Étiquette : chinoise

  • Bar à la vapeur (cuisine chinoise, recette chinoise)

    Bar à la vapeur (cuisine chinoise, recette chinoise)

    Bar à la vapeur (cuisine chinoise, recette chinoise)

    Ingrédients

    • Un bar écaillé et vidé
    • Blanc de ciboulette
    • 1 gingembre frais
    • Sauce de soja ( une c à soupe)
    • Huile de sésame ( une c à café)
    • Sauce d’huitres ( Une c à soupe)
    • Sel fin

    Préparation

    • Mettre le poisson dans un plat creux
    • Faire des entailles des deux côtés et y déposer du sel+ le gingembre taillé en cheveux+blanc de ciboulettes.
    • Verser la sauce de soja+huile de sésame sur le bar des 2 côtés
    • Puis cuire à la vapeur en enlevant régulièrement du dessous du couvercle les gouttelettes d’eau de condensation

    Variante : effectivement tu cuits le poisson à la vapeur, sans sel mais + gingembre. faire chauffer de l’huile (environ 3 à 4 cuillères), lorsqu’elle est trés chaude et lorsque le poisson est presque cuit, verser l’huile chaude sur le poisson (attention au éclaboussures !!), ainsi le poisson est saisi et devient un peu croustillant. Puis verser de l’huile de sésame, sauce de soja et ciboulette ( version moins diététique).

  • Rire jaune ou humour fin, le rire est le propre de l’homme!

    Rire jaune ou humour fin, le rire est le propre de l’homme!

    Y’en a marre de l’humour fin.

    LE RIRE EST LE PROPRE DE L’HOMME, RIRE JAUNE, POURQUOI PAS !

    Y’en a marre de l’humour fin.

    Je suis eurasien et mon humour plutôt sans prétention se trouve confronté, trop souvent, aux sarcasmes de la soi disante élite de ceux qui possèdent la science infuse du « rire » de bon goût. Finesse et sens du verbe sont les 2 mamelles de ces gens qui planent au- dessus de la masse laborieuse des « pékins moyens », abrutis par une lourdeur ou le rire se transforme en bouffonnerie clownesque.

    Cette nomenclatura, pleine de dédain, nous débite des citations prélevées dans des textes littéraires, nous les débitent telles des tranches de saucissons et se les approprient comme des biens personnels. Ils se délectent de leurs propres performances qui restent, le pensent-ils, très au- dessus de la moyenne des gens si ordinaires. Mais en regardant de plus près, nous observons que cette pauvre élite est en manque totale de personnalité, car elle vampirise les auteurs, les écrivains, tous ceux qui possèdent le vrai sens de la dérision, le souffle de l’ironie et un talent réel pour nous faire sourire tendrement et finement.

    Quelle tristesse de ne pouvoir faire rire qu’en empruntant à d’autres des bribes de talent. Sans eux cette élite serait inexistante, sans relief et bien fragile. Ils voudraient nous faire croire qu’ils ont le sens de l’humour, mais on n’en voit pas pointer le bout du nez ; ils se terrent pour essayer de nous cacher leur détresse de ne savoir rire que par procuration.

    Trop de finesse tue la finesse et cela devient vraiment très lourd de dire que les « autres » sont lourds. Alors essayez d’être vous-même au risque de paraître ridicule, n’ayez plus peur de l’avis de vos congénères et vivez enfin.

    Rire jaune

    LE RIRE EST LE PROPRE DE L’HOMME, RIRE JAUNE, POURQUOI PAS !

    « Rire Jaune » J’ai souvent ri « jaune » car mal dans ma peau j’arborais une contenance désinvolte et fière. Cette fausse décontraction ne bluffait personne tant mon mal- être suintait à travers mon sourire tendu, mon regard fuyant et ma fébrilité. Chez les asiatiques, cette attitude si constante ne survivrait- elle pas à une histoire coloniale pleine de soumission et de frustration ? Face à une situation dérangeante, deux solutions s’offrent à nous : la colère ou le laisser-aller. La colère est un signe de faiblesse. En revanche le rire est l’élément principal d’un certain détachement. Mais cette dernière est difficile à gérer car elle échappe souvent à notre contrôle, elle s’émancipe et nous joue de très mauvais tours, elle nous montre sous notre vrai jour sans artifice, tout nu. Alors attention, la décontraction ne souffre d’aucune médiocrité, il va falloir la dompter cette « bête sauvage ». Rions mais par pitié pas jaune… Suis devenu un philosophe du rire ?

