Étiquette : nuoc
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Papaye géante, un fruit délicat et plein d’exotisme
est un fruit exotique qui peut se déguster en dessert ( au sirop) ou en salade (la fameuse salade de papayes) . Fruit saisonnier il n’est pas toujours bon…affaire à suivre. Dans les sorbets il prend toute sa splendeur gustative. Avant la papaye était rare et chère, aujourd’hui ce fruit est accessible à toutes les bourses. On trouve aussi de la papaye sous forme de fruits confits. -
Porc au caramel (cuisine vietnamienne, recette vietnamienne)
Porc au caramel (cuisine vietnamienne, recette vietnamienne)
Recette vietnamienne/ Cuisine vietnamienne
Recette du Porc au caramel
Les ingrédients :
3 gousses d’ail
500g d’échine
5 cuillérées à soupe de sauce de poisson (Nuoc mam)
5 cuillérées à soupe de caramel
1 cuillérée à soupe de sucreLa préparation :
D’abord faire chauffer à feu moyen une poêle avec de l’huile et l’ail, dès que ce dernier commence à roussir mettre le porc coupé soit en lamelles, soit en petits cubes …C’est selon votre désir personnel .
Quand la viande est à moitié cuite vous ajoutez le caramel, la sauce de poisson et le sucre.A ce moment précis le tout forme un amas pas très ragoûtant comme de la lave en ébulition.
Vous laissez à feu doux en remuant régulièrement…le tout va réduire et la viande prendra une belle couleur dorée à souhait. N’hésitez pas à goûter et rajouter une cuillérée de ….ou de … selon votre goût.
Si la sauce finale vous semble trop épaisse, à vous de rajouter une larme d’eau.
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J’ai quitté le Vietnam comme boat- people, je suis revenu en avion
Carnets de voyage en Asie, Vietnam
Une si longue absence.
J’ai quitté le Vietnam comme boat- people
Je m’appelle Manh et je viens de bien loin et je retourne au Vietnam. Vos yeux ne peuvent ni voir, ni entrevoir les paysages, les bonheurs et les angoisses enfouis dans le plus profond de mon être.
Par une nuit sans lune, la peur au ventre, maman et papa nous abandonnèrent avec plus de soixante personnes à la recherche d’un avenir rempli de plus d’espoir. Je ne le savais pas encore, mais 12 ans allaient nous séparer ce soir là.Deux coques de noix aux moteurs poussifs nous éloignèrent de la côte et bientôt nous ne vîmes que l’ombre blafarde de notre pauvre pays que la guerre avait si profondément transformé. Deux sœurs et un frère, une famille éparpillée, loin des parents , sans famille, juste des rescapés sur cette mer d’huile . Nous étions devenus des « Boat people » au regard hagard, ballottés par un mal de mer omniprésent, attendant une aide incertaine. Au milieu de nulle part, nous scrutâmes l’horizon pendant 4 jours et 3 nuits.
Rencontrer la marine vietnamienne et le carnage aurait été au rendez- vous, croiser un pavillon étranger et la délivrance nous aurait tendu les bras.
Heureusement j’avais le pied marin ! Je me rappellerai toujours de cette année 1981 où j’ai quitté mon pays sans savoir si un jour,mes pieds pourraient à nouveau, fouler le sol de mes ancêtres. Le moteur de l’autre bateau rendit l’âme sans complexe, immobilisant plus de 30 personnes. Un remorquage périlleux nous permit de continuer ensemble ce si douloureux voyage.
Soudain, nous vîmes un bateau à l’horizon et nos cœurs se figèrent empreints d’espoir, de fatalisme et d’angoisse. Étaient- ils des amis ou des ennemis, de l’espoir ou de l’horreur, un renouveau ou une fin tragique ? Une accablante et troublante incertitude s’empara de nous, enserrant notre ventre comme une tenaille mortelle, nous ne respirions plus. L’embarcation s’approcha, le temps était suspendu et soudain l’un de nous éructa un cri de joie libérateur, nous comprîmes aussitôt que l’avenir nous tendait à nouveau les bras. Nous n’en crûmes pas nos pauvres yeux fatigués, lassés mais heureux, le pavillon Français, le drapeau de tous les espoirs flottait là, fier et libérateur.
