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  • Asie humour

    Asie humour

    Asie et humour en photos, humour d’Asie

    LE RIRE EST LE PROPRE DE L’HOMME, RIRE JAUNE, POURQUOI PAS !

     Alors vous dites qu’en Chine on ne fait pas des produits de qualité ! Voilà le dernier masque pour le déguisement »halloween » en vraie « tête de vache » d’un seul tenant. Oh la vache c’est vachement bien… pauvre vache… (Humour d’Asie)

     Moi aussi j’ai un top uniforme ! J’espère que je les impressionne… Quand vont-ils se débrider ?

    (Humour d’Asie)

     Ca me prend la tête, ça me prend la tête…

    (Humour d’Asie)

                                  Des promesses…dire qu’on m’avait promis un super aquarium, en plus mes co-locataires sont vraiment pas des drôles !                                                                                                                                                                                                                                    (Humour d’Asie)

    ASIA AND HUMOR

    LAUGHTER IS THE OWN RIGHTS, YELLOW LAUGH, WHY NOT!

    – So you say that in China we do not make quality products! This is the last mask to disguise « halloween » in real « cow head » in one piece. Oh the cow is really good … … poor cow!

    – I too have a uniform top! I hope I impressed … When will they unleash?

    – It takes my head, it takes my mind …

    – Promises, promises … To say I was promised a great aquarium; and besides my roommates are really funny!

    Humor Asia en imágenes

    La risa es la DERECHOS PROPIOS, AMARILLO RISA, por qué no!

    – Así que usted dice que en China no hacemos productos de calidad! Esta es la última máscara para disfrazar « halloween » en real « cabeza de vaca » en una sola pieza. ¡Oh, la vaca es realmente bueno … … pobre vaca!

    – Yo también tengo un top uniforme! Espero impresionado … ¿Cuándo van a desatar?
    – Toma mi cabeza, toma mi mente … – Promesas, promesas … Decir que me prometieron un gran acuario; y además de mis compañeros son muy divertido!

    Asien Humor in Bildern

    Lachen ist die eigenen Rechte, GELB lachen, warum nicht!

    – Sie sagen also, dass in China wir nicht hochwertige Produkte zu machen! Dies ist die letzte Maske, um in einem Stück zu verkleiden « halloween » real « Kuhkopf ». Oh die Kuh ist wirklich gut … … arme Kuh!

    – Auch ich habe eine einheitliche Spitze! Ich hoffe, ich beeindruckt … Wann werden sie zu entfesseln?
    – Es dauert meinem Kopf, dauert es meiner Meinung nach … – Promises, verspricht … Zu sagen, ich wäre echt gut Aquarium zugesagt; und außerdem meine Mitbewohner sind wirklich lustig!

    亞洲幽默圖片

    笑是自身的權利,黃笑,何樂而不為!

    – 所以你說,在中國,我們不要讓優質的產品!這是最後的面具來偽裝“鬼節”,在真正的“牛頭”在一塊。呵呵,牛是真的很好……牛差!

    – 我也有一個統一的頂部!我希望我留下深刻的印象?他們什麼時候釋放?
    – 這需要我的頭,它需要我的腦海裡……- 承諾,承諾……如果說我當時答應了很大的水族館;再說我的室友是真的很有趣!

  • Asie, aux frontières du passé !

    Asie, aux frontières du passé !

    Carnet de voyage en Asie, aux frontières du passé !

    Laissez- vous emporter vers le passé par ces vieilles photos d’Asie que nous avons retrouvées.

    Si vous avez de plus amples renseignements à nous fournir concernant ces témoignages de » l’Asie d’avant », n’hésitez pas à nous contacter.

    Transports d’animaux à la mode »biker »(humour d’Asie)

    Confortable salon de coiffure et basta les normes!

    Des jeunes filles qui…?

    Une coupe de cheveux et une mode vestimentaire bien originale, mais pas en Asie à cette époque!

    En Asie les gens se lèvent très tôt et font des siestes partout où ils peuvent.

    Un rassemblement d’enfants et il me semble que les garçons sont séparés des filles mais pourquoi? 

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  • Eurasiennes ou la rencontre au sommet de 2 cousines aux yeux bridés..

    Eurasiennes ou la rencontre au sommet de 2 cousines aux yeux bridés..

    Eurasiennes ou la rencontre au sommet de 2 cousines aux yeux bridés..

    Les couples mixtes, les eurasiennes

    “Eurasiennes ou la rencontre au sommet de 2 cousines.”

    Andréa-Lisa et Gersende ont 7 mois et elles se voient pour la première fois et sont cousines. Toutes les 2 sont d’origine asiatiques, donc des eurasiennes.

    Comment va donc se passer cette rencontre au sommet!

    “Je suis née au Canada et toi ?”

