Étiquette : Inde

  • La cuisson du riz version Asie

     

    Cuisson du riz, comme en Asie !

    1- Le mieux est d’acheter du riz parfumé (Thaï ou autre), de préférence dans un magasin asiatique et surtout pas dans une grande surface car ce dernier a été traité ; ainsi la cuisson ne pourra pas s’effectuer convenablement selon les vieilles recettes traditionnelles.

    De préférence n’achetez pas du basmati qui est un riz dédié plus à la cuisine Indienne.

    2- Lavez le riz pour retirer un peu d’amidon.

    3- Mettez le riz dans une casserole, peu importe la quantité.

    4- Ajoutez de l’eau froide environ 2,5 cm au dessus du riz , et couvrez.

    5- Faire cuire à feu vif jusqu’à ébullition de l’eau.

    6- L’eau doit s’évaporer et des bulles apparaissent bientôt à la surface du riz. Il faudra bien attentivement suivre la cuisson et ne jamais mélanger car votre riz risque de se transformer en riz gluant, ce qui n’est pas, à- priori votre but.

    7- Couvrez à nouveau et faites cuire à feu doux jusqu’à cuisson du riz environ 15 à 20 minutes.

    Les asiatiques ne salent ni ne poivrent leur riz à la cuisson.

    Maintenant, il est fort pratique d’utiliser un « rice- cooker » !

  • Humour et Asie en photos

    Humour et Asie en photos

    Asie humour et humour d’Asie en photos :

     


    - C’est le big chief,c’est un bleu, il est rarement là, il fume le cigare, il roule en grosse limousine, il ne sert à rien mais les autres l’appellent Patron !



    - Sous des airs de gros poupon, la responsable des ressources humaines est intraitable et elle n’a qu’une devise : « faut mériter son biberon ».

  • Indian Ocean

    Indian Ocean

    Indian Ocean, des artistes passionnés

    « Indian Ocean », qui sommes nous ?

    Nous avons créé cette structure dans le but de promouvoir la culture indienne en France et permettre aux personnes de tous les horizons,cultures et origines différentes d’en connaître un peu plus sur l’Inde,sa culture, ses traditions … et surtout ses danses et musiques !

    Nous avons trois pôles d’activités au sein de notre structure :

    1) Les cours de danse Barathanathyam, Bollywood, Bhangra, Gaana Dapankhutu, Kathak, Kalbelia et Odissi

    2) La création de chorégraphies indiennes

    3) L’organisation d’évènements privés et d’entreprises aux couleurs de l’Inde

    Notre but est de faire découvrir la chanson réaliste actuelle, faire vivre le patrimoine des chansons populaires, entraîner le public avec des airs traditionnels, travailler le côté esthétique de la scène par le biais de la danse, enfin, rassembler des gens d’horizons différents autour de notre musique.

    Grâce au travail de recherche artistique et de création musicale entamée depuis la formation de la troupe, nous possédons actuellement un répertoire musical composé en parts égales de reprises et de compositions de style Bollywood (classique et moderne),Gaana dapakhutu, Bhangra et Barathanatyam. Des projets de musiques et de chansons sont en cours et la structuration d’un spectacle musical est déjà bien avancée.

    Laissez -vous tenter par l’expérience Indienne et plonger vous en Inde en visitant notre site www.danse-indienne-bollywood.com

    Un parcours déjà bien

    - Spectacle, à Paris, au musée Grévin pour l’inauguration de la statue de Shahrukh Khan
    - Grand Rex avec la présence de Rani Mukherjee et Preity Zinta,
    - Fesival du cinéma en 2009 avec Amitabh Bachchan et Aishwariya Rai
    - Cannes pour l’ouverture du Festival de Cannes en 2006, – festival Filmprais au Luxembourg
    - Tf1 à la Star Academy
    - France 2 dans l’émission Télé matin
    - M6 dans l ‘émission « incroyable Talent » et 100% mag
    - Aquaboulevard
    - Champs de Mars
    - Club Med Gym
    - Disneyland
    - Galeries Lafayette
    - Grand Rex
    - Majestic Barrière de Cannes
    - Musée Grévin
    - Trianon
    - Virgin des Champs Elysées…)
    - Soirées d’entreprises prestigieuses (Alcatel, Bouygues, Cartier, EDF, Fujitsu, Gan, Hermes, Lycos, Pimkie, Ranstad, Sephora, Thomson,Veoli

