Étiquette : cuisine

  • Canard laqué Pékinois (de Pékin ou de Beijing)

    Canard laqué Pékinois (de Pékin ou de Beijing)

    Canard laqué Pékinois (de Pékin ou de Beijing).

    Canard laqué Pékinois (aussi appelé canard laqué de Pékin ou de Beijing).

    Vous connaissez tous le fameux canard laqué. Mais pour tous les canards, la survie en Asie relève du défi Olympique ou du cauchemar éveillé. Supposons que le canard soit né sous une bonne étoile qui veille sur lui et le protège, peut-être qu’on pourrait imaginer qu’un humain aurait l’idée saugrenue de l’adopter comme animal de compagnie et de le dorloter tel un chat ou un chien. Il faut savoir quand même qu’en Chine on mange tout ce qui bouge, tout ce qui ne bouge pas et aussi tout ce qui a des pattes sauf les bancs. Cette vision du canard domestique choyé et câliné n’est que fabulation pour notre pauvre volaille dépressive.

    Elle est l’objet de désirs culinaires depuis des centaines d’années et les cuisiniers chinois sont les pires ennemis . Un canard fan de surf m‘a confié qu’il avait rêvé que son principal « sponsor » n’était autre que les peintures Ripolin les spécialistes de la laque.

    Le meilleur restaurant de Pékin possède un immense cadran sur lequel est noté un chiffre astronomique qui augment à chaque instant. C’est simplement le nombre de canards servis depuis plusieurs générations. Dans une immense salle, grande comme un hall de gare, des dizaines de serveurs s’activent autour de tables rondes entourées d’une quinzaine de convives joyeux. Le bruit y est infernal pour des touristes européens habitués à l’ambiance feutrée et sans vie de nos restaurants gastronomique. Si vous occultez tout ce décorum à la Chinoise, vous pourrez alors être les spectateurs privilégiés d’un ballet incessant, d’un va et vient étourdissant dans ce temple dédié au pauvre canard qui n’a jamais demandé d’être la star exclusive.

    Des centaines de canards en habits de fête, c’est à dire laqués, allongés, l’air absent, nous donnent leur dernière représentation, avant d’être ingurgités illico presto dans un autre monde. Des cuisiniers harnachés comme des chirurgiens, un masque sur la bouche, le long couteau à la main, nous interprètent une partition que nos volailles auraient préféré ne jamais entendre. Des gestes d’une précision insoutenable et voilà que la peau de notre volatile se transforme en plat raffiné et délicieusement sucré.

    Chaque convive se saisie de cette peau croustillante, dorée à souhait et la roule dans une mini crêpe de riz, accompagnée de lamelles de ciboule. Avant de déguster notre ami le canard, il va falloir le tremper dans une épaisse sauce de « prune ». Pour les riches chinois de l’époque, manger la viande restait une chose totalement indécente et si vulgaire, car celle ci était réservée exclusivement aux domestiques. Seule la peau tellement croquante, était appréciée par les maîtres et notables de la Chine ancienne.

    Aujourd’hui, les temps ont changé et l’on sert ensuite aux clients la viande, soit avec des nouilles sautées, soit dans une soupe. Chaque canard laqué servi est accompagné d’un certificat avec un numéro que les touristes conservent religieusement dans leur portefeuille.

    Nous conseillons à tous nos amis canards du monde entier d’éviter de faire du tourisme en Chine au risque de perdre des plumes et plus, sûrement. En revanche, nous leur recommandons de faire un crochet du côté du Périgord… non, non, surtout pas un « crochet » du périgord….. désolé, désolé.

    Riton la Banane

    ©Reportages d’asie et asie reportages


    Beijing roast duck

    You know all the famous Beijing roast duck. But for all ducks, survival in Asia concerns the challenge Olympic or of the waked up nightmare. Let us suppose that it duck was born under a good star which takes care on him and protects it, perhaps that one could imagine that one human would have the absurd idea to adopt it like animal of company and the dorloter a such cat or a dog. It should be known nevertheless that in China one eats all it who moves, all that does not move and also all that has legs except the benches. This vision of duck domestic cherished and câliné is only fabulation for our poor depressive poultry.

