Étiquette : Inde

  • Papaye géante, un fruit délicat et plein d’exotisme

    Papaye géante, un fruit délicat et plein d’exotisme

     Papaye géante

    est un fruit exotique qui peut se déguster en dessert ( au sirop) ou en salade (la fameuse salade de papayes) . Fruit saisonnier il n’est pas toujours bon…affaire à suivre. Dans les sorbets il prend toute sa splendeur gustative. Avant la papaye était rare  et chère, aujourd’hui ce fruit est accessible à toutes les bourses. On trouve aussi de la papaye sous forme de fruits confits.
  • Inde un anniversaire inoubliable au delà du réel !

    Inde un anniversaire inoubliable au delà du réel !

    Carnets de voyage en Asie, Inde un anniversaire inoubliable au delà du réel !

    Carnets de voyage en Asie

    Inde un anniversaire au delà du réel !

    Comme tombée du ciel, tel un cadeau aux parfums d’encens, cette invitation a bouleversé mon quotidien.

    C’était bien pour moi ce billet d’avion, bien à mon nom, ce n’était pas une erreur, mais simplement une surprise, ma foi, fort agréable. Avais- je été choisi à un jeu de hasard, ou peut- être un fiancé caché voulait-il me déclarer sa flamme ? Rien de tout cela, simplement le geste d’un ami qui, pour fêter son anniversaire, avait eu la très bonne idée d’inviter en Inde, tous frais payés, plus d’une centaine de copains du monde entier. Lucas, car c’est lui le déclencheur de rêves, nous avait concocté un voyage enchanteur de 3 jours dans un lieu magnifique, aux paysages pittoresques, juste à la frontière de désert pakistanais : Jaiselmer.

    Un rendez- vous et une date furent fixées par notre hôte pour fêter cet anniversaire si inattendu ; entre rêve et réalité, une centaine de parfaits inconnus allaient bientôt traverser une partie du monde et se retrouver à des milliers de kilomètres pour célébrer .

    . Enfin, après un voyage bercé par mon imagination fertile où se mêlent images et émotion, l’avion, dans un vrombissement de réacteurs, se pose à New Delhi… Le Taj Mahal, le palais des vents, les fleurs, les parfums….. Que d’images grandioses défilent devant mes yeux !!!

    Nous avons, ma sœur et moi, le temps, avant la grande fête, de faire quelques emplettes dans des marchés aux couleurs éclatantes et luxuriantes.

    Le moment si longtemps attendu arrive enfin « l’anniversaire de Lucas ». Trois jours de fête non-stop, de rires, de danse et de musique commencent. Nous nous retrouvons tous dans un splendide palace pour un dîner somptueux où couleurs et senteurs se mélangent dans un ballet feérique. Tous sont là, venus des quatre coins du monde, anglais, espagnols, français, allemands, américains, etc…., pour un vrai « melting- pot » international où la bonne humeur règne en maître.

    Enfin nous partons en direction de Jaiselmer dans un train qui file à travers la nuit. …. Une nuit de danse, de musique et de chants….

    Lucas nous a réservé bien des surprises notamment 2 jours dans le désert !!!

    Nous voilà tous sur des chameaux à crapahuter comme des mercenaires du dimanche, parfois même au galop en plein désert. Nous sentons cette liberté qui nous manque tant dans nos mégalopoles !!!

    Pause.

    Les musiciens locaux qui nous ont accompagnés prennent place, jouent…et, comme par magie, nous nous mettons à chanter, danser, le désert, à ce moment, nous appartient corps et âme. !!! Enivrés par la magie des lieux et le manque de repères nous nous laissons aller à une saine fébrilité qui nous emporte jusqu’aux lueurs de l’aube. Le matin arrive enfin à petits pas feutrés et ne peut que constater cette fièvre qui s’est emparée de nous.

    Nous allons à la rencontre des gens du village. Ils sont tous venus nous souhaiter la bienvenue. Comme l’ambiance est à la fête, et comme nous ne pouvons pas nous comprendre, le chef du village nous chante des chansons et là, immédiatement les notes de musiques nous parlent et nous transportent dans un autre univers, sans frontière où tous nous nous comprenons et communiquons !!!

    Un sommeil bien mérité peuplé de souvenirs magiques nous permet de récupérer et de nous préparer pour le jour J. Une seule obligation pour cette mémorable soirée : s’habiller en rouge.Les gens du coin n’en reviennent, écarquillent les yeux l’air interrogatif et se posent des questions en observant notre accoutrement vermillon. Nous comprendrons plus tard que, dans cette région de l’Inde, le rouge est la couleur du mariage. Les pauvres, ils ont du penser que c’était un mariage collectif à la chinoise, peut être même une secte venue d’Europe !

    Mise en bouche… à la tombée de la nuit, apéro sur la terrasse du magnifique palace, musique classique à « fond les ballons » et feux de bengale à gogo… soirée inoubliable entrecoupée de moments d’émotion, de partage et de rires. Des instants qui resteront à jamais gravés dans nos mémoires.

    Merci Lucas, de nous avoir fait vivre et partagé tous ces moments de joie pour un anniversaire inoubliable.

    Patou

    Inde un anniversaire inoubliable au delà du réel !

  • Une bretonne à la recherche du Nirvana !

    Une bretonne à la recherche du Nirvana !

    Une bretonne à la recherche du Nirvana !

    Une bretonne à la recherche du Nirvana !

    Jeu : une bretonne rousse s’est cachée parmi des indiens, à vous de la retrouver… pour le gagnant, 100kg de crêpes et un magnifique séjour à Redon.

