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  • Histoire vraie, le mystère de la langue perdue.

    Histoire vraie, le mystère de la langue perdue.

    Le mystère de la langue perdue.porteurs asiatiques

    Cette histoire est une histoire vraie, une histoire vraie que j’ai très longtemps occultée.

    Aussi loin que je me souvienne, le français, la langue française, a toujours été pour moi un moyen simple que j’utilise sans difficulté particulière, qui reste docile comme une amie. D’autres vocifèrent, pestent contre cette langue si compliquée à dompter qui reste sauvage pour la plupart de nous.

    En classe,mon imagination vagabondait d’histoires étranges en récits romanesques. Rien dans ma scolarité ne me prédisposait particulièrement à cette facilité. Dans mes rédactions colorées et pleines de d’aventures, je couchais sur le papier mes rêves les plus fous, mes espoirs les plus extravagants. Ces histoires faisaient le tour des classes car mon style, si saugrenu fut-il, plaisait aux élèves mais, étrangement, aussi aux professeurs. Avais-je mérité ces éloges unanimes ? Ces rédactions passaient de classe en classe faisant l’admiration de mes congénères !

    Il faut pourtant avouer qu’en mathématiques, je frôlais souvent le zéro pointé, qu’en histoire et géographie, mes notes inlassablement restaient en dessous de la moyenne et qu’en langue étrangère mon accent était l’objet de nombreuses plaisanteries.

    Mais en revanche en « rédac »…j’atteignais les sommets ! Des 19/20, des félicitations, en veux tu en voilà…Où avais je donc appris les syntaxes, l’orthographe, la conjugaison où simplement le style ? Je suis arrivé tout droit du Vietnam et je ne parlais strictement que ma langue maternelle. Tout cela était-il dû à une potion magique ou au travail acharné de votre serviteur ? Euh, travail acharné serait un doux mensonge.

    Mon père désirait ardemment l’intégration de tous ses enfants dans la société française, mais malheureusement, la barrière de la langue restait un obstacle presque insurmontable.

    A l’âge de 4 ans ils me laissèrent chez une nourrice française et quand ils revinrent un mois seulement plus tard, mon frère et moi, avions totalement oublié le vietnamien, nous ne nous exprimions plus qu’en français. Notre langue maternelle était ensevelie dans une trappe sans fond. Je reconnais les mots et certaines phrases, je baigne dans les accents toniques mais je ne parle pas, je reste muet aux questions comme muselé.

    Les années sont passées et je souhaite réapprendre le vietnamien, mais il me semble qu’aujourd’hui, je n’ai aucune prédisposition particulière pour cette langue « étrangère » !

    Cette histoire vraie démontre une fois de plus que l’on est simplement où l’on vit!!!

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  • Bar à la vapeur (cuisine chinoise, recette chinoise)

    Bar à la vapeur (cuisine chinoise, recette chinoise)

    Bar à la vapeur (cuisine chinoise, recette chinoise)

     baguettes et bol assiettes chinoises

     Ingrédients
    - un bar écaillé et vidé
    - blanc de ciboulette
    - 1 gingembre frais
    - Sauce de soja ( une c à soupe)
    -  huile de sésame ( une c à café)
    - sauce d’huitres ( Une c à soupe)
    - sel fin


    Préparation:


    - mettre le poisson dans un plat creux
    - faire des entailles des deux côtés et y déposer du sel+ le gingembre taillé en cheveux+blanc de ciboulettes.
    - Verser la sauce de soja+huile de sésame sur le bar des 2 côtés
    - Puis cuire à la vapeur en enlevant régulièrement du dessous du couvercle les goutelettes d’eau de condensation


    Variante : effectivement tu cuits le poisson à la vapeur, sans sel mais + gingembre. faire chauffer de l’huile (environ 3 à 4 cuillères), lorsqu’elle est trés chaude et lorsque le poisson est presque cuit, verser l’huile chaude sur le poisson (attention au éclaboussures !!), ainsi le poisson est saisi et devient un peu croustillant. Puis verser de l’huile de sésame, sauce de soja et ciboulette ( version moins diététique).

    Le bar à la vapeur se sert avec un riz blanc, parfumé ou pas.

  • Steve Appel, le photographe du mouvement

    Steve Appel, le photographe du mouvement

    appel steveSteve Appel, le photographe du mouvement

    Ingénieur de formation je me suis intéressé à la photo numérique quand elle était encore l’objet de mépris et railleries de la part des « vrais photographes » pour qui seul l’argentique avait droit de cité. J’ai suivi les stages animés par CARLO WERNER, ils m’ont sensibilisés aux côtés « artistique » de la photo. Mon objectif initial était de réaliser des photos pour les besoins d’amis peintres ou

    sculpteurs. Depuis quelques années, je me suis spécialisé dans la photo des spectacles vivants : danse contemporaine, théâtre, etc. Mes photos ont souvent été utilisées pour illustrer des reportages sur des artistes dans des revues d’art ou de danse ou pour des pochettes de CD, affiches, flyers et autres visuels.

    J’expose régulièrement mon travail dans des expositions personnelles ou en groupe et participe à la Biennale Fotograf 15 depuis la création de cette manifestation où j’ai eu l’honneur à plusieurs reprises d’être lauréat d’un prix.

    steve appelSteve Appell

    Steve AppelSteve AppelSteve Appel

    Steve Appel
    Steve Appel

     

    steve appelsteve appel

    steve appelsteve appel
    Steve Appel, the movement of the photographer
    Trained as an engineer I am interested in digital photography when she was
    yet the object of scorn and ridicule from the « real photographers » for
    who alone had the silver citizenship. I followed the courses animated by CARLO
    WERNER, they have sensitized me to the « artistic » side of the photo. My
    original goal was to take photos for friends needs painters
    sculptors. In recent years, I specialized in photo
    live performances: contemporary dance, theater, etc.
    My photos were often used to illustrate stories about artists
    in art journals or dance or CD covers, posters, and fliers
    Other visuals.
    I regularly exhibited my work in solo exhibitions or
    group and participates in the Biennale Fotograf 15 since the creation of this
    event where I had the honor several times to be a prize winner.

