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  • Chè bôt khoai ( dessert Vietnamien au coco)

    Chè bôt khoai ( dessert Vietnamien au coco)

    Chè bôt khoai ( dessert Vietnamien)

    Chè bôt khoai ( dessert Vietnamien)

    Consistance crémeuse, très sucré, ce dessert au goût prononcé de coco est une curiosité à essayer si l’on aime les « aventures culinaires ». On peut trouver le Chè bôt khoai ( dessert Vietnamien) prêt à la dégustation dans les épiceries asiatiques.

    Les ingrédients:
    sucre
    eau
    coco
    haricot mungo
    vermicelles de manioc
    lotus
    filaments d’algue
    billes de tapioca
    datte rouge
    sucre vanillé

    Dessert Vietnamien à consommer plutôt frais.

  • Côte de porc Vietnamienne (recette vietnamienne/cuisine vietnamienne)

    Côte de porc Vietnamienne (recette vietnamienne/cuisine vietnamienne)

    Côte de porc Vietnamienne (recette vietnamienne/cuisine vietnamienne)

    Pour 6 personnes

    Ingrédients :

     6 cotes de porc dans l’échine

    Pour la marinade
    6 cuillères à soupe de sauce de poisson (nuoc mam)
    3 cuillères à soupe d’eau
    3 cuillères à soupe de sucre
    2 gousses d’ail hachée
    une belle échalotte finement hachée.

    Mélanger tous les ingrédients, laisser tremper la viande dans la marinade en retournant parfois ( quelques heures de macération).

    Préparation :

     Faire chauffer de l’huile dans la poêle
    faire prendre les côtes de porc
    Déglacer avec la marinade

    Encore mieux faire griller au barbecue !

    Déguster avec du riz parfumé

    Voir la présentation sur la photo

  • BO BUN, Recette vietnamienne,  Cuisine vietnamienne

    BO BUN, Recette vietnamienne, Cuisine vietnamienne

    BO BUN NEMS OU BO BUN aux pâtés impériaux (Vietnamese cuisine, Vietnamese recipe)

    Recette vietnamienne

    Cuisine vietnamienne

    Bo bun nems (cuisine vietnamienne, recette vietnamienne)

    Pour 8 personnes

    LES PÂTÉS

    INGREDIENTS pour 16 petits pâtés

    2 côtes de porc dans l’échine et hachées
    1 grosse carotte rapée
    1 gros oignon coupé en morceaux très petits
    quelques champignons noirs découpés finement (facultatifs)
    1 oeuf
    Une grosse cuillérée à soupe de sauce de poissons (Nuoc mam)-
    Galettes de riz

    PRÉPARATION 

    Bien mélanger le tout pour en faire une farce, tremper les galettes entièrement dans de l’eau légèrement sucrée (pour caraméliser), retirer et les déposer sur la table.
    Mettre la farce dans la galette (voir nos petits trucs) les rouler.
    Mettre de l’huile, attendre qu’elle chauffe et y déposer les pâtés… les surveiller et les retourner si nécessaire. Une étape délicate car il y a un risque que la galette craque ! Nous essayerons de vous donner des « trucs » pour la cuisson.

    LE BO BUN

    INGREDIENTS

     1kg de viande à fondue
    500g de vermicelles de riz

     ½ paquet de citronnelle congelée

    8 feuilles de salades coupées en ficelles

    8 poignées de germes de soja frais
    1 concombre coupé en ficelles
    Feuilles de menthe coupées en ficelles
    1 gros oignon coupé en lamelles
    Sauce de poisson ( nuoc mam)
    Cacahuètes pilées
    Huile

    PREPARATION

    LA PRÉSENTATION FINALE

    Dans un grand bol mettre d’abord toute la verdure, puis les vermicelles, la viande, les oignons, les cacahuètes, la sauce de poissons (nuoc mam) et rajouter l’huile réservée par la cuisson de oignons. Découper les pâtés en 3 et les déposer au dessus.