    Un groupe de 20 bretons est parti 15 jours en Inde du Sud traversant le « Tamul Nadu pour rejoindre la côte ouest du Kerala. Piloté par un guide du pays, nous avons sillonné le sud de l’Inde en car en passant par Chennai, Pondicherry, Maduraï, Kodal Kanal, Black Waters…Cochin et retour en train de nuit. »

    Nos bretons ont été impressionnés par cet étrange animal fort rare en pays Bigoudin


    Une fesnoz très exotique

    « La ferveur des indiens dans les temples, le sourire et la gentillesse des hommes et des femmes que nous avons côtoyés, la finesse des plats au curry, les rick shaws zigzagant entre les camions voitures et vaches sacrées, les saris chatoyants, la beauté des paysages ensoleillés : montagnes, rizières, sequoias, palmeraies, plages… sont autant de souvenirs impérissables et colorés. Nous attendons tous une bonne occasion pour partir à la découverte de l’Inde du Nord ! »

    Soizick

    PS : « une seule fausse note, il me manquait le cidre et les crêpes…. A défaut de crêpes j’ai pris des NANS, mais ce n’est pas pareil, il manque ce petit supplément d’âme qui donne ce goût breton si particulier et qui parle à mes origines flibustières ». Pourquoi aller si loin, le Nirvana c’est la crêpe avec une rincée de cidre.

    PS:et du coup j’ai décidé de changer ma vie!



    A Breton looking for Nirvana!

    A Breton looking for Nirvana!

    Game: a red-haired Brittany hidden among the Indians, you find her … for the winner, 100kg of pancakes and a magnificent stay in Redon.

     

    A group of 20 Breton traveled 15 days in South India crossing the « Tamul Nadu » to join the western coast of Kerala. Driven by a guide of the country, we crossed the South of India by bus through Chennai, Pondicherry , Madurai, Kodal Kanal, Black Waters … Cochin and return by night train.  »

     

    Our Breton ones were impressed by this strange animal very rare in country Bigoudin
    A very exotic fesnoz

    « The fervor of the Indians in the temples, the smile and the kindness of the men and women we met, the delicacy of the curry dishes, the rick shaws zigzagging between the trucks cars and sacred cows, the shimmering saris, Sunny landscapes: mountains, rice paddies, sequoias, palm groves, beaches … all of them are imperishable and colorful souvenirs, and we are all waiting for a good opportunity to discover northern India!  »

    Soizick

    PS: « Only one false note, I miss cider and pancakes …. In the absence of pancakes I took NANS, but it is not the same, it lacks that extra bit of soul that gives this A Breton taste so special and which speaks to my filibustering origins « . Why go so far, the Nirvana is the crepe with a rinse of cider.

    PS: and suddenly I decided to change my life!

  • Poulet curry recette et cuisine mixte

    Poulet curry recette et cuisine mixte

    (recette chinoise, vietnamienne, thaïlandaise…), recette mixte

    Recette chinoise de Poulet curry

    Cuisine chinoise

    Pour 4 personnes

    Ingrédients

     4 blanc de poulet
    3 cuillères à soupe de curry en poudre
    ½ cuillère à café de piment de Cayenne
    500 ml lait de coco , sel et poivre

    Préparation

     Préparer la pâte de curry : mélanger tous les ingrédients, vous obtenez une pâte très épaisse, ajouter un peu d’eau (1 à 3 cuillères à soupes) jusqu’à obtenir la consistance désirée.
    Émincer les escalopes de volailles en lamelles, et les faire mariner avec la pâte de curry, couvrir et mettre au frais au moins 30 minutes.
    Cuire le poulet au curry dans une poêle anti-adhésive bien chaude, servir de suite.

  • Bouddha

    Bouddha

    Bouddha et le bouddhisme

    Bouddha et bouddhisme

    Prince indien qui vécut au VI e siècle avant notre ère.

    Le mot, le nom Bouddha, veut dire l’éveillé. Le nom patronymique duBouddha est Siddharta Gautama Sakyamuni. Sakyamuni signifie : du clan Sakya, de la lignée Sakya.

    Bouddha, Bouddhisme, Eveil, Nirvana, Karma.

    De quoi s’agit il ?

    La doctrine du Bouddha est basée sur la découverte intime et bouleversante, qu’il fit de la souffrance humaine. Il en tira après une très longue méditation, un enseignement en quatre points, connu sous le nom des Quatre Nobles Vérités*.

    Les Quatre Nobles Vérités :

    La souffrance. Dukkha
    L’apparition de la souffrance. Samudaya
    La Cessation de la souffrance. Nirodha
    Le Sentier (La voie) Magga

    Dukkha La souffrance :

    Il décrit les formes de souffrances, mais aussi comment la souffrance apparaît et pourquoi, quels en sont les mécanismes, les causes. Ici, le Bouddha décrit cinq formes, ou sources, nommées agrégats (le cœur du bouddhisme) :

    La matière (solidité, fluidité, chaleur et mouvement).

    Les sensations (trois groupes de sensations, les sensations plaisantes, déplaisantes ou neutres).

    Les perceptions (ce sont les perceptions qui permettent de reconnaître les objets physiques ou mentaux) .

    Les formations mentales (ce groupe comprend tous les actes volitionnels, bon ou mauvais plus connus sous l’appellation « Karma »).

    La conscience (réaction du corps ou de l’esprit aux phénomènes extérieurs).

    Telles sont les cinq sources et les cinq formes de la souffrance.

    Samudaya L’apparition de la souffrance :

    Elle provient du désir. Et qu’est-ce que le désir ?

    C’est une soif, ardente, une avidité passionnée, ce qui fonde et produit la ré-existence. Cette soif d’être, d’être ou d’avoir, provoque aussi tous les malheurs des êtres vivants. Du conflit entre deux humains jusqu’aux guerres mondiales.

    Telle est la cause de l’apparition de la souffrance.

    Nirodha La Cessation de la souffrance :

    La troisième découverte est qu’il existe une émancipation, une libération possible.