  • Raita de carottes/Inde

    Raita de carottes/Inde

    Raita de carottes (recette indienne/ cuisine indienne)

    Raita de carottes (recette indienne/ cuisine indienne)

    Ingrédients

    - 3 yaourts natures
    - 2 carottes déjà bouillies
    - 1 cuillère à café de graines de moutarde
    - du sel
    - un peu de hing (asafoetida) optionnel
    - quelques feuilles de coriandre fraîche
    - un peu de ghee ou d’huile

    Préparation

    - Tout d’abord battre le yaourt.
    - Ensuite écraser les carottes.
    - Mélanger le yaourt et les carottes.
    - Ajouter le sel et les feuilles de coriandre fraîche (mélanger)
    - Faire chauffer un peu de ghee dans une petite louche sur le gaz.
    - Ajouter les graines de moutarde et l’asafoetida.
    - Quand les graines créptitent, les ajouter dans le raita.

     

    Ce goût de moutarde surprend, mais dans le bon sens. Bon appétit !

    par Pankaj

     

  • Histoires asiatiques

    Histoires asiatiques


    你可以找到一個在中國的文字在文章的末尾

    La préférée !

    Ce sont de vraies histoires asiatiques.Ma préférée, mon préféré, mes préférés, ma préférence, sonnent comme une chanson… Assez, comment peut-on imaginer dans notre vieille Europe démocratique et égalitaire, l’utilisation de cette notion surannée qui ne semble pouvoir subsister que dans des pays arriérés en voie de développement.

    Eh oui, ne vous déplaise, cette idée de préférer un oncle, une tante, un frère, une sœur et pire un enfant à un autre est encore aujourd’hui chose courante en Asie. Non seulement la préférence est exprimée, mais elle est connue de tous.

    Je me souviens, encore aujourd’hui, de ces réunions familiales pleines de gaieté où les frères, les sœurs, les cousines, les cousins se retrouvaient pour des fou- rires inoubliables, des jeux bruyants et des chamailleries joyeuses.

    Mes parents s’absentaient souvent et nous laissaient sous la haute surveillance des nombreux domestiques et employés de maison ; ces derniers ne pouvaient que difficilement contrôler les chenapans que nous étions, toujours pressés de s’épanouir dans des blagues enfantines et des bêtises sans cesse renouvelées. Notre toute nouvelle liberté nous poussait insidieusement à pousser les limites du raisonnable.

    C’était si drôle d’envelopper nos « fraîches déjections » dans de jolis papiers aux couleurs chatoyantes, de les ficeler tels des cadeaux délicats. Nous les déposions ensuite dans la rue en attendant que des piétons intrigués par ce don tombé du ciel, cet inattendu présent, ne s’emparassent manu militari du paquet croyant à la divine providence. Et au lieu de trouver des bijoux, de l’argent ou le trésor des Incas, ils avaient l’avantage et le suprême honneur de sentir l’odeur nauséabonde d’une matière fécale molle et collante qui leur titillait le museau. Nos moqueries, rires et sarcasmes étaient toujours fort sonores, ce qui provoquait chez les victimes des rictus de haine !

    L’eau potable était essentielle à la bonne marche de notre smala. La collecte de la pluie restait toujours une priorité ; papa avait fait construire une réserve en ciment ce qui nous permettait de ne jamais en manquer. Je me souviens d’une période de grande chaleur et profitant de l’absence de nos parents nous avions décidé de nous installer dans cette piscine improvisée en n’oubliant surtout pas de nous y savonner avec force, d’uriner abondamment et aussi d’essuyer nos pieds noirs de crasse et de boue.

