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  • J’ai quitté le Vietnam comme boat- people, je suis revenu en avion

    J’ai quitté le Vietnam comme boat- people, je suis revenu en avion

    Carnets de voyage en Asie, Vietnam

    Une si longue absence.

    J’ai quitté le Vietnam comme boat- people

    Je m’appelle Manh et je viens de bien loin et je retourne au Vietnam. Vos yeux ne peuvent ni voir, ni entrevoir les paysages, les bonheurs et les angoisses enfouis dans le plus profond de mon être.

    Par une nuit sans lune, la peur au ventre, maman et papa nous abandonnèrent avec plus de soixante personnes à la recherche d’un avenir rempli de plus d’espoir. Je ne le savais pas encore, mais 12 ans allaient nous séparer ce soir là.Deux coques de noix aux moteurs poussifs nous éloignèrent de la côte et bientôt nous ne vîmes que l’ombre blafarde de notre pauvre pays que la guerre avait si profondément transformé. Deux sœurs et un frère, une famille éparpillée, loin des parents , sans famille, juste des rescapés sur cette mer d’huile . Nous étions devenus des « Boat people » au regard hagard, ballottés par un mal de mer omniprésent, attendant une aide incertaine. Au milieu de nulle part, nous scrutâmes l’horizon pendant 4 jours et 3 nuits.

    Rencontrer la marine vietnamienne et le carnage aurait été au rendez- vous, croiser un pavillon étranger et la délivrance nous aurait tendu les bras.

    Heureusement j’avais le pied marin ! Je me rappellerai toujours de cette année 1981 où j’ai quitté mon pays sans savoir si un jour,mes pieds pourraient à nouveau, fouler le sol de mes ancêtres. Le moteur de l’autre bateau rendit l’âme sans complexe, immobilisant plus de 30 personnes. Un remorquage périlleux nous permit de continuer ensemble ce si douloureux voyage.

    Soudain, nous vîmes un bateau à l’horizon et nos cœurs se figèrent empreints d’espoir, de fatalisme et d’angoisse. Étaient- ils des amis ou des ennemis, de l’espoir ou de l’horreur, un renouveau ou une fin tragique ? Une accablante et troublante incertitude s’empara de nous, enserrant notre ventre comme une tenaille mortelle, nous ne respirions plus. L’embarcation s’approcha, le temps était suspendu et soudain l’un de nous éructa un cri de joie libérateur, nous comprîmes aussitôt que l’avenir nous tendait à nouveau les bras. Nous n’en crûmes pas nos pauvres yeux fatigués, lassés mais heureux, le pavillon Français, le drapeau de tous les espoirs flottait là, fier et libérateur.

    Deux mois d’attente dans un camp chinois de Hong-Kong, deux mois de brimades, deux mois où tous nos espoirs se tarissaient dans un méandre de questions sans réponse. J’avais la certitude que les chinois n’appréciaient pas les vietnamiens et qu’à la moindre occasion, ils les brimaient malgré qu’ils fussent leurs « gérants officiels », frontière entre le passé et l’avenir. Je me souviens qu’un jour adossé à une vieille voiture abîmée par le temps, j’attendais, comme tous les jours, l’appel quotidien de tous les « boat people », en rêvassant, quand soudain l’un des gardiens chinois vociféra des menaces m’accusant, moi un enfant de 1O ans d’avoir cabossé la carcasse en m’appuyant dessus. Je dus me défendre de ces accusations injustes et déloyales.

    La sentence tomba, j’étais affecté, pour cet acte odieux, délibéré et plein de haine contenue, à la corvée déhonorante du nettoyage des wc.

    Selon les conventions internationales de l’époque, la France, nous ayant recueilli à bord de l’un de ses bateaux, avait le devoir de nous donner asile dans leur pays. Je rêvais d’Amérique et je me retrouvais soudain plongé dans le centre de la France, à Châteauroux dans un autre camp de réfugiés. J’y suis resté plus de 13ans, 13ans à attendre, étudier et espérer un avenir meilleur. Puis je suis monté à Paris.

    Le retour au Vietnam

    Aujourd’hui, je viens d’obtenir ma nationalité française et une page de mon histoire se tourne. J’ai très envie de revoir le Vietnam pour retrouver un peu de ce passé qui reste collé à ma mémoire. J’avais quelques appréhensions, repartir pour découvrir un pays changé, si éloigné de mes souvenirs, cela me rendait hésitant et fort mal à l’aise. J’avais juste peur de ne plus aimer le Vietnam, car j’étais devenu une « entité hybride » partagée entre ici et là- bas. Ma décision était prise, il me fallait revoir malgré tout, ce pays qui me manquait tous les jours un peu plus. Dans l’avion qui me menait, ma sœur et moi, vers cet « inconnu si familier », s’entremêlaient, s’entrechoquaient sans cesse des images, des souvenirs, des rires et des pleurs . L’avion enfin dans un crissement de pneus s’immobilisa sur la piste.

