À l’époque j’étais un garçon très sage mais de surcroît aussi très très extrêmement timide. Quand j’étais dans le métro parisien je ne m’asseyais jamais en face d’une personne même si la place était libre car je n’osais pas lever les yeux regarder l’autre personne en face. Du coup je restais toujours debout et cela m’a poursuivi très longtemps car dans le cadre de ma famille il n’était pas question d’avoir une personnalité hors du commun il fallait être lisse et ne pas la ramener.
Je traînais ce problème comme un boulet qu’on traîne au pied, baissant sans arrêt les yeux pour regarder vers un avenir vraiment pas rose.
À l’époque il fallait pour intégrer la société se retrouver dans un groupe d’amis évidemment c’était à l’époque toujours politique et avec les « Mao » habillés tout en rouge, il y avait les aussi les « Anar » vêtus de noir, il n’y avait qu’une histoire stupide de couleurs. On pouvait aussi plus simplement savoir jouer au baby-foot, jouer au flipper sans faire tilt ou boire des cafés dans un petit rade près du lycée.
Je décidai donc de rester seul dans mon coin car je trouvais ces « bavardages » stériles et non bienveillantes, les autres étant toujours des ennemis à abattre et non des interlocuteurs… Choisir son camps en fonction de notions formatées ne pouvait me satisfaire.
Je m’enfermai donc dans une sorte de solitude que j’appréciais parfois beaucoup comme le plaisir d’une personne abandonnée et seule, je pensais vraiment que la vie c’était ça c’était cette espèce de d’angoisse qui laisse comme un chagrin perdu loin des amis loin des contacts loin de tout.
Mon père qui m’appréciait beaucoup quand j’étais encore petit , jouait souvent avec moi au Scalextric cette petite voiture de course d’antan, au mécano ou aux petits soldats de plomb. Tout d’un coup se il se détourna et m’occulta comme on délaisse un nouveau jouet après l’avoir trop utilisé; et tout cela me laissa seul avec un goût amer d’abandon.
Fortuitement je trouvai une amie: la musique; cette passion m’emporta vers d’autres cieux. Éperdu par les sons du rock’n’roll, du blues et du funky je me plongeais rapidement dans une autre solitude mais beaucoup plus joyeuse. Je me mis à gratter de la guitare avec frénésie mais toutefois je n’avais aucun contact avec l’extérieur et il fallait absolument que je trouve un groupe afin de m’intégrer et faire de la musique en live devant un vrai public. Ce qui fut fait!
Heureusement j’avais un autre échappatoire: je lisais énormément des livres de science-fiction et de fantastique. Ces romans m’emportaient loin de tout, du monde qui obscurcissait ma vie, des moments de grande angoisse, je voyageais et au-delà des étoiles à des millions d’années-lumière de la terre. J’avais cette impression de m’échapper d’être libéré d’ une lourdeur, d’une lassitude, d’ une morosité, je m’envolais parmi les planètes encore jamais visitées. J’avais cette opportunité de partir au-delà du réel de connaître autre chose beaucoup plus attrayante, d’autres visions, de découvrir une autre carte du monde. Dans ma tête se formait un monde tout à fait irréel plus intéressant, plus productif et qui me permettait de m’ouvrir sur le monde de demain. Et aujourd’hui bizarrement je retrouve ce petit quelque chose de je ne sais quoi qui m’appartient et que je possède tout au fond de moi: la possibilité enfin de rêver. Aujourd’hui avec l’intelligence artificielle (IA) je m’aperçois que le monde dont je rêvais dans lequel je me mouvais était devenu réel comme un rêve qui se réalise hors de soi des robots des fusées des planètes qu’on va visiter une espèce de monde qui s’adapte à son imagination.
Et oui cet univers un peu fantasmagorique que j’avais imaginé au fond de moi est devenu réalité. Qui aurait pensé qu’il puisse exister la toile du web cette araignée incroyable qui permet aujourd’hui aux êtres humains de communiquer partout à travers le monde, Internet, les ordinateurs, l’intelligence artificielle, les voyages dans l’espace, toutefois le rêve a un prix à payer: ces avancées sauront-elles améliorer le monde de demain ou asservir les hommes?
J’ai cette impression infuse qu’hier c’est demain et qu’aujourd’hui c’est déjà après demain tout va si vite.
En fin de compte ma timidité m’a obligé à regarder ailleurs et à travers cet ailleurs je retrouve aujourd’hui et aujourd’hui seulement un autre univers que les autres ne voyaient pas.
Tous nous avons un petit « quelque chose » qui nous permet de voir le monde autrement, avoir notre propre carte du monde. Cette vision plus ouverte de ce qui nous entoure me permet aujourd’hui de vivre en harmonie avec mes semblables, d’être bienveillant avec bonheur grâce à l’hypnothérapie qui me donne la capacité de posséder comme chacun de nous d’ailleurs, une conscience modifiée (terme approprié à l’hypnothérapie).