    Le seul but possible, selon le Bouddha, c’est la libération, la cessation de la souffrance, subie, ou causée.

    En s’attaquant à la racine de la souffrance, c’est à dire le désir, la volonté, et même le sentiment du besoin, faim ou soif.

    Magga Le Sentier (La voie) :

    Connu sous la dénomination de Sentier du milieu, parce qu’il s’agit d’éviter les extrêmes :

    La poursuite du bonheur par la dépendance du plaisir des sens.

    L’ascétisme nihiliste (conçu comme bas et vulgaire).

    Le sentier est simplement la pratique juste des huit vertus :

    – Compréhension juste. – Pensée juste. – Parole juste. – Action juste. – Moyen d’existence juste. – Effort juste. – Attention juste. – Concentration juste.

    Voilà pour l’essentiel la doctrine bouddhique initiale.

    De la doctrine, et de l’enseignement originel, bien des mouvements sont nés, et bien des disciples ont constitué des écoles, qui se réclament toutes, plus ou moins de cette doctrine initiale.

    Le bouddhisme n’est certes pas une organisation totalitaire et unifiée, c’est plutôt un mouvement, et différentes écoles proposent leurs approches. Et cela peut surprendre, car ces différentes écoles semblent très éloignées entre elles, sur le fond comme sur la forme.

    (Je préfère le mot école à celui de secte qui a une connotation péjorative, bien qu’il existe aussi des sectes bouddhiques).

    Alors qu’est-ce relie entre elles ces différentes écoles. Quel est leur point commun ?

    Le point commun, c’est la recherche de la vérité, « la réalité ultime » : à savoir l’abandon du désir, la cessation de la souffrance, et la juste conscience du chemin qui est la vie .Tel est l’éveil.

    C’est ce que les bouddhistes appellent le Nirvana, en japonais Satori.

    Plus déroutant encore, certaines écoles affirment que le nirvana, est en soi une chose importante et nécessaire, certes, mais que l’essentiel se trouve ailleurs. Sur le chemin, précisément, qui va vers les autres, et leur enseigne le juste chemin, sans quoi l’éveil resterait pur égoïsme.

    Est-il utile de s’intéresser au bouddhisme ?

    Si une démarche personnelle vous incline en ce sens, vous y trouverez certainement un grand nombre de thèses pertinentes. Un constat, et une approche, personnelle et profonde, du cheminement de votre, la vie. De plus comme chacun sait, le bouddhisme est plutôt pacifiste et non-violent, puisqu’il réprouve la souffrance, et lutte contre les illusions, – et dans ce monde pas vraiment très sage, un peu de douceur bouddhiste ne ferait de mal à personne.

    Qui sait ? Vous y trouverez peut-être des réponses à quelques questions. Voire plus, si affinités.

    Si votre démarche ne vous incline pas dans ce sens, les mêmes arguments tiennent encore.

    De plus le bouddhisme est rationaliste, sur son versant philosophique, et bien des découvertes récentes en psychologie par exemple, étaient largement connues des bouddhistes depuis les temps anciens. Rappelons par exemple que l’inconscient, la psychologie collective, ne furent connues de l’Occident qu’à partir des travaux de Freud. (C’était un pionnier qui agissait pour la science, et pour le bien de l’humanité mais aussi pour alléger la souffrance de ses patients, ne l’oublions pas, même si maintenant sa pensée paraît très confuse, rendons lui hommage quand même. )

    Mise en garde sur le bouddhisme.

    Le bouddhisme n’est pas une sinécure, sous son aspect débonnaire toujours sourire aux lèvres, se trouve une doctrine, plutôt ardue et difficile.

    La discipline de vie des bouddhistes n’est pas à la portée de n’importe qui. Même de qui le veut, surtout de qui le veut ! Pour les butineurs de parfums à la mode et les amateurs de pratiques exotiques, – comme la méditation, par exemple.

    Ils risquent de repartir bien vite, dès les premières crampes venues.

    Les belle images de l’art bouddhique aux couleurs chatoyantes, expriment peut-être une autre réalité, – dont ils ne veulent certainement pas entendre parler.

    L’enseignement bouddhiste, peuvent se résumer à ceci, au moins dans les premiers temps :

    Seul face à soi-même. Personne n’aime ça ! Et ce n’est que le début.

    Plus dangereux encore, toutes sortes d’attrape-nigauds, où l’on vous fait croire au nirvana, par des pratiques étranges ou des rituels ésotériques, moyennant finances, en profitant de la mode bouddhiste. (Les bouddhistes ne sont en rien responsables de cet état de fait, il s’agit là de charlatans opportunistes naturellement. Mais prudence quand même, sachez où vous mettez les pieds.)

    Des mots comme Zen, Nirvana, Karma, sont passés dans le langage courant.

    Zen, ça sous-entend « relax » décontracté, erreur ! Nirvana, autrement dit, illumination, lumière holistique, flotter dans les airs, erreur !

    Karma ça veut dire destin, erreur !

    Bon j’arrête là, sinon je vais vous faire peur, et ce n’est pas ma visée, bien au contraire.

    Quelques précisions :

    Le bouddhisme est une religion non théiste (cela veut dire que la notion de dieu n’y apparaît pas).

    La position des bouddhistes est la suivante : Nous ne pouvons nous prononcer sur ce sujet.

    Hormis sous sa forme taoïste, où la position est plus nuancée, bien que conforme au canon bouddhique.

    Le Bouddhisme philosophique est dit non dualiste (cela veut dire, qu’il n’y a pas opposition des contraires).

    Hinayãna Petit véhicule : notion péjorative, obsolète, n’est plus employée.

    Mahãyãna Grand véhicule, pas plus grand que le petit, notion orgueilleuse, obsolète, n’est plus employée.

    Le bouddhisme est un véhicule, vers le Nirvana, l’abandon ultime des illusions.