    Fébriles nous descendîmes et pénétrâmes dans le grand hall de l’aéroport international. Je fus soudain pris de panique quand je vis l’uniforme du fonctionnaire des douanes, mon corps tout entier frémit, mes jambes se dérobèrent sous moi et mes mains tremblèrent. Ma sœur, s’apercevant immédiatement de mon émoi incontrôlable, me glissa à l’oreille qu’il était plus prudent de ne pas se faire remarquer et d’éviter ainsi, toute difficulté. Je dus m’exécuter comprenant fort bien le bien fondé de ses appréhensions. La rue m’accueillit brutalement dans une farandole de couleurs joyeuses, d’odeurs exotiques, de klaxons stridents, d’images rayonnantes et surtout d’émotion. J’étais revenu chez moi, j’étais rentré à la maison après 25 ans d’absence et d’attente. Je compris immédiatement que les liens étaient restés intacts, forts et qu’ils avaient résistais aux attaques du temps. Rien n’avait vraiment changé, Saïgon égale à elle-même, demeurait cette ville bruyante, sale, speed, irrespirable mais si vivante.

    La cathédrale se tenait là imperturbable mais envahie par des centaines de touristes harassés de chaleur, la poste, incroyable vestige colonial, ressemblait plus à un musée qu’au local des PTT. Mon cousin, l’un de mes innombrables cousins, nous guida à travers la ville pendant ces quelques journées d’euphorie et de redécouverte où le connu côtoyait sans cesse l’étonnement. Il nous dénicha les meilleurs restaurants. Je retrouvais les senteurs si particulières des plats typiques enfouis au fond de moi. Quand avec le temps notre culture s’estompe, il nous reste encore et toujours le goût de la nourriture, et tous les déracinés vous le diront sans détours. J’hésitais parfois à déguster du chien, du serpent ou du rat car mon éducation française, aseptisée, m’en empêchait. J’avais peur de tomber malade. Peut-être qu’avec le temps… ! Un petit tour au musée de l’ancien palais présidentiel, resté dans son jus depuis la chute de Saïgon, me laissa pantois et me rappela aussi les moments difficiles.

    Direction Lagi située à 180 au nord de Saïgon, le village où j’ai vécu. Ma grande sœur se tenait là, attendant avec impatience notre arrivée, mais ne me reconnut point. Moi-même je dus faire des efforts pour mes innombrables cousins et neveux. Je m’étais préparé depuis fort longtemps à ces retrouvailles si poignantes, à cette joie jubilatoire, ainsi aucune larme ne coula sur mes joues. Le voisin, un ancien ami, s ‘est approprié toutes nos terres…Le temps, la guerre, les paysans, la méthode ancestrale de pêcher,les paysages à couper le souffle, mes amis, la maison familiale rien n’avait changé et tout avait changé. Le vent de l’histoire a dévasté nos cœurs et laissé comme une trace de nostalgie imperceptible, pas de haine seulement de l’émotion à fleur de peau.

    Nous sommes restés 10 jours dans ce village de pêcheurs, une population déplacée, originaire du centre et installée ici depuis de nombreuses générations. Papa aimait y pêcher avec ses fils malgré une mer démontée et des vagues de 12m. Rien ne lui faisait peur, moi si. Cela me fait rire aujourd’hui, mais j’ai bien failli me noyer un peu trop souvent durant ces années de bonheur .

    Et nouveau départ vers Quang Ngai, lieu de ma naiossance, plage paradisiaque, authentique, et située à 150 kms de Hué. C’était, à l’époque une base aérienne des forces américaines. Et des histoires de guerre poignantes et effrayantes consument encore aujourd’hui mon esprit. Il avait été établi un couvre-feu après le départ des américains et une famille entière de sourds, n’ayant pas eu connaissance de l’interdiction par les autorités du fait même de leur infirmité, furent mitraillés et déchiquetés dans un carnage sans nom. Ils partaient pour une simple sortie en mer,où ils ne pêchèrent que la mort.

