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  • Asie images d’hier et d’aujourd’hui ou le durian une odeur indéfinissable.

    Asie images d’hier et d’aujourd’hui ou le durian une odeur indéfinissable.

    J’adore flâner dans les petites ruelles de Chine, là où est la vie, où vit le brouhaha des cyclos et des gens. J’aime à la fois ces quartiers pas encore aseptisés qui ne demandent qu’à exister.

    Je regarde avec toujours autant d’étonnement ce foisonnement d’étals aux couleurs chamarrées. Des odeurs de fruits exotiques mêlés de fritures. Certains seront, j’en suis persuadé, dégoûtés par ces mixtures d’odeurs et d’autres trouveront comme un air d’exotisme arriver à leurs narines.

    C’est sûr  parfois il arrive que la chaleur donne à ces effluves un semblant de torture chinoise mélangeant avec avec finesse douceur et relents désagréables.  Vous avez dit odeurs, odeurs de Chine et bien vous n’êtes pas les premiers et les derniers touristes occidentaux à me parler de souvenirs déroutants. Sauce de poissons qui vous grattouille désagréablement le nez, poissons fermentés qui vous agressent sans délicatesse ou même odeurs inconnues qui soulèvent le dégoût.

    Voyager en Asie est un voyage au pays des odeurs à la fois sensuelles et délicates mais aussi déroutantes car étranges. Mais connaissez vous ce fruit apprécié en Chine, au Vietnam, en Thaïlande: le durian … Eh bien celui ci dégage une odeur des plus repoussante, mélangeant le beurre rance et la douceur d’un caramel suave. Difficile à expliquer car il faut essayer.

    Et maintenant 3 anecdotes sur le Durian.

     

    1- Ma maman , une gourmande, acheta un jour un durian de qualité, un durian doit sentir mauvais, elle le fit emballer de plusieurs sacs en plastique afin d’occulter les odeurs qui pour elles sont délicieuses. Armées de cette armure anti-odeur voilà ma maman qui se faufile dans le bus. Timide, taille 1m50, elle trouve enfin sa place. De nombreux yeux peu sympathiques la fixent tous dans le bus regardent ma mère avec un air des plus agressif car le parfum exotique malgré l’emballage s’est propagé dans tout le bus. Ma maman lève alors les yeux vers les autre voyageurs et dit en riant jaune, très gênée, la tête dans les épaules: « ça sent mauvais mais c’est  bon ».

     

    2- Sur l’île de Langkawi en Malaisie à l’entrée d’un hôtel de luxe il y avait ce panneau: « Interdit aux chiens et au Durian ».

    3- Afin de nous faire plaisir, une commerçante vietnamienne nous mit dans la bouche du durian et l’une de mes amies hurla et rejetant le met « délicat », elle éructa: » ça pue, c’est dégueulasse, on m’a fait manger de la merde ». Le durian ce fruit apprécié dans toute l’Asie mais c’est un vrai sacrilège!

     

     

  • J’ai quitté le Vietnam comme boat- people, je suis revenu en avion

    J’ai quitté le Vietnam comme boat- people, je suis revenu en avion

    Carnets de voyage en Asie, Vietnam

    Une si longue absence.

    J’ai quitté le Vietnam comme boat- people

    Je m’appelle Manh et je viens de bien loin et je retourne au Vietnam. Vos yeux ne peuvent ni voir, ni entrevoir les paysages, les bonheurs et les angoisses enfouis dans le plus profond de mon être.

    Par une nuit sans lune, la peur au ventre, maman et papa nous abandonnèrent avec plus de soixante personnes à la recherche d’un avenir rempli de plus d’espoir. Je ne le savais pas encore, mais 12 ans allaient nous séparer ce soir là.Deux coques de noix aux moteurs poussifs nous éloignèrent de la côte et bientôt nous ne vîmes que l’ombre blafarde de notre pauvre pays que la guerre avait si profondément transformé. Deux sœurs et un frère, une famille éparpillée, loin des parents , sans famille, juste des rescapés sur cette mer d’huile . Nous étions devenus des « Boat people » au regard hagard, ballottés par un mal de mer omniprésent, attendant une aide incertaine. Au milieu de nulle part, nous scrutâmes l’horizon pendant 4 jours et 3 nuits.