    “Moi en France, le Canada c’est vraiment trop froid pour moi, je suis frileuse !”

    “On veut pas dormir, on a beaucoup de choses importantes à se dire. Et si on sortait en boîte pour swinger un petit peu!”

    “Alors, raconte… Chut les adultes écoutent… ils vont nous empêcher de sortir”

    Va falloir se pieuter, impossible de partir en loucedé, à demain pour la suite, j’en ai une bien bonne… !

    “C’est vraiment dégueu… Je préfère me taper un bon sirop d’érable, mais il faut faire plaisir à mon grand cousin. ”

    “Elle est sympa ma cousine du Canada, j’espère qu’elle va m’inviter dans sa cabane.”

  • Clin d’oeil ou le diagnostic à la chinoise

    Clin d’oeil ou le diagnostic à la chinoise

    Clin d’œilou le diagnostic à la chinoise.

    coucou-yeux clin d oeil

    Ceci est une histoire vraie racontée sur le ton de l’humour

    Clin dœil ou le diagnostic à la chinoise.

    Ma fiancée était très préoccupée par un sautillement, un léger frétillement intempestif qui se manifestait sous l’œil gauche. Déconcertée par cette anomalie, elle s’empressa d’en faire part à une de nos amies chinoise et médecin de surcroît.

    Après un examen particulièrement minutieux de ce symptôme étrange, elle nous déclara dans une mimique pleine de dents que nous n’avions qu’à nous réjouir de cette manifestation sautillante. Devant notre incrédulité elle nous expliqua avec sérieux et emphase, que ce tressaillement de l’œil gauche, était un signe annonciateur de richesse et de prospérité et que l’arrivée d’une grosse somme d’argent imprévue surviendrait prochainement ; en revanche un tel frémissement sous l’oeil droit aurait signifié, de gros soucis de santé. Grande fut donc notre surprise devant un tel diagnostic !

    clin-doeil

    Soyons « zen- » et accueillons les bonnes nouvelles avec philosophie. Si d’aventure votre nez vous grattouille ou vous chatouille, rréfléchissez bien à 2 fois avant de peut-être vous confronter à un monde plein d’imprévus.

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  • Poitrine de porc croustillante (cuisine ,recette chinoise)

    La cuisine asiatique facile de Henri Victor

    poitrine de porc

    Recette chinoise/ cuisine chinoise

    Poitrine de porc croustillante

    Pour 4 personnes

    Ingrédients

     800 g de poitrine de porc
    1 et demi à café de cannelle
    1 grosse échalote hachée très finement
    1 cuillère à soupe de miel liquide
    1 c à café rase de 5 parfums ou cinq parfums
    1 cuillerée et demi à soupe d’huile
    sel et poivre

    Préparation

    Préparer une marinade composée de

    • Miel
    • huile
    • 5 parfums
    • Cannelle pincée de sel
    • Poivre

    Pas du côté de la couenne mais du côté de la viande faire de profondes coupures et bien faire pénétrer la marinade et laisser tremper pendant 2 heures.
    à thermostat fort 7 ou 8 environ , faire cuire le porc 45 mins à 1 h
    quand la viande est bien cuite, bien éponger la couenne et faire griller le porc du côté couenne dans une poêle, en faisant bien attention de ne pas noircir la peau. Attendre que la couenne soit bien croustillante.
    Puis découper la viande en en petits dés

  • Retour au Vietnam : une si longue absence !

    Retour au Vietnam : une si longue absence !

    Carnets de voyage en Asie, Vietnam

    Une si longue absence.

    J’ai quitté le Vietnam comme boat- people

    Je m’appelle Manh et je viens de bien loin et je retourne au Vietnam. Vos yeux ne peuvent ni voir, ni entrevoir les paysages, les bonheurs et les angoisses enfouis dans le plus profond de mon être.

    Par une nuit sans lune, la peur au ventre, maman et papa nous abandonnèrent avec plus de soixante personnes à la recherche d’un avenir rempli de plus d’espoir. Je ne le savais pas encore, mais 12 ans allaient nous séparer ce soir là.Deux coques de noix aux moteurs poussifs nous éloignèrent de la côte et bientôt nous ne vîmes que l’ombre blafarde de notre pauvre pays que la guerre avait si profondément transformé. Deux sœurs et un frère, une famille éparpillée, loin des parents , sans famille, juste des rescapés sur cette mer d’huile . Nous étions devenus des « Boat people » au regard hagard, ballottés par un mal de mer omniprésent, attendant une aide incertaine. Au milieu de nulle part, nous scrutâmes l’horizon pendant 4 jours et 3 nuits.

    Rencontrer la marine vietnamienne et le carnage aurait été au rendez- vous, croiser un pavillon étranger et la délivrance nous aurait tendu les bras.

