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  • La cuisson du riz version Asie

     

    Cuisson du riz, comme en Asie !

    1- Le mieux est d’acheter du riz parfumé (Thaï ou autre), de préférence dans un magasin asiatique et surtout pas dans une grande surface car ce dernier a été traité ; ainsi la cuisson ne pourra pas s’effectuer convenablement selon les vieilles recettes traditionnelles.

    De préférence n’achetez pas du basmati qui est un riz dédié plus à la cuisine Indienne.

    2- Lavez le riz pour retirer un peu d’amidon.

    3- Mettez le riz dans une casserole, peu importe la quantité.

    4- Ajoutez de l’eau froide environ 2,5 cm au dessus du riz , et couvrez.

    5- Faire cuire à feu vif jusqu’à ébullition de l’eau.

    6- L’eau doit s’évaporer et des bulles apparaissent bientôt à la surface du riz. Il faudra bien attentivement suivre la cuisson et ne jamais mélanger car votre riz risque de se transformer en riz gluant, ce qui n’est pas, à- priori votre but.

    7- Couvrez à nouveau et faites cuire à feu doux jusqu’à cuisson du riz environ 15 à 20 minutes.

    Les asiatiques ne salent ni ne poivrent leur riz à la cuisson.

    Maintenant, il est fort pratique d’utiliser un « rice- cooker » !

  • Longanes frais, fruit asiatique

    Longanes frais, fruit asiatique

    Longanes frais, fruits asiatiques

    Longanes frais.
    Nous connaissons tous les litchis en boites mais les fraîches sont meilleures et plus naturels car ils ne nagent pas dans du sirop lourd et par trop sucré. Seul problème à ce tableau idyllique, il va falloir les décortiquer un par un. Goût délicatement sucré, à la chair ferme et juteuse.
  • Rambutans

    Rambutans

    Rambutans frais et en conserves, fruits asiatiques

    - Rambutans frais et en conserves sont surtout connues en conserves mais plus rarement fraîches. Fruit délicat à la chair plus tendre que les litchies. Bien sûr il faut les éplucher et ceci est une autre histoire.

  • Durians, fruit asiatique

    Durians, fruit asiatique

    Durians, fruits asiatiques

    Durians Il est vraiment un peu trop familier ce lascar ! A peine nous-a-t-il aperçu qu’il s’immisce dans nos narines fragiles, colonise nos trous de nez… Devenir son pote la compote n’est pas vraiment notre désir immédiat ! Le fuir à tout prix et respirer enfin est, à cet instant, le seul de nos soucis.

    Et pourtant il saura nous charmer si nous ne le considérons plus comme un ennemi à abattre. Il est vrai qu’à la première bouchée de ce fruit exotique, se mêlent à la fois extase et dégoût ; dès la deuxième bouchée c’est gagné…si nous le voulons bien !

    Nous déconseillons, au risque de provoquer une émeute, de transporter des Durians dans le bus ou le métro…

     

  • Christophe Crépin

    Christophe Crépin

    Implosante-Fixe » Curated by B.Hoang

    Implosante-Fixe » Curated by B.Hoang

    Christophe Crépin

    « La ligne est omniprésente sur les toiles abstraites de Christophe CREPIN. Comme Klee et Kandinsky, il crée des correspondances avec la musique et use de la ligne comme portée de ses sensibilités. A ce jour, ses acryliques nous transportent dans un espace-temps Cosmique où sa ligne est aux limbes des couleurs et aux confins de leurs conversations. Bruno HOANG a invité la compositrice de musique contemporaine Mariana Ungureanu : une de ses oeuvres sera présentée lors du vernissage »

    Contact Bruno Hoang 0662256730

  • Humour drôles asiatiques, rire de soi

    Humour drôles asiatiques, rire de soi

    Humour et histoires drôles asiatiques, blagues d’asie, Asie humour et humour d’asie

    Histoires drôles,Blagues asiatiques, blagues d’asie, Asie humour et humour d’asie

    « L’asiatique et le boucher ! »

    Une asiatique, mariée récemment à un parisien, et ne ne connaissant que fort peu notre langue, communiquait avec son mari qu’au lit dans des ébats de « nuits câlines ». Chez les commerçants la difficulté était qu’il n’y avait pas de lit… Je plaisante !

    Un jour chez le boucher elle voulut acheter des cuisses de poulet, mais comment exprimer ce désir fort simple ? Elle souleva sa jupe, montra ses cuisses au boucher trés, trés attentif, qui comprit aussitôt la demande de sa cliente.