    Henri Cantonnais

     

  • Carnet de voyage en Chine, festival du tourisme

    Carnet de voyage en Chine, festival du tourisme

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    Carnet DE VOYAGE, Chine , »Festival international du tourisme et de la culture vu par Michel Recullet

    VOYAGE EN CHINE

    - Mercredi 12 :

    Notre avion part pile à l’heure et tel un oiseau tranquille l’Airbus A 340 nous conduit vers une nouvelle aventure chinoise…

    Nous changeons d’avion à Hong Kong : un jumbo nous mènera à Pékin, notre première destination.

    Le trajet m’a semblé court. A bord, nous avons commencé à regarder le programme musical. J’ai sorti la guitare de sa housse pour lui donner un avant goût de l’air chinois.

    Nous arrivons à notre hôtel vers 22 h 30, et nous rencontrons les danseurs de hip hop de Nice.

    - Jeudi 13 :

    Matin : répétition générale dans la cour de l’hôtel en vue du grand spectacle de Pékin. L’orchestre apprend très vite à jouer la chanson qu’Henri va chanter. Il souffre beaucoup quand il la chante : urgence, besoin d’amour… On prend conscience parfois que derrière les carapaces se cache un coeur sensible.

    Ensuite nous répétons notre répertoire plus traditionnel voire musette. Ca prend vite tournure car je suis venu en Chine avec des musiciens qui savent bien s’adapter..

    Ca marche ! Quelques couples dansent autour de nous c’est encourageant.

    - Vendredi 14 :

    Nous sommes allés l’après-midi au marché aux perles. La plupart ont acheté des bijoux, pierres, bagues.

    Nous avons ensuite pris la direction du temple du soleil, véritable joyau au coeur d’un parc verdoyant et regorgeant de belles espèces d’arbres.

    A 17 h Serge entre en liaison avec sa radio RVM FM (93,7) ou www.rvmfm.com.

    Allo Allo Fred, m’entends-tu ?

    et c’est parti pour une émission spéciale :  » les tribulations d’un crépinois en Chine », et soudain Serge se lance.

    « Chers auditeurs bonjour, Serge vous parle en direct de Pékin. » Je suis stupéfait, la liaison est excellente, puis il me passe le téléphone pour exprimer mon avis.

    Ensuite l’animateur nous demande d’interwiever des autochtones. Les interwievés se prêtent au jeu.

    L’atmosphère dans le parc était bien festive en cette belle journée ensoleillée. Nous écoutons une chorale, admirons l’habileté des joueurs qui s’envoient avec les pieds un gros volant de badminton.

    Le soir, nous prenons le métro pour aller flâner dans le centre de Pékin et en profitons pour tourner un clip sur le quai devant une foule de chinois médusés par le caractère insolite d’un tel évènement.

    Notre reporter Ilyana a immortalisé ce moment de folie avec sa camera. Visite nocturne de la place emblématique de la Chine : la place Tien An Mien. Retour un peu chaotique à l’hôtel, métro en réparation, difficulté pour trouver un taxi…

    - Samedi 15 :

    Lever de bonne heure car nous allons visiter la grande muraille, de Chine ,monument incontournable dans tous les sens du terme …

    Je pars sur la droite (j’avais fait la partie gauche la dernière fois ), les marches sont hautes et inégales et il faut reconnaître que l’exercice physique était assez difficile. Néanmoins le panorama le valait bien et récompensait l’effort fourni.

    Après le déjeuner, nous partons vers le podium où nous allons nous produire bientôt dans Pékin.

    Avant de monter sur scène, nous nous mêlons à la foule et leur jouons quelques airs de musette dans une ambiance de rue festive. Nous rencontrons beaucoup de chinois et discutons avec eux par les gestes et le sourire ou l’anglais s’il était compris, ensuite nous nous livrons aux rituelles séances photos …

    Cette ambiance est sympathique et chaleureuse. Notre passage sur scène a été réussi : l’objectif a été atteint.

    Nous rentrons à l’hôtel.

    Le diner est le bienvenu car la journée a dévoré nos calories.