    Heureusement j’avais le pied marin ! Je me rappellerai toujours de cette année 1981 où j’ai quitté mon pays sans savoir si un jour,mes pieds pourraient à nouveau, fouler le sol de mes ancêtres. Le moteur de l’autre bateau rendit l’âme sans complexe, immobilisant plus de 30 personnes. Un remorquage périlleux nous permit de continuer ensemble ce si douloureux voyage.

    Soudain, nous vîmes un bateau à l’horizon et nos cœurs se figèrent empreints d’espoir, de fatalisme et d’angoisse. Étaient- ils des amis ou des ennemis, de l’espoir ou de l’horreur, un renouveau ou une fin tragique ? Une accablante et troublante incertitude s’empara de nous, enserrant notre ventre comme une tenaille mortelle, nous ne respirions plus. L’embarcation s’approcha, le temps était suspendu et soudain l’un de nous éructa un cri de joie libérateur, nous comprîmes aussitôt que l’avenir nous tendait à nouveau les bras. Nous n’en crûmes pas nos pauvres yeux fatigués, lassés mais heureux, le pavillon Français, le drapeau de tous les espoirs flottait là, fier et libérateur.

    Deux mois d’attente dans un camp chinois de Hong-Kong, deux mois de brimades, deux mois où tous nos espoirs se tarissaient dans un méandre de questions sans réponse. J’avais la certitude que les chinois n’appréciaient pas les vietnamiens et qu’à la moindre occasion, ils les brimaient malgré qu’ils fussent leurs « gérants officiels », frontière entre le passé et l’avenir. Je me souviens qu’un jour adossé à une vieille voiture abîmée par le temps, j’attendais, comme tous les jours, l’appel quotidien de tous les « boat people », en rêvassant, quand soudain l’un des gardiens chinois vociféra des menaces m’accusant, moi un enfant de 1O ans d’avoir cabossé la carcasse en m’appuyant dessus. Je dus me défendre de ces accusations injustes et déloyales.

    La sentence tomba, j’étais affecté, pour cet acte odieux, délibéré et plein de haine contenue, à la corvée déhonorante du nettoyage des wc.

    Selon les conventions internationales de l’époque, la France, nous ayant recueilli à bord de l’un de ses bateaux, avait le devoir de nous donner asile dans leur pays. Je rêvais d’Amérique et je me retrouvais soudain plongé dans le centre de la France, à Châteauroux dans un autre camp de réfugiés. J’y suis resté plus de 13ans, 13ans à attendre, étudier et espérer un avenir meilleur. Puis je suis monté à Paris.

    Le retour au Vietnam

    Aujourd’hui, je viens d’obtenir ma nationalité française et une page de mon histoire se tourne. J’ai très envie de revoir le Vietnam pour retrouver un peu de ce passé qui reste collé à ma mémoire. J’avais quelques appréhensions, repartir pour découvrir un pays changé, si éloigné de mes souvenirs, cela me rendait hésitant et fort mal à l’aise. J’avais juste peur de ne plus aimer le Vietnam, car j’étais devenu une « entité hybride » partagée entre ici et là- bas. Ma décision était prise, il me fallait revoir malgré tout, ce pays qui me manquait tous les jours un peu plus. Dans l’avion qui me menait, ma sœur et moi, vers cet « inconnu si familier », s’entremêlaient, s’entrechoquaient sans cesse des images, des souvenirs, des rires et des pleurs . L’avion enfin dans un crissement de pneus s’immobilisa sur la piste.

    Fébriles nous descendîmes et pénétrâmes dans le grand hall de l’aéroport international. Je fus soudain pris de panique quand je vis l’uniforme du fonctionnaire des douanes, mon corps tout entier frémit, mes jambes se dérobèrent sous moi et mes mains tremblèrent. Ma sœur, s’apercevant immédiatement de mon émoi incontrôlable, me glissa à l’oreille qu’il était plus prudent de ne pas se faire remarquer et d’éviter ainsi, toute difficulté. Je dus m’exécuter comprenant fort bien le bien fondé de ses appréhensions. La rue m’accueillit brutalement dans une farandole de couleurs joyeuses, d’odeurs exotiques, de klaxons stridents, d’images rayonnantes et surtout d’émotion. J’étais revenu chez moi, j’étais rentré à la maison après 25 ans d’absence et d’attente. Je compris immédiatement que les liens étaient restés intacts, forts et qu’ils avaient résistais aux attaques du temps. Rien n’avait vraiment changé, Saïgon égale à elle-même, demeurait cette ville bruyante, sale, speed, irrespirable mais si vivante.

