-Packard – Orsay

    1982: – Galerie Caveyrac- Paris

    – Centre culturel “Les venelles” – Bruxelles

    1986: – Semur en Auxois – Cote d’Or

    – “Le forum d’Artémis” – Besançon – Avec la participation

    de FR3 Régions

    1988: – Galerie Saint Martin – Chatillon sur Seine

    – Rue de Flandres – Paris

    1990 – 91 – 92: – Galerie D’Klic – Paris

    1991 – 92 – 93: – Verneuil sur Avre (Eure)

    1991: – Bernay (Eure)

    1992: – Galerie Didot – Paris

    – Galerie “Préface”- Paris

    1992 – 93 – 94: – Galerie 157 – Villemomble

    2001: Galerie “les cinq sens” – Paris

    2002 : Hôtel Sofitel – Paris- les Halles

    2003 : maison de la Beauce – Orgères en Beauce (28) Galerie Janos Paris 5ème

    2004 : Saint Ouen

    2005:Musée de La Poste – Paris –

    Salon du Raincy – Invité d’honneur

    Salon des Jonquerrets de Livet(27)- Invité d’honneur

    Exposition avec la D.R.A.C. Rhône –Alpes

    de juillet à août 2006 à Modane (73)

    2007 : Théâtre de poche (Chartres)

    Berlin – Galerie Kunstkreis

    2011: -Galerie « ARCIMA » –Paris

    2013 : Salle saint Michel – Bonneval

    b) Collectives

    1982: – Salon du dessin et de la peinture à l’eau – Grand Palais – Paris

    1983: – Salon de la société nationale des Beaux Arts – Grand Palais – Paris

    – Mairie du 4ème arrondissement – Paris

    1985: – Salon “les pastellistes actuels”- Les Ulis

    1982 – 86 – 87: – Musée de Tonnerre – Yonne

    1988: – 4ème salon international de Chinon

    1991 – 93: – “Le lièvre d’or” – Salon du conseil général – Dreux

    1992: – 1ère biennale de Marvejols (Lozère)

    1994: – Salon du Raincy

    2000: -5ème biennle de Marvejols

    2007: Abbaye de Nottonville (28) avec le collectif

    «Synchronicales »

    Redoute marie-Thérèse (73  

    NEC- saint Priest en Jarrez

    Berlin Galerie  Kunstkreis 

    Espace Cardin – Paris

    2008: Château de Chasselas

    DIVERS

    Parallèlement à son activité de peintre, a à son actif plusieurs réalisation en tant que graphiste, notemment la création de plusieurs timbres pour La Poste (séries 1 et 2 des parcs nationaux – 1996/97- carnet « héros d’aventure » – 1997 – timbre « vive les vacances – 1998 – timbre « 50ème anniversaire du conseil européen » et « Jeux olympiques de Nagano / super G- pour la poste d’Andorre -1998/99 –» 2006 : bloc de 10 timbres « coupe du monde de football 2006 – deux carnets (24 timbres) série « la France comme j’aime » parution nationale mai 2009.

     PRIX

    1988: Salon international de Chinon: médaille d’or du dessin “jeunes”

    1991: Dreux-Médaille d’or du Conseil Général section “Pastels”

    1992: Marvejols – Médaille d’or du salon décernée par le Conseil général avec le concours de la DRAC de Languedoc-Roussillon

    1994: Le Raincy – Médaille d’or du salon

    1996: Prix du plus beau timbre de l’année (La Poste-série “Parcs Nationaux”) élu par plus de 30 000 collectionneurs. Concours organisé par La Poste et la Sté IPSOS

    1997: Prix de la plus belle série de l’année (La Poste -série “Héros d’aventures”) Idem 1996

    1998: Lauréat du cconcours  organisé par La Poste pour le timbre “Vive les vacances”

    2010: Lauréat du concours organisé par La Poste pour la série (24 timbres) « La france comme j’aime ».

    Beaucoup d’artistes talentueux!!! Nous désirons les aider , alors n’hésitez pas à nous contacter pour une web expo.

