Étiquette : voyage

  • Pékin et le salon de l’automobile, voitures chinoises (humour)

    Pékin et le salon de l’automobile, voitures chinoises (humour)

    Salon auto de pékin, la face cachée !

    LE RIRE EST LE PROPRE DE L’HOMME, RIRE JAUNE, POURQUOI PAS !

    Le salon de l’auto de Pékin, Le salon de l’auto de Pékin aux calandres bridées

    Votre site préféré, OpenMag, n’hésite pas à vous faire découvrir tous les mystères cachés de l’empire du milieu. Nous avons mis tous nos moyens techniques, des photographes embusqués, oui des paparazzis, des motos de poursuite, de l’argent en veux tu en voilà, pour vous présenter en exclusivité, les dernières nouveautés de nos amis asiatiques.

    Un monde de fantasme automobile, des voitures de rêve, de puissantes berlines, un univers de luxe et de confort où le cuir et le bois précieux règnent en maître absolu, va brusquement apparaître devant vos yeux émerveillés et subjugés.

    Alors bonne visite !

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    Voiture chinoise haut de gamme( pour famille nombreuse)

    Voiture chinoise début de gamme( pour famille nombreuse)

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    LA VOITURE CHINOISE D’OCCASION A RETAPER

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    Peut tenir encore 300 000 kms ou mètres

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    Car show of beijing, the face hidden!

    LAUGHTER IS THE OWN OF MAN, YELLOW LAUGH, WHY NOT!

    The Beijing Auto Show, The Beijing Auto Show with Flanged Calenders

    Your favorite site, OpenMag, does not hesitate to make you discover all the hidden mysteries of the middle empire. We put all our technical means, photographers ambushed, yes paparazzi, motorcycle pursuit, money want you here, to present exclusively, the latest news of our Asian friends.

    A world of automotive fantasy, dream cars, powerful sedans, a universe of luxury and comfort where leather and precious wood reign supreme, will suddenly appear before your eyes amazed and subdued.

    So good visit!

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    Can hold another 300 000 kms or meters

    IT IS OF HUMOR AS CHINESE CARS ARE TODAY OF VERY NICE QUALITY

  • Bali, source d’inspiration ou le plaisir de peindre

    Bali, source d’inspiration ou le plaisir de peindre

    Carnets de voyage en asie, Bali où j’ai découvert le plaisir de peindre.

    Carnets de voyage en Asie (Bali)

    J’ai choisi BALI pour me lancer dans mon premier voyage solo. J’en rêvais depuis 10 ans mais j’ai mis du temps à me lancer. En voyage on trouve souvent des choses inattendues et on se découvre aussi.

    C’est une école de la vie, la meilleure pour moi. A Bali voyageant seule, j’avais envie de pratiquer une activité pour me servir de repère et toujours apprendre mais je ne savais pas quoi..Tout était possible cours de surf, massage, cours d’indonésien, cours de civilisation, yoga, batik, danse, trek, peinture, sculpture , confection d’offrande….

    J’ai eu le coup de foudre pour Ubud, la capitale culturelle de Bali. C’est l’endroit que je reverrai et m’y vois bien y vivre. Je m’y suis sentie tellement bien que je pouvais me lancer dans une activité prenante au niveau des neurones. J’aime pas dessiner mais j’ai toujours été attirée par les couleurs et la peinture. J’ai donc essayé la peinture et j’ai fait une grande découverte ! J’ai pris 15 jours de cours à raison de 2h par jour. J’ai eu beaucoup de mal au début, j’ai failli abandonner. J’avais l’impression de passer des examens.

    Les deux premiers tableaux, « natures mortes » imposées, ont été très durs à réaliser. A partir du 3e tableau, j ai décidé moi-même du sujet et je n’ai plus eu de complexe. J’étais lancée. J’ai retrouvé la spontanéité de tout enfant de maternelle ! Quelle joie de peindre, quel fun, d interpréter la beauté de ce qui nous entoure et nous touche. Et quelle liberté ! c est comme en voyage solo, on fait ce que l’on veut.

    Et Bali est un écrin de beauté, la nature y est si belle, les balinais chaleureux et la spiritualité ambiante est étonnante.

    Sophie

  • Toilettes à la chinoises, humour, rires, sourire (histoire vraie)

    Toilettes à la chinoises, humour, rires, sourire (histoire vraie)

    Carnets de voyage en Asie ou les toilettes à la chinoises.

    Humour, rires, sourire

    Carnets de voyage en asie

    Toilettes chinoises (photos)

    Que c’est bon de pouvoir se soulager, tranquillement sans cette hantise qui nous menace à chaque instant : trouver des chiottes.

    Déjà 10 ans et le pékin d’autrefois paraît n’avoir jamais existé. La « chiotte party » était une vraie galère que tous les occidentaux qui aimaient sortir des circuits touristiques traditionnels ( hôtels internationaux, shopping centers…) connaissaient bien, époque héroïque du début du tourisme de masse. Quand l’envie brusquement s’emparait de nous, toujours par surprise, cette course débutait immanquablement par une course effrénée vers un lieu nommé les « chiottes ». La recherche de ce lieu si rare, donc précieux à l’époque, se présentait comme un jeu de piste ou une course- poursuite, arbitrés par le seul cliquetis d’un compte à rebours sans pitié. Cette situation nous rendait très « mâle ».

    Pour parer à cette lourdeur fort dérangeante et quelque peu sournoise, quelques- uns prenaient des dispositions drastiques. Avant une sortie en terrain miné dans des hutongs inextricables, ils allaient maintes et maintes fois aux toilettes. Certains, encore plus habiles et calculateurs, se s’autorisaient aucune boisson ni aliment avant le grand départ. La recherche commençait toujours par une angoisse palpable, gloutonne et inamicale.

    Je me rappelle un jour, après une recherche interminable, je tombai sur des toilettes collectives mais pleines de chinois accroupis et béats. Oubliant toute ma culture de « coince du c… » je me mis comme mes « collèges » dans cette position si peu reluisante afin de satisfaire à un besoin des plus naturels. Rien n’existait plus que ce moment qu’un monde d’harmonie et de légèreté.

    En Europe quand l’envie se fait sentir, il est simple d’aller prendre un café dans un bar et de se soulager ensuite.

    Aujourd’hui cet amusant passe temps n’est plus guère qu’un souvenir nostalgique car les toilettes, grâce à Beijing 2008, ont fleuri comme coquelicots au printemps.


    Diarios de viaje en Asia o el inodoro para los chinos.

    Humor, la risa, la sonrisa

    Diarios de viaje en Asia

    inodoros chinos

    Si es bueno para hacer sus necesidades, en silencio, sin esta obsesión que nos amenaza cada momento: encontrar cagadero.

    Ya 10 años de edad y Pekín parece que nunca han existido. El « partido de mierda » era un dolor que todos los occidentales que amaban fuera de los circuitos turísticos tradicionales (hoteles internacionales, centros comerciales …) conocía bien, era heroica del inicio del turismo de masas. Cuando el impulso de repente vino sobre nosotros, siempre por sorpresa, esta carrera, invariablemente, se inició con una carrera frenética a un lugar llamado el « pantano ». La búsqueda de este lugar tan raro, tan valioso en ese momento era como una búsqueda del tesoro o una persecución raza, arbitrado por el simple clic de una cuenta atrás sin piedad. Esto nos hizo muy « macho ».

