Étiquette : drole

  • Restaurant chinois et humour

    Restaurant chinois et humour

    Restaurant Chinois de très mauvais goût !

    TRES BONNE IDEE !!!

    – Restaurant le plus bizarre et plein dhumoue

    – N’est-ce pas le plus bizarre des restaurants ????

    – Croyez-le ou non, je ris jaune

    – Toilette moderne est un restaurant de Taipei en Chine. Il y a 100 places toutes faites de bols de toilette. – La nourriture est servie dans des bols de toilettes en plastique. Le papier de toilette est les serviettes pour les mains et le bec et est juste en haut des table qui ressemble à des bains géant transparent.


    - Voici le restaurant

    Sa décoration remplie d’humour lourd

    Sa salle de dégustation

    Des couleurs appétissantes

    Ma foi pourquoi pas !

    La cuisine paraît bonne

    On y va avec précaution

    Quelques hésitations ma chère ?

    Mieux vaut essayer à 2 c’est moins dur

    On rit jaune…

    Pourtant ce dessert semble bon

    Vous allez en reprendre ??!!

    Humour d’Asie

    Article envoyé par un Internaute fort aimable et surtout gourmet.

  • l’affaire des toilettes à la chinoise !

    l’affaire des toilettes à la chinoise !

     

    l’affaire des toilettes à la chinoise !

    LE RIRE EST LE PROPRE DE L’HOMME, RIRE JAUNE, POURQUOI PAS !

    Histoire vraie

    L’affaire des toilettes à la chinoise !
    ( Classée « Secret Défense »).

    Alors, qu’avec notre troupe de clowns en tournée en Chine, nous attendions notre tour pour passer sur une immense scène nocturne et en plein air, une envie subite de « petite commission » me taraude.

    Renseignements pris, il existe un genre de bungalow réservé à cet effet où je me rends, donc. Je rentre dans l’endroit et je constate que dans l’unique pièce sans isolement possible, il y a quatre trous creusés dans le sol, dont trois déjà « habités » par des dames accroupies en pleine action et, en prime, bien étonnées de voir un clown débarquer dans pareil endroit pour les divertir !! Elles comprennent vite que je suis dans le même cas qu’elles et commencent à glousser de rire plus ou moins discrètement.

    Arrive alors pour moi ( et ma culture) un grand moment de solitude, avec l’obligation de défaire ma combinaison de clown pour libérer mon envie pressante, qui vaille que vaille, me pouvait plus m’arrêter ni me permettre de trop réfléchir ! Je vous laisse imaginer le tableau d’un clown, se déshabillant gauchement, accroupi sur des WC de fortune avec son chapeau pointu, retenant tant bien que mal les deux manches de sa combinaison multicolore, essayant de viser le trou sans aucune tâche permise, puisque le costume va être utilisé sur scène d’une minute à l’autre. Le tout en souriant à son aimable assistance !
    Un grand moment, je vous dis ! Et je ne saurai jamais ce qu’elles se sont dit en me voyant sur scène quelques instants plus tard… Clown jusqu’au bout et jusqu’au trou !!

    Histoires drôles et humour d’Asie

     True story The affair of the toilet with the Chinese! (Classified « Secret Defense »). Then, with our troupe of clowns on tour in China, we waited our turn to pass on a huge night scene and outdoors, a sudden urge for « small commission » taunts me. Information taken, there is a kind of bungalow reserved for this purpose where I surrender, therefore. I go back into the place and I find that in the only room without isolation possible…

  • HISTOIRE VRAIE, Vaudeville à la Morgue

    HISTOIRE VRAIE, Vaudeville à la Morgue

    Vaudeville à la Morgue (Serge Senftlé)

     

     Ma chère belle mère, Solange (mère de ma femme) décédée en 2002 se trouvait déjà à la morgue de l’hôpital avant que sa sœur Huguette, ne se déplaçant qu’en fauteuil roulant, puisse venir lui rendre hommage. Leur relation était très fusionnelle, elles se vouaient une vraie passion l’une pour l’autre.

    Ma femme et moi obtenons une dérogation pour venir avec elle, à titre très exceptionnel et ce, dans la plus grande discrétion,  afin de lui rendre une dernière visite dans ce lieu si sympathique.