    - Dimanche 16 :

    Comme beaucoup de pékinois, nous allons au marché aux puces. Nous achetons quelques habits et livres (pour ma part, livre des affiches de propagande lors de la réforme agraire, ou encore Tintin en chinois !).

    Après ces achats nous déjeunons dans un restaurant spécialisé dans le canard laqué. Hélas le temps de préparation étant d’une heure, nous devons nous rabattre sur d’autres mets (aussi bons !).

    L’après-midi, nous rejoignons la place Tian An Mien toujours sous un beau soleil, la visite de la cité interdite a été interrompue car l’heure de la fermeture avait sonné. Les couleurs mordorées de fin de journée rajoutent au spectacle une ambiance de bien-être.

    Nous allons nous promener le long d’un canal et respirons avec plaisir dans la fraîcheur de l’après-midi.

    Ensuite promenade dans le centre de Pékin, le coeur de la ville « branché » avec toutes les enseignes à la mode pour les chinois du haut de la pyramide sociale : Ferrari, Rolls Royce, Rollex, Gucci et bien d’autres.

    La soirée est clémente et je profite pleinement de ma promenade. j’observe les lieux avec étonnement :

    Le développement économique chinois est fulgurant, la construction dans les villes avance à pas de géant.

    - Lundi 17 :

    Nous nous rendons dans un beau square, joliment arboré, avec au milieu un grand lac.

    Au cours de la promenade, des accordéonistes débutants et studieux sur des bancs s’essayant à de nouveaux morceaux.

    Si Alain avait été là, il aurait peut-être pu leur prodiguer quelques conseils… Plus loin des joueurs de volants me convient à leur jeu : on doit rattraper le volant et le relancer avec le pied.

    Malgré mes efforts soutenus, suivant leurs directives je ne fais guère de prouesses et ma maladresse pour ce nouveau jeu les fait bien rire et rend la partie sympathique.

    Ensuite, nous sommes conviés à faire tourner des banderoles multicolores dans le ciel et avec quelques mouvements souples du poignet on arrive à décrire de belles arabesques.

    Serge a même réussi à en faire virevolter deux à la fois Nous avons plaisir à participer à ces différents jeux aussi compte tenu de leur extrême gentillesse et de leur patience à nous prodiguer les conseils nécessaires pour ces jeux.

    Après le déjeuner, nous prenons l’autocar pour notre nouvelle destination SHI ZIA ZHENG.

    Nous arrivons le soir pour diner et dès notre arrivée, on nous annonce que la première répétition aura lieu le lendemain à 14 h en vue de la préparation de quelques spectacles à venir. Notre hôtel est un très bel établissement de 5 * Dernières mises au point du spectacle dans les chambres : clowns et musiciens.

    - Mardi 18 :

    Journée noire !

    A la suite d’incidents survenus dans la ville : manifestation violente et voitures brûlées (Henri les a filmées), notre spectacle est annulé. Nous n’avons pas de chance.

    Alors le matin nous partons en car dans un gigantesque centre commercial ultra moderne dont la spécialité est la confection d’articles en cuir « le bonheur des dames » : sacs, chaussures, ceintures, casquettes…

    L’après-midi nous irons nous promener au centre ville, là même où se sont déroulées les manifestations précédemment.

    Après le diner dans un restaurant de qualité, nous rentrons à l’hôtel et en chemin nous tombons sur une « dance party » improvisée sur un trottoir, il y a une sono sur une charrette et l’on danse de partout – tango – madison – disco – c’est spontané informel et très agréable.

    Plus loin un karaoké hurle dans l’air avec un écho artificiel – ce sont des chants chinois, nous ne pouvons donc pas y participer.

    Demain, ce sera la triste séparation entre clowns et musiciens…les groupes se séparent pour des destinations très différentes.

    - Mercredi 19 :

    Au matin nous sommes conviés à une cérémonie avec remise de médailles. Nous faisons une photo officielle avec tous les groupes réunis : cercle celtique de Quimper (KENREN), la troupe hip hop de Nice et nous mêmes, tout ceci dans la galerie d’un peintre célèbre : LIANG YAN.

    Pendant les festivités Karl et moi lançons un blues bien nostalgique annonciateur de l’amertume due à la séparation de notre groupe, certains partent dans le sud de la Chine, les musiciens et quelques clowns à la montagne.

