COCO, fruit asiatique
COCO frais à boire et COCO frais à manger. 
Humour, blagues et histoires drôles d’Asie (vivre mieux par le rire et l’auto- dérision)
Humour d’asie et Histoires drôles d’Asie
Pécheur urbain, un coin bien tranquille pour pêcher des maquereaux !
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Confucius a dit :Un homme qui va se coucher en ayant le sexe à l’esprit, se réveille avec le pénis à la main.
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Moi j’ai peur de manger Japonais, ou trouver des « sushis » sans « soucis ?
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La Chine et l’ex-Union Soviétique sont en guerre. 1er jour : Les Russes font 50 000 prisonniers chinois. 2ème jour : Les Russes font 100 000 prisonniers. 3ème jour : Les Russes font 500 000 prisonniers. 4ème jour : Les Russes font 1 000 000 de prisonniers. 5ème jour : Le QG Chinois appelle le Kremlin : Alors, vous capitulez ?
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Supplices chinois :
Un homme perdu dans la forêt trouve la trace d’une maison, où il est accueilli par un vieux chinois :
« Je suis perdu, pouvez vous m’héberger pour la nuit »
« Bien sur, mais a une condition : si vous touchez un cheveu de ma fille, je vous infligerai les 3 pires supplices chinois connus. »
Ok, répond l’homme, pensant que de toute façon la fille doit être bien moche et vieille. En fait, au dîner, il s’aperçoit que la fille est superbe et qu’en plus elle n’arrête pas de lui faire de l’oeil. Mais se souvenant de l’avertissement du vieillard, il préfère s’abstenir de quoique ce soit. Cependant, au milieu de la nuit, il n’en peut plus.Il sort de sa chambre et rejoint la jeune fille pour une nuit de folie. Puis il retourne se coucher en faisant attention de ne pas faire de bruit. Le lendemain, il se réveille en sentant une pression sur sa poitrine. Ouvrant les yeux, il voit un énorme bloc de pierre posé sur son torse avec une note disant :
1er supplice chinois . Grosse pierre posée sur poitrine . Le mec, un peu déçu se dit que si c’est ce que le vieux a pu trouver de mieux, ce n’est vraiment pas terrible. Il prend le bloc, marche jusqu’à la fenêtre et le balance par-dessus bord. A ce moment, il aperçoit une autre note sur la fenêtre disant : 2ème supplice chinois . Grosse pierre liée à testicule gauche . Pris de panique, il voit le fil liant son testicule gauche à la pierre qui commence à se tendre. Décidant que quelques os cassés valent mieux que la castration, il saute par la fenêtre. Alors, en tombant vers le sol, il voit une pancarte posée par terre, où il y a écrit : 3ème supplice chinois . Testicule droit lié au pied du lit .
*
Une serveuse dans un restaurant s’apprête à servir un plat, elle se dirige vers la table des convives : « canard aux cinq parfums, chaud devant, chaud devant… ». Dans sa précipitation, elle laisse tomber le plat, le ramasse et sans se démonter : « chaud devant, chaud devant, canard aux six parfums… »
Humour d’Asie et Histoires drôles d’Asie
Recettes de cuisine asiatiques/Cuisine asiatique, les astuces !
Améliorer votre soupe pho en sachet
Les ingrédients à ajouter afin que cette modeste soupe pho en sachet devienne presque divine :
Persil chinois (coriandre) finement haché
Oignons émincés
Sauce de poisson (nuoc mam)
Poivre noir
Boeuf en fines tranches (facultatif)
Un pho délicieux et rapide
+ 5 parfums( si vous en avez)
Le PHO est meilleur comme ça !
La médecine chinoise, que l’on connait assez peu en France si ce n’est sous l’aspect limité de l’acupuncture, est la seule médecine qui ait une existence continue depuis plus de deux mille ans et qui soit aujourd’hui encore en Chine, une médecine d’Etat : elle est enseignée dans les universités et pratiquée dans les hôpitaux.
C’est un système médical complet qui intervient efficacement dans des champs aussi variés que l’obstétrique, la traumatologie, la chirurgie, l’ophtalmologie, la dermatologie, les problèmes mentaux et émotionnels…
Les médecins reçoivent une double formation à la fois basée sur les fondements traditionnels millénaires et sur les techniques modernes d’investigations médicales.
Pratiquée depuis des millénaires et sur une population qui représente plus du quart de l’humanité, elle bénéficie d’une expérience empirique unique, validée par des études cliniques scientifiques. C’est cette évolution qui lui assure sa pérennité et son adaptation aux besoins du monde moderne.
C’est sur une conception philosophique de l’univers que c’est structurée la médecine chinoise, et c’est cette même conception qui structure des domaines aussi variés que la géobiologie (le Feng Shui), la géomancie et les arts divinatoires (le Yi King), les arts martiaux, la politique, l’agriculture, la calligraphie, la diététique…
La médecine chinoise considère l’être humain comme un ensemble indivisible et interactif, et qui est lui-même un élément de l’univers dont il ne peut être dissocié : « l’homme et l’univers correspondent mutuellement » . C’est aussi une façon plus traditionnelle de changer sa vie
Afin de comprendre les règles qui régissent le fonctionnement de l’organisme, il convient de comprendre quelles règles régissent et structurent l’univers.