  • ZHANG Hongyu

    ZHANG Hongyu

    ZHANG Hongyu, artiste chinois expose

    « ELLE »

    ZHANG Hongyu, artiste chinois

    Zhang Hongyu ou « Celui qui voyage sous le signe de l’eau. »

    Cet artiste contemporain dont l’approche figurative rejoint la grande tradition des expressionnistes occidentaux, n’en demeure pas moins un puriste de l’art extrême oriental où le dépouillement des formes et des couleurs satisfait à l’essentiel. Zhang Hongyu présente une œuvre marquée par une « mise en relief du sujet traité ».

    Cette approche peut-être considérée par certain comme désuette et pour d’autres elle touche au sublime ; il en est ainsi des goût et des couleurs. A l’heure ou l’on confond vitesse et précipitation, art et Pan Art.

    Retourner à l’essentiel, c’est cela être efficace ! Comme l’eau qui invariablement retourne à la source.

    JPB

  • Mu Tranier-Alaux, l’artiste des lumières

    Mu Tranier-Alaux, l’artiste des lumières

    Mu Tranier-Alaux, l’artiste des lumières.

    Mu Tranier-Alaux,

    Vous pouvez retrouver ses œuvres dans son atelier, la « mu-gallery » au 53 rue blanche dans le 9ème, sur rendez vous. (06 07 52 03 29), ou sur internet .

    Artiste Franco Toulousaine vivant à Paris, Mu Tranier-Alaux a exposé ses « abstractions figuratives et poétiques » à la galerie Thuillier. 25 œuvres ont été présentées de 2005 à 2008, des huiles de mue aux gommes laque, avec un arrêt sur image de deux portraits à l’huile, dont Giri Nari, grand Saint de l’Inde. Une œuvre, « impression du soleil levant » sera exposée cet automne à la résidence d’été de la cité impériale du japon.

    Pourquoi l’Asie ?

    « l’Asie est mon influence racine de l’Etre dans l’art. Des encres de la Chine aux espaces silencieux du Japon, je travaille parfois à l’ombre des grands maîtres Indiens.

    De là je tire sûrement quelque chose du japon, quant au lyrisme, il est très Chinois dans l’âme, seul les cadres diffèrent. »

    Zao Wo Ki !!! c’est du Zao Wo Ki !!! et bien non, elle ne le connaissait même pas.

    L’inspiration de Mu Tranier-Alaux rejoint spontanément celle des très grands : elle joue avec les lumières et les techniques comme un enfant qui s’émerveille de ce qu’il découvre. Chaque nouvelle oeuvre est un pas de géant vers une destinée prometteuse.

    Mary Ducasse

    « Je suis tombée sous la lumière d’un phare, Et les oiseaux avaient leurs ailes, L’eau semblait ruisseler des caniveaux… … Je ne me souviens que de cette vague impression d’abandon Et de l’Amour qui m’enveloppait. » La feuille morte. Mu

    Pour en savoir plus sur Mu Tranier-Alaux vous pouvez cliquer sur « mu sa vie, son œuvre »


  • YE Jianxin

    YE Jianxin

    YE Jianxin, artiste- peintre chinois/雄浑大地见真情, 读叶建新的水墨山水, 范迪安

    PEINTRE CHINOIS

    YE Jianxin, artiste- peintre chinois.

    你可以找到一個在中國的文字在文章的末尾

    YE Jianxin Né le 26 juin 1958, membre de l’Association des Artistes Chinois. Professeur à l’Institut des Arts du Cinéma et de la Télévision de l’Université de la Communication de Chine et directeur de Maîtrise. Responsable de l’Académie Nationale des Technologies du Cinéma et de la Télévision. Directeur du Comité Professionnel des Beaux-Arts. Professeur invité à l’Institut des Media de Zhejiang. Directeur de publication du Marché des Arts.