  • Exposition, Carousel do Louvre

    Exposition, Carousel do Louvre

     

     

    DIALOGUE ENTRE tableaux chinoisL’ORIENT ET L’OCCIDENT

    CARROUSEL du LOUVRE

    30 octobre au 1er novembre 2015

    Vernissage de l’exposition: 29 octobre 2015 à 18h30

     

    Le Centre des Echanges Culturels et Artistiques Franco-Chinois, dirigé par Aiming Tong-Picard, et Cap

    Cultures organisent depuis près de cinq ans le salon Dialogue entre l’Orient et l’Occident. Cette

    exposition a pour objectif de promouvoir les échanges culturels et artistiques entre la Chine et la France

    et d’affirmer le talent de nombreux artistes internationaux, qu’ils soient peintres, sculpteurs ou encore

    photographes.

    Cette nouvelle édition 2015, dont les villes d’Avon et de Moret-sur-Loing sont partenaires, présente cette

    année la particularité de réunir deux expositions distinctes :

    ⟐ Dialogue à travers les Grandes Routes de la Soie

    Exposition conjointe de deux artistes chinois et français confirmés : LAN Tusheng et Rémy ARON.

    ⟐ Dialogue entre l’Orient et l’Occident

    Exposition collective avec la participation de plusieurs artistes chinois et français issus de divers

    horizons.

    C’est au Carrousel du Louvre, haut lieu culturel unique, qu’il sera permis à ces artistes de valoriser la

    longue histoire et les spécificités des Beaux-Arts Contemporains de la Chine.

    Un espace de 3 100 m2, divisé en trois salles, présentera les échanges entre les artistes des deux pays.

    L’exposition Dialogue à travers les Grandes Routes de la Soie se tiendra Salle Delorme, tandis que les

    artistes participant à l’exposition collective Dialogue entre l’Orient et l’Occident exposeront leurs œuvres

    au Foyer et Salle Gabriel.

     

     

     

     

  • Bouddha

    Bouddha

    Bouddha

    Bouddha *

    Prince indien qui vécut au VI e siècle avant notre ère.

    Le mot, le nom Bouddha, veut dire l’éveillé. Le nom patronymique duBouddha est Siddharta Gautama Sakyamuni. Sakyamuni signifie : du clan Sakya, de la lignée Sakya.

    Bouddha, Bouddhisme, Eveil, Nirvana, Karma.

    De quoi s’agit il ?

    La doctrine du Bouddha est basée sur la découverte intime et bouleversante, qu’il fit de la souffrance humaine. Il en tira après une très longue méditation, un enseignement en quatre points, connu sous le nom des Quatre Nobles Vérités*.

    Les Quatre Nobles Vérités :

    - La souffrance. Dukkha
    - L’apparition de la souffrance. Samudaya
    - La Cessation de la souffrance. Nirodha
    - Le Sentier (La voie) Magga

    Dukkha La souffrance :

    Il décrit les formes de souffrances, mais aussi comment la souffrance apparaît et pourquoi, quels en sont les mécanismes, les causes. Ici, le Bouddha décrit cinq formes, ou sources, nommées agrégats (le cœur du bouddhisme) :

    La matière (solidité, fluidité, chaleur et mouvement).

    Les sensations (trois groupes de sensations, les sensations plaisantes, déplaisantes ou neutres).

    Les perceptions (ce sont les perceptions qui permettent de reconnaître les objets physiques ou mentaux) .

    Les formations mentales (ce groupe comprend tous les actes volitionnels, bon ou mauvais plus connus sous l’appellation « Karma »).

    La conscience (réaction du corps ou de l’esprit aux phénomènes extérieurs).

    Telles sont les cinq sources et les cinq formes de la souffrance.

    Samudaya L’apparition de la souffrance :

    Elle provient du désir. Et qu’est-ce que le désir ?

    C’est une soif, ardente, une avidité passionnée, ce qui fonde et produit la ré-existence. Cette soif d’être, d’être ou d’avoir, provoque aussi tous les malheurs des êtres vivants. Du conflit entre deux humains jusqu’aux guerres mondiales.

    Telle est la cause de l’apparition de la souffrance.

    Nirodha La Cessation de la souffrance :

    La troisième découverte est qu’il existe une émancipation, une libération possible.

    Le seul but possible, selon le Bouddha, c’est la libération, la cessation de la souffrance, subie, ou causée.

    En s’attaquant à la racine de la souffrance, c’est à dire le désir, la volonté, et même le sentiment du besoin, faim ou soif.

    Magga Le Sentier (La voie) :

    Connu sous la dénomination de Sentier du milieu, parce qu’il s’agit d’éviter les extrêmes :

    La poursuite du bonheur par la dépendance du plaisir des sens.

    L’ascétisme nihiliste (conçu comme bas et vulgaire).

    Le sentier est simplement la pratique juste des huit vertus :

    – Compréhension juste. – Pensée juste. – Parole juste. – Action juste. – Moyen d’existence juste. – Effort juste. – Attention juste. – Concentration juste.

    Voilà pour l’essentiel la doctrine bouddhique initiale.

    De la doctrine, et de l’enseignement originel, bien des mouvements sont nés, et bien des disciples ont constitué des écoles, qui se réclament toutes, plus ou moins de cette doctrine initiale.

    Le bouddhisme n’est certes pas une organisation totalitaire et unifiée, c’est plutôt un mouvement, et différentes écoles proposent leurs approches. Et cela peut surprendre, car ces différentes écoles semblent très éloignées entre elles, sur le fond comme sur la forme.

    (Je préfère le mot école à celui de secte qui a une connotation péjorative, bien qu’il existe aussi des sectes bouddhiques).

    Alors qu’est-ce relie entre elles ces différentes écoles. Quel est leur point commun ?