SAGESSE ASIATIQUE et L’ARGENT
Voici un gentil petit poème sur l’argent
L’argent peut acheter une maison, mais pas un foyer
L’argent peut acheter un lit, mais pas le sommeil,
L’argent peut acheter une horloge, mais pas le temps
L’argent peut acheter un livre, mais pas la connaissance
L’argent peut acheter une position, mais pas le respect
L’argent peut payer le médecin, mais pas la santé.
L’argent peut acheter du sang, mais pas la vie
L’argent peut acheter du sexe, mais pas de l’amour
Phytothérapie
La phytothérapie, étymologiquement le traitement par les plantes, est une méthode thérapeutique qui utilise l’action des plantes médicinales. On compte environ 2 000 plantes médicinales utilisées en herboristerie. La médecine par les plantes est l’une des plus vieilles médecines du monde ; depuis plus de 6000 ans des hommes du monde entier ont testé et sélectionné les meilleures plantes médicinales pour se soigner.
La plante constitue un ensemble riche et complexe, composé de parties aériennes (feuille, fruit, fleur…) et de parties souterraines (racine, rhizome…). La plante médicinale peut avoir une ou plusieurs parties actives. Agissant en profondeur, à la base du problème, une plante peut avoir de multiples indications qui peuvent sembler très éloignées mais qui ont toutes une origine commune.
La recherche en phytothérapie sélectionne les plantes les plus actives et les plus efficaces pour lutter contre les maladies, et aujourd’hui les progrès de la science sont tels que de nouveaux horizons s’ouvrent. Nouvelles méthodes scientifiques, découverte de nouvelles propriétés, nouvelles formes d’utilisation, désormais les plantes peuvent être considérées comme de véritables médicaments.
Traditionnellement, les plantes étaient consommées en infusion. Aujourd’hui, il existe la poudre de plante totale cryobroyée, plus pratique et plus concentrée, proposée sous forme de gélules. La poudre de plante cryobroyée est obtenue par pulvérisation de la partie active de la plante sèche, par un broyage à froid sous azote liquide.
Le mot phytothérapie provient de 2 mots grecs qui signifient essentiellement « soigner avec les plantes ». Il s’agit d’une pratique millénaire basée sur un savoir empirique qui s’est transmis et enrichi au fil d’innombrables générations.
Aujourd’hui, la phytothérapie s’appuie à la fois sur cette sagesse traditionnelle et sur les découvertes de la médecine moderne. La rencontre relativement récente de ces 2 mondes et le peu de normes qui régissent le domaine font en sorte que la pratique et la formation sont encore très disparates.
Dans le domaine du soin par les plantes, on remarque 2 tendances majeures. Certains intervenants mettent surtout l’accent sur les connaissances empiriques des plantes et sur leurs effets reconnus depuis la nuit des temps. Préconisant une approche holistique, ils s’intéressent aux effets de la plante dans sa globalité, sur tout l’individu. D’autres se basent davantage sur les connaissances biochimiqueset se préoccupent plutôt des symptômes des maladies et de l’action des principes actifs des plantes.
L’herboristerie est plutôt associée à l’école empirique et la phytothérapie à l’école scientifique, mais cette distinction tend à s’amenuiser, tradition et chimie profitant de plus en plus l’une de l’autre. D’autre part, les herboristes s’occupent souvent de la préparation, du mélange et de la transformation (concentrés, huiles, élixirs, onguents, etc.) des plantes et de leur culture, ce que font rarement les phytothérapeutes.
VOYAGE EN CHINE
Mercredi :
Notre avion part pile à l’heure et tel un oiseau tranquille l’Airbus A 340 nous conduit vers une nouvelle aventure vers la Chine…
Nous changeons d’avion à Hong Kong : un jumbo nous mènera à Pékin, notre première destination.
Le trajet m’a semblé court. A bord, nous avons commencé à regarder le programme musical. J’ai sorti la guitare de sa housse pour lui donner un avant goût de l’air chinois.
Nous arrivons à notre hôtel vers 22 h 30, et nous rencontrons les danseurs de hip hop de Nice.
Jeudi :
Matin : répétition générale dans la cour de l’hôtel en vue du grand spectacle de Pékin. L’orchestre apprend très vite à jouer la chanson qu’Henri va chanter. Il souffre beaucoup quand il la chante : urgence, besoin d’amour… On prend conscience parfois que derrière les carapaces se cache un coeur sensible.
Ensuite nous répétons notre répertoire plus traditionnel voire musette. Ca prend vite tournure car je suis venu en Chine avec des musiciens qui savent bien s’adapter..
Ca marche ! Quelques couples dansent autour de nous c’est encourageant.