Je voyage sans que mon corps physique lui ne bouge , je vais là où seul l’inconscient peut aller.
Surtout n’ayez pas le moindre doute: la timidité est un sacré avantage!
LE RIRE EST LE PROPRE DE L’HOMME, RIRE JAUNE, POURQUOI PAS !
Y’en a marre de l’humour fin.
Je suis eurasien et mon humour plutôt sans prétention se trouve confronté, trop souvent, aux sarcasmes de la soi disante élite de ceux qui possèdent la science infuse du « rire » de bon goût. Finesse et sens du verbe sont les 2 mamelles de ces gens qui planent au- dessus de la masse laborieuse des « pékins moyens », abrutis par une lourdeur ou le rire se transforme en bouffonnerie clownesque.
Cette nomenclatura, pleine de dédain, nous débite des citations prélevées dans des textes littéraires, nous les débitent telles des tranches de saucissons et se les approprient comme des biens personnels. Ils se délectent de leurs propres performances qui restent, le pensent-ils, très au- dessus de la moyenne des gens si ordinaires. Mais en regardant de plus près, nous observons que cette pauvre élite est en manque totale de personnalité, car elle vampirise les auteurs, les écrivains, tous ceux qui possèdent le vrai sens de la dérision, le souffle de l’ironie et un talent réel pour nous faire sourire tendrement et finement.
Quelle tristesse de ne pouvoir faire rire qu’en empruntant à d’autres des bribes de talent. Sans eux cette élite serait inexistante, sans relief et bien fragile. Ils voudraient nous faire croire qu’ils ont le sens de l’humour, mais on n’en voit pas pointer le bout du nez ; ils se terrent pour essayer de nous cacher leur détresse de ne savoir rire que par procuration.
Trop de finesse tue la finesse et cela devient vraiment très lourd de dire que les « autres » sont lourds. Alors essayez d’être vous-même au risque de paraître ridicule, n’ayez plus peur de l’avis de vos congénères et vivez enfin.
Rire jaune
LE RIRE EST LE PROPRE DE L’HOMME, RIRE JAUNE, POURQUOI PAS !
« Rire Jaune » J’ai souvent ri « jaune » car mal dans ma peau j’arborais une contenance désinvolte et fière. Cette fausse décontraction ne bluffait personne tant mon mal- être suintait à travers mon sourire tendu, mon regard fuyant et ma fébrilité. Chez les asiatiques, cette attitude si constante ne survivrait- elle pas à une histoire coloniale pleine de soumission et de frustration ? Face à une situation dérangeante, deux solutions s’offrent à nous : la colère ou le laisser-aller. La colère est un signe de faiblesse. En revanche le rire est l’élément principal d’un certain détachement. Mais cette dernière est difficile à gérer car elle échappe souvent à notre contrôle, elle s’émancipe et nous joue de très mauvais tours, elle nous montre sous notre vrai jour sans artifice, tout nu. Alors attention, la décontraction ne souffre d’aucune médiocrité, il va falloir la dompter cette « bête sauvage ». Rions mais par pitié pas jaune… Suis devenu un philosophe du rire ?
« Un bon chien ne mord pas les poules, un bon mari ne bat pas sa femme. » ( proverbe chinois)
« Quand une parole est lâchée, même quatre chevaux seraient en peine pour la rattraper »
» Le sage se demande à lui-même la cause des ses fautes, l’insensé la demande aux autres ».
« L’homme doit prendre une femme qui ait la moitié de son âge, plus sept ans ».
« Si vous ne voulez pas qu’on le sache, mieux vaut encore pas le faire »
« Plus il y a de fous, moins il y a de riz. »(Proverbe Chinois)
« Quand le sage montre la lune, l’imbécile regarde le doight »
» L’eau ne reste pas sur la montagne, ni la vengeance sur un grand coeur ».
« Le vin fait cracher la vérité. » (Proverbe chinois)
» Plus la montagne est haute, plus la vallée est profonde ».
« Sourire, c’est rajeunir de dix ans ;s’attrister, c’est se faire des cheveux blancs. »
« Lorsque dans votre cour vous rencontrez un homme trop las pour vous donner un sourire, laissez-lui le vôtre. Car nul n’a plus besoin d’un sourire que celui qui n’en a plus à offrir. »
« Sourire trois fois tous les jours rend inutile tout médicament. »
« Le bon vin parfumé finit toujours par se trouver, où qu’il se cache. »
« Chaque coup de colère est un coup de vieux, chaque sourire est un coup de jeune »
« Ce n’est pas le vin qui enivre l’homme, c’est lui qui s’enivre. » (Proverbe chinois)
» La mer la plus profonde a un fond, la montagne la plus haute a une cime ».
