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  • l’exposition photo de François TRIEU

    l’exposition photo de François TRIEU

    Vernissage de l’exposition photo de François TRIEU « Vietnamiens en France des années 20 aux années 50 » samedi 25 février 2017 de 17h à 19h à Paris 5e

    By | février 16, 2017
    vietnamienne_1930

    Extrait de http://www.foyer-vietnam.org/vietnamiens-en-france-1919-1954 :

    EXPOSITION PHOTO « VIETNAMIENS EN FRANCE 1919-1954 » © Collection privée de François Trieu.

    Une trentaine de photos d’archives incroyables de ces premiers immigrés Indochinois arrivés pendant la Première guerre mondiale et de ceux qui ont suivi jusque dans les années 50. Un noyau qui a été à l’origine d’une communauté de plusieurs centaines de milliers de ressortissants du Vietnam vivant actuellement en France.

    Dans l’Entre-deux-guerres, la petite communauté de Vietnamiens était composée d’environ 5 000 militaires en caserne et 3 000 civils. Pour la Seconde Guerre mondiale, 7 000 soldats et 20 000 travailleurs d’Indochine, requis de force, arrivèrent en France. Seulement 1000 à 2000 hommes, la plupart mariés avec une Française, restèrent.
    Au début des années cinquante, avec la guerre d’Indochine, arrivèrent des étudiants envoyés par des familles aisées pour échapper aux obligations militaires décrétées par les autorités au Vietnam.

    Cette exposition n’est pas une exposition historique, mais à travers ces quelques clichés de navigateurs, cuisiniers, domestiques, étudiants… nous souhaitons vous faire découvrir les membres de la communauté vietnamienne de l’époque dans leur vie familiale et personnelle.

    Vernissage autour d’un verre le 25 février de 17 h à 19 h en présence de François Trieu, l’auteur de l’exposition.

    Foyer Vietnam, 80, rue Monge à Paris 5ème
    Métro Place Monge
    Exposition du 25 février au 25 mars 2017
    Entrée libre aux heures de la cantine (12h-14h et 19h-23h)
    Plus d’informations sur François Triêu, sur les photos de cette exposition et sur celle qui l’a précédée :
    Sur les 70 photos exposées précédemment à Paris 4ème, seules 26 photographies sont exposées au Foyer Vietnam, faute de place.
    Voici des articles de presse du Vietnam relatifs à ces photos :
  • Cinéclub Yda & Echanges culturels et économiques France -Vietnam

    Cinéclub Yda & Echanges culturels et économiques France -Vietnam

     

    Cinéclub Yda Echanges culturels et économiques France Vietnam

    présentent

    samedi 25 février 2016 à 14 h

    cinéma La Clef

    34 rue Daubenton, Paris 5e

    Métro : Censier – Daubenton

    SOUS TES DOIGTS / (Dưới ngón tay ai)

    Un film d’animation de Marie-Christine Courtès

    Coproduction de Vivement Lundi ! et Novanima Productions, 2014, 13’

    Création graphique : Ludivine Berthouloux, Marcelino Truong.

    Primé aux festivals : FICAM- Meknès (Maroc), New York International Children’s Festival et WorldFest – Houston (USA), Monstra – Lisbonne et Cinanima – Espinho (Portugal), Tricky Women – Vienne (Autriche), Urban film – Paris, Chacun son court – Strasbourg,  Séquence court métrage – Toulouse, Film court – Villeurbanne…

     

    Nominé aux Césars 2016, finaliste du Cartoon d’or 2016, présélectionné aux Oscars 2017.

     

    Le jour de la crémation de sa grand-mère, Emilie, une jeune métisse asiatique, se plonge dans les souvenirs de la vieille femme. Elle découvre l’Indochine de Hoa, sa rencontre amoureuse avec Jacques (un colon français), la naissance de Linh (sa mère) et le départ tragique vers la France en 1956. Elle revit en compagnie de Linh l’arrivée au camp d’hébergement de Sainte-Livrade, l’exploitation des femmes indochinoises par les maraîchers du Lot-et-Garonne. Entre souvenirs, danse, colère et rituels traditionnels, Emilie apprend à accepter cet héritage…

    LE CAMP DES OUBLIES / (Những số phận bị lãng quên)

    Un documentaire de Marie-Christine Courtès et Nguyen My Linh

    Grand Angle Production, 2004, 52’, v.o. s.t.f.