    Rencontrer la marine vietnamienne et le carnage aurait été au rendez- vous, croiser un pavillon étranger et la délivrance nous aurait tendu les bras.

    Heureusement j’avais le pied marin ! Je me rappellerai toujours de cette année 1981 où j’ai quitté mon pays sans savoir si un jour,mes pieds pourraient à nouveau, fouler le sol de mes ancêtres. Le moteur de l’autre bateau rendit l’âme sans complexe, immobilisant plus de 30 personnes. Un remorquage périlleux nous permit de continuer ensemble ce si douloureux voyage.

    Soudain, nous vîmes un bateau à l’horizon et nos cœurs se figèrent empreints d’espoir, de fatalisme et d’angoisse. Étaient- ils des amis ou des ennemis, de l’espoir ou de l’horreur, un renouveau ou une fin tragique ? Une accablante et troublante incertitude s’empara de nous, enserrant notre ventre comme une tenaille mortelle, nous ne respirions plus. L’embarcation s’approcha, le temps était suspendu et soudain l’un de nous éructa un cri de joie libérateur, nous comprîmes aussitôt que l’avenir nous tendait à nouveau les bras. Nous n’en crûmes pas nos pauvres yeux fatigués, lassés mais heureux, le pavillon Français, le drapeau de tous les espoirs flottait là, fier et libérateur.

    Deux mois d’attente dans un camp chinois de Hong-Kong, deux mois de brimades, deux mois où tous nos espoirs se tarissaient dans un méandre de questions sans réponse. J’avais la certitude que les chinois n’appréciaient pas les vietnamiens et qu’à la moindre occasion, ils les brimaient malgré qu’ils fussent leurs « gérants officiels », frontière entre le passé et l’avenir. Je me souviens qu’un jour adossé à une vieille voiture abîmée par le temps, j’attendais, comme tous les jours, l’appel quotidien de tous les « boat people », en rêvassant, quand soudain l’un des gardiens chinois vociféra des menaces m’accusant, moi un enfant de 1O ans d’avoir cabossé la carcasse en m’appuyant dessus. Je dus me défendre de ces accusations injustes et déloyales.

    La sentence tomba, j’étais affecté, pour cet acte odieux, délibéré et plein de haine contenue, à la corvée déhonorante du nettoyage des wc.

    Selon les conventions internationales de l’époque, la France, nous ayant recueilli à bord de l’un de ses bateaux, avait le devoir de nous donner asile dans leur pays. Je rêvais d’Amérique et je me retrouvais soudain plongé dans le centre de la France, à Châteauroux dans un autre camp de réfugiés. J’y suis resté plus de 13ans, 13ans à attendre, étudier et espérer un avenir meilleur. Puis je suis monté à Paris.

    Le retour au Vietnam

    Aujourd’hui, je viens d’obtenir ma nationalité française et une page de mon histoire se tourne. J’ai très envie de revoir le Vietnam pour retrouver un peu de ce passé qui reste collé à ma mémoire. J’avais quelques appréhensions, repartir pour découvrir un pays changé, si éloigné de mes souvenirs, cela me rendait hésitant et fort mal à l’aise. J’avais juste peur de ne plus aimer le Vietnam, car j’étais devenu une « entité hybride » partagée entre ici et là- bas. Ma décision était prise, il me fallait revoir malgré tout, ce pays qui me manquait tous les jours un peu plus. Dans l’avion qui me menait, ma sœur et moi, vers cet « inconnu si familier », s’entremêlaient, s’entrechoquaient sans cesse des images, des souvenirs, des rires et des pleurs . L’avion enfin dans un crissement de pneus s’immobilisa sur la piste.

    Fébriles nous descendîmes et pénétrâmes dans le grand hall de l’aéroport international. Je fus soudain pris de panique quand je vis l’uniforme du fonctionnaire des douanes, mon corps tout entier frémit, mes jambes se dérobèrent sous moi et mes mains tremblèrent. Ma sœur, s’apercevant immédiatement de mon émoi incontrôlable, me glissa à l’oreille qu’il était plus prudent de ne pas se faire remarquer et d’éviter ainsi, toute difficulté. Je dus m’exécuter comprenant fort bien le bien fondé de ses appréhensions. La rue m’accueillit brutalement dans une farandole de couleurs joyeuses, d’odeurs exotiques, de klaxons stridents, d’images rayonnantes et surtout d’émotion. J’étais revenu chez moi, j’étais rentré à la maison après 25 ans d’absence et d’attente. Je compris immédiatement que les liens étaient restés intacts, forts et qu’ils avaient résistais aux attaques du temps. Rien n’avait vraiment changé, Saïgon égale à elle-même, demeurait cette ville bruyante, sale, speed, irrespirable mais si vivante.