    Para hacer frente a esta pesadez muy molesto y un tanto disimulada, algunos de ellos tomaron medidas drásticas. Antes de una salida de campo minado en hutongs inextricables, tendrían una y otra vez al cuarto de baño. Algunos, más inteligente y calculador, no se permitirá ningún alimento o bebida antes de la salida. La investigación siempre comenzó con una ansiedad palpable, codicioso y poco amigable.

    Recuerdo que un día, después de una larga búsqueda, me quedé en el inodoro colectiva pero lleno de cuclillas chino y feliz. El olvido de mi cultura « atascado c … » Me puse como mis « colegios » en esa posición si mediocre para satisfacer una necesidad de más natural. Nada existía ese momento un mundo de armonía y ligereza.

    En Europa, cuando se sintió el impulso, es fácil ir a tomar un café en un bar y luego hacer sus necesidades.

    Hoy en día este divertido pasatiempo es poco más que un recuerdo nostálgico de inodoros, con Pekín 2008, floreció como amapolas printemp

  • Vietnam, un retour qui laisse des traces profondes

    Vietnam, un retour qui laisse des traces profondes

    Retour au Vietnam : une traversée au cœur de mes souvenirs.

    Carnets de voyage en asie

    Retour au Vietnam

    La traversée du Vietnam.

    Voilà qu’une idée saugrenue pour les uns et originale pour les autres, mes potes, germe dans mon esprit alambiqué, d’artiste un peu fol dingue. J’ai l’envie subite et incontrôlable de faire une virée à travers le Vietnam. Oh non pas comme tout le monde, pas une visite touristique style, « bonjour les retraités en mal de divertissement », mais quelque chose de plus « caractériel » où la folie de la découverte d’un magnifique pays peut se marier harmonieusement avec un besoin de faire quelque chose de bien particulier pour un pays qui a si souvent et si longtemps souffert.

    Je glisse insidieusement cette idée farfelue dans la tête de mes compagnons de voyage habituels. Comme prévu, ils sont rapidement enthousiasmés par ce projet encore mal calibré mais déjà si sympathique. Mais par quel bout commencer, peut- être envoyer des mails en proposant des spectacles gratuits à tous les orphelinats, organisations locales d’aide à l’enfance, ong…Nous recherchons sur le Web des adresses, des contacts, des plans afin de ficeler notre projet, pour qu’il aboutisse sur place et assister à la joie des enfants auxquels ils sont destinés. Ni une, ni deux, les réponses fusent comme une mitraille joyeuse et rassurante. Nous avons enfin réussi à mettre sur pied un véritable itinéraire, à la fois touristique, artistique, et farfelu, et celui-ci tient réellement la route ; une aventure extraordinaire se profile à nous, pleine d’imprévus et de promesses, du moins nous l’espérons.

    Billets, visas, matériel de magie, ballons à sculpter, costumes de clowns, maquillage, valises légères, tout un micmac nous accompagne partout, en avion, en train, en bateau, en car et à pied, à pied le moins souvent possible car nous ne sommes pas des sportifs ! Chacun de nous a des obligations et nous nous donnons rendez- vous à 15h, le 16 juillet dans la piscine du célèbre Hôtel de Saïgon, le fameux et historique Hôtel Majestic.

    photo t.Beyne

    Le vol se déroule dans la plus grande sérénité et quand nos pieds foulent enfin le sol, nous sommes immédiatement happés par une chaleur suffocante et un tintamarre digne de tous les grands aéroports internationaux du continent asiatique. Des agences de voyages malmènent de pauvres vieux panneaux griffonnés à la main au bord de la retraite anticipée, des guides sérieux comme des portes de prisons éructent des noms postillonnant tels des lamas en colère, , des cris stridents déchirent le brouhaha ambiant, des joies incontrôlées de retrouvailles familiales fusent gais et bruyants, vous l’avez compris, nous sommes arrivés au Vietnam.

    Certains chauffeurs de taxi, mi- officiels, mi- mafieux, s’empressent d’attirer des touristes peu avertis pour une course hasardeuse afin de récolter une somme fort juteuse bien au- dessus des tarifs normalement pratiqués. Sans perdre nos bagages de vue et après un change rapide sous très haute surveillance , nous trouvons, après maintes péripéties grotesques, un taxi qui bientôt nous conduit, dans un concert de klaxons, à bon port, vers le centre de la capitale économique du Vietnam. De la poussière, du ramdam, des rais de soleil sur nos lunettes opaques, de l’émerveillement et soudain le Majestic se dresse, orgueilleux, devant nous, telle une page d’histoire, glorieuse et mouvementée. Des « dongs » , monnaie locale, plein les mains, je règle la course, quelque peu affolé par le nombre de zéros qui ne traduit guère qu’une érosion monétaire galopante.

    Après un regard admiratif, nous nous engouffrons à l’intérieur de l’hôtel, à la recherche de la fameuse piscine. Nous sommes fort déçus quand nous apercevons le panneau « closed » qui nous cloue sur place : comment retrouver nos potes dans cette ville inconnue ! Les roulettes de nos valises endurent une course effrénée, un calvaire olympique, sans jamais se briser sur les marches mythiques de l’escalier, et nous nous retrouvons à l’extérieur. Nos yeux se transforment immédiatement en radars ultra- sophistiqués, balayant le fronton avec minutie et en analysant méticuleusement chaque badaud, chaque évènement . Soudain nous aperçevons une forme bien familière cachée derrière un livre, Agnès nous attend mollo pommes frites, zen et souriante. Le quatrième larron, Pierre, nous rejoint ensuite au Hanoï hôtel, grand merci aux téléphones mobiles. Chambres propres sans cafard, climatisation en état de marche, tuyauterie entretenue, personnel souriant, ce havre de paix nous accueille pour la modique somme de 10 dollars la nuit soit à l’époque environ 8 euros. Une douche rapide, des vêtements légers, l’appareil photo en bandoulière et 30 petites minutes plus tard, le sirop de la rue nous submerge, nous broie délicieusement.

    Saïgon l’insouciante, Saïgon la festive, grenier du Vietnam nous distille ça et là sa vivacité et son âme joyeuse. Une ville jeune, colonisée par une fourmilière des piétons indisciplinés, passe devant nos yeux tel un long serpent de couleurs et de lumières. Un bruit assourdissant et omniprésent nous enveloppe dans un concert de klaxons, de sonnettes de vélos, de mobylettes nerveuses, de voitures pétaradant, de conversations tonitruantes et de musique…Si vous avez des problèmes d’audition, cette ville vous permettra de vous retrouver rapidement dans la norme standard des « bien- entendants ».

    photo t.Beyne

    La cathédrale construite par les Français, la poste majestueuse, le fameux marché Tanh binh où l’on déguste sur des mimis tables d’enfants en plastique d’excellents raviolis vietnamiens, la place de la Tortue, le marché aux antiquaires, rien ne nous échappe ou peut- être tout nous a échappé ! Tant de choses à admirer à la fois, tant d’images d’Epinal à se remémorer, que des instants de bonheur à siroter sans modération et à partager ensemble, nous étions dans le cœur de la vie.

