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  • Soupe chinoise facile

    Soupe chinoise facile

    Soupe chinoise, recette rapide et facile (cuisine chinoise, recette chinoise)

     

    Recette chinoise

    Cuisine chinoise

    Soupe chinoise facile, recette rapide et facile (cuisine chinoise, recette chinoise)

    INGREDIENTS

    - 2 litres de bouillon de poule ( 4 bouillons de poule)
    - 4 portions de vermicelle de riz
    - 20 grosses crevettes
    - Sauce de soja (nuoc thuong) selon votre goût
    - 1 petit oignon émincé
    - 1 cuillère à café d’huile de sésame

    PREPARATION

    - Préparer le bouillon de poule.
    - Quelques minutes avant de servir, mettez le vermicelle de riz dans le bouillon
    - Mettre les crevettes crues dans les bols.
    - Verser le bouillon brûlant, mettre l’oignon, l’huile de sésame et servir.
    - Ajouter la sauce soja (nuoc thuong), selon votre goût et poivrer .

    C’est pas bien difficile de préparer de la soupe chinoise mais ce qu’il faut savoir c’est qu’il y a autant de soupes chinoises qu’il y a de chinois et de pays asiatiques.Alors il vous faudra choisir entre rigueur et création. Ne vous faites pas de mouron il est possible d’innover votre propre soupe chinoise en fonction de vos goûts très personnels.

  • Poulet à la vapeur, crème de gingembre

    Poulet à la vapeur, crème de gingembre

    Poulet à la vapeur et crème de gingembre (Cuisine chinoise, recette chinoise)

    Poulet vapeur et crème de gingembre

    Cuisine chinoise, recette chinoise

    Pour 4 personnes

    Cuire le poulet à la vapeur

    Ingrédients

    - 4 cuisses + hauts de cuisse
    - 3 cm de gingembre frais
    - 3/4 de tête d’ail épluché
    - 2 cuillères à café de sauce soja
    - Huile
    - poivre+sel

    préparation

    - Faire cuire un poulet à la vapeur ( fermier de préférence)
    - éplucher le gingembre, le couper en petits morceaux, mixer.
    - Mettre l’ail de nouveau et le remixer.
    - recouvrir totalement cette mixture d’huile et remixer encore en rajoutant soja+sel+poivre.
    - Présenter chaque cuisse dans son assiette et la napper de cette mixture
    - Quelques gouttes d’huile de sésame (facultatif)

    Si la mixture vous semble trop forte rajoutez un peu de sucre pour adoucir.

    Recette chinoise rapide, simple et efficace.

  • Le fruit est un dragon

    Le fruit est un dragon

    Fruits du dragon, fruits asiatiques

    Fruits du dragon chair blanche et goût très fade. Robe jolie et charmante saura étonner vos invités. Le dragon serait- il un fruit?
  • La cuisson du riz version Asie

     

    Cuisson du riz, comme en Asie !

    1- Le mieux est d’acheter du riz parfumé (Thaï ou autre), de préférence dans un magasin asiatique et surtout pas dans une grande surface car ce dernier a été traité ; ainsi la cuisson ne pourra pas s’effectuer convenablement selon les vieilles recettes traditionnelles.

    De préférence n’achetez pas du basmati qui est un riz dédié plus à la cuisine Indienne.

    2- Lavez le riz pour retirer un peu d’amidon.

    3- Mettez le riz dans une casserole, peu importe la quantité.

    4- Ajoutez de l’eau froide environ 2,5 cm au dessus du riz , et couvrez.

    5- Faire cuire à feu vif jusqu’à ébullition de l’eau.

    6- L’eau doit s’évaporer et des bulles apparaissent bientôt à la surface du riz. Il faudra bien attentivement suivre la cuisson et ne jamais mélanger car votre riz risque de se transformer en riz gluant, ce qui n’est pas, à- priori votre but.

    7- Couvrez à nouveau et faites cuire à feu doux jusqu’à cuisson du riz environ 15 à 20 minutes.

    Les asiatiques ne salent ni ne poivrent leur riz à la cuisson.