» L’amour d’un père est plus haut que la montagne. »
« Une ivresse efface mille tristesses. »
» L’amour dune mère est plus profond que l’océan. »
» Lorsque les hommes travaillent ensemble les montagnes se transforment en or. »
« Le mariage est comme une place assiégée ; ceux qui sont dehors veulent y entrer, et ceux qui sont dedans veulent en sortir » (Proverbe Chinois)
« Quand on achète une maison, on regarde les poutres ; quand on prend une femme, il faut regarder la mère ».
« L’alcool est blanc, mais rougit le visage, l’or est jaune mais noircit le cœur. »
« Une maison pleine d’enfants ne vaut pas une seconde épouse »
« Pourquoi rester debout alors que l’on peut s’asseoir »
« Quand tu ne sais pas quoi dire, cite un proverbe chinois »(Proverbe Chinois)
« Qui fait l’âne ne doit pas s’étonner si les autres lui montent dessus. » (Proverbe Chinois)
» Qui veut gravir une montagne commence toujours par le bas ».
« Ne vous mettez pas en avant, mais ne restez pas en arrière. »
« On a beau noyer sa raison dans le vin, on n’y noie pas le sujet de ses peines. »
« L’alcool est blanc, mais rougit le visage, l’or est jaune, mais noircit le cœur. »
« Ne craignez pas d’être lent, craignez seulement d’être à l’arrêt. »
« Plus on prend de la hauteur et plus on voit loin. »
« Une ivresse efface mille tristesses. »
« Si tu veux être heureux une heure, bois un verre ; Si tu veux être heureux un jour, marie-toi ; Si tu veux être heureux toute ta vie, fais-toi jardinier. »
« Le travail de la pensée ressemble au forage d’un puits ; l’eau est trouble d’abord, puis elle se clarifie. »
« Le sage se demande à lui-même la cause des ses fautes, l’insensé la demande aux autres. »
« L’ivresse fait dire les mots qu’on aurait pu dire en étant sobre. »
« Avec le temps et la patience, la feuille du mûrier devient de la soie. »
« Un homme n’est pas bon à tout, mais il n’est jamais propre à rien. »
« Le jour éloigné existe, celui qui ne viendra pas n’existe pas. »
« Quand vous avez du thé et du vin de riz, vous avez beaucoup d’amis. »
« Le cœur de l’homme parfait est comme une mer dont on ne peut découvrir les lointains rivages ».
« Le bavardage est l’écume de l’eau, l’action est une goutte d’or. »
« Le monde est une mer, notre cœur en est le rivage. »
« En chine tout ce qui a des pattes se mange, sauf les bancs (dicton chinois)
« En Chine tout ce qui a des ailes se mange, sauf les avions » (dicton chinois)
LE RIRE EST LE PROPRE DE L’HOMME, RIRE JAUNE, POURQUOI PAS !
Le salon de l’auto de Pékin, Le salon de l’auto de Pékin aux calandres bridées
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Carnets de voyage en Asie ou les toilettes à la chinoises.
Humour, rires, sourire
Carnets de voyage en asie
Toilettes chinoises (photos)
Que c’est bon de pouvoir se soulager, tranquillement sans cette hantise qui nous menace à chaque instant : trouver des chiottes.
Déjà 10 ans et le pékin d’autrefois paraît n’avoir jamais existé. La « chiotte party » était une vraie galère que tous les occidentaux qui aimaient sortir des circuits touristiques traditionnels ( hôtels internationaux, shopping centers…) connaissaient bien, époque héroïque du début du tourisme de masse. Quand l’envie brusquement s’emparait de nous, toujours par surprise, cette course débutait immanquablement par une course effrénée vers un lieu nommé les « chiottes ». La recherche de ce lieu si rare, donc précieux à l’époque, se présentait comme un jeu de piste ou une course- poursuite, arbitrés par le seul cliquetis d’un compte à rebours sans pitié. Cette situation nous rendait très « mâle ».
Pour parer à cette lourdeur fort dérangeante et quelque peu sournoise, quelques- uns prenaient des dispositions drastiques. Avant une sortie en terrain miné dans des hutongs inextricables, ils allaient maintes et maintes fois aux toilettes. Certains, encore plus habiles et calculateurs, se s’autorisaient aucune boisson ni aliment avant le grand départ. La recherche commençait toujours par une angoisse palpable, gloutonne et inamicale.