    Il ne faut surtout pas rigoler, il va falloir bosser. Quelques coups de téléphone et bientôt nos contacts se manifestent, le Français ou parfois l’Anglais nous permettent de communiquer assez facilement. Une jeune fille nous donne rendez- vous et par une nuit douce et câline, nous nous retrouvons dans un restaurant au décor merveilleux et au charme désuet. Elle est là, jolie et conviviale, et nous accueille gentiment, nous propose de faire la commande, nous parle de son monde, celui du cinéma, peut- être même de la télévision… Des serveurs, dans un jeu touristique bien huilé, jettent en l’air du riz grillé d’un caquelon et le rattrapent in- extrémis dans un autre plat sous le feu nourri des applaudissements.

    photo t.Beyne

    Après des négociations étroites avec notre charmante interlocutrice, nous nous rendons compte par la suite que faire des spectacles à Saïgon restera impossible. Que d’aléas intempestifs, de tergiversations asiatiques, de « oui » qui sont des » non » et de « non » qui sont des « oui » ou qui , on ne sait jamais, sont des « peut- être ». Courage ne fuyons pas et essayons malgré tout, de continuer imperturbablement notre périple indochinois !

    Un coup de fil pour un deuxième contact à Nga tran, et là surprise, tout est prévu, on nous attendra à la gare. Il est vrai que cette rencontre a été organisée depuis La France par Enfants du Vietnam, une Petite ONG, bien implantée dans cette région. Les billets de train dans la poche, toujours nos valises collées à notre arrière- train et nous voilà partis pour une nouvelle aventure. Avant le départ, nous engouffrons des soupes, des brochettes et des fruits sur le quai transformé en grand restaurant enfumé par des barbecues au feu de bois. Après une nuit paisible peuplée de douceur, nous arrivons enfin à Nga-tran, une très belle ville bordée de magnifiques plages dorées.

    Un vrai comité joyeux et convivial nous accueille, souriant et déjà reconnaissant de ce que nous n’avons pas encore fait. Chacun de nous est accroché à son pilote- motocycliste vietnamien, comme la vermine sur le bas clergé, à califourchon sur de fiers destriers, oh pardon, pas très fiers, sur de vieilles mobylettes rouillées. Ce convoi exceptionnel, exceptionnellement farfelu, se dirige en grande pompe vers notre hôtel qui nous accueille tels d’importants émissaires, des ambassadeurs de la bonne humeur apportant de la joie et de la bonne humeur. Une vue lumineuse sur la plage égaie tout de suite nos yeux remplis de reconnaissance. A peine étions nous arrivés, que nous nous éjectons dans la rue propulsés par une curiosité incontrôlable. Une grande artère centrale bordée de cafés, des gargotes aux produits colorés, de laveries nous ouvre les bras… Au bout, une plage magnifique s’étend à perte de vue, délimitée d’un côté par une eau transparente et limpide et de l’autre par des arbres verts, exotiques et généreux. A cet instant précis, nous nous croyons comme par magie « téléportés » au paradis et, comme vous le savez peut- être pas, la magie, chers lecteurs, ça me connaît. Les gens nous sourient, la chaleur se fait plus supportable et la vie paraît plus douce, paisible même. Il est évident que derrière cette carte postale idyllique se cachent la pauvreté et parfois même le désespoir. C’est pour toutes ces raisons que l’association, les Enfants du Vietnam, a choisi de mener ici une action à long terme afin d’aider au niveau scolaire et matériel les enfants défavorisés ou abandonnés. Ces derniers errent souvent, mendiant par ci et par là quelques dongs aux rares touristes de cette basse saison. Je pensais qu’à cette époque de l’année, les « touristes » auraient simplement déjà colonisé les plages si magnifique qu’on appelle aussi la côte d’Azur du Vietnam.

    De nouveau nous enfourchons nos machines pétaradantes, toujours collés à nos pilotes, pour rendre visite aux enfants. Ils sont trop mignons, les yeux pétillants de malice, ils nous attendent pour rencontrer ces « drôles de clowns » dont ont leur a si souvent parlé. Leur bonheur n’est pas feint, ils sourient heureux mais aussi impressionnés. Des bisous pour tous, des moments inoubliables qui resteront éternellement gravés au fond du cœur.

    Le lendemain, le convoi de mobylettes se faufile dans la ville comme un long serpent se dandinant indifférent aux regards étonnés des badauds. Qui sont donc ces étrangers, habillés de beaux atours, que l’on transporte sur de si beaux « véhicules » ? Un auditoire d’enfants et d’adultes nous attend discipliné et fébrile. Nous enfilons nos costumes de lumière, faible lumière, et le spectacle commence sous un tonnerre d’applaudissements. Des rires éclatent comme un tir de missiles ponctués par des oh d’étonnement, la magie reste pour les Vietnamiens, une sorte de sorcellerie totalement incompréhensible. Les petits yeux bridés s’arrondissent et pétillent, les bouches restent grandes ouvertes, les grands et les petits ont tout oublié, ils ne sont que plus des spectateurs comblés voyageant dans un pays extraordinaire fait de rêves. C’est gagné, sans un mot de vietnamien, en utilisant exclusivement des onomatopées et des gags, nous avons donné pendant 45 minutes, un vrai instant de bonheur où la peine et la tristesse ont été momentanément bannies. Les spectacles se sont enchaînés, et toujours dans la bonne humeur, simple et communicative.

    Sachant qu’un bon salaire se situe aux alentours de 50 euros, notre pouvoir d’achat au Vietnam nous donne l’impression pas désagréable, de posséder une vraie fortune de vivre dans un autre monde si souvent souhaité. Souvent nous dînons dans la rue de plats simples et délicieux. Parfois, étant devenus momentanément de « nouveaux nababs », nous décidons de passer une soirée dans un restaurant huppé. Jamais nous n’avons regardé les prix comme à Paris, rien que le plaisir de choisir sans l’appréhension de l’addition par trop salée. Des restaurants en plein air, dans des jardins paradisiaques, une cohorte de serveurs qui s’évertuent à nous traduire une carte aux noms alléchants, des boissons à gogo, une température douce tel était notre purgatoire vietnamien. Un soir, las de nous goinfrer de mets plus succulents les uns que les autres, nous décidons de manger plus léger, un tant soit peu diététique. Nous achetons donc une énorme langouste, longue comme mon bras que vous ne connaissez sûrement pas d’ailleurs, l ‘ingurgitons illico presto ; pauvre animal, terminer sa vie dans des estomacs sans fond, est une bien triste « faim », oh sorry « fin ». Que la vie est difficile… pour nos pauvres estomacs évidemment ! Je revois encore avec bonheur, les matins naissants et des petits « dej’s » sur les terrasses ou le long de la plage. Bientôt sur nos propres mobylettes nous écumons Nga tran, à la recherche d’Alexandre Yersin biologiste de renom qui a laissé ici, un souvenir emu ( recherche sur le bacille de la peste).

    Des bains de boue motivent plus les filles, des ballades à mobylettes enthousiasment plus les garçons, chacun fait sa vie en somme. Notre hôte principal nous convie à faire une belle croisière dans la baie, mais contrairement aux touristes qui se déplacent sur de lentes jonques de bois, il a prévu pour ses honorables invités, c’est- à- dire nous, un puissant et magnifique hors bord digne de la jet set. Royalement véhiculés, nous visitons un aquarium, puis une belle plage privée et enfin une ferme marine spécialisée dans l’élevage des langoustes géantes, un périple tout bonnement harassant.