    Majestueux paysages, authentique émotion :

    Commentaire sur les œuvres de YE Jianxin par monsieur FAN Di’an

    雄浑大地见真情 读叶建新得水墨山水

    范迪安

    Les lavis paysagistes à l’encre de Chine de Ye Jianxin se distinguent par son style élégant et vigoureux hors du commun. Une structure audacieuse dans ses tableaux, une place importante accordée aux couleurs sombres et des traits profonds enveloppent une vitalité débordante. L’ensemble de ces caractéristiques forme un univers particulier qui nous impressionne et nous attire. De cette fascination, naît un contact personnel privilégié avec la terre et le ciel, issu du concept d’un esprit purificateur, il nous effleure d’une sensation de plaisir et de gaieté.

    Comme résumait parfaitement le célèbre écrivain contemporain chinois, LIN Yutang (1895—1976), lorsqu’il analysait la peinture chinoise : « toute inspiration artistique chinoise prend sa source dans les paysages ». En effet, lorsque la peinture paysagiste avait pris son essor à l’époque de la dynastie Tang, les expressions artistiques ses caractérisaient surtout par leur esprit esthétique. A travers leurs œuvres, les peintres manifestaient l’éloge de la nature. Cette extériorisation des sentiments illustrait la présence de l’esprit et valorisait la perception d’une réalité. Bien que par la suite, différents styles et courants apparurent dans les peintures paysagistes, la volonté d’interprétation d’une image réelle par son sens et vice-versa ainsi que la recherche visant à cerner l’âme des montagnes et des eaux par leurs formes physiques furent communes à toutes les peintures paysagistes chinoises. Les nuances des traits entre chacune des peintures ne changeaient en rien l’éloge des paysages.

    Ye Jianxin connaît parfaitement le positionnement de ces valeurs spirituelles dans les peintures paysagistes et cerne l’importance des places centrales qu’occupent « l’esprit » et « l’énergie qi气 » (l’air). Sur l’aspect théorique, Ye Jianxin veut transformer « l’esprit » et « l’énergie » en objets visibles afin d’interpréter l’âme insaisissable. En pratique, il commence par « l’énergie qi气 », c’est-à-dire tout ce qui est visible, pour se consacrer par la suite à la description de l’âme des paysages. Ce faisant, il rend le paysage encore plus réaliste tout en révélant ses talents et ses caractéristique artistiques.

    Les œuvres de Ye Jianxin reflètent donc, non seulement l’esprit de la nature, mais aussi ses propres caractéristiques. En effet, Ye Jianxin ne veut pas se limiter aux seules techniques artistiques : il souhaite aussi exprimer sa compréhension de la nature dans ses œuvres.

    Lors de son processus d’apprentissage artistique, Ye Jianxin a compris qu’il fallait dépasser le stade technique des mains en attirant volontairement l’expression d’émotions provenant directement du coeur et de l’inconscient. Originaire du nord de la Chine, il hérite d’un esprit ouvert et intègre également des tempéraments plus sensibles qui caractérisent les habitants du sud. Seuls les termes « émotions » et « sensations » authentiques peuvent qualifier son état d’esprit lorsqu’il contemple les chef d’œuvres de la peinture chinoise. Il ne considère pas la tradition des peintures paysagistes chinoises comme un élément isolé mais plutôt comme un univers artistique aux sentiments multiples. Et parce qu’ ému devant cet univers grandiose et ancestral, il ne prête pas attention aux détails sans importance. « Voyage imaginaire à travers les dynasties des Tang et des Song » qui se lit comme un roman classique, est justement l’aboutissement artistique réussi d’une recherche effectuée auprès des chefs-d’œuvre des peintres chinois traditionnels. A travers cette impressionnante peinture longue de 420 centimètres, le peintre nous fait apparaître une sensation d’estime mélangée à de la crainte et de la perplexité face à l’immensité d’une nature sauvage. L’esprit du Taoïsme prend alors tout son sens dans cette œuvre où la recherche de la nature est passée devant l’esprit purement esthétique.

    « Ame des montagnes », une série de travaux réalisés durant les années 1990, sont les œuvres les plus représentatives de Ye Jianxin. Dessiner l’âme des montagnes est en réalité l’objectif ultime que Ye Jianxin s’est fixé pour lui-même. Et, pour atteindre cet objectif, il parcours montagnes et sites historiques, synthétise la vision des peintures traditionnelles, et apporte ce qu’il ressent de la nature. A travers ses travaux, on pourra percevoir l’esprit d’indépendance des paysages qui sont l’essence même de la nature. Grâce à un impressionnant style artistique, Ye Jianxin a réussi à se démarquer des autres artistes.