    Maintenant, il est fort pratique d’utiliser un « rice- cooker » !

  • Longanes frais, fruit asiatique

    Longanes frais, fruit asiatique

    Longanes frais, fruits asiatiques

    Longanes frais.
    Nous connaissons tous les litchis en boites mais les fraîches sont meilleures et plus naturels car ils ne nagent pas dans du sirop lourd et par trop sucré. Seul problème à ce tableau idyllique, il va falloir les décortiquer un par un. Goût délicatement sucré, à la chair ferme et juteuse.
  • Humour et Asie en photos

    Humour et Asie en photos

    Asie humour et humour d’Asie en photos :

     


    - C’est le big chief,c’est un bleu, il est rarement là, il fume le cigare, il roule en grosse limousine, il ne sert à rien mais les autres l’appellent Patron !



    - Sous des airs de gros poupon, la responsable des ressources humaines est intraitable et elle n’a qu’une devise : « faut mériter son biberon ».

  • Rambutans

    Rambutans

    Rambutans frais et en conserves, fruits asiatiques

    - Rambutans frais et en conserves sont surtout connues en conserves mais plus rarement fraîches. Fruit délicat à la chair plus tendre que les litchies. Bien sûr il faut les éplucher et ceci est une autre histoire.

  • Humour drôles asiatiques, rire de soi

    Humour drôles asiatiques, rire de soi

    Humour et histoires drôles asiatiques, blagues d’asie, Asie humour et humour d’asie

    Histoires drôles,Blagues asiatiques, blagues d’asie, Asie humour et humour d’asie

    « L’asiatique et le boucher ! »

    Une asiatique, mariée récemment à un parisien, et ne ne connaissant que fort peu notre langue, communiquait avec son mari qu’au lit dans des ébats de « nuits câlines ». Chez les commerçants la difficulté était qu’il n’y avait pas de lit… Je plaisante !

    Un jour chez le boucher elle voulut acheter des cuisses de poulet, mais comment exprimer ce désir fort simple ? Elle souleva sa jupe, montra ses cuisses au boucher trés, trés attentif, qui comprit aussitôt la demande de sa cliente.

    Pour préparer de la poitrine de porc croustillante, elle retourna chez le commerçant et afin de se faire comprendre, elle dégraffa sa chemisette et montra sa poitrine. Le boucher l’oeil affolé et le regard en biais, lui servît l’objet de sa demande.

    Un barbecue dans le jardin était en préparation et notre brave asiatique eût besoin de saucisses. Elle amena son mari chez le boucher trés désapointé et…

    Vous avez un esprit fort pervers, mais voyons son mari parle français ! 
A quoi pensiez-vous ? Vous n’écoutez pas, soyez plus attentif dorénavant…

    « Gros mots »

    Un Chinois arrive en France et à l’aéroport, il prend un taxi. Le chauffeur traite sans arrêt les autres de gros cons.

    - Chez nous, en Chine, on ne dit pas con mais on siffle un son « UH ». Quand il y a 2 cons, on siffle « UH-UH ». Pour trois cons : UH-UH-UH.

    - Et quand il y a beaucoup de cons, comment dites-vous ?

    - C’est simple, on siffle UHUH sur l’air de la Marseillaise !

    Humour qui va semer la zizanie

    « J’suis vert ! »

    Un chinois, de retour de Chine, s’aperçoit que son zizi est tout vert suite à ses nombreuses aventures calines. Son médecin traditionnel chinois, aprés un examen rapide lui asséne le coup de bambou, il va falloir couper. Précipitamment il va voir d’autres médecins parisiens qui lui donnent le même diagnostic, il faut absolument couper son zizi.

    Démoralisé, il se retrouve dans un bistrot et là un type lui conseille d’aller voir un guérisseur vietnamien trés réputé.