    Sélection aux festivals : Grand reportage d’actualité – Le Touquet Paris Plage, Chroma –  Le Mans, Les Yeux ouverts – Creil, Cinémas d’Asie – Vesoul, Film d’Histoire – Pessac, FIFAM – Amiens.

     

    En 1956, 30 000 rapatriés d’Indochine – surtout des épouses, compagnes ou veuves de militaires et leurs enfants – arrivent en France. Près de 1200 dont 740 enfants sont accueillis dans un camp militaire désaffecté à Sainte-Livrade en Lot-et-Garonne : 300 logements installés dans des baraquements sans âme, sans sanitaires ni eau chaude, qui deviendra le CAFI, Centre d’accueil des Français d’Indochine. Pour survivre, femmes et enfants doivent aller cueillir et équeuter les haricots aux alentours. Sous-payés, exploités, jamais déclarés, ils n’ont aujourd’hui droit à rien. Quant aux hommes, ils travaillent dans les conserveries ou dans une usine de chaussures installée dans le camp. Peu à peu, ces familles qui ont tout perdu vont recréer leur propre univers, un Vietnam miniature. Cinquante ans après, demeure encore dans cet hébergement « provisoire » une centaine de personnes oubliées (en 2014, pelleteuses et grues ont  rasé les baraquements du CAFI dont les derniers habitants ont réussi à sauver l’église et la pagode).

     

    Débat avec Dominique Rolland, anthropologue,

    auteure de Petits Vietnams, Histoire des camps de rapatriés d’Indochine et De sang mêlé, Chronique du métissage en Indochine

     

    Contact : cineclub.yda@gmail.com – PAF: 5 € (étudiant : 3 €)

    Facebook : https://www.facebook.com/pages/YDA/1530764113840508

    Câu lạc bộ Yda (Yêu điện ảnh) &

    Hội Echanges culturels et économiques France Vietnam

    giới thiệu

    Vietnam/MCFV

    Photo à la une de l’artiste-peintre Nam Trân

     

    thứ bảy 17.12.2016 lúc 14 giờ

    Cinéma La Clef

    34 rue Daubenton, Paris 5e

    Métro : Censier Daubenton

     

     

    Dưới ngón tay ai / Sous tes doigts

    Phim hoạt hình của Marie-Christine Courtès

    Vivement Lundi và Novanima Productions đồng sản xuất , 2014, 12 phút 54

    Sáng tạo hình họa : Ludivine Berthouloux, Marcelino Trương.

    Giải thưởng liên hoan phim : FICAM – Meknès (Maroc), New York International Children’s Festival và WorldFest – Houston (Mỹ), Monstra – Lisbonne và Cinanima – Espinho (Bồ Đào Nha), Tricky Women – Vienne (Áo), Urban film – Paris, Chacun son court – Strasbourg,  Séquence court métrage – Toulouse, Film court – Villeurbanne (Pháp)…

    Phim tham dự chung kết giải César 2016, chung kết giải Cartoon d’Or 2016,  danh sách thi giải Oscar 2017.

    Ngày hỏa táng bà ngoại, Emilie, thiếu nữ Pháp lai Việt, cùng với mẹ là Linh, trở lại nơi cô đã sống thời niên thiếu. Đó là trại CAFI của người Đông Dương hồi hương ở Sainte-Livrade thuộc vùng Tây Nam nước Pháp. Bà Linh kể cho con nghe cuộc đời của Hòa – mẹ bà, tại Việt Nam thời thuộc địa : từ cuộc gặp gỡ giữa Hòa với Jacques, chủ thực dân Pháp, đến khi Hòa mang thai rồi bị Jacques bỏ rơi; từ chuyến ra đi của hai mẹ con Hòa- Linh theo chân quân đội Pháp, đến lúc nhập trại Sainte-Livrade, sống hàng chục năm bên lề xã hội.

    Ký ức ba thế hệ phụ nữ được nối kết lại. Sau những năm mặc cảm, thành kiến, phủ nhận truyền thống văn hóa Việt, Emilie tập tễnh chấp nhận di sản của bà ngoại và mẹ của mình.