    Nous déambulons nonchalamment dans un marché local quand soudainement une voix nous attire dans un stand de fruits. Une femme souriante et pleine d’égard nous attire vers son étal, et nous fait comprendre qu’elle a assisté au spectacle et que celui- ci a été pour elle un moment inoubliable. Et pendant qu’elle nous « éructe » ses remerciements, elle nous met dans la bouche un morceau de «  durian » fruit fort apprécié en Asie mais dont l’odeur d’œuf pourri doublé d’effluves de pets invite plus à la poudre d’escampette qu’à la dégustation gourmande. Dans une grimace mi- figue, mi- raisin, nous « machouillons » le fruit et le trouvons sympathique malgré la puanteur et même presque bon, disons pas désagréable. En revanche Agnès dans une mimique grimaçante et torturée recrache le tout en vociférant qu’on lui a enfourné de la « merde » dans la bouche, question de goûts et de couleurs. La pauvre dame voyant Agnès, le visage décomposé, transformé en masque de souffrance se trouve du coup fort embarrassée .

    Voilà déjà 15 jours et nos 2 amis sont obligés de repartir vers Paris. La peine dans l’âme, ils prennent l’avion pour Saïgon pour s’en retourner vers notre triste civilisation où la principale préoccupation est la retraite et les congés payés.

    Après un au revoir joyeux et à la fois nous ému, nous nous retrouvons comme 2 âmes en peine mais toujours très motivés pour de nouvelles aventures en Indochine. Nous décidons de continuer notre périple et partons avec des amis de rencontre vers Hué la ville Impériale. Il avait été loué pour cette occasion, un mimi van Mercédès climatisé et nous partons 5 tels des pachas en « pachaterie ». De magnifiques paysages défilent devant nos yeux, côtes sauvages et indomptées, plages interminables caressées par une lumière diaphrane, rizières voluptueuses dociles à la caresse du vent ou routes auréolées de poussière s’enroulant autours de montagnes aux cimes majestueuses. Souvent nous pouvons entrevoir à travers une végétation luxuriante, de fragiles silhouettes surmontées d’un chapeau conique accompagnées de zébus puissants et massifs, lents et majestueux. Je remarque que ces grandes artères sont souvent très dangereuses, les usagers n’ont aucune notion de sécurité routière ; de surcroît notre ami nous précise que le nombre d’accidentés de la route a atteint le niveau stupéfiant et colossal des tués de la guerre d’Indochine.

    Nous arrivons enfin, et là nous attend une agréable surprise. Notre nouvel ami, natif de Huè, nous a réservé une superbe chambre dans un hôtel situé juste au bord de la fameuse rivière des parfums. Nous prenons tous les matins notre petit-déjeuner sur la terrasse où nous pouvons contempler à la fois le paisible ballet des sampangs glissant paresseusement sur l’eau et l’interminable flot des vélos traversant l’historique pont Clemenceau construit par Eiffel. Surplomber cette magnifique ville, siroter un petit cocktail doucereux sous la caresse d’un vent amical semble quelque peu nous rapprocher du divin.

    Sans mobylette point de salut, mais pour des habitués du voyage c’est chose aisée, il faut juste arrêter un motocycliste lui expliquer la chose et un serrement de mains suffit à finaliser la négociation. Nous prenons dès lors la « mob » et convenons simplement d’un rendez- vous au même endroit pour la restituer, et jamais aucun de problème de confiance ne vient perturber cette opération.

    photo t.Beyne

    Nous partons alors pour de longues virées à travers la campagne vietnamienne à grande vitesse, à plus de 15 kms/h oubliant les limitations de vitesse. Des cimetières parsemés de tombes bleues et blanches s’alignent le long de notre route. Une chaleur accablante nous poursuit inlassablement malgré les kilomètres parcourus. Souvent nous nous arrêtons dans une gargote pour désaltérer nos pauvres gosiers asséchés et faisons la « une » des conversations. Un temple, une maison typique, des ateliers, tout nous fascine et sont comme des étapes indispensables à notre curiosité. Sans notre amie la mobylette, nous n’aurions jamais eu le plaisir et la possibilité de nous déplacer avec facilité et ainsi de pouvoir admirer de si jolis lieux inaccessibles aux touristes.

    Traverser le pont Clémenceau en deux roues est un moment de fort stress dû à la nuée ininterrompu des cyclo- pousses , mobylettes, motos, voitures, chariots et camions. Dans un flux presque magique, tout ce petit monde se croise, se suit inlassablement sans que le moindre incident. Ce genre de situation demande une grande expérience de la part du conducteur ou simplement une grande dose d’inconscience ; la peur et la réflexion seraient sûrement un facteur aggravant car trop réfléchir, dans ce cas de figure, aboutirait certainement à une chute brutale.

    Un grand marché avec ses lots de bibeloteries, fruits, légumes, nous accueille les bras ouverts. Nous nous y engouffrons comme éperdus de curiosité, nous frayant un passage parmi cette fourmilière de «  ao-daï » (tenues longues vietnamiennes) et de chapeaux coniques. Tenaillés entre le désir de tout voir et celui de s’arrêter pour déguster de délicieux plats, nous butinons de stands en stands savourant chaque instant avec volupté.

    Langoureusement notre embarcation descend la rivière des parfums à la recherche des temples enfouis, témoins impuissants d’une histoire longue et douloureuse.

    Il faut penser à partir vers Hanoï, la capitale coloniale, des enfants nous attendent déjà et attendent avec impatience la venue des 2 clowns.

    photo t.Beyne

    Illico presto, nous décidons de prendre un autocar non climatisé et aseptisé ressemblant plutôt à un drôle d’engin motorisé avec tous les autochtones et leurs les bagages en total excédent. Bonjour l’aventure, les arrêts pipi dans des lieux top pas touristiques mais beaucoup plus typiques donc plus intéressants, les dégustations « découvertes » dans des restos des plus folkloriques aux plats étranges aux consistances glauques, le bruit infernal et les lumières omniprésentes et coupantes comme des couteaux. Eve avait acheté un pantalon et comme par un étrange sortilège lancé par des gourous invisibles, celui ci présenté comme du pur coton, se met à gratter la peau comme une fourmilière. Impossible de résister à cette attaque en règle, cet assaut insupportable et dès lors une seule solution se présente : enlever cet oripeau maléfique. Devant le regard médusé des voyageurs, mais fort intéressé des hommes, Eve se défait de ce pantalon, et reste vêtue d’un simple slip. Un vrai spectacle est offert gratuitement et sans supplément à nos amis vietnamiens qui, pour la plupart, n’avaient jamais assisté à un tel effeuillage ; cet événement qui restera gravé a vie dans leurs souvenirs et sera certainement conté dans leur famille, générations après générations.