    Comme un fou il se précipite chez ce dernier qui aprés un regard goguenard sur le zizi, lui prépare une potion qui , illico presto, est avalée par notre patient. Rassuré le chinois lui demande angoissé : « Alors, dites moi, il n’y aura pas besoin de couper ? » Le guérisseur lui répond dans un sourire plein de dents : » Non, non, pas besoin, ça va tomber tout seul ! 
 »

    humour de médecine chinoise

    « Des japs à petit budget »

    Un car d’ouvriers japonais arrive à Paris. Ils trouvent les prix bien trop chers pour leur budget. Le soir même, poussé par des pulsions incontrôlables, l’un d’eux demande à une jolie pute combien elle prend. 200 euros la passe, 1000 euros la nuit. Le Japonais dit : OK pour la nuit, mais à mon hôtel. Ils font l’amour puis le Japonaisse rend à la salle de bains, revient, refait l’amour… La fille est comblée mais au petit matin elle veut aussi passer à la salle de bains et, oh surprise ! elle y trouve tous les Japonais du car, attendant leur tour…

    humour jap et encore ça ne sushi pas!

    « J’veux des preuves »

    
Le chef d’un restaurant chinois entre dans une épicerie arabe pour acheter 20 boîtes de Ronron. L’épicier n’est pas d’accord : non, le Ronron on sait qu’on va le retrouver dans vos pâtés impériaux… Le Chinois lui répond : mais j’ai 2 chats, c’est pour eux ! L’épicier lui dit : je veux les voir ! Le lendemain, le Chinois revient avec ses 2 chats dans un panier et rassuré, l’épicier lui donne le Ronron. Une semaine après, le Chinois revient : je veux 20 boîtes de Canigou. Non, répond l’épicier, on connaît vos saucisses ! Mais c’est pour mon chien ! Je veux le voir. Le lendemain, le Chinois revient avec son chien et achéte les boîtes de Canigou. Une semaine après, il arrive avec un seau de merde qui empeste la boutique. L’épicier, au bord de l’écoeurement, lui demande ce qu’il veut, cette fois. Le Chinois dit : je voudrais 3 multipacks de papier toilette. Mais il ajoute : cette fois je vous ai apporté tout de suite les preuves !

    Humour qui va semer la zizanie

    Humour qui va semer la zizanie voilà de quoi être écœuré d’être propre!!!

    Blagues asiatiques, blagues d’asie, Asie humour et humour d’asie

  • Histoires asiatiques

    Histoires asiatiques


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    La préférée !

    Ce sont de vraies histoires asiatiques.Ma préférée, mon préféré, mes préférés, ma préférence, sonnent comme une chanson… Assez, comment peut-on imaginer dans notre vieille Europe démocratique et égalitaire, l’utilisation de cette notion surannée qui ne semble pouvoir subsister que dans des pays arriérés en voie de développement.

    Eh oui, ne vous déplaise, cette idée de préférer un oncle, une tante, un frère, une sœur et pire un enfant à un autre est encore aujourd’hui chose courante en Asie. Non seulement la préférence est exprimée, mais elle est connue de tous.

    Je me souviens, encore aujourd’hui, de ces réunions familiales pleines de gaieté où les frères, les sœurs, les cousines, les cousins se retrouvaient pour des fou- rires inoubliables, des jeux bruyants et des chamailleries joyeuses.

    Mes parents s’absentaient souvent et nous laissaient sous la haute surveillance des nombreux domestiques et employés de maison ; ces derniers ne pouvaient que difficilement contrôler les chenapans que nous étions, toujours pressés de s’épanouir dans des blagues enfantines et des bêtises sans cesse renouvelées. Notre toute nouvelle liberté nous poussait insidieusement à pousser les limites du raisonnable.

    C’était si drôle d’envelopper nos « fraîches déjections » dans de jolis papiers aux couleurs chatoyantes, de les ficeler tels des cadeaux délicats. Nous les déposions ensuite dans la rue en attendant que des piétons intrigués par ce don tombé du ciel, cet inattendu présent, ne s’emparassent manu militari du paquet croyant à la divine providence. Et au lieu de trouver des bijoux, de l’argent ou le trésor des Incas, ils avaient l’avantage et le suprême honneur de sentir l’odeur nauséabonde d’une matière fécale molle et collante qui leur titillait le museau. Nos moqueries, rires et sarcasmes étaient toujours fort sonores, ce qui provoquait chez les victimes des rictus de haine !