    Le point commun, c’est la recherche de la vérité, « la réalité ultime » : à savoir l’abandon du désir, la cessation de la souffrance, et la juste conscience du chemin qui est la vie .Tel est l’éveil.

    C’est ce que les bouddhistes appellent le Nirvana, en japonais Satori.

    Plus déroutant encore, certaines écoles affirment que le nirvana, est en soi une chose importante et nécessaire, certes, mais que l’essentiel se trouve ailleurs. Sur le chemin, précisément, qui va vers les autres, et leur enseigne le juste chemin, sans quoi l’éveil resterait pur égoïsme.

    Est-il utile de s’intéresser au bouddhisme ?

    Si une démarche personnelle vous incline en ce sens, vous y trouverez certainement un grand nombre de thèses pertinentes. Un constat, et une approche, personnelle et profonde, du cheminement de votre, la vie. De plus comme chacun sait, le bouddhisme est plutôt pacifiste et non-violent, puisqu’il réprouve la souffrance, et lutte contre les illusions, – et dans ce monde pas vraiment très sage, un peu de douceur bouddhiste ne ferait de mal à personne.

    Qui sait ? Vous y trouverez peut-être des réponses à quelques questions. Voire plus, si affinités.

    Si votre démarche ne vous incline pas dans ce sens, les mêmes arguments tiennent encore.

    De plus le bouddhisme est rationaliste, sur son versant philosophique, et bien des découvertes récentes en psychologie par exemple, étaient largement connues des bouddhistes depuis les temps anciens. Rappelons par exemple que l’inconscient, la psychologie collective, ne furent connues de l’Occident qu’à partir des travaux de Freud. (C’était un pionnier qui agissait pour la science, et pour le bien de l’humanité mais aussi pour alléger la souffrance de ses patients, ne l’oublions pas, même si maintenant sa pensée paraît très confuse, rendons lui hommage quand même. )

    Mise en garde sur le bouddhisme.

    Le bouddhisme n’est pas une sinécure, sous son aspect débonnaire toujours sourire aux lèvres, se trouve une doctrine, plutôt ardue et difficile.

    La discipline de vie des bouddhistes n’est pas à la portée de n’importe qui. Même de qui le veut, surtout de qui le veut ! Pour les butineurs de parfums à la mode et les amateurs de pratiques exotiques, – comme la méditation, par exemple.

    Ils risquent de repartir bien vite, dès les premières crampes venues.

    Les belle images de l’art bouddhique aux couleurs chatoyantes, expriment peut-être une autre réalité, – dont ils ne veulent certainement pas entendre parler.

    L’enseignement bouddhiste, peuvent se résumer à ceci, au moins dans les premiers temps :

    Seul face à soi-même. Personne n’aime ça ! Et ce n’est que le début.

    Plus dangereux encore, toutes sortes d’attrape-nigauds, où l’on vous fait croire au nirvana, par des pratiques étranges ou des rituels ésotériques, moyennant finances, en profitant de la mode bouddhiste. (Les bouddhistes ne sont en rien responsables de cet état de fait, il s’agit là de charlatans opportunistes naturellement. Mais prudence quand même, sachez où vous mettez les pieds.)

    Des mots comme Zen, Nirvana, Karma, sont passés dans le langage courant.

    Zen, ça sous-entend « relax » décontracté, erreur ! Nirvana, autrement dit, illumination, lumière holistique, flotter dans les airs, erreur !

    Karma ça veut dire destin, erreur !

    Bon j’arrête là, sinon je vais vous faire peur, et ce n’est pas ma visée, bien au contraire.

    Quelques précisions :

    Le bouddhisme est une religion non théiste (cela veut dire que la notion de dieu n’y apparaît pas).

    La position des bouddhistes est la suivante : Nous ne pouvons nous prononcer sur ce sujet.

    Hormis sous sa forme taoïste, où la position est plus nuancée, bien que conforme au canon bouddhique.

    Le Bouddhisme philosophique est dit non dualiste (cela veut dire, qu’il n’y a pas opposition des contraires).

    Hinayãna Petit véhicule : notion péjorative, obsolète, n’est plus employée.

    Mahãyãna Grand véhicule, pas plus grand que le petit, notion orgueilleuse, obsolète, n’est plus employée.

    Le bouddhisme est un véhicule, vers le Nirvana, l’abandon ultime des illusions.

    Le mot religion est un mot latin qui veut dire « relier à ».

    Rien de plus, (chacun interprète ensuite à sa manière).

    Voir Hannah Arendt, Crise de la Culture 1961.

    ***

    ***

    Et comme d’habitude je vais être un peu hors sujet.

    Parce que sinon c’est trop sérieux et c’est pas drôle.

    Je vais vous parler de l’eau.

    L’eau c’est un liquide qui coule partout.

    Et y en a partout sauf dans le désert évidemment, sauf dans les oasis, où là il y en a.

    De l’eau, il y en à aussi dans le ciel, ça s’appelle des nuages, mais c’est de l’eau.

    L’eau il y en a au pôle nord, ça s’appelle de la glace, mais en réalité c’est de l’eau.

    Il y a 400 millions d’années il y avait de l’eau, c était de l’eau, mais personne n’en savait rien, puisqu’à cette époque il n’y avait que des dinosaures. Les dinosaures ne savaient pas qu’ils buvaient de l’eau, mais comme ils avaient soif, il la buvaient quand même.

    Aujourd’hui nous buvons de l’eau, et évolution de l’espèce oblige, comme nous sommes des homo sapiens version deux, sapiens sapiens, modèle amélioré de l’ancienne version un, néandertalienne…

    Eh ! bien ! Nous savons que, quand nous buvons de l’eau, c’est de l’eau. On est très fort, et y en a beaucoup dans la Capi. (Capi , c’est un mot qui vient du latin capus, capitis, la tête, chapeau, un capitaine y a Capi dedans, dans Capitale, décapité ou capuche…)

    Et, maintenant, ça se complique un petit peu.