    Treize frères et sœurs prompts à la rigolade, aguerris à la subtilité de potache et toujours prêts à soulever des montagnes pour que les bêtises soient reconnues, glorifiées, en se hissant au niveau d’un art.

    Maman et papa dès leur retour trouvaient fréquemment sur leur porte un petit mot de voisins excédés se plaignant du bruit infernal occasionné par nos pyjamas- parties et nos délires nocturnes, nos bêtises démoniaques ou les vestiges de catastrophes bien maladroitement cachés. Papa gardait toujours précieusement dans un coin de la maison notre pire ennemi : le martinet en peau de buffle. En pleine nuit, il soulevait la moustiquaire collective des garçons et à chacun attribuait une cinglante punition soulevant des grognements d’animaux encore sous l’emprise de la nuit câline. Ensuite il se dirigeait vers la chambre des filles apeurées, collées les unes aux autres dans l’immense lit, et leur infligeait la même correction dans un chapelet de cris stridents.

    Le lendemain, toutes les cuisses, les fesses gardaient des traces rougies, irritées, des souvenirs cinglants d’une nuit de légitime retour de bâton.

    Jamais papa n’avait levé la main sur moi, sa préférée, la peureuse de service, la poule mouillée et à chaque « correction » collective j’échappais toujours, comme par magie, à la « douce caresse » du fouet vengeur. Ce privilège n’attirait pas toujours la sympathie de mes sœurs et frères et provoquait chez eux un désamour bien légitime qui me laissait souvent seule, face aux sarcasmes de toute la fratrie.

    Dans les familles vietnamiennes de l’époque, être la « préférée » n’était pas une simple vue de l’esprit mais un vrai statut qui conférait à l’heureux élu des privilèges et bien peu de devoir. Je m’en suis jamais plainte !

    Aujourd’hui sans l’avouer, sans l’exprimer, toujours en catimini nous n’avons pas la moindre préférence, oh non, mais juste une toute petite attirance, un doux penchant vers l’un de nos enfants, mais bien sûr nous les aimons tous profondément, en n’en préférant aucun ; la morale est sauve et sauve la morale.

    Ces vraies histoires asiatiques semblent saugrenues mais elles ont été réellement vécues.

    HV

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  • Loin de la Bretagne, l’Inde

    Loin de la Bretagne, l’Inde

    Une bretonne à la recherche du Nirvana en Inde!

     Une bretonne à la recherche du Nirvana !

    Jeu : une bretonne rousse s’est cachée parmi des indiens, à vous de la retrouver… pour le gagnant, 100kg de crêpes et un magnifique séjour à Redon.

    Un groupe de 20 bretons est parti 15 jours en Inde du Sud traversant le « Tamul Nadu pour rejoindre la côte ouest du Kerala. Piloté par un guide du pays, nous avons sillonné le sud de l’Inde en car en passant par Chennai, Pondicherry, Maduraï, Kodal Kanal, Black Waters…Cochin et retour en train de nuit. »

    Nos bretons ont été impressionnés par cet étrange animal fort rare en pays Bigoudin Une fesnoz très exotique



    Ferveur  des indiens dans les temples, le sourire et la gentillesse des hommes et des femmes que nous avons côtoyés, la finesse des plats au curry, les rick shaws zigzagant entre les camions voitures et vaches sacrées, les saris chatoyants, la beauté des paysages ensoleillés : montagnes, rizières, sequoias, palmeraies, plages… sont autant de souvenirs impérissables et colorés. Nous attendons tous une bonne occasion pour partir à la découverte de l’Inde du Nord ! »

     « une seule fausse note, il me manquait le cidre et les crêpes…. A défaut de crêpes j’ai pris des NANS, mais ce n’est pas pareil, il manque ce petit supplément d’âme qui donne ce goût breton si particulier et qui parle à mes origines flibustières ». Pourquoi aller si loin, le Nirvana c’est la crêpe avec une rincée de cidre. Soizick