Le Qi Gong
invité pour la 1 ère fois
au Salon de l’Agriculture
Des ateliers de découverte de Qi Gong
Actualité des Temps du Corps
En partenariat avec
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La petite Gersende est née le 28 Janvier 2008 pour les JO de Pékin !
Elle est arrivée bien vite car pour cette année olympique il fallait absolument être sur le podium.
Gersende est arrivée et ses parents sont aux anges. Une maman bretonne et un papa quarteron asiatique (trois quart asiatique et un quart Européen) et voilà le résultat une vraie poupée aux yeux bridés.
Une petite eurasienne au doux regard et qui a déjà charmé ses 2 grand- mères et transporté toute sa famille pour un voyage aux frontières de l’amour, revient nous donner de ses nouvelles.
Aujourd’hui nous sommes en 2016 et cette petite pépite pour sa famille a bien grandi, elle parle, rit, se plaint, fait des cachotteries… Sa maman et son papa la traque pour qu’elle ne regarde pas trop la télé, pour qu’elle ne joue pas trop à la tablette ou ne s’empare pas d
u téléphone portable en « lousdé ».
La voici à 2 ans et son désir de retrouver ses racines. Déjà un air coquin qui augure un caractère, un vrai caractère.
Et puis rapidement les 6 ans viennent nous rappeler que le temps passe vite. Nos paroles ne sont plus des paroles d’évangile, Gersende dissèque nos propos et analyse nos réflexions. Finie la toute puissance des parents mais qui sont ravis de la voir grandir.
Gersende une eurasienne , mix Europe et Asie, pleine de vie qui s’épanouie dans sa famille . Elle est heureuse et toujours, disons souvent, souriante et pleine de vie.
Alors RDV dans quelques années pour voir cette mini caille grandir et grandir et …..
Le mystère de la langue perdue.
Cette histoire est une histoire vraie, une histoire vraie que j’ai très longtemps occultée.
Aussi loin que je me souvienne, le français, la langue française, a toujours été pour moi un moyen simple que j’utilise sans difficulté particulière, qui reste docile comme une amie. D’autres vocifèrent, pestent contre cette langue si compliquée à dompter qui reste sauvage pour la plupart de nous.
En classe,mon imagination vagabondait d’histoires étranges en récits romanesques. Rien dans ma scolarité ne me prédisposait particulièrement à cette facilité. Dans mes rédactions colorées et pleines de d’aventures, je couchais sur le papier mes rêves les plus fous, mes espoirs les plus extravagants. Ces histoires faisaient le tour des classes car mon style, si saugrenu fut-il, plaisait aux élèves mais, étrangement, aussi aux professeurs. Avais-je mérité ces éloges unanimes ? Ces rédactions passaient de classe en classe faisant l’admiration de mes congénères !
Il faut pourtant avouer qu’en mathématiques, je frôlais souvent le zéro pointé, qu’en histoire et géographie, mes notes inlassablement restaient en dessous de la moyenne et qu’en langue étrangère mon accent était l’objet de nombreuses plaisanteries.
Mais en revanche en « rédac »…j’atteignais les sommets ! Des 19/20, des félicitations, en veux tu en voilà…Où avais je donc appris les syntaxes, l’orthographe, la conjugaison où simplement le style ? Je suis arrivé tout droit du Vietnam et je ne parlais strictement que ma langue maternelle. Tout cela était-il dû à une potion magique ou au travail acharné de votre serviteur ? Euh, travail acharné serait un doux mensonge.
Mon père désirait ardemment l’intégration de tous ses enfants dans la société française, mais malheureusement, la barrière de la langue restait un obstacle presque insurmontable.
A l’âge de 4 ans ils me laissèrent chez une nourrice française et quand ils revinrent un mois seulement plus tard, mon frère et moi, avions totalement oublié le vietnamien, nous ne nous exprimions plus qu’en français. Notre langue maternelle était ensevelie dans une trappe sans fond. Je reconnais les mots et certaines phrases, je baigne dans les accents toniques mais je ne parle pas, je reste muet aux questions comme muselé.
Les années sont passées et je souhaite réapprendre le vietnamien, mais il me semble qu’aujourd’hui, je n’ai aucune prédisposition particulière pour cette langue « étrangère » !
Cette histoire vraie démontre une fois de plus que l’on est simplement où l’on vit!!!
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Préparation:
mettre le poisson dans un plat creux
faire des entailles des deux côtés et y déposer du sel+ le gingembre taillé en cheveux+blanc de ciboulettes.