Deux mois d’attente dans un camp chinois de Hong-Kong, deux mois de brimades, deux mois où tous nos espoirs se tarissaient dans un méandre de questions sans réponse. J’avais la certitude que les chinois n’appréciaient pas les vietnamiens et qu’à la moindre occasion, ils les brimaient malgré qu’ils fussent leurs « gérants officiels », frontière entre le passé et l’avenir. Je me souviens qu’un jour adossé à une vieille voiture abîmée par le temps, j’attendais, comme tous les jours, l’appel quotidien de tous les « boat people », en rêvassant, quand soudain l’un des gardiens chinois vociféra des menaces m’accusant, moi un enfant de 1O ans d’avoir cabossé la carcasse en m’appuyant dessus. Je dus me défendre de ces accusations injustes et déloyales.
La sentence tomba, j’étais affecté, pour cet acte odieux, délibéré et plein de haine contenue, à la corvée déhonorante du nettoyage des wc.
Selon les conventions internationales de l’époque, la France, nous ayant recueilli à bord de l’un de ses bateaux, avait le devoir de nous donner asile dans leur pays. Je rêvais d’Amérique et je me retrouvais soudain plongé dans le centre de la France, à Châteauroux dans un autre camp de réfugiés. J’y suis resté plus de 13ans, 13ans à attendre, étudier et espérer un avenir meilleur. Puis je suis monté à Paris.
Le retour au Vietnam
Aujourd’hui, je viens d’obtenir ma nationalité française et une page de mon histoire se tourne. J’ai très envie de revoir le Vietnam pour retrouver un peu de ce passé qui reste collé à ma mémoire. J’avais quelques appréhensions, repartir pour découvrir un pays changé, si éloigné de mes souvenirs, cela me rendait hésitant et fort mal à l’aise. J’avais juste peur de ne plus aimer le Vietnam, car j’étais devenu une « entité hybride » partagée entre ici et là- bas. Ma décision était prise, il me fallait revoir malgré tout, ce pays qui me manquait tous les jours un peu plus. Dans l’avion qui me menait, ma sœur et moi, vers cet « inconnu si familier », s’entremêlaient, s’entrechoquaient sans cesse des images, des souvenirs, des rires et des pleurs . L’avion enfin dans un crissement de pneus s’immobilisa sur la piste.
Fébriles nous descendîmes et pénétrâmes dans le grand hall de l’aéroport international. Je fus soudain pris de panique quand je vis l’uniforme du fonctionnaire des douanes, mon corps tout entier frémit, mes jambes se dérobèrent sous moi et mes mains tremblèrent. Ma sœur, s’apercevant immédiatement de mon émoi incontrôlable, me glissa à l’oreille qu’il était plus prudent de ne pas se faire remarquer et d’éviter ainsi, toute difficulté. Je dus m’exécuter comprenant fort bien le bien fondé de ses appréhensions. La rue m’accueillit brutalement dans une farandole de couleurs joyeuses, d’odeurs exotiques, de klaxons stridents, d’images rayonnantes et surtout d’émotion. J’étais revenu chez moi, j’étais rentré à la maison après 25 ans d’absence et d’attente. Je compris immédiatement que les liens étaient restés intacts, forts et qu’ils avaient résistais aux attaques du temps. Rien n’avait vraiment changé, Saïgon égale à elle-même, demeurait cette ville bruyante, sale, speed, irrespirable mais si vivante.