    L’eau que nous buvons aujourd’hui, l’eau du robinet par exemple, cette eau-là est passée plusieurs fois dans le ventre de dinosaures, pour vous dire la vérité, mais toute vérité n’est pas toujours bonne à dire, c’était dedans, même.

    - Conclusion : C’est toujours la même EAU.
    - Conclusion de la conclusion : C’est dedans pour NOUS aussi.
    - Conclusion de la conclusion de la conclusion : Ça sera dedans ou dehors mais ça s’appelle de l’EAU quand même.

    Et…

    Tonnerre de Brest !

    Pourvu que ça dure !

    Ne dit-on pas : – Qui est à l’appareil, ah ! l’eau !

    Autre chose.

    Pour les connaisseurs et petit futés.

    N’oublions pas que tout ce que nous en savons, c’est parti des recherches sur la thermodynamique.

    Et d’une énigme concernant une histoire de four, où la couleur violette, ne se comportait pas comme attendu.

    Les conséquence furent innombrables :

    Déterminisme obsolète

    Exactitude Statistique

    Traverser un mur

    Possible  !

    Probable  !

    Réalisable  !

    Le chat est-il mort ou vivant ? Les deux, mon général !

    Et comme dirait la mère Denis, vieille lavandière du terroir, ça c’est ben vrai.

    Les vieilles dames ont toujours raison, mais personne ne les écoute.

    La même chose mais autrement.

    Dans le village des schtroumpfs bleus, il y a un barbier

    Il y a ceux qui se font raser par le barbier, barbu

    Il y a ceux qui se rasent eux-mêmes, barbant pour le barbu

    A quelle catégorie appartient le barbier ?

    Les deux mon général !

    Est-ce possible !!? Oui mon général !

    Sixième ! Théorie des ensembles, mon général !

    ***

  • Histoire vraie, Le vol du dentier

    Histoire vraie, Le vol du dentier

    Le vol du dentier ( Asie humour et histoires vraies)

    41FhKQcG-sL._SY355_LE RIRE EST LE PROPRE DE L’HOMME, RIRE JAUNE, POURQUOI PAS !

    Le vol du dentier ou le dentier qui voulait vivre sa vie!

    Avec une bande de copains nous étions partis en Chine pour un séjour touristique en 2000. Très désireux de connaître le Pékin grouillant de vie , nous avions hélé de vrais pousse- pousses Avant toute virée dans cette ville aux « mille surprises » nous nous étions convenu d’un prix global raisonnable.

    Après une promenade des plus périlleuses nous atteignîmes le but de notre escapade : le marché des perles, la Mecque des achats touristiques. Les tireurs de pousse- pousses nous demandèrent le double de la somme convenue pendant la négociation. Le ton monta très vite, nous en français et eux en chinois. Evidemment personne ne se comprenait. En Chine quand l’on parle de chiffres il est facile de s’exprimer en anglais, mais au delà chacun emploie sa langue maternelle.

    Un chinois plus énervé que les autres, clapissait tel un pitbull en colère, crachant des postillons comme un volcan en irruption. Quand soudain son dentier comme une fusée s’arrachant de sa bouche vint atterrir sur le trottoir. A cet instant un silence lourd, au milieu du vacarme de la ville, se fit entendre. Tous nous nous regardâmes… Le propriétaire du dentier se précipita sur son bien et plus rapide que son ombre « l ‘enfourna » dans la bouche …La trêve terminée la négociation reprit de plus belle et cette fois ci avec le dentier qui avait retrouvé ses pénates.

    Internaute anonyme

  • Guy Coda  « la galerie éphémère »

    Guy Coda « la galerie éphémère »

    codaGuy Coda , l’artiste par « l’excellence »

     

    Extrait d’une interview donné par Guy Coda à Open Mag le 17 octobre 2015

    Open Mag : En fait, tous ces personnages que vous dessinez, qui sont-ils ? Est ce qu’ils existent ?

    Guy Coda :- Oui ils existent bien sûr, dans ma tête d’abord, et sur le papier ensuite !

    Open Mag : Bon d’accord, ils existent sur le papier, mais pas dans la vie ?

    Guy Coda : Au contraire, ils sont d’abord dans la vie, peut être plus encore que vous et moi !

    Open Mag : ?…

    Guy Coda : Je m’explique : un dessin, une peinture, une poésie, une musique, un film, disons pourcoda

    simplifier une œuvre d’art- est peut être la plus forte manifestation de la vie ! En tous cas elle

    en est la forme la plus élaborée, la plus synthétique, celle qui nous différencie de l’animal et

    qui rend si singulière notre condition humaine. Les peintures pariétales sont la preuve qu’un

    des premiers actes de cette humanité naissante a été la création d’œuvres d’art, et quelles

    œuvres ! On peut donc en conclure, sans prendre trop de risques, que la création artistique est

    inhérente à la condition humaine.et par conséquent l’œuvre d’art est bien inscrite dans la vie !

    Mais bon, j’extrapole un peu, excusez moi, mais pour en revenir à mes personnages, vous

    avez raison, ce sont des personnages à la fois réels et fictifs. Fictifs parce que ce ne sont pas

    des portraits de gens existant, et réels car ils sont tout à fait vraisemblables, ils pourraient

    parfaitement exister ! En fait, ils ne sont pas réels mais réalistes !

    codaOpen Mag: Mais ne serait-ce pas plus simple de dessiner de vraies personnes ? Parce que j’imagine

    qu’ inventer tous ces visages, ça doit être assez compliqué, non ?

    Guy Coda : Pendant des années j’ai passé beaucoup de temps dans les cafés et autres lieux publics à

    faire le portrait des gens que je rencontrais. Cela a été pour moi une expérience très

    enrichissante mais j’ai fini par m’en lasser ! J’ai réalisé que dessiner des gens qui existent me

    limitait justement à ce qui existe- dans le sens réducteur du terme-, que cela créait une sorte

    de connivence obligée avec une chose qui me tenait à sa seule réalité. La dictature de la

    ressemblance est à cet égard exemplaire. Or j’ai besoin, comme tout créateur digne de ce

    nom, de m’extraire de cette réalité, me la réapproprier, l’extrapoler, la dépasser pour laisser

    s’exprimer ma singularité d’artiste !

