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  • Sam est passionné de bonzaï, exposition Au Centre Socioculturel des Marnaudes

    Sam est passionné de bonzaï, exposition Au Centre Socioculturel des Marnaudes

    BONZAI et SAM

    Sam est passionné de bonzaï (Penjing) et ici à OpenMag nous adorons les gens qui possédent une vraie passion et il  sait nous la faire partager. Alors merci à notre ami Sam

    Exposition au Centre Socioculturel des Marnaudes. Juste quelques mots pour vous dire que je suis passionné de la culture de Bonsaï depuis plus de 15 ans et celle-ci est un art ancestral qui trouve ses origines en CHINE au moins 200 ans avant Jésus-Christ, à l’époque de la dynastie des Han. On parle à ce moment-là de Penjing 盆景( paysage en pot ).Introduit  beaucoup plus tard au Japon, vers le 10è siècle. L’origine du mot Bonsaï 盆栽 est japonaise, et signifie littéralement arbre poussant dans un pot.
    En 2016, j’ai fait une exposition de mes cinquantaines de Bonsaï à l’Hôtel de ville de Rosny sous Bois, les gens les ont bien appréciés. Et l’autre jour, à la demande du Centre Socioculturel des Marnaudes, j’ai effectué aussi ma petite exposition. Voilà ma petite anecdote sur ma collection de « Penjing ».

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  • AKI KURODA/LES CARNETS DE LILA PIK

    AKI KURODA/LES CARNETS DE LILA PIK

    AKI KURODA/LES CARNETS DE LILA PIK

    LES CARNETS DE LILA PIK

     

    AKI KURODA : Avant toute autre chose, allez voir cet artiste et ne me dites pas que vous n’avez pas le temps.

     Un mois pourri, un ciel noir, des idées noires, une pluie sans fin, Maussade… SAUF qu’avec Aki Kuroda, le noir est couleur, mouvement, grâce, souplesse, fantaisie, errance.

    Sur des immenses toiles, il crée des histoires où chacun voit ce qu’il veut. D’ abord, l’œil embrasse la toile dans son ensemble, trouve ses repères, et soudain, d’autres repères surgissent, d’autres angles de vue apparaissent et l’histoire change.

    Des satellites de couleurs tournent autour de cette architecture noire, pleine ou en fil de fer. C’est un monde à découvrir, avec ses personnages et ses thèmes récurrents : le lapin, les sphères de couleur, des silhouettes … C’est beau, fort, moderne et captivant. Aki Kuroda ne s’arrête pas aux toiles. Il peint des fresques murales, décore des boutiques, réalise des costumes et des décors de théâtre … D’origine japonaise, il vit depuis quarante ans en France, à cheval sur deux cultures, et c’est plutôt très réussi ! Il était présent ce soir- là, je l’ai pris en photo devant une de ses toiles (la plus grande exposée, 2,00 x 4,80, banquise city) parce qu’on a vraiment l’impression qu’il sort de sa maison ! Singing in the rain, mon parapluie et moi sommes repartis enchantés. Et on a même bu un petit bordeaux en terrasse malgré la grisaille et la pluie.

    Aki KUDORA-

    Des toiles les plus récentes qui appartiennent à la série « cosmojungle » et des toiles plus anciennes mais qui valent le détour !! il y aussi quelques peintures de taille normale mais moi, je préfère les grands formats !

    LILA PIK

    Peintures d’Asie

  • Seitai (art corporel japonais) par Nicolas Champoux

    Seitai (art corporel japonais) par Nicolas Champoux

    Seitai (art corporel japonais), historique par Nicolas Champoux

     un art corporel japonais.

    Historique

    A l’orée de la Seconde Guerre mondiale, un gigantesque recensement du patrimoine culturel est effectué sur l’injonction du gouvernement qui redoute une perte de savoir liée à une éventuelle et envisageable disparition d’experts.