    It is the object of culinary desires since hundreds of years and the Chinese cooks are them worse enemies. A duck fan of surfing m `entrusted that it had dreamed that its principal “sponsor” was not different that Ripolin paintings specialists in the lacquer.

    The best restoring of Beijing has immense dial on which is noted an astronomical figure which augment at every moment. It is simply the number of ducks been useful since several generations. In one immense room, large like a hall of station, tens waiters are activated around surrounded round tables of about fifteen merry guests. The noise is there infernal for European tourists accustomed to the environment felted and without life of our restaurants gastronomical. If you occult all this decorum with Chinese, you could then be the spectators privileged of a ceaseless ballet, a to and from dazing in this temple dedicated to the poor duck which forever asked to be the star exclusive.

    Hundreds of ducks out of clothes of festival, i.e. enamelled, lengthened, the air absent, give them to us last representation, before being ingurgities illico presto in another world. Harnessed cooks like surgeons, a mask on the mouth, length knife with the hand, interpret us a partition that our poultries would have preferred never not to hear. gestures of an insupportable precision and here is that skin of our bird transforms itself into refined dish and délicieusement sweetened.

    Each seized guest of this crusty skin, gilded with wish and rolls it in minis crepe of rice, accompanied by spring onions. Before tasting our friend the duck, it should be soaked in one thick « plum sauce ». For the Chinese rich person of the time, to eat the meat completely remained a thing indecent and so vulgar, because that Ci was reserved exclusively with the servants. Only skin so much crunching, was appreciated by the Masters and notable of old China.

    Today, times changed and one is useful then to the customers the meat, is with jumped noodles, maybe in a soup. Each Beijing roast duck been useful is accompanied by a certificate with a number that them tourists preserve religieusement in their wallet.

    We advise with all our friends ducks of the whole world to avoid making tourism in China with the risk of to lose feathers and more, surely. On the other hand, us their let us recommend to make a hook on the side of Périgord… not, not, especially not a “hook” of périgord ….. sorry, sorry.

    Riton the Banana

    ©Reportages of Asia and Asia reports

  • Cuisine asiatique

    Cuisine asiatique

    Cuisine asiatique ou la reconnaissance du ventre

    La reconnaissance du ventre.

    - A la mort de mon père nous ne savions rien de nos racines, sinon des bribes de souvenirs épars qui s’amoncelaient comme un édifice instable et bourré de mal-façons. Rêves ou fantasmes d’immigrés des années 50 où poussés par un instinct de survie ; ces premiers vietnamiens s’installèrent en France laissant derrière eux un magnifique pays prêt à se détruire, et déjà déchiré par des guerres fratricides et inutiles.

    Je suis effectivement né dans les années cinquante et mes parents ont oublié, par désir d’intégration ou par peur viscérale, de nous parler de ces racines qui donnent à chacun de nous une vraie identité.


    Nous avions dans la famille, autant les filles que les garçons une envie de nous éloigner de cette histoire qui semblait ne pas être la nôtre. Ainsi oublier notre langue maternelle en quelques mois, apprendre le français à la vitesse de l’éclair, devenir le premier en « rédac », avoir des prénoms français …Se marier avec un(e) asiatique semblait improbable et peut être même impossible. Etions nous devenu des extrémistes par désir de nous fondre dans la masse ou simplement pour oublier que nous étions jaunes ?!!!Cette quête de l’absolue intégration s’imposait à nous comme normale et nous trouvions mes les asiatiques absolument pas attirants, pas sexy…Le rouleau compresseur avait bien fait son office , il avait réussi à nous transformer, à nous métamorphoser en « plus royalistes que le roi ».


    La seule chose qui nous collait à la peau, qui s’acharnait à nous poursuivre jusqu’au plus profond de notre être comme un chasseur de prime opiniâtre était la « nourriture » de cuisine asiatique. Les odeurs de curry, les nems au parfum délicieux, le canard au gingembre, les fruits exotiques aux senteurs enivrantes …toute cette culture culinaire ne voulait pas nous quitter, elle accompagnait notre vie avec joie et nous rappelait sans cesse que quelque chose en nous résistait à l’assaut du temps.

    plats chinoisQuand la culture disparaît restent ancrés les goûts, les odeurs et la délicate impression de bien-être que nous procure un bon plat. Demain je pars à la reconquête de mon autre chez moi et des bonnes odeurs de la cuisine asiatique!