    Arrivés sur les lieux, plus exactement à San Feng Palace, nous attend une scène ronde ou nous commençons un set de chansons typiquement françaises ce qui semblait ravir le public. Le groupe hip hop se produit ensuite sur notre musique un peu funky comme il le souhaitait. Les bretons de Quimper font une belle démonstration de danses. Leurs costumes sont superbes.

    Nous reprenons la main avec une bonne série de chansons. Les clowns qui ne sont plus que quatre déambulent, font des gestuelles pour chauffer le public et nous terminons sur un air breton emblématique : le loup, le renard et la belette pour que nos amis bretons viennent nous rejoindre pour la finale. Nous avons produit une prestation festive et joyeuse, c’était le but essentiel recherché. Monsieur le maire de Moret applaudissait notre intervention, c’était un signe encourageant. Après cela nous prenons un petit funiculaire qui nous emmène vers les sommets et le temple de Quinlong. Nous nous promènerons dans la fraîcheur boisée des cimes. Retour à notre ville étape pour un bon diner. Demain nous quitterons l’hôtel à 8 h 30.

    - Jeudi 20 : Journée marquée essentiellement par un voyage de 9 h en autocar. Arrivée à LUOYANG en fin de journée. Cette ville est la capitale de la pivoine et organise chaque année des festivals réputés.

    Diner, puis un petit tour dans la ville…

    Petite réunion sympathique du groupe autour d’un verre d’alcool de riz qui doit être bu très doucement compte-tenu de sa teneur en alcool.

    - Vendredi 21 :

    Nous allons dans le stadium où se déroulera la grande fête de clôture du festival de Luoyang. Afin de répéter – la scène est immense – il faut s’étaler le plus possible pour remplir l’espace. Il faut dire que nous ne sommes plus que dix ( 5 musiciens et 5 clowns).

    La répétition terminée nous rentrons à l’hôtel pour déjeuner rapidement car en début d’après-midi, nous allons nous produire à nouveau.

    Nous arrivons sur les lieux et ô comble de surprise, sur le fond de la scène, j’aperçois ma photo prise lors de notre précédente venue en Chine. Je n’en reviens pas !

    Cette fois-ci nous allons jouer live « à la force du poignet ». On met à notre disposition des micros et dès que j’entonne « l’amant de St Jean », j’apprécie la qualité de la sonorisation (voix, guitare, accordéon, cuivres et batterie) sonnent au mieux, ce qui nous encourage à faire avec énergie tout le programme. Les musiciens ont bien assuré la prestation , Les clowns ont également donner le meilleur d’eux-mêmes.

    Le public était en liesse, ce soir à l’hôtel il va falloir ouvrir une bouteille de saké pour fêter ça, cela s’impose !

    Après le diner, nous nous promenons dans un vieux quartier de la ville : le spectacle est intéressant : des boutiques, des commerces en tous genres s’offrent à nos yeux : légumes, fruits, poissons…, une image plus traditionnelle et vétuste de la Chine fait le bonheur de nos appareils-photos.

    Nous avons donc fini cette belle journée par un pot de l’amitié dans notre chambre d’hôtel, car il ne faut pas perdre les bonnes habitudes !

    - Samedi 22 :

    Une journée bien remplie nous attend.

    Après un petit déjeuner matinal ; nous voici à nouveau aux portes du stadium pour un immense show télévisé.

    En attendant notre tour, nous sympathisons avec différents groupes folkloriques. Avec une compagnie russe, nous créons la surprise en leur jouant quelques morceaux de chez eux. Les belles chantent joyeusement avec nous, c’est un échange bien sympathique quifait tomber les barrières artificielles entre les peuples.

    Ensuite, voici quelques enfants très « assurés » qui demandent à essayer nos instruments. Nous ouvrons alors 4 ateliers à leur intention : trompette, trombone, batterie et guitare. Leurs essais sont prometteurs, ils apprendront vite car ce sont des habitués du spectacle et de la scène.

    Nous rentrons dans le stadium où mille projecteurs multicolores vont balayer notre prestation. Notre troupe est en place et très motivée malgré le gigantisme des lieux. Les applaudissements crépitent de toutes parts .