    L’eau potable était essentielle à la bonne marche de notre smala. La collecte de la pluie restait toujours une priorité ; papa avait fait construire une réserve en ciment ce qui nous permettait de ne jamais en manquer. Je me souviens d’une période de grande chaleur et profitant de l’absence de nos parents nous avions décidé de nous installer dans cette piscine improvisée en n’oubliant surtout pas de nous y savonner avec force, d’uriner abondamment et aussi d’essuyer nos pieds noirs de crasse et de boue.

    Treize frères et sœurs prompts à la rigolade, aguerris à la subtilité de potache et toujours prêts à soulever des montagnes pour que les bêtises soient reconnues, glorifiées, en se hissant au niveau d’un art.

    Maman et papa dès leur retour trouvaient fréquemment sur leur porte un petit mot de voisins excédés se plaignant du bruit infernal occasionné par nos pyjamas- parties et nos délires nocturnes, nos bêtises démoniaques ou les vestiges de catastrophes bien maladroitement cachés. Papa gardait toujours précieusement dans un coin de la maison notre pire ennemi : le martinet en peau de buffle. En pleine nuit, il soulevait la moustiquaire collective des garçons et à chacun attribuait une cinglante punition soulevant des grognements d’animaux encore sous l’emprise de la nuit câline. Ensuite il se dirigeait vers la chambre des filles apeurées, collées les unes aux autres dans l’immense lit, et leur infligeait la même correction dans un chapelet de cris stridents.

    Le lendemain, toutes les cuisses, les fesses gardaient des traces rougies, irritées, des souvenirs cinglants d’une nuit de légitime retour de bâton.

    Jamais papa n’avait levé la main sur moi, sa préférée, la peureuse de service, la poule mouillée et à chaque « correction » collective j’échappais toujours, comme par magie, à la « douce caresse » du fouet vengeur. Ce privilège n’attirait pas toujours la sympathie de mes sœurs et frères et provoquait chez eux un désamour bien légitime qui me laissait souvent seule, face aux sarcasmes de toute la fratrie.

    Dans les familles vietnamiennes de l’époque, être la « préférée » n’était pas une simple vue de l’esprit mais un vrai statut qui conférait à l’heureux élu des privilèges et bien peu de devoir. Je m’en suis jamais plainte !

    Aujourd’hui sans l’avouer, sans l’exprimer, toujours en catimini nous n’avons pas la moindre préférence, oh non, mais juste une toute petite attirance, un doux penchant vers l’un de nos enfants, mais bien sûr nous les aimons tous profondément, en n’en préférant aucun ; la morale est sauve et sauve la morale.

    Ces vraies histoires asiatiques semblent saugrenues mais elles ont été réellement vécues.

    HV

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  • Saint Jacques et poivre su sichuan

    Saint Jacques et poivre su sichuan

    Saint Jacques au wok sauté au poivre du Sichuan ( recettes de cuisine chinoise)

    recettes de cuisine chinoise

    INGREDIENTS :

    - 5 noix de saint- jacques congelées (par personne)
    - poivre du Sichuan concassé
    - sauce de soja
    - échalotes frites ( à acheter dans les boutiques asiatiques)
    - coriandre fraîche ( persil chinois ) finement hachées

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    PRÉPARATION

    - Décongeler les saint- jacques, bien les sécher sur du sopalin
    - Faire chauffer le wok à feu fort
    - lorsque le wok fume, mettre de l’huile et faire revenir le poivre du Sichuan
    - Dorer les noix de saint- jacques .
    - Ajouter la sauce de soja
    - éteindre le feu.

    Disposer les saint- jacques dans un plat et ajouter un peu d’échalotes frites, le coriandre frais et dégustez

    Ingrédients asiatiques

    La cuisine asiatique est facile

    -Si vous avez une recette asiatique facile et délicieuse, n’hésitez pas à nous la faire connaître et nous nous ferons un plaisir de la mettre illico presto en ligne. Merci

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