    Une promenade, un recueillement sur la tombe de mes grand- parents, une cérémonie d’offrandes, un petit tour en bateau rond typique, une dégustation de fruit Jacquier ou de raviolis à la vapeur, furent les activités principales de ces 10 jours.

    J’y ai retrouvé mon tonton Chu Nam dont je suis très proche et qui me le rend bien d’ailleurs. Bizarre, bizarre, je me suis toujours dit qu’il ressemblait étrangement au président J.F Kennedy.

    Parfois j’ai l’envie de me retrouver seul car je suis trop entouré, trop sollicité. Quand je vais au resto tout le monde veut m’accompagner et je règle l’addition. Pas que cela me coûte, mais bientôt cette situation est dérangeante et j’explique à ma famille qu’ en France je ne suis point un nabab. Mais le message passe souvent mal et la gêne s’installe. Tout le monde, ici, a cette impression que je suis un homme riche, parvenu à un niveau social extrêmement élevé et n’ayant surement aucun problème d’argent. Comment peuvent-ils imaginer, que je ne suis qu’un simple travailleur, endetté et payant des impôts ? Ce « statut » ambigu s’est révélé être le problème constant de tous les « viets- k » (les viets de l’étranger).

    Nous sommes heureux de partir « seuls » en mini- bus vers le centre, à la découverte de Hué. Nous y rencontrons un fort sympathique cyclo- pousse qui nous fait découvrir avec bonhomie, tous les trésors de la ville impériale ? Quatre jours de légèreté, de totale liberté dans un charmant petit hôtel climatisé et peu onéreux (7 dollars/ nuit ).

    Un mois, c’est vraiment trop court car nous n’avons visité que la moitié du pays, l’occasion de revenir bientôt pour d’autres aventures. Le départ est proche, nos valises pleines de cadeaux et nos yeux remplis d’images fabuleuses, nous rentrons avec le sentiment que très prochainement nous reviendrons.

    Je m’appelle Manh, et je ne veux plus repartir, je rêve de rester vivre ici, au Vietnam, dans ce pays où qui m’attend déjà.

    Vietnam je t’aime, Vietnam j’ai besoin de toi, V tu m’a manqué, Vietnam, Vietnam!!!

    Contact MANH Carnets de voyage en asie

  • Soupe chinoise, recette très rapide, facile et délicieuse.

    Soupe chinoise, recette très rapide, facile et délicieuse.

    Soupe chinoise, recette rapide et facile (cuisine chinoise, recette chinoise)

    Recette chinoise

    Cuisine chinoise

    Soupe chinoise, recette rapide et facile (cuisine chinoise, recette chinoise).

    Si vous êtes préssé et désireux de déguster un plat asiatique, je vous conseille cette soupe chinoise

    zealot-q / Pixabay

    INGREDIENTS

    - 2 litres de bouillon de poule ( 4 bouillons de poule)
    - 4 portions de vermicelle de riz
    - 20 grosses crevettes
    - Sauce soja (nuoc thuong) selon votre goût
    - 1 petit oignon émincé
    - 1 cuillère à café d’huile de sésame

    PREPARATION

    - Préparer le bouillon de poule.
    - Quelques minutes avant de servir, mettez le vermicelle de riz dans le bouillon
    - Faire sauter les crevettes.
    - Verser le bouillon brûlant, mettre l’oignon, l’huile de sésame et servir.
    - Ajouter la sauce soja (nuoc thuong), selon votre goût et poivrer .

  • Si l’on consommait moins pour vivre mieux

    Si l’on consommait moins pour vivre mieux

    Et si l’on consommait moins pour vivre mieux ? Le mode de vie minimaliste est un savant mélange de remise en cause de la société de consommation et de développement personnel. Fan de Pierre Rabhi et de Béa Johnson, cette philosophie est pour vous.

    Alors c’est quoi le concept ? Le principe c’est de se contenter de peu, de se débarrasser du superficiel pour pouvoir se consacrer à l’essentiel. Stopper les actes d’achat qui nous poussent tel des camés à toujours y retourner. Le minimalisme, c’est vivre dans l’être plutôt que dans l’avoir.

    Se saisir de chaque objet que l’on a chez soi et ne garder que ceux qui nous procurent une émotion positive.