    Le mot religion est un mot latin qui veut dire « relier à ».

    Rien de plus, (chacun interprète ensuite à sa manière).

    Voir Hannah Arendt, Crise de la Culture 1961.

    ***

    ***

    Et comme d’habitude je vais être un peu hors sujet.

    Parce que sinon c’est trop sérieux et c’est pas drôle.

    Je vais vous parler de l’eau.

    L’eau c’est un liquide qui coule partout.

    Et y en a partout sauf dans le désert évidemment, sauf dans les oasis, où là il y en a.

    De l’eau, il y en à aussi dans le ciel, ça s’appelle des nuages, mais c’est de l’eau.

    L’eau il y en a au pôle nord, ça s’appelle de la glace, mais en réalité c’est de l’eau.

    Il y a 400 millions d’années il y avait de l’eau, c était de l’eau, mais personne n’en savait rien, puisqu’à cette époque il n’y avait que des dinosaures. Les dinosaures ne savaient pas qu’ils buvaient de l’eau, mais comme ils avaient soif, il la buvaient quand même.

    Aujourd’hui nous buvons de l’eau, et évolution de l’espèce oblige, comme nous sommes des homo sapiens version deux, sapiens sapiens, modèle amélioré de l’ancienne version un, néandertalienne…

    Eh ! bien ! Nous savons que, quand nous buvons de l’eau, c’est de l’eau. On est très fort, et y en a beaucoup dans la Capi. (Capi , c’est un mot qui vient du latin capus, capitis, la tête, chapeau, un capitaine y a Capi dedans, dans Capitale, décapité ou capuche…)

    Et, maintenant, ça se complique un petit peu.

    L’eau que nous buvons aujourd’hui, l’eau du robinet par exemple, cette eau-là est passée plusieurs fois dans le ventre de dinosaures, pour vous dire la vérité, mais toute vérité n’est pas toujours bonne à dire, c’était dedans, même.

    Conclusion : C’est toujours la même EAU.

    Conclusion de la conclusion : C’est dedans pour NOUS aussi.

    Conclusion de la conclusion de la conclusion : Ça sera dedans ou dehors mais ça s’appelle de l’EAU quand même.

    Et…

    Tonnerre de Brest !

    Pourvu que ça dure !

    Ne dit-on pas : – Qui est à l’appareil, ah ! l’eau !

    Autre chose.

    Pour les connaisseurs et petit futés.

    N’oublions pas que tout ce que nous en savons, c’est parti des recherches sur la thermodynamique.

    Et d’une énigme concernant une histoire de four, où la couleur violette, ne se comportait pas comme attendu.

    Les conséquence furent innombrables :

    Déterminisme obsolète

    Exactitude Statistique

    Traverser un mur

    Possible  !

    Probable  !

    Réalisable  !

    Le chat est-il mort ou vivant ? Les deux, mon général !

    Et comme dirait la mère Denis, vieille lavandière du terroir, ça c’est ben vrai.

    Les vieilles dames ont toujours raison, mais personne ne les écoute.

    La même chose mais autrement.

    Dans le village des schtroumpfs bleus, il y a un barbier

    Il y a ceux qui se font raser par le barbier, barbu

    Il y a ceux qui se rasent eux-mêmes, barbant pour le barbu

    A quelle catégorie appartient le barbier ?

    Les deux mon général !

    Est-ce possible !!? Oui mon général !

    Sixième ! Théorie des ensembles, mon général !

    ***

    ***

    Bibliographie :

    Pour en savoir plus :

    Dennis Gira. : Comprendre le Bouddhisme. Bayard Editions. Le livre de poche 14366.

    Certainement l’un des écrits le plus complet sur ce sujet. La philosophie bouddhiste y est abordée sous toutes ses formes, le contexte historique et la présentation des différentes écoles bouddhiques, leurs doctrines et leurs pratiques. Mention spéciale, ce livre n’a pas été écrit par un bouddhiste, mais par un catholique pratiquant, qui s’est donné pour tache, de présenter le bouddhisme aux chrétiens. Pour ceux que cela rebuterait (lire un catholique), le travail est sans reproche et l’ouverture d’esprit totale. La présence bouddhiste en France, où et à qui s’adresser, inclus.

    Walpola Rahula : L’enseignement du Bouddha (d’après les textes les plus anciens), Editions Point Sagesses Sa13.

    Au cœur du Bouddhisme le Theravada (Thera-vãda) l’école des anciens, le Bouddhisme orthodoxe.

    Présentation de la doctrine bouddhique tel qu’elle fut enseigné, par le Bouddha lui même.

    Toutes les écoles bouddhiques reconnaissent la validité des textes du Theravada (c’est ce qu’il faut apprendre en premier), ensuite, selon la pratique.

    * La présentation des quatre nobles vérités de la présente page est largement inspiré de ce livre ( en partie reproduite ).

    Conséquence : l’honnêteté m’oblige à cette précision. Si votre intérêt pour cette rubrique dépasse le cadre du simple dilettantisme, pour plus de sécurité, lisez la version originale.

    Chögyam Trungpa : Le mythe de la liberté (et la voie de la méditation) Editions Point Sagesses Sa18.

    Au sommet du bouddhisme le Vajrayãna (Bouddhisme tibétain). Ce livre présente la pratique du Vajrayana, bouddhisme tantrique dit aussi adamantin, hautement philosophique, et il explique ce qu’est la pratique tibétaine, sans concession et sans vous bercer d’illusions, y sont décrites les étapes et la progression nécessaires pour atteindre l’éveil. Ce livre s’adresse à ceux qui connaissent déjà un peu le sujet. (Vajrayana : Véhicule de la foudre et du diamant).