    Après un voyage mouvementé mais ma foi paisible, nous atteignons Hanoï vers les 5h30 du matin. La ville virevolte déjà dans un tournis de mobylettes, de camions et de vie généreuse. Nous découvrons cette ville attachante dans la chaleur matinale, des rues étroites, des étals en pleine ébullition et surtout cette odeur de Pho ( soupe tonkinoise au bœuf) qui nous titille délicatement les narines. Des attroupements autour des cuisines de fortune attisent brusquement notre appétit ; nous sommes ici au cœur de cette ville, berceau de cette soupe si populaire ici et exportée dans le monde entier dans tous les restaurants asiatiques. Enfin la soupe chaude est là dans un bol ébréché mais plein de promesses si agréables. Plus de 10 000 kms pour apprécier enfin ce pho dans son habit d’origine. Et dès la première bouchée nous nous apercevons que le goût est extrêmement différent, à la limite du « foutage de gueule », la déception s’abat sur nous comme la misère sur le monde. Rien à voir avec ce que nous avons l’habitude de déguster, sinon une vague ressemblance olfactive due vraisemblablement à l’ajout de 5 parfums. Effectivement ici le pho est un plat populaire où la viande est rare, grasse et les pâtes lourdes et nombreuses.

    Bientôt nous trouvons un hôtel dans lequel nous déposons nos valises et comme à notre habitude, après une rapide toilette, nous nous enfonçons rapidement dans la jungle cette ville grouillante. Notre mobylette nous mène dans les endroits les moins touristiques colorés et déroutants. De petites ruelles vivantes où pullulent des cyber-cafés et des restaurants familiaux.

    Nous rencontrons la responsable de la communication de Hoa- soa, école de cuisine réputée pour la formation hôtelière de jeunes enfants déshérités. Elle est très heureuse de notre venue et nous confirme tous les spectacles qui se dérouleront dans le cadre de leur lieu de formation. Des adolescents nous attendent de pied ferme, le visage fermé, et déjà prêts à nous réduire en pièces. Les attirer, les regrouper pour démarrer le show, est chose difficile, et bientôt ils sont tous là méfiants, sur la défensive. Le spectacle commence, la magie fait son œuvre, des foulards multicolores surgissent de nulle part, des boîtes apparaissent comme happés par la main des clowns, des ballons se transforment en animaux, le public se prend au jeu, enthousiasmé par tant de folie, rigole, et bientôt des sourires radieux illuminent les visages. Le pari est gagné, les barrières sont tombées après 45 minutes de lutte sans pitié, corps à corps plein de ruse et de gaieté.

    Pas de repos, nous prenons un taxi et traversons tout Hanoï et sa banlieue pour atteindre enfin après un trajet des plus pittoresques le fameux « village de l’amitié » créé par des ex- soldats américains affectés eux- même par le tristement célèbre et terrifiant « agent orange », dioxyne largement diffusé par épandage par l’armée US. Nous voulons absolument nous produire ici, afin de donner aux enfants un vrai petit instant de bonheur. Une salle de classe, des chaises, des enfants attentifs, et ma foi par trop sérieux, tel est notre lieu de spectacle. Ces enfants si terriblement atteints nous donnent ce sentiment de réaliser peut- être pour la première fois, quelque chose de réellement important et indispensable.

    En France, nous nous produisons toujours avec plaisir, mais cette fois ci, un sentiment de faire quelque chose de rare, nous permet de réaliser à quel point nous pouvons être « utiles ». Des rires fusent malgré la barrière da la langue, les gags provoquent des hilarités, la magie transporte hors du réel, et une fois de plus, le petit moment de rêve a pu balayer, l’espace d’un instant, des années de peine et de douleur. Notre plus belle récompense est de voir ces enfants aux yeux encore plein d’émotion, ces mains accrochées à nos habits de clown et qui ne veulent plus nous lacher. Je comprends aujourd’hui mieux le nom de ce lieu, « village de l’amitié ».

    Désormais les visites s’enchaînent, le mausolé de Ho- chi- ming, le musée de la guerre…Des rencontres avec le passé qui nous font revivre ce passé oublié mais encore si vivant dans le cœur des Vietnamiens.

    Nous avons un rendez- vous avec un ami qui vient de France et qui a la bonne idée de nous faire rencontrer un responsable du ministère de la culture. Nous voici dans le bureau de ce dernier qui après un thé de bienvenu, nous annonce avec emphase que notre proposition de nous produire au grand théâtre d’Hanoï l’intéresse au plus haut point. Après une visite des lieux, le haut fonctionnaire nous propose des places de choix pour une représentation des fameuses marionnettes sur l’eau. Marionnettes, voilà bien un spectacle qui ne nous ravie pas du tout, nous avons l’hantise de nous endormir en plein milieu de la représentation. Mais comment refuser une invitation si courtoise !

    Nous voilà avec nos billets devant ce haut lieu de la culture vietnamienne, une queue interminable de touristes nous précède et annonce une longue attente. Un employé du Théâtre nous interpelle comme si il nous connaissait, nous fait passer devant toute cette foule, nous fait pénétrer dans le hall, puis dans un bureau. Et bientôt celui ci, un membre du ministère de la culture, nous présente la directrice qui nous propose l’habituel thé de bienvenue. Un traducteur nous permet de mieux comprendre l’histoire de ce théâtre de marionnettes. Je regarde ma montre et me rends compte que le spectacle est déjà commencé. Aucune importance me soufflent t- on, car tout a été repoussé pour nous. Nous sommes enfin dans la salle où tous les spectateurs impatients attendent depuis près de 15 minutes ; l’on nous propose 2 places au premier rang, en plein milieu ; des regards interrogateurs croisent les nôtres, pour eux, nous sommes certainement des personnes de la plus haute importance . La terreur s’empare de nous, comment s’éclipser en « louzdé » si le spectacle de marionnettes est par trop soporifique. Une vraie gifle nous est infligée car non seulement nous nous endormons pas, mais pire nous adorons ce spectacle qui nous a réconcilié avec ce monde que nous paraissait vieillot et un peu « has been ». Un mini feu d’artifice, les lumières se rallument et devant les spectateurs médusés, l’on nous offre officiellement une marionnette afin de nous remercier d’avoir bien voulu venir assister à cette représentation.

    Après une telle aventure pas facile se retrouver dans la rue comme de simples touristes !

    Retrouver Saïgon n’est pas désagréable, mais simplement l’étape indispensable pour repartir à Paris. A peine arrivés dans l’avion, qu’une hôtesse demande à Eve si elle accepte de faire le voyage en « business », des photos d’une « européenne » seront prises pour la publicité de cette compagnie asiatique. C’était comme demander à un manchot de retrouver l’usage de son bras ! Installés dans de super fauteuils pour un rapide « shooting », nous avons vécu cette sinécure avec volupté.

    Escale à Teïpei, 2 heures d’attente, une galère en perspective s’annonce à grands pas. Nous pénétrons dans l’avion et là éclate une dispute entre passagers. Afin de résoudre le problème dans les plus brefs délais, l’hôtesse nous propose de céder nos places et malheureusement en contre- partie elle ne peut que nous proposer des places en « première ». La malchance nous poursuit de nouveau, des fauteuils top conforts et larges, un repas dans des couverts d’argent, un service aux petits oignons, rien que des désagréments. A peine réveillés que l’odeur d’un petit déjeuner délicieux nous titille déjà les narines. Effectivement ce n’est pas le même voyage qu’à l’aller.

