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  • Canard laqué (recette chinoise, cuisine chinoise)

    Canard laqué (recette chinoise, cuisine chinoise)

    Canard laqué (recette chinoise, cuisine chinoise)

    INGRÉDIENTS

     1 gros canard de barbarie jeune 
    4 cuillères à café de 5 épices
    1 cuillère à soupe de vinaigre
    1 cuillère à soupe de maïzena
    sel ( une bonne pincée)
    1 oignon moyen haché fin + 2 gousses d’ail haché fin
    4 cuillères à soupe de sauce au soja (nuoc tung)
    4 cuillères à soupe de miel liquide
    1 pincée de carmin

    MARINADE

     Ecraser ail et oignon et les mélanger ensemble
    Ajouter sauce de soja (nuoc tung) + maïzena + sel + miel + carmin + vinaigre + Cinq parfums + une goutte d’huile

    PRÉPARATION

     Faire des trous dans la canard avec une fourchette afin que la marinade puisse y pénétrer
    Badigeonner le canard avec la marinade à l’extérieur et à l’intérieur et laisser mariner dans un frigo 24h
    Préchauffer le four , mettre le poulet hujlé préalablement pendant environ 1 h 30 ( à partir de la de la 45 ème mi
    nute ne pas oublier de badigeonner régulièrement)
    Puis retirer le canard laqué bien croustillant

  • Canard laqué Pékinois (de Pékin ou de Beijing)

    Canard laqué Pékinois (de Pékin ou de Beijing)

    Canard laqué Pékinois (de Pékin ou de Beijing).

    Canard laqué Pékinois (aussi appelé canard laqué de Pékin ou de Beijing).

    Vous connaissez tous le fameux canard laqué. Mais pour tous les canards, la survie en Asie relève du défi Olympique ou du cauchemar éveillé. Supposons que le canard soit né sous une bonne étoile qui veille sur lui et le protège, peut-être qu’on pourrait imaginer qu’un humain aurait l’idée saugrenue de l’adopter comme animal de compagnie et de le dorloter tel un chat ou un chien. Il faut savoir quand même qu’en Chine on mange tout ce qui bouge, tout ce qui ne bouge pas et aussi tout ce qui a des pattes sauf les bancs. Cette vision du canard domestique choyé et câliné n’est que fabulation pour notre pauvre volaille dépressive.

    Elle est l’objet de désirs culinaires depuis des centaines d’années et les cuisiniers chinois sont les pires ennemis . Un canard fan de surf m‘a confié qu’il avait rêvé que son principal « sponsor » n’était autre que les peintures Ripolin les spécialistes de la laque.

    Le meilleur restaurant de Pékin possède un immense cadran sur lequel est noté un chiffre astronomique qui augment à chaque instant. C’est simplement le nombre de canards servis depuis plusieurs générations. Dans une immense salle, grande comme un hall de gare, des dizaines de serveurs s’activent autour de tables rondes entourées d’une quinzaine de convives joyeux. Le bruit y est infernal pour des touristes européens habitués à l’ambiance feutrée et sans vie de nos restaurants gastronomique. Si vous occultez tout ce décorum à la Chinoise, vous pourrez alors être les spectateurs privilégiés d’un ballet incessant, d’un va et vient étourdissant dans ce temple dédié au pauvre canard qui n’a jamais demandé d’être la star exclusive.

    Des centaines de canards en habits de fête, c’est à dire laqués, allongés, l’air absent, nous donnent leur dernière représentation, avant d’être ingurgités illico presto dans un autre monde. Des cuisiniers harnachés comme des chirurgiens, un masque sur la bouche, le long couteau à la main, nous interprètent une partition que nos volailles auraient préféré ne jamais entendre. Des gestes d’une précision insoutenable et voilà que la peau de notre volatile se transforme en plat raffiné et délicieusement sucré.

    Chaque convive se saisie de cette peau croustillante, dorée à souhait et la roule dans une mini crêpe de riz, accompagnée de lamelles de ciboule. Avant de déguster notre ami le canard, il va falloir le tremper dans une épaisse sauce de « prune ». Pour les riches chinois de l’époque, manger la viande restait une chose totalement indécente et si vulgaire, car celle ci était réservée exclusivement aux domestiques. Seule la peau tellement croquante, était appréciée par les maîtres et notables de la Chine ancienne.