    Shunryu Suzuki : Esprit zen esprit neuf Editions Point Sagesses Sa8. Un peu à part, le Bouddhisme Zen, (Comme le Bouddhisme chinois Ch’an dont il est issu, cette école bouddhiste, est autant d’influencebouddhiste que taoïste).

    Débarrassé de sa gangue martiale, le bouddhisme Zen que présente Shunryu Suzuki., est un bouddhisme simple sans complication, presque commun.

    Il n’y est pas question de Satori (illumination), ou de long discours amphigourique, mais seulement, retrouver « l’esprit du débutant ».

    l’esprit du débutant Avant la fin de la pluie, nous entendons un chant d’oiseau. Même sous la neige épaisse, nous voyons poindre des perce-neige et des pousses nouvelles.

    Maurice Percheron : Le bouddha (et le bouddhisme). Editions du Seuil 6.

    Le travail d’un historien, présentation du Bouddhisme dans son contexte historique de l’antiquité indienne.

    Panoramique : le Bouddhisme sous toutes ses formes, indienne, chinoise, mongole, d’Asie du sud-est…

    Très bien illustré. (Tout public, si vous ne connaissez pas le bouddhisme, commencez donc par celui-là).

    Alexandra David Neel : Voyage et aventure de l’esprit, Editions Albin Michel. Espaces libres n°45.

    Récit, peut-être le plus intime des textes d’Alexandra David Neel . Philosophe et romancière, ethnologue et grande voyageuse, elle nous parle de sa rencontre avec les bouddhistes du Tibet, dans un livre magnifique.

    On ne rend pas assez hommage à son œuvre, pourtant par ses écrits (Tous des carnets de voyages), elle devrait être considérée comme un pilier de la littérature française du XXe siècle. Sa part active,dans l’implantation du bouddhisme dans notre pays, est de tout premier ordre (prépondérante).

    ***

    JPB (avec l’aimable collaboration de M. Paco Alpi).

  • Bollywood Gold

    Bollywood Gold

    Bollywood Gold

    Bollywood Gold

    Les amours triangulaires, les mélodrames, les tragi-comédies, l’amour, les haines sont les ingrédients qui font le succès des comédies musicales de Bollywood. The Rough Guide To Bollywood Gold présente les chanteurs les plus connus du genre et revisite certains des films les plus fascinants de cette industrie gigantesque.

    Conçu par le DJ Ritu – présentateur radio à la B.B.C. et concepteur des compilations : The Rough Guide to Bollywood, Bhangra et Bhangra Dance. The Rough Guide To Bollywood Gold propose un voyage nostalgique à travers les productions de l’âge d’or de le musique de films indienne. De Lata Mangeshkar à Mohd. Rafi avec des films comme Teesri Manzil, Bobby, Umrao Jaan et Andaz, il met en avant ces voix qui ont su séduire des millions de spectateurs dans un registre très large d’émotions.

    Les années 1960 à 1980 représentent une période très riche pour la musique de Bollywood. Les compositeurs indiens ont été influencés par les sons occidentaux, le cinéma est passé du noir et blanc au technicolor et les chanteurs de playback des comédies musicales sont devenus des stars. Mohd. Rafi, Asha Bhosle, Lata Mangeshkar et Kishore Kumar étaient les quatre plus grandes stars de play-back et ils sont bien représentés sur l’album avec des titres très connus comme « Zindagi Ek Safar Hai Suhana », « Dans Aankhon Ki Masti », « Aaja Aaja Hoon Principal Pyar Tera » et « Chabi Kho Jaye ».

    À part de ces quatre voix exceptionnelles, l’album inclut aussi un titre de Mukesh, souvent mentionné comme « l’homme à la voix d’or » et très connu pour la voix de play-back du célèbre acteur Raj Kapoor. « Mehbooba Mehbooba » de Dev Burman Rahul est un titre très populaire fréquemment demandé par les clubbers asiatiques et c’est une copie exclusive du live qui est proposée ici, la version originale est à peu près introuvable.

    Cette musique sentimentale a servi de toile de fond aux vies de la première génération d’immigrés au Royaume-Uni et en Amérique du Nord et par la suite à la deuxième génération de la diaspora ; les airs de WORLD MUSIC NETWORK WORLD MUSIC NETWORK Bollywood des années 1960 et 1970 sont chargés de souvenirs. À ce jour, ils continuent à inspirer les amateurs du genre tout comme les clubbers, les DJs et des producteurs.

    Cet album contient une interview avec le DJ Ritu qui a conçu cette compilation, une information sur la musique extraite du guide Rough Guide des Musiques du Monde et une information touristique extraite du livre Rough Guide to India.

    WORLD MUSIC NETWORK /RG 1182 BOLLYWOOD GOLD.

  • Bouddha

    Bouddha

    Bouddha

    Bouddha *

    Prince indien qui vécut au VI e siècle avant notre ère.

    Le mot, le nom Bouddha, veut dire l’éveillé. Le nom patronymique duBouddha est Siddharta Gautama Sakyamuni. Sakyamuni signifie : du clan Sakya, de la lignée Sakya.

    Bouddha, Bouddhisme, Eveil, Nirvana, Karma.

    De quoi s’agit il ?

    La doctrine du Bouddha est basée sur la découverte intime et bouleversante, qu’il fit de la souffrance humaine. Il en tira après une très longue méditation, un enseignement en quatre points, connu sous le nom des Quatre Nobles Vérités*.

    Les Quatre Nobles Vérités :

    - La souffrance. Dukkha
    - L’apparition de la souffrance. Samudaya
    - La Cessation de la souffrance. Nirodha
    - Le Sentier (La voie) Magga

    Dukkha La souffrance :

    Il décrit les formes de souffrances, mais aussi comment la souffrance apparaît et pourquoi, quels en sont les mécanismes, les causes. Ici, le Bouddha décrit cinq formes, ou sources, nommées agrégats (le cœur du bouddhisme) :

    La matière (solidité, fluidité, chaleur et mouvement).