  • Vy Vân, pour la 1ère fois en France à St-Thibault des Vignes (77)

    Vy Vân, pour la 1ère fois en France à St-Thibault des Vignes (77)

    Dimanche 2 avril 2017 concert avec la chanteuse Vy Vân pour la 1ère fois en France près de Paris à St-Thibault des Vignes (77) avec des artistes d’origine vietnamienne de France. Parking gratuit.

    By | mars 16, 2017

    IMG_0111 afficheLes principales informations utiles concernant le concert de  Vy Vân figurent sur l’affiche jointe.

    Aux dernières nouvelles, mi-mars, il restait encore des places et quelques tables.

    ll est recommandé de réserver vite par téléphone au 06 18 04 13 88 ou par e-mail : alain.buis1961@gmail.com

    Tarif : 35 euros (réservation) ; 40 euros (sur place)

    Ce spectacle unique avec concert et très belle piste de danse au milieu d’une salle d’environ 200 places est organisé par Alain BUIS, Adjoint au Maire de St-Thibault des Vignes délégué à la Culture, sous l’égide de l’association ‘L’Institut du Fleuve’.

    Tout le bénéfice de cet événement sera versé à un projet de construction d’une école pour un village de la minorité ethnique Ba Na à Pleiku (ville de la région des Hauts plateaux du centre du Vietnam).

    Quelques informations à propos de la chanteuse Vy Vân et des autres artistes :

     

    – Vy Vân est une chanteuse très connue dans les années 70 à Saigon (au même titre que Khanh Ha et Tuan Ngoc) ;  elle faisait partie d’un trio appelé « The apple 3 » (ba trai tao). Elle vit aux Etats-Unis d’Amérique (USA) depuis 1975 et n’est à ce jour jamais venue chanter en France.

    Elle est seulement venue chanter une fois en Allemagne il y a quelques années.

    Vy Vân peut chanter en vietnamien, en anglais et aussi en français (avec le tube « Chuyen phim buon » ou « Quand le film est triste » de Sylvie Vartan).

    – Alain Buis a réussi à la faire venir pour la 1ère fois en France, à St-Thibault des Vignes, tout en proposant un tarif raisonnable, car il a pu obtenir la gratuité de la salle.

    – Les autres chanteurs de l’affiche sont de Paris ; parmi eux, la chanteuse Le Thu est très connue des clubs ; d’autres artistes viendront chanter par amitié sans être sur l’affiche.

    – L’orchestre est composé d’anciens musiciens de Vy Vân de l’époque où elle chantait à Saigon ; d’après Alain Buis, ils sont parmi les meilleurs de France.

    – Le saxophoniste Tran Vinh est aussi très connu au Vietnam.

    – Et Alain Buis espère la venue d’une autre vedette qui serait une surprise de taille.

    Plus d’informations

    – Accès :

    St-Thibault des Vignes est à 3 km de Lognes et juste à côté de Torcy ;  la gare de Torcy est à 1,5 km.

    Le parking est gratuit.

    – Autres annonces de ce spectacle :

    OpenMag

    Saint Thibault des Vignes

     

    Une erreur est à corriger dans l’annonce du spectacle sous l’affiche où il est écrit Ne manquez pas le dîner-spectacle’ alors qu’il ne s’agit pas d’un dîner (le spectacle a lieu l’après-midi)

    MCFV Mouvement des Citoyens Français d’Origine Vietnamienne

  • Rouleaux de printemps aux crevettes, un repas de printemps

    Rouleaux de printemps aux crevettes, un repas de printemps

    rouleaux de printemps aux crevettes

    (Recette vietnamienne/ Cuisine vietnamienne)

    Recette vietnamienne/ Cuisine vietnamienne

    rouleaux de printemps aux crevettes

     300g de crevettes cuites, fraîches ou congelées
    300g de poitrine de porc cuite à l’eau et découpées en lamelles
    1/2 paquet de bun ou pâtes de riz
    feuilles de menthe fraîche
    galettes de riz
    unetête d’ail coupée en très fines lamelles

    sauce de poisson,  sauce barbecue
    feuilles de salade

    Préparation 

     Tremper la galette de riz dans l’eau pour la ramollir
    laisser 1 mn
    Mettre une feuille de salade et la menthe
    rajouter l’ail
    le bun
    le porc et les crevettes
    et rouler
    déguster en trempant dans la sauce barbecue+ sauce de poisson