Vendredi :
Nous sommes allés l’après-midi au marché aux perles. La plupart ont acheté des bijoux, pierres, bagues.
Nous avons ensuite pris la direction du temple du soleil, véritable joyau au coeur d’un parc verdoyant et regorgeant de belles espèces d’arbres.
A 17 h Serge entre en liaison avec sa radio RVM FM (93,7) ou www.rvmfm.com.
Allo Allo Fred, m’entends-tu ?
et c’est parti pour une émission spéciale : » les tribulations d’un crépinois en Chine », et soudain Serge se lance.
« Chers auditeurs bonjour, Serge vous parle en direct de Pékin. » Je suis stupéfait, la liaison est excellente, puis il me passe le téléphone pour exprimer mon avis.
Ensuite l’animateur nous demande d’interwiever des autochtones. Les interwievés se prêtent au jeu.
L’atmosphère dans le parc était bien festive en cette belle journée ensoleillée. Nous écoutons une chorale, admirons l’habileté des joueurs qui s’envoient avec les pieds un gros volant de badminton.
Le soir, nous prenons le métro pour aller flâner dans le centre de Pékin et en profitons pour tourner un clip sur le quai devant une foule de chinois médusés par le caractère insolite d’un tel évènement.
Notre reporter Ilyana a immortalisé ce moment de folie avec sa camera. Visite nocturne de la place emblématique de la Chine : la place Tien An Mien. Retour un peu cahotique à l’hôtel, métro en réparation, difficulté pour trouver un taxi…
Samedi :
Lever de bonne heure car nous allons visiter la grande muraille, de Chine ,monument incontournable dans tous les sens du terme …
Je pars sur la droite (j’avais fait la partie gauche la dernière fois ), les marches sont hautes et inégales et il faut reconnaître que l’exercice physique était assez difficile. Néanmoins le panorama le valait bien et récompensait l’effort fourni.
Après le déjeuner, nous partons vers le podium où nous allons nous produire bientôt dans Pékin.
Avant de monter sur scène, nous nous mêlons à la foule et leur jouons quelques airs de musette dans une ambiance de rue festive. Nous rencontrons beaucoup de chinois et discutons avec eux par les gestes et le sourire ou l’anglais s’il était compris, ensuite nous nous livrons aux rituelles séances photos …
Cette ambiance est sympathique et chaleureuse. Notre passage sur scène a été réussi : l’objectif a été atteint.
Nous rentrons à l’hôtel.
Le diner est le bienvenu car la journée a dévoré nos calories.
Dimanche:
Comme beaucoup de pékinois, nous allons au marché aux puces. Nous achetons quelques habits et livres (pour ma part, livre des affiches de propagande lors de la réforme agraire, ou encore Tintin en chinois !).
Après ces achats nous déjeunons dans un restaurant spécialisé dans le canard laqué. Hélas le temps de préparation étant d’une heure, nous devons nous rabattre sur d’autres mets (aussi bons !).
L’après-midi, nous rejoignons la place Tian An Mien toujours sous un beau soleil, la visite de la cité interdite a été interrompue car l’heure de la fermeture avait sonné. Les couleurs mordorées de fin de journée rajoutent au spectacle une ambiance de bien-être.
Nous allons nous promener le long d’un canal et respirons avec plaisir dans la fraîcheur de l’après-midi.
Ensuite promenade dans le centre de Pékin, le coeur de la ville « branché » avec toutes les enseignes à la mode pour les chinois du haut de la pyramide sociale : Ferrari, Rolls Royce, Rollex, Gucci et bien d’autres.
La soirée est clémente et je profite pleinement de ma promenade. j’observe les lieux avec étonnement :
Le développement économique chinois est fulgurant, la construction dans les villes avance à pas de géant.
Lundi:
Nous nous rendons dans un beau square, joliment arboré, avec au milieu un grand lac.
Au cours de la promenade, des accordéonistes débutants et studieux sur des bancs s’essayant à de nouveaux morceaux.
Si Alain avait été là, il aurait peut-être pu leur prodiguer quelques conseils… Plus loin des joueurs de volants me convient à leur jeu : on doit rattraper le volant et le relancer avec le pied.
Malgré mes efforts soutenus, suivant leurs directives je ne fais guère de prouesses et ma maladresse pour ce nouveau jeu les fait bien rire et rend la partie sympathique.
Ensuite, nous sommes conviés à faire tourner des banderoles multicolores dans le ciel et avec quelques mouvements souples du poignet on arrive à décrire de belles arabesques.
Serge a même réussi à en faire virevolter deux à la fois Nous avons plaisir à participer à ces différents jeux aussi compte tenu de leur extrême gentillesse et de leur patience à nous prodiguer les conseils nécessaires pour ces jeux.
Après le déjeuner, nous prenons l’autocar pour notre nouvelle destination SHI ZIA ZHENG.
Nous arrivons le soir pour diner et dès notre arrivée, on nous annonce que la première répétition aura lieu le lendemain à 14 h en vue de la préparation de quelques spectacles à venir. Notre hôtel est un très bel établissement de 5 * Dernières mises au point du spectacle dans les chambres : clowns et musiciens.