    Notre passage a eu le succès escompté, ensuite tous les groupes partent en parade dans la ville et nous devons nous arrêter à 8 podiums successifs pour produire notre show. La température est élevée mais les ovations du public nous encouragent à poursuivre sans relâche…

    Et voilà, c’est terminé !

    Le repas bien mérité, arrosé de bière bien fraîche et gouleyante couronne cette matinée très active.

    Et voici le temps de la visite : nous découvrons un superbe temple (celui du général GUAN YU) dont je ne vous ferai pas l’historique, reportez-vous à vos guides favoris !

    C’est bien sur dans la sérénité que nous traversons cet endroit. Des fumées montent vers le ciel, les cierges brûlent pour exhausser les voeux…on vient ici pour prier et se recueillir.

    Nous allons à la cité troglodyte de Long Men. Je l’avais déjà vue. C’est un plaisir de la redécouvrir avec ces milliers de sculptures à même la roche. C ’est un merveilleux travail d’orfèvre. Les siècles sont passés par là et toute une histoire des civilisations a traversé ces lieux magiques.

    Retour en bateau sur le fleuve YU.

    Un petit verre de saké pour clôturer cette journée riche en évènements.

    - Dimanche 23 :

    Départ matinal pour des régions montagneuses, c’est le brouillard complet mais c’est magique. Les tunnels s’enchaînent et bientôt c’est l’arrivée au manoir superbe d’un professeur officiel du premier empereur Ming : HUANGCHEN village Nous visitons tout le village avec ses multiples temples, jardins, cours intérieures, villas. C’est une succession de merveilles, l’édifice est vaste et grandiose.

    Voici que la télévision m’interwieve et l’on me demande mes impressions sur ce site, je ne peux que multiplier les commentaires favorables et j’ exprime toute l’admiration que je porte à cette culture asiatique insistant sur la grande sérénité qui se dégage de cet endroit magique.

    Après un déjeuner tumultueux au milieu de 1600 festivaliers venus de tous les coins du monde, nous allons vers l’amphithéâtre où tous vont se produire. Nous monterons sur scène après nos amis belges, et la prestation est concluante, les applaudissements nous font chaud au coeur, chacun ayant donné le maximum.

    Nous faisons quelques photos puis nous reprenons une longue route de 2 h 30 pour rejoindre notre hôtel pour un diner tardif. A la fin du diner, notre charmante guide nous remet nos diplômes honorifiques de festivaliers et puis surtout la coupe que nous avons remportée récompensant l’ensemble de nos prestations.

    Journée fatigante mais qui laissera de beaux souvenirs.

    Il faut faire les bagages car demain, nous repartons en train à Pékin. Ne prononcez pas le mot  » valise » car sans clef vous ne pourrez plus l’ouvrir à moins qu’un serrurier malin ne vienne vous prêter main forte !

    - Lundi 24 :

    Dernière visite : le temple du cheval blanc qui nous plonge à nouveau dans la méditation et la sérénité.

    Après le déjeuner, les valises s’entassent méthodiquement dans notre minibus, il nous faut partir à la gare.

    Départ pour Pékin à 19 h (c’est un train de nuit). Nous prenons dans le compartiment le dernier verre de l’amitié : un alcool de riz encore nettement plus violent que ceux que nous avions goûtés précédemment, mais avec les amuse-gueules, le liquide s’adoucit sur nos papilles.

    Arrivée à Pékin à 6 h du matin, nous prenons le bus de l’aéroport, l’ambiance est glauque, il pleut. Nous passerons presque toute la journée dans ces lieux à attendre l’avion du soir.

    Dragon air nous emmène à Hong Kong, transfert, et direction finale sur Cathay Pacific pour Paris.

    Bien entendu nous arrivons à Roissy sous la pluie.

    Ma guitare n’est pas là à l’arrivée à Roissy,( elle n’avait pas envie de rentrer à Paris), elle reviendra finalement le lendemain. L’accordéon d’Alain qui a rendu de bons et loyaux services en Chine n’a pas supporté le retour et a rendu l’âme victime probablement d’une manutention brutale. `

    Ainsi s’achève le séjour , et ma conclusion sera de dire que les participants avec leurs personnalités différentes ont constitué un groupe soudé, amical et bien sympathique, tout le monde ayant accompli sa tâche avec motivation et bonne humeur.

    Contrat rempli, mon cher Henri !

    Un grand bravo à tous les artisans de cette réussite.