    Những số phận bị lãng quên / Le camp des oubliés

    Phim tài liệu của Marie-Christine CourtèsNguyễn Mỹ Linh

    Grand Angle Production, 2004, 52’

    Phim tham dự liên hoan : Grand reportage d’actualité – Le Touquet Paris Plage, Chroma –  Le Mans, Les yeux ouverts – Creil, Cinémas d’Asie – Vesoul, Film d’Histoire – Pessac, FIFAM – Amiens.

    Năm 1956, 30000 người Đông Dương gọi là hồi hương – chủ yếu vợ và con gốc Việt được thừa nhận hay không của quân nhân Pháp – đặt chân đến chính quốc. Gần 1200 người, trong đó có 740 trẻ em, được đưa đến một trại lính bỏ hoang ở xã Sainte-Livrade thuộc tỉnh Lot-et-Garonne : 300 căn nhà mục nát, thiếu tiện nghi – không phòng vệ sinh, không lò sưởi – trở thành trại CAFI, trung tâm đón tiếp người Pháp ở Đông Dương. Tưởng chỉ tạm trú ở đó một thời gian ngắn, nhưng hơn năm mươi năm sau vẫn còn hàng trăm người sinh sống ở khu trại bị lãng quên này (năm 2014, máy ủi và máy xúc đã san bằng các lán trại, những người dân cuối cùng ở CAFI chỉ kịp cứu ngôi nhà thờ và ngôi chùa).

    Thảo luậnvới nhà dân tộc họcDominique Rolland, tác giả của Petits Vietnams, Histoire des camps de rapatriés d’Indochine và De sang mêlé, Chronique du métissage en Indochine

    Liên hệ : cineclub.yda@gmail.com – Tham gia chi phí : 5 € (sinh viên :3€)

    Facebook : https://www.facebook.com/pages/YDA/1530764113840508

    Vietnam/MCFV

     

    Photo à la une de l’artiste-peintre Nam Trân

  • Proverbe chinois ou la sagesse asiatique

    Proverbe chinois ou la sagesse asiatique

    Méditons avec le proverbe chinois

     

    Dans un étang, il n’y a pas de place pour deux dragons. 

    Sourire, c’est rajeunir de dix ans ,s’attrister, c’est se faire des cheveux blancs.

    L’itinéraire de 1000 mille commence par un pas. 

    Chaque coup de colère est un coup de vieux,chaque sourire est un coup de jeune. (Proverbe chinois)

    Avec le temps et la patience, la feuille du mûrier devient de la soie.

    Le sage se demande à lui-même la cause des ses fautes, l’insensé la demande aux autres

    style81 / Pixabay

    Un bon chien ne mord pas les poules, un bon mari ne bat pas sa femme.  

    Le jour éloigné existe, celui qui ne viendra pas n’existe pas. (Proverbe chinois)

    Les gens heureux n’ont pas besoin de se presser. 

    Le plus grand conquérant est celui qui sait vaincre sans bataille. (Proverbe chinois)

     

    Le moment donné par hasard vaut mieux que le moment choisi (Proverbe chinois).

    La pierre tombe sur l’œuf et l’œuf se casse, l’œuf tombe sur la pierre et l’œuf se casse

    Pourquoi se jeter à l’eau alors que la barque n’a pas chaviré 

    Un palais conduit à la gloire, le commerce à la fortune et la solitude à la sagesse 

    Le sage se demande à lui même la raison de ses fautes et l’insensé le demande aux autres. ( Proverbe chinois).

    Agis avec sagesse mais n’attends pas la reconnaissance ( Proverbe chinois).

    bella67 / Pixabay

    Ceux qui avancent trop vite reculent encore plus vite 

    L’eau ne reste pas sur la montagne ni la vengeance sur un grand cœur 

    La vérité qu’on aime le moins apprendre est celle que l’on a le plus intérêt à savoir 

    Mieux vaut allumer une chandelle que de maudire l’obscurité

     

  • Thiery Beyne, les dormeurs indochinois

    Thiery Beyne, les dormeurs indochinois

    Thiery Beyne

     les dormeurs indochinois

    Thierry Beyne, les dormeurs indochinois

    Thiery Beyne

    Contact email

    Vietnam/MCFV

  • Hommage aux Castrats, Nguyen Duy Thong

    Hommage aux Castrats, Nguyen Duy Thong

     