    Deux jeunes infirmières stagiaires, dont cela n’était pas du tout la fonction, nous accueillent à la morgue, dans les sous-sols de l’hôpital. Elles ouvrent un grand casier qui contient trois corps et extirpent ma belle mère du casier du milieu. Elles positionnent les roulettes, font glisser le chariot en inox sur lequel repose la défunte et nous autorisent à rester quinze minutes à la contempler ainsi pour ne pas que le corps se réchauffe trop à la chaleur ambiante. Puis elles s’éclipsent.Trop contents de pouvoir satisfaire la demande d’Huguette, je la laisse parler à Solange :

    – Ah, ma Solange, ma Solange, nous avons vécu tellement de choses ensemble. Rodolphe, tu vois comme elle est belle. Je veux l’embrasser pour un dernier adieu. Je veux t’embrasser ma Solange.

    J’approche son fauteuil roulant. Elle essaie de se pencher mais ça reste encore trop loin pour qu’elle puisse accomplir son souhait. Alors elle se lève, prend appui avec ses deux mains sur le chariot en inox dont les stagiaires n’avaient pas serré le frein, et, devant subitement tant de poids mal réparti, le chariot en inox valdingue par terre avec grand fracas, emportant dans son élan le corps de la malheureuse Solange stoppé net dans sa chute par le carrelage froid de la morgue.

    Evidemment, panique à bord. Ma femme, la fille de la défunte, se met à hurler dans le couloir. Les deux stagiaires arrivent à la rescousse. La première entre et, en voyant le tableau pitoyable, tombe directement dans les pommes. Bon, bon, c’est bien parti la visite en catimini !

    –  Ma Solange, je t’ai tuée ! Ma Solange, je t’ai tuée une deuxième fois !  hurlait sa sœur Huguette, éberluée et choquée. Il faut dire qu’on le serait à moins ! La  deuxième stagiaire se met à trembler comme une feuille en voyant le cadavre étendu par terre :

    – Qu’est-ce qui se passe, qu’est-ce qui se passe ?Je ne réponds pas et décide de prendre les opérations en main. Pour commencer, j’assène quatre claques à la première stagiaire pour qu’elle se remette de ses émotions et  nous aide à remettre le corps sur le chariot. Une fois debout, nos huit bras ne sont pas de trop pour ramasser la pauvre Solange et la positionner  à nouveau correctement avant de la glisser dans son casier.

    A ce moment-là, on voit le cadavre d’une vieille dame, placée dans le casier du bas, dont l’œil était resté ouvert  et qui semblait contempler notre pathétique scénario.Les infirmières, livides et prêtes à nouveau à défaillir, imaginent aussi les conséquences pour elles, au cas où nous aurions porté plainte auprès de l’hôpital pour personnel incompétent.

    Je  les rassure :

    – Ne vous inquiétez pas, ça va bien se passer, il n’y aura pas de suite, personne n’a rien vu !Et nous repartons sur le champ à toute allure dans les couloirs des sous-sols puis du rez-de-chaussée de l’hôpital, en poussant le fauteuil roulant d’Huguette qui, toujours sous le choc, continue à hurler à qui veut bien l’entendre :

    – J’ai tué ma sœur, j’ai tué ma sœur une deuxième fois !

    Une visite comme on nous l’avait demandée : en toute discrétion…

    Histoire vraie

     

  • Histoires vraies

    Histoires vraies

     

    HISTOIRES VRAIES

    En queue de poisson

    (Laaura Tasumer)

    J’ai 13 ans et je suis invitée à ma première surprise party. Et ceci est une histoires vraies

    Sensible à notre explosion de joie, la mère de ma meilleure amie m’invite à passer la nuit et me propose de  partager le déjeuner familial du lendemain. Femme de diplomate, la maîtresse de maison, trop souvent confrontée aux protocoles des dîners officiels, se fait une joie de congédier le personnel pour le week-end, d’emprunter le tablier de la cuisinière et de se transformer en mère de famille ordinaire. Notre enthousiasme et notre jeunesse dynamisent cette australienne de 50 ans, aussi petite et ronde que sa fille est grande et svelte. Seuls, leurs visages parsemés de taches de rousseur, la blondeur de leurs cheveux et leurs regards d’un bleu azuré marquent leur filiation.