Mardi:
Journée noire !
A la suite d’incidents survenus dans la ville : manifestation violente et voitures brûlées (Henri les a filmées), notre spectacle est annulé. Nous n’avons pas de chance.
Alors le matin nous partons en car dans un gigantesque centre commercial ultra moderne dont la spécialité est la confection d’articles en cuir « le bonheur des dames » : sacs, chaussures, ceintures, casquettes…
L’après-midi nous irons nous promener au centre ville, là même où se sont déroulées les manifestations précédemment.
Après le diner dans un restaurant de qualité, nous rentrons à l’hôtel et en chemin nous tombons sur une « dance party » improvisée sur un trottoir, il y a une sono sur une charrette et l’on danse de partout – tango – madison – disco – c’est spontané informel et très agréable.
Plus loin un karaoké hurle dans l’air avec un écho artificiel – ce sont des chants chinois, nous ne pouvons donc pas y participer.
Demain, ce sera la triste séparation entre clowns et musiciens…les groupes se séparent pour des destinations très différentes.
Mercredi:
Au matin nous sommes conviés à une cérémonie avec remise de médailles. Nous faisons une photo officielle avec tous les groupes réunis : cercle celtique de Quimper (KENREN), la troupe hip hop de Nice et nous mêmes, tout ceci dans la galerie d’un peintre célèbre : LIANG YAN.
Pendant les festivités Karl et moi lançons un blues bien nostalgique annonciateur de l’amertume due à la séparation de notre groupe, certains partent dans le sud de la Chine, les musiciens et quelques clowns à la montagne.
Arrivés sur les lieux, plus exactement à San Feng Palace, nous attend une scène ronde ou nous commençons un set de chansons typiquement françaises ce qui semblait ravir le public. Le groupe hip hop se produit ensuite sur notre musique un peu funky comme il le souhaitait. Les bretons de Quimper font une belle démonstration de danses. Leurs costumes sont superbes.
Nous reprenons la main avec une bonne série de chansons. Les clowns qui ne sont plus que quatre déambulent, font des gestuelles pour chauffer le public et nous terminons sur un air breton emblématique : le loup, le renard et la belette pour que nos amis bretons viennent nous rejoindre pour la finale. Nous avons produit une prestation festive et joyeuse, c’était le but essentiel recherché. Monsieur le maire de Moret applaudissait notre intervention, c’était un signe encourageant. Après cela nous prenons un petit funiculaire qui nous emmène vers les sommets et le temple de Quinlong. Nous nous promènerons dans la fraîcheur boisée des cimes. Retour à notre ville étape pour un bon diner. Demain nous quitterons l’hôtel à 8 h 30.
Jeudi : Journée marquée essentiellement par un voyage de 9 h en autocar. Arrivée à LUOYANG en fin de journée. Cette ville est la capitale de la pivoine et organise chaque année des festivals réputés.
Diner, puis un petit tour dans la ville…
Petite réunion sympathique du groupe autour d’un verre d’alcool de riz qui doit être bu très doucement compte-tenu de sa teneur en alcool.
Vendredi :
Nous allons dans le stadium où se déroulera la grande fête de clôture du festival de Luoyang. Afin de répéter – la scène est immense – il faut s’étaler le plus possible pour remplir l’espace. Il faut dire que nous ne sommes plus que dix ( 5 musiciens et 5 clowns).
La répétition terminée nous rentrons à l’hôtel pour déjeuner rapidement car en début d’après-midi, nous allons nous produire à nouveau.
Nous arrivons sur les lieux et ô comble de surprise, sur le fond de la scène, j’aperçois ma photo prise lors de notre précédente venue en Chine. Je n’en reviens pas !
Cette fois-ci nous allons jouer live « à la force du poignet ». On met à notre disposition des micros et dès que j’entonne « l’amant de St Jean », j’apprécie la qualité de la sonorisation (voix, guitare, accordéon, cuivres et batterie) sonnent au mieux, ce qui nous encourage à faire avec énergie tout le programme. Les musiciens ont bien assuré la prestation , Les clowns ont également donner le meilleur d’eux-mêmes.
Le public était en liesse, ce soir à l’hôtel il va falloir ouvrir une bouteille de saké pour fêter ça, cela s’impose !
Après le diner, nous nous promenons dans un vieux quartier de la ville : le spectacle est intéressant : des boutiques, des commerces en tous genres s’offrent à nos yeux : légumes, fruits, poissons…, une image plus traditionnelle et vétuste de la Chine fait le bonheur de nos appareils-photos.
Nous avons donc fini cette belle journée par un pot de l’amitié dans notre chambre d’hôtel, car il ne faut pas perdre les bonnes habitudes !
Samedi :
Une journée bien remplie nous attend.
Après un petit déjeuner matinal ; nous voici à nouveau aux portes du stadium pour un immense show télévisé.