    Pour préparer de la poitrine de porc croustillante, elle retourna chez le commerçant et afin de se faire comprendre, elle dégraffa sa chemisette et montra sa poitrine. Le boucher l’oeil affolé et le regard en biais, lui servît l’objet de sa demande.

    Un barbecue dans le jardin était en préparation et notre brave asiatique eût besoin de saucisses. Elle amena son mari chez le boucher trés désapointé et…

    Vous avez un esprit fort pervers, mais voyons son mari parle français ! 
A quoi pensiez-vous ? Vous n’écoutez pas, soyez plus attentif dorénavant…

    « Gros mots »

    Un Chinois arrive en France et à l’aéroport, il prend un taxi. Le chauffeur traite sans arrêt les autres de gros cons.

    - Chez nous, en Chine, on ne dit pas con mais on siffle un son « UH ». Quand il y a 2 cons, on siffle « UH-UH ». Pour trois cons : UH-UH-UH.

    - Et quand il y a beaucoup de cons, comment dites-vous ?

    - C’est simple, on siffle UHUH sur l’air de la Marseillaise !

    Humour qui va semer la zizanie

    « J’suis vert ! »

    Un chinois, de retour de Chine, s’aperçoit que son zizi est tout vert suite à ses nombreuses aventures calines. Son médecin traditionnel chinois, aprés un examen rapide lui asséne le coup de bambou, il va falloir couper. Précipitamment il va voir d’autres médecins parisiens qui lui donnent le même diagnostic, il faut absolument couper son zizi.

    Démoralisé, il se retrouve dans un bistrot et là un type lui conseille d’aller voir un guérisseur vietnamien trés réputé.

    Comme un fou il se précipite chez ce dernier qui aprés un regard goguenard sur le zizi, lui prépare une potion qui , illico presto, est avalée par notre patient. Rassuré le chinois lui demande angoissé : « Alors, dites moi, il n’y aura pas besoin de couper ? » Le guérisseur lui répond dans un sourire plein de dents : » Non, non, pas besoin, ça va tomber tout seul ! 
 »

    humour de médecine chinoise

    « Des japs à petit budget »

    Un car d’ouvriers japonais arrive à Paris. Ils trouvent les prix bien trop chers pour leur budget. Le soir même, poussé par des pulsions incontrôlables, l’un d’eux demande à une jolie pute combien elle prend. 200 euros la passe, 1000 euros la nuit. Le Japonais dit : OK pour la nuit, mais à mon hôtel. Ils font l’amour puis le Japonaisse rend à la salle de bains, revient, refait l’amour… La fille est comblée mais au petit matin elle veut aussi passer à la salle de bains et, oh surprise ! elle y trouve tous les Japonais du car, attendant leur tour…

    humour jap et encore ça ne sushi pas!

    « J’veux des preuves »

    
Le chef d’un restaurant chinois entre dans une épicerie arabe pour acheter 20 boîtes de Ronron. L’épicier n’est pas d’accord : non, le Ronron on sait qu’on va le retrouver dans vos pâtés impériaux… Le Chinois lui répond : mais j’ai 2 chats, c’est pour eux ! L’épicier lui dit : je veux les voir ! Le lendemain, le Chinois revient avec ses 2 chats dans un panier et rassuré, l’épicier lui donne le Ronron. Une semaine après, le Chinois revient : je veux 20 boîtes de Canigou. Non, répond l’épicier, on connaît vos saucisses ! Mais c’est pour mon chien ! Je veux le voir. Le lendemain, le Chinois revient avec son chien et achéte les boîtes de Canigou. Une semaine après, il arrive avec un seau de merde qui empeste la boutique. L’épicier, au bord de l’écoeurement, lui demande ce qu’il veut, cette fois. Le Chinois dit : je voudrais 3 multipacks de papier toilette. Mais il ajoute : cette fois je vous ai apporté tout de suite les preuves !

    Humour qui va semer la zizanie

    Humour qui va semer la zizanie voilà de quoi être écœuré d’être propre!!!

    Blagues asiatiques, blagues d’asie, Asie humour et humour d’asie

  • Indian Ocean

    Indian Ocean

    Indian Ocean, des artistes passionnés

    « Indian Ocean », qui sommes nous ?

    Nous avons créé cette structure dans le but de promouvoir la culture indienne en France et permettre aux personnes de tous les horizons,cultures et origines différentes d’en connaître un peu plus sur l’Inde,sa culture, ses traditions … et surtout ses danses et musiques !