    La cathédrale se tenait là imperturbable mais envahie par des centaines de touristes harassés de chaleur, la poste, incroyable vestige colonial, ressemblait plus à un musée qu’au local des PTT. Mon cousin, l’un de mes innombrables cousins, nous guida à travers la ville pendant ces quelques journées d’euphorie et de redécouverte où le connu côtoyait sans cesse l’étonnement. Il nous dénicha les meilleurs restaurants. Je retrouvais les senteurs si particulières des plats typiques enfouis au fond de moi. Quand avec le temps notre culture s’estompe, il nous reste encore et toujours le goût de la nourriture, et tous les déracinés vous le diront sans détours. J’hésitais parfois à déguster du chien, du serpent ou du rat car mon éducation française, aseptisée, m’en empêchait. J’avais peur de tomber malade. Peut-être qu’avec le temps… ! Un petit tour au musée de l’ancien palais présidentiel, resté dans son jus depuis la chute de Saïgon, me laissa pantois et me rappela aussi les moments difficiles.

    Direction Lagi située à 180 au nord de Saïgon, le village où j’ai vécu. Ma grande sœur se tenait là, attendant avec impatience notre arrivée, mais ne me reconnut point. Moi-même je dus faire des efforts pour mes innombrables cousins et neveux. Je m’étais préparé depuis fort longtemps à ces retrouvailles si poignantes, à cette joie jubilatoire, ainsi aucune larme ne coula sur mes joues. Le voisin, un ancien ami, s ‘est approprié toutes nos terres…Le temps, la guerre, les paysans, la méthode ancestrale de pêcher,les paysages à couper le souffle, mes amis, la maison familiale rien n’avait changé et tout avait changé. Le vent de l’histoire a dévasté nos cœurs et laissé comme une trace de nostalgie imperceptible, pas de haine seulement de l’émotion à fleur de peau.

    Nous sommes restés 10 jours dans ce village de pêcheurs, une population déplacée, originaire du centre et installée ici depuis de nombreuses générations. Papa aimait y pêcher avec ses fils malgré une mer démontée et des vagues de 12m. Rien ne lui faisait peur, moi si. Cela me fait rire aujourd’hui, mais j’ai bien failli me noyer un peu trop souvent durant ces années de bonheur .

    Et nouveau départ vers Quang Ngai, lieu de ma naiossance, plage paradisiaque, authentique, et située à 150 kms de Hué. C’était, à l’époque une base aérienne des forces américaines. Et des histoires de guerre poignantes et effrayantes consument encore aujourd’hui mon esprit. Il avait été établi un couvre-feu après le départ des américains et une famille entière de sourds, n’ayant pas eu connaissance de l’interdiction par les autorités du fait même de leur infirmité, furent mitraillés et déchiquetés dans un carnage sans nom. Ils partaient pour une simple sortie en mer,où ils ne pêchèrent que la mort.

    Une promenade, un recueillement sur la tombe de mes grand- parents, une cérémonie d’offrandes, un petit tour en bateau rond typique, une dégustation de fruit Jacquier ou de raviolis à la vapeur, furent les activités principales de ces 10 jours.

    J’y ai retrouvé mon tonton Chu Nam dont je suis très proche et qui me le rend bien d’ailleurs. Bizarre, bizarre, je me suis toujours dit qu’il ressemblait étrangement au président J.F Kennedy.

    Parfois j’ai l’envie de me retrouver seul car je suis trop entouré, trop sollicité. Quand je vais au resto tout le monde veut m’accompagner et je règle l’addition. Pas que cela me coûte, mais bientôt cette situation est dérangeante et j’explique à ma famille qu’ en France je ne suis point un nabab. Mais le message passe souvent mal et la gêne s’installe. Tout le monde, ici, a cette impression que je suis un homme riche, parvenu à un niveau social extrêmement élevé et n’ayant surement aucun problème d’argent. Comment peuvent-ils imaginer, que je ne suis qu’un simple travailleur, endetté et payant des impôts ? Ce « statut » ambigu s’est révélé être le problème constant de tous les « viets- k » (les viets de l’étranger).

    Nous sommes heureux de partir « seuls » en mini- bus vers le centre, à la découverte de Hué. Nous y rencontrons un fort sympathique cyclo- pousse qui nous fait découvrir avec bonhomie, tous les trésors de la ville impériale ? Quatre jours de légèreté, de totale liberté dans un charmant petit hôtel climatisé et peu onéreux (7 dollars/ nuit ).

    Un mois, c’est vraiment trop court car nous n’avons visité que la moitié du pays, l’occasion de revenir bientôt pour d’autres aventures. Le départ est proche, nos valises pleines de cadeaux et nos yeux remplis d’images fabuleuses, nous rentrons avec le sentiment que très prochainement nous reviendrons.

    Je m’appelle Manh, et je ne veux plus repartir, je rêve de rester vivre ici, au Vietnam, dans ce pays où qui m’attend déjà.

    Vietnam je t’aime, Vietnam j’ai besoin de toi, V tu m’a manqué, Vietnam, Vietnam!!!