    Michel RECULLET

  • Une recette pour maigrir (recette de cuisine chinoise), Salade chinoise

    Une recette pour maigrir (recette de cuisine chinoise), Salade chinoise

    La salade chinoise, recette pour maigrir. Dans le cadre d’un régime d’amaigrissement, vous voulez manger asiatique, cette rubrique de cuisine asiatique amaigrissante est faite pour vous. Testée par nos amis elle restent des recettes asiatiques succulentes et vraiment diététiques. Cuisine chinoise, vietnamienne, thaïlandaise, indienne… elles vous donneront des idées pour d’autres recettes asiatiques adaptées à vos besoins.

    INGREDIENTS

    Pour 4 personnes

    • 1kg de germes de soja blanchi
    • 2 escalopes de poulet bouilli et finement coupé
    • 20 crevettes cuites et coupées en deux
    • Persil chinois (coriandre) et menthe finement hachés

    Sauce :

    2 cuillères à soupe d’huile+1 cuillère à soupe de sauce de poisson (nuoc mama)+ 1 cuillère à soupe de sauce de soja (nuoc tung) +1 cuillère à soupe de vinaigre

    PRÉPARATION

    • Mélanger le tout et poivrer
    • Saupoudrer de persil chinois + menthe ( à votre convenance)

     Si vous avez une recette asiatique facile et délicieuse, n’hésitez pas à nous la faire connaître et nous nous ferons un plaisir de la mettre illico presto en ligne. Merci

  • Sam est passionné de bonzaï, exposition Au Centre Socioculturel des Marnaudes

    Sam est passionné de bonzaï, exposition Au Centre Socioculturel des Marnaudes

    BONZAI et SAM

    Sam est passionné de bonzaï (Penjing) et ici à OpenMag nous adorons les gens qui possédent une vraie passion et il  sait nous la faire partager. Alors merci à notre ami Sam

    Exposition au Centre Socioculturel des Marnaudes. Juste quelques mots pour vous dire que je suis passionné de la culture de Bonsaï depuis plus de 15 ans et celle-ci est un art ancestral qui trouve ses origines en CHINE au moins 200 ans avant Jésus-Christ, à l’époque de la dynastie des Han. On parle à ce moment-là de Penjing 盆景( paysage en pot ).Introduit  beaucoup plus tard au Japon, vers le 10è siècle. L’origine du mot Bonsaï 盆栽 est japonaise, et signifie littéralement arbre poussant dans un pot.
    En 2016, j’ai fait une exposition de mes cinquantaines de Bonsaï à l’Hôtel de ville de Rosny sous Bois, les gens les ont bien appréciés. Et l’autre jour, à la demande du Centre Socioculturel des Marnaudes, j’ai effectué aussi ma petite exposition. Voilà ma petite anecdote sur ma collection de « Penjing ».

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  • Proverbe Chinois ou la sagesse, la philosophie et l’humour

    Proverbe Chinois ou la sagesse, la philosophie et l’humour

    Proverbes Chinois

    ValeskaReon / Pixabay

    « Un bon chien ne mord pas les poules, un bon mari ne bat pas sa femme. » ( proverbe chinois)

    « Quand une parole est lâchée, même quatre chevaux seraient en peine pour la rattraper »

     » Le sage se demande à lui-même la cause des ses fautes, l’insensé la demande aux autres ».

    « L’homme doit prendre une femme qui ait la moitié de son âge, plus sept ans ».

    « Si vous ne voulez pas qu’on le sache, mieux vaut encore pas le faire »

    « Plus il y a de fous, moins il y a de riz. »(Proverbe Chinois)

    « Quand le sage montre la lune, l’imbécile regarde le doight »

     » L’eau ne reste pas sur la montagne, ni la vengeance sur un grand coeur ».

    « Le vin fait cracher la vérité. » (Proverbe chinois)

     » Plus la montagne est haute, plus la vallée est profonde ».