En attendant notre tour, nous sympathisons avec différents groupes folkloriques. Avec une compagnie russe, nous créons la surprise en leur jouant quelques morceaux de chez eux. Les belles chantent joyeusement avec nous, c’est un échange bien sympathique quifait tomber les barrières artificielles entre les peuples.
Ensuite, voici quelques enfants très « assurés » qui demandent à essayer nos instruments. Nous ouvrons alors 4 ateliers à leur intention : trompette, trombone, batterie et guitare. Leurs essais sont prometteurs, ils apprendront vite car ce sont des habitués du spectacle et de la scène.
Nous rentrons dans le stadium où mille projecteurs multicolores vont balayer notre prestation. Notre troupe est en place et très motivée malgré le gigantisme des lieux. Les applaudissements crépitent de toutes parts .
Notre passage a eu le succès escompté, ensuite tous les groupes partent en parade dans la ville et nous devons nous arrêter à 8 podiums successifs pour produire notre show. La température est élevée mais les ovations du public nous encouragent à poursuivre sans relâche…
Et voilà, c’est terminé !
Le repas bien mérité, arrosé de bière bien fraîche et gouleyante couronne cette matinée très active.
Et voici le temps de la visite : nous découvrons un superbe temple (celui du général GUAN YU) dont je ne vous ferai pas l’historique, reportez-vous à vos guides favoris !
C’est bien sur dans la sérénité que nous traversons cet endroit. Des fumées montent vers le ciel, les cierges brûlent pour exhausser les voeux…on vient ici pour prier et se recueillir.
Nous allons à la cité troglodyte de Long Men. Je l’avais déjà vue. C’est un plaisir de la redécouvrir avec ces milliers de sculptures à même la roche. C ’est un merveilleux travail d’orfèvre. Les siècles sont passés par là et toute une histoire des civilisations a traversé ces lieux magiques.
Retour en bateau sur le fleuve YU.
Un petit verre d’alcool de riz pour clôturer cette journée riche en évènements.
Dimanche:
Départ matinal pour des régions montagneuses, c’est le brouillard complet mais c’est magique. Les tunnels s’enchaînent et bientôt c’est l’arrivée au manoir superbe d’un professeur officiel du premier empereur Ming : HUANGCHEN village Nous visitons tout le village avec ses multiples temples, jardins, cours intérieures, villas. C’est une succession de merveilles, l’édifice est vaste et grandiose.
Voici que la télévision m’interwieve et l’on me demande mes impressions sur ce site, je ne peux que multiplier les commentaires favorables et j’ exprime toute l’admiration que je porte à cette culture asiatique insistant sur la grande sérénité qui se dégage de cet endroit magique.
Après un déjeuner tumultueux au milieu de 1600 festivaliers venus de tous les coins du monde, nous allons vers l’amphithéâtre où tous vont se produire. Nous monterons sur scène après nos amis belges, et la prestation est concluante, les applaudissements nous font chaud au coeur, chacun ayant donné le maximum.
Nous faisons quelques photos puis nous reprenons une longue route de 2 h 30 pour rejoindre notre hôtel pour un diner tardif. A la fin du diner, notre charmante guide nous remet nos diplômes honorifiques de festivaliers et puis surtout la coupe que nous avons remportée récompensant l’ensemble de nos prestations.
Journée fatigante mais qui laissera de beaux souvenirs.
Il faut faire les bagages car demain, nous repartons en train à Pékin. Ne prononcez pas le mot » valise » car sans clef vous ne pourrez plus l’ouvrir à moins qu’un serrurier malin ne vienne vous prêter main forte !
Lundi:
Dernière visite : le temple du cheval blanc qui nous plonge à nouveau dans la méditation et la sérénité.
Après le déjeuner, les valises s’entassent méthodiquement dans notre minibus, il nous faut partir à la gare.
Départ pour Pékin à 19 h (c’est un train de nuit). Nous prenons dans le compartiment le dernier verre de l’amitié : un alcool de riz encore nettement plus violent que ceux que nous avions goûtés précédemment, mais avec les amuse-gueules, le liquide s’adoucit sur nos papilles.
Arrivée à Pékin à 6 h du matin, nous prenons le bus de l’aéroport, l’ambiance est glauque, il pleut. Nous passerons presque toute la journée dans ces lieux à attendre l’avion du soir.
Dragon air nous emmène à Hong Kong, transfert, et direction finale sur Cathay Pacific pour Paris.
Bien entendu nous arrivons à Roissy sous la pluie.
Ma guitare n’est pas là à l’arrivée à Roissy,( elle n’avait pas envie de rentrer à Paris), elle reviendra finalement le lendemain. L’accordéon d’Alain qui a rendu de bons et loyaux services en Chine n’a pas supporté le retour et a rendu l’âme victime probablement d’une manutention brutale. `
Ainsi s’achève le séjour 2012, et ma conclusion sera de dire que les participants avec leurs personnalités différentes ont constitué un groupe soudé, amical et bien sympathique, tout le monde ayant accompli sa tâche avec motivation et bonne humeur.
LE VOYAGE cette année, un bon cru !