    Contact MANH Carnets de voyage en asie

  • Asie humour et proverbes chinois

    Asie humour et proverbes chinois

    Asie humour et proverbes chinois

    LE RIRE EST LE PROPRE DE L’HOMME, RIRE JAUNE, POURQUOI PAS !

    « Plus il y a de fous, moins il y a de riz. »(Proverbe Chinois)

    « Le mariage est comme une place assiégée ; ceux qui sont dehors veulent y entrer, et ceux qui sont dedans veulent en sortir » (Proverbe Chinois)

    « Quand on achète une maison, on regarde les poutres ; quand on prend une femme, il faut regarder la mère ».(Proverbe Chinois)

    « Une maison pleine d’enfants ne vaut pas une seconde épouse » (Proverbe Chinois)

    « En chine tout ce qui a des pattes se mange, sauf les bancs (dicton chinois)

    « En Chine tout ce qui a des ailes se mange, sauf les avions » (dicton chinois)

    « Pourquoi rester debout alors que l’on peut s’asseoir » (Proverbe Chinois)

    « Quand tu ne sais pas quoi dire, cite un proverbe chinois » (Proverbe Chinois)

    « Qui fait l’âne ne doit pas s’étonner si les autres lui montent dessus. » (Proverbe Chinois)

     » Qui veut gravir une montagne commence toujours par le bas ». (Proverbe Chinois)

    cochon rit rire

     

  • Découverte de la Chine.

    Découverte de la Chine.

    Découverte de la Chine.

    Carnets de voyage en Asie

    Impressions de Chine

    Lorsque nous allons dans un pays étrange, aujourd’hui la Chine, nous emportons avec nous nos idées reçues et bien souvent la réalité est fort éloignée de l’image que nous en sommes fait.

    Pour ce qui concerne la Chine ceci est particulièrement vrai. Ainsi en arrivant je m’attendais à des formalités d’entrée sur la territoire et de douane particulièrement longues et tatillonnes. Elles furent longues mais pas plus que dans bien d’autres pays et pas spécialement tatillonnes. Ayant quittés l’aéroport de Roissy où patrouillent des soldats en tenue camouflée armes à la main et compte tenu de tout ce que l’on nous raconte, je fus très étonné de ne voir aucun militaire et des forces de police peu nombreuses et discrètes.

    A l’arrivée à Shanghai, la ville m’a époustouflé. Enorme ! Immense. Notre hôtel étant, pourtant à l’intérieur de la ville, était à quarante kilomètres du centre ville, il faut dire que dans sa plus grande largeur la ville mesure plus de cent kilomètres. Tout au long du trajet nous menant à l’hôtel ce n’est que tours toutes plus hautes les unes que les autres. Shanghai donne l’impression d’une ville qui va exploser. Dire que la circulation est intense est un doux euphémisme. Beaucoup de grosses voitures et de taxis encombrent les artères de la ville, malgré les trois autoroutes urbaines qui se croisent en des échangeurs démentiels. Surprenant pour un parisien, les taxis représentent environs cinquante pour cent des véhicules, ceci est vrai pour les quatre villes où je suis passé. Dans nos déplacements nous constaterons que le prix des courses est très bas, en tout cas pour nous européens, il en-il de même pour les chinois ? Le cours du change avantageux pour nous y est sans doute pour quelque chose. A chaque feu rouge une multitude de vélos s’agglutinent en attendant le feu vert. La circulation semble obéir à des règles qui nous sont complètement hermétiques. Pourtant tout se passe bien dans un concert de klaxons étourdissant.

    Partout ça grouille, ça travaille, ça construit. La visite à pied dans la ville offre aussi bien des surprises. Compte tenu des informations données par les médias français à propos des salaires des chinois il était normal de s’attendre à rencontrer une population pauvre, en mauvaise santé et mal vêtue or nous avons rencontré des chinois habillés comme n’importe quel européen, des jeunes portant des vêtements et des chaussures de marques, (Nike Adidas par exemple). Le nombre de personnes marchant le téléphone portable à l’oreille est impressionnant. Autant que l’on peut en juger, les gens paraissent en bonne santé, il semble qu’un gros effort soit fait en matière d’optique et d’orthodontie. Il m’a été dit « Les chinois sont sales ». Et bien j’aimerais que les rues et les trottoirs de nos villes soient aussi propres et aussi exemptes de déjections canines que celles des quatre villes où nous avons séjourné. Ce qui étonne aussi c’est le nombre de plates-bandes fleuries qui jalonnent les grandes rues et les avenues. Les parcs et les espaces verts sont très nombreux et fort bien entretenus.

    Autre sujet d’étonnement, de nombreux enfants à partir de cinq ou six ans se promènent seuls dans les rues, cela semble normal. Notre guide nous a expliqué que l’enlèvement d’enfant, des sévices sur leur personne étaient inconcevables.