    « Sourire, c’est rajeunir de dix ans ;s’attrister, c’est se faire des cheveux blancs. »

    « Lorsque dans votre cour vous rencontrez un homme trop las pour vous donner un sourire, laissez-lui le vôtre. Car nul n’a plus besoin d’un sourire que celui qui n’en a plus à offrir. »

    « Sourire trois fois tous les jours rend inutile tout médicament. »

    « Le bon vin parfumé finit toujours par se trouver, où qu’il se cache. »

    « Chaque coup de colère est un coup de vieux, chaque sourire est un coup de jeune »

    « Ce n’est pas le vin qui enivre l’homme, c’est lui qui s’enivre. » (Proverbe chinois)

     » La mer la plus profonde a un fond, la montagne la plus haute a une cime ».

     » L’amour d’un père est plus haut que la montagne. »

    « Une ivresse efface mille tristesses. »

     » L’amour dune mère est plus profond que l’océan. »

     » Lorsque les hommes travaillent ensemble les montagnes se transforment en or. »

    « Le mariage est comme une place assiégée ; ceux qui sont dehors veulent y entrer, et ceux qui sont dedans veulent en sortir » (Proverbe Chinois)

    « Quand on achète une maison, on regarde les poutres ; quand on prend une femme, il faut regarder la mère ».

    « L’alcool est blanc, mais rougit le visage, l’or est jaune mais noircit le cœur. »

    « Une maison pleine d’enfants ne vaut pas une seconde épouse »

    « Pourquoi rester debout alors que l’on peut s’asseoir »

    « Quand tu ne sais pas quoi dire, cite un proverbe chinois »(Proverbe Chinois)

    « Qui fait l’âne ne doit pas s’étonner si les autres lui montent dessus. » (Proverbe Chinois)

     » Qui veut gravir une montagne commence toujours par le bas ».

    « Ne vous mettez pas en avant, mais ne restez pas en arrière. »

    « On a beau noyer sa raison dans le vin, on n’y noie pas le sujet de ses peines. »

    « L’alcool est blanc, mais rougit le visage, l’or est jaune, mais noircit le cœur. »

    « Ne craignez pas d’être lent, craignez seulement d’être à l’arrêt. »

    « Plus on prend de la hauteur et plus on voit loin. »

    « Une ivresse efface mille tristesses. »

    « Si tu veux être heureux une heure, bois un verre ; Si tu veux être heureux un jour, marie-toi ; Si tu veux être heureux toute ta vie, fais-toi jardinier. »

    « Le travail de la pensée ressemble au forage d’un puits ; l’eau est trouble d’abord, puis elle se clarifie. »

    « Le sage se demande à lui-même la cause des ses fautes, l’insensé la demande aux autres. »

    « L’ivresse fait dire les mots qu’on aurait pu dire en étant sobre. »

    « Avec le temps et la patience, la feuille du mûrier devient de la soie. »

    « Un homme n’est pas bon à tout, mais il n’est jamais propre à rien. »

    « Le jour éloigné existe, celui qui ne viendra pas n’existe pas. »

    « Quand vous avez du thé et du vin de riz, vous avez beaucoup d’amis. »

    « Le cœur de l’homme parfait est comme une mer dont on ne peut découvrir les lointains rivages ».

    « Le bavardage est l’écume de l’eau, l’action est une goutte d’or. »

    « Le monde est une mer, notre cœur en est le rivage. »

    « En chine tout ce qui a des pattes se mange, sauf les bancs (dicton chinois)

    « En Chine tout ce qui a des ailes se mange, sauf les avions » (dicton chinois)

  • FESTIVAL DU FILM CHINOIS EN FRANCE : the wasted times

    FESTIVAL DU FILM CHINOIS EN FRANCE : the wasted times

    FESTIVAL DU FILM CHINOIS EN FRANCE : the wasted times

    THE WASTED TIMES (Cheng Er)

    A Shanghai en 1937, à la veille de l’attaque japonaise, l’homme d’affaires et chef de la pègre Lu avec son associé Zhang sont approchés par des représentants des autorités militaires japonaises afin de coopérer à l’ouverture d’une banque. Lu s’y oppose et les Japonais décident de le faire supprimer. Il est sauvé par son beau-frère qui se sacrifie pour lui mais toute sa famille est massacrée. Plus tard, Lu impose Xiao Liu, son ancienne maîtresse et épouse de son autre associé Wang, comme actrice principale d’un film à la place de la grande star Wu. Mais en raison de son infidélité, Wang ordonne la destruction du film et exile les deux amants. Encore plus tard alors qu’il s’est exilé à Chongqing, Lu fait assassiner Zhang qui a accepté de collaborer avec l’ennemi. Après de nombreuses péripéties incluant tous les protagonistes (trahisons, meurtres, etc.), l’histoire se termine en 1945 au moment de la capitulation du Japon, dans un camp de prisonniers de guerre aux Philippines où Lu, Xiao Liu et ses neveux rescapés du massacre de 1937 sont venus se venger.