    La cathédrale se tenait là imperturbable mais envahie par des centaines de touristes harassés de chaleur, la poste, incroyable vestige colonial, ressemblait plus à un musée qu’au local des PTT. Mon cousin, l’un de mes innombrables cousins, nous guida à travers la ville pendant ces quelques journées d’euphorie et de redécouverte où le connu côtoyait sans cesse l’étonnement. Il nous dénicha les meilleurs restaurants. Je retrouvais les senteurs si particulières des plats typiques enfouis au fond de moi. Quand avec le temps notre culture s’estompe, il nous reste encore et toujours le goût de la nourriture, et tous les déracinés vous le diront sans détours. J’hésitais parfois à déguster du chien, du serpent ou du rat car mon éducation française, aseptisée, m’en empêchait. J’avais peur de tomber malade. Peut-être qu’avec le temps… ! Un petit tour au musée de l’ancien palais présidentiel, resté dans son jus depuis la chute de Saïgon, me laissa pantois et me rappela aussi les moments difficiles.

    Direction Lagi située à 180 au nord de Saïgon, le village où j’ai vécu. Ma grande sœur se tenait là, attendant avec impatience notre arrivée, mais ne me reconnut point. Moi-même je dus faire des efforts pour mes innombrables cousins et neveux. Je m’étais préparé depuis fort longtemps à ces retrouvailles si poignantes, à cette joie jubilatoire, ainsi aucune larme ne coula sur mes joues. Le voisin, un ancien ami, s ‘est approprié toutes nos terres…Le temps, la guerre, les paysans, la méthode ancestrale de pêcher,les paysages à couper le souffle, mes amis, la maison familiale rien n’avait changé et tout avait changé. Le vent de l’histoire a dévasté nos cœurs et laissé comme une trace de nostalgie imperceptible, pas de haine seulement de l’émotion à fleur de peau.

    Nous sommes restés 10 jours dans ce village de pêcheurs, une population déplacée, originaire du centre et installée ici depuis de nombreuses générations. Papa aimait y pêcher avec ses fils malgré une mer démontée et des vagues de 12m. Rien ne lui faisait peur, moi si. Cela me fait rire aujourd’hui, mais j’ai bien failli me noyer un peu trop souvent durant ces années de bonheur .

    Et nouveau départ vers Quang Ngai, lieu de ma naiossance, plage paradisiaque, authentique, et située à 150 kms de Hué. C’était, à l’époque une base aérienne des forces américaines. Et des histoires de guerre poignantes et effrayantes consument encore aujourd’hui mon esprit. Il avait été établi un couvre-feu après le départ des américains et une famille entière de sourds, n’ayant pas eu connaissance de l’interdiction par les autorités du fait même de leur infirmité, furent mitraillés et déchiquetés dans un carnage sans nom. Ils partaient pour une simple sortie en mer,où ils ne pêchèrent que la mort.

    Une promenade, un recueillement sur la tombe de mes grand- parents, une cérémonie d’offrandes, un petit tour en bateau rond typique, une dégustation de fruit Jacquier ou de raviolis à la vapeur, furent les activités principales de ces 10 jours.

    J’y ai retrouvé mon tonton Chu Nam dont je suis très proche et qui me le rend bien d’ailleurs. Bizarre, bizarre, je me suis toujours dit qu’il ressemblait étrangement au président J.F Kennedy.