    Hommage aux Castrats : Airs pour Farinelli chantés par Nguyen Duy Thong, contre-ténor, Eglise Saint-Julien le Pauvre, Paris, du 5 janvier au 11 mars 2017

    By | janvier 5, 2017
    chanyteurŒuvres de Vivaldi, Haendel, Gluck, Tosti…
    Dans l’intimité de la plus vieille église de Paris une promenade musicale hors du commun.Né à Toulouse, Nguyen Duy-Thông a fait ses humanités à la Sorbonne tout en étudiant le chant avec la soprano Liliane Mazeron avant de se perfectionner avec les cantatrices Regina Renik, Sena Jurinac, et Jill Feldman.
    Ayant étudié le style baroque avec le claveciniste Yannick le Gaillard et le chef d’orchestre William Christie, c’est dans le répertoire de la musique ancienne particulièrement adapté à son registre, qu’il fait ses premiers pas de chanteur soliste : Orfeo de Monteverdi, Ode Come ye sons of Art de Henry Purcell, cantate Actus tragicus(BWV)106 de JSBach etc..
    Nguyen Duy-Thông travaille sous la direction de Jean-Claude Malgloire, Marc Minkowski, Patrick Bismuth et aborde sur cène Secrecy et Mopsa dans Fairy Queen de Purcell et dernièrement Orphée dans Orfeo ed Euridice de Gluck.
    Par ailleurs, sa curiosité et sa technique le poussent vers des répertoires rarement associés à ce type de voix :c’est ainsi qu’il interprète le rôle de Zephyrus dans Appolo et Hyacinthus de Mozartet même ceux de la tasse chinoise et de l’écureuil dans l’Enfant et les Sortilèges de Ravel.
    En récital, sa connaissance de la langue et de la culture allemande lui permet de chanter le lied de Mozart à Schubert, Wolf et Liszt. Pour ce qui est de l’Italie, le répertoire belcantiste (Rossini, Donizetti, Bellini) lui est également très cher.
    Les recherches qu’il a entreprises sur le répertoire et l’art des castrats l’ont conduit à créer un spectacle intitulé de Farinelli à Moreschi.donné pendant toute la saison 1997-1998 au Théâtre du Tambour Royal à Paris.
    Ouvert à la musique de son temps il a interprété Sequenza de Luciano Berio, Danae de François-Bernard Mâche. Les compositrices Florentine Mulsant, Denise Ferrand-Teulet et Walky Karveno ont écrit des mélodies pour lui.
    Nguyen Duy-Thông a accepté à la demande de metteurs en scène de se produire au théâtre (Festival d’Avignon, 1998, Maison de la Poésie, novembre 2002) et au cinéma (Beau Travail de Claire Denis).      http://musiquesenvauxdyonne.free.fr/PuMusiciens/MU_Nguyen.htm

    Eglise Saint Julien le Pauvre, 79 rue Galande (ou: 1 rue Saint-Julien le Pauvre), 75005 Paris

    Entrée: 13 €

    Du 05/01/2017 au 11/03/2017
    Lundi, mardi et jeudi à 20h, samedi à 19h

    Billet sur http://www.billetreduc.com/spectacle-nguyen-duy-thong.htm

  • Récits du moine AN-Ching par Ying Dussaut (Ed Thélès)

    Récits du moine AN-Ching par Ying Dussaut (Ed Thélès)

    Récits du moine AN-Ching par Ying Dussaut (Ed Thélès)

    Roman de l’époque Pré-révolutionnaire de la Chine de 1890

    An-Ching est né à Doubei, la province chinoise la plus septentrionale, au moment où la Chine perd la guerre de l’opium et signe les traités qui ouvrent les ports de commerce aux étrangers. Lorsqu’il a un mois, son père An-Ling est assassiné dans un monastère par des bandits. Sa mère très malade demande alors au prêtre Lao-Shan d’adopter son enfant.

    Ainsi, dès l’adolescence et aux côtés de ce père adoptif engagé, An-Ching participera aux actions des sociétés secrètes et des étudiants révolutionnaires en vue de faire éclater la troisième révolution.

    La saga relatée par le moine An-Ching est une histoire vraie. C’est un long périple au travers de la chine, de la méridionale Kan-Chiou à la Mongolie, après avoir traversé le Tibet pour suivre aussi la route de la soie jusqu‘en Inde.