La cathédrale se tenait là imperturbable mais envahie par des centaines de touristes harassés de chaleur, la poste, incroyable vestige colonial, ressemblait plus à un musée qu’au local des PTT. Mon cousin, l’un de mes innombrables cousins, nous guida à travers la ville pendant ces quelques journées d’euphorie et de redécouverte où le connu côtoyait sans cesse l’étonnement. Il nous dénicha les meilleurs restaurants. Je retrouvais les senteurs si particulières des plats typiques enfouis au fond de moi. Quand avec le temps notre culture s’estompe, il nous reste encore et toujours le goût de la nourriture, et tous les déracinés vous le diront sans détours. J’hésitais parfois à déguster du chien, du serpent ou du rat car mon éducation française, aseptisée, m’en empêchait. J’avais peur de tomber malade. Peut-être qu’avec le temps… ! Un petit tour au musée de l’ancien palais présidentiel, resté dans son jus depuis la chute de Saïgon, me laissa pantois et me rappela aussi les moments difficiles.
Direction Lagi située à 180 au nord de Saïgon, le village où j’ai vécu. Ma grande sœur se tenait là, attendant avec impatience notre arrivée, mais ne me reconnut point. Moi-même je dus faire des efforts pour mes innombrables cousins et neveux. Je m’étais préparé depuis fort longtemps à ces retrouvailles si poignantes, à cette joie jubilatoire, ainsi aucune larme ne coula sur mes joues. Le voisin, un ancien ami, s ‘est approprié toutes nos terres…Le temps, la guerre, les paysans, la méthode ancestrale de pêcher,les paysages à couper le souffle, mes amis, la maison familiale rien n’avait changé et tout avait changé. Le vent de l’histoire a dévasté nos cœurs et laissé comme une trace de nostalgie imperceptible, pas de haine seulement de l’émotion à fleur de peau.
Nous sommes restés 10 jours dans ce village de pêcheurs, une population déplacée, originaire du centre et installée ici depuis de nombreuses générations. Papa aimait y pêcher avec ses fils malgré une mer démontée et des vagues de 12m. Rien ne lui faisait peur, moi si. Cela me fait rire aujourd’hui, mais j’ai bien failli me noyer un peu trop souvent durant ces années de bonheur .
Et nouveau départ vers Quang Ngai, lieu de ma naiossance, plage paradisiaque, authentique, et située à 150 kms de Hué. C’était, à l’époque une base aérienne des forces américaines. Et des histoires de guerre poignantes et effrayantes consument encore aujourd’hui mon esprit. Il avait été établi un couvre-feu après le départ des américains et une famille entière de sourds, n’ayant pas eu connaissance de l’interdiction par les autorités du fait même de leur infirmité, furent mitraillés et déchiquetés dans un carnage sans nom. Ils partaient pour une simple sortie en mer,où ils ne pêchèrent que la mort.
Une promenade, un recueillement sur la tombe de mes grand- parents, une cérémonie d’offrandes, un petit tour en bateau rond typique, une dégustation de fruit Jacquier ou de raviolis à la vapeur, furent les activités principales de ces 10 jours.
J’y ai retrouvé mon tonton Chu Nam dont je suis très proche et qui me le rend bien d’ailleurs. Bizarre, bizarre, je me suis toujours dit qu’il ressemblait étrangement au président J.F Kennedy.
Parfois j’ai l’envie de me retrouver seul car je suis trop entouré, trop sollicité. Quand je vais au resto tout le monde veut m’accompagner et je règle l’addition. Pas que cela me coûte, mais bientôt cette situation est dérangeante et j’explique à ma famille qu’ en France je ne suis point un nabab. Mais le message passe souvent mal et la gêne s’installe. Tout le monde, ici, a cette impression que je suis un homme riche, parvenu à un niveau social extrêmement élevé et n’ayant surement aucun problème d’argent. Comment peuvent-ils imaginer, que je ne suis qu’un simple travailleur, endetté et payant des impôts ? Ce « statut » ambigu s’est révélé être le problème constant de tous les « viets- k » (les viets de l’étranger).