    Les experts en médecine traditionnelle se regrouperont quant à eux au sein de la Kenko Hojikai, la fondation pour la préservation de la santé. Ils vont s’attacher à synthétiser ces connaissances et à faire ressortir l’essence commune des disciplines qu’ils ont le privilège d’étudier dans leur ensemble. Il faut tenir compte qu’à cette époque, beaucoup d’écoles conservaient des informations secrètes comme dans le domaine des arts martiaux.

    Un membre charismatique, Haruchika Noguchi, s’imposera comme un leader naturel et fera émerger le Seitai -corps juste ou corps en ordre- de cette réunion d’experts. Il ajoutera cependant la dimension psychologique et la notion d’inconscient dans sa pratique.

    A la fin de la guerre, le pays est détruit, et Noguchi rassemble et séduit nombre de patients dans la détresse en avançant que la mémoire de la santé est dans le corps ainsi que les moyens de la recouvrer, insistant sur le rôle du système involontaire qui lutte perpétuellement pour sauvegarder l’équilibre du corps.

    Noguchi par sa vision originale va développer sa propre école et créer dans le même temps la Seitai kyokai – la fondation de Seitai. Des élèves vont le suivre malgré l’extrême exigence de l’enseignement de Noguchi et participer au développement du Seitai au Japon. Noguchi réussira à faire reconnaître le Seitai par l’éducation nationale japonaise ce qui lui conférera toujours une place à part et privilégiée dans le monde des praticiens.

    Vers la fin de sa vie, Noguchi va créer le Katsugen Undo (le mouvement régénérateur introduit en France par Itsuo Tsuda dans les années 1970) afin de pouvoir traiter plus de monde. Il est également relaté que Noguchi soignait à la fin de sa vie en s’adressant directement à l’inconscient de ses patients.

    Kuniaki Imoto, étudiera le Seitai avec son père dès l’âge de 5 ans et cela dans l’entourage immédiat de Noguchi. Il créera par la suite sa propre méthode, le Imoto Seitai.

    En résumé, il est intéressant de préciser que la différence entre les deux écoles n’est pas dans l’essence mais se situe principalement dans la manière de s’adresser aux groupes de pratiquants et/ou de patients. En effet, dans le Imoto Seitai, le Katsugen Undo n’est pas pratiqué mais a été remplacé par les Taisos -éducatifs corporels- qui permettent à tout un chacun de prendre en charge ses problèmes spécifiques en améliorant la perceptibilité de son corps.

    De nos jours, seules la Fondation de Seitai et le Imoto Seitai sont reconnus par le gouvernement.

    La diffusion du Imoto Seitai en France a été effectuée par Olivier Nesmon, maintenant installé au Canada, qui pour la petite histoire, a rencontré Kuniaki Imoto dans un avion sur une ligne intérieure au Japon. Il entrait au Dojo quelques jours après cette rencontre pour une séance « découverte » et allait y rester 11 années à étudier auprès de Kuniaki Imoto et finir par diriger le Dojo de Tokyo.

    Il consacre maintenant sa vie à la diffusion du Seitai dans le monde en organisant régulièrement des stages, au Canada, en France, et à l’étranger.

    Le prochain stage de Seitai animé par Nicolas Champoux, élève d’Olivier Nesmon aura lieu à Paris le dimanche 8 novembre 2009 à proximité du métro Nation.

    Pour les inscriptions aux cours et aux stages,

  • Sushis, en vidéo sur 1001 et un sushis

    Sushis, en vidéo sur 1001 et un sushis

    Recettes, les Sushis

    Les sushis sont de petits pâtés de riz vinaigré recouverts par une fine tranche de poisson cru. Rien de plus facile à réaliser…

    Ingrédients (pour 6 personnes) :

     450g de riz rond japonais
    350G de poisson cru
    1 cuillère à soupe de vinaigre de riz diluée dans un bol d’eau

    Achetez le kit Pour les étapes préliminaires, consultez la recette de cuisson du riz et celle de la découpe du poisson.