    Levée tôt, tirant son caddie derrière elle, elle se fond dans la foule du marché de l’avenue du Président Wilson. Bien que malmené par les gens, son corps exprime l’allégresse jusqu’aux quelques mèches de cheveux rebelles qui s’échappent de son chignon apprêté. En nage, ses joues sont rouge écarlate et légèrement perlées de gouttes de sueur quand elle pousse la porte de l’appartement… D’un œil satisfait, elle étale avec soin ses achats sur la table et se met au travail.

    crevettes

    Afin de dresser le couvert, elle ouvre l’imposante armoire normande de l’office et s’interroge devant l’empilement de nappes amidonnées : Quel sera le motif le plus élégant pour dresser une tablée digne de jeunes filles comblées de leurs premiers baisers ? Une nappe gracieusement fleurie de quelques roses aux tons légers met en valeur un service gris pâle finement perlé. Les verres à pieds transparents de couleurs vives rehaussent la tonalité des fleurs… Des serviettes en papier orange, parme et anis contrastent et rajeunissent le raffinement du décor.

    Réveillées un peu tard, notre petit déjeuner n’est séparé du déjeuner que par la nécessité d’une douche rapide et d’un habillement hâtif afin de respecter les horaires de repas imposés par le maître de maison… Peu bavard, cet homme de taille moyenne, dont la calvitie centrale s’entoure de quelques cheveux rares et grisonnants, est la plupart du temps assis à son bureau chargé de dossiers ou élégamment installé dans son fauteuil club de couleur fauve, caché derrière un journal de langue anglaise. Vêtu quel que soit le jour de la semaine d’un costume trois pièces d’alpaga gris anthracite, il semble oublier sa présence parmi nous. L’iris très foncé de ses yeux, amplifié par l’effet loupe des verres de ses lunettes, se pose rarement sur son entourage. J’avoue que le personnage m’impressionne…

     

    avocat

    L’heure du déjeuner a sonné et la maîtresse de maison, aussi excitée que je suis surprise par cette ambiance familiale si différente de la mienne, s’empresse de placer ses hôtes… Le visage de son mari s’éclaire et je capte un regard bienveillant accompagné d’un début de sourire. Mon amie, d’un geste de la main chasse ses longs cheveux, rougit et salue son père. La petite sœur, de 2 ans notre cadette, ne cache pas sa jalousie et exprime vivement son indignation : pour quelle raison n’a-t-elle pas pu, elle aussi, sortir la veille ?

    Je souris maladroitement, ne sachant sur quel pied danser face à la légère tension que je crois déceler. Un grand plat, porté tel un trophée à bout de bras par la mère et posé victorieusement sur la table déclenche des applaudissements. Les avocats garnis de grosses crevettes roses à la sauce cocktail émoustillent directement mes papilles et je sens avec horreur une pointe de salive humidifier la commissure de mes lèvres. La poitrine de la mère déjà prépondérante se gonfle de bonheur devant nos mines réjouies et affamées. Cérémonieusement, elle m’octroie deux moitiés d’avocats avant de servir les autres…

    J’adore les avocats, les crevettes et la sauce cocktail et malgré moi je ne peux m’empêcher de laisser échapper quelques gloussements évocateurs. Au lieu de s’offusquer de ces manifestations bruyantes, la mère me regarde avec bienveillance, touchée par ma sincère admiration pour ses dons culinaires. Réconfortée par sa béate compréhension, je décide de mettre des mots sur l’extase que connaît mon palais. 

    Je la regarde droit dans les yeux et m’exclame :

    –  Madame, mad….

    Le ton est crescendo et son visage s’empourpre en même temps que le mien. Emue, je lance dans un dernier souffle :

    – Madame, madame c’est vraiment, vraiment, vraiment DEGUEULASSE !