Nous sommes heureux de partir « seuls » en mini- bus vers le centre, à la découverte de Hué. Nous y rencontrons un fort sympathique cyclo- pousse qui nous fait découvrir avec bonhomie, tous les trésors de la ville impériale ? Quatre jours de légèreté, de totale liberté dans un charmant petit hôtel climatisé et peu onéreux (7 dollars/ nuit ).
Un mois, c’est vraiment trop court car nous n’avons visité que la moitié du pays, l’occasion de revenir bientôt pour d’autres aventures. Le départ est proche, nos valises pleines de cadeaux et nos yeux remplis d’images fabuleuses, nous rentrons avec le sentiment que très prochainement nous reviendrons.
Je m’appelle Manh, et je ne veux plus repartir, je rêve de rester vivre ici, au Vietnam, dans ce pays où qui m’attend déjà.
Vietnam je t’aime, Vietnam j’ai besoin de toi, V tu m’a manqué, Vietnam, Vietnam!!!
Contact MANH Carnets de voyage en asie
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Porc laqué croustillant (cuisine chinoise,recette chinoise).
Porc laqué croustillant (cuisine chinoise,recette chinoise).
Recette chinoise/ cuisine chinoise
porc laqué croustillant
Temps de préparation :
15 mn l’avant veille et 15mn pour le couper au moment de repas sans compter ou il faut laquer le porc régulièrement.
Ingrédients
Pour 4 personnes :
Marinade 2 jour avant
1 kg de poitrine fraîche non salée
5 épices
soja light
Marinade pour le laquage
Sucre
Purée de piment
Soja dark mushroms
Pour que la couenne devienne croustillante
Baking powder
Sel
Préparation
La veille dans un Tupperware mettre le porc + 6 cuillères à soupe de 5 parfum + une bonne rasade de soja light.
Bien mélanger et mettre au frigo. Retourner quand vous pouvez, souvent c’est mieux.
Mettre son four à chaleur normale, y déposer son porc couenne au-dessus sur le lèche-frite. 30mn, laisser cuire tranquillement. Puis laquer la chaire à de nombreuses reprises. Sur la couenne badigeonner de Baking Powder et de sel.
A servir avec :
Riz blanc
Carotte râpées
Concombres en tranches fines
Bol de Nuoc Mam préparé pour assaisonner si besoin riz ou légumes
le cochon noir:
Le « cochon nain » ou « cochon vietnamien » ou « mini cochon » ou « cochon miniature » est une désignation générale regroupant différents types de cochons ayant des caractéristiques communes (détails ci dessous) dont un petit gabarit comparé aux cochons de ferme. L’adjectif « nain » porte souvent à confusion car adultes, ils pèsent tout de même de 35 et 80 kg, jamais moins ! Ce qui n’est rien comparé aux cochons de ferme adultes qui pèsent 300 ou 400 Kg !
