Étiquette : expo

  • QUE TON REGNE VIENNE, Œuvres de François-Xavier de Boissoudy

    QUE TON REGNE VIENNE, Œuvres de François-Xavier de Boissoudy

    Galerie Guillaume,

    32 rue de Penthièvre, 75008 Paris – www.galerieguillaume.com

    QUE TON REGNE VIENNE
    Du 7 avril au 29 mai 2021
    Œuvres de François-Xavier de Boissoudy

     


    Ce titre qui claque dans l’époque traversée n’a pourtant pas sa source dans la crise générale actuelle.
    François-Xavier de Boissoudy s’est interrogé sur ce que pouvait signifier cette célèbre phrase répétée
    d’innombrables fois dans la prière des Chrétiens. Le résultat de son questionnement se traduit par une trentaine
    d’œuvres, notamment des portraits à l’huile ou à l’encre.
    Après Résurrection en 2015, Miséricorde en 2016, Marie la vie d’une femme en
    2017, Paternité en 2018, Béatitude en 2019, la Galerie Guillaume accueille la
    nouvelle exposition de François-Xavier de Boissoudy : Que ton règne vienne.
    Guetter – 2021-100×125 cm
    Les portraits d’adultes, d’enfants, de famille,
    de couple, du duo mère/enfant, père/enfant,
    laissent deviner le fil rouge de l’exposition :
    celui du regard. Regard d’attente vers l’extérieur, regard de contemplation porté vers le ciel,
    regard amoureux yeux dans les yeux, regard
    introspectif, et même regard caché, de dos, que
    l’on devine à travers un tendre enlacement. Ces
    regards révèlent l’intériorité de l’être, sa soif d’essentiel, mais donnent avant tout, à voir. A voir des
    scènes du quotidien : « Est-ce que le Royaume
    est un lieu ici-même ? Est-ce que ça dépend
    de nous ? Est-ce que le règne commence là où
    on ne peut plus rien, est-ce un laisser faire quelque
    chose en nous qui n’est pas exactement nous ?
    Est-ce la place que nous laissons à l’autre dans nos
    vies qui permet en nous l’existence du Royaume ? »
    interroge François-Xavier de Boissoudy.
    Ces œuvres ramènent, pas à pas, à l’enfance, à la
    fragilité, à la quête d’amour comme si, pour que le
    règne vienne, il fallait se dépouiller de postures de
    façade, pour accepter que, finalement plus léger,
    quelque chose puisse alors advenir.
    Jamais l’art du clair-obscur que le peintre sait si bien
    apprivoiser, n’a autant servi sa recherche inépuisable
    d’un mystère voilé mais pourtant présent dans le
    concret de chaque vie : les jeux de lumière, caractéristiques de sa création, se manifestent aussi bien
    au milieu des ombres de ses encres que des couleurs
    organiques – ocres, végétales – de ses huiles. La peinture prend tout son sens : elle indique une direction
    qui échappe aux mots.
    Défi du mot pourtant que le galeriste Guillaume
    Sébastien a confié à Thibault de Montaigu, écrivain journaliste et éditeur, récemment lauréat du
    Prix de Flore pour son roman « La grâce » (Plon) pour
    proposer sa lecture de ces nouveaux tableaux pour
    le catalogue de l’exposition (Editions Conférence).
    Celle-ci promet, outre de renouer avec le bonheur
    de pouvoir toucher (du regard) directement (sans
    écran !) une œuvre artistique, d’y trouver un havre de
    paix au sein des turbulences actuelles

  • « Lumières de vies » à la galerie Francis Barlier , Jean-François Larrieu

    « Lumières de vies » à la galerie Francis Barlier , Jean-François Larrieu

    Jean-François Larrieu en solo : Lumières de vies | 生命之光 | Lights of Lives

    Du 7 au 23 janvier 2021

    Lieu: Galerie FRANCIS BARLIER 36 Rue de Penthièvre Faubourg Saint Honoré 75008 Paris

    Un article qui va paraître dans le prochain numéro de l’Univers des Arts, en kiosque la semaine prochaine.

    Particulièrement actif sur le plan artistique mais
    aussi social depuis le début de la crise sanitaire,
    Jean-François Larrieu démontre encore une fois
    ce que le plus pur amour de l’art est capable de
    produire de bon pour soi comme pour autrui.

    Emission sur Mandarin TV dans l’émission « Le Pont des Arts » avec Jean-François Larrieu, autour de son exposition « Lumières de vies » à la galerie Francis Barlier.
    Au printemps 2015, nous réalisions une
    entrevue de Jean-François Larrieu
    dans laquelle se découvrait avec une
    belle précision, la manière dont cet artiste vit
    en constante tension entre le besoin de créer
    dans la solitude de son atelier, et un appel
    viscéral à participer à la course du monde,
    à se mêler à ses pairs et à agir dans le siècle.
    La simplicité dont le charismatique président
    de la Fondation Taylor, – entre autres
    engagements –, usait alors pour décrire sa
    vision du rôle de l’artiste dans la société,
    portée par la profondeur de son rapport à
    la création, ne pouvait alors que susciter
    une forme rafraichissante d’optimisme
    pragmatique, un recul constructif sur l’art
    d’agir.