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  • Calories asiatiques

    Calories asiatiques

    bouffeCuisine asiatique ou cuisine américaine ?

    Asie santé et bien-être

    Cuisine asiatique ou cuisine américaine ?

    Des études sérieuses nous donnent des chiffres étonnants sur le nombre de calories affectés à certains plats fort connus de la cuisine asiatique et de la cuisine américaine. Evidemment nous allons pas rentrer dans l’explication des calculs judicieux et techniques de nos chercheurs car c’est du chinois pour les simples « pékins » que nous sommes.

    Cuisine asiatique, les calories :

    - Sushi 100 cal
    - Pâtés impériaux 180 cal
    - Riz cantonnais 125 cal
    - Soupe chinoise 120 cal
    - Boulettes de riz 120 cal
    - Sashimi 150 cal
    - Verre de saké 15 cal
    - Bière chinoise 40 cal

    Cuisine américaine, les calories :

    - Pizza 1245 cal
    - Cheese burger 2320 cal
    - Pop corn 370 cal
    - Hot dog 1500 cal
    - Frites no light 1270 cal
    - Menu burger 3140 cal
    - Chips 920 cal
    - Bière américaine 460 cal

    Alors la guerre fait rage entre lourdeur et légèreté, embonpoint et minceur, rototos intempestifs et estomac béat. La balle est dans votre camp, et vous devrez choisir le style culinaire qui s’adaptera le mieux à votre avenir physique et psychologique.

    Pour moi pas de doute possible, le choix est fait illico presto, même si je ne suis pas fort en mathématiques : cuisine asiatique. Je suis un poète car je fais des vers….

    Riton la banane

  • vie de chien à Hanoï

    vie de chien à Hanoï

    Carnets de voyage en asie ou une vie de chien à Hanoï

    – Carnets de voyage en asie

    une vie de chien à Hanoï
    - Je m’en souviens encore, il faisait trés chaud. Hanoï s’affairait bruyamment et nous n’ étions pas loin du mausolé de l’oncle Ho. Impossible d’y pénétrer pour cause de fermeture. Nous sommes allés nous promener dans un pittorresque marché vietnamien plein de senteurs alléchantes, nems, grillades au feu de bois, volailles dodues…quand soudain comme Ulysse par les Sirènes, nous fûmes happés par un fumet prometteur.

    Tel le petit Poucet guidé par cette odeur si alléchante nous nous dirigeâmes vers ce nirvana gustatif. Stupéfaction et horreur se lirent dans nos yeux, ce plat des dieux c’était du « chien » découpé en petites portions, prêtes à être mangées !!!.
    A vrai dire ce n’est qu’une histoire de culture, simplement une question de culture !!! Mais malgrè notre courage reconnu de tous nos pairs et notre insatiable gourmandise nous déposâmes les armes et fîmes retraite, retraite anticipée, cela va de soi….(cf la photo).

    – Carnets de voyage en asie

    une vie de chien à Hanoï
    – Je m’en souviens encore, il faisait trés chaud. Hanoï s’affairait bruyamment et nous n’ étions pas loin du mausolé de l’oncle Ho. Impossible d’y pénétrer pour cause de fermeture. Nous sommes allés nous promener dans un pittorresque marché vietnamien plein de senteurs alléchantes, nems, grillades au feu de bois, volailles dodues…quand soudain comme Ulysse par les Sirènes, nous fûmes happés par un fumet prometteur.

    Tel le petit Poucet guidé par cette odeur si alléchante nous nous dirigeâmes vers ce nirvana gustatif. Stupéfaction et horreur se lirent dans nos yeux, ce plat des dieux c’était du « chien » découpé en petites portions, prêtes à être mangées !!!.
    A vrai dire ce n’est qu’une histoire de culture, simplement une question de culture !!! Mais malgrè notre courage reconnu de tous nos pairs et notre insatiable gourmandise nous déposâmes les armes et fîmes retraite, retraite anticipée, cela va de soi….(cf la photo).

