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  • Saïgon ou le brouhaha omniprésent des grandes villes

    Saïgon ou le brouhaha omniprésent des grandes villes

    Carnets de voyage en Asie, la vie trépidante à Saïgon

    Carnets de voyage en asie

    « La vie trépidante à Saïgon »

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    Cliquer, fermez les yeux et écoutez le vacarme de la rue

    Saïgon baigne dans un lourd silence empreint de sérénité et de calme. Mais je ne reconnais plus la capitale du sud, terre nourricière de la péninsule Indochinoise. Le vacarme assourdissant des mobylettes pétaradantes et nauséabondes n’est plus qu’un lointain souvenir estompé et blafard.

    Mais que s’est-il passé pendant ma longue absence ? Les vapeurs de pots d’échappement aux couleurs noirâtres laissent place désormais à des nuages légers cotonneux et aériens. Une douce odeur de guimauve me chatouille les narines et me transporte comme un enfant au pays des kangourous…

    Quelques vélos disciplinés obtempèrent et s’arrêtent aux feux dans un calme olympien. Bizarre, bizarre, vous avez dit bizarre ? Une circulation fluide et légère défile langoureusement devant mes yeux ahuris et hagards. J’ai l’impression de vivre un cauchemard .

    Un brouhaha assourdissant de klaxons, de cris, de crissements de pneus, d’ aboiements s’immisce dans mes oreilles. J’ouvre la fenêtre de ma chambre et reçois en plein visage une pollution dévastatrice et salutaire. Je viens de me réveiller et j’accueille avec soulagement cette ville bruyante , vivante et si polluée… Atchoum !!!!

    Paraît- il que chaque famille n’a le droit, dans les grandes villes, de posséder qu’une seule mobylette car sinon si chaque habitant en avait une on ne pourrait plus bouger du tout, place au sur place!

  • Retrouvailles pour un retour au Vietnam

    Retrouvailles pour un retour au Vietnam

    Retour au Vietnam : retrouvailles 45 ans plus tard.

    Carnets de voyage en Asie

    Nous sommes, Monique et moi, encore imprégnés de la beauté de l’ Asie . La surprise est de tous les instants .Du temple ancien aux contours mythiques, au petit marché local typique, on est transporté par une culture spécifique qui ne cesse d’étonner le visiteur.

    La population très accueillante semble avoir écarté les blessures du passé et paraît résignée à vivre pleinement son avenir mais avec des potentiels différents entre le nord très rural et le sud fortement économique.

    Le voyage en circuit touristique, en groupe, permet de cumuler rapidement la connaissance de beaux sites avec les explications d’un guide expérimenté.

    L’organisation parfaite des déplacements nous a permis de profiter au mieux des visites. De ce point de vue et sans faire de publicité, l’agence ASIA nous a donné beaucoup de satisfactions. Nous avons lié connaissance avec de nombreuses personnes passionnées de voyages et des liens évidemment se sont créés. Un retour au Vietnam réussi!

    Tout au long de ce voyage de 20 jours , nous avons vécu un contraste fort entre la pauvreté de certaines populations ( au Cambodge en particulier ) et le luxe des nouveaux hôtels de tourisme.

    Quel est le vrai sens de tout ça ? C’est difficile de ne pas être affecté par le regard des enfants démunis et sans avenir .

    L’élan généreux et humaniste se ressent chez les visiteurs mais la solution est plutôt du côté des politiques et autres associations internationales.

    Autre événement important pour moi , les retrouvailles de la famille 45 ans plus tard, un retour au Vietnam qui me fait remonter de nombreux souvenirs !. On se reconnaît à peine mais les souvenirs reviennent vite à la surface.

    C’est un apaisement pour moi de retrouver la ville de Saigon quittée à l’ âge de 10 ans. Je me suis un peu attardé au jardin zoologique, lieu de détente familiale, connu jadis avec mes parents et ma sœur et j’ aime penser que certains arbres encore présents et centenaires, m’ ont forcément connu. A part ça la vie si longtemps loin du pays a fait son oeuvre ; j ’ aurais du mal à revivre au Vietnam malgré un attachement encore fort.