    Il m’arrive et je ne sais hélas absolument pas pourquoi, tant le sens est loin de lapsus révélateurs et totalement incongru, de dire exactement le contraire de ce que je pense … Par exemple «  j’ai chaud » alors que je tremble de froid, « bonjour monsieur » alors que la personne est manifestement une dame. Jamais encore, cet étrange problème d’emploi de vocabulaire contraire ne m’avait surpris dans ce type de situation !

     

    Aujourd’hui encore, j’entends ma voix claire profaner ce déjeuner. La tristesse de la scène qui accompagna le silence pesant qui s’ensuivit ainsi que la honte cuisante qui s’empara de moi me brûlent encore. La vision de mon adorable hôtesse, statufiée, la bouche bloquée en position cul de poule respirant tel un poisson dans un bocal, ses grosses joues virant du pourpre au violet, ses mains jointes en prière devant les autres convives médusés, leurs cuillères vides ou pleines stoppées en pleine course, reste un cauchemar… Blême, les oreilles encore pleines de l’écho de mes paroles, pétrifiée sur ma chaise, je sentais que toute tentative d’excuses de ma part ne ferait qu’amplifier le désastre causé par ma pathologie du contraire.

    Comment expliquer à une femme adorable que vous venez d’anéantir,  que vous étiez à mille lieux de penser que votre syndrome du contraire vous jouerait ce tour là ?  Essayez de l’informer que vous souffrez d’un mal étrange et inconnu pour lequel aucun praticien n’a jamais été formé ! Que pour votre plus grande honte, pas plus tard que la veille, vous avez encore pour la énième fois, salué d’un « bonjour madame » votre voisin chéri, un  vieux monsieur, ex ambassadeur de Syrie, que vous admirez et aimez comme le grand-père que vous n’avez jamais connu !

    J’ai bafouillé sans conviction :

    – Je voulais dire, vraiment excellent..

    J’aurais aimé partir en courant. Un sourire crispé a élargi le rond formé par la bouche de mon hôtesse. Le père a posé sa cuillère. Mon amie et sa sœur ont posé sur moi un regard plein d’interrogation. Le reste du déjeuner eut des allures d’enterrement …

    Je suis partie aussi vite que la bienséance m’y autorisait…

    HISTOIRES VRAIES

  • Clin d’oeil ou le diagnostic à la chinoise

    Clin d’oeil ou le diagnostic à la chinoise

    Clin d’œilou le diagnostic à la chinoise.

    coucou-yeux clin d oeil

    Ceci est une histoire vraie racontée sur le ton de l’humour

    Clin dœil ou le diagnostic à la chinoise.

    Ma fiancée était très préoccupée par un sautillement, un léger frétillement intempestif qui se manifestait sous l’œil gauche. Déconcertée par cette anomalie, elle s’empressa d’en faire part à une de nos amies chinoise et médecin de surcroît.

    Après un examen particulièrement minutieux de ce symptôme étrange, elle nous déclara dans une mimique pleine de dents que nous n’avions qu’à nous réjouir de cette manifestation sautillante. Devant notre incrédulité elle nous expliqua avec sérieux et emphase, que ce tressaillement de l’œil gauche, était un signe annonciateur de richesse et de prospérité et que l’arrivée d’une grosse somme d’argent imprévue surviendrait prochainement ; en revanche un tel frémissement sous l’oeil droit aurait signifié, de gros soucis de santé. Grande fut donc notre surprise devant un tel diagnostic !

    clin-doeil

    Soyons « zen- » et accueillons les bonnes nouvelles avec philosophie. Si d’aventure votre nez vous grattouille ou vous chatouille, rréfléchissez bien à 2 fois avant de peut-être vous confronter à un monde plein d’imprévus.

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  • Asie et humour en photos

    Asie et humour en photos

    Asie et humour en photos

    ASIE ET HUMOUR

    LE RIRE EST LE PROPRE DE L’HOMME, RIRE JAUNE, POURQUOI PAS !

     Alors vous dites qu’en Chine on ne fait pas des produits de qualité ! Voilà le dernier masque pour le déguisement »halloween » en vraie « tête de vache » d’un seul tenant. Oh la vache c’est vachement bien… pauvre vache… !


     Moi aussi j’ai un top uniforme ! J’espère que je les impressionne… Quand vont-ils se débrider ?