Verser la sauce de soja+huile de sésame sur le bar des 2 côtés
Puis cuire à la vapeur en enlevant régulièrement du dessous du couvercle les goutelettes d’eau de condensation
Variante : effectivement tu cuits le poisson à la vapeur, sans sel mais + gingembre. faire chauffer de l’huile (environ 3 à 4 cuillères), lorsqu’elle est trés chaude et lorsque le poisson est presque cuit, verser l’huile chaude sur le poisson (attention au éclaboussures !!), ainsi le poisson est saisi et devient un peu croustillant. Puis verser de l’huile de sésame, sauce de soja et ciboulette ( version moins diététique).
Le bar à la vapeur se sert avec un riz blanc, parfumé ou pas.
samedi 21 juillet 2007 par Asietralala
Thierry Beyne « En noir et blanc »
Vietnam
Inde
Vietnam
Srilanka
Vietnam
_
Srilanka
Srilanka
Thaïlande
Inde
Thaïlande
Vietnam d’autres ont pleuré… et moi, et moi et pourquoi pas moi ?
`Je connais bien la Thaïlande, la Malaisie, Le Sri Lanka, la Chine… j’ai toujours évité de visiter le Vietnam dont je suis originaire… vous avez dit bizarre ? Aujourd’hui je pars, je m’envole là-bas aux portes de ma vie et de mes rêves. Une décision brutale à la recherche d’un passé trouble résultat de souvenirs souvent auréolés de peurs, de joies et de chimères.Dégustation de plats du Vietnam
Je pose enfin les pieds sur cette terre imprégnée de soleil. Aucune émotion, rien qu’un dépaysement sous un lourd manteau de chaleur où résonne le brouhaha annonciateur d’une ville en perpétuel mouvement. Des taxis racoleurs, des camelots insistants et cette vie intense nous rappellent que l’Europe se meurt d’ennui à plus de 12 000 kms. Saigon m’ouvre les bras comme une mère et m’accueille dans la fourmilière urbaine prête à happer les imprudents. Dans ce délire de vélos, de cyclomoteurs, je marche tranquille et je n’ai pas peur. Étrange impression de connaître et de découvrir sans jamais franchir la frontière du réel et du rêve. La sécurité routière ou la prévention routière dans cet enchevêtrement d’autos, de piétons, de poussière et de klaxons stridents seraient au bord de l’apoplexie. Une vraie vie m’attend ici depuis toujours.
J’avais donné rendez-vous à une amie, en provenance de Bangkok et à un cousin qui arrivait de Paris, dans cet hôtel mythique le Majestic. Se retrouver ici, au vîetnam ensembles est vraiment un moment magique teinté de vives émotions. Accompagné d’effluves exotiques et de senteurs de gaz oil je commence la visite de cette ville grouillante où la vie règne en maître absolu. Une partie de la famille de ma fiancée, 100% française, a vécu en Indochine. Aujourd’hui elle est ravie de participer à ce retour aux sources. J’ai tous les caractères physiques d’un vrai asiatique et pourtant elle ne m’a jamais vu comme tel. Elle m’avoua par la suite n’avoir aucune attirance à l’encontre des mâles aux yeux bridés…Qu’elles sont étranges les perceptions ; grâce à cette particularité de l’amour j’avoue avoir bien de la chance !
Revenons à nos canards laqués…oh pardon à nos moutons. Continuons notre petite ballade. Eh oui j’y suis, incroyable je suis là au milieu de Saigon la ville de mes parents, grands parents, oncles, tantes…
La cathédrale se dresse devant moi comme une caverne d’Ali Baba. Dans des moments rares, mes parents, devenus en France de petits fonctionnaires, me parlaient avec un brin de fierté dans la voix, de cette famille dont j’étais devenu un obscur descendant. Une famille aux pouvoirs importants, à la fortune immense qui possédait en outre près de 30 000 ha de rizières…Comment en étions-nous arrivés là ? Je sentais en eux une gêne d’être ce qu’ils sont devenus aujourd’hui, des gens simples et transparents. Ils s’excusaient de n’être plus. Tout ce passé glorieux fait de luxe, d’apparat, je n’y croyais que par besoin , j’avais aussi attrapé les symptômes de cette maladie honteuse que l’on appelle …. Les moyens de mes aïeux étaient illimités et ils n’hésitaient pas à offrir des cadeaux somptueux au culte…c’est ce qui se disait ! Tout cela n’était peut-être qu’affabulations et chimères ! Ma fiancée brusquement me prend le bras et me montre un magnifique vitrail sur lequel est inscrit mon Nom. Stupéfaction, tout est donc vrai, pas de blabla rien que du bonheur d’exister. On me confirme par la suite que le gros bourdon avait été offert par mon grand père. Je n’avais jamais vraiment senti l’ampleur de mon désarroi aujourd’hui.