    Aujourd’hui, les temps ont changé et l’on sert ensuite aux clients la viande, soit avec des nouilles sautées, soit dans une soupe. Chaque canard laqué servi est accompagné d’un certificat avec un numéro que les touristes conservent religieusement dans leur portefeuille.

    Nous conseillons à tous nos amis canards du monde entier d’éviter de faire du tourisme en Chine au risque de perdre des plumes et plus, sûrement. En revanche, nous leur recommandons de faire un crochet du côté du Périgord… non, non, surtout pas un « crochet » du périgord….. désolé, désolé.

    Riton la Banane

    ©Reportages d’asie et asie reportages


    Beijing roast duck

    You know all the famous Beijing roast duck. But for all ducks, survival in Asia concerns the challenge Olympic or of the waked up nightmare. Let us suppose that it duck was born under a good star which takes care on him and protects it, perhaps that one could imagine that one human would have the absurd idea to adopt it like animal of company and the dorloter a such cat or a dog. It should be known nevertheless that in China one eats all it who moves, all that does not move and also all that has legs except the benches. This vision of duck domestic cherished and câliné is only fabulation for our poor depressive poultry.

    It is the object of culinary desires since hundreds of years and the Chinese cooks are them worse enemies. A duck fan of surfing m `entrusted that it had dreamed that its principal “sponsor” was not different that Ripolin paintings specialists in the lacquer.

    The best restoring of Beijing has immense dial on which is noted an astronomical figure which augment at every moment. It is simply the number of ducks been useful since several generations. In one immense room, large like a hall of station, tens waiters are activated around surrounded round tables of about fifteen merry guests. The noise is there infernal for European tourists accustomed to the environment felted and without life of our restaurants gastronomical. If you occult all this decorum with Chinese, you could then be the spectators privileged of a ceaseless ballet, a to and from dazing in this temple dedicated to the poor duck which forever asked to be the star exclusive.

    Hundreds of ducks out of clothes of festival, i.e. enamelled, lengthened, the air absent, give them to us last representation, before being ingurgities illico presto in another world. Harnessed cooks like surgeons, a mask on the mouth, length knife with the hand, interpret us a partition that our poultries would have preferred never not to hear. gestures of an insupportable precision and here is that skin of our bird transforms itself into refined dish and délicieusement sweetened.

    Each seized guest of this crusty skin, gilded with wish and rolls it in minis crepe of rice, accompanied by spring onions. Before tasting our friend the duck, it should be soaked in one thick « plum sauce ». For the Chinese rich person of the time, to eat the meat completely remained a thing indecent and so vulgar, because that Ci was reserved exclusively with the servants. Only skin so much crunching, was appreciated by the Masters and notable of old China.

    Today, times changed and one is useful then to the customers the meat, is with jumped noodles, maybe in a soup. Each Beijing roast duck been useful is accompanied by a certificate with a number that them tourists preserve religieusement in their wallet.

    We advise with all our friends ducks of the whole world to avoid making tourism in China with the risk of to lose feathers and more, surely. On the other hand, us their let us recommend to make a hook on the side of Périgord… not, not, especially not a “hook” of périgord ….. sorry, sorry.

    Riton the Banana

    ©Reportages of Asia and Asia reports

  • « Chine » poétique

    « Chine » poétique

    « Chine » poétique laisse place au modernisme !

    Pour Beijing 2008, la chine change

    La canonnière du Yang-Tsé flotte dans mon âme recherchant le vacarme des 55 jours de Pékin. Des images aux effluves de nostalgie tourbillonnent dans mon esprit occultant tous mes autres souvenirs.
    En 2000 j’ai débarqué en chine. J’étais subjugué, ahuri, ébahi par ce film qui se déroulait sous mes yeux. Rien que des vélos qui se faufilaient dans la ville comme de longs serpents dociles et interminables. Des vélos à perte de vue colonisaient la ville tels d’implacables et silencieux guerriers. Les rares voitures se frayaient difficilement un passage dans la fourmilière des 2 roues.