    Etape 1- Une fois que le riz est tiède, prenez une petite boule dans votre main, et donner lui la forme ovale, en fonction des morceaux de poissons de vous avez.

    Astuce : Humidifiez vos mains de la dilution d’eau et de vinaigre pour que le riz ne colle pas.

    Etape 2 – Une fois que le riz à la forme d’un petit paté oval, mettez le au creux de votre main, puis placez la tranche de poisson cru aux extrémités de vos doigts.

    Etape 3- Ramenez vos doigts sur la boule de riz et serrez en veillant à ce que le poisson recouvre bien les côtés.

    Voir la vidéo sur le site 1001 Sushis

  • Cuisine asiatique, les astuces : Wasabi et kikkoman

    Cuisine asiatique, les astuces : Wasabi et kikkoman

    Cuisine asiatique, les astuces : Wasabi et kikkoman

    Wasabi et kikkoman, ne jamais mélanger ensemble

    Pour déguster les sushis dans la cuisine japonaise, nous mélangeons souvent le wasabi (raifort) avec lekikkoman( soja) ; ceci est une erreur grossière pour les puristes de la cuisine du soleil levant.

    Pour apprécier la pleine saveur de ces préparations aux yeux bridés, il est impératif de déposer une toute petite portion de wasabi sur le poisson et tremper le tout ensuite dans le soja.

    Ainsi toutes les finesses de cette association à la fois piquante et douce, pourront s’épanouir et extasier vos papilles gourmandes. Wasabi et kikkoman, ne jamais mélanger ensemble

    Pour déguster les sushis dans la cuisine japonaise, nous mélangeons souvent le wasabi (raifort) avec lekikkoman( soja) ; ceci est une erreur grossière pour les puristes de la cuisine du soleil levant.

    Pour apprécier la pleine saveur de ces préparations aux yeux bridés, il est impératif de déposer une toute petite portion de wasabi sur le poisson et tremper le tout ensuite dans le soja.

    Ainsi toutes les finesses de cette association à la fois piquante et douce, pourront s’épanouir et extasier vos papilles gourmandes.

  • Jardins japonais et beautés de la nature

    Jardins japonais et beautés de la nature

    Les jardins japonais, qui excellent dans la création de reproductions symboliques de paysages ou de marines dans le cadre restreint de quelques centaines de mètres au maximum, sont renommés dans le monde entier. Ayant évolué à partir du parrainage d’une classe dominante d’un extrême raffinement et des principes du Bouddhisme et du Shintoïsme, les jardins japonais sont de sublimes combinaisons de plantes, de sable, d’eau et de roches qui célèbrent les beautés de la nature dans une forme artistique parfaitement structurée. Les enceintes des temples comptent de nombreux jardins, et beaucoup d’entre eux sont vieux de plusieurs siècles.

    Kyoto compte en particulier une profusion de jardins japonais, et ceux de la Villa Impériale Katsura, des Temples du Ginkakuji et du Kinkakuji, du Château Nijo ainsi que le célèbre jardin de pierre du Temple Ryoanji en sont les exemples les plus subtils. A Tokyo, les plus beaux jardins sont ceux Higashi Gyoen, Hama Rikyu et Koishikawa Korakuen, et le vaste parc public de Shinjuku Gyoen qui, à l’origine, était un des lieux de détente de la famille Impériale. Ailleurs, le Kenrokuen de Kanazawa, dans la Préfecture de Ishikawa, le Kairakuen dans la Préfecture d’Ibaraki, le Korakuen de la Préfecture d’Okayama et le Parc Ritsurin dans la Préfecture de Kagawa sont parmi les plus importants.

    Article paru sur le site de » l’Office National du Tourisme Japonais« 

    Office de tourisme national japonais Ikuko NAGAO Adresse : 4, rue de Ventadour 75001 Paris FRANCE Tel (direct):0142962961