Baie d’Along (Vietnam)
Des odeurs connues mélangées à d’étranges sensations de parfum enivrant m’emportent dans un univers rassurant en terrain conquis. Je vis comme un « riche » allant de restaurants branchés en repaires à « bobos » sans jamais compter, la note la plus élevée n’atteignant jamais la somme record de 5 euros. Je suis un nabab. Mais ce qui attise mes sens, les excite au plus haut point est sans conteste le sirop de la rue en perpétuel mouvement habillé de soie blanche, de chapeaux coniques, de sourires enfantins, de cris perçants et de vrombissements omniprésents. L’enfer du bruit ouvre ses bras, mais un enfer tellement désiré, si souvent souhaité ! La ville de Saigon représente bien une cité du sud elle est grouillante et pleine de surprises. Mais je trouve qu’elle manque d’une unité architecturale ce qui me déçoit quelque peu.
Prendre le train de nuit, même en couchette molle reste une aventure à vivre avec délectation. Nga Trang et ses plages dorées m’accueillent avec douceur et émerveillement. Cette carte postale me raconte les plus belles heures coloniales pleines de femmes sublimes aux jambes interminables et au fume-cigarette omniprésent.
Prochaine destination Hué, la capitale Impériale blottie dans les méandres de la rivière des Parfums
Pour cette fois je pars avec un guide et ami vietnamien …
Nous louons un mini bus climatisé et hop direction le centre du Vietnam. Des côtes et encore des côtes, la mer et ses flots amicaux nous accompagnent pendant tout le voyage.La mer est, à l’est de ce merveilleux pays une frontière de près de 1500 kms. Hué me laisse un souvenir ému et impérissable plein d’une sérénité figée par le temps. Il faut prendre le temps de flâner dans ses marchés tranquilles, de visiter la cité impériale ou même de se laisser doucement glisser dans une petite jonque, sur la « rivière des parfums » à la recherche des innombrables temples.
Jamais rassasié par les multiples découvertes, je décide de monter encore plus haut vers le nord, vers Hanoi la capitale. Cette fois si en car avec les locaux heureux de pouvoir jauger un touriste sur sa capacité à supporter un long voyage dans un véhicule sans grand confort. Rires goguenards et plaisanteries incompréhensibles égrènent notre nuit agitée.
Arrivée à 6 h du matin la tête dans le…et l’estomac dans les talons. Une soupe tonkinoise (pho) sur le bord du trottoir et immédiatement le charme incontestable d’Hanoi s’empare de moi. Vieille ville coloniale restée vierge de toute construction intempestive elle garde ce cachet et ce caractère si particulier qui raconte une vraie histoire. Mon esprit vagabonde et se prend au jeu du retour vers le passé si empreint de douceur et de charme. Chaque quartier est l’image d’une corporation où se côtoient de différents métiers qui nous apparaissent, nous européens si aseptisés, presque désuets mais si attachants. Des petits bars à la chaleur moite malgré de vieux ventilos souffreteux, des échoppes bondées de marchandises en déséquilibre, des restaurants apocalyptiques aux énormes marmites bouillonnantes… c’est Hanoï qui nous nous reçoit sans apparat. Tout dans cette ville déborde de vie et d’envie.
En route pour la baie d’Along et son cortège interminable et affolant de touristes ventripotents. Rien à dire sinon un peu de déception et des sentiments mitigés . Je poursuis mon chemin vers hoï han petit port au charme indéniable et à l’architecture colorée. L’or, le noir et le rouge ont fait de cette ville un passage obligé pour tous les amoureux de l’authenticité du Vietnam.
Il va falloir revenir à Saïgon et puis tristement vers paris la ville des lumières . J’ai l’impression étrange que l’Europe est, après ce déluge de vivacité, devenu un « no man’s land » aux couleurs de l’ennui.