    Parfois j’ai l’envie de me retrouver seul car je suis trop entouré, trop sollicité. Quand je vais au resto tout le monde veut m’accompagner et je règle l’addition. Pas que cela me coûte, mais bientôt cette situation est dérangeante et j’explique à ma famille qu’ en France je ne suis point un nabab. Mais le message passe souvent mal et la gêne s’installe. Tout le monde, ici, a cette impression que je suis un homme riche, parvenu à un niveau social extrêmement élevé et n’ayant surement aucun problème d’argent. Comment peuvent-ils imaginer, que je ne suis qu’un simple travailleur, endetté et payant des impôts ? Ce « statut » ambigu s’est révélé être le problème constant de tous les « viets- k » (les viets de l’étranger).

    Nous sommes heureux de partir « seuls » en mini- bus vers le centre, à la découverte de Hué. Nous y rencontrons un fort sympathique cyclo- pousse qui nous fait découvrir avec bonhomie, tous les trésors de la ville impériale ? Quatre jours de légèreté, de totale liberté dans un charmant petit hôtel climatisé et peu onéreux (7 dollars/ nuit ).

    Un mois, c’est vraiment trop court car nous n’avons visité que la moitié du pays, l’occasion de revenir bientôt pour d’autres aventures. Le départ est proche, nos valises pleines de cadeaux et nos yeux remplis d’images fabuleuses, nous rentrons avec le sentiment que très prochainement nous reviendrons.

    Je m’appelle Manh, et je ne veux plus repartir, je rêve de rester vivre ici, au Vietnam, dans ce pays où qui m’attend déjà.

    Vietnam je t’aime, Vietnam j’ai besoin de toi, V tu m’a manqué, Vietnam, Vietnam!!!

    Contact MANH Carnets de voyage en asie

  • Changer sa vie

    Changer sa vie

    Comment changer sa vie, témoignage: pour se sentir vivante

      Changer pour se sentir vivante

    Comment changer sa vie

    Niveau de difficulté : 

    Véronique , Avignonvietnam carte

    Qu’avez-vous changé de votre vie ?

    J’ai tout changé. Après de nombreux changements de métiers, de régions, voire de pays, j’ai décidé de quitter le statut confortable de salarié (ingénieur avec un bon poste) pour me lancer en indépendant. Et puis surtout réaliser mes vrais envies. D’abord un grand voyage dans les traces de Garnier le long du Mekong de la Chine au Vietnam prévu en octobre 2008. Ensuite de la prospection pour travailler à mon compte.

    Quand et pourquoi avez-vous pris cette décision ?

    L’envie était latente depuis que j’ai commencé à travailler il y a 20 ans. Issue d’un milieu modeste et après avoir financé mes études, il fallait bien bosser pour rembourser les emprunts. Alors j’ai trouvé un job et j’ai grandi professionnellement me faisant une expérience dans différents domaines pour, un jour, monter ma propre entreprise. Au printemps 2007, à 42 ans, le ras bol des chefs et des structures lourdes m’a fait passé le Cap. Décision évidente mais pas facile quand on vit seule et qu’il n’y a personne d’autre pour assurer les dépenses du quotidien.

    Décrivez les difficultés ou les joies que vous avez rencontrées ?

    Le doute, toujours le doute non pas sur le choix mais sur les chances de réussite. Aucun regret, j’ai fait ce que je voulais faire mais avec un tel espoir de réussite que l’échec serait très dur à vivre. Il se traduirait par un retour dans une entreprise. Je n’en suis pas encore là et j’ai à minima un an pour évaluer mes chances et réussir.

    Quel bilan tirez-vous aujourd’hui de cette décision ?

    On verra dans un an.

  • Trân Thu Vân, finaliste au Prix Marcel Duchamp 2018

    Trân Thu Vân, finaliste au Prix Marcel Duchamp 2018

    Message du réalisateur Lam Lê avec entretien joint avec l’artiste peintre et sculpteur d’origine vietnamienne Trân Thu-Vân (Thu-Van Tran) qui expose cinq nouvelles oeuvres jusqu’au 31 décembre 2018 au Centre Pompidou :

    ‘Courez-y voir avant le 31 décembre 2018.

    Elle s’appelle Trân Thu Vân, finaliste au Prix Marcel Duchamp 2018.