    Une seule pensée nous hante, retourner au Vietnam, sillonner le pays et recommencer ce sympathique périple qui nous a nous a donné tant d’émotion et de souvenirs.

    J’avais oublié de vous dire, je suis d’origine vietnamienne et ce voyage m’a permis de retrouver un pays trop longtemps occulté par mes parents.

    Aujourd’hui nous préparons une autre tribulation vietnamienne avec des artistes sympathiques et l’impatience gagne déjà.

  • Carnets de voyage (photos d’Asie, Chine et Vietnam)

    Carnets de voyage (photos d’Asie, Chine et Vietnam)

     Carnets de voyage en Asie, souvenirs d’Asie

    • Carnets de voyage en Asie, souvenirs d’Asie

    Des photos de voyages au coeur de l’Orient, des souvenirs lointains aux couleurs passées, seront distillés avec tendresse pour nous faire vivre ou revivre des émotions extrêmes.

    Quelques photos …quelques moments d’évasion…



    Cavaliers (Wu- han, festival touristique/ Chine)



    Les 2 tours- Kuala lumpur/ Malaisie

    Marché flottant ( Thaïlande)


     boat.(Nga-trang/ vietnam)


    Entrée du parc ( Yu-Ci/ Chine).


    Delta du mékong ( My tho/ Vietnam)


    Echope ( Ping Yao/ chine).


     Aux alentours (Nga tran/ Vietnam).


    Marché aux poissons (hoï-an/ Vietnam).


    Bâtisse du Parc (Ping-Yao/ Chine).


     Sampang sur le Yang Tsé (Chine).


     Temple (bangkok/ thaïlande).


    Place Tien An men (Pékin/ Chine).


    La gare – Kuala lumpur/ Malaisie


    Eléphant de la cité Impériale (Hué/ Vietnam).


    Pagode (rivière des parfums/ Vietnam).

  • Conseils Bien-être pendant vos voyages.

    Conseils Bien-être pendant vos voyages.

    Asie santé et bien-être

    Conseils Bien-être pendant vos voyages

    Quelques techniques simples peuvent rendre le voyage plus agréable et atténuer ses effets néfastes sur l’oragnisme.

    Tout d’abord, veillez à porter des vêtements amples et confortables. Si vous êtes en voiture, arrêtez-vous et descendez du véhicule à intervales réguliers. Marchez pendant quelques minutes ; étirez vos bars au-dessus de votre tête et sur les côtés, et renversez la tête en arrière vers chaque épaule tout à tour. Soulevez et faites retomber les épaules plusieurs fois pour faire relâcher la tension à ce niveau.

    Dans l’avion ou le train, levez-vous et marchez dans le couloir de temps à autre. Toutes les demi-heures environ, faites des exercices de pieds et de jambes pour maintenir une bonne circulation.

    L’air des avions est sec et vos pieds et chevilles peuvent enfler. Dans ce cas, il importe de porter des chaussures confortables et à lacets de manière à ce qu’elles puissent s’élargir en même temps que vos pieds. Enfilez aussi des chaussettes qui ne serrent pas – ou, au contraire, des chaussettes de contention si elles ont été conseillées par votre médecin ou par la compagnie aérienne. Si vous avez retiré vos chaussures, rechaussez-vous un bon moment avant l’attérissage pour réhabituer vos pieds à leur port. Buvez beaucoup d’eeau pendant la durée du vol.

    Exercices de pieds pour le voyage.

    Garder les pieds en mouvement pendant un long trajet en avaion, en car ou en train réduit au minimum l’enflure et aide à atténuer les risques de thrombose veineuse profonde, une affection potentiellement mortelle. Vous devriez faire aussi les exercices éventuellement recommandés par la compagnie aérienne. La séquence suivante nécessite un coussin cervical gonflable.

    Retirez vos chaussures (et chaussettes si vous le désirez). pressez les talons contre le sol et soulevez les orteils. Tirez-les le plus possible vers vous ; vous devez sentir un étirement de la face antèrieure des jambes. Puis étirez les orteils dans l’autre sens, en les pressant fort contre le sol.

    Faites glisser vos pieds en mouvements alternés d’avant en arrière. Répétez cette manoeuvre de nombreuses fois, en commençant lentement puis en allant de plus en plus vite. Si vous faites cet exercice pieds nus, ne pressez pas trop fort, au risque de vous brûler les pieds sur la moquette.

    Gonflez un coussin appui-nuque aux trois quarts. Placez-le sous les pieds, puis pressez les pieds tour à tour comme si vous marchiez. Appuyez assez fort de manière à déplacer l’air d’un côté à l’autre à chaque mouvement. Pliez alors le coussin en deux et calez-le entre les plantes des pieds. En le maintenant en position, essayez de pousser les pieds l’un vers l’autre. le coussin partiellement gonflé offrant une résistance, cet exercice fait travailler les muscles des cuisses et des fesses. Vous sentirez aussi un étirement au niveau de l’abdomen. Relâchez la pression, puis poussez à nouveau plusieurs fois. répétez la séquence toute entière toutes les demi-heures de vol.

    Le magazine du massage-

  • Les bons conseil pour un voyage en Chine: Shanghaï

    Les bons conseil pour un voyage en Chine: Shanghaï

    SHANGHAI (Conseils et bons plans pour votre voyage en Chine)

    Shanghai est la ville de la vitalité et de la prospérité qui attire de plus en plus les yeux du monde. Centre économique de la Chine en partie grâce à son port, le plus grand du monde, la ville joue un véritable rôle de passerelle pour les étrangers qui veulent connaître et découvrir la Chine. Métropole où modernisme et tradition se côtoient dans un style propre à la culture chinoise, Shanghai offre de nombreuses facettes aux visiteurs qui souhaitent la découvrir. Ainsi non loin des magnifiques grattes-ciel du quartier du Bund et de la Tour TV de la Perle orientale vous pourrez contempler le Temple de Jade d’où s’élève la fumé des bâtons d’encens, les vieilles rues de la ville pleines de charme, de couleurs et d’odeurs, la cathédrale de Xujiahui et ses mélodies de psaumes, la rue de Nanjing bordée de magasins plus luxieux les uns que les autres et bien d’autres merveilles ici et là.

    Géographie : 
Shanghai se situe au centre de la côte est de la Chine sur les bords de l’océan pacifique dans la plaine fluviale de la rivière Yangze. La ville tire son nom d’une autre rivière nommée Shanghaipu, un bras du fleuve Wusong

    Superficie et population :
Shanghai s’étend sur 6340 kilomètres carrés pour une population de plus de 18,2 millions d’habitants. Compte tenu du rôle de plus en plus important de la ville dans l’économie mondiale, les sociétés du monde entier n’hésitent plus à s’y implanter d’où un nombre très élevé d’expatriés occidentaux.

    Transport :
L’aéroport de Pudong se situe à une quarantaine de kilomètres au Sud de Shanghai tandis que celui de Hongqiao est quasiment au coeur même de la ville. Il est très facile de se déplacer vers toutes les grandes de villes chinoises depuis Shanghai grâce aux différentes lignes de trains ou de bus et aux deux aéroports. 
En plus des taxis, des vélos et des différentes lignes de bus, la ville est également équipée de deux lignes de métro et d’une sorte de RER aérien.