  • Sucreries asiatiques, Mè Xung (nougat vietnamien, spécialité de Huê)

    Sucreries asiatiques, Mè Xung (nougat vietnamien, spécialité de Huê)

    Mè Xung (nougat, spécialité de Huê)

    Sucreries asiatiques

    Vous connaissez tous les nougats « Chinois » présentés sous la forme de petits carrés ou rectangles souvent mous et enrobés de graines de sésame. Voilà le fameux nougat vietnamien originaire de la capitale Impériale (Hué) dont la composition est une mixture de cacahuettes, farine de riz, sésame blanc, galette de riz, sucre caramélisé et maltose. Goût « doucement sucré » et croustillant. Pas besoin d’essayer de trouver ce nougat en France car pas importé…Même pour les gourmands !

    Mè Xung, (nougat vietnamien, spécialité de Huê)

  • Indochine, une passion jamais éteinte, Jeannette Ulmann

    Indochine, une passion jamais éteinte, Jeannette Ulmann

    Jeannette Ulmann, Indochine, une passion jamais éteinte

    Jeannette Ulmann, Indochine, une passion jamais éteinte

    Propos recueillis par Serge Ulmann.

    Ce récit est celui d’une femme entre deux pays, l’Indochine et la France. Jeannette est née dans les années trente, quatrième enfant de son père. En 1940, c’est l’occupation japonaise, les massacres et l’oppression. La petite Jeannette et sa famille doivent se cacher jusqu’en 1945. En 1947, elle est enfin scolarisée à onze ans. En 1952, elle arrête l’école, trop pressée de travailler et de gagner sa vie pour aider sa famille. Elle se marie avec Armand, un Eurasien, et ils décident tous deux de partir ouvrir un restaurant au Cambodge.

    Pendant ce temps, ses parents sont retournés en France et ont rejoint le camp de Sainte-Livrade, dans le Lot-et-Garonne, avec des centaines d’Indochinois. Mais la vie que Jeannette mène ne la satisfait plus. Émue par les lettres qu’elle reçoit de sa jeune sœur Émilienne, elle décide de rejoindre sa famille en France. Après un voyage éprouvant, elle va enfin retrouver et construire une vie de couple sereine.

    Un beau destin de femme, émouvant et fort.

    Si vous souhaitez joindre l’auteur qui réside à Fontgrave (47), ulmann.serge@orange.fr


    Jeannette Ulmann, Indochina, a passion never extinct

    Jeannette Ulmann, Indochina, a passion never extinct

    Interview by Serge Ulmann.

    This narrative is that of a woman between two countries, Indochina and France. Jeannette was born in the thirties, fourth child of her father. In 1940, it was Japanese occupation, massacres and oppression. Little Jeannette and her family had to hide until 1945. In 1947, she was finally educated at eleven. In 1952, she stopped school, too eager to work and earn a living to help her family. She married Armand, a Eurasian, and they both decide to go and open a restaurant in Cambodia.

    Meanwhile, his parents returned to France and joined the camp of Sainte-Livrade, in the Lot-et-Garonne, with hundreds of Indochinese. But the life that Jeannette leads does not satisfy her any more. Moved by the letters she receives from her young sister Émilienne, she decides to join her family in France. After a tiring journey, she will finally find and build a serene couple life.

    A beautiful woman destiny, moving and strong.

    If you want to reach the author who resides in Fontgrave (47), ulmann.serge@orange.fr

  • Retour au Vietnam, émotion mais pas de larme!

    Retour au Vietnam, émotion mais pas de larme!

    Retour au Vietnam, d’autres ont pleuré et pourquoi pas moi !