    L’esprit Zen et les caractères humanistes font également partie des spécificité des œuvres de Ye Jianxin. A travers ses tableaux, nous pouvons percevoir la concentration qu’il a accordée pour tracer chacun des traits, sans superflu et uniquement des sentiments de confiance. Ces caractéristiques reflètent l’autodiscipline et l’esprit d’indépendance propres aux artistes chinois. A la différence de certaines soi-disant « peintures néo-littéraires », les œuvres de Ye Jianxin se distinguent à la fois par la conscience et l’esprit Zen des « peintures néo-littéraires » mais aussi par une absence totale d’attitude approximative ou négligée.

    Au niveau de la représentation graphique, Ye Jianxin recours fréquemment aux traits forts et puissants, créant ainsi un espace vivant et réaliste tout en laissant soin de préserver un caractère implicite dans la peinture.

    Dans la composition, Ye Jianxin dépasse le cadre et les règles réservés habituellement aux peintures paysagistes pour explorer davantage l’horizontal, le verticale et les parallèles… En appliquant un contraste fort dans le tableau, il renforce d’avantage l’impact visuel et augmente ainsi le caractère palpable des objets.

    Les couleurs sont rarement visibles dans ses peintures, car Ye Jianxin préfère exprimer ses sentiments affectueux pour la nature sous forme de lumières et d’ombres. Ye Jianxin est un artiste d’âge moyen prometteur, il s’efforce de progresser davantage dans l’art du la vie.