     ça me prend la tête, ça me prend la tête…


     Des promesses, des promesses…Dire qu’on m’avait promis un super aquarium ; et en plus mes co-locataires sont vraiment pas des drôles !

     

  • Humour, blagues et histoires drôles d’Asie

    Humour, blagues et histoires drôles d’Asie

    Humour, blagues et histoires drôles d’Asie

    Humour, blagues et histoires drôles d’Asie (vivre mieux par le rire et l’auto- dérision)

    Humour d’asie et Histoires drôles d’Asie

    Pécheur urbain, un coin bien tranquille pour pêcher des maquereaux !

    *

    Confucius a dit :Un homme qui va se coucher en ayant le sexe à l’esprit, se réveille avec le pénis à la main.

    *

     Moi j’ai peur de manger Japonais, ou trouver des « sushis » sans « soucis ?

    *

    La Chine et l’ex-Union Soviétique sont en guerre. 1er jour : Les Russes font 50 000 prisonniers chinois. 2ème jour : Les Russes font 100 000 prisonniers. 3ème jour : Les Russes font 500 000 prisonniers. 4ème jour : Les Russes font 1 000 000 de prisonniers. 5ème jour : Le QG Chinois appelle le Kremlin : Alors, vous capitulez ?

    *

     Supplices chinois :

    Un homme perdu dans la forêt trouve la trace d’une maison, où il est accueilli par un vieux chinois :

    « Je suis perdu, pouvez vous m’héberger pour la nuit »

    « Bien sur, mais a une condition : si vous touchez un cheveu de ma fille, je vous infligerai les 3 pires supplices chinois connus. »

    Ok, répond l’homme, pensant que de toute façon la fille doit être bien moche et vieille. En fait, au dîner, il s’aperçoit que la fille est superbe et qu’en plus elle n’arrête pas de lui faire de l’oeil. Mais se souvenant de l’avertissement du vieillard, il préfère s’abstenir de quoique ce soit. Cependant, au milieu de la nuit, il n’en peut plus.Il sort de sa chambre et rejoint la jeune fille pour une nuit de folie. Puis il retourne se coucher en faisant attention de ne pas faire de bruit. Le lendemain, il se réveille en sentant une pression sur sa poitrine. Ouvrant les yeux, il voit un énorme bloc de pierre posé sur son torse avec une note disant :

    1er supplice chinois . Grosse pierre posée sur poitrine . Le mec, un peu déçu se dit que si c’est ce que le vieux a pu trouver de mieux, ce n’est vraiment pas terrible. Il prend le bloc, marche jusqu’à la fenêtre et le balance par-dessus bord. A ce moment, il aperçoit une autre note sur la fenêtre disant : 2ème supplice chinois . Grosse pierre liée à testicule gauche . Pris de panique, il voit le fil liant son testicule gauche à la pierre qui commence à se tendre. Décidant que quelques os cassés valent mieux que la castration, il saute par la fenêtre.  Alors, en tombant vers le sol, il voit une pancarte posée par terre, où il y a écrit : 3ème supplice chinois . Testicule droit lié au pied du lit .

    *

    Une serveuse dans un restaurant s’apprête à servir un plat, elle se dirige vers la table des convives : « canard aux cinq parfums, chaud devant, chaud devant… ». Dans sa précipitation, elle laisse tomber le plat, le ramasse et sans se démonter : « chaud devant, chaud devant, canard aux six parfums… »

    Humour d’Asie et Histoires drôles d’Asie

  • Humour, blagues et dictons d’Asie

    Humour, blagues et dictons d’Asie

    Dictons drôles d’Asie

    – « Si ce que tu as à dire n’est pas mieux que le silence, alors tais toi »

    – « C’est difficile de trouver un chat noir dans le noir surtout quand il n’est pas là »

    – Un proverbe chinois dit que lorsqu’on a plus rien à dire, on cite généralement un proverbe chinois…

    – Si tu cherches un grain de riz dans un sac de sable, trouve d’abord le sac de sable (proverbe japonais)chien drole

    – Les chinois mangent tout ce qui a 4 pattes sauf les bancs

    – Les chinois mangent tout ce qui vole sauf les avions

    – On se couche avec le cul qui gratte et l’on se réveille avec les mains qui pues

    – Les chinois ont des petites mains car les chinoises ont de petites mainshumour asie

    – L’homme qui se gratte le cul ne doit pas se ronger les ongles `

    – L’homme qui a mis la tête sur les rails de chemin de fer aura la migraine.