    _ Carnets de voyage en Asie: le Vietnam
    D’autres ont pleuré… et moi, et moi et pourquoi pas moi ?

    `Je connais bien la Thaïlande, la Malaisie, Le Sri Lanka, la Chine… j’ai toujours évité de visiter le Vietnam dont je suis originaire… vous avez dit bizarre ? Aujourd’hui je pars, je m’envole là-bas aux portes de ma vie et de mes rêves. Une décision brutale à la recherche d’un passé trouble résultat de souvenirs souvent auréolés de peurs, de joies et de chimères.
    Je pose enfin les pieds sur cette terre imprégnée de soleil. Aucune émotion, rien qu’un dépaysement sous un lourd manteau de chaleur où résonne le brouhaha annonciateur d’une ville en perpétuel mouvement. Des taxis racoleurs, des camelots insistants et cette vie intense nous rappellent que l’Europe se meurt d’ennui à plus de 12 000kms. Saïgon m’ouvre les bras comme une mère et m’accueille dans la fourmilière urbaine prête à happer les imprudents. Dans ce délire de vélos, de cyclomoteurs, je marche tranquille et je n’ai pas peur. Étrange impression de connaître et de découvrir sans jamais franchir la frontière du réel et du rêve. La sécurité routière ou la prévention routière dans cet enchevêtrement d’autos, de piétons, de poussière et de klaxons stridents seraient au bord de l’apoplexie. Une vraie vie m’attend ici depuis toujours.

    J’avais donné rendez-vous à une amie, en provenance de Bangkok et à un cousin qui arrivait de Paris, dans cet hôtel mythique le Majestic. Se retrouver ici, au Vietnam ensembles est vraiment un moment magique teinté de vives émotions. Accompagné d’effluves exotiques et de senteurs de gaz oïl je commence la visite de cette ville grouillante où la vie règne en maître absolu. Une partie de la famille de ma fiancée, 100% française, a vécu en Indochine. Aujourd’hui elle est ravie de participer à ce retour aux sources. J’ai tous les caractères physiques d’un vrai asiatique et pourtant elle ne m’a jamais vu comme tel. Elle m’avoua par la suite n’avoir aucune attirance à l’encontre des mâles aux yeux bridés…Qu’elles sont étranges les perceptions ; grâce à cette particularité de l’amour j’avoue avoir bien de la chance !
    Revenons à nos canards laqués…oh pardon à nos moutons. Continuons notre petite ballade. Eh oui j’y suis, incroyable je suis là au milieu de Saigon la ville de mes parents, grands parents, oncles, tantes…La cathédrale se dresse devant moi comme une caverne d’Ali Baba. Dans des moments rares, mes parents, devenus en France de petits fonctionnaires, me parlaient avec un brin de fierté dans la voix, de cette famille dont j’étais devenu un obscur descendant. Une famille aux pouvoirs importants, à la fortune immense qui possédait en outre près de 30 000 ha de rizières…Comment en étions-nous arrivés là ? Je sentais en eux une gêne d’être ce qu’ils sont devenus aujourd’hui, des gens simples et transparents. Ils s’excusaient de n’être plus. Tout ce passé glorieux fait de luxe, d’apparat, je n’y croyais que par besoin , j’avais aussi attrapé les symptômes de cette maladie honteuse que l’on appelle …. Les moyens de mes aïeux étaient illimités et ils n’hésitaient pas à offrir des cadeaux somptueux au culte…c’est ce qui se disait ! Tout cela n’était peut-être qu’affabulations et chimères ! Ma fiancée brusquement me prend le bras et me montre un magnifique vitrail sur lequel est inscrit mon Nom. Stupéfaction, tout est donc vrai, pas de blabla rien que du bonheur d’exister. On me confirme par la suite que le gros bourdon avait été offert par mon grand père. Je n’avais jamais vraiment senti l’ampleur de mon désarroi aujourd’hui encore.