    Les sensations (trois groupes de sensations, les sensations plaisantes, déplaisantes ou neutres).

    Les perceptions (ce sont les perceptions qui permettent de reconnaître les objets physiques ou mentaux) .

    Les formations mentales (ce groupe comprend tous les actes volitionnels, bon ou mauvais plus connus sous l’appellation « Karma »).

    La conscience (réaction du corps ou de l’esprit aux phénomènes extérieurs).

    Telles sont les cinq sources et les cinq formes de la souffrance.

    Samudaya L’apparition de la souffrance :

    Elle provient du désir. Et qu’est-ce que le désir ?

    C’est une soif, ardente, une avidité passionnée, ce qui fonde et produit la ré-existence. Cette soif d’être, d’être ou d’avoir, provoque aussi tous les malheurs des êtres vivants. Du conflit entre deux humains jusqu’aux guerres mondiales.

    Telle est la cause de l’apparition de la souffrance.

    Nirodha La Cessation de la souffrance :

    La troisième découverte est qu’il existe une émancipation, une libération possible.

    Le seul but possible, selon le Bouddha, c’est la libération, la cessation de la souffrance, subie, ou causée.

    En s’attaquant à la racine de la souffrance, c’est à dire le désir, la volonté, et même le sentiment du besoin, faim ou soif.

    Magga Le Sentier (La voie) :

    Connu sous la dénomination de Sentier du milieu, parce qu’il s’agit d’éviter les extrêmes :

    La poursuite du bonheur par la dépendance du plaisir des sens.

    L’ascétisme nihiliste (conçu comme bas et vulgaire).

    Le sentier est simplement la pratique juste des huit vertus :

    – Compréhension juste. – Pensée juste. – Parole juste. – Action juste. – Moyen d’existence juste. – Effort juste. – Attention juste. – Concentration juste.

    Voilà pour l’essentiel la doctrine bouddhique initiale.

    De la doctrine, et de l’enseignement originel, bien des mouvements sont nés, et bien des disciples ont constitué des écoles, qui se réclament toutes, plus ou moins de cette doctrine initiale.

    Le bouddhisme n’est certes pas une organisation totalitaire et unifiée, c’est plutôt un mouvement, et différentes écoles proposent leurs approches. Et cela peut surprendre, car ces différentes écoles semblent très éloignées entre elles, sur le fond comme sur la forme.

    (Je préfère le mot école à celui de secte qui a une connotation péjorative, bien qu’il existe aussi des sectes bouddhiques).

    Alors qu’est-ce relie entre elles ces différentes écoles. Quel est leur point commun ?

    Le point commun, c’est la recherche de la vérité, « la réalité ultime » : à savoir l’abandon du désir, la cessation de la souffrance, et la juste conscience du chemin qui est la vie .Tel est l’éveil.

    C’est ce que les bouddhistes appellent le Nirvana, en japonais Satori.

    Plus déroutant encore, certaines écoles affirment que le nirvana, est en soi une chose importante et nécessaire, certes, mais que l’essentiel se trouve ailleurs. Sur le chemin, précisément, qui va vers les autres, et leur enseigne le juste chemin, sans quoi l’éveil resterait pur égoïsme.

    Est-il utile de s’intéresser au bouddhisme ?

    Si une démarche personnelle vous incline en ce sens, vous y trouverez certainement un grand nombre de thèses pertinentes. Un constat, et une approche, personnelle et profonde, du cheminement de votre, la vie. De plus comme chacun sait, le bouddhisme est plutôt pacifiste et non-violent, puisqu’il réprouve la souffrance, et lutte contre les illusions, – et dans ce monde pas vraiment très sage, un peu de douceur bouddhiste ne ferait de mal à personne.

    Qui sait ? Vous y trouverez peut-être des réponses à quelques questions. Voire plus, si affinités.

    Si votre démarche ne vous incline pas dans ce sens, les mêmes arguments tiennent encore.

    De plus le bouddhisme est rationaliste, sur son versant philosophique, et bien des découvertes récentes en psychologie par exemple, étaient largement connues des bouddhistes depuis les temps anciens. Rappelons par exemple que l’inconscient, la psychologie collective, ne furent connues de l’Occident qu’à partir des travaux de Freud. (C’était un pionnier qui agissait pour la science, et pour le bien de l’humanité mais aussi pour alléger la souffrance de ses patients, ne l’oublions pas, même si maintenant sa pensée paraît très confuse, rendons lui hommage quand même. )

    Mise en garde sur le bouddhisme.

    Le bouddhisme n’est pas une sinécure, sous son aspect débonnaire toujours sourire aux lèvres, se trouve une doctrine, plutôt ardue et difficile.

    La discipline de vie des bouddhistes n’est pas à la portée de n’importe qui. Même de qui le veut, surtout de qui le veut ! Pour les butineurs de parfums à la mode et les amateurs de pratiques exotiques, – comme la méditation, par exemple.

    Ils risquent de repartir bien vite, dès les premières crampes venues.

    Les belle images de l’art bouddhique aux couleurs chatoyantes, expriment peut-être une autre réalité, – dont ils ne veulent certainement pas entendre parler.

    L’enseignement bouddhiste, peuvent se résumer à ceci, au moins dans les premiers temps :

    Seul face à soi-même. Personne n’aime ça ! Et ce n’est que le début.

    Plus dangereux encore, toutes sortes d’attrape-nigauds, où l’on vous fait croire au nirvana, par des pratiques étranges ou des rituels ésotériques, moyennant finances, en profitant de la mode bouddhiste. (Les bouddhistes ne sont en rien responsables de cet état de fait, il s’agit là de charlatans opportunistes naturellement. Mais prudence quand même, sachez où vous mettez les pieds.)