Je pensais que les larmes seraient au rendez-vous, que l’émotion comme une flèche délicieuse me transpercerait le cœur jusque atteindre les plus profondes de mes fibres, et bien rien ! J’ai, depuis ces jours de plénitude touristique, souvent repensé à ce sentiment si étrange et des questions sans réponses ont fait place à incompréhension. Suis devenu insensible à ce magnifique pays ou simplement n’ai pas réalisé le sens de ce voyage . Il me faudra retourner là bas et dès aujourd’hui je m’y prépare.
30 octobre au 1er novembre 2015
Vernissage de l’exposition: 29 octobre 2015 à 18h30
Le Centre des Echanges Culturels et Artistiques Franco-Chinois, dirigé par Aiming Tong-Picard, et Cap
Cultures organisent depuis près de cinq ans le salon Dialogue entre l’Orient et l’Occident. Cette
exposition a pour objectif de promouvoir les échanges culturels et artistiques entre la Chine et la France
et d’affirmer le talent de nombreux artistes internationaux, qu’ils soient peintres, sculpteurs ou encore
photographes.
Cette nouvelle édition 2015, dont les villes d’Avon et de Moret-sur-Loing sont partenaires, présente cette
année la particularité de réunir deux expositions distinctes :
⟐ Dialogue à travers les Grandes Routes de la Soie
Exposition conjointe de deux artistes chinois et français confirmés : LAN Tusheng et Rémy ARON.
⟐ Dialogue entre l’Orient et l’Occident
Exposition collective avec la participation de plusieurs artistes chinois et français issus de divers
horizons.
C’est au Carrousel du Louvre, haut lieu culturel unique, qu’il sera permis à ces artistes de valoriser la
longue histoire et les spécificités des Beaux-Arts Contemporains de la Chine.
Un espace de 3 100 m2, divisé en trois salles, présentera les échanges entre les artistes des deux pays.
L’exposition Dialogue à travers les Grandes Routes de la Soie se tiendra Salle Delorme, tandis que les
artistes participant à l’exposition collective Dialogue entre l’Orient et l’Occident exposeront leurs œuvres
au Foyer et Salle Gabriel.
Bouddha *
Prince indien qui vécut au VI e siècle avant notre ère.
Le mot, le nom Bouddha, veut dire l’éveillé. Le nom patronymique duBouddha est Siddharta Gautama Sakyamuni. Sakyamuni signifie : du clan Sakya, de la lignée Sakya.
Bouddha, Bouddhisme, Eveil, Nirvana, Karma.
De quoi s’agit il ?
La doctrine du Bouddha est basée sur la découverte intime et bouleversante, qu’il fit de la souffrance humaine. Il en tira après une très longue méditation, un enseignement en quatre points, connu sous le nom des Quatre Nobles Vérités*.
Les Quatre Nobles Vérités :
La souffrance. Dukkha
L’apparition de la souffrance. Samudaya
La Cessation de la souffrance. Nirodha
Le Sentier (La voie) Magga
Dukkha La souffrance :
Il décrit les formes de souffrances, mais aussi comment la souffrance apparaît et pourquoi, quels en sont les mécanismes, les causes. Ici, le Bouddha décrit cinq formes, ou sources, nommées agrégats (le cœur du bouddhisme) :
La matière (solidité, fluidité, chaleur et mouvement).
Les sensations (trois groupes de sensations, les sensations plaisantes, déplaisantes ou neutres).
Les perceptions (ce sont les perceptions qui permettent de reconnaître les objets physiques ou mentaux) .
Les formations mentales (ce groupe comprend tous les actes volitionnels, bon ou mauvais plus connus sous l’appellation « Karma »).
La conscience (réaction du corps ou de l’esprit aux phénomènes extérieurs).
Telles sont les cinq sources et les cinq formes de la souffrance.
Samudaya L’apparition de la souffrance :
Elle provient du désir. Et qu’est-ce que le désir ?
C’est une soif, ardente, une avidité passionnée, ce qui fonde et produit la ré-existence. Cette soif d’être, d’être ou d’avoir, provoque aussi tous les malheurs des êtres vivants. Du conflit entre deux humains jusqu’aux guerres mondiales.
Telle est la cause de l’apparition de la souffrance.
Nirodha La Cessation de la souffrance :
La troisième découverte est qu’il existe une émancipation, une libération possible.
Le seul but possible, selon le Bouddha, c’est la libération, la cessation de la souffrance, subie, ou causée.
En s’attaquant à la racine de la souffrance, c’est à dire le désir, la volonté, et même le sentiment du besoin, faim ou soif.