Ils sont aux cochons d’élevage ce que les poneys sont aux chevaux. Rien à voir avec nanisme ou rachitisme
La cuisine asiatique est facile/ Porc laqué croustillant
LA CUISINE ASIATIQUE
Si vous avez une recette asiatique facile et délicieuse, n’hésitez pas à nous la faire connaître et nous nous ferons un plaisir de la mettre illico presto en ligne. Merci
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Soupe de rognons ( cuisine vietnamienne, recette vietnamienne)
Soupe de rognons ( cuisine vietnamienne, recette vietnamienne)
Recette vietnamienne
Cuisine vietnamienne
Soupe de rognons
Ingrédients
100G g de rognons de porc bouillis et decoupés en fines lamelles
1 mug de riz + 2 mugs d’eau
Sauce de poissons ( selon votre goût 2 à 4 c à soupe)
Echalottes fraîches découpées finement
1 pincée de selPréparation
Cuire le riz dans l’eau + sel, et si la soupe est trop épaisse à la fin rajouter de l’eau
Quand le riz est enfin cuit et la soupe bien équilibrée en eau, rajouter les rognons , la sauce de poissons
Avant de servir mettre les échalotes et poivrerLa cuisine asiatique est facile
Vous saurez tout sur LA CUISINE ASIATIQUE
Si vous avez une recette asiatique facile et délicieuse, n’hésitez pas à nous la faire connaître et nous nous ferons un plaisir de la mettre illico presto en ligne. Merci
Soup of kidneys (Vietnamese cooking, Vietnamese recipe) Vietnamese recipe Vietnamese Food Kidney Soup ingredients 100 g g boiled pork kidney cut into thin strips 1 mug of rice + 2 mugs of water Fish sauce (according to taste 2 to 4 tablespoons) Freshly cut, freshly cut 1 pinch of salt Preparation Cook the rice in water + salt, and if the soup is too thick at the end add water When the rice is finally cooked and the soup well balanced in water, add the kidneys, fish sauce Before serving put the shallots and pepper Asian cooking is easy You will know everything about ASIAN CUISINE If you have an easy and delicious Asian recipe, please let us know and we will gladly put it on line. Thank you
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Recette de la Salade de poulet et sa soupe de riz
Salade de poulet et sa soupe de riz (cuisine vietnamienne, recette vietnamienne )
Recette de la Salade de poulet et sa soupe de riz.
Les ingrédients :
.1 poulet
.1 grosse poignée de riz
.Oignons coupés en lamelles, marinés dans du vinaigre de vin 15mns.
.Menthe fraîche, persil chinois, ciboulette.
.1/2 ccuillérée à café de sucreLa préparation :
.Mettre le riz dans de l’eau froide salée avec une poignée d’oignons coupés très finement et laisser chauffer.
.Après environ 15mns mettre le poulet entier, s’assurer qu’il trempe entièrement ; laisser le tout cuire ensemble en n’oubliant pas de vérifier la cuisson du poulet.
.Le poulet doit être à point et le riz très cuit comme si c’était du riz gluant.
.Le laisser refroidir et désosser à la main en gros morceaux.Puis faire la salade en mélangeant poulet + oignons crus en lamelles + sucre + à la fin avant de servir menthe fraîche, persil chinois et ciboulettes.
.Prendre le bouillon de poulet et son riz , présenter cette soupe dans un large bol et ne pas oublier de poivrer. _
suggestion : cette recette est délicieuse avec un canardChicken salad and rice soup (Vietnamese cuisine, Vietnamese recipe) Korea, Meal, Rice, Stone Pot Recipe for Chicken Salad and Rice Soup. Ingredients : .1 Chicken .1 large handful of rice Onions cut in strips, marinated in vinegar of wine 15mns. Fresh mint, Chinese parsley, chives. .1 / 2 ccillillà © with coffee of sugar The preparation : .Place the rice in cold salted water with a handful of onions finely chopped and let warm. .After about 15mns put the whole chicken, make sure it dips fully; Let the whole cook together not to forget to check the cooking of the chicken. . The chicken should be at the point and the rice very cooked as if it were sticky rice. . Let it cool and bone by hand in large pieces. Then make the salad by mixing chicken + raw onions in slides + sugar + at the end before serving fresh mint, Chinese parsley and chives. Take the chicken broth and its rice, present this soup in a large bowl and do not forget to pepper. _ Suggestion: this recipe is delicious with a duck