    Nous avons trois pôles d’activités au sein de notre structure :

    1) Les cours de danse Barathanathyam, Bollywood, Bhangra, Gaana Dapankhutu, Kathak, Kalbelia et Odissi

    2) La création de chorégraphies indiennes

    3) L’organisation d’évènements privés et d’entreprises aux couleurs de l’Inde

    Notre but est de faire découvrir la chanson réaliste actuelle, faire vivre le patrimoine des chansons populaires, entraîner le public avec des airs traditionnels, travailler le côté esthétique de la scène par le biais de la danse, enfin, rassembler des gens d’horizons différents autour de notre musique.

    Grâce au travail de recherche artistique et de création musicale entamée depuis la formation de la troupe, nous possédons actuellement un répertoire musical composé en parts égales de reprises et de compositions de style Bollywood (classique et moderne),Gaana dapakhutu, Bhangra et Barathanatyam. Des projets de musiques et de chansons sont en cours et la structuration d’un spectacle musical est déjà bien avancée.

    Laissez -vous tenter par l’expérience Indienne et plonger vous en Inde en visitant notre site www.danse-indienne-bollywood.com

    Un parcours déjà bien

    - Spectacle, à Paris, au musée Grévin pour l’inauguration de la statue de Shahrukh Khan
    - Grand Rex avec la présence de Rani Mukherjee et Preity Zinta,
    - Fesival du cinéma en 2009 avec Amitabh Bachchan et Aishwariya Rai
    - Cannes pour l’ouverture du Festival de Cannes en 2006, – festival Filmprais au Luxembourg
    - Tf1 à la Star Academy
    - France 2 dans l’émission Télé matin
    - M6 dans l ‘émission « incroyable Talent » et 100% mag
    - Aquaboulevard
    - Champs de Mars
    - Club Med Gym
    - Disneyland
    - Galeries Lafayette
    - Grand Rex
    - Majestic Barrière de Cannes
    - Musée Grévin
    - Trianon
    - Virgin des Champs Elysées…)
    - Soirées d’entreprises prestigieuses (Alcatel, Bouygues, Cartier, EDF, Fujitsu, Gan, Hermes, Lycos, Pimkie, Ranstad, Sephora, Thomson,Veoli

  • Raita de carottes/Inde

    Raita de carottes/Inde

    Raita de carottes (recette indienne/ cuisine indienne)

    Raita de carottes (recette indienne/ cuisine indienne)

    Ingrédients

    - 3 yaourts natures
    - 2 carottes déjà bouillies
    - 1 cuillère à café de graines de moutarde
    - du sel
    - un peu de hing (asafoetida) optionnel
    - quelques feuilles de coriandre fraîche
    - un peu de ghee ou d’huile

    Préparation

    - Tout d’abord battre le yaourt.
    - Ensuite écraser les carottes.
    - Mélanger le yaourt et les carottes.
    - Ajouter le sel et les feuilles de coriandre fraîche (mélanger)
    - Faire chauffer un peu de ghee dans une petite louche sur le gaz.
    - Ajouter les graines de moutarde et l’asafoetida.
    - Quand les graines créptitent, les ajouter dans le raita.

     

    Ce goût de moutarde surprend, mais dans le bon sens. Bon appétit !

    par Pankaj

     

  • Voyage en Asie

    Voyage en Asie

    Amoureux de l’Asie

    Amoureux de l’Asie

    Partir au bout du monde, c’est déjà se noyer dans les nuages que me dessinent les avions en partance. En route vers cette Asie grouillante, colorée et pleine de vie, je me réveille enfin d’un long sommeil d’hibernation.

    Jamais de mauvaise surprise car les sourires seront certainement au rendez- vous. Une végétation luxuriante nous attend à l’orée des rêves si longtemps imaginés mais sans commune mesure avec une réalité chaque fois plus étonnante et attachante.

    J’aime me perdre dans cette foule active, vivante et grouillante qui me rappelle que vivre ce n’est pas survivre dans l’ombre d’un futur qui nous devance et qui restera loin, très loin devant nous.

    En attente de senteurs nouvelles je recherche sans cesse des lieux étranges perdus loin des chemins touristiques. Bien sûr il est indispensable de visiter certains sites incontournables, bien que rester sur les traces des agences de voyages est une incongruité insupportable.

    Une senteur a détourné mon odorat m’emportant vers un lieu étrange mais sympathique. Un visage peu ordinaire me rappelle que la France est si loin. Jaime me promener à la découverte de ces petits suppléments d’âme que me procurent ces pays que j’adore. En Asie j’ai juste l’impression que je vis.

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  • Histoires asiatiques

    Histoires asiatiques


    你可以找到一個在中國的文字在文章的末尾

    La préférée !