  • Cauchemar pékinois (histoire vraie)

    Cauchemar pékinois (histoire vraie)

    Tribulations pékinoises ou le cauchemar de l’estomac !

    Tribulations pékinoises ou le cauchemar de l’estomac ! Tribulations pékinoises.

    Voilà comment a commencé le cauchemar pékinois. Banlieue de Pékin, 30° à l’ombre, mon amie la climatisation diffuse ses bienfaits . Il est 22H32 dans ce bel hôtel 4 étoiles où de riches chinois au fort pouvoir d’achat s’ébrouent dans l’immense hall richement décoré. De profonds fauteuils me tiennent tendrement prisonnier, une musique délicate, un rien soporifique, vampirise mon esprit vagabond, je suis tout à mon affaire : je ne fais absolument rien. Soudain j’entends mon nom éclater comme une bombe, traverser mon cerveau alangui et me cisailler les tympans. Je vois brusquement s’éloigner à tire d’ailes les instants de calme et de quiétude : on a besoin de mes services.

    Audi A6 et son chauffeur, l’homme d’affaires chinois , 2 chinoises et la route qui se dessine devant moi dans un cauchemar nocturne, 120kms/h, 140, 160, 180 sur la nationale. Rien ne nous arrête ni les lignes jaunes continues que nous chevauchons sans vergogne, allant même pendant plusieurs minutes rouler à contre courant pour ne nous rabattre qu’au dernier moment sous la mitraille des feux des véhicules venant en sens contraire, ni la circulation grouillante des véhicules bigarrés. Bientôt sur l’autoroute, l’Audi prend de la vitesse, s’envole à plus de 200kms/h avant de se déporter sur la bande d’arrêt d’urgence où elle se faufile entre les voitures sans jamais ralentir.

    Dans l’automobile, tout paraît normal, les occupants, indifférents à cette chevauchée fantastique, bavardent tranquillement. Je sue à grosses gouttes, l’estomac et les jambes serrées, les fesses aussi d’ailleurs, l’œil aux aguets et vraiment pas fier.

    Soudain l’auto freine dans un crissement de pneus et s’immobilise. Incroyable juste à l’intersection d’une bretelle de sortie d’autoroute. Les voitures défilent sur notre droite, sur notre gauche telles des balles de « Kalashnikof » nous rasant comme des lames affûtées…Notre dernier jour est venu, je me vois emporté par la cohorte hurlante et vrombissante de la circulation haineuse, adieu vaches, veaux, cochons. Sans un regard, l’une des passagère ouvre la portière, descend du véhicule, nous fait un coucou joyeux et disparaît comme emportées par la nuit ! Après cet arrêt inopiné, la puissante Audi dans un démarrage viril, s’élance de nouveau dans une terrifiante et effrayante course contre la montre.

    Deuxième partie du cauchemar pékinois

    Pékin et ses rues grouillantes nous accueillent enfin. La berline se faufile féline au cœur de cette foule indisciplinée. Après des négociations difficiles, nous déposons l’autre personne près de la place « Tien An Men ».

    L’Audi rageuse se jette hors de la ville et file à travers la nuit comme une bête fauve dans la jungle des voitures. De nouveau nous frôlons les glissières de sécurité à plus de 200. Le big boss ne parle ni anglais, ni français et m’adresse des regards courtois auquels je réponds par un sourire crispé et plein de dents. Le chauffeur, un bras à la portière, me jette parfois dans le rétroviseur un regard bovin et méfiant.

    Bientôt nous nous arrêtons et le boss me fait signe qu’il désire m’inviter à déguster un repas pour fêter la réussite de la négociation. A ce moment précis, le ciel me tombe sur la tête et le sol se dérobe sous les pieds. Dans l’hôtel je m’étais déjà servi un dîner gargantuesque et celui ci ne laissait à mon estomac pas la moindre place, même pour une cacahuète naine.

    Impossible de refuser au risque de vexer mon hôte. Me voilà plongé dans le pire des cauchemars, celui de l’oie du Périgord que l’on s‘apprête à gaver, pour en extraire le foie. D’habitude, entrer dans un restaurant m’aurait comblé, mais ce soir , j’ai l’étrange l’impression d’entrer dans un abattoir.