    An-Ching parcourt le pays de village en village pour apprendre aux enfants à lire et à écrire. Il reste parfois plusieurs mois chez l’habitant participant aux travaux des villageois. Il observe la nature, les mœurs, les légendes et les superstitions des hommes… et encore, l’activité des villes, leurs sociétés et leurs révolutions.

    Récits du moine AN-Ching Ying (Dussaut, Ed Thélès)

  • Gwenaël Kerléo & Yann Crépin, un voyage onirique

    Gwenaël Kerléo & Yann Crépin, un voyage onirique

    « La Déclaration », le nouvel album du duo Sonj (Gwenaël Kerléo & Yann Crépin) 
    un voyage onirique et cinématographique

    C’est le 8ème album de Gwenaël Kerléo.

    Concert pour la St Patrick  
    vendredi 17 mars au Zèbre de Belleville à 20h
    63 Bd de Belleville 75011 Paris

    Informations & réservations : 01 43 55 55 55 

    visionner le Clip Sicilienne Finistérienne

    La Déclaration est un album de compositions originales et c’est, avant tout, le fruit d’une vraie rencontre entre deux musiciens. Ils nous offrent ici un dialogue entre une harpe et un piano en totale harmonie, nous entrainant vers des espaces sonores qui rappellent l’univers onirique d’un Yann Tiersen ou de Ludovico Einaudi.

     

    Une constellation d’étoiles illumine cet album universel ! Si l’on pouvait se douter que Gwenael Kerleo, en bonne fée des monts d’Arrée changerait à nouveau le cristallin de sa harpe en pépites, sa complicité avec le pianiste-flûtiste Yann Crépin est une immense révélation.
    Les compositions de Gwenael scintillent du début des « Murmures d’une nuit d’été » à la « Transe armoricaine » finale, dans une suite indissociable. Dès lors, quand le uillean pipe de Kevin Camus et les percussions d’Yvon Molard transcendent l’ultime morceau, la sensation de « déjà fini ? » est l’argument imparable d’une pleine réussite.Le Télégramme

    Cliquer sur le site de Gwenaël Kerléo pour en savoir plus

     

     

  • Barbara Luna, chanteuse argentine

    Barbara Luna, chanteuse argentine

    Barbara Luna, a été découverte par Peter Gabriel 

    Barbara Luna, chanteuse argentine, a été découverte par Peter Gabriel en 1998 et a tourné partout dans le monde.Femme de tempérament, Barbara Luna métamorphose toutes les racines musicales d’Argentine en une composition acoustique pleine d’énergie. 
    Puisant dans les racines amérindiennes et africaines de la musique argentine, où elle est née, ses chansons parlent d’amour, de liberté, de la richesse des métissages, de la brûlure des passions et d’horizons sans fin.

    Elle présente son 5ème album « Hijos des Sol » enregistré entre Paris, Buenos Aires et la Bretagne

    vendredi 21 avril à l’Entrepôt à 20h 
    7 Rue Francis de Pressensé, 75014 Paris

    Le clip sur youtube

     

    Découverte en France en 1998 au Printemps de Bourges, elle entame une carrière internationale en se produisant dans le cadre du festival  itinérant de World Music «Womad » créé par Peter Gabriel.  Au quatre coins de la planète (Canaries, Sicile, République Tchèque, Afrique du Sud, Singapour, Etats Unis, Australie, Grèce…), elle démontre qu’elle est une véritable artiste de scène. Barbara reçoit le label «Attention Jeune Talent» décerné par la Fnac, pour l’album India Morena, cette chanson éponyme la consacre dans son pays en 2014 où elle l’interprète devant 100.000 spectateurs.