Contrat rempli, mon cher Henri !
Un grand bravo à tous les artisans de cette réussite.
Michel RECULLET
L’acuponcture.
(Casimir, le fait du Dragon.)
Les principes fondamentaux de l ’acuponcture sont décrits dans le Huangdi Nei jing (Classique interne de l’empereur jaune), c’est un ouvrage composite dont les parties les plus anciennes remonteraient au III siécle avant J.-C.
* Concept des méridiens et vaisseaux secondaires.
La médecine traditionnelle Chinoise considère que les méridiens (Jing) et les vaisseaux secondaires (Luo), sont des trajets répartis dans le corps humain, et dans lesquels circulent le sang et le qi (énergie vitale). Ils forment un réseau reliant les régions superficielles et les régions profondes du corps, équilibrant le fonctionnement de l’ensemble de l’organisme.
Les méridiens sont les troncs principaux et circulent longitudinalement, alors que les vaisseaux secondaires sont leurs branches.
L’on peut considérer deux groupes :
Les méridiens réguliers (Les Douze Méridiens )
Les méridiens extraordinaires (Les Huit Méridiens Extraordinaires)
Pour les vaisseaux secondaires, il y a les majeurs et les accessoires. Ils permettent la communication d’un méridien à l’autre. Les méridiens sont répartis symétriquement sur l’ensemble du corps. A l’intérieur, ils se relient avec les viscères, et à l’extérieur avec les quatre membres, la peau, les organes des sens, faisant du corps un ensemble organisé.
* (source : Précis d’acuponcture Chinoise, Académie de médecine traditionnelle chinoise Edition Dangles)
C’est de manière empirique et au cours des siècles, que les anciens ont découvert, de proche en proche, que la stimulation de certains points du corps avec des aiguilles, pouvait améliorer l’état de santé des malades. Il n’est pas exclu de penser que la pratique de la méditation ait joué un grand rôle dans ces découvertes. (la méditation en Asie est considérée comme un état actif du corps et de l’esprit ; à ne pas confondre avec la contemplation qui est un état passif.)
Ainsi s’est formée cette représentation du corps en méridiens et vaisseaux reliés aux viscères ; le tout constitue ainsi une unité homogène.
L’intérieur (le corps)
L’extérieur (l’espace de la vie)
La fluidité, intérieure et extérieure (qui est appelé le qi ou l’énergie vitale), forme un tout en osmose. . L’information est transmise aux frontières de ces deux couches par la peau et les organes des sens.
L’aiguille, en un point bien choisi, stimule le qi intérieur. Il y a de la sorte un rééquilibrage entre le qi intérieur et le qi extérieur, parce qu’ils ne sont pas différents, mais complémentaires entre eux et de même nature.
J’entends déjà cette petite voix, qui dit et répète toujours sur le même ton, les mêmes arguments en toute circonstance et cela quel que soit le sujet que l’on aborde :
« Oui mais les anciens ont pu se tromper, leur connaissance ne portait pas sur un raisonnement prouvé scientifiquement, et plus est, ils n’avaient pas la technologie. Nous avons la technologie, et pourtant les fameux méridiens n’ont toujours pas été détectés à ce que je sache, pas plus que cette hypothétique énergie, le qi , alors ? »
Alors, ça suffit ! Je vous dis que cette énergie existe, les physiciens ne parlent que de ça !!
Le zéro quantique : infinité de l’énergie
Pour les physiciens, le vide contient toutes les particules et les forces à l’état latent. C’est une substance bien plus riche que le néant des philosophes. Sir Martin Rees.
A qui reviendra le privilège de nous expliquer, le fonctionnement de la bienveillante corne d’abondance ? Cette personne viendra de la physique sans aucun doute. Mais non ? Mais si …
JPB.
Pour en savoir plus. Livres cités dans l’article :
Huangdi Nei jing (Classique interne de l’empereur jaune).
Canon de médecine. L’un des plus important livre de la culture classique chinoise.
Précis d’acuponcture Chinoise.
Académie de médecine traditionnelle chinoise Edition Dangles Livre récent qui répertorie toutes la connaissance actuelle sur ce sujet. Très technique s’adresse aux professionnels de la santé.
***
Je vous conseille, si le sujet vous intéresse, tel qu’il est présenté dans cet article, deux livres, qui ne traitent pas de l’acuponcture mais qui pourront en éclairer le dessin et les contours . Les grands principes de l’acuponcture ne sont pas affaire de raison, mais de résonance. Deux livres pour trouver le juste milieux.
Le premier livre en éclaire le dessin . Garder l’un,
Le livre de la cour jaune
Présenté, traduit du chinois et annoté par Patrick Carré.
Classique taoïste des IVe – Ve siècles Edition point sagesse Sa146
Le corps et ses organes décrit de manière visionnaire et poétique.
Ce livre nous fait entrer dans un monde complexe fait d’image hautement symbolique.
Le corps vu autrement que par l’intermédiaire de machine, qui ne restitue froidement, que la connaissance technologique quelles en ont.