    Open Mag : Oui, je vois ! Mais ne trouvez-vous que votre dessin, dans sa forme, est assezcoda

    classique ?

    Guy Coda : Vous savez, quand on cessera de mettre les gens dans des boites avec une étiquette et

    qu’on tournera le dos aux effets de mode, on aura fait un vrai pas en avant vers l’intelligence !

    Je ne sais pas si mon dessin est classique ou pas et pour tout vous dire je m’en contrefous ! Je

    ne dessine comme personne et personne ne dessine comme moi. Mon dessin n’est pas dans

    une mode quelconque qui ne vaudrait que parce que quelqu’un d’autre l’aurait décidé à ma

    place ! D’ailleurs, avant de commencer cette série j’ai travaillé longtemps des images de type

    « expressionniste » (tiens, encore une étiquette) qui sont peut être ce qui correspond le mieux

    à mon tempérament. Si j’ai choisi aujourd’hui un dessin en apparence plus « classique », c’est

    de façon délibéré, afin de mieux servir mon propos actuel. Comme ça au moins je ne peux pas

    me démoder !

    codaOpen Mag : Mais que représentent pour vous tous ces dessins ? En fait que recherchez-vous ?

    Guy Coda : L’art c’est le paradoxe de Zenon ! De même qu’Achille ne rattrapera jamais la tortue, je

    pense, comme tous mes confrères, être à la recherche de moi-même, de cet autre « moi » que

    nous poursuivons depuis toujours et que, fort heureusement, nous ne rencontrerons jamais !

    Finalement tous ces portraits ne sont peut être que des autoportraits détournés !

    Open Mag : Peut être, mais pourquoi « heureusement » ?

    Guy Coda : Parce que si on finissait par rattraper ce que nous poursuivons, notre quête du Graal

    s’arrêterait là et tout serait dit ! Ce serait la mort !…Et je ne veux pas mourir, pas tout de

    suite ! (rires)

     

    Un artiste talentueux que nous allons suivre tout au long de son évolution grâce à nos « Expositions éphémères ».

     

    Guy Coda  <davincicoda@orange.fr>

     

    ETUDES – FORMATION

    1969-70: Etudes à l’école de peinture décorative “Eugène Blot” à Reims. Obtention du diplôme de peintre – décorateur en juin 1970.

    Parallèlement, suit les cours des Beaux Arts de Reims en auditeur libre.

    Octobre 1970: Reçu sur concours à l’école Nationale Supérieure des Arts Décoratifs (E.N.S.A.D.) à Paris.

    1970 – 71: 1ère année d’ arts plastiques à la Faculté de Vincennes.

    1971 – 74: Etudes à l’E.N.S.A.D. et obtention du diplôme de l’école en juin 1974

    Depuis 1985 : Professeur de dessin à l’ E.N.S.A.D.

    EXPOSITIONS DE PEINTURES

    a) Individuelles

    1978: – Galerie Robert Clarence – Paris

    1981 – 82: – Sté Hewlett-Packard – Orsay

    1982: – Galerie Caveyrac- Paris

    – Centre culturel “Les venelles” – Bruxelles

    1986: – Semur en Auxois – Cote d’Or

    – “Le forum d’Artémis” – Besançon – Avec la participation

    de FR3 Régions

    1988: – Galerie Saint Martin – Chatillon sur Seine

    – Rue de Flandres – Paris

    1990 – 91 – 92: – Galerie D’Klic – Paris

    1991 – 92 – 93: – Verneuil sur Avre (Eure)

    1991: – Bernay (Eure)

    1992: – Galerie Didot – Paris

    – Galerie “Préface”- Paris

    1992 – 93 – 94: – Galerie 157 – Villemomble

    2001: Galerie “les cinq sens” – Paris

    2002 : Hôtel Sofitel – Paris- les Halles

    2003 : maison de la Beauce – Orgères en Beauce (28) Galerie Janos Paris 5ème

    2004 : Saint Ouen

    2005:Musée de La Poste – Paris –

    Salon du Raincy – Invité d’honneur

    Salon des Jonquerrets de Livet(27)- Invité d’honneur

    Exposition avec la D.R.A.C. Rhône –Alpes

    de juillet à août 2006 à Modane (73)

    2007 : Théâtre de poche (Chartres)

    Berlin – Galerie Kunstkreis

    2011: -Galerie « ARCIMA » –Paris

    2013 : Salle saint Michel – Bonneval

    b) Collectives

    1982: – Salon du dessin et de la peinture à l’eau – Grand Palais – Paris

    1983: – Salon de la société nationale des Beaux Arts – Grand Palais – Paris

    – Mairie du 4ème arrondissement – Paris

    1985: – Salon “les pastellistes actuels”- Les Ulis

    1982 – 86 – 87: – Musée de Tonnerre – Yonne

    1988: – 4ème salon international de Chinon

    1991 – 93: – “Le lièvre d’or” – Salon du conseil général – Dreux

    1992: – 1ère biennale de Marvejols (Lozère)

    1994: – Salon du Raincy

    2000: -5ème biennle de Marvejols

    2007: Abbaye de Nottonville (28) avec le collectif

    «Synchronicales »

    Redoute marie-Thérèse (73  

    NEC- saint Priest en Jarrez

    Berlin Galerie  Kunstkreis 

    Espace Cardin – Paris

    2008: Château de Chasselas

    DIVERS

    Parallèlement à son activité de peintre, a à son actif plusieurs réalisation en tant que graphiste, notemment la création de plusieurs timbres pour La Poste (séries 1 et 2 des parcs nationaux – 1996/97- carnet « héros d’aventure » – 1997 – timbre « vive les vacances – 1998 – timbre « 50ème anniversaire du conseil européen » et « Jeux olympiques de Nagano / super G- pour la poste d’Andorre -1998/99 –» 2006 : bloc de 10 timbres « coupe du monde de football 2006 – deux carnets (24 timbres) série « la France comme j’aime » parution nationale mai 2009.