    Plus d’information : www.barbara-luna.com
    Venez partager un moment d’énergie solaire et communication

     

     

     

  • Récits d’Afrique, du 4 au 29 janvier 2017

    Récits d’Afrique, du 4 au 29 janvier 2017

    Récits d’Afrique


    la galerie africaine présente :

    du 4 au 29 janvier 2017

    Récits d’Afrique

    Peintures de Wole Lagunju
    &
    Photos de Lea Lund & Erik K

    Sculptures de Gonçalo Mabunda
    Biennale de Venise 2015

    Mu Gallery, 53 rue Blanche, 75009 Paris
    M : Blanche & Place de Clichy, Bus : 68 – 74

    Tous les jours de 12h à 19h, dimanches sur RDV

    Vernissage le jeudi 5 janvier à 18h
    Cocktail le mardi 24 janvier à 18h

    > télécharger le dossier de presse

    La Galerie Africaine
    La Galerie Africaine
    La Galerie Africaine


    Contact
     : Aude Minart, audeminart@hotmail.com, Tel. 06 60 24 06 26 www.lagalerieafricaine.com

    Vous pouvez aussi vous inscrire ou vous désinscrire à la lettre d’information

  • YE Jianxin, artiste- peintre chinois et ses paysages

    YE Jianxin, artiste- peintre chinois et ses paysages

    YE Jianxin, artiste- peintre chinois/雄浑大地见真情, 读叶建新的水墨山水, 范迪安

    PEINTRE CHINOIS

    YE Jianxin, artiste- peintre chinois.

    你可以找到一個在中國的文字在文章的末尾

    YE Jianxin Né le 26 juin 1958, membre de l’Association des Artistes Chinois. Professeur à l’Institut des Arts du Cinéma et de la Télévision de l’Université de la Communication de Chine et directeur de Maîtrise. Responsable de l’Académie Nationale des Technologies du Cinéma et de la Télévision. Directeur du Comité Professionnel des Beaux-Arts. Professeur invité à l’Institut des Media de Zhejiang. Directeur de publication du Marché des Arts.

    Majestueux paysages, authentique émotion :

    Commentaire sur les œuvres de YE Jianxin par monsieur FAN Di’an

    雄浑大地见真情 读叶建新得水墨山水

    范迪安

    Les lavis paysagistes à l’encre de Chine de Ye Jianxin se distinguent par son style élégant et vigoureux hors du commun. Une structure audacieuse dans ses tableaux, une place importante accordée aux couleurs sombres et des traits profonds enveloppent une vitalité débordante. L’ensemble de ces caractéristiques forme un univers particulier qui nous impressionne et nous attire. De cette fascination, naît un contact personnel privilégié avec la terre et le ciel, issu du concept d’un esprit purificateur, il nous effleure d’une sensation de plaisir et de gaieté.

    Comme résumait parfaitement le célèbre écrivain contemporain chinois, LIN Yutang (1895—1976), lorsqu’il analysait la peinture chinoise : « toute inspiration artistique chinoise prend sa source dans les paysages ». En effet, lorsque la peinture paysagiste avait pris son essor à l’époque de la dynastie Tang, les expressions artistiques ses caractérisaient surtout par leur esprit esthétique. A travers leurs œuvres, les peintres manifestaient l’éloge de la nature. Cette extériorisation des sentiments illustrait la présence de l’esprit et valorisait la perception d’une réalité. Bien que par la suite, différents styles et courants apparurent dans les peintures paysagistes, la volonté d’interprétation d’une image réelle par son sens et vice-versa ainsi que la recherche visant à cerner l’âme des montagnes et des eaux par leurs formes physiques furent communes à toutes les peintures paysagistes chinoises. Les nuances des traits entre chacune des peintures ne changeaient en rien l’éloge des paysages.

    Ye Jianxin connaît parfaitement le positionnement de ces valeurs spirituelles dans les peintures paysagistes et cerne l’importance des places centrales qu’occupent « l’esprit » et « l’énergie qi气 » (l’air). Sur l’aspect théorique, Ye Jianxin veut transformer « l’esprit » et « l’énergie » en objets visibles afin d’interpréter l’âme insaisissable. En pratique, il commence par « l’énergie qi气 », c’est-à-dire tout ce qui est visible, pour se consacrer par la suite à la description de l’âme des paysages. Ce faisant, il rend le paysage encore plus réaliste tout en révélant ses talents et ses caractéristique artistiques.

    Les œuvres de Ye Jianxin reflètent donc, non seulement l’esprit de la nature, mais aussi ses propres caractéristiques. En effet, Ye Jianxin ne veut pas se limiter aux seules techniques artistiques : il souhaite aussi exprimer sa compréhension de la nature dans ses œuvres.