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Salade vietnamienne crevettes, porc recette plat pleine de saveurs
Recette vietnamienne
Cuisine vietnamienne
Salade vietnamienne aux crevettes et porc
Ingrédients
200 g de poitrine de porc cuite à l’eau et découpée en tranches fines
100 g de crevettes décortiquées cuites
1 cuisse de poulet ou blanc de poulet cuit à l’eau ou à la vapeur et émincé
150 g de germe de soja
2 feuilles de salade coupées en lanières
100g de concombres coupés en allumettes
3 carottes rapées très grossièrement
1 ciboule coupée
6/7 belles feuilles de menthe hachées grossièrement
2 c à café de poudre de riz grillée
1 c à soupe de cacahuettes piléesPréparation
paner le porc et les crevettes dans le riz grillé
mettre le tout dans une grande assiette et mélanger
n’ajouter la sauce qu’au dernier moment au risque de bruler les légumesVietnamese salad shrimp and pork (Vietnamese cuisine, Vietnamese recipe) Vietnamese recipe Vietnamese Food Vietnamese Shrimp and Pork Salad ingredients 200 g pork breast cooked with water and cut into thin slices 100 g cooked cooked shrimp 1 chicken thigh or chicken breast cooked by steaming or boiling in water 150 g of soya bean 2 lettuce leaves cut into strips 100g of cucumber cut into matches 3 carrots grated very roughly 1 spring onion 6/7 beautiful mint leaves coarsely chopped 2 tsp of roasted rice powder 1 tablespoon crushed peanuts Preparation Bread pork and shrimp in grilled rice Put all in a large plate and mix Add the sauce only at the last moment to the risk of burning the vegetables
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Seiches au curry à la vietnamienne (cuisine vietnamienne, recette vietnamienne )
Seiches au curry à la vietnamienne (cuisine vietnamienne, recette vietnamienne )
Recette vietnamienne/ Cuisine vietnamienne
Seiches au curry à la vietnamienne
Ingrédients
1 kg de blanc de seiches
4 petits oignons
1 cuillère à soupe de sucre
2 cuillères à soupe de curry en poudre
1 cuillère à soupe de pâte de curry
3 gousses d’ail
5 cuillères à soupe de sauce de poisson ou Nuoc Mam
1 pincée de selPréparation
écraser l’ail
Faire dorer les oignons et l’ail
mettre le blanc de seiches coupé en lanières épaisses. Ajouter curry en poudre + curry en pâte + sucre + sel + Nuoc Mam.
Faire cuire à feu vif 5 à 10 mn maximum. Laisser ensuite mariner plusieurs heures. C’est toujours meilleur réchauffé.Servir avec du riz
Seiches with Vietnamese curry (Vietnamese cuisine, Vietnamese recipe) Vietnamese Food / Vietnamese Food Vietnamese curry cuttle fish ingredients 1 kg of cuttlefish white 4 small onions 1 tablespoon sugar 2 tablespoons curry powder 1 tablespoon curry paste 3 cloves of garlic 5 tablespoons of fish sauce or Nuoc Mam 1 pinch of salt Preparation Crush the garlic Brown onions and garlic Put the white cuttlefish cut into thick strips. Add curry powder + curry paste + sugar + salt + Nuoc Mam. Cook over high heat for 5 to 10 minutes. Allow to marinate several hours. It's always better heated. Serve with rice
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Cuisine vietnamienne, recette vietnamienne, La soupe de riz
Soupe de riz (cuisine vietnamiennne, recette vietnamienne)
Recette vietnamienne
Cuisine vietnamienne
Soupe de riz
Ingrédients
4 tasses de riz et 8 tasses d’eau
sauce de poisson, nuoc mam (en fonction du goût)
1 pincée de sel
ciboulette fraîche découpée en rondellesPréparation
faire cuire le riz + sel
si la soupe est trop épaisse rajouter de l’eau
verser la sauce de poissons, nuoc mam
avant de servir mettre la ciboulette et de la coriandre et poivrer -
Delta du Mékong, le grenier à riz du Vietnam
Carnets de voyage en asie, Vietnam au fil de l’eau
Carnets de voyage en asie
Vietnam au fil de l’eau Douceur qui glisse comme un bateau par le vent emporté.
Vietnam,delta du Mékong
Vietnam, le grenier à riz
Vietnam, embouteillage sur l’eau
Port de fortune
Bateaux ou péniches?
La venise vietnamienne
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©Reportages d’asie et asie reportages