     PRIX

    1988: Salon international de Chinon: médaille d’or du dessin “jeunes”

    1991: Dreux-Médaille d’or du Conseil Général section “Pastels”

    1992: Marvejols – Médaille d’or du salon décernée par le Conseil général avec le concours de la DRAC de Languedoc-Roussillon

    1994: Le Raincy – Médaille d’or du salon

    1996: Prix du plus beau timbre de l’année (La Poste-série “Parcs Nationaux”) élu par plus de 30 000 collectionneurs. Concours organisé par La Poste et la Sté IPSOS

    1997: Prix de la plus belle série de l’année (La Poste -série “Héros d’aventures”) Idem 1996

    1998: Lauréat du cconcours  organisé par La Poste pour le timbre “Vive les vacances”

    2010: Lauréat du concours organisé par La Poste pour la série (24 timbres) « La france comme j’aime ».

    Beaucoup d’artistes talentueux!!! Nous désirons les aider , alors n’hésitez pas à nous contacter pour une web expo.

  • Le rire: changer sa vie, changer de vie

    Le rire: changer sa vie, changer de vie

    Le rire, les rires


    n. m. (pluriel)

    Action de rire (Le Petit Robert).

    traduction. A laugh, laughter.

    selfie, monkey, self portrait

    Les rires traduisent des émotions très diverses (bien-être ou gêne, appréciation d’une plaisanterie ou moquerie, débordement de joie ou déséquilibre passager, allégresse ou folie). Selon Alain Vadeboncoeur, « il y a sans doute autant de rires que de situations ‘drôles’. »

    Qui pourrait s’amuser à entendre un tel rire?
    « La figure de pierre avait ri, – ri d’un rire grimaçant, effroyable, infernal – mais sarcastique – incisif – pittoresque. » (Louis Bertrand, Gaspard de la nuit,1842)

    Dans la joie même, chacun s’esclaffe à sa manière.
    « Bouvard (…) mangeait le coin de la serviette dans l’aisselle, en débitant des choses qui faisaient rire Pécuchet. C’était un rire  particulier, une seule note très basse, toujours la même, poussée à de longs intervalles. Celui de Bouvard était continu, sonore, découvrait ses dents, lui secouait les épaules, et les consommateurs à la porte s’en retournaient. » (Flaubert, Bouvard et Pécuchet, 1857)

    adult, bald, beard

    Nous allons vous présenter différents types de rires, certains sous formes de syntagmes figés, comme le « fou rire, ou le « rire jaune », et quelques autres plus particuliers, comme celui-ci: « Duroy riait d’un rire approbateur et s’extasiait: ‘Comme c’est charmant, comme c’est charmant… » (Maupassant, Bel ami, 1885). Nous verrons à cette occasion que le rire ne s’associe pas toujours au plaisir de se réjouir. Dommage, non?

    Rire bruyant
    Gros rire qui se remarque et passe pour joyeux et convivial.
    littérature
    « Ça ne m’étonnerait pas, répondit l’Américain en riant d’un bon gros rire. » (Jules Verne, Les Forceurs de blocus)
    traduction. A loud laugh.
    Rire communicatif ou contagieux
    témoignage
    « Entendre quelqu’un rire aux éclats est contagieux. » (Debbie Hassan)
    traduction. An infectious laugh.

    horse, mare, friese

    Rire de contenance
    Rire embarrassé ou timide.
    littérature
    « Le lendemain, dès neuf heures, il (Bovary) était à la ferme. Emma rougit quand il entra, tout en s’efforçant de rire un peu, par contenance. » (Flaubert, Madame Bovary, 1857)
    traduction. A shy or embarrassed laugh.
    Rire défensif
    témoignage
    « Me fait rire tout ce qui provoque le rire défensif: absurde, contradictions, esprit de sérieux trop prononcé, prétentions marquées, etc.. » (Bernard Picard, États-Unis)
    traduction. A defensive laugh.
    Rire dément
    Rire fou et douloureux.
    littérature
    « – L’aveugle! s’écria-t-elle.
    Et Emma se mit à rire, d’un rire atroce, frénétique, désespéré, croyant voir la face hideuse du misérable, qui se dressait dans les ténèbres éternelles comme un épouvantement. » (Flaubert, Madame Bovary, 1857)
    traduction. A crazy laugh.
    Rire déplacé
    Rire qui ne convient pas dans une situation donnée.
    témoignage
    « Rien de pire, dans ces moments, lorsqu’on sent que toute la salle retient son souffle et se mouille les yeux, d’être pris d’un fou rire à contretemps, ce qui m’est arrivé à deux reprises ce soir-là. Evidemment, un tel rire, qu’on dirait ‘déplacé’, mais qui engendre par lui-même une situation comique irrésistible, est très difficile à faire cesser, au grand découragement de mon voisin. » (Alain Vadeboncoeur, Canada)
    traduction. An inappropriate laugh.
    Éclat de rire
    n. m. (le plus souvent au pluriel)
    Explosion de rire.
    litterature
    Diderot, Le Neveu de Rameau, paru en 1805
    « Il s’apaise, il se désole, il se plaint, il rit jamais hors de ton, de mesure, du sens des paroles et du caractère de l’air. Tous les pousse-bois avaient quitté leurs échiquiers et s’étaient rassemblés autour de lui. Les fenêtres du café étaient occupées, en dehors, par les passants qui s’étaient arrêtés au bruit. On faisait des éclats de rire à entrouvrir le plafond. Lui n’apercevait rien; il continuait, saisi d’une aliénation d’esprit, d’un enthousiasme si voisin de la folie qu’il est incertain qu’il en revienne; s’il ne faudra pas le jeter dans un fiacre et le mener droit aux Petites-Maisons. »
    Laclos, Les liaisons dangereuses, 1782
    « Après le souper on s’est mis à jouer. Je me suis placée auprès de Maman; je ne sais pas comment cela s’est fait, mais je me suis endormie presque tout de suite. Un grand éclat de rire m’a réveillée. Je ne sais si l’on riait de moi, mais je le crois. Maman m’a permis de me retirer et elle m’a fait grand plaisir. Figure-toi qu’il était onze heures passées.
    Adieu, ma chère Sophie; aime toujours bien ta Cécile. Je t’assure que le monde n’est pas aussi amusant que nous l’imaginions. »
    traduction. Loud laughter.
    Rire éclatant
    Rire sonore et joyeux.
    traduction. A ringing laugh.
    Rire étouffé
    Petit rire discret.
    traduction. A muffled laugh.