    Ce sont de vraies histoires asiatiques.Ma préférée, mon préféré, mes préférés, ma préférence, sonnent comme une chanson… Assez, comment peut-on imaginer dans notre vieille Europe démocratique et égalitaire, l’utilisation de cette notion surannée qui ne semble pouvoir subsister que dans des pays arriérés en voie de développement.

    Eh oui, ne vous déplaise, cette idée de préférer un oncle, une tante, un frère, une sœur et pire un enfant à un autre est encore aujourd’hui chose courante en Asie. Non seulement la préférence est exprimée, mais elle est connue de tous.

    Je me souviens, encore aujourd’hui, de ces réunions familiales pleines de gaieté où les frères, les sœurs, les cousines, les cousins se retrouvaient pour des fou- rires inoubliables, des jeux bruyants et des chamailleries joyeuses.

    Mes parents s’absentaient souvent et nous laissaient sous la haute surveillance des nombreux domestiques et employés de maison ; ces derniers ne pouvaient que difficilement contrôler les chenapans que nous étions, toujours pressés de s’épanouir dans des blagues enfantines et des bêtises sans cesse renouvelées. Notre toute nouvelle liberté nous poussait insidieusement à pousser les limites du raisonnable.

    C’était si drôle d’envelopper nos « fraîches déjections » dans de jolis papiers aux couleurs chatoyantes, de les ficeler tels des cadeaux délicats. Nous les déposions ensuite dans la rue en attendant que des piétons intrigués par ce don tombé du ciel, cet inattendu présent, ne s’emparassent manu militari du paquet croyant à la divine providence. Et au lieu de trouver des bijoux, de l’argent ou le trésor des Incas, ils avaient l’avantage et le suprême honneur de sentir l’odeur nauséabonde d’une matière fécale molle et collante qui leur titillait le museau. Nos moqueries, rires et sarcasmes étaient toujours fort sonores, ce qui provoquait chez les victimes des rictus de haine !

    L’eau potable était essentielle à la bonne marche de notre smala. La collecte de la pluie restait toujours une priorité ; papa avait fait construire une réserve en ciment ce qui nous permettait de ne jamais en manquer. Je me souviens d’une période de grande chaleur et profitant de l’absence de nos parents nous avions décidé de nous installer dans cette piscine improvisée en n’oubliant surtout pas de nous y savonner avec force, d’uriner abondamment et aussi d’essuyer nos pieds noirs de crasse et de boue.

    Treize frères et sœurs prompts à la rigolade, aguerris à la subtilité de potache et toujours prêts à soulever des montagnes pour que les bêtises soient reconnues, glorifiées, en se hissant au niveau d’un art.

    Maman et papa dès leur retour trouvaient fréquemment sur leur porte un petit mot de voisins excédés se plaignant du bruit infernal occasionné par nos pyjamas- parties et nos délires nocturnes, nos bêtises démoniaques ou les vestiges de catastrophes bien maladroitement cachés. Papa gardait toujours précieusement dans un coin de la maison notre pire ennemi : le martinet en peau de buffle. En pleine nuit, il soulevait la moustiquaire collective des garçons et à chacun attribuait une cinglante punition soulevant des grognements d’animaux encore sous l’emprise de la nuit câline. Ensuite il se dirigeait vers la chambre des filles apeurées, collées les unes aux autres dans l’immense lit, et leur infligeait la même correction dans un chapelet de cris stridents.

    Le lendemain, toutes les cuisses, les fesses gardaient des traces rougies, irritées, des souvenirs cinglants d’une nuit de légitime retour de bâton.

    Jamais papa n’avait levé la main sur moi, sa préférée, la peureuse de service, la poule mouillée et à chaque « correction » collective j’échappais toujours, comme par magie, à la « douce caresse » du fouet vengeur. Ce privilège n’attirait pas toujours la sympathie de mes sœurs et frères et provoquait chez eux un désamour bien légitime qui me laissait souvent seule, face aux sarcasmes de toute la fratrie.

    Dans les familles vietnamiennes de l’époque, être la « préférée » n’était pas une simple vue de l’esprit mais un vrai statut qui conférait à l’heureux élu des privilèges et bien peu de devoir. Je m’en suis jamais plainte !

    Aujourd’hui sans l’avouer, sans l’exprimer, toujours en catimini nous n’avons pas la moindre préférence, oh non, mais juste une toute petite attirance, un doux penchant vers l’un de nos enfants, mais bien sûr nous les aimons tous profondément, en n’en préférant aucun ; la morale est sauve et sauve la morale.

    Ces vraies histoires asiatiques semblent saugrenues mais elles ont été réellement vécues.

    HV

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