    Carnet de voyage de Camille

    (retour au Vietnam)

  • Comme un sentiment mitigé ce retour au Vietnam

    Comme un sentiment mitigé ce retour au Vietnam

    Retour au Vietnam : un sentiment étrange

    Carnets de voyage en Asie: Vietnam

    Toujours ce ronronnement des réacteurs qui me bercent durant de longues heures. Bientôt Saïgon, bientôt « ma famille » se pressera à mes côtés. Soudain une délicieuse sensation de bien-être m’envahie et m’angoisse à la fois. Des images, des impressions, des souvenirs se précipitent dans cet avion qui m’emporte vers mon destin.

    Je suis accueillie dans l’aéroport par un brouhaha indescriptible ; j’entends quand même malgré tout ce vacarme, des voix qui crient mon nom à tue-tête : « Sarah, Sarah… ». Elle est là ma famille, elle m’attend, mais qu’est- ce qui peut bien m’attendre dans ce pays du bout du monde ? Ils sont si gentils, si prévenants comme cette chaleur qui s’abat sur mes épaules comme une étouffante chape de plomb. En voiture Simone, en route pour une nouvelle aventure. Ils ont loué pour la circonstance un van de 12 personnes afin que le plus grand nombre puisse accueillir mon illustre personne. Moi Sarah une inconnue du grand public, me voilà reçue telle une star aux confins de l’extrême- orient. Auréolée d’une gloire incompréhensible mais toutefois fort agréable, je savoure ce retour après 26 ans d’absence.

    La proche banlieue de Saïgon , sorry Ho chi Minh Ville, et soudain la maison de mes grands parents. Tout le quartier est là, la famille, les voisins et les curieux pour recevoir cette française à la réussite méritoire. Ils s’agglutinent contre les fenêtres, bouchent les portes…une vraie émeute pour Madame la française de Paris. Mes parents, mon fils de 3 ans et ½ sont invités dans tels des empereurs de l’Annam et du Surinam. Jamais de ma vie j’aurais même espéré, ou même rêvé d’un accueil aussi royal.

    Mais un sentiment étrange s’immisce en moi : suis de leur famille ou un hôte de marque dans cette lointaine famille ? La connaissance de ma langue maternelle que je manie fort bien d’ailleurs, ne me permets pas, à cet instant, de tout comprendre peut-être à cause des différents accents ! Je n’arrive pas à m’exprimer comme je le souhaite et cela m’embête fortement.

    Ces instants de flottement sont vites oubliés car le repas aux odeurs affolantes s’annonce terriblement délicieux. Des odeurs , des parfums, une ambiance que je connais bien, me titillent l’odorat : l’Asie me tends déjà les bras. Des Paysages merveilleux aux senteurs de mon enfance, des rencontres me plongent dans la magie de ce retour si longtemps espéré.

    Un retour étrange, mêlé de plaisir et d’absence!

    Sarah (le retour au Vietnam)

    © Carnets de voyage en asie

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  • Delta du Mékong, le grenier à riz du Vietnam

    Delta du Mékong, le grenier à riz du Vietnam

    Carnets de voyage en asie, Vietnam au fil de l’eau

    ©Reportages d’asie et asie reportages

     Carnets de voyage en asie

    Vietnam au fil de l’eau Douceur qui glisse comme un bateau par le vent emporté.


    Vietnam,delta du Mékong


     Vietnam, le grenier à riz


    Vietnam, embouteillage sur l’eau


    Port de fortune


    Bateaux ou péniches? 


    La venise vietnamienne 


    Mékong


     

    ©Reportages d’asie et asie reportages

  • Pourquoi les asiatiques ne veulent pas bronzer (Shanghaï)

    Pourquoi les asiatiques ne veulent pas bronzer (Shanghaï)

    Carnets de voyage en Asie, les parapluies de Shanghaï.Résultat de recherche d'images pour "photos gratuites parapluie"

    Carnets de voyage en asie

    Les parapluies de Shanghaï.

    Il ne pleut pas et pourtant les parapluies sont de sortie. A Cherbourg quand l’on ouvre son « umbrella », les grenouilles sont à la fête, car la pluie sans aucune invitation sonne à notre porte et nous oblige à nous protéger, sinon gare à la mise en plis.