    Le passage dans les toilettes publiques tenait de l’exploit. Des rigoles grossièrement creusées dans un ciment blafard, tenaient lieu de réceptacle. Sous l’œil insistant de Pékinois goguenards nous devions baisser le pantalon peu fiers d’être les vedettes de cet opéra peu artistique.
    Eviter le crachat était le sport national des touristes en goguette. Dans les restos à raviolis, devant nos yeux ahuris, les cuisiniers peu scrupuleux d’hygiène, nous lançaient d’énormes « résidus gluants » sans se rendre compte de notre désapprobation. Avions nous d’ailleurs un quelconque droit à contester cette habitude culturelle ?

    2007 nous tend déjà les bras ; Beijing 2008 nivellent la Chine, la surveillent , l’accapare toute entière.
    Les vélos ont presque disparu, les automobiles aux vitres teintées roulent dédaigneuses sur le 5ème périphérique, les panneaux interdisent les crachats, les toilettes publiques deviennent propres et payantes.
    Je n’aime pas cette chine qui s’aseptise, s’occidentalise, se défigure. Je suis si triste de voir surgir les montres du modernisme destructeurs et sans visage. Mais où va donc la Chine ? Elle vogue vers un futur olympique plein de médailles et d’espoir. Beijing 2008, Pékin 2008 est un virage incontournable.

    Aujourd’hui 2015, je ne reconnais plus cette Chine!!!

    _ Un internaute

    The poetic modernism gives way to China!

    2008 Beijing, China exchange

    The Sand Pebbles floats in my soul looking the din of 55 days in Beijing. Images with nostalgic scent swirling in my mind obscuring all my other memories.
    In 2000 I landed in China. I was overwhelmed, bewildered, amazed by the film unfolding before my eyes. Just bikes that sneaked in the city as long and endless docile snakes. Bikes out of sight colonized the city such implacable and silent warriors. The few cars hardly worked their way into the nest of two wheels.

    The shift in public toilets held an achievement. Crudely dug ditches in a pale cement, instead of standing container. Under the eye of Pekingese mocking insisting we had down the pants very proud to be the stars of this little artistic opera.
    Avoid the spit was the national sport tourists spree. Ravioli in restaurants before our bewildered eyes, cooks unscrupulous hygiene, throwing us tremendous ‘sticky residue’ without realizing our disapproval. We also had any right to challenge this cultural habit?

    2007 already reaching out; 2008 Beijing leveling China, monitor, consumes the whole.
    The bikes have almost disappeared, cars with tinted windows on the 5th dismissive roll device, the signs prohibiting spitting, public toilets clean and become chargeable.
    I do not like this china which sanitizes, becoming more Westernized, is disfiguring. I’m so sad to look around watches the destructive modernism and faceless. But where is China? She sails towards a future full of Olympic medals and hope. Beijing 2008, Beijing in 2008 is a must bend.

    Today in 2015, I do not recognize that China !!!

    _ An Internet

     

    Die poetischen Moderne weicht China!

    2008 in Peking, China Austausch

    Der Sand Pebbles schwimmt in meiner Seele suchen den Lärm von 55 Tagen in Peking. Weitere Bilder mit nostalgischen Duft wirbeln in meinem Kopf verdeckt alle meine anderen Speicher.
    Im Jahr 2000 landete ich in China. Ich war überwältigt, verwirrt durch den Film entfaltet sich vor meinen Augen erstaunt. Nur Fahrräder, die in der Stadt so lange schlich und endlose Schlangen gelehrig. Bikes aus den Augen kolonisierten die Stadt wie unerbittlich und leise Krieger. Die wenigen Autos funktionierte kaum ihren Weg in das Nest von zwei Rädern.

    Die Verschiebung in öffentlichen Toiletten statt einen Erfolg. Grob gruben Gräben in einem blassen Zement, anstelle von Wechselbehälter. Unter den Augen des Pekingese spöttischen beharren wir hatten unten die Hose sehr stolz darauf, die Stars dieser kleinen künstlerischen Oper.
    Vermeiden Sie den Spieß war der Nationalsport Touristen Bummel. Ravioli in Restaurants vor unseren Augen verwirrt, kocht skrupellose Hygiene, werfen uns enorme ‘klebrigen Rückstände’ ohne zu merken, unsere Missbilligung. Wir hatten auch das Recht, dieses kulturelle Gewohnheit herausfordern?