    Climat : 
Shanghai a des étés chauds et pluvieux tandis que les hivers y sont froids et secs. Avec des températures moyennes oscillant entre 25 et 32°C, le mois de juillet est de fait le mois le plus chaud de l’année . A contrario, le mois de janvier y est le plus froid avec des températures, certes rarement négatives, mais ne dépassant pas les 8°C. Le niveau de précipitations annuelles peut s’élever jusqu’à 1100mm. Le mois de juin y est particulièrement humide tandis que décembre y est sec. L’été et l’automne peuvent être synonymes de typhons dans la région.

    LES SITES TOURISTIQUES

    La cathédrale de St Ignatius La cathédrale St Ignatius ou cathédrale Xujiahui est une cathédrale romane catholique vieille d’un siècle d’histoire. C’est la plus grande église catholique de Shanghai. Elle est située dans le quartier de Xujiahui, au Nord du stade de la ville.


    La tour Jin Mao est un symbole de l’architecture de Shanghai en route pour le
    XXIme siecle. C’est le plus haut immeuble du pays et le 5eme dans le monde, et abrite Hotel le plus haut place au monde.


    La tour de la perle orientale Surplombant de haut le quartier de Pudong. La tour TV de la perle orientale est devenue le point de repère de Shanghai. La tour, haute de 468 mètres, est la tour de télécommunication la plus élevée d’Asie et la troisième dans le monde, après celle de Toronto de 553,33 mètres et celle de Moscow de 533 mètres.


    Le musée de Shanghai Le musée de Shanghai fut établi en 1952 et déplacé 2 fois avant de trouver sa place actuelle définitive en 1996, au Sud de la Place du Peuple. Plus de 120 000 travaux artistiques rares et précieux, classés en 21 catégories, font de ce musée la plus importante institution culturelle de la ville.


    La rue de Nanjing La rue de Nanjing est l’une des rues commerciales et touristiques les plus importantes de Shanghai, qui s’etend du Bund a Yanan Xilu. C’est une excellente place pour decouvrir l’histoire et la culture de Shanghai.


    Le jardin de Yuyuan Le Jardin de Yuyuan est situé dans le centre du vieux Shanghai, non loin du Bund. Avec une surface d’environ 2 hectares, il y a plus de 40 choses à voir dans les jardins intérieurs et extérieurs, tous les deux construits dans un style classique Ming.


    Le temple des Bouddhas en jade Le temple des Bouddhas en jade est un temple en activité possèdant 70 moines, ces derniers vivant dans la dernière cour. Il fut construit entre 1911 et 1918 dans le style de la dynastie des Song, avec des halls et des cours intérieures symétriques, des auvents inversés et des murs jaunes safran.


    Le Palais des enfants Le Palais des Enfants est un endroit intéressant à visiter où vous pouvez admirer les superbes performances des enfants. C’est une sorte d’école privée où les enfants privilégiés viennent après l’école normale.


    Le village ancien de Qibao Situé à environ 18 kilomètres du centre de Shanghai, l’ancien village de Qibao est un sanctuaire spirituel, libre d’embouteillages, de pollution et de bruit qui sont les fléaux de la plupart des villes modernes où nous vivons.


    Le Bund Le Bund également appelé la Rue Zhongshan, est situé sur la rive ouest de la rivire Huangpu face la nouvelle zone de Pudong. Le Bund fut considéré comme le symbole de Shanghai pendant des centaines d’années, d’une longueur de près d’un kilomètre et demi est une destination touristique populaire. Le Bund est la partie culturelle de la ville qui représente le mieux le mélange des influences anciennes et modernes.

    Pour plus de renseignements www.voyages-chine.com

  • Le goût du thé, un cérémonial ancestral au Japon

    Le goût du thé, un cérémonial ancestral au Japon

    Carnet de voyage au Japon

     Carnets de voyage en Asie

    Dans de nombreux endroits au Japon, une tasse de thé vous sera offerte car, de sa forme la plus simple à sa forme la plus complexe et théorisée, un o-cha est avant tout symbole de convivialité et de partage. A votre arrivée dans un ryokan ou un minshuku, ou en visite chez quelqu’un, on vous apportera en tout premier lieu une tasse de thé accompagnée d’une friandise. Dans certains temples, vous pourrez prolonger l’état méditatif provoqué par la contemplation du jardin par la dégustation d’un matcha (thé en poudre utilisé pour la cérémonie du thé, et qui sera fouetté dans de l’eau chaude et non infusé) et d’une sucrerie. Ou encore, vous pourrez participer à l’une des initiations donnés aux visiteurs étrangers visant à leur permettre d’appréhender cette cérémonie.

    Cette boisson a été introduite au Japon vers le 8e siècle par les moines bouddhistes venus de Chine. Elle a d’abord été utilisée par ce clergé pour ses vertus stimulantes lors des longues méditations. Mais très rapidement, le thé japonais se démarqua du modèle chinois pour développer son goût unique à la délicieuse amertume. Le thé japonais traditionnel est un thé vert (c’est-à-dire non oxydé) classifié selon la période de récolte. Les meilleures feuilles réduiteen poudre sont utilisées sous le nom de matcha pour la cérémonie du thé. Le matcha le plus réputé est celui produit à Uji, au sud de Kyoto. Bien évidemment, il existe de nombreux « crus » de thés, en fonction du lieu de production, du domaine et de la récolte, dont la connaissance se révèle aussi pointue que l’œnologie.

    La cérémonie du thé, chanoyu (littéralement « l’eau chaude du thé ») ou sado (« voie du thé »), est la quintessence de la culture japonaise. C’est un moment où le meilleur de chaque chose est mis en œuvre : des invités de choix, un jour où la beauté de la nature environnante est à son apogée, une peinture ou une calligraphie décorant le mur choisie non seulement pour ses qualités artistiques mais aussi pour son adéquation au moment, une composition florale délicate, les plus beaux bols et, bien sûr, le meilleur thé réalisé avec les instruments les plus parfaits et les ingrédients (thé et eau) les plus subtils. Cette cérémonie se doit de respecter quatre principes essentiels : harmonie, respect, pureté et sérénité. Suivant ces principes, le beau est synonyme de simplicité et de naturalisme à travers des objets « bruts » ou des pavillons de thé dont le dépouillement et l’exiguïté étonnent souvent le visiteur.

    La cérémonie du thé a été formalisée par le grand maître Sen-no-Rikyu au 16e siècle, dont la vie et la fin tragique ont été romancées par Yasushi Inoue et portées à l’écran dans le film La mort d’un maître de thé. C’est à Kyoto que l’on pourra marcher sur ses pas en visitant le temple de Daitoku-ji, dont il était disciple et où se trouve sa tombe. Il en a également aménagé plusieurs pièces, ainsi que le jardin du temple Chishakuin. Au sud de Kyoto, dans la ville de Oyamazaki, se trouve dans le temple de Myokian le pavillon de thé construit par Sen-No-Rikyu, qui présente la quintessence de sa pensée. Ce pavillon est aujourd’hui classé Trésor national. Un autre grand maître de thé, Kobori Enshu, a quant à lui conçu plusieurs jardins à Kyoto, dont celui du parc du Palais impérial de Kyoto, du palais Sento, ou du temple Nanzenji. Mais « l’esprit du thé » se développe dans bien d’autres endroits, et vous pouvez notamment le retrouver dans les villes historiques comme Kamakura, près de Tokyo, ou Kanazawa, sur la mer du Japon.