Magga Le Sentier (La voie) :
Connu sous la dénomination de Sentier du milieu, parce qu’il s’agit d’éviter les extrêmes :
La poursuite du bonheur par la dépendance du plaisir des sens.
L’ascétisme nihiliste (conçu comme bas et vulgaire).
Le sentier est simplement la pratique juste des huit vertus :
– Compréhension juste. – Pensée juste. – Parole juste. – Action juste. – Moyen d’existence juste. – Effort juste. – Attention juste. – Concentration juste.
Voilà pour l’essentiel la doctrine bouddhique initiale.
De la doctrine, et de l’enseignement originel, bien des mouvements sont nés, et bien des disciples ont constitué des écoles, qui se réclament toutes, plus ou moins de cette doctrine initiale.
Le bouddhisme n’est certes pas une organisation totalitaire et unifiée, c’est plutôt un mouvement, et différentes écoles proposent leurs approches. Et cela peut surprendre, car ces différentes écoles semblent très éloignées entre elles, sur le fond comme sur la forme.
(Je préfère le mot école à celui de secte qui a une connotation péjorative, bien qu’il existe aussi des sectes bouddhiques).
Alors qu’est-ce relie entre elles ces différentes écoles. Quel est leur point commun ?
Le point commun, c’est la recherche de la vérité, « la réalité ultime » : à savoir l’abandon du désir, la cessation de la souffrance, et la juste conscience du chemin qui est la vie .Tel est l’éveil.
C’est ce que les bouddhistes appellent le Nirvana, en japonais Satori.
Plus déroutant encore, certaines écoles affirment que le nirvana, est en soi une chose importante et nécessaire, certes, mais que l’essentiel se trouve ailleurs. Sur le chemin, précisément, qui va vers les autres, et leur enseigne le juste chemin, sans quoi l’éveil resterait pur égoïsme.
Est-il utile de s’intéresser au bouddhisme ?
Si une démarche personnelle vous incline en ce sens, vous y trouverez certainement un grand nombre de thèses pertinentes. Un constat, et une approche, personnelle et profonde, du cheminement de votre, la vie. De plus comme chacun sait, le bouddhisme est plutôt pacifiste et non-violent, puisqu’il réprouve la souffrance, et lutte contre les illusions, – et dans ce monde pas vraiment très sage, un peu de douceur bouddhiste ne ferait de mal à personne.
Qui sait ? Vous y trouverez peut-être des réponses à quelques questions. Voire plus, si affinités.
Si votre démarche ne vous incline pas dans ce sens, les mêmes arguments tiennent encore.
De plus le bouddhisme est rationaliste, sur son versant philosophique, et bien des découvertes récentes en psychologie par exemple, étaient largement connues des bouddhistes depuis les temps anciens. Rappelons par exemple que l’inconscient, la psychologie collective, ne furent connues de l’Occident qu’à partir des travaux de Freud. (C’était un pionnier qui agissait pour la science, et pour le bien de l’humanité mais aussi pour alléger la souffrance de ses patients, ne l’oublions pas, même si maintenant sa pensée paraît très confuse, rendons lui hommage quand même. )
Mise en garde sur le bouddhisme.
Le bouddhisme n’est pas une sinécure, sous son aspect débonnaire toujours sourire aux lèvres, se trouve une doctrine, plutôt ardue et difficile.
La discipline de vie des bouddhistes n’est pas à la portée de n’importe qui. Même de qui le veut, surtout de qui le veut ! Pour les butineurs de parfums à la mode et les amateurs de pratiques exotiques, – comme la méditation, par exemple.
Ils risquent de repartir bien vite, dès les premières crampes venues.
Les belle images de l’art bouddhique aux couleurs chatoyantes, expriment peut-être une autre réalité, – dont ils ne veulent certainement pas entendre parler.
L’enseignement bouddhiste, peuvent se résumer à ceci, au moins dans les premiers temps :
Seul face à soi-même. Personne n’aime ça ! Et ce n’est que le début.
Plus dangereux encore, toutes sortes d’attrape-nigauds, où l’on vous fait croire au nirvana, par des pratiques étranges ou des rituels ésotériques, moyennant finances, en profitant de la mode bouddhiste. (Les bouddhistes ne sont en rien responsables de cet état de fait, il s’agit là de charlatans opportunistes naturellement. Mais prudence quand même, sachez où vous mettez les pieds.)
Des mots comme Zen, Nirvana, Karma, sont passés dans le langage courant.