    Réalisation:Cheng Er

    Scénario: Cheng Er

    Durée: 126minutes

    Genre: film noir

    Pays d’origine: Chine continentale/Hong Kong

    Box-office: environ 105 M yuans (14 millions d’euros)

    Date de sortie :16 décembre 2016

  • FESTIVAL DU FILM CHINOIS EN FRANCE: Mr no problem

    FESTIVAL DU FILM CHINOIS EN FRANCE: Mr no problem

    FESTIVAL DU FILM CHINOIS EN FRANCE: Mr no problem

    En 1942, pendant la guerre sino-japonaise, le domaine agricole de Shuhua situé près de Chongqing est dirigé par Ding. Il a été embauché par la famille Xu, propriétaire du domaine avec l’homme d’affaires Tong afin de le faire fructifier. Le domaine n’est pas rentable et Ding, se sentant menacé, feint de redoubler d’efforts. ll est remplacé mais le cours des événements le voit revenir et comme précédemment, le domaine d’apparence prospère, continue de perdre de l’argent.

    Réalisation: Mei Feng

    Scénario: Mei Feng/Huang Shi/Lao She

    Durée: 143 minutes

    Genre: comédie dramatique

    Pays d’origine: Chine

    Date de sortie :juin 2016

    https://youtu.be/x5ksyi2XnKg

  • FESTIVAL DU FILM CHINOIS EN FRANCE: operation Mekong

    FESTIVAL DU FILM CHINOIS EN FRANCE: operation Mekong

    FESTIVAL DU FILM CHINOIS EN FRANCE: operation Mekong

    Le « Triangle d’Or », situé au confluent du Myanmar, du Laos et de la Thaïlande, est connu comme étant l’une des principales zones mondiales de production de stupéfiants. Deux navires marchands chinois descendant le Mékong dans cette région sont arraisonnés par des trafiquants et leurs équipages exécutés. Une quantité considérable de capsules de méthadone est retrouvée sur place. Le gouvernement chinois réagit immédiatement en envoyant un groupe de policiers d’élite spécialisés dans la lutte contre les narcotiques dirigé par le capitaine Gao afin de découvrir la vérité et de démasquer les responsables de ce massacre. Coopérant avec l’agent infiltré Fang, ils vont rapidement découvrir la provenance de cette drogue et tenter de faire tomber le chef du cartel. Les forces chinoises, birmanes, laotiennes et thaïlandaises vont alors s’unir afin de tenter de l’appréhender. Mais Gao et Fang doivent affronter de nombreux obstacles avant de pouvoir mettre définitivement fin au trafic.

    Réalisation:Dante Lam

    Scénario:Dante Lam

    Durée: 124 minutes

    Genre: flim d’action

    Pays d’origine: Chine continentale/Hong Kong

    Box-office: environ 1185 M yuans (162 millions d’euros)

    Date de sortie :30 septembre 2016

    https://youtu.be/YL4acX9gosU

     

  • FESTIVAL DU FILM CHINOIS EN FRANCE: mountain cry

    FESTIVAL DU FILM CHINOIS EN FRANCE: mountain cry

    FESTIVAL DU FILM CHINOIS EN FRANCE: mountain cry

    Au cours des années 1980, dans un village isolé de la province de Shanxi, Hong Xia, une jeune femme muette vit avec ses deux enfants et son mari violent dans une maison isolée à flanc de montagne. Celui-ci est tué lors d’un accident survenu dans la forêt. Han Chong, accusé d’être responsable de cette tragédie, doit subvenir aux besoins de la veuve jusqu’au versement d’une compensation financière. Celle-ci, muette et hantée par des drames de son passé se verrait bien refaire sa vie avec lui. Mais une rivale va s’interposer entre eux.

    Réalisation:Larry Yang

    Scénario:Larry Yang

    Durée: 107 minutes

    Genre: drame

    Pays d’origine: Chine

    Box-office: non significatif

    Date de sortie :26 août 2016