    Lors de son processus d’apprentissage artistique, Ye Jianxin a compris qu’il fallait dépasser le stade technique des mains en attirant volontairement l’expression d’émotions provenant directement du coeur et de l’inconscient. Originaire du nord de la Chine, il hérite d’un esprit ouvert et intègre également des tempéraments plus sensibles qui caractérisent les habitants du sud. Seuls les termes « émotions » et « sensations » authentiques peuvent qualifier son état d’esprit lorsqu’il contemple les chef d’œuvres de la peinture chinoise. Il ne considère pas la tradition des peintures paysagistes chinoises comme un élément isolé mais plutôt comme un univers artistique aux sentiments multiples. Et parce qu’ ému devant cet univers grandiose et ancestral, il ne prête pas attention aux détails sans importance. « Voyage imaginaire à travers les dynasties des Tang et des Song » qui se lit comme un roman classique, est justement l’aboutissement artistique réussi d’une recherche effectuée auprès des chefs-d’œuvre des peintres chinois traditionnels. A travers cette impressionnante peinture longue de 420 centimètres, le peintre nous fait apparaître une sensation d’estime mélangée à de la crainte et de la perplexité face à l’immensité d’une nature sauvage. L’esprit du Taoïsme prend alors tout son sens dans cette œuvre où la recherche de la nature est passée devant l’esprit purement esthétique.

    « Ame des montagnes », une série de travaux réalisés durant les années 1990, sont les œuvres les plus représentatives de Ye Jianxin. Dessiner l’âme des montagnes est en réalité l’objectif ultime que Ye Jianxin s’est fixé pour lui-même. Et, pour atteindre cet objectif, il parcours montagnes et sites historiques, synthétise la vision des peintures traditionnelles, et apporte ce qu’il ressent de la nature. A travers ses travaux, on pourra percevoir l’esprit d’indépendance des paysages qui sont l’essence même de la nature. Grâce à un impressionnant style artistique, Ye Jianxin a réussi à se démarquer des autres artistes.

    L’esprit Zen et les caractères humanistes font également partie des spécificité des œuvres de Ye Jianxin. A travers ses tableaux, nous pouvons percevoir la concentration qu’il a accordée pour tracer chacun des traits, sans superflu et uniquement des sentiments de confiance. Ces caractéristiques reflètent l’autodiscipline et l’esprit d’indépendance propres aux artistes chinois. A la différence de certaines soi-disant « peintures néo-littéraires », les œuvres de Ye Jianxin se distinguent à la fois par la conscience et l’esprit Zen des « peintures néo-littéraires » mais aussi par une absence totale d’attitude approximative ou négligée.

    Au niveau de la représentation graphique, Ye Jianxin recours fréquemment aux traits forts et puissants, créant ainsi un espace vivant et réaliste tout en laissant soin de préserver un caractère implicite dans la peinture.

    Dans la composition, Ye Jianxin dépasse le cadre et les règles réservés habituellement aux peintures paysagistes pour explorer davantage l’horizontal, le verticale et les parallèles… En appliquant un contraste fort dans le tableau, il renforce d’avantage l’impact visuel et augmente ainsi le caractère palpable des objets.

    Les couleurs sont rarement visibles dans ses peintures, car Ye Jianxin préfère exprimer ses sentiments affectueux pour la nature sous forme de lumières et d’ombres. Ye Jianxin est un artiste d’âge moyen prometteur, il s’efforce de progresser davantage dans l’art du lavis.