    Des mots comme Zen, Nirvana, Karma, sont passés dans le langage courant.

    Zen, ça sous-entend « relax » décontracté, erreur ! Nirvana, autrement dit, illumination, lumière holistique, flotter dans les airs, erreur !

    Karma ça veut dire destin, erreur !

    Bon j’arrête là, sinon je vais vous faire peur, et ce n’est pas ma visée, bien au contraire.

    Quelques précisions :

    Le bouddhisme est une religion non théiste (cela veut dire que la notion de dieu n’y apparaît pas).

    La position des bouddhistes est la suivante : Nous ne pouvons nous prononcer sur ce sujet.

    Hormis sous sa forme taoïste, où la position est plus nuancée, bien que conforme au canon bouddhique.

    Le Bouddhisme philosophique est dit non dualiste (cela veut dire, qu’il n’y a pas opposition des contraires).

    Hinayãna Petit véhicule : notion péjorative, obsolète, n’est plus employée.

    Mahãyãna Grand véhicule, pas plus grand que le petit, notion orgueilleuse, obsolète, n’est plus employée.

    Le bouddhisme est un véhicule, vers le Nirvana, l’abandon ultime des illusions.

    Le mot religion est un mot latin qui veut dire « relier à ».

    Rien de plus, (chacun interprète ensuite à sa manière).

    Voir Hannah Arendt, Crise de la Culture 1961.

    ***

    ***

    Et comme d’habitude je vais être un peu hors sujet.

    Parce que sinon c’est trop sérieux et c’est pas drôle.

    Je vais vous parler de l’eau.

    L’eau c’est un liquide qui coule partout.

    Et y en a partout sauf dans le désert évidemment, sauf dans les oasis, où là il y en a.

    De l’eau, il y en à aussi dans le ciel, ça s’appelle des nuages, mais c’est de l’eau.

    L’eau il y en a au pôle nord, ça s’appelle de la glace, mais en réalité c’est de l’eau.

    Il y a 400 millions d’années il y avait de l’eau, c était de l’eau, mais personne n’en savait rien, puisqu’à cette époque il n’y avait que des dinosaures. Les dinosaures ne savaient pas qu’ils buvaient de l’eau, mais comme ils avaient soif, il la buvaient quand même.

    Aujourd’hui nous buvons de l’eau, et évolution de l’espèce oblige, comme nous sommes des homo sapiens version deux, sapiens sapiens, modèle amélioré de l’ancienne version un, néandertalienne…

    Eh ! bien ! Nous savons que, quand nous buvons de l’eau, c’est de l’eau. On est très fort, et y en a beaucoup dans la Capi. (Capi , c’est un mot qui vient du latin capus, capitis, la tête, chapeau, un capitaine y a Capi dedans, dans Capitale, décapité ou capuche…)

    Et, maintenant, ça se complique un petit peu.

    L’eau que nous buvons aujourd’hui, l’eau du robinet par exemple, cette eau-là est passée plusieurs fois dans le ventre de dinosaures, pour vous dire la vérité, mais toute vérité n’est pas toujours bonne à dire, c’était dedans, même.

    - Conclusion : C’est toujours la même EAU.
    - Conclusion de la conclusion : C’est dedans pour NOUS aussi.
    - Conclusion de la conclusion de la conclusion : Ça sera dedans ou dehors mais ça s’appelle de l’EAU quand même.

    Et…

    Tonnerre de Brest !

    Pourvu que ça dure !

    Ne dit-on pas : – Qui est à l’appareil, ah ! l’eau !

    Autre chose.

    Pour les connaisseurs et petit futés.

    N’oublions pas que tout ce que nous en savons, c’est parti des recherches sur la thermodynamique.

    Et d’une énigme concernant une histoire de four, où la couleur violette, ne se comportait pas comme attendu.

    Les conséquence furent innombrables :

    Déterminisme obsolète

    Exactitude Statistique

    Traverser un mur

    Possible  !

    Probable  !

    Réalisable  !

    Le chat est-il mort ou vivant ? Les deux, mon général !

    Et comme dirait la mère Denis, vieille lavandière du terroir, ça c’est ben vrai.

    Les vieilles dames ont toujours raison, mais personne ne les écoute.

    La même chose mais autrement.

    Dans le village des schtroumpfs bleus, il y a un barbier

    Il y a ceux qui se font raser par le barbier, barbu

    Il y a ceux qui se rasent eux-mêmes, barbant pour le barbu

    A quelle catégorie appartient le barbier ?

    Les deux mon général !

    Est-ce possible !!? Oui mon général !

    Sixième ! Théorie des ensembles, mon général !

    ***

  • Daktari Music et bassofone

    Daktari Music et bassofone

    INDIA OUEST TOUR

    Bassofone ! et Daktari Music présentent

    Bassofone ! est un nouveau label dans le paysage discographique, dont la ligne éditoriale repose sur une phrase simple : Le métissage est source de richesse. Musiques électroniques, musiques organiques, confrontation des univers et des musiciens issus de divers horizons, mélange des cultures, fusion élégante des genres…. Dans un univers de plus en plus industriel qui tend vers un formatage plutôt radical, c’est presque suicidaire, me direz-vous. Sans être pour autant d’un militantisme forcené (ou obscur), bassofone ! s’efforcera néanmoins de mettre à portée d’oreilles et de cerveaux (toutes les oreilles et tous les cerveaux) des musiques « différentes » parce que contrairement aux idées reçues, il n’y a pas, à proprement parler de disques invendables mais des albums souvent mal défendus qui ne trouvent ni leur route, ce chemin fragile entre la création et l’accessibilité, ni leur public. Vous l’aurez compris, bassofone ! se souhaite en label des différences, dans l’espoir que la musique reste un banquet riche de mets variés.