    雄浑大地见真情 读叶建新得水墨山水

    范迪安

    叶建新得山水画,大气磅礴,洒脱自然。其大胆的构图、大块的墨色、大笔的渲染,可谓恣肆淋漓、云覆山翻,充盈着蓬郁的生机,让人注明,并在注目之际既生“独与天地精神往来”的“澄道观”的快意。 正如林语堂在论中国画时精辟的描述:“中国艺术的冲动源于山水”。山水画在隋唐勃发兴起之时起,就是一种非功利的纯审美活动,画家对“天地大美”之恩、之情 、之意的外化,是精神与意识价值的体现,虽然在后世的第一个时代,山水画都呈现出不同的风格与面貌,但以意摄象、以象写意,这些山水画取山水之形、求山水之魂的理想却一以贯之,笔墨纵有个性差异,皆是对仁山智水的歌咏。 叶建新做山水画,是深知山水画精神价值定位的,也特别领悟到“神”与“气”在山水画中的核心义旨。在理论上他主张“精气为物,游魂为变”;在实践中,他以“气”入画,重在写山水物象之“魂”。;于此,他画出了既体现山水画真谛,又充分显现自我个性气质的一家风仪。 在研习山水画过程中,把揣摩领会传统这个必经的功课从“器”的层面上升到了“道”的层面。他重视山水画的笔墨技巧,但不是一般地从传统中学几路笔法墨象,而是将身心投入于对传统山水经典之作地“感悟”之中,用“心’的“感悟”带出手的“功夫”。依叶建新北方式的豪放式性情和南方人的敏感多情相结合的气质,他在面对古人经典时,只有感动二字才能确切表达他的状态。他看到的中国山水画传统,并不是单个细节,而是那个含蓄多情的艺术境界——因为感动,而忘却了那些不必要的细节。《梦游唐宋境》就是他对古代大家风格研习之作,全画犹如读古的长篇笔记,充满了自己对于境界的怀想与表现。在长达420厘米的画面中,烟岚清旷,山色空蒙,漠漠川原上林立着秀劲萧森的古木,空无一人的幽深画面充满莫名的神秘与惆怅,这种远边的孤寂与惶恐是每一位现代人回顾陌生的古代都会发生的一种惧畏,困惑与崇敬。我 相信人们看到这幅画,都会忽的一下被摄住,定定的屏住气息,望着迷梦一般的唐川宋林,似乎被画幅散发出来的冰冷寒气所笼罩——叶建新在研究传统时离“形”求“道”,进入了唐宋梦境的博大幽深世界,他也把这种世界带给了我们。 最能代表叶建新艺术的还当属他从20世纪90年代中期以来持续创作的《山魂》系列。为山川写神魂,这是一个高远的目标。为此他以中国气盛为支撑,跋涉游览许多名山大川,就像他以综合的眼光看待传统、以领略的整体意境为重点一样,他在面对自然景象之时,也是用心灵和情感去统摄与收取。他的许多作品画出了山水作为大自然本真生命的那番独立精神。山川巍峨奇峭,云气吞吐大荒,以一种大开大合的气象给人以永恒的意味。在当代中国画山水画坛名家辈出、形态纷呈的格局中,他以自己强烈的艺术风貌占有了一方天地。 在叶建新黑白分明、大气磅礴的作品中,蕴涵着深厚的人文精神。画面中没有唐突粗糙的涂鸦,看似信守挥洒而得,其实每笔都注精凝神,率意之中流露出自然与自信,这是中国文人独有得自律与精神,这种自省与尊古得精神也是学者型画家独有得人品与旗帜。与当代有些所谓“新文人画”不同的是,叶建新的画虽有文人画的意境与禅思,在逸笔生气中却未流露于其自娱与荒颓。 从笔墨角度看,叶建新的笔墨多是运势刚健的重笔和恣肆淋漓的大写意泼墨,大块的笔触与墨迹在宣纸上印留下富有动感和质感的生动空间,在洗练的黑白块面中穿插着坚凝的山石素壁,似乎偶然的笔墨皴染形成极富浑厚酣畅之意味,风尚雄古,一洗工气。在 这个基础上,他也注重苍健中的含蓄,把小写意的细腻勾染结合进入,使作品整体浑然,奈人寻意。 在构图上,叶建新突破了传统的经典章法和山水具体的地域性特征,多为横段式、平行式、放射式、内敛式,有的甚至是传统山水画的大忌。画面常违背一般山水自然的有机性,采用大疏密的对比,将焦点透视中的物象置于散点透视或平面构成中,扩大画中风景的可感度,强化视觉冲击力,极大地渲染了感情氛围。他一些作品的主干线条往往斜出画面下角,直冲云头天际,一如长锋破阵,嘎嘎然撑起全幅结构,在视觉上十分让人振奋,在无际视野间感受到空而不空、寂而不寂,领悟到遐想的妙端。 叶建新的画绝少设色,在这一批黑白水墨世界里,蕴涵了董其昌“画欲暗不欲明”的妙喻,深不可测的墨色中藏有“不尽之境”,明暗中蕴有“景外之景,意外之玄妙”,在深厚的笔墨中,对自然山水的迷恋和情怀跃然素纸,这是值得称道的。依他正处中年盛期,他将在水墨山水艺术中长足前进。

  • Christophe Crépin

    Christophe Crépin

    Implosante-Fixe » Curated by B.Hoang

    Implosante-Fixe » Curated by B.Hoang

    Christophe Crépin

    « La ligne est omniprésente sur les toiles abstraites de Christophe CREPIN. Comme Klee et Kandinsky, il crée des correspondances avec la musique et use de la ligne comme portée de ses sensibilités. A ce jour, ses acryliques nous transportent dans un espace-temps Cosmique où sa ligne est aux limbes des couleurs et aux confins de leurs conversations. Bruno HOANG a invité la compositrice de musique contemporaine Mariana Ungureanu : une de ses oeuvres sera présentée lors du vernissage »