    Contact email/ Fang Zhang

    雄浑大地见真情 读叶建新得水墨山水

    范迪安

    叶建新得山水画,大气磅礴,洒脱自然。其大胆的构图、大块的墨色、大笔的渲染,可谓恣肆淋漓、云覆山翻,充盈着蓬郁的生机,让人注明,并在注目之际既生“独与天地精神往来”的“澄道观”的快意。 正如林语堂在论中国画时精辟的描述:“中国艺术的冲动源于山水”。山水画在隋唐勃发兴起之时起,就是一种非功利的纯审美活动,画家对“天地大美”之恩、之情 、之意的外化,是精神与意识价值的体现,虽然在后世的第一个时代,山水画都呈现出不同的风格与面貌,但以意摄象、以象写意,这些山水画取山水之形、求山水之魂的理想却一以贯之,笔墨纵有个性差异,皆是对仁山智水的歌咏。 叶建新做山水画,是深知山水画精神价值定位的,也特别领悟到“神”与“气”在山水画中的核心义旨。在理论上他主张“精气为物,游魂为变”;在实践中,他以“气”入画,重在写山水物象之“魂”。;于此,他画出了既体现山水画真谛,又充分显现自我个性气质的一家风仪。 在研习山水画过程中,把揣摩领会传统这个必经的功课从“器”的层面上升到了“道”的层面。他重视山水画的笔墨技巧,但不是一般地从传统中学几路笔法墨象,而是将身心投入于对传统山水经典之作地“感悟”之中,用“心’的“感悟”带出手的“功夫”。依叶建新北方式的豪放式性情和南方人的敏感多情相结合的气质,他在面对古人经典时,只有感动二字才能确切表达他的状态。他看到的中国山水画传统,并不是单个细节,而是那个含蓄多情的艺术境界——因为感动,而忘却了那些不必要的细节。《梦游唐宋境》就是他对古代大家风格研习之作,全画犹如读古的长篇笔记,充满了自己对于境界的怀想与表现。在长达420厘米的画面中,烟岚清旷,山色空蒙,漠漠川原上林立着秀劲萧森的古木,空无一人的幽深画面充满莫名的神秘与惆怅,这种远边的孤寂与惶恐是每一位现代人回顾陌生的古代都会发生的一种惧畏,困惑与崇敬。我 相信人们看到这幅画,都会忽的一下被摄住,定定的屏住气息,望着迷梦一般的唐川宋林,似乎被画幅散发出来的冰冷寒气所笼罩——叶建新在研究传统时离“形”求“道”,进入了唐宋梦境的博大幽深世界,他也把这种世界带给了我们。 最能代表叶建新艺术的还当属他从20世纪90年代中期以来持续创作的《山魂》系列。为山川写神魂,这是一个高远的目标。为此他以中国气盛为支撑,跋涉游览许多名山大川,就像他以综合的眼光看待传统、以领略的整体意境为重点一样,他在面对自然景象之时,也是用心灵和情感去统摄与收取。他的许多作品画出了山水作为大自然本真生命的那番独立精神。山川巍峨奇峭,云气吞吐大荒,以一种大开大合的气象给人以永恒的意味。在当代中国画山水画坛名家辈出、形态纷呈的格局中,他以自己强烈的艺术风貌占有了一方天地。 在叶建新黑白分明、大气磅礴的作品中,蕴涵着深厚的人文精神。画面中没有唐突粗糙的涂鸦,看似信守挥洒而得,其实每笔都注精凝神,率意之中流露出自然与自信,这是中国文人独有得自律与精神,这种自省与尊古得精神也是学者型画家独有得人品与旗帜。与当代有些所谓“新文人画”不同的是,叶建新的画虽有文人画的意境与禅思,在逸笔生气中却未流露于其自娱与荒颓。 从笔墨角度看,叶建新的笔墨多是运势刚健的重笔和恣肆淋漓的大写意泼墨,大块的笔触与墨迹在宣纸上印留下富有动感和质感的生动空间,在洗练的黑白块面中穿插着坚凝的山石素壁,似乎偶然的笔墨皴染形成极富浑厚酣畅之意味,风尚雄古,一洗工气。在 这个基础上,他也注重苍健中的含蓄,把小写意的细腻勾染结合进入,使作品整体浑然,奈人寻意。 在构图上,叶建新突破了传统的经典章法和山水具体的地域性特征,多为横段式、平行式、放射式、内敛式,有的甚至是传统山水画的大忌。画面常违背一般山水自然的有机性,采用大疏密的对比,将焦点透视中的物象置于散点透视或平面构成中,扩大画中风景的可感度,强化视觉冲击力,极大地渲染了感情氛围。他一些作品的主干线条往往斜出画面下角,直冲云头天际,一如长锋破阵,嘎嘎然撑起全幅结构,在视觉上十分让人振奋,在无际视野间感受到空而不空、寂而不寂,领悟到遐想的妙端。 叶建新的画绝少设色,在这一批黑白水墨世界里,蕴涵了董其昌“画欲暗不欲明”的妙喻,深不可测的墨色中藏有“不尽之境”,明暗中蕴有“景外之景,意外之玄妙”,在深厚的笔墨中,对自然山水的迷恋和情怀跃然素纸,这是值得称道的。依他正处中年盛期,他将在水墨山水艺术中长足前进。

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