    Bereits 2007 erreichen; 2008 Beijing China Nivellierung, Monitor, verbraucht die gesamte.
    Die Fahrräder sind fast verschwunden, Autos mit getönten Scheiben auf dem 5. abweisend Rollenvorrichtung, die Verbotsschilder Spucken, öffentliche Toiletten sauber und werden kostenpflichtig.
    Ich mag nicht dieses Porzellan, das reinigt, immer mehr verwestlicht ist entstellend. Ich bin so traurig umschauen sieht die zerstörerische Moderne und gesichtslos. Aber wo ist China? Sie segelt in Richtung einer Zukunft voller olympische Medaillen und Hoffnung. Beijing 2008, Peking 2008 ist ein Muss bend.

    Heute im Jahr 2015, weiß ich nicht erkennen, dass China !!!

    _ Ein Internet-

     

    El modernismo poético da paso a China!

    2,008 intercambio Beijing, China

    El Sand Pebbles flota en mi alma en busca del estruendo de 55 días en Pekín. Las imágenes con remolino aroma nostálgico en mi mente que oscurecen el resto de mis recuerdos.
    En 2000 aterricé en China. Me sentí abrumado, desconcertado, sorprendido por la película se desarrollaba ante mis ojos. A sólo bicicletas que se coló a la ciudad, siempre y serpientes dóciles interminables. Bicicletas fuera de la vista colonizaron la ciudad tales guerreros implacables y silenciosos. Los pocos coches apenas se abrieron camino en el nido de las dos ruedas.

    El cambio en los baños públicos celebró un logro. Crudamente cavado zanjas en un cemento pálido, en lugar de contenedor de pie. Bajo la mirada de burla Pekinés insistiendo que teníamos hasta el pantalón muy orgullosos de ser los protagonistas de esta pequeña ópera artística.
    Evite el asador fue la ola de turistas del deporte nacional. Ravioli en restaurantes antes de nuestros ojos desconcertados, cocineros higiene sin escrúpulos, lanzándonos tremenda ‘residuo pegajoso’ sin darse cuenta de nuestra desaprobación. También teníamos ningún derecho a impugnar este hábito cultural?

    2007 ya llegar; 2008 Beijing nivelación China, monitor, consume la totalidad.
    Las bicicletas se han casi desaparecido, coches con vidrios polarizados en el dispositivo rollo desdeñoso quinto, las señales que prohíben escupir, baños públicos limpios y exigible.
    No me gusta esta China que desinfecta, cada vez más occidentalizada, es desfigurar. Estoy tan triste mirar alrededor relojes modernismo destructiva y sin rostro. Pero ¿dónde está China? Ella navega hacia un futuro lleno de medallas olímpicas y esperanza. Beijing 2008 Beijing en 2008 es una curva necesidad.

    Hoy, en 2015, que no reconozco que China !!!

    _ Una Internet

     

    詩意的現代主義讓位給中國!

    2008年的北京,中國匯率

    聖保羅砲艇漂浮在我的靈魂尋找55天在北京的喧囂。在我的腦海裡有懷舊的氣息旋轉圖像模糊我的所有其他的回憶。
    我在2000年登陸中國。我不知所措,一臉茫然,通過這部電影在我的眼前展開驚訝。在全市潛入只要僅有自行車和無盡溫順的蛇。自行車從視線中消失的殖民統治等城市無情和沉默的戰士。在幾輛車幾乎沒有工作的方式進入的兩個輪子巢。

    在公廁的轉變舉行的成就。粗略地挖,而不是站在容器溝渠一個蒼白的水泥。在北京人嘲諷堅持的眼球,我們不得不下來的褲子很榮幸能成為這個小藝術歌劇明星。
    不要隨地吐痰是民族體育旅遊大禮包。在之前我們一臉茫然的眼睛餐廳餛飩,廚師不法衛生,投擲了我們巨大的“粘渣”沒有意識到我們的不滿。我們也有過任何挑戰這一文化習慣吧?

    2007年已經達到了; 2008年北京中國練級,顯示器消耗的整體。
    這些自行車已經幾乎消失,你的第5卷不屑一顧設備上車窗,禁止隨地吐痰,公共廁所清潔,並成為收費的跡象。
    我不喜歡這樣的中國而進行消毒,變得更加西化,是毀容。我很傷心地環顧四周觀看破壞性的現代主義和不露面。但如果是中國嗎?她對帆滿奧運獎牌和希望的未來。北京2008,北京,2008年是必須的彎曲。

    今天在2015年,我不承認,中國!

    _互聯網