    Le grand tri

    Et cela passe par toutes les sphères de la vie. N’avez-vous pas des armoires emplies de vêtements que vous ne mettez jamais, une cuisine bondée d’ustensiles rarement utilisés ? Un placard plein de flacon inutilisés ? Avec le minimalisme, c’est fini ! On se débarrasse de tout ce qui n’est pas réellement important pour nous. On donne, on fait de la place. De nombreux adeptes du minimalisme ont pris comme livre de chevet La magie du rangement, de Mari Kondo, un best seller venu du Japon pour nous aider à désencombrer. Une des méthodes de l’auteur ? Se saisir de chaque objet que l’on a chez soi et ne garder que ceux qui nous procurent une émotion positive. Bon avec cette méthode j’ai bien failli jeter ma brosse à toilettes et mon étendoir à linge mais a priori ça marche pas trop mal quand même.

    Revenir à l’essentiel, c’est aussi questionner son rapport à la production de déchets : réduire le nombre d’objets que l’on possède passe aussi par une remise en question de ce que l’on jette. Et pour ça, il y a Béa et son mouvement du zero waste. Si vous ne connaissez pas, on vous invite à commencer par la cuisine.

    Rappelons que ce grand ménage de printemps ne passe pas uniquement par son lieu de vie. Passer au minimalisme, c’est avoir aussi une réflexion sur son lien à l’information, aux nouvelles technologies (fermez-moi vite ces 10 onglets !), sur ses relations sociales et sur la globalité de ses activités au quotidien. Qu’est ce qui est vraiment nécessaire pour mon bien-être ?

     

    Le moins qui fait du bien

    Les effets du minimalisme sur la vie de tous les jours sont plutôt bénéfiques. En faisant le tri dans ses affaires et en refusant d’acheter des objets inutiles, on se désintoxique petit à petit à la fois matériellement et psychologiquement. Parce que vider ses placards, c’est aussi faire le vide dans sa tête. Au fil du temps, le matérialisme devient un mauvais souvenir et les objets auxquels on est réellement attachés se comptent sur les doigts de quelques mains.

    Plus besoin de choisir entre les 20 tee-shirts et les 10 paires de chaussures. Vu que l’on n’a conservé que ses préférés, on brille tous les jours, on gagne un temps fou et l’on économise de l’énergie pour des activités qui ont vraiment du sens et qui nous épanouissent comme les relations sociales, les activités artistiques ou culturelles.

    Et vu que l’on consomme moins, vivre mieux on dépense moins. Pas besoin d’avoir fait HEC pour comprendre cela. On peut ainsi se faire plaisir avec des objets plus onéreux et de meilleure qualité qui, en prime ont un impact social et écologique positif.

     

    Ode à la simplicité

    Alors oui, c’est vrai, la pratique est plus compliquée que la théorie. Parce que les soldes, parce que la pub, parce ces trop belles chaussures dans la vitrine. Mais comme on ne deviendra pas des ascètes anti-consuméristes du jour au lendemain, on peut toujours commencer par donner un sac de fanfreluches à Emmaus. Quand vous verrez le bien que ça procure, à coup sûr vous continuerez !

    Et qui sait peut-être qu’un jour deviendrez-vous un doux dingue du minimalisme, comme ces Américains qui relèvent le défi du 100 things challenge et ne vivent au quotidien qu’avec 100 objets ?

    consommer moins pour vivre mieux

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    Quelques blogs pour vous lancer

    Le blog d’une maman minimaliste

    Une vie simple et zen

    Sirène Bio – Beauté, santé et minimalisme

    SOURCE

    Partenaire

  • soupe aux asperges et au crabe, recette chinoise facile!

    soupe aux asperges et au crabe, recette chinoise facile!

    Une deuxième recette chinoise pour le Nouvel An chinois: soupe aux asperges et au crabe

    Recette facile: recette de la soupe aux asperges et au crabe

    JETEZ UN COUP D’OEIL A CETTE VIDEO

     

    Conseil pour une recette de recette facile et surtout réussie: recette de la soupe aux asperges et au crabe

    Je vous conseille pour donner à votre soupe d’asperges et de crabe un goût vraiment hors du commun de cuisiner un crabe frais décortiqué par vos soins et évidemment des asperges croquants et bio. Toutefois avec des boites cela sera suffisant!

    Vous avez de la chance voici une autre recette pour votre nouvel an chinois!

    018 sera une année placée sous le signe du Chien, du Chien de Terre pour être parfaitement exact. Cette nouvelle période influencée par le canidé vient de commencer ce vendredi 16 février 2018 et se terminera le 4 février 2019 pour céder sa place au signe du Porc de Terre.

    Le Chien est le 11ème animal du zodiaque chinois. Si vous êtes nés durant les années lunaires (qui correspondent presque à notre calendrier sauf si vous êtes natifs de janvier ou février) de 1946, 1958, 1970, 1982, 1994 ou 2006 alors il s’agit de votre année, sauf si vous êtes un Chien de Feu. Les deux éléments sont en effet une mauvaise combinaison.