    Mon convive affublé de son chauffeur, sbire, homme de main ou serviteur, commande illico presto une multitude de plats aux noms imprononçables. Soudain sur la table se bousculent des côtes de moutons, des soupes, des viandes en sauce, du riz cuisiné…J’ai bien envie de fuir cette bouffe si peu conviviale, à l’odeur cauchemardesque qui colonise mes narines jusqu’au vomissement : je suis pris au piège de la bienséance.Des côtelettes de 30cms à faire semblant de manger avec appétit, des lamelles de soja à grignoter dans un rictus, du bœuf à déguster avec dégoût, une soupe à gerber en souriant, le purgatoire sur terre est chinois. Dès que mon opiniâtreté à manger se met à faiblir, mon hôte me fixe avec un regard rempli de reproches et insuffle, par un grognement significatif à mon esprit vaincu, une nouvelle force pour paraître satisfait et heureux.

    Troisième partie du cauchemar pékinois

    Mon seul désir, fuir loin de cette auberge espagnole, au pardon chinoise, vers un pays où l’on mourrait de faim seul, à l’ombre d’un arbre effeuillé et sans fruits.

    J’utilise alors toutes les ruses pour sourire de contentement, masquer mon dégoût. Je jette dès lors de la viande sous la table, je creuse sournoisement mon bol de riz avec mes doigts, je rogne les côtelettes d’un seul côté feignant ainsi, par la mise en scène, apprécier ce terrible repas. Le chauffeur, les yeux baissés, boulotte des montagnes de nourriture et me sert des rasades de coca non-stop. Entre 2 rots satisfaits, « big boss » fort sympathique de surcroît, engouffre un nombre incalculable de mets exotiques en jetant sur la table tous les os, les peaux, les restes et bientôt celle ci ne ressemble plus guère qu’à un cimetière à ciel ouvert. Pas un seul mot ne sera échangé du fait de la frontière des langues, des bruits de bouche à concurrencer les les décibels des concerts de hard-rock, rien que de la convivialité à l’état pur. Je redoutais particulièrement le dessert asiatique non adapté aux palais des européens. Mon estomac dans un dernier hoquet d’agonie, brandit naturellement le drapeau blanc, incapable de supporter les prochains assauts de la gastronomie chinoise.

    Sauvé, pas de sucreries exotiques, big boss se lève soudain et je le suis hors du restaurant. Une poignée de main franche et amicale et mes 2 amis disparaissent dans la nuit noire comme ils étaient venus.

    Mon estomac, encore tout ébranlé par la peur de la vitesse et un trop plein de nourriture, se met à entonner goûluement un chapelet de rototos libérateurs et joyeux.

    HV

    Tribulations Pekinese or the nightmare of the stomach!

    Tribulations Pekinese or the nightmare of the stomach! Tribulations Pekinese.

    Beijing suburb, 30 ° in the shade, my friend conditioning diffuse its benefits. It is 10:32 p.m. in this beautiful 4 star hotel where wealthy Chinese with high purchasing power snort in the huge ornate lobby. Deep armchairs tenderly hold me prisoner, a delicate music, a soporific nothing vampirizes my wandering mind, I’m in my case: I absolutely do nothing. Suddenly I hear my name burst like a bomb through my brain languid and shear my eardrums. I see suddenly pulls away to wing the moments of peace and quiet: you need my services.

    Audi A6 and his driver, the Chinese businessman, two Chinese and the road looming before me in a nocturnal nightmare, 120kms / h, 140, 160, 180 on the national. Nothing stops us or continuous yellow lines as we ride shamelessly, even going for several minutes ride against the tide for us not fall back at the last moment under fire for fire vehicles coming in the opposite direction, or the teeming traffic colorful vehicles. Soon on the highway, the Audi takes speed, flies to over 200kms / h before being deported on the emergency lane where she weaves between cars without ever slowing down.

    In the car, everything seems normal, occupants, indifferent to this fantastic ride, chatting quietly. I sweat profusely, stomach and legs together, buttocks as elsewhere, the eyes alert and really not proud.