    La chine est un pays de contrastes, l’hyper- moderne côtoie l’archaïque. Au pied de tours pouvant compter cinquante étages et même plus on voit de petites échoppes où vivent et travaillent des gens. Devant ces échoppes il est courant de voir sur le trottoir les femmes préparer les repas, faire la vaisselle, laver le linge, et voir aussi la famille déjeuner et même vers treize heures une personne faisant la sieste sur une couche improvisée plus ou moins confortable.

    Dans de nombreuses rues tous les rez-de-chaussée sont occupés par des boutiques souvent petites ou moyennes. Le nombre de ces boutiques vendant, de l’électronique, de la téléphonie, de la hi fi est considérable. L’engouement des chinois pour tous ces matériels est évidant. Shanghai et dans une moindre mesure Pékin et les deux autres villes où nous sommes passés donnent l’impression d’être dans un situation comparable à celle des grandes villes françaises dans les années soixante. De nombreuses personnes quittent la campagne pour venir s’agglutiner dans les métropoles. Pour les loger de grands bâtiments, genre HLM, sont très vite construits et il est à craindre que rapidement ces quartiers ne se transforment en ghettos.

    L’européen suscite beaucoup d’intérêt et les français bénéficient d’une sympathie particulière. Dans l’ensemble les chinois sont discret mais chaleureux, dommage que le barrage de la langue limite la communication. Les chinois me sont apparus à la fois réservés, disciplinés mais aussi chaleureux et curieux.

    Allant de Shanghai à Pékin, puis de Pékin à Yichang par le train la chine m’ai apparue comme un immense chantier, partout ce ne sont que constructions d’infrastructures en particulier des infrastructure de communication, routes autoroutes.

    Si j’ai ressenti Shanghai comme étant la ville des affaires, Pékin apparaît comme étant la ville administrative. La circulation y est un peu moins dense qu’à Shanghai, les vélos sont encore nombreux mais un peu moins omniprésents, par contre nous voyons quelques motos et scooters. Les voitures moyennes sont un peu plus nombreuses. La police est un peu plus visible. J’ai eu l’impression que les gens étaient moins chaleureux, mais je méfie car les conditions des rencontres avec les pékinois étaient assez différentes de celles que nous avons eu dans les trois autres villes. Yichang et Wuhan sont des « petites villes » de province, un million deux cents mille habitants pour Yichang et huit millions pour Wuhan. Là bien que ces villes soient animées nous sommes loin de l’exubérance de Shanghai. La circulation automobile est moins dense, le nombre de vélos est beaucoup moins grand, par contre le nombre de scooters électriques surprend. A Wuhan ayant été amené à chanter sur scène j’ai été particulièrement ému de la façon dont, il me semble j’ai été perçu. Par l’attitude des gens qui étaient là j’ai eu le sentiment d’un partage. De voir les yeux des enfants s’allumer, j’ai été submergé par une vague d’émotion. Lorsque l’on donne du plaisir on en reçoit au moins autant. Un moment de bonheur. En écrivant ces lignes, malgré le temps qui a passé, mes yeux s’humidifient.

    Que dire des sites visités ? Que ce soit à Shanghai le « Palais de jade », la « Perle d’orient » (tour de la télévision), le « Jardin Hu », à Pékin la « grande muraille », la « cité interdite », la « place Tien An Men », à Yichang le « Barrage des trois gorges », les « Gorges du Xilan », la « Mini croisière sur la Yang Thé Kiang », à Wuhan, le « Musée régional » et sont « Carillon aux cloches de bronze », la « Pagode de la grue jaune » à chaque fois c’est l’émotion qui m’envahie, bien sûr, avec plus ou moins d’intensité, par rapport à ce qui c’est passé en ces lieux. Etant très passionné par l’histoire, ces visites ne pouvaient que me captiver, mais aussi me chagriner par rapport à mon immense ignorance de l’histoire de ce pays millénaire.

    Ce ne sont là que des impressions suscitées par le passage dans quatre centres ville, un aucun ce n’est une analyse exhaustive de la situation de la Chine et des chinois. Je ne suis pas revenu indemne, ce séjour a suscité un grand intérêt pour ce quasi continent et m’a donné envie tenace d’y retourner pour rencontrer d’autres gens, voir d’autres paysages.