    A Shanghaï en revanche, l’apparition de ces ustensiles colorés n’est pas toujours le signe d’une pluie dense. Le soleil par trop agressif en est souvent la raison principale.

    De jolies demoiselles, coquettes et féminines affublées de parapluies, déambulent langoureusement dans les rues Shanghaï cette ville tentaculaire. Oh non pas qu’elles craignent la chaleur produite par ce coquin de soleil qui darde ses rayons, mais plutôt le bronzage qui est redouté comme la peste dans tout l’extrême- orient.

    Ne pas ressembler à une paysanne qui travaille dans les champs est une priorité. La peau d’une jolie fille doit être blanche, et le soleil représente chez nos amis asiatiques, un ennemi mortel redouté par nos coquettes demoiselles aux yeux bridés. Vous remarquerez que même dans les rizières, les paysannes se protègent du soleil en se couvrant le visage, les bras et même les mains.

  • Ce qui reste quand nous avons tout oublié de nos racines

    Ce qui reste quand nous avons tout oublié de nos racines

    La reconnaissance du ventre

    La reconnaissance du ventre ou ce qui reste quand nous avons tout oublié de nos racines

    A la mort de mon père nous ne savions rien de nos racines, sinon des bribes de souvenirs épars qui s’amoncelaient comme un édifice instable et bourré de mal-façons. Rêves ou fantasmes d’immigrés des années 50 où poussés par un instinct de survie ; ces premiers vietnamiens s’installèrent en France laissant derrière eux un magnifique pays prêt à se détruire, et déjà déchiré par des guerres fratricides et inutiles.

    Je suis effectivement né dans les années cinquante et mes parents ont oublié, par désir d’intégration ou par peur viscérale, de nous parler de ces racines qui donnent à chacun de nous une vraie identité.


    Nous avions dans la famille, autant les filles que les garçons une envie de nous éloigner de cette histoire qui semblait ne pas être la nôtre. Ainsi oublier notre langue maternelle en quelques mois, apprendre le français à la vitesse de l’éclair, devenir le premier en « rédaction, en français », avoir des prénoms français …Se marier avec un(e) asiatique semblait improbable et peut être même impossible. Nous étions nous devenu des extrémistes par désir de nous fondre dans la masse ou simplement pour oublier que nous étions jaunes, oublier d’où l’on venait, nos racines si lointaines ?!!!Cette quête de la totale intégration s’imposait à nous comme normale et nous trouvions même les femmes asiatiques ni attirantes, ni sexy…Le rouleau compresseur avait bien fait son office , il avait réussi à nous transformer, à nous métamorphoser en « plus royalistes que le roi ».


    La seule chose qui nous collait à la peau, qui s’acharnait à nous poursuivre jusqu’au plus profond de notre être comme un chasseur de prime opiniâtre était la « nourriture ». Les odeurs de curry, les nems au parfum délicieux, le canard au gingembre, les fruits exotiques aux senteurs enivrantes …toute cette culture culinaire ne voulait pas nous quitter, elle accompagnait notre vie avec joie et nous rappelait sans cesse que quelque chose en nous résistait à l’assaut du temps. Quand la culture disparaît restent ancrés les goûts, les odeurs et la délicate impression de bien-être que nous procure un bon plat. Demain je pars à la reconquête de mon autre chez moi !

  • Histoire vraie,nuits de de Mah-Jong et repas exotique

    Histoire vraie,nuits de de Mah-Jong et repas exotique

    Nuits de de Mah-Jong

    Nuits de de Mah-Jong et repas exotique…
    Papa passait des nuits entières à jouer au Mah-jong et aux 4 cartes de couleur dans la torpeur de cette époque coloniale si souvent décriée mais qui reste pour moi un moment de joie et de douceur. Pour nous la vie était facile, du personnel attachée à la famille, une vaste maison, des rivières gorgées de vie et une maman particulièrement attentionnée . Les hommes aimaient se retrouver entre eux à boire de la bière au rythme de mises parfois phénoménales, des millions de « piastres » passaient de main en main.