    Fidèle, juste, généreux, direct mais aussi pessimiste et angoissé, le Chien peut permettre la réalisation de grands projets solidaires, une consolidation des acquis mais aussi provoquer quelques peurs pour les signes du zodiaque (calculez le votre ici). Les Chiens seront naturellement les plus favorisés cette année. Le signe du Chien s’accommode très bien avec le Cheval ou le Tigre et une compatibilité amoureuse idéal peut s’établir avec les natifs du Lapin. Ces trois signes peuvent compter sur de bonnes ondes pour 2018, même si les Lapins devront faire attention à leurs économies.

    Source
  • Boeuf Chop suey,  recette de Steff (cuisine chinoise, recette chinoise)

    Boeuf Chop suey, recette de Steff (cuisine chinoise, recette chinoise)

    Boeuf Chop suey, Chop suey de boeuf recette de Steff( cuisine chinoise)

    Boeuf Chop suey, Chop suey de boeuf ( cuisine chinoise).

    voici ma façon de cuisiner le shop suey de boeuf.

    recette pour 8 personnes :

    INGREDIENTS

    - 4 grosses carottes
    - 2 petites courgettes
    - 1 petit chou-fleur
    - 1 poivron rouge
    - 1 poivron vert
    - 1k500 de viande à fondue ou à bourguignon.

    PREPARATION

    - couper les carottes et les courgettes en rondelles très fines ,les poivrons en petits dés,le chou-fleur en fleurette
    - la viande en petits morceau comme pour la fondue.
    - prendre un wok ou une sauteuse et mettre 1/2 litre d’huile à chauffer.
    - Une fois l’huile chaude,mettre la valeur d’une part de légumes et viande dans l’huile et laisser frire 2 a 3 mn
    - retirer avec une écumoire et ainsi de suite
    - accompagner le tout de riz.

    c’est super bon !

    steff

    Ingrédients asiatiques

  • Poulet et noix de cajou (Cuisine chinoise, recette chinoise)

    Poulet et noix de cajou (Cuisine chinoise, recette chinoise)

    Poulet et noix de cajou (Cuisine chinoise, recette chinoise)

    Poulet et noix de cajou

    Cuisine Chinoise, recette Chinoise

    Pour 4 personnes

    manojrochani / Pixabay

    INGRÉDIENTS

    - 800 g de poulet découpé en petits morceaux
    - 1 oignon moyen émincé
    - 1 bon zeste de citron
    - 30 cl de bouillon de volaille
    - noix de cajou (quantité à votre goût)
    - 1 cuillère à café d’huile de sésame

    MARINADE

    Mélanger

    - 1 bonne cuillère à café de fécule de maïs, aussi appelé Maïzena
    - 2 cuillères à soupe d’eau
    - 2 petites cuillères à soupe de sauce soja

    PRÉPARATION

    - Laisser le poulet mariner pendant au moins 1 heure
    - mettre de l’huile dans une poêle et chauffer à feu vif
    - Y mettre le poulet cuire quelques minutes.
    - Baissez le feu et mettre les oignons, le zeste de citron, le bouillon
    - Ajoutez les noix de cajou
    - Rajouter 1 cuillère à café d’huile de sésame

    A déguster avec du riz parfumé

  • Calmars farcis au curry vert (cuisine thaïlandaise, recette thaïlandaise)

    Calmars farcis au curry vert (cuisine thaïlandaise, recette thaïlandaise)

    Calmars farcis au curry vert (cuisine thaïlandaise, recette thaïlandaise)

    Calmars farcis au curry vert

    Proportions pour 4 ou 6 personnes

    Ingrédients

    - 1 kg petits calmars (SEA WAVE)

    - 2 courgettes
    - 12 ou 15 baby maïs
    - 4 ou 5 egg plants (aubergines thaïes)
    - 150 g mange-tout

    - 3 ou 4 cs pâte de curry vert *
    - 1 cs de sucre de palme

    - 1 ou 2 boîtes (454 g) de lait de coco
    - 4 feuilles de combava
    - 1 ou 2 cs crème de coco (RENUKA)
    - feuilles de coriandre fraîche (facultatif)