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    Impressions de JP. FRERE

  • Xuân LÊ

    Xuân LÊ

    Les 24 et 25 novembre 2016 à 20h30, ‘BOUCLE’, 1ère création chorégraphique de Xuân LÊ, danseur compétiteur de roller acrobatique, ‘freestyle slalom’, à Paris 1er

     

     

    Les 24 et 25 novembre 2016 à 20h30, ‘BOUCLE’, 1ère création chorégraphique de Xuân LÊ, danseur compétiteur de roller acrobatique, ‘freestyle slalom’, à Paris 1er | Mouvement des Citoyens Français d’origine Vietnamienne

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    imagealaunexuanledanse-sans-titreBOUCLE, Création chorégraphique de Xuân Lê, ex-danseur dans la compagnie québécoise ID du Cirque Eloize et dans PIXEL de Mourad Merzouki le jeudi 24 et le vendredi 25 novembre 2016  à 20h 30 Espace Franco-Japonais TENRI                     8-12 rue Bertin Poirée , 75001 Paris Métro Châtelet Réservation : Tél. : 01 44 76 06 06 / resa@tenri-paris.com – Réservation obligatoire, places limitées – Les places réservées seront libérées à partir de 20h20 Tarifs : 15 € / 12 € BOUCLE est la première création chorégraphique du danseur Xuân Lê, qui a créé sa compagnie en 2016 et était compétiteur de freestyle slalom de haut niveau. Plus d’informations sur ce spectacle de Xuân Lê sur le site de l’association du lieu du spectacle : http://www.tenri-paris.com/art/spectacle.html Extrait : ‘Xuan LE, d’abord compétiteur de freestyle slalom (champion de France et 6ème mondiale en 2009), se lie très vite à la danse. En mêlant ces deux univers, il développe une matière hybride et métissée à la croisée de la danse du cirque. Il intègre les compagnies Käfig, Bissextile, le Cirque Eloize… Il crée sa compagnie en 2016 et présente ici sa première création. S’interrogeant sur la relation que nous tissons avec le mouvement dans nos vies, Xuan LE nous invite à glisser vers les sphères de son imaginaire… Chorégraphie et interprétation : Xuan LE  …’ Plus d’informations : Xuân Lê est né en France, citoyen français de père Vietnamien et mère d’origine espagnole. Il est le fils du réalisateur Lam Lê, qui a réalisé entre autres le beau film ‘Công binh. La longue nuit indochinoise’ sur les ‘travailleurs indochinois’ la plupart requis de force pendant la 2ème guerre mondiale. file:///J:/VN%20VK%20MCFV%20site%20internet%202016/articles2016/XuanLeBoucleDocLamLE/renomme/La%20presse%20canadienne+XLe.pdf Extrait : – Le cirque contemporain d’Éloize | Éric Clément, publié le 30 juin 2010  dans http://www.lapresse.ca/ iD, le spectacle d’ouverture du premier festival Montréal complètement cirque, sera présenté par le cirque Éloize du 8 au 25 juillet dans un chapiteau du quai de l’Horloge: un spectacle contemporain de break dance et d’acrobaties… iD est un conte urbain qui se déroule sur une place publique d’une ville occidentale, un univers de gangs de rue, de violence, de musique, de danse et de patins à roues alignées. Le spectacle plaira énormément aux jeunes, mettant en scène des artistes qui n’ont peur de rien. Hier, Éloize a montré deux numéros qui mettent l’eau à la bouche. Le premier était exécuté par deux artistes français et un suédois. Parisien, Xuan Le est un spécialiste mondial du patin à roues alignées et a combiné ce talent à celui de la danse contemporaine. Dans le premier numéro, chaussé de ses patins, il se «bat» avec le danseur urbain Elon Höglund. … Quant à Xuan Le, né en France de parents espagnol et vietnamien, il avoue être plus à l’aise en patins qu’à pied! «Mon idée a toujours été d’utiliser les rollers comme moyen d’expression, dit-il. Et avec eux, je peux faire de la danse, du théâtre ou du cirque.» Des informations complémentaires seront prochainement ajoutées. Site source

    Vietnam/MCFV

    Photo à la une de l’artiste-peintre Nam Trân

  • Colloque « Les Vietnamiens de France »

    Colloque « Les Vietnamiens de France »

    Colloque « Les Vietnamiens de France « : Identité, Intégration et Education’ (MCFV-CRAFV-AVSE) samedi 10 décembre 2016 de 9h à 18h, Institut Cochin, Paris 14e

    imagealaunecolloque2016cohinpavillongustaveroussycapture logos3associationscapture

    INVITATION

    Paris le 01/11/2016,

    L’association MCFV (Mouvement des Citoyens Français d’origine Vietnamienne) en coopération avec le CRAFV (Conseil Représentatif des Associations Franco-Vietnamiennes de France) et l’AVSE(Association of Vietnamese Scientists and Experts) vous invitent à participer nombreux au colloque

    «Les Vietnamiens de France : Identité, Intégration et Education »

    le samedi 10 décembre 2016 de 9h à 18h à l’Institut COCHIN, amphithéâtre ABOULKER

    Pavillon Gustave Roussy, Paris 75014. 