    De par la matière provenant des plantations d’hévéas du Sud-Vietnam d’où elle vient, qu’elle utilise dans ses oeuvres monumentales, c’est une artiste post-coloniale à souhait. 👍👍👍’

    Lien vers la vidéo de l’entretien : https://m.youtube.com/watch?feature=share&v=MQBB4q3BNiU

    – Plus d’informations sur cette exposition et cette artiste danshttp://www.paris-art.com/mohamed-bourouissa-clement-cogitore-centre-pompidou-paris-prix-marcel-duchamp-2018/

  • Eve-Elisabeth Martin hypnothérapeute: le blues des fêtes de fin d’année

    Eve-Elisabeth Martin hypnothérapeute: le blues des fêtes de fin d’année

    Blues des Fêtes de fin d’année

    Les fêtes de fin d’année parfois une épreuve à surmonter.

    Jetez un œil à cette vidéo

    Comment imaginer Noël ou le nouvel an sans apprécier les rires des enfants et la bonne humeur!? Il est vrai que pour 1 occidental sur 2 ces fêtes de fin d’année donnent lieu à une véritable déprime!

    • peur de se sentir encore plus seul que d’habitude

    Comment imaginer être seul au milieu de sa famille, se sentir isolé quand l’on est entouré et broyer du noir dans de telles circonstances…

    • appréhension à l’idée de retrouver sa famille et replonger dans un système révolu dont on a réussi à échapper avec le temps

    Ces fêtes souvent exacerbent des sentiments enfouis que nous avons jusqu’ici pu noyer dans le tumulte d’une vie trépidante et aujourd’hui à la lumière d’une joie collective voilà qu’ils resurgissent comme attirés par la lumière et l’ambiance festive.

    • être confronté à la réalité du temps qui passe avec un bilan de sa vie

    On se rappelle qu’on était enfant et que cette période d’insouciance a disparu à jamais, que nous sommes comme happés par l’engrenage de la vie et que nous ne maîtrisons plus rien. La vie rêvée s’est éloignée de nous et nous nous rendons compte que, peut-être tout nous échappe, la réussite, l’amour, notre envie de voyager, nos espoirs d’enfant.

    Eve-Elisabeth Martin Hypnose et PNL

    MCFV

     

  • Nam Trân à la Galerie Art’et Miss (Paris 3e)

    Nam Trân à la Galerie Art’et Miss (Paris 3e)

    Du 29 novembre au 24 décembre 2018, exposition des peintures de Nam Trân à la Galerie Art’et Miss (Paris 3e). Vernissage samedi 8 décembre (18h-20h).

    INVITATION

    Sur le thème « PETITS FORMATS », Nam Trân présente,  avec une quinzaine d’autres artistes, quelques nouvelles créations sur toiles pour les

    Fêtes, à la galerie Art’et Miss située au coeur du Marais de Paris.

    L’exposition se déroule du 29 novembre jusqu’au 24 décembre 2018.

    L’entrée est libre aux heures d’ouverture de la Galerie.

    Voici une photo d’un tableau de Nam Trân intitulé « Marécages » :

     

     

    Sur l’invitation jointe sont indiquées les informations détaillées ci-dessous.

    Lieu d’exposition et horaires :

    Galerie Art’et Miss : 14, rue Sainte Anastase- 75003 PARIS

    Tél. 01 84 84 17 59 17- artetmiss14@gmail.com

    Horaires : du mercredi au samedi : 12h-19h – dimanche : 14h-18h

    Vernissage : samedi 8 décembre 2018 de 18h à 20h.

     

    Plus d’informations :

    – Pour accès à la Galerie :

    Métro : Saint-Paul ( ligne 1), Chemin Vert ( ligne 8 ) suivre fléchage vers Musée Picasso

    Bus : 29, 96, 75 – Parking Barbette, Rambuteau

    – Sur Nam Trân :

    Lien :http://www.mcfv.eu/nam-tran-artiste-peintre

    Site Internet : http://www.namtran.fr/

  • Passeport pour le Vietnam avec Isabelle Genlis et Ho Thuy Trang

    Passeport pour le Vietnam avec Isabelle Genlis et Ho Thuy Trang

    Samedi 17 novembre 2018 à 20h, représentation d’une adaptation française du Kim Van Kiêu par la comédienne et conteuse Isabelle Genlis accompagnée par la musicienne Ho Thuy Trang, dans le cadre du Passeport pour le Vietnam du Centre Mandapa (Paris 13e)

     

    La représentation du samedi 17 novembre 2018 à 20h d’une adaptation française du Kim Van Kiêu par la comédienne et conteuse Isabelle Genlis accompagnée par la musicienne Ho Thuy Trang, deux artistes d’origine vietnamienne, est un des spectacles de la ‘Carte blanche à Isabelle Genlis’ de deux semaines (du 13 au 25 novembre 2018) dans le cadre du ‘Passeport pour le Vietnam’ du Centre Mandapa. Ce spectacle est pour les adultes.