    Ingrédients pour la farce

    - 60 g vermicelles de soja prédécoupés
    - 500 g porc haché
    - les nageoires des calmars
    - 2 ou 3 petits piments rouges
    - 4 gousses d’ail
    - ½ cc poivre
    - 5 cm rhizome de gingembre
    - 1 oignon doux moyen ou oignon rouge
    - 2 ciboules ou oignons de printemps
    - 2 cs sauce soja foncée
    - 1½ cs nuoc mam « Phu quoc »
    - 2 cc d’huile de sésame
    - 4 ou 5 tiges de coriandre avec racines + feuilles

    Préparation

    - Faites dégeler les calmars, séparez la tête du corps, coupez la partie de la tête sous les yeux et enlevez également le bec. Emincez finement les nageoires des calmars .Bien vider l’intérieur des corps, enlevez le cartilage, rincer simplement et bien essuyer. Retournez les corps des calmars

    - Laisser tremper les vermicelles dans l’eau chaude pour les faire ramollir. Egoutter soigneusement avant de les utiliser. Coupez-les à l’aide de ciseaux. Réservez dans un bol

    - Lavez les piments doux, coupez-les en 2 dans le sens de la longueur, égrenez et coupez-les en lanières. Epluchez et hachez finement l’ail ainsi que le gingembre. Epluchez l’oignon, les ciboules émincez-les ainsi que la coriandre. Ajoutez le tout aux vermicelles de soja.

    - Poivrez et relevez la viande hachée avec la sauce soja foncée + nuoc mam, ajoutez les nageoires des calmars hachées, mélangez. Puis incorporez-y l’huile de sésame et pétrir. Ajoutez le contenu du bol (vermicelles – piments – ail – gingembre – oignon doux – ciboule – coriandre). Bien mélangez.

    - Remplir une poche à douille de l’appareil et farcir les calmars en veillant à ne les remplir au-delà des 3/5. Remettez les têtes en place afin de reconstituer les calmars. Réservez.

    - Rincez les légumes, coupez les courgettes en tranches de ± 4 mm, puis en 2 ; Les baby-maïs et les egg plants en 4 ; les mange-tout en deux en biais.

    - Dans un wok préchauffé versez 2 à 3 cs d’huile et faites cuire en 2 ou 3 fournées les calmars farcis durant 4 à 5 minutes, Retirez du wok et réservez.

    - Remettre le wok sur le feu, versez-y 1 cs d’huile, lorsque celle-ci fume, faites cuire la pâte de curry pendant 2 minutes, baissez le feu et versez petit à petit le lait de coco. Laissez frémir pendant 2 minutes. Ajoutez les légumes, le sucre et les feuilles de combava dont vous aurez ôté la nervure centrale. Incorporez la crème de coco. Laissez frémir pendant 5 minutes. Ajoutez les calmars et laissez cuire encore 2 à 3 minutes. Parsemez de feuilles de cor-iandre fraîche. Servir avec un riz parfumé.

    * Selon que l’on aime ± piquant. A signaler je prépare moi-même ma pâte de curry vert.

    Calmars farcis au curry vert

  • Cuisine chinoise, Crevettes aux champignons parfumés

    Cuisine chinoise, Crevettes aux champignons parfumés

    Crevettes aux champignons parfumés ( cuisine chinoise, recette chinoise)

     

    Cuisine chinoise

    Ingrédients

    • 10 gros champignons parfumés déshydratés trempés dans de l’eau chaude pendant 3h
    • 40 crevettes roses décortiquées – ¼ de poivron rouge en lamelles
    • 1 oignon coupé grossièrement
    • Zeste d’1/2 citron + son jus environ 2 c à soupe
    • 2 c à café de sucre
    • 2 c à soupe de fécule de maïs dans un peu d’eau
    • 2 c à soupe de vinaigre de xéres

    Préparation

    • Dans de l’huile, faire sauter tous les légumes + zest de citron en touillant
    • Rajouter la fécule + vinaigre + jus de citron+ sucre + crevettes

     

  • Toutes les astuces de la cuisine asiatique

    Toutes les astuces de la cuisine asiatique

    Cuisine asiatique, les astuces, Salade vietnamienne : préparation de la sauce

    Voici les proportions : Sauce salade vietnamienne

     1 c à soupe de nuoc mâm
    1/2 c à soupe d’huile
    1/2c à soupe de jus de citron
    1/2 cuillerée à café de sucre en poudre
    1 mini c à café de piments pilés
    1 petite gousse d’ail finement hachée à la moulinette
    1/2 c à soupe de sauce de soja (facultatif)

    A savoir qu’avec la sauce de soja la recette est plus chinoise et avec la sauce de poissons elle devient plus vietnamienne.