    winter, snow man, fig
    Rire forcé
    Rire contraint, rire jaune, ou rire barré (Québec).
    dialogue
    « Dans le bureau du directeur.
    Le directeur:
    – Martin, je dois absolument vous enseigner quelques principes élémentaires sur l’importance, comment dirais-je, d’être toujours bien mis et de prendre grand soin de votre bureau…
    Martin:
    – Et de ne jamais oublier d’arroser ses plantes, n’est-ce pas, Monsieur?
    A ces mots, le directeur esquisse un petit rire forcé et raccompagne Martin à la porte. »
    traduction. A forced laugh.
    Fou rire
    Rire incontrôlable. A ne pas confondre avec « un rire fou » qui signifie « rire dément » (…)
    traduction. An incontrollable laugh.
    Rire franc
    Rire naturel, sincère et joyeux
    littérature
    « Madeleine se mit à rire, d’un rire franc et gai, et le regardant bien en face:
    ‘Tu sais que tu as inspiré une passion à Mme Walter?’  » (Maupassant, Bel ami, 1885)
    traduction. An honest laugh.
    Rire gras ou rire épais
    Rire grossier.
    traduction. A vulgar laugh.
    Rire grinçant
    Rire amer.
    traduction. A bitter laugh.
    Rire idiot
    Rire jugé stupide.
    dialogue
    « – Eh l’ami, le temps est à la voile ce matin?
    – Tu te crois marin! me répond-il d’un rire idiot. »
    traduction. A stupid laugh.
    Rire ironique
    Rire railleur et fort désagréable pour celui qui en est la victime.
    traduction. An ironical laugh.
    Rire joyeux
    Rire provoqué par le jeu, le plaisir ou la joie du moment.
    dialogue
    « Le premier bain de mer me procure un tel plaisir que je ris, je ris… je ris d’un rire joyeux. C’est une vraie fête! »
    traduction. A joyous laugh.
    Rire mauvais
    Rire méchant, déplaisant.
    littérature
    « Il lui avait pris les poignets, il la regardait, de son rire mauvais. » (Zola, La Curée, 1872)
    traduction. A nasty laugh.
    Rire méprisant
    Qui montre du dédain pour la personne dont on rit.
    traduction. A contemptuous laugh.
    Rire moqueur
    Rire railleur, narquois et désagréable.
    littérature
    Flaubert, Madame Bovary, 1857
    « Levez-vous, dit le professeur.
    Il (Bovary jeune) se leva; sa casquette tomba. Toute la classe se mit à rire.
    Il se baissa pour la reprendre. Un voisin la fit tomber d’un coup de coude, il la ramassa encore une fois.
    – Débarrassez-vous donc de votre casque, dit le professeur, qui était un homme d’esprit.
    Il y eut un rire éclatant des écoliers qui décontenança le pauvre garçon, si bien qu’il ne savait s’il fallait garder sa casquette à la main, la laisser par terre ou la mettre sur sa tête.
    Ce fut un vacarme qui s’élança d’un bond, monta en crescendo, avec des éclats de voix aigus (on hurlait, on aboyait, on trépignait, on répétait: ‘Charbovari! … Charbovari!’), puis qui roula en notes isolées, se calmant à grand-peine, et parfois qui reprenait tout à coup sur la ligne d’un banc où saillissait encore çà et là, comme un pétard mal éteint, quelque rire étouffé. »
    traduction. A mocking laugh.
    Rire nerveux
    Rire convulsif.
    dialogue
    « Tout à coup, ma voiture fait un bond et s’arrête. « Zut, je n’ai pas fait le plein! »
    Il me regarde stupéfait, et pris de panique, il éclate d’un rire nerveux. »
    littérature
    « Le jeune Corse rougit, se redressa, se mordit les lèvres et paraissait disposé à répondre avec emportement, quand tout à coup, changeant d’expression, il éclata de rire. Le colonel, sa pièce à la main, demeurait tout ébahi. » (Prosper Mérimée, Colomba,1840)
    traduction. A nervous laugh.
    Rire pincé
    Rire formé du bout des lèvres par convenance, timidité ou manque total d’envie de rire.
    littérature
    « Au lieu de répondre, M. Bergeret se mit à rire, et Mlle Bergeret aussi rit, les lèvres closes. » (Anatole France, Crainquebille, Putois, Riquet et plusieurs autres récits profitables)
    traduction. A pinched laugh.
    Rire sensuel
    littérature
     » – Vrai? fit-elle (Emma Bovary) avec un rire de volupté. M’aimes-tu? Jure-le donc!
    – Si je t’aime! Si je t’aime! mais je t’adore, mon amour! » (Flaubert, Madame Bovary, 1857)
    traduction. A sensuous laugh.

    Même si la liste ne peut être close, terminons sur cette note triomphale!
    « Alors le baron, poussant un rire de triomphe, cria: ‘Qui m’aime me suive!’ Et il disparut, dans les taillis, comme si la forêt l’eût englouti. » (Maupassant, Contes de la bécasse, 1882)
    traduction. A triumphant laugh.