Le second livre en dessine les contours. Retourner le zéro à l’infini,
Charles Seife Zéro La biographie d’une idée dangereuse Pluriel Hachette Littératures
La grande aventure des chiffres, des nombres et du zéro à commencé à Babylone il y à très longtemps, probablement cherchait on un moyen pour compter les moutons . La grande aventure du zéro continue aujourd’hui, mais les moutons sont virtuels…
Math / Physique ou en est t’on ?
Pour ceux qui douteraient encore, qu’il existe une énergie de type qi , tel qu’ elle est décrite par les anciens.
Pour ceux qui ne font aucune distinction entre le néant et le vide.
Pour ceux qui bien pensant se représentent le monde de manière déterministe, et qui ont des idées bien arrêtées, concernant ce que sont ou doivent êtres les lois naturelles. Pour ceux qui parlent avec déférence de l’esprit cartésien. Ce livre n’est pas pour vous, il peut même être nocif pour votre bien être et nuire à votre équilibre.
Pour les autres lisez le c‘est superbe. Tour de passe-passe des gens qui savent rendre accessible au grand public, ce que la science actuelle à de plus pointu ( avec quand même un petit effort de votre part).
Devinette : Qui à inventé le zéro ? Les ostrogot ? Les américains ? Les russes ? Les aztèques ? Les chinois ? Les grecques ? Les arabes ? Les indiens ? Les hébreux ? Les romains ? Les égyptiens ? Les gaulois ? Les mongoles ? Les turcs ? Les babyloniens ? Les néandertaliens ? Les stroumphs ? Les atlantes ? Les premiers ordinateurs ?
Annexe
L’odyssée de l’espèce, au seuil de la porte de jade.
Un bébé babille à Babylone.
Comme un trésor, la noix cache son fuit !
Ainsi sous l’eau bleu, l’huître, protège sa vie !
Chambre d’or et perle de nacre …
Ce n’est ni rond ni lisse une noix, mais plein de bosses.
Deux hémisphères parfaitement jointes en scellent les parties.
Un anneau de vide, les unis …
Pour s’emparer du fruit, il faut presser la coque aux endroits choisis, autrement tout fini en bouillie.
De matière en lumière de lumière en poussière…
S’emparer du fruit, sans en altérer la coque, tel est le défit !
Le bébé à grandit, une multitude babillent à l’infini …
A l’aube des perles de nacre.
Garder l’un, éprouver le tout.
Circonspect et serein, il va il vient, le centre est partout, engendrant de rien, raisonnant sans raison …
Bulles de vie, perles de nacre, gravitent dans vide à l’infini.
Jean-Pierre
Par une belle soirée de septembre, des artistes venant des quatre coins de l’hexagone furent invités à découvrir un spectacle dont le décors était le fameux barrage des « 3 gorges » où nous étions aussi conviés.
Nous découvrîmes une scène gigantesque entourée de quatre immenses grues qui surplombaient des rampes de jeux de lumières colossales aux couleurs irréelles. Tels des géants de la guerre des étoiles, les grues se mirent en mouvement comme mues par une force invisible.
Bientôt, une musique titanesque et grandiose, nous enveloppa, enserrant nos oreilles d’un étau de plaisir : le spectacle commença. Des murs de baffles nous distillait un torrent de cuivres aux accents de péplum, les grues se mirent à s’affoler et soudain un silence de plomb nous cloua sur place. Des centaines de comédiens, danseurs, jongleurs, acrobates et figurants ,environ mille personnes, surgirent de nulle part ou de tous les coins à la fois. Nos yeux ne savaient pas où regarder, notre attention attirées par tant de mouvement, s’affolaient ivres de couleurs et de magie. Une grue enleva une jongleuse et la transporta dans les airs, une autre souleva une jonque qui navigua en plein ciel, et une troisième emporta un immense tambour sur lequel une danseuse effectua une danse délicate…
Nous étions happés par ce spectacle où se détachait le fameux barrage grandiose et effrayant à la fois. La fin de cet incroyable débauche de moyens se termina par l’arrivée spectaculaire des mascottes de jeux olympiques de Beijing 2008, Pékin 2008.
Des étoiles plein la tête et après cette « petite » mise en bouche, nous songions avec une certaine circonspection à la dimension pharaonique des festivités prévues pour l’ouverture des jeux de Beijing 2008, Pékin 2008.
Et que cela reste entre nous, il nous a été confié que ce spectacle auquel nous avons été conviés aurait coûté, juste pour 12 jours, la bagatelle de 3 millions d’euros. Une bagatelle, quand l’on sait que de telles représentations sont réalisées dans de nombreuses villes de Chine.
Bien sûr les Jeux Olympiques à Pékin ce n’est pas tous les jours.
Beijing 2008, Pékin 2016
Beijing 2008, Pékin 2016, fait son cinéma
J’étais un des privilégiés à pouvoir assister au spectacle de « TURANDOT » le fameux opéra au STADE DE FRANCE le 28 mai 2005. Une seule représentation, un délire de moyens, des divas, des cohortes de figurants, un décor féerique et un metteur en scène, ZHANG YIMOU, tout droit sorti d’un monde magique celui du cinéma.