    En cette amorce de nouvelle décennie, alors
    que tous les phénomènes les plus anxiogènes
    des dernières années ont subitement connu
    une accélération radicale, – et par conséquent
    peut-être un début de résolution –, nous
    retrouvons Jean-François Larrieu en pleine
    possession de ses talents bâtisseurs et plus
    que jamais tourné vers la dimension édifiante
    de son art.
    Ses Lumières de Vies exposées à la Galerie Barlier sont le
    prolongement logique de ses préoccupations premières, aujourd’hui devenues les sujets centraux des débats qui animent nos sociétés.
    Chanter par la couleur et la lumière le foisonnement du
    monde à travers un regard authentiquement poétique, tel est
    son but et sa méthode.
    La nature, l’environnement, les constructions humaines périssables mais touchant du doigt l’éternité globale : rien n’a
    de sens si on n’en contemple pas l’entièreté, la complexité
    qui relie chaque être et chaque chose au réel dans son ensemble. Pour en rendre compte, nul support n’est plus indiqué que celui choisi par Jean-François Larrieu en tant que
    peintre, nulle tribune plus élevée que sa capacité d’agir en
    tant qu’homme et citoyen. Il y a cinq ans, il résumait dans nos
    pages : « J’ai un besoin viscéral de mener les choses à leur terme,
    de produire des résultats tangibles et appréciables par d’autres. »
    En cette période où le regard d’autrui est devenu d’autant
    plus précieux qu’il est devenu plus rare, cette simple affirmation revêt une portée nouvelle.
    Et concernant la lassitude face à l’action qui semble toucher
    un nombre croissant d’artistes, Jean-François Larrieu illustre
    à merveille le vieil adage : audere est facere, « oser c’est faire ».
    Et faire, c’est vivre. ■ Thibaud Josset
    Lieu: Galerie FRANCIS BARLIER 36 Rue de Penthièvre Faubourg Saint Honoré 75008 Paris
  • Albert Hadjiganev, une exposition personnelle

    Albert Hadjiganev, une exposition personnelle

    Albert Hadjiganev naît en 1954 en Bulgarie1.

    Il suit des études de Beaux Arts à Sofia et obtient un diplôme de photographie.

    Interdit de quitter le territoire bulgare, il passe clandestinement la frontière et arrive finalement à Paris en . Il a 28 ans.

    Tout en apprenant le français et en survivant grâce à des « petits boulots », il s’inscrit aux ateliers de dessin de la ville de Paris.

    Il est diplômé en 1987 de l’école nationale supérieure des beaux-arts2.

    Date: 2020-07-16 18:00

    Vernissage le jeudi 16 juillet à 18h00, inscription obligatoire.
    Rencontre avec l’artiste le samedi 18 juillet à 18h sur l’antenne de Mandarin TV dans l’émission hebdomadaire « Le Pont des arts »

    …Chaque tableau d’Hadjiganev réapprend à voir, à écouter et à se taire pour laisser cheminer l’émotion d’un instant, happée, retranscrite, offerte à d’autres souvenirs. Impressions fugitives, réminiscences… Le regard se perd dans la toile, éclaboussé de lumières, se détache, revient, capte l’indicible et l’émotion s’installe. Pour longtemps.

    Christine Fauvet Mycia, Le Figaro 

    …Les toiles d’Hadjiganev sont pétries de lumière, une lumière qui exsude, qui vient de l’intérieur du sujet représenté. Et pourtant, l’artiste ne choisit jamais de thème spectaculaire: ici une pomme, là un verre, là une plaine baignée dans une lumière grise très claire, là encore une fleur ou l’espace entrevu dans une enfilade de portes décalées. Ces œuvres qui transfigurent librement le réel ont une grâce altière, de la noblesse même. Simples dans leur composition et pourtant architecturées, elles vibrent sous les strates superposées en transparence…De la pure peinture.

    Marc Herissé, La Gazette de l’Hôtel Drouot

    Albert Hadjiganev peint avec intensité et des audaces mesurées des intérieurs dans des couleurs plutôt sombres presque chuchotées. Images intimes où l’artiste s’aventure avec lenteur dans les marges surprenantes de la beauté.

    Jean Marie Tasset, Le Figaro 

    …On aura compris que l’ambition d’Albert Hadjiganev n’est pas temporelle mais spirituelle et que l’ascèse du tableau pose comme préalable, celle de la vie personnelle. C’est pour cela qu’il travaille seul, à l’écart, loin, pauvre, muet, plutôt que parmi, au milieu, entouré, adulé, travesti…

    Max Fullenbaum, Arts Actualités Magazine

    Rencontre sur l’antenne de Mandarin TV le samedi 18 à 18:00 dans l’émission hebdomadaire « Le Pont des arts ».

    Exposition du jeudi 16 juillet au samedi 15 août

    Galerie Barlier
    36 rue de Penthièvre Faubourg Saint-Honoré 75008 Paris
    RSVP : contact@galeriebarlier.fr Tél : 01 49 53 00 05

    Du 2020-07-16 18:00 au 2020-08-15 18:00
    ↳ mardi, mercredi, jeudi, vendredi & samedi