    Souvent vers 23h une petite faim venait titiller ces joueurs invétérés ; papa, illico presto, faisait venir un petit « boy » et lui demandait de préparer un plat afin d’assouvir leur appétit nocturne. Ce dernier se pressait de choisir dans le grand poulailler de la maison, des poulettes dodues et tendres, de les abattre afin de préparer un délicieux plat accompagné d’une soupe de riz aux herbes exotiques (recette dans la rubrique je cuisine facile). Quelquefois des écrevisses de la rivière faisaient les frais de cette petite fringale.

    Tout se trouvait à proximité, tous les produits étaient de qualité et pas besoin d’aller au super marché; il fallait juste se baisser et jouer au Mah-Jong… Les temps ont changé et moi aujourd’hui je suis une mamie qui prépare parfois à ses petits enfants un plat surgelé. Le monde a changé et moi aussi je me suis mise au « goût du jour ».

    Une grand-mère vietnamienne


    Mah-Jong Nights
    
    
    
    Mah-Jong nights and exotic meals ...
     Papa spent nights playing Mahjong and the four colored cards in the torpor of that colonial period so often decried but which remains for me a moment of joy and sweetness. For us life was easy, family-minded staff, a large house, rivers full of life and a particularly thoughtful mom. The men liked to meet each other to drink beer to the rhythm of sometimes phenomenal bets, millions of "piastres" passed from hand to hand.
    
    Often around 11 pm a little hunger came to titillate these players inveterate; Dad, illico presto, brought a little "boy" and asked him to prepare a dish in order to satisfy their nocturnal appetite. The latter was in a hurry to choose from the large henhouse of the house, plump and tender chickens, to cut them down in order to prepare a delicious dish accompanied by a soup of rice with exotic herbs (recipe in the heading easy cooking). Sometimes crayfish of the river were the expense of this little craving.
    
    Everything was nearby, all the products were quality and no need to go to the supermarket; You just had to bend down and play the Mah-Jong ... The times have changed and I am today a grandma who sometimes prepares a frozen dish for her grandchildren. The world has changed and I have also got into the "taste of the day".
    
    A Vietnamese grandmother
  • Cuisine asiatique ou américaine, la guerre des calories

    Cuisine asiatique ou américaine, la guerre des calories

    Cuisine asiatique ou cuisine américaine ?

    Asie santé et bien-être

    Cuisine asiatique ou cuisine américaine ?

    Des études sérieuses nous donnent des chiffres étonnants sur le nombre de calories affectés à certains plats fort connus de la cuisine asiatique et de la cuisine américaine. Evidemment nous allons pas rentrer dans l’explication des calculs judicieux et techniques de nos chercheurs car c’est du chinois pour les simples « pékins » que nous sommes.

    Cuisine asiatique, les calories :

    kondrak / Pixabay

     Sushi 100 cal
    Pâtés impériaux 180 cal
    Riz cantonnais 125 cal
    Soupe chinoise 120 cal
    Boulettes de riz 120 cal
    Sashimi 150 cal
    Verre de saké 15 cal
    Bière chinoise 40 cal

    Cuisine américaine, les calories :

    Meditations / Pixabay

    Pizza 1245 cal
    Cheese burger 2320 cal
    Pop corn 370 cal
    Hot dog 1500 cal
    Frites no light 1270 cal
    Menu burger 3140 cal
    Chips 920 cal
    Bière américaine 460 cal

    Alors la guerre fait rage entre lourdeur et légèreté, embonpoint et minceur, rototos intempestifs et estomac béat. La balle est dans votre camp, et vous devrez choisir le style culinaire qui s’adaptera le mieux à votre avenir physique et psychologique.

    Pour moi pas de doute possible, le choix est fait illico presto, même si je ne suis pas fort en mathématiques : cuisine asiatique. Je suis un poète car je fais des vers….

  • Piloter une moto ou même un vélo à Pékin est dangereux

    Piloter une moto ou même un vélo à Pékin est dangereux

    Etre motard à Pékin, à Saïgon ou à Bangkok, c’ est drôlement dangereux

    Etre motard

    suky6661 / Pixabay

    en Asie du Sud- Est est un drôle d’exercice

     Nous dînions un dimanche soir de janvier avec un ami chinois, journaliste de son état, qui quittait définitivement la France pour retrouver son pays. Un poulet aux olives donnait à cette soirée un air quelque peu estival. Ma fiancée et moi connaissons fort bien la Chine ( l’Asie en général) pour l’avoir côtoyée depuis prés de 8 ans.