Zen, ça sous-entend « relax » décontracté, erreur ! Nirvana, autrement dit, illumination, lumière holistique, flotter dans les airs, erreur !
Karma ça veut dire destin, erreur !
Bon j’arrête là, sinon je vais vous faire peur, et ce n’est pas ma visée, bien au contraire.
Quelques précisions :
Le bouddhisme est une religion non théiste (cela veut dire que la notion de dieu n’y apparaît pas).
La position des bouddhistes est la suivante : Nous ne pouvons nous prononcer sur ce sujet.
Hormis sous sa forme taoïste, où la position est plus nuancée, bien que conforme au canon bouddhique.
Le Bouddhisme philosophique est dit non dualiste (cela veut dire, qu’il n’y a pas opposition des contraires).
Hinayãna Petit véhicule : notion péjorative, obsolète, n’est plus employée.
Mahãyãna Grand véhicule, pas plus grand que le petit, notion orgueilleuse, obsolète, n’est plus employée.
Le bouddhisme est un véhicule, vers le Nirvana, l’abandon ultime des illusions.
Le mot religion est un mot latin qui veut dire « relier à ».
Rien de plus, (chacun interprète ensuite à sa manière).
Voir Hannah Arendt, Crise de la Culture 1961.
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Et comme d’habitude je vais être un peu hors sujet.
Parce que sinon c’est trop sérieux et c’est pas drôle.
Je vais vous parler de l’eau.
L’eau c’est un liquide qui coule partout.
Et y en a partout sauf dans le désert évidemment, sauf dans les oasis, où là il y en a.
De l’eau, il y en à aussi dans le ciel, ça s’appelle des nuages, mais c’est de l’eau.
L’eau il y en a au pôle nord, ça s’appelle de la glace, mais en réalité c’est de l’eau.
Il y a 400 millions d’années il y avait de l’eau, c était de l’eau, mais personne n’en savait rien, puisqu’à cette époque il n’y avait que des dinosaures. Les dinosaures ne savaient pas qu’ils buvaient de l’eau, mais comme ils avaient soif, il la buvaient quand même.
Aujourd’hui nous buvons de l’eau, et évolution de l’espèce oblige, comme nous sommes des homo sapiens version deux, sapiens sapiens, modèle amélioré de l’ancienne version un, néandertalienne…
Eh ! bien ! Nous savons que, quand nous buvons de l’eau, c’est de l’eau. On est très fort, et y en a beaucoup dans la Capi. (Capi , c’est un mot qui vient du latin capus, capitis, la tête, chapeau, un capitaine y a Capi dedans, dans Capitale, décapité ou capuche…)
Et, maintenant, ça se complique un petit peu.
L’eau que nous buvons aujourd’hui, l’eau du robinet par exemple, cette eau-là est passée plusieurs fois dans le ventre de dinosaures, pour vous dire la vérité, mais toute vérité n’est pas toujours bonne à dire, c’était dedans, même.
Conclusion : C’est toujours la même EAU.
Conclusion de la conclusion : C’est dedans pour NOUS aussi.
Conclusion de la conclusion de la conclusion : Ça sera dedans ou dehors mais ça s’appelle de l’EAU quand même.
Et…
Tonnerre de Brest !
Pourvu que ça dure !
Ne dit-on pas : – Qui est à l’appareil, ah ! l’eau !
Autre chose.
Pour les connaisseurs et petit futés.
N’oublions pas que tout ce que nous en savons, c’est parti des recherches sur la thermodynamique.
Et d’une énigme concernant une histoire de four, où la couleur violette, ne se comportait pas comme attendu.
Les conséquence furent innombrables :
Déterminisme obsolète
Exactitude Statistique
Traverser un mur
Possible !
Probable !
Réalisable !
Le chat est-il mort ou vivant ? Les deux, mon général !
Et comme dirait la mère Denis, vieille lavandière du terroir, ça c’est ben vrai.
Les vieilles dames ont toujours raison, mais personne ne les écoute.
La même chose mais autrement.
Dans le village des schtroumpfs bleus, il y a un barbier
Il y a ceux qui se font raser par le barbier, barbu
Il y a ceux qui se rasent eux-mêmes, barbant pour le barbu
A quelle catégorie appartient le barbier ?
Les deux mon général !
Est-ce possible !!? Oui mon général !
Sixième ! Théorie des ensembles, mon général !
***
Peintres et autre chose aussi, des artistes qui nous font découvrir un autre univers.