    Mais revenons à des aspects beaucoup plus prosaïques. Dans tous les cas, que ce soit dans une cérémonie ou pour un simple bol de thé partagé avec votre hôte ou des amis, ne demandez ni sucre ni lait ni citron, vous seriez regardé comme un extra-terrestre. Souvent, un gâteau vous est offert avec le thé, parfois extrêmement sucré et relativement neutre en saveurs comme celui servi avec le matcha. Si vous le mangez avant de boire votre thé, il vous apportera un goût sucré en bouche qui annihilera l’amertume ressentie. D’autre part, les personnes sensibles doivent faire attention à ne pas consommer de thé vert en soirée, car sa très forte teneur en vitamine C peut avoir des effets sur le sommeil. Par contre, le hoji-cha (thé vert grillé, très peu astringent et très pauvre en théine) ou des infusions comme le mugi-cha (graines d’orge) ou le soba-cha (graines de sarrasin), souvent servis à la fin du repas, peuvent être consommés à volonté.

    Une expression souvent utilisée dans la cérémonie du thé, mais englobant plus largement toute dégustation de thé, est ichigo ichie, soit « une fois, une rencontre ». Elle signifie que chaque rencontre autour du thé est l’occasion d’éprouver quelque chose qui ne se reproduira peut-être plus jamais. Carpe diem dans un breuvage vert !

    Office de tourisme national japonais Ikuko NAGAO Adresse : 4, rue de Ventadour 75001 Paris FRANCE Tel (direct):0142962961

  • BO BUN, Recette vietnamienne,  Cuisine vietnamienne

    BO BUN, Recette vietnamienne, Cuisine vietnamienne

    BO BUN NEMS OU BO BUN aux pâtés impériaux (Vietnamese cuisine, Vietnamese recipe)

    Recette vietnamienne

    Cuisine vietnamienne

    Bo bun nems (cuisine vietnamienne, recette vietnamienne)

    Pour 8 personnes

    LES PÂTÉS

    INGREDIENTS pour 16 petits pâtés

    2 côtes de porc dans l’échine et hachées
    1 grosse carotte rapée
    1 gros oignon coupé en morceaux très petits
    quelques champignons noirs découpés finement (facultatifs)
    1 oeuf
    Une grosse cuillérée à soupe de sauce de poissons (Nuoc mam)-
    Galettes de riz

    PRÉPARATION 

    Bien mélanger le tout pour en faire une farce, tremper les galettes entièrement dans de l’eau légèrement sucrée (pour caraméliser), retirer et les déposer sur la table.
    Mettre la farce dans la galette (voir nos petits trucs) les rouler.
    Mettre de l’huile, attendre qu’elle chauffe et y déposer les pâtés… les surveiller et les retourner si nécessaire. Une étape délicate car il y a un risque que la galette craque ! Nous essayerons de vous donner des « trucs » pour la cuisson.

    LE BO BUN

    INGREDIENTS

     1kg de viande à fondue
    500g de vermicelles de riz

     ½ paquet de citronnelle congelée

    8 feuilles de salades coupées en ficelles

    8 poignées de germes de soja frais
    1 concombre coupé en ficelles
    Feuilles de menthe coupées en ficelles
    1 gros oignon coupé en lamelles
    Sauce de poisson ( nuoc mam)
    Cacahuètes pilées
    Huile

    PREPARATION

    LA PRÉSENTATION FINALE

    Dans un grand bol mettre d’abord toute la verdure, puis les vermicelles, la viande, les oignons, les cacahuètes, la sauce de poissons (nuoc mam) et rajouter l’huile réservée par la cuisson de oignons. Découper les pâtés en 3 et les déposer au dessus.

  • VISITER LES NOMBREUSES MERVEILLES DU JAPON

    VISITER LES NOMBREUSES MERVEILLES DU JAPON

    Japon, Sanctuaires, temples et jardins

    Sanctuaires, temples et jardins

    Temples aux toits d’or, temples d’une pure simplicité, sanctuaires respirant la tranquillité et jardins d’un absolu raffinement… Lesquels préférerez-vous ?

    Somptueux temples bouddhistes côtoyant d’autres qui incarnent la quintessence d’une élégance architecturale discrète par la suppression de la plupart des éléments décoratifs. Sanctuaires Shinto majestueux et paisibles nichés dans la verte pénombre d’un bois… Il y a tout cela au Japon. Ils surgissent des lieux les plus inattendus, et certains se cachent même dans les villes les plus imposantes comme Tokyo ou Osaka. La construction d’un grand nombre d’entre eux remonte à près d’un millier d’années. Le Shinto, l’ancienne religion indigène qui est restée ancrée dans le territoire japonais, centrée sur le culte des ancêtres et l’harmonie avec la nature, coexiste avec le Bouddhisme qui, arrivé du continent asiatique au sixième siècle, enseigne l’éveil spirituel et le salut grâce au renoncement et à l’ascèse. Shinto et Bouddhisme restent fondamentaux pour les Japonais contemporains et sont toujours des sources d’inspiration culturelles et esthétiques.

    Mis à part les édifices eux-mêmes, les images bouddhiques qu’ils contiennent et les jardins des temples sont à eux seuls de splendides œuvres d’art. Les jardins japonais sont connus dans le monde entier pour reproduire avec un raffinement sans égal toute la beauté de la nature dans le cadre d’un espace limité. Asseyez-vous sur la véranda d’un temple et oubliez le temps en vous plongeant dans la contemplation du jardin. Rien n’est plus simple alors que d’oublier la réalité et de savourer l’exquise lenteur que prend le temps. Depuis les temps anciens, les pèlerinages organisés dans les temples et les sanctuaires ont été pour les Japonais un loisir apprécié et sont en fait précurseurs du tourisme d’aujourd’hui. C’est une expérience sans égale qu’il vous faut goûter.

    A visiter

    Temple Kinkakuji « … Mon père, qui était un prêtre bouddhiste de la campagne et qui était économe de ses mots, avait l’habitude de me dire que rien, dans ce bas-monde, n’égalait la splendeur du Kinkakuji. » (extrait du Pavillon d’Or, roman du célèbre écrivain Yukio Mishima)

    Kyoto-Nara

    Le Grand Bouddha de Kamakura Cette statue du Grand Bouddha symbolise dans le monde entier l’ancienne capitale, Kamakura.

    Tokyo et ses environs

    Le Jardin Est Ce jardin japonais traditionnel, situé dans l’enceinte du Palais Impérial, est ouvert au public. L’entrée est libre.

    Tokyo et ses environs

    Temple Ryoanji Le Ryoanji est renommé pour son « jardin paysager sec », mieux connu sous le nom de « jardin de pierre » et qui donne, grâce à un arrangement de rochers et de sable blanc, une représentation symbolique de la nature.

    Kyoto-Nara

    Article paru sur le site de » l’Office National du Tourisme Japonais »

    Office de tourisme national japonais

    Ikuko NAGAO

    Adresse : 4, rue de Ventadour

    75001 Paris FRANCE

    Tel (direct):0142962961