    Annonce du Centre Mandapa sur son compte facebook (https://www.facebook.com/LeMandapa/posts/1886993038021350?) :        

    [Passeport pour le Vietnam] Après avoir accueilli un grand nombre d’enfants pour le 1er spectacle de la carte blanche d’Isabelle Genlis « Le Bestiaire Bavard », c’est au tour des plus grands !
    Ce samedi soir à 20h aura lieu la première soirée de conte musical vietnamien d’Isabelle Genlis accompagnée de la musicienne Hô Thuy Trang, avec ce beau et célèbre texte vietnamien : « Kim Van Kieu »

    Réservez vos places sur notre site internet via la billetterie en ligne ou par téléphone au 01 45 89 99 00 / reservations@centre-mandapa.fr

    Nous sommes également sur billetreduc

    Extrait de http://www.isabellegenlis.fr/kim-van-kieu.html :

    Kim Van Kieu ou le jeu des dieux

    Accompagné par Hô Thuy Trang / Durée : 1h20 / Affiche du spectacle

    Ainée d’une famille de lettrés, Kiêu, comblée par les dieux, renonce à son serment d’amour, et se vend pour sauver l’honneur de sa famille. La fleur, à peine éclose, sera effeuillée par les trahisons, jusqu’à mettre son âme à nue. Mais écorcher n’est pas tuer. Les dieux nouent, délient, comptent, veillent. Kieu découvrira la palette des conditions de la femme: de la jeune fille à l’épouse, de la prostituée à la nonne, de l’amoureuse à la soeur.
    Une ode à la femme de tous temps et de tous pays, une quête de la liberté à travers le destin emblématique de l’une des plus grandes héroïnes vietnamiennes.

    Presse http://www.isabellegenlis.fr/kim-van-kieu.html

    Lieu :

    CENTRE MANDAPA – Promotion des arts du spectacle traditionnel et contemporain – 6 Rue Wurtz – 75013 Paris

    Métro : Glacière ou Corvisart (ligne 6) – Bus : 21 (Daviel), 62 (Vergniaud), 57 et 67 (Bobillot-Tolbiac) – Station Vélib’ @13048 (20 rue Wurtz)

    Réservations :

    par téléphone : 01 45 89 99 00 ou par e-mail à reservations@centre-mandapa.fr

    ou en ligne : http://www.centre-mandapa.fr/?p=12643

    Plus d’informations sur la Carte blanche à Isabelle Genlis 

    Extrait de la lettre d’information (Newsletter) d’Isabelle Genlis des contes de novembre 2018 : https://mailchi.mp/3c9bb86bb11c/newsletter-mensuelle-1287257?e=929336e02f

    À l’ occasion de l’évènement 2018-2019 PASSEPORT POUR LE VIETNAM au Mandapa 
    Carte blanche à Isabelle Genlis du 13 au 25 novembre

    – Le Bestiaire Bavard – 13, 14, 15 et 21 novembre – Jeune Public – en duo avec Phuong Oanh
    – Kim Van Kieu ou le jeu des dieux – 17 novembre – Adultes – en duo avec Hô Thuy Trang
    – Paroles de Dragon – 18 novembre – Familial – en duo avec Hô Thuy Trang
    – La tresse de l’ogresse –  20 et 22 novembre – Jeune Public – en duo avec Hô Thuy Trang
    – Tam et Cam – Adultes – 24 novembre – Ado et adultes en duo avec Hô Thuy Trang
    – La 7ème fille du ciel, conte en voûte étoilée – 25 novembre – Familial – en duo avec spectacles Hô Thuy Trang

    Renseignements :  http://www.isabellegenlis.fr/spectacles.html
    Presse: http://www.isabellegenlis.fr/presse.html