    Suddenly the car brakes in a squeal of tires and stopped. Unbelievable just the intersection of a highway exit ramp. The cars parading on our right, on our left like bullets « Kalashnikof » skimming us as sharp blades … Our last day came, I see carried away by the howling and roaring cohort traffic hateful, farewell cows, calves, pigs. Without a glance, one of the passenger opened the door, out of the car, we made a cheerful hello and disappears as blown away by night! After this unexpected stop, the powerful Audi in a manly start, rushed back into a terrifying and frightening race against time.

    Beijing and its teeming streets we finally welcome. The sedan feline sneaks in the heart of this unruly crowd. After difficult negotiations, we place the other person near the square « Tiananmen ».

    The Audi raging flows out of town and took it through the night like a wild beast in the jungle of cars. Again we frôlons guardrails to over 200. The big boss speaks neither English nor French and courteous looks of the seminar I address myself answer with a tight smile and full of teeth. The driver, an arm of the window, sometimes throws me in the rearview mirror cattle and suspicious look.

    Soon we stop and the boss made me sign that he wants to invite me to enjoy a meal to celebrate the success of the negotiations. At that moment, the sky fell on my head and the ground from under the feet. In the hotel I was already served me a gargantuan dinner and this one did not let my stomach any place, even for a dwarf peanut.

    Unable to deny the risk to offend my host. Here I am plunged into the worst nightmare, that of the Périgord goose that one is about to gorge, to extract the liver. Usually walk into a restaurant would have favored me, but tonight I feel strange to go into a slaughterhouse.

    My guest tricked his driver, minion, henchman or servant, illico presto control a multitude of dishes with unpronounceable names. Suddenly on the table are scrambling sheep ribs, soups, meat sauce, cooked rice … I really want to run away this food so uninviting, the nightmarish smell that colonizes my nostrils until vomiting: I’m trapped in bienséance.Des chops 30cms pretend to eat with relish, soy slices snack in a grin, beef to enjoy with disgust, soup gerber smiling, purgatory on earth is Chinese. As soon as my obstinacy room starts to falter, my host fixed me with a look filled with reproaches and breathes through a significant grunt to overcome my mind, a new force to appear satisfied and happy.

    My only desire, run away from this Spanish inn in Chinese pardon, to a country where they would die of hunger alone in the shade of a leafless tree without fruit.

    I then use all the tricks for contented smile, hide my disgust. Therefore I throw meat under the table, I dig slyly my bowl of rice with my fingers, I trim the chops on one side and pretending, for the staging, enjoy this terrible meal. The driver, looking down, dumpy food mountains and serves me non-stop coca bumpers. Between 2 satisfied burps, « big boss » very nice moreover, engulfs countless exotic dishes by throwing on the table all the bones, skins, the remains and soon this one hardly looks at a sky Cemetery opened. Not one word will be exchanged because of the language border, mouth noises to compete with the decibels of hard rock concerts, nothing but pure friendliness. I feared particularly the Asian dessert not suitable for European palace. My stomach in a last gasp of agony, naturally waved the white flag, unable to withstand the coming onslaught of Chinese gastronomy.

    Sauvé, no exotic sweets, big boss suddenly I’m up and out of the restaurant. A handful of frank and friendly hand and my 2 friends disappear into the night as they came.

    My stomach, still shaken by fear of speed and too full of food, begins to intone a string of greedily rototos liberating and joyful.

  • Recette du poulet blanc à la chinoise et son bouillon

    Recette du poulet blanc à la chinoise et son bouillon

    drapeau chinoisRecette du poulet blanc à la chinoise et son bouillon

    Recette chinoise/ cuisine chinoisepoulet-coq-volaille-crête-images-gratuites1-1560x1037

    Recettes asiatiques « light »et « diététiques » faciles

    Recette du poulet blanc à la chinoise et son bouillon

    Ingrédients
    - 1 poulet (fermier de préférence)
    - sauce de soja
    - purée de piments
    - 1 à 3 c à soupe de sauce de poissons selon la quantité d’eau de cuisson
    - coriandre finement haché
    Préparation
    - cuire le poulet dans de l’eau salée
    - dès qu’il est cuit le sortir et le laisser refroidir
    - ensuite découper le poulet en petits morceaux (ex un haut de cuisse en 4).
    - bouillon= eau de cuisson du poulet+ un peu de sauce de poissons+coriandre+poivre
    - déguster le poulet en le trempant dans la sauce de soja+purée de piments et du riz parfumé
    - conseil manger le poulet en alternance avec le bouillon car les goûts sont complémentaires.