    Aussi les proportions que nous avons mises seront en fonction de votre goût et vous pourrez expérimenter…Vous pouvez remplacer la proportion de nuoc mam par du soja etc…

    Cuisine asiatique, les astuces : Wasabi et kikkoman

    Wasabi et kikkoman, ne jamais mélanger ensemble

    Pour déguster les sushis dans la cuisine japonaise, nous mélangeons souvent le wasabi (raifort) avec le kikkoman( soja) ; ceci est une erreur grossière pour les puristes de la cuisine du soleil levant.

    Pour apprécier la pleine saveur de ces préparations aux yeux bridés, il est impératif de déposer une toute petite portion de wasabi sur le poisson et tremper le tout ensuite dans le soja.

    Ainsi toutes les finesses de cette association à la fois piquante et douce, pourront s’épanouir et extasier vos papilles gourmandes. Wasabi et kikkoman, ne jamais mélanger ensemble

    Pour déguster les sushis dans la cuisine japonaise, nous mélangeons souvent le wasabi (raifort) avec le kikkoman( soja) ; ceci est une erreur grossière pour les puristes de la cuisine du soleil levant.

    Pour apprécier la pleine saveur de ces préparations aux yeux bridés, il est impératif de déposer une toute petite portion de wasabi sur le poisson et tremper le tout ensuite dans le soja.

    Ainsi toutes les finesses de cette association à la fois piquante et douce, pourront s’épanouir et extasier vos papilles gourmandes.

    Cuisine asiatique, les astuces : galettes de riz ou comment les mouiller

    Galettes de riz ou comment les .mouiller

    les galettes de riz …pour les rouleaux de Printemps , les pâtés impériaux ou nems…

     De préférence prendre des galettes vietnamiennes

     Bien mouiller sous le robinet ou dans une assiette avec de l’eau tiède des 2 côtés

     Egoutter

     Laisser reposer 1mn dans une assiette

    Cuisine asiatique, les astuces : Sauce de poissons ou sauce nuoc mam( la préparation).

    cuisine asiatique, Les astuces

    Sauce de poissons ou sauce nuoc mam : la préparation.

    « Préparation d’une bonne sauce de poisson ou nuoc mam »

    Préparer une bonne sauce de poissons ou nuoc mam pour y tremper les pâtés impériaux ou les rouleaux de printemps est chose facile. Dans un verre à moutarde mettre 2/3 de nuoc mam et 1/3 d’eau. Verser le tout dans un grand bol et rajouter la moitié d’une boite d’ échalottes chinoises avec son jus, une cuillérée rase à café de sucre en poudre et un peu, selon vos goûts, de purée de piments (facultatif). Evidemment tout est question de goût personnel 3/4 de nuoc mam 1/4 d’eau …etc si vous aimez une sauce plus corsée…

    Cuisine asiatique, les astuces : Glutamate, par quoi le remplacer ?

    Par quoi remplacer le glutamate ?

    Souvent dans des recettes que vous avez fortuitement dénichées dans un bouquin de cuisine il est recommandé, afin de relever le goût, d’ajouter du glutamate , poudre blanche et scintillante, surtout ne le faites pas .

    Remplacez le glutamate, ingrédient des plus « glauques « , par une pincée de sucre. Vous serez certains de ne pas avoir mal à la tête etc….

    Jetez le glutamate définitivement.

    Cuisine asiatique et ses astuces ; le caramel maison

    Bonbons Durs, Candy, Translucide, AlimentaireCuisine asiatique et ses astuces ; le caramel maison

    Pour le porc ou le poulet au caramel, les desserts comme les pommes caramélisées…

     Se munir dune vieille casserole sutout pas une Téfal
    Y mettre la quantité de sucre que l’on veut
    Ajouter de l’eau , juste de quoi l’humecter pour qu’il change de couleur
    Mettre à chauffer à feu moyen et SURTOUT NE PAS TOUILLER
    Quand le sucre brunit et donc devient caramel, rajouter à ce moment seulement de l’eau pour qu’il devienne du caramel liquide, SURTOUT NE PAS TOUILLER
    Et faire cuire à feu doux

    Le truc : SURTOUT NE PAS REMUER

    La cuisine asiatique et ses astuces/ cuisiner au wok

    La cuisine asiatique et ses astuces

    La cuisine au wok

    Cuisiner au Wok

    Le wok est un ustensile de cuisine magique car il permet une cuisson à la fois efficace et in tuitive

    . Tout d’abord le mettre sur le feu, attendre qu’il se mette à fumer légèrement, ajouter l’huile jusqu’à ce qu’elle se mette à fumer elle aussi très légèrement, et commencer seulement à introduire les ingrédients de votre recette asiatique.