    Plan d’accès:

    https://drive.google.com/file/d/0B6dDbIkBjilrSkRCQnhxOUM2ZWM/view?usp=sharing

    L’entrée est gratuite, le nombre de places limité ; nous vous proposons de vous inscrire au plus tôt en activant le lien suivant:

    https://goo.gl/forms/qCQ8rb7ihrTnB1gM2

    Merci d’avance pour votre présence.

    Bien cordialement,

    Le Comité d’organisation,

    Pour tout renseignement, contactez : info.mcfv@gmail.com

    COLLOQUE

     «Les Vietnamiens de France : Identité, Intégration et Education  »

    Samedi 10 décembre 2016 de 9h à 18h

    Amphithéâtre ABOULKER– Pavillon Gustave Roussy – Porte B

    Institut Cochin

    Entrée : 27 Rue du Faubourg-Saint-Jacques

    Métro lignes 4 ou 6 : Denfert-Rochereau ou Saint-Jacques

    RER B : Port-Royal ou Denfert-Rochereau

    Objectifs : Analyse sociologique de la communauté vietnamienne de France et analyse comparée des modèles éducatifs Asie – Europe.

    Avant-propos :

    Les Vietnamiens (citoyens d’origine vietnamienne) de France, estimés à plus de 300.000 individus, sont dans leur ensemble bien intégrés. Ils sont attachés à leur origine et cultivent une identité propre au travers d’associations diverses. Ces clichés ne cachent-ils pas une réalité plus complexe ? C’est ce dont nous proposons de débattre en première partie avec des invités et le public après l’exposé du Professeur LE Huu Khoa, connu pour ses travaux sur l’immigration vietnamienne et asiatique en France.

    En deuxième partie, nous souhaitons mieux comprendre le système d’éducation de certains pays en Asie qui affiche des performances impressionnantes, contribuant à la réussite de l’économie de ces pays. Quelle serait la contrepartie de cette réussite ? En quoi se différencie-t-il du système français ou européen existant ? Les conférenciers spécialistes du sujet, M. Roger-François GAUTHIER et Mme Marie-José SANSELME, nous apporteront leur analyse critique sur le sujet.

    Les conférenciers échangeront avec les invités et l’auditoire autour de tables rondes

    Conférenciers :

     LE Huu KhoaLE Huu Khoa: Professeur d’anthropologie et de sociologie et directeur du Master Asie Pacifique de l’Université Charles-de-Gaulle – Lille 3. Il est également président-fondateur du GRISEA (Groupe de recherche sur l’immigration du sud-est asiatique) et expert à l’Unesco.

    rf_gauthierRoger-François GAUTHIER: Inspecteur général du Ministère français de l’Education nationale, professeur associé des universités à l’Université Paris-Descartes, expert international spécialisé dans la politique éducative et l’éducation comparée.

    video_sanselme_4Marie-José SANSELME: Rédactrice en chef adjointe – Revue internationale d’éducation de Sèvres.

    Invités : liste en cours de constitution

    Comité d’organisation:

     VU Ngoc Can , NGUYEN Thuy Phuong, DINH Hung,

    VU Quang Kinh, DINH Xuan Anh Tuan, LE Van Cuong

     Programme du colloque :

     La matinée : Thème « Les Vietnamiens de France :Vietnamiens et intégration »

    –        9h : Accueil des invités

    –        9h15-9h30: ouverture du colloque (VU Ngoc Cân, président du MCFV)

    –        9h30 – 10h30: Conférence de LE Huu Khoa

    –        10h30-11h : Pause

    –        11h– 12h30: Table ronde 1 tenue par LE Huu Khoa avec  des  invités et le public. Modérateur: Pr DINH Xuan Anh Tuan

    L’après-midi : Thème : « L’éducation Asie-Europe: analyse comparée »

    –        14h15 – 15h30: Conférences par Roger-François GAUTHIER puis par Marie-José SANSELME

    –        15h30-16h : Pause

    –        16h-17h30 : Table ronde 2 avec Roger-François GAUTHIER, Marie-José SANSELME,                Stefano BOSI, NGUYEN Thuy Phuong et le public. Modérateur: Pr LE Van Cuong

    –        17h30-17h45 : clôture du colloque (Gérard NGO, président du CRAFV)

     Informations pratiques :

    1)     Plan d’accès à l’amphithéâtre ABOULKER-  Pavillon Gustave Roussy– Institut Cochin

    https://drive.google.com/file/d/0B6dDbIkBjilrSkRCQnhxOUM2ZWM/view?usp=sharing

    2)     Où déjeuner à midi ?

    https://top10restos.fr/Paris/H%C3%B4pital_Cochin/?filter=&distance=500&filter2=lunc

     Invitation avec le programme téléchargeable en cliquant sur ce lien : invitation-colloque-mcfv-crafv-avse-10_12_2016_site-internet