    Des odeurs connues mélangées à d’étranges sensations de parfum enivrant m’emportent dans un univers rassurant en terrain conquis. Je vis comme un « riche » allant de restaurants branchés en repaires à « bobos » sans jamais compter, la note la plus élevée n’atteignant jamais la somme record de 5 euros. Je suis un nabab. Mais ce qui attise mes sens, les excite au plus haut point est sans conteste le sirop de la rue en perpétuel mouvement habillé de soie blanche, de chapeaux coniques, de sourires enfantins, de cris perçants et de vrombissements omniprésents. L’enfer du bruit ouvre ses bras, mais un enfer tellement désiré, si souvent souhaité ! La ville de Saigon représente bien une cité du sud elle est grouillante et pleine de surprises. Mais je trouve qu’elle manque d’une unité architecturale ce qui me déçoit quelque peu.
    Prendre le train de nuit, même en couchette molle reste une aventure à vivre avec délectation. Nga Trang et ses plages dorées m’accueillent avec douceur et émerveillement. Cette carte postale me raconte les plus belles heures coloniales pleines de femmes sublimes aux jambes interminables et au fume-cigarette omniprésent.
    Prochaine destination Hué, la capitale Impériale blottie dans les méandres de la rivière des Parfums
    Pour cette fois je pars avec un guide et ami vietnamien …Nous louons un mini bus climatisé et hop direction le centre du Vietnam. Des côtes et encore des côtes, la mer et ses flots amicaux nous accompagnent pendant tout le voyage.La mer est, à l’est de ce merveilleux pays une frontière de près de 1500 kms. Hué me laisse un souvenir ému et impérissable plein d’une sérénité figée par le temps. Il faut prendre le temps de flâner dans ses marchés tranquilles, de visiter la cité impériale ou même de se laisser doucement glisser dans une petite jonque, sur la « rivière des parfums » à la recherche des innombrables temples.
    Jamais rassasié par les multiples découvertes, je décide de monter encore plus haut vers le nord, vers Hanoi la capitale. Cette fois si en car avec les locaux heureux de pouvoir jauger un touriste sur sa capacité à supporter un long voyage dans un véhicule sans grand confort. Rires goguenards et plaisanteries incompréhensibles égrènent notre nuit agitée.
    Arrivée à 6 h du matin la tête dans le…et l’estomac dans les talons. Une soupe tonkinoise (pho) sur le bord du trottoir et immédiatement le charme incontestable d’Hanoi s’empare de moi. Vieille ville coloniale restée vierge de toute construction intempestive elle garde ce cachet et ce caractère si particulier qui raconte une vraie histoire. Mon esprit vagabonde et se prend au jeu du retour vers le passé si empreint de douceur et de charme. Chaque quartier est l’image d’une corporation où se côtoient de différents métiers qui nous apparaissent, nous européens si aseptisés, presque désuets mais si attachants. Des petits bars à la chaleur moite malgré de vieux ventilos souffreteux, des échoppes bondées de marchandises en déséquilibre, des restaurants apocalyptiques aux énormes marmites bouillonnantes… c’est Hanoï qui nous nous reçoit sans apparat. Tout dans cette ville déborde de vie et d’envie.

    En route pour la baie d’Along et son cortége interminable et affolant de touristes ventripotents. Rien à dire sinon un peu de déception et des sentiments mitigés . Je poursuis mon chemin vers hoï han petit port au charme indéniable et à l’architecture colorée. L’or, le noir et le rouge ont fait de cette ville un passage obligé pour tous les amoureux de l’authenticité du vietnam.
    Il va falloir revenir à Saïgon et puis tristement vers paris la ville des lumières . J’ai l’impression étrange que l’Europe est, après ce déluge de vivacité, devenu un « no man’s land » aux couleurs de l’ennui.
    Je pensais que les larmes seraient au rendez-vous, que l’émotion comme une flèche délicieuse me transpercerait le cœur jusqu’atteindre les plus profondes de mes fibres, et bien rien ! J’ai, depuis ces jours de plénitude touristique, souvent repensé à ce sentiment si étrange et des questions sans réponses ont fait place à l’imcompréhension. Suis devenu insensible à ce magnifique pays ou simplement n’ai pas réalisé le sens de ce voyage . Il me faudra retourner là bas et dès aujourd’hui je m’y prépare.
    _ Henri Victor

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  • Cuisson du riz, comme en Asie!