Des beautés toujours plus belles. Les cyclooopies sont sur une mission. Exposer une beauté vive et libre. Du monde entier, les miroirs vont se répondre en échos « Je suis la plus belle… », et les cœurs vont se remplir de satisfaction et de sérénité.
Les cyclooopies…avec trois « o ». Elles ont un œil bleu qui favorise la Chance et trois seins qui apportent Bonheur, Richesse et Longévité. Et elles sont très très belles, parce qu’elles se sentent belles.
« D’une beauté vive et libre… » Elles expriment un élan vers une beauté vive et libre selon l’inspiration personnelle de chacun.
Vous l’avez pressentie, les cyclooopies révèlent votre beauté extrême à vous.
Anh QUACH et Van Chi WEI qui sont- elles?
Nous sommes chinoises mais nées au Vietnam, et naturalisées françaises depuis !
Nous sommes mère et fille, la création est pour nous une joie familiale ! Maman, dans sa jeunesse, a eu une formation de professorat de haute couture à la Paris, elle est retraitée maintenant. Moi, dans ma jeunesse : )), j’ai fait des études supérieures en mathématiques, et je travaille actuellement dans le management de projets informatiques.
C’est avec un immense plaisir que nous vous présentons les cyclooopies : Tirosie est joyeuse, Moontaxie rêve, Aïmie est sereine, Dorémie Chante, Pitchoulie est gracieuse et glamour, Paomie s’affaire sans cesse, Toobie et Nottoobie sont comédiennes…
L’acuponcture.
(Casimir, le fait du Dragon.)
Les principes fondamentaux de l ’acupuncture sont décrits dans le Huangdi Nei jing (Classique interne de l’empereur jaune), c’est un ouvrage composite dont les parties les plus anciennes remonteraient au III siécle avant J.-C.
* Concept des méridiens et vaisseaux secondaires.
La médecine traditionnelle Chinoise considère que les méridiens (Jing) et les vaisseaux secondaires (Luo), sont des trajets répartis dans le corps humain, et dans lesquels circulent le sang et le qi (énergie vitale). Ils forment un réseau reliant les régions superficielles et les régions profondes du corps, équilibrant le fonctionnement de l’ensemble de l’organisme.
Les méridiens sont les troncs principaux et circulent longitudinalement, alors que les vaisseaux secondaires sont leurs branches.
L’on peut considérer deux groupes :
Les méridiens réguliers (Les Douze Méridiens )
Les méridiens extraordinaires (Les Huit Méridiens Extraordinaires)
Pour les vaisseaux secondaires, il y a les majeurs et les accessoires. Ils permettent la communication d’un méridien à l’autre. Les méridiens sont répartis symétriquement sur l’ensemble du corps. A l’intérieur, ils se relient avec les viscères, et à l’extérieur avec les quatre membres, la peau, les organes des sens, faisant du corps un ensemble organisé.
* (source : Précis d’acuponcture Chinoise, Académie de médecine traditionnelle chinoise Edition Dangles)
C’est de manière empirique et au cours des siècles, que les anciens ont découvert, de proche en proche, que la stimulation de certains points du corps avec des aiguilles, pouvait améliorer l’état de santé des malades. Il n’est pas exclu de penser que la pratique de la méditation ait joué un grand rôle dans ces découvertes. (la méditation en Asie est considérée comme un état actif du corps et de l’esprit ; à ne pas confondre avec la contemplation qui est un état passif.)
Ainsi s’est formée cette représentation du corps en méridiens et vaisseaux reliés aux viscères ; le tout constitue ainsi une unité homogène.
L’intérieur (le corps)
L’extérieur (l’espace de la vie)
La fluidité, intérieure et extérieure (qui est appelé le qi ou l’énergie vitale), forme un tout en osmose. . L’information est transmise aux frontières de ces deux couches par la peau et les organes des sens.
L’aiguille, en un point bien choisi, stimule le qi intérieur. Il y a de la sorte un rééquilibrage entre le qi intérieur et le qi extérieur, parce qu’ils ne sont pas différents, mais complémentaires entre eux et de même nature.
J’entends déjà cette petite voix, qui dit et répète toujours sur le même ton, les mêmes arguments en toute circonstance et cela quel que soit le sujet que l’on aborde :
« Oui mais les anciens ont pu se tromper, leur connaissance ne portait pas sur un raisonnement prouvé scientifiquement, et plus est, ils n’avaient pas la technologie. Nous avons la technologie, et pourtant les fameux méridiens n’ont toujours pas été détectés à ce que je sache, pas plus que cette hypothétique énergie, le qi , alors ? »
Alors, ça suffit ! Je vous dis que cette énergie existe, les physiciens ne parlent que de ça !!