En 2007 un film flamboyant aux couleurs chatoyantes, CITE INTERDITE permet à ZHANG YIMOU de nous distiller sa maîtrise de la réalisation. Choisi par le COMITE OLYMPIQUE CHINOIS pour la mise en œuvre de la cérémonie d’ouverture de BEIJING 2008, Pékin 2008, ZHANG YIMOU nous assénera inéluctablement un show fastueux à la dimension de la Chine. Cette inauguration aura pour cadre, la fameuse CITE INTERDITE, un lieu à la fois prestigieux empreint d’histoire et de solennité.
La Chine est rentrée de plein- pied dans l’ère de la communication. Elle a su imposer un metteur en scène, préparer son ascension, lui créer une image auréolée de talent, l’imposer et ainsi donner aux Jeux Olympiques de BEIJING 2008, Pékin 2016 un supplément d’âme.
Le tao te king « Classique de la voie de la vertu », dit encore livre de Lao Tseu.
Lao Tseu.. Le vieux Maître aux longues oreilles qui vécut au VI ou V siècle avant notre ère.
De quoi parle ce livre comment se structure t’il ?
Comme souvent en chine ce sont les chiffres, qui prédominent sur les lettres. Un livre étant considéré comme une construction géométrique, le tao te King n’échappe pas à la règle et il est en deux parties :
LA VOIE trente sept chapitres
LA VERTU quarante quatre chapitres
… Soit quatre vingt un chapitres en tout.
Ce nombre n’est pas choisi au hasard quatre vingt étant considéré comme représentant le grand Yang, (c’est lié à la numérologie chinoise : yang c’est neuf, neuf au carré c’est le grand Yang ).
Le mode choisi est l’aphorisme (maxime énoncé en peu de mot, adage), ce sont donc quatre vingt un aphorismes, qui ce lisent rapidement et dont le sens est évident, ça coule de source. Ce livre traite de la conduite de l’état, comment diriger un pays, et aussi comment se diriger soit même. Sous-tendant qu’il existe un savoir authentique, une compréhension ultime ordonnée et globale. Manient le paradoxe pour mieux stimuler la réflexion, le tao te king n’est pas toujours aisé à pénétrer, Lao Tseu, brise les habitudes de pensée conventionnelle.
Ce livre est plus subtile qu’il n’y paraît. D’abord, par ce que, ces petits textes se succèdent les uns après les autres, comme s’ils étaient reliés entre eux, mais aussi, ce qui est énoncé à un chapitre se retrouvera développé ou complété à un autre chapitre ou bien en sera l’aboutissement, la terminaison. De plus, trois, niveaux, de lecture sont possible : Lecture de l’aphorisme comme simple conseil de bon sens. L’aspect philosophique et métaphysique (la sagesse et au-delà du monde des apparences). Et en troisième lecture quelque que chose qui est de l’ordre de l’esthétique, qui est davantage du domaine du ressenti que de l’explicable.
Pour résumer et être plus précis sans rentrer dans l’intellectualisme austère et desséché, on pourrait dire, il y a la forme, ce qui est évident, la subtilité de la forme au-delà des apparences et le secret de la forme c’est à dire le vide et le plein (le vide et la chose tangible). Le vide ne serait pas vide mais bourré d’énergie et le plein serait son apparence la toile de la vie ( patterns).
Ho la la, après ça va falloir, dire quelques, plaisanteries et faire preuve de fantaisie, on n’est pas loin de friser, la prise de tête, du genre gros melon.
Alors quelques petites galéjades :
Deux choses lune, l’autre c’est le soleil. (Jacques Prévert)
L’ennui de l’huître produit des perles. (José Bergamin)
Dans le passé, il y avait beaucoup plus d’avenir que maintenant. (le Chat)
On est peut-être con, mais pas au point de voyager pour le plaisir. (Samuel Beckett)
Madame est en retard. C’est donc qu’elle va venir. (Sacha Guitry)
Est-ce que j’ai bien fait de sortir la pendule et de remonter le chat. (Groucho Max)
La bonne hauteur, c’est quand les pieds touchent bien le sol. (Coluche)
Il est plus facile de ne laisser aucune trace, que de marcher sans toucher le sol.(Tchouang Tseu)
Sur tout les continents il y à des singes, sauf en Europe, mais en Europe ils y à les français ! (Arthur Schopenhauer)
C’est un coup du sort étrange : tous les hommes dont on a ouvert le crâne avaient un cerveau ! (Ludwing Wittgenstein)
700 millions de petits chinois et moi et moi et moi, j’y pense et puis j’oublie c’est la vie, c’est la vie. (Jacques Dutronc)
Et moi ? (JPB)
Et pour terminer sur une note qui teinte juste.
Voir la montagne
Ne plus voir la montagne
Re-voir la montagne
Qing Deng