    Extrait su site « clic net »

     

  • Asie, j’aime

    Asie, j’aime

     

    Etat d’âme d’un amoureux de l’Asie

    Carnet de voyage en Asie

    indonesia-531841_640Partir au bout du monde c’est déjà me noyer dans les nuages que me dessinent les avions en partance. En route vers cette Asie grouillante, colorée et pleine de vie. Jamais de mauvaises surprises car les sourires seront certainement au rdv. Une végétation luxuriante nous attend à l’orée des rêves si longtemps imaginés mais sans commune mesure avec une réalité chaque fois plus étonnante et attachante.

    J’aime me perdre dans cette foule active, vivante qui me rappelle que vivre ce n’est pas survivre dans l’ombre d’un futur qui nous devance et qui restera loin, très loin devant nous. En Asie, l’affût de senteurs nouvelles je recherche sans cesse des lieux étranges perdus loin des chemins touristiques.

    Bien sûr il est indispensable de visiter certains sites incontournables bien que rester dans les traces des agences de voyagesimages thaï est une incongruité insupportable. Une senteur a détourné mon odorat m’emportant vers un lieu étrange mais sympathique…Un visage peu ordinaire me rappelle que la France est si loin. J’aime me promener à la découverte de ce petit supplément d’âme que me procurent ces pays que j’adore. J’ai juste l’impression, enfin, que je vis.

    marché indeHenri Cantonnais/arnets de voyage en Asie

    Copyright © Tous droits réservés

    State soul of a lover of Asia.

    Asia Travel notebook

    From the end of the world is already drowning in clouds that draw me departing aircraft. En route to Asia this teeming, colorful and full of life. Never surprises because the smiles will certainly appointment. Lush vegetation awaits us on the edge of dreams so long imagined but incommensurate with reality ever more surprising and engaging.
    I like to lose myself in this active crowd alive who remember living not survive in the shadow of a future that is ahead of us and will remain far, far ahead. On the lookout for new scents I always looking lost strange places away from the tourist trails.
    Of course it is essential to visit some beautiful sites that remain in the footsteps of travel agencies is an insufferable incongruity. A scent diverted my nose taking me to a strange but friendly place … Uncommon face remember that France is so far away. I am fond of walking to discover that little extra something that give me the country I love. I just feel, finally, that I live.
    Henri Cantonese asia Motorcycle Diaries
    Copyright © 2006-2009 – All rights reserved

  • Changer de vie, changer sa vie : création d’une maison d’hôtes

    Changer de vie, changer sa vie : création d’une maison d’hôtes

    port le crotoyChanger de vie, changer sa vie : création d’une maison d’hôtes.

    Je m’appelle François et avec ma femme,Véronique, nous avons décidé un jour, au moment de ma retraite, mais après quand

    même après quelques réflexions, de changer de vie. J’en avais assez de voir passer les jours, de supporter la vie qui passe

    lentement mais surement.

    Je me posais mille questions qui restaient sans réponse. Seul le silence se figeait devant moi comme un mur infranchissable.

    Il fallait que je change ma façon de vivre, ma qualité de vie et mon moral en dépendaient.

    Alors je me suis mis à en parler autour de moi d’un projet vague aux contours incertains, comme d’une lubie de retraité. A

    noter aussi que Véronique, mon épouse, était toujours en activité. Anciennement professeur des écoles,  je me demandais si

    mon expérience avec les enfant pouvait être un frein, car le monde de l’entreprise est plus rude. Comment pouvais- je réussir

    ce délicat tournant de ma vie sans pour autant perdre toute ma nouvelle liberté! Faire le premier pas, sauter dans le vide, me

    paralysait, j’avais l’habitude d’un certain confort qui paraissait me satisfaire mais qui en réalité me gardait prisonnier de

    toute initiative personnelle.

    Et pourquoi pas créer une maison d’hôtes, un lieu convivial, un lieu de rencontre qui me permettrait à la fois d’améliorer mes

    revenus et aussi de faire de belles rencontres fort intéressantes. Cette fois j’avais trouvé une solution raisonnable à mon

    dilemme.

    Je possédais déjà une vaste maison désertée par mes enfants et certaines pièces restaient invariablement vides et sans vie.train le crotoy

    Mais Je vous assure que j’avais vraiment peur de me lancer dans cette aventure

    car je n’avais aucun savoir- faire, aucune

    expertise en la matière.

    Sans aucune expérience, mais je n’étais pas dénué de bon sens, je m’adressai

    donc à des professionnels , le fameux site:

    « creer sa maison d’hôtes » ( creersamaisondhotes.com) qui m’a conseillé, épaulé

    et amené à bon port. Le site  » creersamaisondhotes.com » m’a permis d’éviter certains pièges comme par exemple investir

    trop dans la décoration, un accueil par trop envahissant des « hôtes » , le choix des  du confort des matelas…

    Je vous assure que j’avais vraiment peur de me lancer dans cette aventure car je n’avais aucune expérience. Mais maintenant

    que les choses se sont calmées je m’aperçois que souvent la peur nous paralyse sans vraie raison valable.

    Juste une chose, faites vous conseiller par des pros çà peut vous aider à éviter certains pièges stupides qui pourraient nuire à

    votre image et surtout freiner votre évolution .

    120518_123750_dscf4033J’habite dans une région touristique , la baie de la Somme, au Crotoy un petit

    port de pêche et nous avons accueilli des belges, des hollandais, des anglais, des français…

    Aujourd’hui nous déménageons et nous nous installons à Abbeville et

    évidemment nous allons aussi, dès que possible, nous relancer dans une nouvelle aventure.

    François et Véronique font partie de cette nouvelle « happy génération »prête à avancer, avoir des projets constructifs.

    Désormais rien ne pourra les arrêter, car Changer de vie, Changer sa vie est leur leitmotiv!!!

    Contact de François et Véronique

    Le site « créer sa maison d’hôtes.com »