    – L’homme qui gardent les pieds sur terre ont du mal à mettre son pantalon

    Blagues et humour d’Asie

     

  • Humour d’Asie en photos, rires et bonne humeur

    Humour d’Asie en photos, rires et bonne humeur

    Asie humour en photos

     

     Les 2 poissons


     » ça va mon pote la compote ? »
     » couci, couça ! t’es vachement optimiste toi alors, j’ t’rappelle quand même qu’on est mort et qu’on va être bouffés vite fait, bien fait… ! »
     » J’savais bien que c’ fameux barrage des 3 gorges c’était un vrai coupe-gorge… ».
    « chut, tu le fermes ton clac-museau, dès qu’ils tournent la tête, on’ s’ tire en louzdé ! » Humour d’Asie (Chine)

    Je vis pour manger

    –  » Moi, je vis pour manger et j’aime ça… des vers bien gras, des oeufs centenaires, des scorpions, des méduses, des pattes de poulets non manucurées, langues de canards…( En chine tout ce qui a des pattes se mange, sauf les bancs /dicton chinois.  » Humour d’Asie (Chine)

    Grosses cylindrées
    Les malfrats n’ont qu’à bien se tenir, désormais les policiers sont équipés de voitures surpuissantes au look agressif ( Wuhan-Chine).

    New look pour la policeNouveaux uniformes pour les forces de l’ordre, à droite la tenue de tous les jours et à gauche celle destinée aux parades.(Chine- I.chang)

    Spermatozoïdes géants

    retrouvés en chine du côté de Pékin ! Attention ils sont très agressifs et peuvent mordre…

    Humour d’Asie (Chine)

     

    On nous espionne ?Mais c’est quoi ce petit rocher au beau milieu du gazon ? Simplement un haut- parleur camouflé pour ne pas ne pas défigurer le site …Malins, malins ! ( Chine, barrage des 3 gorges).

    Humour d’Asie (Chine)

    Avis de recherche


    Où sont- ils passés nos supers héros ? ( Chine)

    Humour d’Asie (Chine)

    Dispute d’amoureux
    Partout dans le monde les histoires d’amour se terminent toujours « mâles » .(Wuhan- Chine).

    Humour d’Asie (Chine)

    Jeu
    Quel est le faux asiatique ? Observez bien-1er prix votre poids en choux chinois .( Chine)

    Attention danger
    Zone à risque ; vous pouvez glisser sur un slip !(Aéroport de Shanghaï).

    Humour d’Asie (Chine)

    Tueur en série
    « Chéri, si tu m’appelles encore ma poulette je te quitte… »(Kuala-lumpur/ Malaisie)

    Humour d’Asie (Malaisie)

    Sous le seiche cheveux
    « ce seichoir à cheveux sur la tête tu’ n’ trouves pas qu’ ça fait ridicule ?On va bientôt ressembler à des calamards au carnaval de rio. » marché aux poissons-malaisie) Humour d’Asie 

     

    SOS cuisineY’a du boulot, par où commencer, même un cuisiniste en perdrait son latin ?!!! (I.Chang- Chine)

    Humour d’Asie (Chine)

    La roulotte du fleuveLes gens du voyage ont acheté un nouveau modèle de camping-car au salon du véhicule de loisirs maritimes … !!! (Yang tsé- Chine)

    Humour d’Asie (Chine)

    L’imposteurOù est le truand ? Un faux guerrier s’est-il glissé parmi les combattants de terre cuite. On t’a repéré, t’es cuit !!! (Pékin-Chine)

    Humour d’Asie (Chine)

    L’opticienC’est dur de lui mettre des lentilles de contact !!!(Ferme des serpents-Bangkok)

    Humour d’Asie (Thaïlande)

    Besoin d’amourQui veut me faire un big bisou ? (Bangkok).