    La cuisine asiatique et ses astuces, éplucher l’ail facilement

    La cuisine asiatique et ses astuces, éplucher l’ail facilement

     prendre un gros hachoir

     écraser les gousses d’ail avec le « plat » du hachoir

     et enlever les épluchures d’ail, reste un jeu d’enfants

  • Mais c’est quoi pour un chinois le DEB, le dîner en blanc?

    Mais c’est quoi pour un chinois le DEB, le dîner en blanc?

    Le DEB ou Dîner En Blanc

    Dîner en blanc

    « Je vais prendre des photos car au pays personne ne me croira ! »

    Que se passe t-il autour de l’Arc de Triomphe ? Que font ces centaines de convives , tous habillés de blanc, dînant sur des tables blanches à même le trottoir ? Ils semblent tous comme chez eux, dans ce lieu prestigieux visité chaque année par des millions d’étrangers venus du monde entier. Du champagne dans des flûtes fines, des chandeliers sur des tables immaculées, des couverts d’apparat et cette impression diffuse de vivre hors du temps qui anime cette scène féerique. Les passants s’arrêtent , par curiosité , par sympathie, ils sont comme happés par cette ambiance d’une autre époque où le rap, les portables paraissent comme incongrus. Un camion de pompier passe et les serviettes blanches tournent comme des « derviches tourneurs » au dessus des convives dans des hourras joyeux et communicatifs. Le Dîner en blanc restera un souvenir touristique inoubliable pour nos amis asiatiques, le Dîner en blanc restera figé à jamais sur leurs photos, le Dîner en blanc voyagera vers leurs contrées lointaines comme une parenthèse dans leur visite parisienne.

    De nombreux touristes asiatiques, chinois, japonais… nous posent cette question :  » mais où sont donc les mariés ? « . Ces nouveaux époux doivent- être très riches pour pouvoir s’offrir un lieu si prestigieux pour leur célébrer leur union ! Faut-il encore qu’ils sachent que le blanc est pour nous occidentaux d’une autre signification que pour les asiatiques

    « Mais dites moi, où sont les mariés, ils doivent- être riches !? »

     Une fois dans l’année, des milliers de convives sont invités pour un  » pic-nique haut de gamme » dans un lieu tenu secret jusqu’au dernier moment. Tous vêtus de blanc munis de tables de bridge, de nappes et serviettes blanches etc… les invités se retrouvent pour un dîner hors du commun dans un lieu d’exception pour un moment inoubliable. Le champagne est la boisson qu’il ne faut surtout pas oublier sous peine de paraître ringard. La Concorde, les invalides, le Louvre, l’Orangerie du château de Versailles, la place des Vosges….

    ©Reportages d’asie et asie reportages


    To dine in white

    “I will take to photographs bus with the country anybody me will believe ! “

    What does it occur T around the Triumphal arch ? What makes these hundreds of guests, all equipped with white, dining on white tables with same the pavement ? They seem all like on their premises, in this prestigious place visited each year by million from abroad come from whole world. Champagne in fine flutes, candlesticks on immaculate tables, forks and spoons of pageantry and this impression diffuses of living out of time which animates this feeric scene. Passers by stop, by curiosity, sympathy, they are as grabbed by this environment of another time when rap, the portables appear like incongruous. A truck from fireman passes and the white towels turn like “dancing dervishes” with the top of the guests in merry and communicative hurrahs. The To dine in white will remain an unforgettable tourist memory for our Asian friends, the Dîner in white will remain fixed with never on their photographs, the Dîner in white will travel towards their remote regions like a bracket in their Parisian visit

    Many Asian, Chinese, Japanese tourists… us put this question : “but where are thus them married ? “. These new husbands must be very rich to be able to offer a so prestigious place for their to celebrate their union ! It is necessary still that they know that it white is for us Western of another significance that for the Asian ones

    “But say me, where are the grooms, they must be rich person !? “

    - Once in the year, of the thousands of guests is guests for a “top-of-the-range peak-NIC” in a place held secret until the last moment. All vêtus of white provide with tablecloth, bridge tables and towel white etc… the guests are found for a dinner out of the commun run in a place of exception for one moment unforgettable. The champagne is the drink which one should not especially not to forget under penalty of appearing old-fashioned. Agree, the invalids and this year, the Arc of triumph.

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