    Daktari Music et bassofone ! sont donc fiers de vous présenter en avant-première dans le cadre d’un concept novateur de concerts promotionnels, les nouveaux albums des indo-rennais Olli & the Bollywood orchestra (fin avril) et des nantais Mukta (fin mai).

    Ne les ratez surtout pas !!!! Olli and the Bollywood Orchestra

    Ollivier Leroy (alias Olli) est tombé amoureux des musiques de films kitschs et colorées produites du côté de Bollywood (contraction de Bombay et Hollywood) qui sont autant de clés pour comprendre la psyché collective du peuple indien. Il en fait la matière première d’un alliage sonore inédit. Après des allers et retours à Calcutta où il choisit des musiciens, enregistre, teste in situ ses compositions et son chant, l’affaire prend corps. Elle donnera lieu, en 2004, à une création vidéo-musicale à l’occasion de deux festivals prestigieux, les Tombées de la Nuit à Rennes et les Vieilles Charrues à Carhaix. La trame du spectacle s’inspire de thèmes romantiques propres aux grandes chansons du cinéma indien depuis les années 1970. L’engouement pour ce spectacle singulier est immédiat tant auprès des spectateurs que des journalistes. L’album Kitch’en (enregistré au prime studio de Calcutta, spécialisé dans les B.O) composé de chants acoustiques ou griffés électro emprunt d’asian wave conclut en 2005 cet étonnant challenge. Avec Tantra (du verbe sanskrit qui veut dire penser) son nouvel opus, Olli poursuit sa recherche. Si le premier album s’inspirait des formes musicales du « cinéma massala », celui s’inscrit d’avantage dans le style de l’hindi pop avec des échappées vers le hip hop, le dub ou le rock. On pense parfois à Nitin Sawney, Asian Dub Foundation, Corner shop ou Badmarsh & Sri. Si les références à Bollywood (lignes mélodiques des violons, jeu couplets/refrain) sont toujours bien présentes, Olli modernise le propos en livrant par exemple une reprise surprenante de A Forest de The Cure, dont Olli fut fan, comme beaucoup d’entre nous. Une adaptation qui a séduit Robert Smith qui a pris contact avec Olli !!!

    Mukta

    N’avez-vous pas l’impression que plus la course du temps s’accélère et plus le nombre de disques augmente, moins la musique produite est bonne… ? C’est probablement pour cette raison que, au beau milieu de cette vague uniforme dont nous submerge l’industrie du disque, Mukta se détache du lot tel un phare qui, du haut de sa lumière sûre, nous rassure. Mukta, qui puise ses racines dans une multitude de sources, Mukta qui nous apporte une fois de plus un son d’une fraîcheur, d’une sérénité, d’une pureté qu’on peine à trouver aujourd’hui. Ni vraiment jazz, ni franchement world, ni electro, un peu de tout cela, sans doute, mais bien dosé comme de la grande cuisine. Inspiré… Si l’originalité du groupe réside en partie dans le choix inhabituel des instruments (sitar, trompette, contrebasse, flûte, percussions et batterie) elle tire aussi sa force des six individualités qui le composent, six artistes virtuoses, humbles et mesurés, au service d’un son de groupe qui s’investissent corps et âmes dans un concept musical. Ils croient en la même expression musicale : Mukta est le groupe de nos rêves, la perle rare. Après avoir fait le tour du monde dont une tournée et un enregistrement (Haveli) en Inde en 2003, joué dans les festivals les plus prestigieux (Festival de jazz de Montréal, Montreux etc…) Mukta nous revient, toujours novateur, toujours fascinant avec encore de nouveaux ingrédients pour son nouvel album « Invisible Worlds ». Un peu de douceur dans un monde de brutes…

    Daktari Music et bassofone

    Label : Bassofone ! 06 78 96 87 99 Christophe Minier  Daktari Music 02 98 43 56 50 Catherine Bihan [catherine@daktari-music.com]

  • Curry indien, donnez du moelleux

    Curry indien, donnez du moelleux

    Curry indien

    cuisine asiatique, les astuces, donnez du moelleux

    Cuisine asiatique, les astuces

    Donnez du moelleux au curry indien

    Ma mère m’a dévoilé un petit secret que je m’en vais vous rapporter car je suis une langue bien pendue. En fait si cela se sait je vais me faire disputer comme du poisson pourri c’est à dire de la sauce de poisson. Cette petite astuce permet en définitive de donner un peu de ce supplément d’âme et ce goût moelleux, cette douceur sous la langue. Et pourtant ce n’est absolument facile à réaliser. L’histoire veut que pour que les femmes dela haute société vietnamienne puissent prendre époux, il fallait donner à l’empereur une recette hors des sentiers battus ou un petit truc qui puisse satisfaire à la gourmandise du monarque

    Je trouvais souvent le curry Indien de ma maman fort délicat et suave au goût ; je constatais que les ingrédients étaient exactement identiques aux autres recettes et pourtant il m’apparaissait toujours plus délicieux. Elle se décida un jour à me confier son secret à savoir ajouter à la fin de la cuisson un gros morceau de beurre. Cet ajout conférait au plat son supplément d’âme qui m’emportait toujours au nirvana des gourmands.

    Un internaute

    La cuisine asiatique que ce soit chinoise, thaïlandaise ou indienne est faite d’astuces, de trucs qui sont jalousement gardés par les cuisinières. Chez les asiatiques, par exemple le curry, il y a un culte du secret propre à chacun, évidemment des détenteurs de recettes qu’ils veulent garder pour eux et en faire profiter les siens.

  • Le fruit est un dragon

    Le fruit est un dragon

    Fruits du dragon, fruits asiatiques

    Fruits du dragon chair blanche et goût très fade. Robe jolie et charmante saura étonner vos invités. Le dragon serait- il un fruit?