    Cuisson du riz, comme en Asie!

    Cuisson du riz, comme en Asie!

    Cuisson du riz, comme en Asie !

    1- Le mieux est d’acheter du riz parfumé (Thaï ou autre), de préférence dans un magasin asiatique et surtout pas dans une grande surface car ce dernier a été traité ; ainsi la cuisson ne pourra pas s’effectuer convenablement selon les vieilles recettes traditionnelles.

    De préférence n’achetez pas du basmati qui est un riz dédié plus à la cuisine Indienne.

    2- Lavez le riz pour retirer un peu d’amidon.

    3- Mettez le riz dans une casserole, peu importe la quantité.

    4- Ajoutez de l’eau froide environ 2,5 cm au dessus du riz , et couvrez.

    5- Faire cuire à feu vif jusqu’à ébullition de l’eau.

    6- L’eau doit s’évaporer et des bulles apparaissent bientôt à la surface du riz. Il faudra bien attentivement suivre la cuisson et ne jamais mélanger car votre riz risque de se transformer en riz gluant, ce qui n’est pas, à- priori votre but.

    7- Couvrez à nouveau et faites cuire à feu doux jusqu’à cuisson du riz environ 15 à 20 minutes.

    Les asiatiques ne salent ni ne poivrent leur riz à la cuisson.

    Maintenant, il est fort pratique d’utiliser un « rice- cooker » !

    Ingrédients asiatiques


    Cooking rice, as in Asia!

    Cooking rice, as in Asia!

    1- The best is to buy perfumed rice (Thai or other), preferably in an Asian store and especially not in a large area because it has been treated; Thus cooking can not be carried out properly according to the old traditional recipes.

    Preferably do not buy basmati which is a more dedicated rice to Indian cuisine.

    2- Wash the rice to remove a little starch.

    3- Put the rice in a saucepan, no matter how much.

    4- Add cold water about 2.5 cm above the rice, and cover.

    5- Cook on high heat until boiling water.

    6- Water must evaporate and bubbles soon appear on the surface of the rice. It will be necessary to carefully follow the cooking and never to mix because your rice risks turning into sticky rice, which is not, a priori your goal.

    7- Cover again and cook over low heat until rice is cooked for about 15 to 20 minutes.

    Asians do not salt or pepper their rice when cooking.

    Now it’s very practical to use a « rice-cooker »!

    Asian ingredients

  • Amoureux de l’Asie, un hymne à l’extrême orient!

    Amoureux de l’Asie, un hymne à l’extrême orient!

    Amoureux de l’Asie

    Amoureux de l’Asie

    Partir au bout du monde, c’est déjà se noyer dans les nuages que me dessinent les avions en partance. En route vers cette Asie grouillante, colorée et pleine de vie, je me réveille enfin d’un long sommeil d’hibernation.

    Jamais de mauvaise surprise car les sourires seront certainement au rendez- vous. Une végétation luxuriante nous attend à l’orée des rêves si longtemps imaginés mais sans commune mesure avec une réalité chaque fois plus étonnante et attachante.

    J’aime me perdre dans cette foule active, vivante et grouillante qui me rappelle que vivre ce n’est pas survivre dans l’ombre d’un futur qui nous devance et qui restera loin, très loin devant nous.

    En attente de senteurs nouvelles je recherche sans cesse des lieux étranges perdus loin des chemins touristiques. Bien sûr il est indispensable de visiter certains sites incontournables, bien que rester sur les traces des agences de voyages est une incongruité insupportable.

    Une senteur a détourné mon odorat m’emportant vers un lieu étrange mais sympathique. Un visage peu ordinaire me rappelle que la France est si loin. J’aime me promener à la découverte de ces petits suppléments d’âme que me procurent ces pays que j’adore. En Asie j’ai juste l’impression que je vis.