Le zéro quantique : infinité de l’énergie
Pour les physiciens, le vide contient toutes les particules et les forces à l’état latent. C’est une substance bien plus riche que le néant des philosophes. Sir Martin Rees.
A qui reviendra le privilège de nous expliquer, le fonctionnement de la bienveillante corne d’abondance ? Cette personne viendra de la physique sans aucun doute. Mais non ? Mais si …
JPB.
Pour en savoir plus. Livres cités dans l’article :
Huangdi Nei jing (Classique interne de l’empereur jaune).
Canon de médecine. L’un des plus important livre de la culture classique chinoise.
Précis d’acupuncture Chinoise.
Académie de médecine traditionnelle chinoise Edition Dangles Livre récent qui répertorie toutes la connaissance actuelle sur ce sujet. Très technique s’adresse aux professionnels de la santé.
***
Je vous conseille, si le sujet vous intéresse, tel qu’il est présenté dans cet article, deux livres, qui ne traitent pas de l’acupuncture mais qui pourront en éclairer le dessin et les contours . Les grands principes de l’acuponcture ne sont pas affaire de raison, mais de résonance. Deux livres pour trouver le juste milieux.
Le premier livre en éclaire le dessin . Garder l’un,
Le livre de la cour jaune
Présenté, traduit du chinois et annoté par Patrick Carré.
Classique taoïste des IVe – Ve siècles Edition point sagesse Sa146
Le corps et ses organes décrit de manière visionnaire et poétique.
Ce livre nous fait entrer dans un monde complexe fait d’image hautement symbolique.
Le corps vu autrement que par l’intermédiaire de machine, qui ne restitue froidement, que la connaissance technologique quelles en ont.
Le second livre en dessine les contours. Retourner le zéro à l’infini,
Charles Seife Zéro La biographie d’une idée dangereuse Pluriel Hachette Littératures
La grande aventure des chiffres, des nombres et du zéro à commencé à Babylone il y à très longtemps, probablement cherchait on un moyen pour compter les moutons . La grande aventure du zéro continue aujourd’hui, mais les moutons sont virtuels…
Math / Physique ou en est t’on ?
Pour ceux qui douteraient encore, qu’il existe une énergie de type qi , tel qu’ elle est décrite par les anciens.
Pour ceux qui ne font aucune distinction entre le néant et le vide.
Pour ceux qui bien pensant se représentent le monde de manière déterministe, et qui ont des idées bien arrêtées, concernant ce que sont ou doivent êtres les lois naturelles. Pour ceux qui parlent avec déférence de l’esprit cartésien. Ce livre n’est pas pour vous, il peut même être nocif pour votre bien être et nuire à votre équilibre.
Pour les autres lisez le c‘est superbe. Tour de passe-passe des gens qui savent rendre accessible au grand public, ce que la science actuelle à de plus pointu ( avec quand même un petit effort de votre part).
Devinette : Qui à inventé le zéro ? Les ostrogot ? Les américains ? Les russes ? Les aztèques ? Les chinois ? Les grecques ? Les arabes ? Les indiens ? Les hébreux ? Les romains ? Les égyptiens ? Les gaulois ? Les mongoles ? Les turcs ? Les babyloniens ? Les néandertaliens ? Les stroumphs ? Les atlantes ? Les premiers ordinateurs ?
Annexe
L’odyssée de l’espèce, au seuil de la porte de jade.
Un bébé babille à Babylone.
Comme un trésor, la noix cache son fuit !
Ainsi sous l’eau bleu, l’huître, protège sa vie !
Chambre d’or et perle de nacre …
Ce n’est ni rond ni lisse une noix, mais plein de bosses.
Deux hémisphères parfaitement jointes en scellent les parties.
Un anneau de vide, les unis …
Pour s’emparer du fruit, il faut presser la coque aux endroits choisis, autrement tout fini en bouillie.
De matière en lumière de lumière en poussière…
S’emparer du fruit, sans en altérer la coque, tel est le défit !
Le bébé à grandit, une multitude babillent à l’infini …
A l’aube des perles de nacre.
Garder l’un, éprouver le tout.
Circonspect et serein, il va il vient, le centre est partout, engendrant de rien, raisonnant sans raison …
Bulles de vie, perles de nacre, gravitent dans vide à l’infini.