Je me rappelle un jour, après une recherche interminable, je tombai sur des toilettes collectives mais pleines de chinois accroupis et béats. Oubliant toute ma culture de « coince du c… » je me mis comme mes « collèges » dans cette position si peu reluisante afin de satisfaire à un besoin des plus naturels. Rien n’existait plus que ce moment qu’un monde d’harmonie et de légèreté.
En Europe quand l’envie se fait sentir, il est simple d’aller prendre un café dans un bar et de se soulager ensuite.
Aujourd’hui cet amusant passe temps n’est plus guère qu’un souvenir nostalgique car les toilettes, grâce à Beijing 2008, ont fleuri comme coquelicots au printemps.
Diarios de viaje en Asia o el inodoro para los chinos.
Humor, la risa, la sonrisa
Diarios de viaje en Asia
inodoros chinos
Si es bueno para hacer sus necesidades, en silencio, sin esta obsesión que nos amenaza cada momento: encontrar cagadero.
Ya 10 años de edad y Pekín parece que nunca han existido. El « partido de mierda » era un dolor que todos los occidentales que amaban fuera de los circuitos turísticos tradicionales (hoteles internacionales, centros comerciales …) conocía bien, era heroica del inicio del turismo de masas. Cuando el impulso de repente vino sobre nosotros, siempre por sorpresa, esta carrera, invariablemente, se inició con una carrera frenética a un lugar llamado el « pantano ». La búsqueda de este lugar tan raro, tan valioso en ese momento era como una búsqueda del tesoro o una persecución raza, arbitrado por el simple clic de una cuenta atrás sin piedad. Esto nos hizo muy « macho ».
Para hacer frente a esta pesadez muy molesto y un tanto disimulada, algunos de ellos tomaron medidas drásticas. Antes de una salida de campo minado en hutongs inextricables, tendrían una y otra vez al cuarto de baño. Algunos, más inteligente y calculador, no se permitirá ningún alimento o bebida antes de la salida. La investigación siempre comenzó con una ansiedad palpable, codicioso y poco amigable.
Recuerdo que un día, después de una larga búsqueda, me quedé en el inodoro colectiva pero lleno de cuclillas chino y feliz. El olvido de mi cultura « atascado c … » Me puse como mis « colegios » en esa posición si mediocre para satisfacer una necesidad de más natural. Nada existía ese momento un mundo de armonía y ligereza.
En Europa, cuando se sintió el impulso, es fácil ir a tomar un café en un bar y luego hacer sus necesidades.
Hoy en día este divertido pasatiempo es poco más que un recuerdo nostálgico de inodoros, con Pekín 2008, floreció como amapolas printemp
Vous qui avez les yeux ronds, bridez vous les yeux,et vous verrez des choses à nul autre pareil. Décryptez des mondes inconnus qui vous feront entrevoir un au- delà jusqu’ici insoupçonné, une planète pleine d’interdits. Bon voyage au pays des bridés.
Japon, c’est le pied d’avoir des chaussures « fashion » !
Asie humour et humour d’Asie, des photos de haut vol
Japon, c’est le pied d’avoir des chaussures « fashion » !
On sait que les japonaises sont petites, très petites. Désormais elles sont devenues grandes comme par enchantement grâce à la fée « mode ». Des créateurs ont imaginé une nouvelle ligne de chaussures ciblées originales et un peu farfelues. Sympa mais attention aux futurs problèmes de dos…
Cool les semelles compensées !
Pour rentrer à la maison sur la pointe des pieds !
Très branchées pour le prix d’Amérique
Bal masqué et paillettes à gogo.
Nouvelles échasses pour les artistes de rue à la recherche de nouveauté
Une femme infidèle a des regrets, une femme fidèle a des remords (Proverbe chinois).
Si tu te cognes la tête contre un vase et que ça sonne creux, n’en déduis pas forcément que c’est le vase qui est vide. .
Qui veut déplacer une montagne à intérêt à commencer tout de suite (Proverbe chinois ?).
Ne frappe jamais ta femme avec une rose !!? Sinon à quoi servirait le bambou ? .
Qui fait l’âne ne doit pas s’étonner si les autres lui montent dessus. (Proverbe chinois). `
Celui qui ne sait pas où il va, va à côté.(Proverbe chinois).
Le sage montre la voie, l’idiot regarde le doigt .
Chinese Proverbs
An unfaithful woman has regrets, a faithful woman has remorse (Chinese Proverb).
If you bump your head against a vase and it sounds hollow, do not necessarily deduce that it is the vase that is empty. .
Who wants to move a mountain to interest to start right away (Chinese proverb?).
Never strike your wife with a pink !! If not, what would the bamboo be used for? .
Who makes the donkey should not be surprised if the others mount it. (Chinese proverb). `
He who does not know where he is going, goes by (Chinese Proverb).
The wise man shows the way, the idiot looks at the finger.