    Humour d’Asie (Thaïlande)

    My tailor is rich
    Il paraît que la Thaïlande est réputée pour la fabrication des costumes sur mesure. Je crois bien que je me suis bien fait aaavoir ?! Ce n’est que de la demi- mesure ! (Bangkok).

    Humour d’Asie (Thaïlande)

    Attention nouvelle arme de destruction massive.
    Bardée de missiles sol/sol et sol/air cette terrifiante machine du 3ème millénaire se présente comme la nouvelle génération d’arme de dissuation. Crée par EADS elle sera sur le marché de l’armement vers 2009 ou 2010…ou plus tard… Selon des sources autorisées une version pour la marine est déjà à l’étude sur une planche de surf.(Corée du Nord?)

    Humour d’Asie (?)

    De l’humour , encore de l’humour

  • Histoires vraies: les figues

    Histoires vraies: les figues

    Histoires vraies

     

    Les figues

    (Agnès Vassiliu)

    figues

     

    Je retrouve en Crète mon amie anglaise Caroline, qui connaît bien cette île  grecque et m’incite à venir l’y rejoindre en vacances.

    Parmi les différentes excursions qu’elle me propose, nous partons un jour en car visiter un petit endroit dont j’ai maintenant oublié le nom. Trente minutes après, nous y sommes. Et là, émerveillement du lieu et notamment d’un magnifique figuier dont les fruits sont juteux à point. Je dois, je l’avoue, avoir ingurgité plus d’une douzaine de figues, sachant pertinemment que je n’en retrouverai pas d’aussi bonnes de si tôt.  La balade suit son cours et l’heure de retour nous invite à reprendre le car  en sens inverse.

    Nous arrivons à trouver deux places assises malgré le monde et cinq minutes après le démarrage de ces trente minutes de voyage, un mal de ventre me prend, de celui qui ne supporte pas d’attendre une visite sur un trône, quel qu’il soit ! Il n’en existe pas dans le car et n’écoutant que mon courage, je fonce voir le chauffeur en lui demandant de s’arrêter car je dois descendre pour « barbouillements ». Tout ça en gestuel bien sûr, car je ne parle pas grec et il ne parle pas anglais ni français.

    Le chauffeur prend les choses en main et me dit d’aller m’asseoir, ce que je fais, attendant la suite du programme, que j’espère instantanée. Il me fait porter un sac spécial « si vous avez mal au cœur, lâchez-vous !».

    Horreur ! Il ne s’agit pas de cet orifice là et ça ne répond pas du tout à ma demande… Retour vers le chauffeur, mimes en tout genre pour descendre vite fait. Y’a urgence ! Il finit par supposer ma peine, arrête le car et m’ouvre la porte en grand.

    Enfin comprise et presque guillerette, je descends à toute vitesse pour m’apercevoir, à ma grande stupeur, que nous sommes en rase campagne et qu’il n’y a rien alentour pour se réfugier, ne serait-ce qu’un minimum ! L’arrière du car ne me semble pas convenir vu le passage de voitures trop proche et me voilà dodelinant de la tête, à droite, à gauche pour aller vivre ce grand moment de solitude qui m’attendait ! Oui, mais où ?

    Je finis par repérer un pauvre arbuste en plein champ, dont le tronc n’est pas plus épais qu’un avant-bras ! Pas le choix, il faut faire vite car la catastrophe s’annonce imminente ! Je cours les trente mètres qui séparent mon arbuste du car. Pas le temps de tourner autour pour savoir quelle serait la meilleure position et me voilà accroupie derrière (autant dire devant, c’est pareil vu l’épaisseur du tronc !) en train d’engager sans peine une fonction première bien connue de chacun devant mon car blindé de monde et donc de paire d’yeux inconnus. Ils étaient tous là !

    Je leur ai offert un show gratuit et en direct qui m’a valu, à mon retour dans le car, ces dizaines de paires d’yeux amusés  et de fous rires retenus en guise de comité d’accueil. Autant dire que je me suis jetée sur le premier journal grand format venu (quitte, même, à  le lire à l’envers) pour me faire oublier et disparaître de la vue de chacun !

    Une autre histoire vraie

    Ceci est une histoire vraie, à vous de nous raconter vos péripéties!!!