    La cuisine asiatique est facile

    Si vous avez une recette light, diététique et facile n’hésitez pas à nous la faire connaître et nous nous ferons un plaisir de la mettre illico presto en ligne. Merci

    SRecette white Chinese chicken and broth

    Chinese Recipes / Cooking chinoisepoulet barnyard poultry peak-image gratuites1-1560×1037

    Asian recipes « light » and « diet » easy

    White chicken recipe with Chinese and broth

    ingredients
    – 1 chicken (preferably farmer)
    – Soy sauce
    – Mashed peppers
    – 1 to 3 tablespoons fish sauce according to the amount of cooking water
    – Finely chopped cilantro
    preparation
    – Cook chicken in salted water
    – As soon as it is cooked take it out and let it cool
    – Then cut the chicken into small pieces (eg a thigh 4).
    – = Broth chicken cooking water + a little fish sauce + pepper + cilantro
    – Chicken taste by soaking it in soy sauce + mashed chillies and fragrant rice
    – Council eat chicken alternately with broth because tastes are complementary.

     

  • Salade chinoise aux crevettes

    Salade chinoise aux crevettes

    drapeau chinoisSalade chinoise aux crevettes

    (cuisine chinoise/recette chinoise)

    Recettes asiatiques « light »et « diététiques » faciles

    photo sans carottes

    Recette chinoise

    cuisine chinoise

    Salade chinoise aux crevettes

    Ingrédients
    500 gr d’échine de porc découennée et bouillie
    500 gr de grosses crevettes surgelées sans la tête
    3 grosses carottes rappées grossièrement
    20 cm de navet chinois (ou radis noir) découpé en filaments
    feuilles de menthe ( selon votre goût).
    coriandre frais ( selon votre goût)
    2 oignons nouveaux

    Préparation
    Raper les carottes
    raper à la main le radis chinois (au couteau et non avec une rape
    trancher la poitrine froide bouillie et découennée (profiter pour enlever du gras)
    cuire les crevettes et sitôt cuites, les refroidir en les arrosant abondamment d’eau froide puis les couper en deux dans le sens de la longueur.
    Mélanger en rajoutant menthe, oignons et coriandre.

    la sauce : une goutte de sauce de poisson + une goutte de sauce de soja light

    L’idéal c’est de mettre la sauce au dernier moment

    ***

    ENGLISH

    Chinese Shrimp Salad (Chinese cuisine / Chinese recipe)

    Asian recipes « light » and « diet » easy

    Photo without carrots

    Chinese Recipes

    Chinese cuisine

    Chinese salad with prawns

    Ingredients
    – 500 gr loin pork rind boiled
    – 500g large frozen shrimp without head
    – 3 large carrots coarsely rapped
    – 20 cm in Chinese turnip (or horseradish) cut into filaments
    – Mint leaves (to taste).
    – Fresh coriander (to taste)
    – 2 spring onions

    Preparation
    – Grate the carrots
    – Hand raper Chinese radish (knife and not with rape
    – Decide chest cold and boiled rind (benefit for removing fat)
    – Cook the shrimp and soon cooked, cool by spraying with plenty of cold water and cut them in half lengthwise.
    – Mix by adding mint, onions and cilantro.

    sauce: a fish sauce + a drop of soy sauce drop light

    The ideal is to put the sauce at the last minute

  • Salade de poulet à la vietnamienne

    Salade de poulet à la vietnamienne

    Recette vietnamienne/ Cuisine vietnamienne

    Recettes asiatiques « light »et « diététiques » faciles

    Salade de poulet à la vietnamienne

    Temps de préparation : 1h sans compter la cuisson du poulet

    Pour 4 personnes :

    Ingrédients:

    • 1 poulet fermier
    • ¼ de choux blanc finement coupé
    • Une petite poignée de champignons noirs
    • 3 belles carottes râpées assez gros
    • Germes de soja ébouillantées au préalable (facultatif). L’idéal pour ce plat c’est de trouver une herbe très rare en France le Jao Jam et en mettre seulement quelques feuilles finement ciselées.
    • Assaisonnement  : Le goût doit être à votre convenance, alors allez-y molo en incorporant l’assaisonnement. Pour un bol
    • Échalotes finement hachées
    • 2 cuillère à soupe de vinaigre
    • ½ bol de Nuoc Mam préparé (en aucun cas pur)
    • ½ bol de jus de poulet

    Préparation

    La veille c’est plus facile, cuire dans de l’eau le poulet dans la cocotte ou bien à la vapeur. Attention bien garder le bouillon ! Le lendemain « l’émietter » en ne gardant ni la peau (ou très peu), ni les os. Mélanger : carottes râpées, oignons, choux, poulet, (germes de soja et jao jam.. facultatif)+ les champignons noirs au préalable réhydratés puis étreints et enfin finement ciselés.

    La cuisine asiatique est facile

    Avec asietralala vous saurez tout sur LA CUISINE ASIATIQUE

    Si vous avez une recette light, diététique et facile n’hésitez pas à nous la faire connaître et nous nous ferons un plaisir de la mettre illico presto en ligne. Merci

     

  • Sashimi de saumons (cuisine japonaise)

    Sashimi de saumons (cuisine japonaise)

    Sashimi de saumons (cuisine japonaise/recette japonaise)

    Sashimi de saumons en images (cuisine japonnaise)

    Recettes asiatiques « light »et « diététiques » faciles

    Couper des tranches de poisson dans les règles de l’art demande parfois 10 ans de métier. Si vous êtes un puriste laissez tomber…en revanche si vous êtes un explorateur des babines ….
    - Acheter du saumon très frais environ 200/250g par personne
    .
    - S’armer d’un couteau vraiment extrêmement coupant
    .Bien enlever les peaux etc…
    .
    - Ne pas oublier les arêtes
    .

    découper des tranchettes… servir avec du [(kikkoman, du wasabi et du gingembre saumuré)

    La cuisine asiatique est facile

    Si vous avez une recette light, diététique et facile n’hésitez pas à nous la faire connaître et nous nous ferons un plaisir de la mettre illico presto en ligne. Merci

     

     

     

    Salmon sashimi (Japanese / Japanese cooking recipe)
    Sashimi salmon in pictures (japanese kitchen)

    Asian recipes « light » and « diet » easy

    Cut slices of fish in the rules of art sometimes takes 10 years of experience. If you are a purist drop … but if you are an explorer of lips ….
    – Buy very fresh salmon 200 / 250g per person
    .
    – Arm yourself with a really very sharp knife
    .well Remove the skins etc …
    .
    – Do not forget the edges
    .

    cut slicers … serve with [(Kikkoman, wasabi and ginger pickled)

    Asian cuisine is easy

    If you have a recipe light, diet and easy do not hesitate to make us know and we will be happy to put illico presto online. Thank you

  • Soja au gingembre au wok (Recette chinoise)

    Soja au gingembre au wok (Recette chinoise)

    Soja au gingembre au wok (Recette chinoise/ cuisine chinoise)

    Recette chinoise/ cuisine chinoise

    soja sauté au gimgembre au wok

    Recettes asiatiques « light »et « diététiques » faciles

    Ingrédients

    - 1kg de soja
    - 1 petit bout de gingembre frais ecrasé (3cms environ)
    - 4 gousses d’ail écrasées
    - sauce d’huitre et sauce de soja
    - Persil chinois émincé

    Préparation

    - mettre une goutte d’huile dans un wok
    - faire revenir l’ail et le gingembre
    - puis jeter le soja, pas trop cuit afin qu’il reste croquant
    - à la fin mettre une c à soupe de sauce d’huitre, une de sauce de soja et une pincée de sel
    - présenter dans une assiette
    - rajouter le persil chinois

    La cuisine asiatique est facile

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