    Contact Bruno Hoang 0662256730

  • HUANG Cang-su, un peintre chinois

    HUANG Cang-su, un peintre chinois

    Symphonie de la nature Exposition des œuvres de HUANG Cang-su

    Présentation du peintre

    Né le 20 avril 1961 à Linhai dans la Province du Zhejiang, Monsieur HUANG Cang-su est sorti d’une famille lettrée depuis trois générations. Son père est un peintre et diplômé en 1935 de l’École nationale des Beaux-Arts. Sous l’influence de sa famille, HUANG Cang-su a commencé à peindre dès l’âge de 4 ans, il a reçu une formation professionnelle à 8 ans, et à 10 ans, il a déjà organisé sa première exposition d’oeuvres personnelles dans la Maison de culture de sa ville. En outre, très jeune, sa réputation dans sa province était faite. Dans les années 80, il était entré au sein de l’Institut national des Beaux-Arts du Zhejiang (actuellement Institut national des Beaux-Arts de Chine). Ses professeurs étaient des grands maîtres, tels que LU Shao-yan, QUAN Shan-shi, XIAO Feng, ZHOU Cang-gu, ZHOU Cang-mi, WU Shan-ming, etc. Il a terminé ses études avec mention très bien avec son tableau chinois représentant¡¶M¨¨re des Qiang¡·qui a sensibilisé considérablement le milieu des beaux-arts de Chine.

    Pendant 40 ans, il a parcouru la Chine, il est allé 7 fois sur le plateau du Tibet pour en connaître les us et les coutumes, en faisant beaucoup de dessins d’après nature, et de croquis.

    En 1997, il a réalisé une peinture de grand format, Cloches de minuit. L’Agence Xinhua à Pékin a présenté cette peinture au monde entier tout en lui donnant une haute appréciation. Plus de 60 agences de presse étrangères ont reproduit cet article. C’était vraiment un évènement important. En 1999, sa peinture ¡¶H¨¦ros¡·a ¨¦t¨¦ encore une fois le focus de l’Agence Xinhua et d’autres agences de presse, elle a même paru à la Une du Journal Guangming. En 2007, il a réalisé la peinture de grand format La première équipe de Chine aux Jeux Olympiques. En 2008, Grande famille harmonieuse, une peinture très longue. Les deux dernières oeuvres ont paru dans le Journal du Peuple version outre-mer. Le Journal d’informations de l’Agence Xinhua dans son édition du 10 avril 2008 a présenté ces oeuvres dans plusieurs langues aux lecteurs étrangers. Pendant presque 40 ans, il a présenté une vingtaine d’expositions de ses oeuvres : tableaux chinois, peintures à l’huile, gouaches. Il a publié les Oeuvres choisies de HUANG Cang-su¡·, Oeuvres choisies des esquisses de personnages¡· duRecueil des oeuvres de HUANG Cang-su¡·, Recueil des croquis et 128 articles dans les revues aux niveaux national et provincial. En 1999, son nom est entré dans le Dictionnaire des personnalités de Chine et le Dictionnaire des experts de Chine. En l’an 2000, le Ministère de Poste et de la communication de Chine, le Ministère de Culture de Chine et l’Association des Artistes chinois ont sélectionné 16 oeuvres de HUANG Cang-su pour les publier en timbres. En juillet 2008, son oeuvre Retour en rêve au Tibet¡·a été classée la 59ème dans les 100 Oeuvres sélectionnées du monde par le Salon international des Artistes.

    HUANG Cang-su a déclaré : L’art naît dans le flou, il provient de la vie, et la surpasse. Pour un artiste, il est très important de savoir comment découvrir l’art dans la vie. En effet, mon art est de découvrir dans la vie la beauté dans son état originel, et de développer, d’affiner, de transformer, d’innover cette beauté, dans le but de marier l’art oriental avec l’art occidental pour compléter l’un et l’autre. Le monde de l’art est multicolore : comment manifester la beauté et la valeur de l’art par des écritures différentes… question difficile pour les artistes. Je suis une personne qui cherche parmi les signes de difficulté un espace propre à l’art et qui désire y arriver. La loi dans l’art fait foi, elle survole la ressemblance et son contraire, c’est un art expressionniste par lequel on arrive au monde de l’infini. Dans mes oeuvres, je peins comme thèmes l’état primitif des minorités nationales de Chine, je recherche la propriété de l’art par la création et l’innovation. L’objectif étant de faire ressortir une vocation d’art supra-disciplinaire, d’étendre l’esprit de la culture nationale et de développer l’art de la nouvelle époque. Ma maxime : La création est la vie de l’art.