    Plus de renseignements sur Kim Van Kiêu et Nguyen Du :

    http://fr.wikipedia.org/wiki/Kim-V%C3%A2n-Ki%C3%AAu

    http://fr.wikipedia.org/wiki/Nguy%E1%BB%85n_Du

    http://www.vietspring.org/literature/kieu.html

    Pour plus de renseignements sur Isabelle Genlis et Ho Thuy Trang :

    http://www.isabellegenlis.fr/

    http://www.isabellegenlis.fr/agenda.html

    http://www.billetreduc.com/160838/evt.htm

    http://www.foyer-vietnam.org/concert-de-cithare-vietnamienne-ho-thuy-trang

    https://philharmoniedeparis.fr/fr/activite/musicien-au-musee/14909-ho-thuy-trang

  • MixCités par l’équipe Paris Concert (Orly) et  Marie Ann Tran

    MixCités par l’équipe Paris Concert (Orly) et Marie Ann Tran

    Du lundi 1er au jeudi 4 octobre 2018 (vernissage le 4-10 à 18h30 suivi d’une projection à 19h30), installation photographique et projection de films courts réalisés dans l’action MixCités par l’équipe Paris Concert (Orly), avec la participation, entre autres, de Marie Ann Tran

    Exposition photographique, dans le hall du Centre Culturel d’Orly, du 1er au 4 octobre 2018.

    Le jeudi 4 octobre 2018 : Vernissage / finissage et rencontre entre participants, habitants, intervenants … à partir de 18h30.

    Et à 19h30 : Projection des films réalisés en ateliers

    Et toute la soirée : écoute, rencontre, découverte, envie, curiosité …

    http://www.mcfv.eu/mardi-26-juin-2018-de-16h30-a-18h-vernissage-de-lexposition-des-ateliers-photographies-interviews-et-video-concus-en-partenariat-avec-le-club-de-prevention-espoir-dans-le-cadre-des-ateliers-alli/

    Mot de l’équipe de Paris Concert :

    Bonjour,

    Nous avons le grand plaisir de vous inviter le Jeudi 4 octobre à partir de 18h30 au centre culturel d’Orly pour le vernissage de l’exposition et la projection à 19h30 des films réalisés dans l’action MIX CITES en cours sur le territoire d ‘Orly.

    Comptant sur votre présence et bien cordialement

    Toute l’équipe de Paris Concert

    Plus d’informations sur MIX CITES :

    Réalisée à Orly de février à octobre 2018, cette action s’articule autour des mutations urbaines et de la manière dont elles sont vécues et perçues par les jeunes générations dans plusieurs quartiers de la ville d’Orly.

    Autour de la pratique de la photographie et de la vidéo, des techniques d’interviews, et des arts plastiques, il est question d’interroger la notion du corps habitant.

    MIX CITE sur le territoire d’Orly : au collège Robert Desnos avec les dispositifs Alliance pour l’éducation et Coup de pouce, dans les locaux du club de prévention orlysien Espoir et ceux de l’AUVM (Aide d’Urgence en Val-de-Marne), dans un appartement mis à disposition par Valophis et mutualisé avec Rebondir et L’atelier des jolies choses, dans le cadre du dispositif Oasis hors les murs, au centre culturel Aragon Triolet et à Vitry sur Seine en résidence au MAC VAL.

    MIX CITES est soutenu de la ville d’Orly, le Ceget, le CD Val-de-Marne, le groupe Valophis Habitat, ARCADI (soutien financier sollicité) et la fondation ADP (soutien financié sollicité).

    https://declicatelier.blogspot.com/2018/04/mixcites-action-menee-sur-le-territoire.html

    Lieu de l’exposition :

    Centre culturel Aragon-Triolet – 1, place Gaston Viens (place du Fer à Cheval), Orly – Tél. : 01 48 90 24 24 – Fax : 01 48 84 09 28

    Accès par le RER ligne C, train ROMI ou MONA : Descendre à Orly-Ville. À droite de la gare en sortant, 1ère à droite (pont) : avenue Adrien-Raynal jusqu’au Centre culturel (en face du centre commercial).