    L’empire du milieu change et 7 périphériques entourent désormais cette mégalopole. Traverser Pékin est aujourd’hui une épreuve longue et désagréable. Nous dissertions sur la meilleure façon de se déplacer dans la ville. A Paris notre solution était définitivement la moto. Notre convive nous regarda médusé et nous précisa qu’il était interdit de circuler en moto jusqu’au 4ème périphérique. Cette précision nous stupéfia ; ne pas circuler à pékin en moto nous semblait impensable. Effectivement dans nos souvenirs aucune moto dans le cœur de Pékin. Une explication des plus folles et des plus alarmantes nous cloua sur place. Notre convive nous expliqua que la totalité des motards en activité dans les années 80, sauf quelques miraculés, étaient morts dans des accidents du fait de leur imprudence, du non respect du code de la route par les nouveaux conducteurs et de l’expansion démesurée du parc automobile.

    Le meilleur moyen de locomotion en Asie et à Pékin en particulier est surement le métro. Oubliez les « tuktuk », les vélos, les motos si vous désirez rester en vie. En revanche si vous êtes casse- cou, intrépide, ou même candidat au suicide alors enfourchez votre 2 roues. Vous voilà prévenu.

    Çà a jeté un froid ! Messieurs de la Sécurité Routière ou de la prévention routière jetez votre dévolu vers l’est où une maladie grave affecte les cyclomotoristes: le choc frontal. Pékin est sympa à pied pour flâner, déambuler….

  • Le pho est la soupe traditionnelle du nord- Vietnam

    Le pho est la soupe traditionnelle du nord- Vietnam

    Pho ou soupe tonkinoise en images (cuisine vietnamienne, recette vietnamienne)

    Recette vietnamienne/ Cuisine vietnamienne

    pho la recette ou soupe tonkinoise (recette traditionnelle bourgeoise)

    .Une recette dérobée sournoisement à ma maman de 80ans. A cette époque les femmes de la bourgeoisie vietnamienne, étaient obligées d’apprendre la cuisine afin de satisfaire aux futurs époux. Cela se passait dans les cuisines des belles demeures et les jeunes filles avaient à leur disposition des cuisinières attachées à la famille. Ces recettes étaient jalousement gardées.
    Ingrédients
    1kg 300 de plat cote pas trop gras
    500 g de viande rouge à steak découpée en fines lamelles
    1 gros os à moëlle
    1 gingembre frais écrasé
    3 ou 4 bouillons de boeuf
    1 c à café rase de cinq parfums
    1 oignon grillé
    2 oignons crus coupés en fines lamelles
    persil chinois ou coriandre coupé grossièrement
    3 ou 4 c 0 soupe de sauce de poisson
    1/3 c à café rase de sel
    vermicelles de riz vietnamiennes (taille medium) que vous laisserez au préalable trempé dans de l’eau froide


    3 ou 4 anis étoilés

    Préparation
    remplir à demi d’eau une grande casserole de la taille d’une cocotte minute et y ajouter …Os à moelle +plat cote +gingembre écrasé +cinq parfums +l’oignon grillé + sel +l’anis étoilé
    Mettre à feu fort et écumer
    quand il n’y a plus rien à écumer rajouter…le bouillon de boeuf préalablement fondu dans de l’eau chaude +la sauce de poisson et laisser mijoter à feu moyen.Goûter le plat cote et dès que vous estimerez qu’il est cuit, cad à votre goût, votre bouillon sera ok.
    1/2 h avant de servir, pour faciliter le service, disposer dans une assiette la viande rouge, l’oignon cru, le persil chinois et le plat cote débité en fines lamelle.
    retirer les vermicelles de riz de l’eau froide, les cuire, les égouter et les mettre dans chaque bol.
    mettre ensuite par dessus le plat cote+ la viande rouge et verser le bouillon par dessus
    rajouter ensuite l’oignon cru +le persil chinois et avant de servir une petite rasade de poivre.

    – j’adore préparer le pho- j’aime sentir le pho- je déguste le pho