    Pour plus d’informations sur Marie Ann Trân:

    Marie Ann Trân au Festival ICI Vietnam Jussieu, 09/06/18

    Artiste pluridisciplinaire, Marie Ann TRAN a été formée au Théâtre des quartiers d’Ivry, puis au Chant Classique aux conservatoires d’Ivry sur Seine et de Choisy-le-Roi.

    http://www.mcfv.eu/marie-ann-tran-personnalite-du-spectacle-vivant/

    http://marieannetran.blogspot.com/

    https://vietlitfr.hypotheses.org/tag/marie-ann-tran

    http://fr.viadeo.com/fr/profile/marie-ann.tran

    mcfv

  • Exposition « Un Vietnamien à Paris » de l’artiste peintre Lê Anh Duy Maniquant

    Exposition « Un Vietnamien à Paris » de l’artiste peintre Lê Anh Duy Maniquant

    Du lundi 1er octobre (vernissage à partir de 19h) au lundi 15 octobre 2018, exposition « Un Vietnamien à Paris » de l’artiste peintre d’origine vietnamienne Lê Anh Duy Maniquant dans le salon de thé ‘The Croq’ Gallery’ (Paris 5e)

    Lê Anh Duy Maniquant 

    L’exposition « Un Vietnamien à Paris » de l’artiste peintre et designer d’origine vietnamienne Lê Anh Duy Maniquant se tient du lundi 1er octobre au lundi 15 octobre 2018.

    Vernissage le lundi 1er octobre de 19h à 23h30 (ou avant 23h30 selon l’affluence) : il vaut mieux téléphoner avant de venir au cas où la galerie fermerait plus tôt

    Lieu :

    ‘The Croq’ Gallery’, 18 rue Maître Albert, Paris 5ème (métro : Maubert-Mutualité).

    Téléphone : 01 46 34 15 68

    Pour en savoir plus :

    – sur l’artiste Lê Anh Duy Maniquant :

    http://leanhduy.fr/en/actualites/page/7

        

    – sur ‘The Croq’ Gallery’:

    https://www.thecroqgallery.com/fr/

    https://www.facebook.com/thecroqgallery/

    – sur les deux événements au début et à la fin de cette exposition :

    https://www.facebook.com/events/300427407219624/

    le lundi 1/10/2018 de 19h à 23h30 (ou avant) : https://www.facebook.com/events/300427407219624/?event_time_id=300427430552955

    le lundi 15/10/2018 de 18h15 à 23h30 (ou avant) : https://www.facebook.com/events/300427407219624/?event_time_id=300427423886289

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  • Nguyên Lê en concert à la Faïencerie-Théâtre

    Nguyên Lê en concert à la Faïencerie-Théâtre

    Vendredi 12 octobre 2018 à 20h30, concert exceptionnel du grand compositeur Nguyên Lê qui interprétera une relecture de l’album des Pink Floyd, « Celebrating The Dark Side Of The Moon » (Creil)

    Vendredi 12 octobre 2018 de 20h30 à 22h00, le grand compositeur Nguyên Lê sera sur la scène de la Faïencerie-Théâtre pour interpréter son album « Celebrating The Dark Side Of The Moon »

    Nguyên Lê décide en 2014 de relire l’album monument de la culture pop des Pink Floyd. Le guitariste du dépassement des frontières stylistiques s’engage dans cette aventure audacieuse, accompagné du big band de la radio NDR de Hambourg et des orchestrations de Michael Gibbs.

    Avec Celebrating The Dark Side Of The Moon, son quinzième album, c’est bien l’imagination de Nguyên Lê qui est au pouvoir. Elle nous guide sur d’autres chemins, plus personnels et habités d’une fraternité musicale dont il ne s’est jamais séparé depuis de longues années.

    Lieu du concert :

    La Faïencerie-Théâtre Allée Nelson CS 50012 60104 Creil Cedex

    Renseignements – location : 03 44 24 01 01 / accueil@faiencerie-theatre.com

    Réservation : http://bit.ly/NguyenLe_reservation

    Tarifs de 16 € à 23 €

    Pour s’y rendre : http://www.faiencerie-theatre.com/plan.html

    Pour plus d’informations sur Nguyen Lê :

     

    http://www.mcfv.eu/nguyen-le-guitariste-production-mixage-composition-et-arrangements/

    http://www.nguyen-le.com/Site_Nu/Bonjour.html

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